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Homme switch. Vit à Paris, Île-de-France, France. 65 ans. est marié(e).
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 22/08/22
pour la connaître depuis 10 ans, Sarah avait le fantasme de prendre le cul d’un mec à l’occasion, mais n’arrivait pas à trouver des hommes volontaires. Sans talons, elle est assez petite et est d’une nature avenante, avec des traits et des cheveux bruns au bol qui la rendent plus jeune. Elle n'impressionne pas les hommes comme je peux le faire.
Je gardais l’information sans savoir quoi en faire au début. Quelques jours plus tard, je discutais avec Sarah et elle mentionna qu’elle avait trouvé le cul de mon mec particulièrement bien moulé dans son jean l’autre soir.
En croisant les deux informations, je commençais à voir une solution pour permettre à ma Sarah d’avoir son expérience de sodomie masculine. J’abordais discrètement le sujet avec Tom, en lui parlant de plan à trois. Au début, il recula, car il croyait que je voulais me faire prendre par un mec pendant qu’il regarderait. Je le rassurais tout de suite, en disant que ce serait avec une autre femme. Il fut plus réceptif, surtout quand j’ai parlé de Sarah.

Le samedi suivant, Sarah vint dîner chez nous. Sur mes recommandations, elle portait la même robe rouge et les mêmes talons, et un maquillage qui atténuait ses traits trop doux. Mon mec portait un jean une nouvelle fois, et rien en dessous. Je lui avais mis un plug dans le cul, qui se voyait à travers. Sarah passa le dîner à le mater et je savais qu’elle était excitée. Bien sûr, elle savait ce que je faisais au lit avec Tom et de voir le plug, elle imaginait que j’allais lui prendre le cul le soir même.
Après le dessert, je demandais à Sarah, l’air vaguement innocent : “Tu payerais combien pour un cul comme celui de Tom ?”
Elle plaisanta à moitié : “J’ai 2 billets de 50 dans mon portefeuille, ça irait ?”
A ma grande surprise, Tom répondit avant moi : “Un seul suffirait”

Il y eut un léger blanc. Un coup d’oeil au pantalon de mon mec me suffit à voir que la mention de l’argent le faisait bander. Je saisis la balle au bond.
“50 balles et il est à toi pour la prochaine heure.” Je tendis la main.
Elle nous regarda l’un après l’autre. Tom hocha la tête. Sarah rougit légèrement, se leva pour prendre son sac à main et me tendit le billet.
“Est-ce que ça inclut la location d’un gode-ceinture ? Je ne suis pas venue avec le mien”
“J’ai tout ce qu’il te faut, ne t’inquiète pas”

Nous allâmes tous dans la chambre. Tom se déshabilla rapidement, révélant son érection et le plug dans son anus. Il se mit à 4 pattes sur le lit.
Sarah enleva sa robe, révélant son 90 B naturel et un string rouge, déjà humide. Elle me demanda si elle devait l’enlever. Je hochais la tête en lui montrant l’extrémité intérieure du gode ceinture, avec un petit gode prévu pour stimuler la fille quand elle le porte.
Pendant qu’elle enlevait son string et mettait le gode ceinture à sa taille, j’enlevais le plug de l’anus de mon mec, et lui massait légèrement son petit trou.
J’aidais ensuite Sarah à lubrifier le gode ceinture, un engin rouge d’environ 20 cm, rainuré de fausses veines pour un maximum de sensation.
Je l’embrassais pour lui donner du courage avant de la guider vers l’anus de Tom, déjà prêt et ouvert. Il connaissait ce jouet, et ce n’était pas le plus gros que j’ai déjà utilisé sur lui, donc je savais que ça se passerait bien.
Sarah glissa lentement le gode dans son anus, le faisant gémir un peu. Elle gémit aussi, à la fois de la stimulation sur sa chatte trempée et de la sensation grisante de prendre un homme.
A mi-chemin, elle commença de lents va et viens, Tom la guidant avec ses gémissements de plaisir, prenant confiance en elle. Je me sentis vite de trop et reculait vers la porte.
Sarah semblait savoir ce qu’elle faisait, poussant le gode plus profondément dans son anus avec ses va et viens. Elle lui prit la bite pour le branler au même rythme, et il gémit comme il le faisait quand il aimait ce qu’il recevait. Je sortis finalement de la pièce pour les laisser à leur plaisir, retrouvant le billet de Sarah sur la table, et je me sentis comme une mère maquerelle et je jouis dans ma culotte rien qu’à cette pensée.

20 minutes de gémissements plus ou moins bruyants plus tard, ils sortirent de la chambre, toujours nus. Les deux avaient jouis. J’embrassais Tom, lui promettant à l’oreille que je visiterais son cul un peu plus tard dans la soirée.
Sarah nous remercia et, avant de partir, promit de revenir. Tom m’avoua plus tard qu’il aimerait que je le loue encore à Sarah ou à d’autres de mes amies.
J’ai dit oui.
459 vues 12 aime
Par : le 30/06/22
BDSM La sodomie du soumis et de l’esclave Il existe mille façons pour une Maîtresse de prendre son soumis ou son esclave, de l’enculer, de le sodomiser.   Il peut s’agir d’une punition ou au contraire d’un moment de plaisir partagé, d’une sorte de récompense pour le soumis, parfois aussi, mais, dans un cas comme dans l’autre, c’est surtout le moment privilégié durant lequel la Maîtresse va symboliquement affirmer son pouvoir sur le soumis : elle devient le mâle, lui devient une femelle. 1. Les milles et un visages de la sodomie   Les hommes soumis commencent très souvent leur éducation à la sodomie en portant un plug anal dont la taille augmente généralement avec le temps. La durée de port change, elle aussi, en fonction des ordre de la Maîtresse. A ce stade, pour la Maîtresse, il s’agit avant tout de préparer au mieux l’orifice qui va bientôt l’accueillir, pour le soumis de s’habituer à être pris et à sentir physiquement la Maîtresse en lui. Certaines Dominatrices préfèrent conserver le « petit cul » de leur soumis bien serré et n’abusent donc pas des plugs, d’autres au contraire ont pour objectif de faire avaler à leur soumis des godes ou des strap-on de plus en plus gros et utilisent les plugs (parfois gonflables). On entre alors dans une dimension plus punitive de la sodomie puisque ces pratiques extrêmes font mal et ne constituent jamais une source de plaisir, sauf pour les soumis les plus masochistes. Une fois, l’orifice préparé, la Maîtresse dispose de dizaines de façon de prendre son soumis. A l’aide d’un gode ou d'un gode-ceinture, en levrette ou face à face, par elle-même ou en ordonnant au soumis de s’enculer sous ses yeux. Elle peut le prendre habillée ou nue, lui ordonner de baisser simplement son pantalon et le prendre directement sur la table du salon ou, au contraire, entourer la sodomie de rituels préétablis. Elle peut enfin, tout à loisir, ordonner au soumis de couiner quand elle l’encule ou au contraire lui intimer de se taire ou même le bâillonner. C’est l’imagination et la symbolique que la Maîtresse veut donner à cette pratique qui sont les chefs-d’orchestre de la « cérémonie », chaque Dominatrice et chaque soumis a donc sa propre expérience de ce rituel incontournable des rapports D/s. Les milliers de vidéos disponibles sur Internet montrent à ceux qui auraient envie de pratiquer la sodomie, toute l’étendue des possibilités, il n’est donc pas nécessaire, et surtout impossible;-)  d’en dresser ici le catalogue exhaustif. 2. Une symbolique essentielle Certaines Maîtresses – rares – refusent de sodomiser leurs soumis, elles n’y prennent pas de plaisir, mais dans l’immense majorité des rapports D/s la sodomie provoque un plaisir partagé par la Maîtresse et par le soumis. Il existe bien d’autre pratiques SM dans lequel le plaisir est tout aussi partagé mais aucune d’entre elles – si l’on excepte les punitions – ne porte en elle une telle charge symbolique. Dans l’acte d’enculer le soumis, toute la volonté dominatrice de la Maîtresse s’exprime puisqu’elle va lui permettre de renverser complètement les codes hétérosexuels classiques où l’homme pénètre la femme. Ici c’est l’inverse qui se produit, et cela explique que le soumis en train de se faire sodomisé soit souvent traité de « salope » ou de « chienne » par sa Maîtresse, puisqu’il lui offre son cul comme le ferait une femme à un homme, dans un rapport sexuel « classique ». C’est aussi la raison qui explique que les préparatifs de la sodomie soient fréquemment ritualisés : Le soumis est très souvent obligé de fixer le gode-ceinture sur sa Maîtresse et de sucer sa queue avant d’être pris, puis de présenter convenablement son cul  : à poil, épaules à terre, cul bien relevé, jambes écartées – afin qu’elle puisse s’introduire en lui plus facilement. Être symboliquement cantonné au rôle habituellement tenu par la femme dans l’acte hétérosexuel et aiment être sodomisés, pour la plupart d’entre eux, ne signifie pourtant pas que les soumis libèrent ainsi un désir homosexuel refoulé. Ce peut-être le cas parfois, bien entendu, mais pour l’immense majorité des hommes soumis être sodomisé ne peut se concevoir que si c’est leur Maîtresse, ou une autre Dominatrice, qui le fait. 3. Le sort particulier de l’esclave Dans leur immense majorité, soumis comme esclaves connaissent donc les joies de la sodomie, toutefois le sort réservé aux esclaves gynarchiques diffère parfois profondément de celui – plus enviable – que les Maîtresses réservent aux « simples » soumis. Comme dans toutes relation D/s, la sexualité de l’homme est réorientée vers la satisfaction du plaisir féminin, mais dans la relation gynarchique cette réorientation est souvent beaucoup plus radicale que dans une relation SM ou D/s moins élaborée. Dans ce cadre, la sodomie pratiqué par les Dominatrices gynarchistes peut avoir plusieurs finalités. Réalisée le plus souvent , elle permet de signifier à l’esclave que dans l’acte de sodomie seule la Maîtresse est autorisée à prendre du plaisir. Lui n’a pas d’autre droit que d’offrir convenablement son cul et très souvent il n’est même pas autorisé à couiner. Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse gynarchique n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un ou plusieurs autres hommes , l’amenant progressivement à une bisexualité forcée.
665 vues 2 aime
Par : le 20/06/22
Un jour, j'ai fait connaitre le plaisir anal à mon amant.
J'ai commencé par lui caresser l'anus pendant les fellations et il s'est laissé faire , il faut dire que lui me léchait l'anus pendant les cunnis et que j'avais accepté la sodomie dès nos premières relations sexuelles, je lui avais demandé si il avait eu des relations homos, il m'avait répondu qu'il n'était pas du tout attiré par les hommes, j'avais rajouté que si cela le gênait, je ne lui toucherai plus les fesses, il m'avait dis que non, qu'il aimait bien, fait par une femme. 
Un jour, pendant une pipe, je lui ai demandé d'écarter les jambes pour lui lécher les testicules, il adore, et ma langue a glissée dans sa raie que j'ai léchée de tout son long en m'attardant sur son petit trou qui ne s'est pas contracté et j'en ai profité pour le masser en cercle en le lubrifiant avec de la salive. 
Il s'ouvrait sous mes caresses, j'ai raidie ma langue et l'ai fait pénétré dans son orifice, je le branlais d'une main et lui écartais les fesses de l'autre, il avançait le bassin à la rencontre de mes pénétrations, ce qui me fit passer au niveau supérieur de l'initiation au plaisir anal, le doigtage. 
Couvrant mon index de salive, je le fis pénétrer doucement dans sa rosette de puceau, il eu un sursaut et je lui demandais s'il voulait que j'arrête, il dit non, je dis tu aimes?, il bredouilla, gêné, que oui, alors la, je lui annonçais d'une voix suave, que j'allais l'enculer avec mes doigts, il ne dit rien et je demandais, tu veux que je t'encule?, il dit oui, et je lui enfonçais entièrement mon index, et je commençais des vas et viens dans son sphincter tout en continuant à le masturber. 
C'était serré, sa rondelle vierge ensairait mon doigt, je déposais de la salive dessus et mon index coulissa mieux, je le ressortis pour aussi le lubrifier et mon majeur aussi et lui enfonçais les deux doigts dans son cul, doucement, il poussa un râle de douleur et de plaisir mélangés, j'enfonçais toujours et lui dit de pousser pour détendre son sphincter, il poussa et mes doigts le pénétrèrent entièrement, j'enculais un homme, je mouillais comme une chienne et me frottais la vulve sur les plis des draps pour me donner du plaisir, j'animais mes doigts dans son anus, les écartant, les vrillant, je les retirais et les renfonçais, je sentis sa queue palpiter, j'accélérais le vas et viens, il cria et son sperme gicla très haut, plusieurs jets, son anus s'est resserré autour de mes doigts pendant l'éjac et je l'ai limé à fond, j'ai jouie de le voir jouir. 
Depuis, nous sommes passés aux pénétrations avec vibros puis godes ceinture, une fois je lui ai mis un concombre devant une amie qui voulait savoir comment faire avec son amant, cela l'a vraiment excité de se faire enculer devant une femme, et je lui ai demandé de se faire dépuceler par un homme bien qu'il soit hétéro, il faut qu'il connaisse le plaisir d'une vraie bite dans l'anus, ça n'a rien à voir avec un gode, et j'espère assister à cela, pour vraiment le soumettre et en faire une vraie lopette.
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Par : le 06/04/22
Maîtresse m’avait demandé de venir pour midi. La pression était montée la veille quand elle m’informa qu’elle recevrait son amant après notre séance.
Elle me précisait « innocemment » qu’elle envisageait de lui faire passer quelques photos de notre première séance : lors de celle-ci Maîtresse avait commencé mon éducation de soumis pour m’entraîner notamment à être pris par des hommes. Étant hétérosexuel cette hypothèse me mettait particulièrement mal à l’aise. Je restais toutefois persuadé qu’il s’agissait avant tout de bluff de sa part pour jouer avec mes nerfs. Comment imaginer qu’après seulement une séance elle puisse oser m’offrir sans réel travail anal d’élargissement au préalable. Pour cette raison, je restais convaincu qu’il s’agissait d’un jeu pervers de sa part. Mon appréhension augmenta le matin quand elle m'imforma que son amant serait présent. Elle me demandait donc de veiller à être bien à l’heure pour la séance. A midi je sonnais à sa porte. Elle m’ouvrit en peignoir. Rapidement je me retrouvais nu. Je compris rapidement que j’avais sous-estimé sa perversité. «Suis-moi dans le salon », « Installe-toi sur ton coussin ! ». Je me retrouvais aux pieds de ma Maîtresse. Contrairement à notre précédente séance, celle-ci n’avait pas revêtu ses habits de Dominatrice. Elle avait enfilé des bas coutures sous une jupe longue et mis un chemisier fermé jusqu’au cou. Naturellement elle avait chaussée des talons impressionnants. Elle me faisait penser à une Gouvernante anglaise chic mais stricte. Il m’est apparu évident que le choix de ses vêtements ne m’était en aucun cas destiné. Je fus donc réduit à honorer ses pieds que je pris soin de lécher et masser pour m’éviter toute remontrance.
Elle ne fit aucun commentaire sur ma prestation. La qualité de celle-ci devant être une évidence. Un manquement de ma part n’aurait par contre pas manqué de déclencher une punition. 13h approchait. Maîtresse me fit mettre à 4 pattes afin de me plugger. « Il faut que tu sois prête si mon amant décidait de profiter de toi. » Elle m’entrava également les poignets, me mis une perruque blonde avant de m’enfiler un masque et de m’intimer l’ordre d’aller attendre au coin. L’interphone sonna et je me retrouvais fébrile, dans l’entrée, aux pieds de ma Maîtresse à attendre son invité. « Je te présente mon soumis » furent ses premiers mots quand il pénétra dans l’appartement. « Mignonne » dit-il sans plus de commentaires. J’essayais de faire de mon mieux, mais entre ma honte d’être mis en présence d’un tiers, nu coiffé de cette perruque et les cliquetis générés par mes entraves aux poignets j’étais particulièrement gauche. L’ordre claqua : « Si tu n’as rien à faire, occupes-toi de mes pieds ! ».
Aussitôt je m’empressais d’honorer les pieds de ma Maîtresse. Ce fut ma seule occupation, pendant que Maîtresse discutait avec son amant.
Elle lui expliqua combien j’étais docile même s’il y avait encore du travail de dressage à effectuer, notamment pour pallier à ma virginité anale avec de vraies bites même si elle me godait, tandis que ma langue passait et repassait sur les pieds de Maîtresse. Maîtresse s’était dévêtu et mis à l’aise dans le canapé. Maîtresse me positionna à genoux entre ses jambes, m’entrava les poignets et relia le tout à mon collier. Je me retrouvais ainsi dans une sorte de position de prière particulièrement humiliante. En m’enfilant mon bandeau elle me chuchota à l’oreille : « Occupe-toi de mon amant, tu commenceras par le caresser. Je ne veux pas t’entendre ». Je tâtonnais pour saisir son membre. Malgré mes mains entravées je parvins à le masser. Il gémit de satisfaction. « Remonte lui les couilles quand tu le caresse » m’intima ma Maîtresse. « Elle ne sait pas, il faut lui apprendre » dit-elle à l’intention de son amant. Je fis de mon mieux et pu sentir le membre durcir sensiblement. « Prends le dans ta bouche, mais garde tes mains sur ses couilles ! Continu à les caresser ! ». Maîtresse était clairement en train d’essayer de parfaire mon éducation. Je m’appliquais à le sucer au mieux afin d’éviter de m’attirer une punition de Maîtresse. Celle-ci n’aurait pas manquée d’être particulièrement sévère si j’avais déçu son amant. « Une bonne petite pute que tu as trouvée. » dit-il. « Oui, elle est particulièrement appliquée ». « Bon ça suffit, personne ne s’occupe de moi ». Maîtresse me remit ma laisse et me traina dans un coin où je fus laissé entravé. Elle ne prit même pas la peine de me préciser de ne pas bouger. Consciente de m’avoir parfaitement conditionnée et mise dans une bulle de soumission, je n’étais plus qu’un objet pour elle. Je demeurais parfaitement immobile, à quelques mètres de moi je pouvais entendre leurs gémissements tandis qu’ils se donnaient mutuellement du plaisir. Entravé, aveugle et frustré je n’avais qu’à attendre. La seule source de plaisir éventuelle aurait pu venir du plug toujours en place. Mais celui-ci était avant tout source d’inconfort. Je fus particulièrement soulagé quand enfin je senti des mains libérer mon anus. Leurs plaisir pris, je pensais que Maîtresse était comblé, mais celle-ci avait visiblement décidée de me faire subir un stage de vrai soumis. À peine le plug retiré je sentis son amant se positionner derrière moi. La panique me gagna. Elle allait me faire enculer par un homme et cela l'exciterait de me soumettre à ce point, de faire de moi une vraie lopette.
Nul doute que le conditionnement dans lequel m’avait mis Maîtresse joua. Je parvins à me maîtriser tandis que, ses jambes de chaque côté de mes fesses, je sentais le sexe de son homme se positionner contre mon anus.
Par réflexe je cherchais à résister mais entravé comme j’étais naturellement offerte. Son sexe pénétra en moi. Il s’introduisait et je me senti littéralement défoncé.
Il commença par des mouvements de va et vient lents et peu appuyés. Soucieux sans doute de travailler à m’élargir avant de commencer le vrai travail de pilonnage. La sensation était extrêmement désagréable, j'avais très mal au cul d’autant plus qu’il avait négligé de mettre du lubrifiant. Je pense que c'était ce que Maîtresse voulait, me faire sodomiser violemment pour augmenter mon masochisme afin que j'apprécie de me faire prendre dans la douleur pour les prochaines fois.
Chaque mouvement en arrière me laissait la sensation de me faire défoncer l’anus. Tandis que ses mouvements avant m’arrachaient des gémissements incontrôlables. Sentant que son travail marchait il modifia sa position. M’écartant les cuisses il se positionna entre mes jambes, raffermi sa prise sur mes hanches et s’enfonça au maximum en moi. Je creusais les reins et tentais de m’élargir au maximum pour limiter la douleur.
Il accéléra son mouvement tout en me traitant de petite pute. Il me possédait complètement et je ne parvenais pas à contrôler mes gémissements à chaque fois qu’il atteignait le fond. Maîtresse glissa un gode dans ma bouche et je me mis à le sucer. Elle le retira et pris ma tête entre ses mains pour me guider. Elle appuya mon visage contre son sexe. Son amant m’assaillait désormais avec des petits coups très vifs, s’enfonçant à chaque fois au maximum. Je me concentrais sur ma Maîtresse et me mis à la lécher frénétiquement dans le seul but de lui procurer un maximum de plaisir. Tout à cet objectif je ne saurais dire quand son amant cessa ses assauts : je ne faisais plus qu’un avec le sexe de ma Maîtresse et mon anus écartelé me faisait souffrir mais en même temps jouir. Maîtresse avait réussi à faire de moi un enculé bisexuel et elle ne se priverait pas à l'avenir de me faire enculer par des hommes.
3.1000 vues 12 aime
Par : le 27/12/21
Les deux couples se sont rencontrés dans un bar. Entre, Christine et Marc, et Sylvie et Jean, le courant est tout de suite passé. Surtout entre les deux femmes. Elles se sont vite rendu compte qu’elles avaient les mêmes centres d’intérêt, et surtout qu’elles avaient très envie l’une de l’autre. Si elles ont à peu près la même taille, Christine est plus fine que Lydia. elles ont toutes les deux une superbe poitrine. 

Deux belles plantes en tout cas se sont vite embrassé, léché, , essayé différents jouets , ont fini par se déshabiller entièrement pour mieux se lécher. « Leurs seins sont incroyables, tu ne trouves pas Marc ? » Beaucoup plus grand que Marc, Jean et leur a tout de suite indiqué qu’il « aimait aussi beaucoup les hommes ». Mince, très peu poilu, 1m80, Marc a toujours beaucoup plus aux hommes sans jamais aller plus loin. . C’est dire s’il a besoin de son soutien pour franchir le pas et prendre la superbe bite de Jean en bouche. Mais là quel bonheur de la sucer longuement, de lui lécher ses couilles, de venir, revenir. Et Jean qui prend son contrôle, dit : « Vous avez vu cette belle salope. » Et les femmes de rire : « C’est bien qu’il se rende compte ce que c’est de sucer ! »

Sylvie et Christine sont nues sur le canapé. Marc est à quatre pattes devant Jean et le suce. Jean fait pénétrer son sexe de plus en plus loin dans sa bouche. Sylvie se lève. S’installe derrière Marc et commence à lui pincer les seins. Marc bande à son tour quand elle le prend en main : « Viens me prendre ». Elle se place en levrette. Il se retourne, la pénètre, prend ses seins à pleine main. Très excitée Christine se dirige vers Jean et le suce à son tour. Pour la première fois ils partagent le même sexe. « Mais vas-y. suce le ! » Celle qui encourage ainsi son compagnon, Léopold, à sucer le sexe particulièrement long de leur ami Jean-Philippe c’est Chrystèle. Avec Lydia, la femme de Jean-Philippe, elles se sont bien amusé, léché, pénétré et elles considèrent que c’est maintenant à leurs hommes de prendre le relais. Peu habitué aux aventures homosexuelles et surtout très gèné de le faire devant sa compagne, Léopold hésite. Pédagogue Jean ne le force pas. Ces dames l’encouragent puis Chrystèle décide de prendre les choses en main ou plutôt la tête de Léopold vers le sexe de Jean : « Suce le. C’est un ordre ». 

« Tu veux que je prenne ton mec ? » demande Jean. « Vas-y » répond Sylvie, heureuse de lui imposer des figures qu’elle connaît maintenant très bien après presque dix mois de libertinage. Jean s’avance. Met un préservatif. Lubrifie le cul de Marc. S’avance. « Tu vas aimer », promet Sylvie à son mec. « Tu vas aimer. Jean est un expert, il a une grosse bite et il va te défoncer le cul pour ton dépucelage, il veut faire de toi une vraie petite salope." dit Christine tout en se faisant baiser. Marc sent l’autre homme qui s’approche, son long sexe qui bat centre ses fesses. Il commence sa pénétration. Pour une première Marc tombe sur une très grosse queue, le sexe de son amant a une longueur appréciable et un calibre impressionnant, il le déflore brutalement lui faisant mal à l'anus en l'enculant, Marc geint comme une femme. Sous les coups de boutoir, il débande et Sylvie avec Christine vont admirer le spectacle. Jean décide de retourner Marc pour le prendre par devant : « Voilà, soit une bonne femelle, je veux que tu deviennes une vraie salope qui aime que je l'encule, même si cela fait mal car tu es un maso.». Il rebande même peu à peu. Christine se dit que rien ne sera plus comme avant. Sylvie a décidé de prendre part au jeu. Elle apporte deux godes ceintures : « Mets ça chérie, tu vas me prendre. Et moi je vais prendre Jean ». 

. Les deux hommes se prennent. Sylvie prend son homme. Christine prend Sylvie.

« Ca t’a plu ?
- Tu veux dire de me faire prendre ?
- Oui.
- Tu voudras recommencer.
- Pourquoi pas ?
- Je savais que tu étais une lopette et maintenant je vais te faire enculer tous les week end.
- Oui Maîtresse. »
357 vues 4 aime
Par : le 25/11/21
Ma première sodomie... avec un trans je décide de sauter le pas et me faire enculer... Mais pas par un mec, je cherche donc un trans. Je tombe sur des sites spécialisés. Je trouve une belle blonde, très grande, belle poitrine généreuse, et bite de 22 cm, autant commencer gros. Finalement je franchis le pas... c’ est une première, et pour en plus me faire enculer... La porte est entrouverte, elle m'ouvre nue, je la suis dans la chambre, regarde son cul nu... Aucun effet je commence à avoir peur...Elle est divine pour le reste, visage tres féminin, longs cheveux blonde belle poitrine, le sexe à l'air pas mal mais encore mou. Elle Me met nue et m'allonge sur le lit... Elle commence à jouer avec ma bite... Puis me demande si je suis passif ou actif, tout comme j'ai demandé de faire .Je lui dis donc passif et là elle me dit "tu attends quoi viens me sucer" je me jette sur sa bite, la branle, le sens grossi, elle m'insulte et me disant suce-moi salope! Je m'exécute, sa bite grossis dans ma bouche, elle est énorme, dure, son gland est énorme , je suis allongé nu, elle me doigte le cul. Elle me tient la tête et me force à prendre sa bite en entier dans la bouche, je ne peux plus respirer, je suis sa pute soumise, je me dégage, elle m'enfonce à nouveau sa bite énorme, elle est assise sur mo torse je ne peux absolument rien faire, je veux me branler mais elle m'en empêche. Elle baise littéralement ma bouche, je suis excité comme jamais, j'en veux encore, elle sort sa bite pleine de bave, et étale ma bave sur mon visage, elle me retourne, me bloque la tête, je sens
sa bite dans mon dos, les fesses, elle se frotte contre mon cul... Et d’un coup je sens son gland rentrer en moi... Doucement... Énorme gland qui me défonce le cul... Puis elle accélère, me baise comme si j’étais une pute, me dis des choses crues "je baise bien ta chatte anale salope, tu es une bonne enculée" je lui dis que j'ai mal. “Je suis entrain de te dépuceler le cul, j’ai une grosse bite pour t’enculer à fond comme tu dois être un peu maso, je te dresse pour que tu aimes avoir mal à chaque fois que je t’encule je veux faire de toi une vraie salope soumise qui aime se faire défoncer le cul. Elle me met en levrette et me donne des coups de reins énormes, mon anus est complètement dilaté et douloureux mais je prends quand même un plaisir monstre, elle sort, m’ allonge sur le dos, et là sa bite rentre tout seul dans mon cul grand ouvert. Maintenant tu es ma pute un véritable enculé qui aime ça et je j’enculerai à chaque fois que j’en ai envie.
363 vues 4 aime
Par : le 23/11/21
Ma première sodomie... avec un trans je décide de sauter le pas et me faire enculer... Mais pas par un mec, je cherche donc un trans. Je tombe sur des sites spécialisés. Je trouve une belle blonde, très grande, belle poitrine généreuse, et bite de 22 cm, autant commencer gros. Finalement je franchis le pas... c’ est une première, et pour en plus me faire enculer... La porte est entrouverte, elle m'ouvre nue, je la suis dans la chambre, regarde son cul nu... Aucun effet je commence à avoir peur...Elle est divine pour le reste, visage tres féminin, longs cheveux blonde belle poitrine, le sexe à l'air pas mal mais encore mou. Elle Me met nue et m'allonge sur le lit... Elle commence à jouer avec ma bite... Puis me demande si je suis passif ou actif, tout comme j'ai demandé de faire .Je lui dis donc passif et là elle me dit "tu attends quoi viens me sucer" je me jette sur sa bite, la branle, le sens grossi, elle m'insulte et me disant suce-moi salope! Je m'exécute, sa bite grossis dans ma bouche, elle est énorme, dure, son gland est énorme , je suis allongé nu, elle me doigte le cul. Elle me tient la tête et me force à prendre sa bite en entier dans la bouche, je ne peux plus respirer, je suis sa pute soumise, je me dégage, elle m'enfonce à nouveau sa bite énorme, elle est assise sur mo torse je ne peux absolument rien faire, je veux me branler mais elle m'en empêche. Elle baise littéralement ma bouche, je suis excité comme jamais, j'en veux encore, elle sort sa bite pleine de bave, et étale ma bave sur mon visage, elle me retourne, me bloque la tête, je sens
sa bite dans mon dos, les fesses, elle se frotte contre mon cul... Et d’un coup je sens son gland rentrer en moi... Doucement... Énorme gland qui me défonce le cul... Puis elle accélère, me baise comme si j’étais une pute, me dis des choses crues "je baise bien ta chatte anale salope, tu es une bonne enculée" je lui dis que j'ai mal. “Je suis entrain de te dépuceler le cul, j’ai une grosse bite pour t’enculer à fond comme tu dois être un peu maso, je te dresse pour que tu aimes avoir mal à chaque fois que je t’encule je veux faire de toi une vraie salope soumise qui aime se faire défoncer le cul. Elle me met en levrette et me donne des coups de reins énormes, mon anus est complètement dilaté et douloureux mais je prends quand même un plaisir monstre, elle sort, m’ allonge sur le dos, et là sa bite rentre tout seul dans mon cul grand ouvert. Maintenant tu es ma pute un véritable enculé qui aime ça et je j’enculerai à chaque fois que j’en ai envie.
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Par : le 05/10/21
Je m’appelle Caro la domina, mon ami a toujours aimé que je lui mettre un doigt dans le cul pendant la fellation et nous avons testé le gode ceinture. C’est quelque chose qui lui plaît énormément et qui me donne également du plaisir. Ce que je ne savais pas, c’est qu’il avait envie d’essayer avec une vraie bite. Il me l’a confié il y a peu de temps après avoir lu une histoire sur le net. Alors j’ai décidé de lui faire une petite surprise. C’était un mardi. Je lui ai envoyé un texto en lui disant de rentrer tôt ce soir et que j’avais une surprise pour lui. Il a essayé de savoir, mais je ne lui ai rien dit. Jusque-là il n’a toujours pas eu de soupçon, car c’est ce que je lui demande de faire lorsque j’ai prévu une soirée avec le gode ceinture. Sauf que ce soir-là allait être différent ! Il était dans le lit et de se préparer lorsqu’on a sonné à la porte. Il était très déçu et a voulu y aller, mais c’est moi qui me suis levée. J’ai accueilli un homme avec lequel j’avais discuté au téléphone et en ligne. Je lui ai expliqué que c’était uniquement pour mon ami et pas pour moi. Je lui ai demandé d’être direct et de l’enculer. Une fois qu’il avait terminé, il jetait sa capote et partait. Tout était prévu. Je suis arrivée dans la chambre et mon ami était en train de se masturber. Il a vu l’homme débarquer et s’est senti très mal. Je lui ai expliqué que cet homme était venu exprès pour lui faire le cul. Alors je me suis allongée sur le lit en position demie assise les cuisses écartées. J’ai demandé à mon mari de venir me bouffer la chatte en position de levrette. L’homme s’est déshabillé et a commencé à se mettre en érection. Il a branlé mon mari et lui a sucé la bite tout en lui malaxant l’anus. Mon ami me regardait en gémissant. Puis l’homme a enfilé un préservatif et a présenté son gland devant le petit trou de mon ami. Il s’est enfoncé en lui et il a été ainsi dépucelé du cul. Le mec est allé très profondément en lui ! Il limait la rondelle pendant un bon moment avant de jouir. Comme convenu, il est parti en mettant une claque sur les fesses mon mari. Mon mari continuait de me bouffer la chatte et je suis passée derrière lui avec le gode ceinture pour prendre le relais et le faire jouir du cul. Comme tout ça lui a plu, je lui ai proposé d’aller plus loin en invitant plus d’hommes. C’est exactement ce qui s’est passé trois semaines plus tard. J’ai réussi à trouver deux hommes prêts à faire le cul de mon ami sans s’occuper de moi. Nous avons adopté la même technique, ils sont passés l’un après l’autre dans son trou du cul. Il y a un moment où je me suis même mise sur la chaise pour les regarder faire. Le premier homme était allongé sur le dos et mon mari était en position de 69. Ils se suçaient la bite tous les deux pendant que le deuxième lui défonçait le cul. Ils ont changé de position, mais au final, c’est toujours mon soumis qui se faisait défoncer la rondelle. Je me caressais en même temps. Depuis ce jour, de temps en temps, sans qu’il ne s’y attende, des inconnus passent à la maison pour l’enculer. Je n’ai plus besoin de lui demander de se préparer, il le fait tous les jours dans l’espoir que moi ou des inconnus venons l’enculer.
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Par : le 01/08/21


Je m’appelle Amanda, j’ai 32 ans. 1m75 pour 68 kilos, un bon 95d et des fesses bien fermes. Mon petit truc en plus ? Et bien c’est ce que j’ai entre les jambes. Une grosse et belle queue de 20 cm. Et oui, je suis transsexuelle. Depuis que je suis née je me suis toujours sentie femme et il y a cinq ans, grâce à la chirurgie j’ai pu prendre l’apparence de ce que au fond de moi j’ai toujours été. Si entre les jambes je ne me suis pas faites opérer c’est parce que niveau sexe c’est beaucoup plus amusant d’avoir un corps de femme et un sexe d’homme. Au lit je pratique à peu près tout, mais j’ai une petite préférence pour les hommes, j’adore m’occuper de leur petit trou. Mon terrain de chasse c’est internet. On y trouve plein de personnes frustrées qui ont envie de nouvelles expériences. La plupart de mes partenaires sont des hommes qui n’osent pas avouer à leur femme qu’ils ont envie de se faire sodomiser. 

Aujourd’hui je vais vous parler de Bruneau. il n’avait jamais avoué à sa femme sa bisexualité qu’il avait pendant longtemps refoulé. Mais ces derniers temps, il se sentait de plus en plus attiré par les hommes et nos longues conversations virtuelles l’ont incité à tenter l’aventure.

Nous nous sommes installés dans le salon où je lui ai servis un verre. Il était très nerveux, comme une vierge sentant son dépucelage proche. Nous avons un peu discuté de tout et de rien, j’essayais de le mettre à l’aise et puis j’en ai eu marre d’attendre et je suis passée à l’action. Je me suis agenouillée devant lui et avant qu’il n’ait eu le temps de réagir, je lui ai défais son pantalon. J’ai saisi sa queue qui était déjà dure et j’ai commencé à la caresser. Il a durci entre mes doigts et je l’ai fait glisser entre mes lèvres. Bruneau s’est décrispé peu à peu pendant que ma langue découvrait son engin. Pendant que je le suçais j’ai commencé à me caresser. Je bandais déjà dure et je n’avais qu’une hâte, enfoncer ma queue bien au fond de son cul. 

Quand je l’ai senti prêt, je lui ai demandé de se déshabiller et de se mettre à quatre pattes. Complètement détendu il s’est exécuté. Ses fesses frétillaient d’excitation. Je me suis mise nue moi aussi et me suis mise en position derrière lui. J’ai attrapé le lubrifiant et j’en ai étalé sur son anus. Doucement, j’ai plongé mon pouce dans son trou tout serré. Je l’ai fait aller et venir et lorsqu’il a été plus ouvert, j’y ai ajouté deux doigts. Je préparais le terrain et faisais tournoyer mes doigts dans son cul. Il adorait ça et poussait de petits gémissements ce qui m’incitait à continuer. Et puis j’ai retiré mes doigts, j’ai généreusement lubrifié ma queue et d’un lent coup de rein je l’ai fait disparaître entre ses fesses. Au début il a eu mal, je l’ai senti parce qu’il s’est crispé, j’adore cela les soumets de les dépuceler, mais plus j’allais et venais dans son anus, plus il prenait de plaisir. Quand il a été bien habitué à mon calibre, je l’ai sodomisé plus fort et plus vite jusqu’à ce que mes coups de queue fassent claquer ses fesses contre moi. L’une de mes mains a glissé sur son ventre et j’ai astiqué son sexe tendu tout en continuant à lui éclater la rondelle. Il criait de plaisir, il me disait «Encules moi. C’est trop bon de sentir ta queue dans mon cul ». Ce qui m’encourageait à accélérer encore. Et puis tout à coup son sexe a gonflé entre mes doigts et il a giclé. Il était temps qu’il s’occupe de moi.

J’ai laissé quelques minutes à Bruneau pour qu’il reprenne ses esprits, puis je me suis allongé. Ma queue était tendu et j’ai attrapé la tête de mon partenaire pour la guider jusqu’à elle. Il l’a léché sur toutes la longueur et s’est attardé sur mes bourses encore pleines qu’il a aspiré dans sa bouche puis il a commencé à me sucer tout en promenant l’une de ses mains sur ma poitrine.

Au début il était maladroit, c’était la première fois qu’il avait une queue dans la bouche mais il était si gourmand que très vite il a trouvé son rythme. Ses lèvres montaient et descendaient sur ma bite qu’il faisait glisser jusque dans sa gorge et c’était trop bon, si bon que je n’ai pas pu me contenir longtemps et que j’ai déchargé dans sa bouche mais j’avais un préservatif.


Messieurs, si vous avez envie de sodomie et bien faites-vous plaisir. Et si vous n’êtes pas célibataire et que vous ne voulez pas tromper votre partenaire et bien les godes et les plugs sont faits pour vous ! Mais bon rien ne vaut une vraie queue !
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Par : le 08/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles. une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela ! 



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Par : le 16/05/21
J’avais deux doigts dans le cul Je ne savais absolument plus quoi faire véritablement pris au piège de ma rencontre. -"Tu veux ma queue ? Tu vas l’avoir mon petit chéri de puceau !" J’étais tétanisé, avec une trouille bleu et une envie de partir en courant, mais aussi une cruelle envie d’aller au bout de mon fantasme qui prenait forme. Il me fouillait doucement le cul avec ses deux doigts, je trouvais ça de plus en plus bon, je commençais a bander vraiment très fort. Et plus il bougeait ses doigts, plus je me sentais me transformer en marionnette sexuelle pour homme. Soudain il sortit ses doigts de mon trou. Je l’entendis chercher quelque chose dans la table basse de son salon. Je ne bougeais plus, les fesses en arrière. Je vis soudain un emballage de préservatif tomber sur le canapé... Je n’y croyais pas, je pensais tellement que ça resterait toujours un fantasme, une envie latente... mais non c’était en train de se produire. Ce soir j’allais me faire sodomiser. Je me suis sentit obligé de lui dire d’une toute petite voix : — "j’ai la trouille, je vais avoir mal ?" — "Non on va lubrifier tout ça tu vas voir, ça va coulisser jusqu’au fond de ton trou de petite chienne" A ce moment là j’ai perdu pied, toujours le cul en arrière, ne voyant même pas ce que cet inconnu faisait, l’imaginant se branler en se disant qu’il allait me prendre. — "J’espère qu’il est aussi bon qu’il en à l’air salope" me


 dit-il d’une manière presque suave autant que brutale. J’eu un réflexe, un mouvement presqu'en incontrôlable, ou mon cul se cambra un peu. Evidemment, avec la vue qu’il avait il le remarqua et reparti de plus belle : — "tu comprends vite comment offrir ton cul trou a bite" Il devenait très vulgaire, mais aussi terriblement excitant. Je sentis soudain un liquide visqueux couler sur mon cul... et presque immédiatement ses doigts revenir me fouiller le cul. — "Je vais bien t’enculer tu vas en redemander" dit-il très sur de lui ! Plus ce moment durait, plus je devenais honteux, en ne cessant de me dire : — "Mais qu’est ce qu’il est en train de te faire !!! pourquoi tu en as autant envie !!!" — "Aller mon chéri je vais te bourrer le cul maintenant" Mon coeur battait la chamade, littéralement. je paniquais presque. Je le sentis poser son gland directement sur mon cul. -" Tu ne veux que de l’anal, tu vas voir comme tu vas aimer ça" Il commença à pousser sur ma rosette doucement. Mon dieu, j’avais l’impression que mon cul allait se déchirer, je me mis à gémir Ca me brulait, j’avais l’impression de ne prendre aucun plaisir tellement son membre me déchirait le cul. Soudain il s’arrêta : -"Ok maintenant je te l’enfonce petite chiennasse!" , je ... compris avec peur qu’il n’avait enfoncé que son gland dans mon cul ! Je me mis à paniquer, a essayer de me débattre. Mais il me tenait les hanches fermement en commençant à enfoncer sa bite en entier dans mon trou bien trop serré pour sa pine. Mon cul se déchirait, je me tordais mais je n’osais rien dire de peur de le décevoir. En quelques instants je sentis ses couilles contre mon cul. Je compris qu’il avait enfoncé son membre en entier dans mon cul. Je ressentais un chaleur terrible dans mon ventre et il ne bougea plus. -"Voila mon chéri, maintenant pense juste à ma queue au fond de ton trou à bite" me dit-il. -"J’ai mal" lui dis-je péniblement -"Tu vas t’y faire, relâche toi et sens ma bite au fond de ton cul salope" dit-il comme s’il avait compris. Il savait y faire, mon cul commençait à tolérer cette bite, le mal s’estompait un peu. Ca y est, j’avais une bite dans le cul jusqu’a la garde... je devais savoir si j’allais aimer ça finalement ou rester sur cette douleur. Je donnais un petit coup de rein en arrière malgré le mal. -"Voila tu as compris salope" Sur le coup je pensais que c’était une bonne idée, mais mon inconnu pris cela pour une invitation plus franche. Il commença ses vas-et-vient dans mon cul encore brulant. D’abord de petit coup, au fond. Puis des mouvements plus amples... J’ai eu pendant quelques minutes très mal, trop. Je lui dit en me pinçant les lèvres : -"J’ai mal au cul" Mais il ne m’écoutait plus... il s’en moquait même franchement à ce stade. visiblement. Je l’entendais exhalter des : -"Ouai!!" -"Salope" -T’es bonne toi" La douleur intense disparaissait progressivement sans que je m’en aperçoive vraiment. Et je me mettais a ressentir quelque chose monter dans mon cul. Sans m’en apercevoir je gémissais sous ses coup de bite. Au son de mes gémissements il devint presque incontrôlable : -"Je vais te péter le cul." me dit-il presque tendrement; c’était dingue de dire une chose pareille avec cette voix la ! Il se complimentait que mon cul soit serré, que je gémisse, qu’il puisse me fourrer le fion comme un puceau en chaleur. Il prenait son pied. Moi je commençais a sentir un plaisir anal monter, avec une honte terrible d’offrir mon cul et ça m’excitait comme jamais je ne l’avait été. Je commençais a haleter, a aimer cette bite, ses coup de reins. Je tendais le cul en arrière comme si c’était naturel. Soudain il sortit sa queue en entier de mon cul, je ne m’y attendais pas ! j’avais l’impression que mon cul était béant ! -" Regarde moi ça comme il est ouvert ce cul de puceau ! Voila t’es une vraie salope!" dit-il A ma grande surprise et je peux encore me rappeler de ma petite voix lui disant : -"oh remets la moi !" Je n’en revenais pas de dire ça ! Comment je pouvais passer d’un garçon plein de doute que j’étais, à un cul en chaleur... Evidemment la réponse ne se fit pas attendre : -" je vais t’enculer mon petit pédé! ouvre ton cul de pétasse !" Et il enfonça sa queue sans forcer dans mon cul encore ouvert. J’étais remplis de honte autant que de sa bite; Et surtout je comprenais que j’allais avoir beaucoup de mal à m’en passer. il continua à m’enculer . -"Je vais jouir ma salope préféré" dit-il, comme si j’avais toujours fait ça... Je tendis le cul en arrière pour me cambrer, pour lui donner ce qu’il voulait, alors que moi je n’avais même pas pensé à toucher à ma queue, je ne pensais qu’à mon cul. Il jouit en collant ses couilles sur mon cul, sa bite enfoncé jusqu’a la garde. J’avais l’impression de subir les derniers outrages. Il jouit en m’insultant, je ne me rappelle plus de ses mots exacts, mais c’étais évidemment quelque chose de coquin.
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Par : le 11/05/21
Copie d’un article envoyé à Maîtresse Dolorès Bonjour, vous dites entre autre : “Les hommes soumis commencent très souvent leur éducation à la sodomie, pour la Maîtresse, il s’agit avant tout de préparer au mieux l’orifice qui va bientôt l’accueillir, pour le soumis de s’habituer à être pris et à sentir physiquement la Maîtresse en lui. Certaines Dominatrices préfèrent conserver le « petit cul » de leur soumis bien serré et n’abusent donc pas des plugs, d’autres au contraire ont pour objectifs d’ entrer alors dans une dimension plus punitive de la sodomie puisque ces pratiques font mal et ne constituent jamais une source de plaisir, sauf pour les soumis les plus masochistes. Dans l’acte d’enculer le soumis, toute la volonté dominatrice de la Maîtresse s’exprime puisqu’elle va lui permettre de renverser complètement les codes hétérosexuels classiques où l’homme pénètre la femme. Ici c’est l’inverse qui se produit, et cela explique que le soumis en train de se faire sodomiser soit souvent traité de « salope » ou de « chienne » par sa Maîtresse, puisqu’il lui offre son cul comme le ferait une femme à un homme, dans un rapport sexuel « classique ». Dans ce cadre, la sodomie pratiqué par les Dominatrices peut avoir plusieurs finalités. elle permet de signifier à l’esclave que dans l’acte de sodomie seule la Maîtresse est autorisée à prendre du plaisir. Lui n’a pas d’autre droit que d’offrir convenablement son cul. Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un ou plusieurs autres hommes l’amenant progressivement à une bisexualité forcée.” Sans aller jusqu’au fist, je pense quand même que la sodomie doit être punitive. Le soumis doit souffrir être humilié, il doit offrir son cul, se faire défoncer par sa Maîtresse ou par un homme si elle souhaite en le traitant de salope d’enculé, de lopette. Et cela plusieurs fois par semaine pour en faire un esclave sexuel.
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