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Homme switch. Vit à Paris, Île-de-France, France. 65 ans. est marié(e).
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 02/01/21
Je suis hétérosexuel, mais j’avais envie de me faire sodomiser, pas avec un homme, je ne suis pas gay, donc un trans me semblait la bonne solution. Sur internet je recherche donc une trans active. Je pensais que c’était difficile à trouver, mais très rapidement, j’ai eu une réponse. « tu es sûr de vouloir te faire enculer, car je n’aime pas les fantasmeurs ». Je n’ai jamais essayé, mais cela me tente assez. « Je suis uniquement active et je vais te soumettre, et tu avoir mal au cul » Elle met sa main dans mon pantalon... Moi aussi j'ai envie de te toucher sa queue ! Elle me déboutonne lentement en me regardant avec ses yeux de salope... Elle est grande, brune, mini-jupe et string qui me donne envie de l’enlever, elle sort ma queue de mon jeans et descend lentement pour la sucer, j'ai déjà envie de jouir mais j'ai aussi envie de goûter... Elle suce 5 bonne minutes en insistant sur le gland. Elle me demande si je veux voir la sienne, elle voit que j'ai envie et prend ma tête qu'elle met entre ses gros seins... Elle me fait descendre vers son joli string bien gonflé que j'embrasse délicatement, comme une chienne que je suis... Sa belle queue, d'environ 20 cm sort et c'est bon de sucer un trans, j'en ai tellement rêvé... Elle se met à me baiser la bouche et j'aime ça ! Je suis une putain de chienne, j'ai envie qu'elle me défonce le cul ! Je suis occupé de la sucer pendant qu'elle va dans mon jeans pour me toucher les fesses... Avant de se diriger vers mon anus... Elle me met un doigt, je pousse un petit cri, elle me relève ensuite et demande si je désire qu'elle me prenne... Oui ! je vais enfin me faire prendre ! elle prend une capote et la met sur sa queue... Elle prend un lubrifiant qui dilate mon anus en deux temps trois mouvements et elle vient poser son gland sur mon anus. J'ai littéralement envie d'exploser mais qu'elle ait le temps de me démonter avant ! elle pousse et j'éprouve de la douleur, j'ai envie qu'elle arrête mais elle me met un doigt dans la bouche... Que c'est bon... ça commence à rentrer... J'ai mal mais j'adore être la salope d'une transexuelle... elle pousse, pousse et fini par être totalement rentrée... J'ai ma première bite dans mon anus ! Elle commence alors ses va et vient et je commence à jouir tout en me touchant la queue, c'est si bon, qu'elle me défonce le cul ! Elle accélère le mouvement et je crie deux fois plus. Une amie à elle tout aussi sexy est venue admirer le spectacle, je ne pouvais pas rêver mieux, je suis maintenant la pute de deuxtrans ! La première m’encule pendant que j'ai la queue de l'autre dans la bouche, j'en avais tellement envie la deuxième m’enfonce sa bite à fond dans la bouche pendant que sa copine me baise... Après 30 bonnes minutes, elle se retire et se met à me sucer, je pousse un râle. Elle me met à quatre pattes et recommence à m’enculer en levrette... Elle sort et rentre sans ménagement pour bien me faire comprendre que je ne suis qu’une petite pute pour trans. J'ai été la salope de deux transexuelles qui m'ont enculé pour la première fois... et certainement pas la dernière...
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Par : le 15/06/18
je me suis déjà fait enculer par des femmes avec des godes ceinture,mais le plaisir ne doit pas le même qu’avec une vraie bite. Pourrais je donc prendre du plaisir avec des trans. Mais jusqu’où ? Il fallait que je le sache… J’entrepris donc de poursuivre mon exploration du genre, et de mes limites. Je consultais donc des sites de trans à la recherche de celle qui me plairait le plus. A l’heure dite, je me présente au domicile de la belle avec un peu d’excitation et beaucoup d’appréhension. Elle m’ouvre la porte. Première bonne surprise, elle est belle, très féminine et très sexy. Passé les formalités d’usage, elle me donne une serviette de toilette propre et je me dirige vers la douche. Douche finie, je noue la serviette autour de ma taille et sors de la salle de bain. Elle est allongée sur le lit, tallons aiguilles, bas, et belle lingerie. Elle me fait signe de venir la rejoindre. Je lui explique que c’est la première fois avec un trans, elle me rassure aussitôt avec des mots doux. Puis elle m’allonge sur le lit, se penche sur moi. Très vite, elle glisse sa main sous la serviette, mon sexe est déjà dur, elle m’excite. Presque machinalement, je descends ma main vers son string pour la caresser. Elle ne bande pas encore mais je sens son sexe qui commence à durcir. J’imagine que d’avoir à faire à un novice doit l’exciter un peu. Elle retire son string pour libérer sa queue puis se place en 69. Elle commence à me sucer. Mon excitation ne fait aucun doute, mon sexe est dur et sa bouche l’engloutit sans difficulté, elle sait y faire. Je me retrouve avec sa queue sous les yeux. Machinalement, je commence à la branler doucement. « Suce moi » me dit-elle… J’obéis. J’avance ma bouche, met ma main à la base de sa queue et commence à la sucer. Je suis plutôt excité d’avantage. Passé les premiers va et vient, je prends confiance et pousse plus loin son sexe dans ma bouche. Elle apprécie visiblement. Sa queue devient toute dure, elle guide ma tête de sa main, sans arrêter de me sucer. Puis je sens un de ces doigts caresser mon anus, d’abord doucement, avant qu’elle ne l’enfonce lentement pour me préparer à la suite. Je ne peux plus lâcher sa queue. La sentir grossir dans ma bouche m’électrise. J’accélère le mouvement de ma main comme si je voulais la faire jouir. Mais ce n’était pas encore le moment. Avant il fallait passer à la casserole… Après quelques minutes de ce 69 excitant et surtout qu’elle m’ait bien ouvert le cul avec deux doigts, elle m’allongea sur le dos et passa un coussin sous mes fesses. Je ne contrôlais plus rien, j’étais son jouet. Elle a relevé mes jambes, enfilé une capote, placé sa queue à l’entrée de mon cul et m’a pénétrée doucement. Dire que je n’ai pas eu mal serait mentir, mais c’était aussi jouissif. Tout en s’enfonçant en moi, elle branlait ma queue. Et elle rentra toute sa queue dans mon cul. Voilà, je l’avais fait, pour la première fois, je me faisais enculer. Elle resta quelques instant figée au fond de moi avant d’entamer un lent va et vient. La douleur s’estompa , le plaisir prenant la relève au fur et à mesure qu’elle allait et venait dans mon cul. Après que minutes dans cette position, elle se retira, me retourna sur le ventre et me pénétra à nouveau. Plus fort, plus violemment, plus vite… Je me laissais faire, je ne réfléchissais plus. Sa queue me faisait du bien. J’en voulais encore. Elle me pilonna pendant de longues minutes en me susurrant des mots crus : « Tu aimes que je t’encule . Tu aimes que je défonce ton petit cul serré » Je ne répondais même plus, j’étais submergé par le plaisir. Elle se retira, s’allongea sur le dos et me fit s’asseoir accroupi sur sa queue. Dans cette position, elle m’a possédé encore plus loin. Sa queue me provoquait un plaisir intense, je la voulais encore plus loin dans mon cul. En même temps quelle me prenait, elle branlait ma queue qui était gonflée comme jamais. J’allais de plus en plus vite sur son sexe, je sentais que j’allais exploser, et elle aussi. « Vas y , bouge, je vais jouir » Elle a eu en un spasme puissant, elle jouissait dans mon cul. Cette sensation m’a fait jouir violemment, d’autant qu’elle me branlait toujours. Je me suis vidé sur son ventre puis écroulé sur elle. Je suis resté comme ça plusieurs minutes sans bouger, je ne pouvais plus. " Tu l’as fait… Et tu aimes ça. Tu es une vraie petite lopette et je vais t'enculer tous les semaines pour que tu deviennes une vraie salope.."
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Par : le 05/12/20
elle a fait de moi un soumis et bisexuel j’ai rencontré une fille qui m’a plu tout de suite, elle aimait chez moi mon côté un peu féminin ; je suis grand, mince, une musculature fine, cheveux longs et peu poilu sur le corps. Au fil du temps, mon côté féminin s’accentuait ; quand les 1er strings pour homme sont sortis dans les catalogues de vente par correspondance j’ai eu très envie d’essayer ; ma compagne n’était pas contre ; au final il y en a eu ensuite dans des grands magasins de vêtements et il lui arrivait parfois de m’en offrir. Elle trouvait ça très mignon, elle m’a même dit que j’avais un beau petit cul de gonzesse. j’avais pris l’habitude de lui faire un cunnilingus après mon éjaculation en elle, ce qui me faisait rebander aussitôt et me permettait de la reprendre avec vigueur. Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. Par contre, croyant peut être me punir de cette attitude elle a voulu un jour faire de même. Non seulement je n’ai pas refusé mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement. Elle n’a pas hésité longtemps pour me mettre un gode dans le cul. Elle a commencé alors à me traiter de « pédé » et ça m’excitait. Loin de m’en plaindre, j’en redemandais. Sans trop le savoir, j’avais beaucoup de prédispositions pour devenir bi, passif, soumis. Le jour où son gode a remplacé ses doigts elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement mes penchants. Je n’ai pas dit non. Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré mon très fort désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un de ses amis. C’était un homme un peu plus âgé que nous, d’aspect sympathique et plutôt viril. j’ai remarqué qu’elle s’était maquillée et avait mis une tenue inhabituelle. Chemisier noir assez transparent et il me semblait qu’elle n’avait rien dessous. Jupe légère portefeuille plutôt courte qui paraissait pouvoir s’ouvrir facilement sur ses cuisses. Talons très hauts. Perplexe, je constatais qu’elle se comportait comme si elle voulait le draguer. Je n’osais pas croire ce que je voyais surtout quand elle s’est assise très près de lui et que, machinalement, elle a mis une main sur sa cuisse. La discussion devint grivoise, et orientée sur le sexe. Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a finit par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant « bien sur, je suis là pour ça ». Alors elle a dit qu’elle savait depuis longtemps que je mettais des sous-vêtements féminins et qu’elle et son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir. Quand je suis revenu, ils étaient entrain de s’embrasser, une main avait disparue dans les plis de la jupe, l’autre dans son chemisier, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma maîtresse, il lui dit « il a l’air d’aimer ça ; Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir ». Constatant un léger recul de ma part, ma maîtresse me dit « tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord et j’en ai très envie. viens nous rejoindre dans le lit » J’étais incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma maîtresse dans cet état et de penser que j’allais être soumis à d’un homme. En arrivant dans la chambre je les ai trouvés nus enlacés. Quant ils se sont séparés j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma maîtresse, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple elle me dit « regarde comme il faut faire » et elle englouti le membre dans sa bouche sous mes yeux et a commencé une fellation. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit « suce le bien. Fait comme j’ai fait, à fond … » Et pour conforter ses propos elle appuya sur ma tête d’une main et se masturba de l’autre. Puis elle s’est levée. Peu après, tout en continuant à sucer cette bite, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel lubrifiant. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon cul, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement. Je sentais que le sexe devenait de plus en plus dur. Il se dégagea de ma bouche, et demanda « par qui je commence ? « Par lui » dit ma maîtresse avec un ton autoritaire. « Il en a envie et il aimera ça ». Cela me fis bander comme et je me sentais complètement soumis Positionné en levrette, tenu par les hanches, ma maîtresse appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé mon anus, je n’ai pas pu, là aussi, réfréner un léger gémissement. Ma maîtresse, de plus en plus salope, me me traitait de pédé, d’enculé. Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, je me sentais vaincu, dominé et cela me procura peu à peu un bien être et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse. De temps en temps, il ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur de l’anus pour reproduire cette douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma compagne, en me faisant un peu souffrir. Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, encule moi bien, vas y à fond, … » Et ma maîtresse surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de belle salope, de chienne en chaleur de lopette Puis elle s’est glissée sous moi en écartant au maximum ses cuisses jusqu’à ce que son sexe arrive à la hauteur du mien. C’est son amant qui m’a introduit dans sa chatte tout en continuant à me limer. J’étais sur le point d’exploser comme je ne l’avais encore jamais fait. « Retiens toi me dit-elle … Attends que je jouisse » J’ai à peine eu le temps de me rendre compte qu’ils jouirent en même temps et j’ai explosé. Je ne me souviens vaguement que d’une vision de « feu d’artifice ». Après voir repris nos esprits, c’est ma femme qui s’exprima la première « Te voilà dépucelé, maintenant viens me lécher pour me nettoyer » ce que je fis avec plaisir. Tu seras dorénavant à mes ordres. Tout était dit. Je ne me suis pas rebellé.
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Par : le 15/06/18
Je suis une partisane de la Suprématie Féminine, et j’aime utiliser mon savoir élaboré du dressage des esclaves afin d’aider d'autres femmes à apprendre comment transformer un mâle en un véritable Esclave. Totalement dévoués et vraiment très obéissants. Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles : la bisexualité forcée. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des bites est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine et de mentalité machiste Doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre. J’ai d'abord entrainé mes soumis à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture et après leur pénétrer l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de mes lopettes. C'est aussi un mâle soumis, mais il peut être actif avec d'autres mâles soumis, Il est grand, musclé, bien monté. Il n’est pas véritablement homo, mais bi et vraiment très cochon. Pour préparer mon Esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très humiliante et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d'impuissance. Je lui ordonne de se mettre debout devant mon soumis. Il est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Il se déshabille et présente son sexe à mon soumis. Je le prends en main et oblige mon esclave à le sucer et à lui lécher les couilles, puis sur mon ordre il le met entièrement dans sa bouche. et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle puis je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Il reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon soumis trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. Ce type d’entrainement est très utile en faire une vraie salope mâle lui dilater sa chatte anale, et obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon esclave.
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Par : le 21/09/20
— Toi aussi, dis-moi, ça t’excite ! Tu aimes ça, hein ! Tu ne vas pas être déçu ! Sa main droite descendit et attrapa mon sexe pour commencer à me branler doucement. Sa main gauche quant à elle, était posée sur mes fesses. Ses doigts commencèrent à fouiller ma raie. Bientôt, elle découvrit mon anus et se mit à caresser doucement avec son index les bords de mon orifice. Puis, je sentis son doigt pénétrer doucement mon anus. La sensation était bizarre mais pas désagréable. Elle faisait doucement sans me brusquer. Bientôt ses deux phalanges m'avaient complètement envahi et le va-et-vient commença. Tout mon corps frissonnait, elle était en train de me préparer à la sodomie… J’essayai d’en faire de même avec mes deux mains, mais sa réaction me fit comprendre que je devais la laissant faire. sa main n’avait pas quitté mon sexe et continuait à le branler ; son autre main me dilatait petit à petit l’anus. Quand son majeur vint se rajouter à son index, mon corps réagit un peu. — Tu peux encore choisir, mon coquin, ou tu t’en vas et je ne veux plus jamais te revoir, ou tu te laisses faire sans dire un mot et tu me laisses tout organiser du début à la fin. Si tu acceptes de rester, tu devras être mon esclave encore plus qu’avant et tu devras tout accepter ! Quelle est ta réponse ? je veux rester, dis-je sans hésiter, mon corps vous appartient ! J’étais peut être allé un peu loin, j’étais quand même puceau avec les hommes et avec les trans. — Bonne réaction mon chéri, tu es donc à moi maintenant. Mets-toi à quatre pattes et montre moi ta croupe. Je m’exécutais lui laissant admirer mon cul qu’elle n’allait pas tarder à maltraiter pour mon bonheur et sûrement aussi pour le sien. Je lui offrais mes fesses et elle ne tarda pas à renfourner son index, puis elle rajouta son majeur. La douleur laissait peu à peu place à une sorte de plaisir. Elle le sentait, et elle accéléra progressivement le mouvement. Sa main gauche me donnait des fessées de plus en plus forte et les doigts de sa main droite se frayaient un passage dans mon anus tout serré. — Accompagne mes doigts, bouge tes fesses pour me montrer que tu aimes ça ! Je m’exécutai et je reculai mes fesses pour mieux me faire pénétrer. La jouissance avait dépassé la douleur et l’appréhension. — Oh tu m’excites à bouger comme une petite salope ! Tu es fin prêt à recevoir ma bite ! Je vais me régaler avec ton petit cul ! Elle retira ses doigts, s ouvrit un tiroir et en retira une capote — Tourne-toi vers moi, Allez maintenant, lubrifie mon sexe avec ta salive ! Elle me présenta son sexe devant ma bouche et en un coup de rein, elle le mit au fond de ma gorge. C’est elle qui imprimait la cadence, son gland sortait et rentrait dans ma bouche comme des coups de boutoir. Elle diminua le rythme pour laisser son gland toujours en contact avec ma langue. Je pris sa bite dans ma main pour la branler tout en la suçant, elle apprécia. Je la branlais d’une main et de l’autre je caressais ses boules. Au bout d’un petit moment, elle retira son sexe et me donna le préservatif. — Allez mon joli, enfile-le-moi, mais rien qu’avec ta bouche, je ne veux pas voir tes mains et tu as intérêt à y arriver sinon la sanction sera lourde pour toi ! Les difficultés commençaient ; déjà que je n’avais jamais mis de capote sur quelqu’un (à part sur moi) avec les mains, en plus, il fallait que je ne me serve que de ma bouche ! Je mis le préservatif sur son gland, et commençai une habile pipe en essayant de le dérouler. Je la pipai quelques secondes puis appréciant mon travail elle m’interrompit : — C’est bien mon chéri, tu es un brave garçon, je vais finir moi-même, retourne-toi à quatre pattes et écarte bien ton cul ! Je me retournai et je sentis son gland à l’entrée de mon anus. Je sentais que celui-ci s’avançait, la douleur était de plus en plus présente au fur et à mesure que sa bite s’engouffrait. Les deux premiers aller-retours furent très difficiles puis la vitesse de ses va-et-vient commença à s’emballer. — Oh oui c’est bon mon chou, je sens que tu commences à aimer ça, bientôt tu me supplieras de ne plus arrêter ! Je sentais que la sodomie me donnait des frissons presque du plaisir, et plus on avançait et plus je sentais que sa bite rentrait bien dans mon cul : le plaisir commençait à se faire ressentir ! — Ça y est, tu te régales, tu es une petite salope en fait, tu aimes ça te faire enculer, je veux t’entendre dire que tu aimes ça, je veux t’entendre crier que tu aimes être soumis comme une petite pute ! Il est vrai que j’adorais ça mais l’avouer était difficile ! Le plaisir montait tellement : — Oh oui, j’adore ça ! Vas-y, continue, défonce moi le cul, j’aime ça, quand tu me prends le cul, fais ce que tu veux, mon trou est pour toi ! — Tu vas me faire jouir, toi, continue à crier comme une petite chienne ! ses coups de bite étaient de plus en plus forts. Ils étaient accentués par mes mouvements de hanche qui permettaient à son sexe d’aller plus profond que jamais. La sodomie sembla durer une éternité. Mon dépucelage était assez violent mais je dois être un peu maso… Elle me mit sur le dos et, en me tenant par les jambes, elle me pénétra d’une autre façon. son sexe entrait et sortait de mon anus. Je sentis sa bite grossir dans mon cul. — J’ai bien apprécié mon chéri pour une première c’était plutôt pas mal. Mes fesses et mon anus étaient assez douloureux. Mais je pense que j'aime ça. Lire également
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Par : le 22/08/22
pour la connaître depuis 10 ans, Sarah avait le fantasme de prendre le cul d’un mec à l’occasion, mais n’arrivait pas à trouver des hommes volontaires. Sans talons, elle est assez petite et est d’une nature avenante, avec des traits et des cheveux bruns au bol qui la rendent plus jeune. Elle n'impressionne pas les hommes comme je peux le faire.
Je gardais l’information sans savoir quoi en faire au début. Quelques jours plus tard, je discutais avec Sarah et elle mentionna qu’elle avait trouvé le cul de mon mec particulièrement bien moulé dans son jean l’autre soir.
En croisant les deux informations, je commençais à voir une solution pour permettre à ma Sarah d’avoir son expérience de sodomie masculine. J’abordais discrètement le sujet avec Tom, en lui parlant de plan à trois. Au début, il recula, car il croyait que je voulais me faire prendre par un mec pendant qu’il regarderait. Je le rassurais tout de suite, en disant que ce serait avec une autre femme. Il fut plus réceptif, surtout quand j’ai parlé de Sarah.

Le samedi suivant, Sarah vint dîner chez nous. Sur mes recommandations, elle portait la même robe rouge et les mêmes talons, et un maquillage qui atténuait ses traits trop doux. Mon mec portait un jean une nouvelle fois, et rien en dessous. Je lui avais mis un plug dans le cul, qui se voyait à travers. Sarah passa le dîner à le mater et je savais qu’elle était excitée. Bien sûr, elle savait ce que je faisais au lit avec Tom et de voir le plug, elle imaginait que j’allais lui prendre le cul le soir même.
Après le dessert, je demandais à Sarah, l’air vaguement innocent : “Tu payerais combien pour un cul comme celui de Tom ?”
Elle plaisanta à moitié : “J’ai 2 billets de 50 dans mon portefeuille, ça irait ?”
A ma grande surprise, Tom répondit avant moi : “Un seul suffirait”

Il y eut un léger blanc. Un coup d’oeil au pantalon de mon mec me suffit à voir que la mention de l’argent le faisait bander. Je saisis la balle au bond.
“50 balles et il est à toi pour la prochaine heure.” Je tendis la main.
Elle nous regarda l’un après l’autre. Tom hocha la tête. Sarah rougit légèrement, se leva pour prendre son sac à main et me tendit le billet.
“Est-ce que ça inclut la location d’un gode-ceinture ? Je ne suis pas venue avec le mien”
“J’ai tout ce qu’il te faut, ne t’inquiète pas”

Nous allâmes tous dans la chambre. Tom se déshabilla rapidement, révélant son érection et le plug dans son anus. Il se mit à 4 pattes sur le lit.
Sarah enleva sa robe, révélant son 90 B naturel et un string rouge, déjà humide. Elle me demanda si elle devait l’enlever. Je hochais la tête en lui montrant l’extrémité intérieure du gode ceinture, avec un petit gode prévu pour stimuler la fille quand elle le porte.
Pendant qu’elle enlevait son string et mettait le gode ceinture à sa taille, j’enlevais le plug de l’anus de mon mec, et lui massait légèrement son petit trou.
J’aidais ensuite Sarah à lubrifier le gode ceinture, un engin rouge d’environ 20 cm, rainuré de fausses veines pour un maximum de sensation.
Je l’embrassais pour lui donner du courage avant de la guider vers l’anus de Tom, déjà prêt et ouvert. Il connaissait ce jouet, et ce n’était pas le plus gros que j’ai déjà utilisé sur lui, donc je savais que ça se passerait bien.
Sarah glissa lentement le gode dans son anus, le faisant gémir un peu. Elle gémit aussi, à la fois de la stimulation sur sa chatte trempée et de la sensation grisante de prendre un homme.
A mi-chemin, elle commença de lents va et viens, Tom la guidant avec ses gémissements de plaisir, prenant confiance en elle. Je me sentis vite de trop et reculait vers la porte.
Sarah semblait savoir ce qu’elle faisait, poussant le gode plus profondément dans son anus avec ses va et viens. Elle lui prit la bite pour le branler au même rythme, et il gémit comme il le faisait quand il aimait ce qu’il recevait. Je sortis finalement de la pièce pour les laisser à leur plaisir, retrouvant le billet de Sarah sur la table, et je me sentis comme une mère maquerelle et je jouis dans ma culotte rien qu’à cette pensée.

20 minutes de gémissements plus ou moins bruyants plus tard, ils sortirent de la chambre, toujours nus. Les deux avaient jouis. J’embrassais Tom, lui promettant à l’oreille que je visiterais son cul un peu plus tard dans la soirée.
Sarah nous remercia et, avant de partir, promit de revenir. Tom m’avoua plus tard qu’il aimerait que je le loue encore à Sarah ou à d’autres de mes amies.
J’ai dit oui.
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Par : le 06/04/22
Maîtresse m’avait demandé de venir pour midi. La pression était montée la veille quand elle m’informa qu’elle recevrait son amant après notre séance.
Elle me précisait « innocemment » qu’elle envisageait de lui faire passer quelques photos de notre première séance : lors de celle-ci Maîtresse avait commencé mon éducation de soumis pour m’entraîner notamment à être pris par des hommes. Étant hétérosexuel cette hypothèse me mettait particulièrement mal à l’aise. Je restais toutefois persuadé qu’il s’agissait avant tout de bluff de sa part pour jouer avec mes nerfs. Comment imaginer qu’après seulement une séance elle puisse oser m’offrir sans réel travail anal d’élargissement au préalable. Pour cette raison, je restais convaincu qu’il s’agissait d’un jeu pervers de sa part. Mon appréhension augmenta le matin quand elle m'imforma que son amant serait présent. Elle me demandait donc de veiller à être bien à l’heure pour la séance. A midi je sonnais à sa porte. Elle m’ouvrit en peignoir. Rapidement je me retrouvais nu. Je compris rapidement que j’avais sous-estimé sa perversité. «Suis-moi dans le salon », « Installe-toi sur ton coussin ! ». Je me retrouvais aux pieds de ma Maîtresse. Contrairement à notre précédente séance, celle-ci n’avait pas revêtu ses habits de Dominatrice. Elle avait enfilé des bas coutures sous une jupe longue et mis un chemisier fermé jusqu’au cou. Naturellement elle avait chaussée des talons impressionnants. Elle me faisait penser à une Gouvernante anglaise chic mais stricte. Il m’est apparu évident que le choix de ses vêtements ne m’était en aucun cas destiné. Je fus donc réduit à honorer ses pieds que je pris soin de lécher et masser pour m’éviter toute remontrance.
Elle ne fit aucun commentaire sur ma prestation. La qualité de celle-ci devant être une évidence. Un manquement de ma part n’aurait par contre pas manqué de déclencher une punition. 13h approchait. Maîtresse me fit mettre à 4 pattes afin de me plugger. « Il faut que tu sois prête si mon amant décidait de profiter de toi. » Elle m’entrava également les poignets, me mis une perruque blonde avant de m’enfiler un masque et de m’intimer l’ordre d’aller attendre au coin. L’interphone sonna et je me retrouvais fébrile, dans l’entrée, aux pieds de ma Maîtresse à attendre son invité. « Je te présente mon soumis » furent ses premiers mots quand il pénétra dans l’appartement. « Mignonne » dit-il sans plus de commentaires. J’essayais de faire de mon mieux, mais entre ma honte d’être mis en présence d’un tiers, nu coiffé de cette perruque et les cliquetis générés par mes entraves aux poignets j’étais particulièrement gauche. L’ordre claqua : « Si tu n’as rien à faire, occupes-toi de mes pieds ! ».
Aussitôt je m’empressais d’honorer les pieds de ma Maîtresse. Ce fut ma seule occupation, pendant que Maîtresse discutait avec son amant.
Elle lui expliqua combien j’étais docile même s’il y avait encore du travail de dressage à effectuer, notamment pour pallier à ma virginité anale avec de vraies bites même si elle me godait, tandis que ma langue passait et repassait sur les pieds de Maîtresse. Maîtresse s’était dévêtu et mis à l’aise dans le canapé. Maîtresse me positionna à genoux entre ses jambes, m’entrava les poignets et relia le tout à mon collier. Je me retrouvais ainsi dans une sorte de position de prière particulièrement humiliante. En m’enfilant mon bandeau elle me chuchota à l’oreille : « Occupe-toi de mon amant, tu commenceras par le caresser. Je ne veux pas t’entendre ». Je tâtonnais pour saisir son membre. Malgré mes mains entravées je parvins à le masser. Il gémit de satisfaction. « Remonte lui les couilles quand tu le caresse » m’intima ma Maîtresse. « Elle ne sait pas, il faut lui apprendre » dit-elle à l’intention de son amant. Je fis de mon mieux et pu sentir le membre durcir sensiblement. « Prends le dans ta bouche, mais garde tes mains sur ses couilles ! Continu à les caresser ! ». Maîtresse était clairement en train d’essayer de parfaire mon éducation. Je m’appliquais à le sucer au mieux afin d’éviter de m’attirer une punition de Maîtresse. Celle-ci n’aurait pas manquée d’être particulièrement sévère si j’avais déçu son amant. « Une bonne petite pute que tu as trouvée. » dit-il. « Oui, elle est particulièrement appliquée ». « Bon ça suffit, personne ne s’occupe de moi ». Maîtresse me remit ma laisse et me traina dans un coin où je fus laissé entravé. Elle ne prit même pas la peine de me préciser de ne pas bouger. Consciente de m’avoir parfaitement conditionnée et mise dans une bulle de soumission, je n’étais plus qu’un objet pour elle. Je demeurais parfaitement immobile, à quelques mètres de moi je pouvais entendre leurs gémissements tandis qu’ils se donnaient mutuellement du plaisir. Entravé, aveugle et frustré je n’avais qu’à attendre. La seule source de plaisir éventuelle aurait pu venir du plug toujours en place. Mais celui-ci était avant tout source d’inconfort. Je fus particulièrement soulagé quand enfin je senti des mains libérer mon anus. Leurs plaisir pris, je pensais que Maîtresse était comblé, mais celle-ci avait visiblement décidée de me faire subir un stage de vrai soumis. À peine le plug retiré je sentis son amant se positionner derrière moi. La panique me gagna. Elle allait me faire enculer par un homme et cela l'exciterait de me soumettre à ce point, de faire de moi une vraie lopette.
Nul doute que le conditionnement dans lequel m’avait mis Maîtresse joua. Je parvins à me maîtriser tandis que, ses jambes de chaque côté de mes fesses, je sentais le sexe de son homme se positionner contre mon anus.
Par réflexe je cherchais à résister mais entravé comme j’étais naturellement offerte. Son sexe pénétra en moi. Il s’introduisait et je me senti littéralement défoncé.
Il commença par des mouvements de va et vient lents et peu appuyés. Soucieux sans doute de travailler à m’élargir avant de commencer le vrai travail de pilonnage. La sensation était extrêmement désagréable, j'avais très mal au cul d’autant plus qu’il avait négligé de mettre du lubrifiant. Je pense que c'était ce que Maîtresse voulait, me faire sodomiser violemment pour augmenter mon masochisme afin que j'apprécie de me faire prendre dans la douleur pour les prochaines fois.
Chaque mouvement en arrière me laissait la sensation de me faire défoncer l’anus. Tandis que ses mouvements avant m’arrachaient des gémissements incontrôlables. Sentant que son travail marchait il modifia sa position. M’écartant les cuisses il se positionna entre mes jambes, raffermi sa prise sur mes hanches et s’enfonça au maximum en moi. Je creusais les reins et tentais de m’élargir au maximum pour limiter la douleur.
Il accéléra son mouvement tout en me traitant de petite pute. Il me possédait complètement et je ne parvenais pas à contrôler mes gémissements à chaque fois qu’il atteignait le fond. Maîtresse glissa un gode dans ma bouche et je me mis à le sucer. Elle le retira et pris ma tête entre ses mains pour me guider. Elle appuya mon visage contre son sexe. Son amant m’assaillait désormais avec des petits coups très vifs, s’enfonçant à chaque fois au maximum. Je me concentrais sur ma Maîtresse et me mis à la lécher frénétiquement dans le seul but de lui procurer un maximum de plaisir. Tout à cet objectif je ne saurais dire quand son amant cessa ses assauts : je ne faisais plus qu’un avec le sexe de ma Maîtresse et mon anus écartelé me faisait souffrir mais en même temps jouir. Maîtresse avait réussi à faire de moi un enculé bisexuel et elle ne se priverait pas à l'avenir de me faire enculer par des hommes.
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Par : le 01/01/21
Maîtresse sort de la salle de bain, face au lit, elle porte des talons hauts, une belle paire d’escarpins rouges, des bas qui arrive jusqu’au haut de ses cuisses, la petite mini jupe en cuir qu’elle porte est plus courte que la longueur du porte-jarretelle, un chemisier noir qui lui comprime bien la poitrine.Je bande en attendant impatiemment qu’elle vienne jusque moi. Elle passe à gauche du lit, m’attache une main. Elle m’enjambe, laissant son sexe à seulement 10 centimètres de ma tête et attache l’autre bras au lit. Mes jambes sont rapidement fixées aux deux autres coins de lit. -Et bien. De la nouveauté pour ce soir -Tu vas te plaindre peut-être ? -Non pas du tout… Elle m’embouche délicatement, joue avec le bout de mon gland de la pointe de sa langue. Elle continue d’agacer mon gland en le passant tendrement dans le creux de sa main. Maintenant elle me suce tout en se tournant. Elle finit par venir poser son sexe juste devant moi en remuant bien ses hanches. Elle s’assoit sur moi. Je sens l’odeur de sa mouille à travers son string rouge. Elle me masse les couilles tout en me suçant. Elle finit par retirer son string et me fourre le string dans la bouche. Je me régale mais suis tout de même perturbé. Elle retire ses talons aiguilles et passe mon gland entre ses petites lèvres. Elle commence à le mettre sur son anus. -C’est ça que tu veux mon chéri. Tu veux mon cul ? -Oui. -Tu veux m’enculer, alors je me prépare. Tu ne seras pas déçu. Au lieu de cela je sens quelque chose de froid entre mes cuisses, elle m’enfonce un plug dans l’anus. Elle reste immobile quelques secondes. Le plug glisse en moi et sort finalement. Immédiatement il est remplacé par un nouvel objet froid et plus imposant. -Aie !!! -Mais non mon chéri, je suis sûre que tu aimes ça. Elle ne bouge plus et recommence quelques va et vient. Elle le sort et m’en enfile un encore plus gros, beaucoup plus gros. -Alors, tu aimes maintenant ? Tu as toujours voulu m’enculer. Moi, Je ne veux pas, mais toi, tu vas y passer ce soir. Elle sort ce nouvel élément et le pose dans ma main. Un gode lisse plus gros. Je crains le pire. Pas le temps de retrouver mes esprits que je sens un objet froid et visqueux me pénétrer. Ses cuisses chaudes m’empêchent de resserrer les jambes ne seraient que de 2 centimètres. Le gode se glisse en moi d’un centimètre, puis deux, bientôt 5. Je peux sentir une forme qui me rappelle vaguement un gland. Elle continue de me pénétrer toujours plus loin. Combien je ne sais plus, mais je le sens. Elle stoppe un peu, se déplace tout en laissant le gode à sa place et pousse un peu plus fort. Elle vient de passer le plus dur. Maintenant plus rien ne l’arrête. Elle m’encule à fond, me pince les tétons, et m’encule encore plus fort. J’aime ça, j’éjacule. Elle voit mon sperme couler. Elle ramasse plusieurs gouttes et me force à les avaler en m’enculant encore plus fort. Je n’en peux plus. Mon cul me fait mal mais j’aime ça. J’ai éjaculé. Le gode ceinture qu’elle porte est de dimension on ne peut plus respectable au moins 5 centimètres de diamètre pour 25 de longueur. -Alors, tu veux toujours m’enculer ? -Oh oui. Plus qu’avant. Mais je dois bien dire que je crois aimer être enculé. -Parfait. Jusqu’à nouvel ordre, c’est toi qui va te faire enculer, une ou plusieurs fois par semaine, ce qui ne nous empêche pas de baiser normalement. Elle m’a laissé ainsi, toute la nuit attaché pour m’enculer une nouvelle fois dès le matin. A la différence près que cette fois, elle a fini par s’empaler sur mon sexe pour jouir et me faire éjaculer en elle bien fort.
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Par : le 01/11/20
Dépucelage bisexuel Marc était connu comme on dit « à voile et à vapeur ». – Une bonne bite à sucer, de temps en temps, ce n’est pas désagréable. Me dit-il. – Oui, il faudra que j’essaie un jour… – Et te faire mettre, c’est aussi dans tes fantasmes ? – Pourquoi pas ? Il faudrait essayer. –Tu voudras que je t’encule ? – T’aimes ça une bonne bite dans le cul ? – Je ne l’ai jamais fait mais j’ai assez envie d’essayer. – Rassure-toi, je vais te faire ça comme il faut… et puis ça va être ta fête, ce n’est pas tous les jours que j’ai l’occasion d’enculer un puceau. Je ne prenais aucun risque en tenant de tels propos, Marc avait son harem féminin à peine caché et ses amis du même sexe. Peu de temps après, Il me présente son épouse, Marie est une jolie petite femme brune aux yeux malicieux. Elle est très souriante. Elle a de jolies formes. On échange quelques banalités d’usage, puis son ami Éric arrive. – Tu sais que Christophe est puceau du cul ! L’informe Marc. – Et vous allez le dépuceler ? Dit Marie. – Oui ! – Chic alors ! Marie se lève et s’approche de moi : – Lève-toi, s’il te plaît ! – Déshabille-moi ! – Que je vous déshabille ? – Oui, que tu me déshabilles ! Et puis je t’en prie laisse tomber le vouvoiement. Je n’avais pas du tout imaginé cette tournure, mais elle n’est pas pour me déplaire. Je commence donc par lui enlever son petit haut transparent en le faisant passer par-dessus des épaules. Et voila la jolie Marie, les seins à l’air. – Je n’ai pas le droit de toucher, je suppose ! – Mais si, tu peux toucher, caresser, lécher, sucer… ça m’excite et ça excite mon mari. Voilà une autorisation dont je ne vais pas me priver, je la caresse, je la tripote, je m’amuse avec ses tétons, je les mets en bouche, les suçotent un petit peu. J’ai soudain envie de l’embrasser mais sa permissivité et celle de Daniel va-t-elle jusque là ? Tactiquement je lui fais des bisous dans le cou, puis je remonte un peu, nos bouches sont très proches l’une de l’autre. Je n’ose pas, j’attends un signal. Ses lèvres s’ouvrent, c’est bon, on se roule une pelle, je bande ! J’enlève la petite jupe de Marie, elle n’avait pas de culotte et se retrouve donc quasiment à poil à l’exception de ses Dim-Up. Bien sûr, je lui pelote ses petites fesses bien cambrées, puis je me baisse pour lui embrasser le pubis. Mes lèvres s’aventurent un peu plus bas, je lui écarte ses lèvres vaginales, fourre ma langue dedans, me régale de ses sucs, puis m’attarde sur son clitoris. – Stop ! Me dit-elle, il faut que je fasse un petit pipi. Je pensais qu’elle allait se diriger vers les toilettes. Mais pas du tout ! Marie avise un compotier, en retire les deux ou trois pommes qu’il contenait, le pose par terre, s’accroupit dessus et pisse dedans. – Tu veux que je m’essuie ou je reste comme ça ? – Je ne sais pas… balbutiais-je. – Alors je reste comme ça ! Je vais m’assoir, ce sera plus pratique. Effectivement. Elle s’affale dans un fauteuil et ouvre les cuisses. – Allez, viens mon salaud, viens lécher ma pisse, fais-moi jouir, fais-moi jouir devant mon mari, et après c’est toi qui va passer à la casserole, il va bien t’enculer avec sa bonne bite. Ce déchainement de vulgarité assez inattendu ne me dérange pas vraiment et je reprends ma besogne, lapant et me régalant de l’urine imprégnant sa chatte avant d’attaquer son petit clito décapuchonné. Assez vite sa respiration devient saccadée. – Vas-y, vas-y, comme ça c’est bon ! Vas-y, ! Pendant qu’elle récupère, je m’interroge sur la suite, j’ai une envie folle de la pénétrer, mais je n’ose ! J’attends donc qu’elle me guide. – Tu m’as bien fait jouir ! Viens me faire un bisou. On y va et c’est reparti pour une nouvelle pelle bien baveuse, au terme de laquelle elle me dit : – Et maintenant tu vas aller leur sucer la bite ! Oui ! Et j’y vais. Je commence par celle de Marc. Petits coups de langues, sur la verge, sur le gland, cela me permet d’admirer la chose de tout près, une belle bite bien droite, bien tendue, bien nervurée et joliment terminée par un beau gland sombre et brillant. J’ouvre une large bouche puis me met à sucer. J’essaie d’imiter les mouvements de lèvres et de langues vus sur des vidéo coquines. Je me régale, ça me plait, aussi bien sexuellement que psychologiquement. Ce n’est quand même pas si souvent que j’aurais l’occasion de sucer la bite d’un homme devant sa femme à laquelle je viens de prodiguer un broute-minou ! – Celle d'Eric, maintenant ! Bon, puisque c’est elle qui décide, j'obéis – C’est bon, tu l’as assez sucé ! T’aimes ça sucer des bites, petite pédale ? Me dit Marie. – C’est vrai ! – Mets-toi en position, Maintenant on va t’enculer. Je n’hésite pas, je me mets en levrette, j’écarte les jambes et les fesses, j’attends… pas longtemps, mais ce n’est pas la bite de Daniel qui vient me titiller l’anus mais la langue de Noémie. Elle virevolte autour de mon œillet, je crois bien qu’on ne m’avait jamais fait ça. C’est son doigt qui maintenant a pénétré mon anus. Ça va et ça vient, je sens un deuxième doigt. – Ne bouge pas conserve la position. Ecarte bien ton cul avec tes mains. J’obéis. L’humiliation de la situation (et de la position) m’excite terriblement, je me sens chienne, c’est une découverte ! Elle chuchote quelque chose aux autres hommes et quitte momentanément la pièce. Elle revient harnachée d’un gode-ceinture. – C’est pour faire le passage ! Elle encapote le gode, en enduit l’extrémité d’une noix de gel, elle n’a plus qu’à l’approcher du trou de mon cul et à me pénétrer. Ça y est, je l’ai dans le cul, son gode. Au début ça m’a fait drôle, me demandant quel plaisir il pouvait y avoir à se faire enfiler ce genre de chose dans un orifice qui n’était pas fait pour ça. Ça ne me faisait mal, ça me gênait. Et puis la sensation a vite changé, je n’ai plus trouvé ça désagréable, et des petits frissons de plaisirs ont commencé à m’envahir. – Vas-y c’est bon, continue ! Sauf qu’elle n’a pas continué, elle s’est retirée : J’ai conservé la position, j’ai senti le gland d'Eric forcer l’entrée de mon anus, puis y entrer, s’enfoncer et m'enculer à fond. La sensation est différente d’avec le gode, d’abord, c’est vivant et puis psychologiquement, c’est autre chose, je me fais maintenant enculer pour de vrai, et cela m’excite. J’ai senti Ericjouir dans son préservatif, il a laissé la place à Marc qui l’a un peu plus grosse. Et pendant que Marc me défonçait le cul, m’envahissant à fond, Éric sodomisait Marie avec fougue. Celle-ci jappait, haletait et finit par jouir dans un cri de fauve avant de s’affaler comme une chiffe molle. En se retournant, elle ôta la capote se son partenaire et lui nettoya la bite de son sperme, manifestement elle se régalait. Marc sorti a son tour de mon cul, je n’avais pas joui, mais n’en était pas loin, c’est Marie qui me fit conclure en me prenant ma queue en bouche, avant de me rouler une pelle au gout particulier.
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Par : le 17/07/18
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Par : le 23/11/21
Ma première sodomie... avec un trans je décide de sauter le pas et me faire enculer... Mais pas par un mec, je cherche donc un trans. Je tombe sur des sites spécialisés. Je trouve une belle blonde, très grande, belle poitrine généreuse, et bite de 22 cm, autant commencer gros. Finalement je franchis le pas... c’ est une première, et pour en plus me faire enculer... La porte est entrouverte, elle m'ouvre nue, je la suis dans la chambre, regarde son cul nu... Aucun effet je commence à avoir peur...Elle est divine pour le reste, visage tres féminin, longs cheveux blonde belle poitrine, le sexe à l'air pas mal mais encore mou. Elle Me met nue et m'allonge sur le lit... Elle commence à jouer avec ma bite... Puis me demande si je suis passif ou actif, tout comme j'ai demandé de faire .Je lui dis donc passif et là elle me dit "tu attends quoi viens me sucer" je me jette sur sa bite, la branle, le sens grossi, elle m'insulte et me disant suce-moi salope! Je m'exécute, sa bite grossis dans ma bouche, elle est énorme, dure, son gland est énorme , je suis allongé nu, elle me doigte le cul. Elle me tient la tête et me force à prendre sa bite en entier dans la bouche, je ne peux plus respirer, je suis sa pute soumise, je me dégage, elle m'enfonce à nouveau sa bite énorme, elle est assise sur mo torse je ne peux absolument rien faire, je veux me branler mais elle m'en empêche. Elle baise littéralement ma bouche, je suis excité comme jamais, j'en veux encore, elle sort sa bite pleine de bave, et étale ma bave sur mon visage, elle me retourne, me bloque la tête, je sens
sa bite dans mon dos, les fesses, elle se frotte contre mon cul... Et d’un coup je sens son gland rentrer en moi... Doucement... Énorme gland qui me défonce le cul... Puis elle accélère, me baise comme si j’étais une pute, me dis des choses crues "je baise bien ta chatte anale salope, tu es une bonne enculée" je lui dis que j'ai mal. “Je suis entrain de te dépuceler le cul, j’ai une grosse bite pour t’enculer à fond comme tu dois être un peu maso, je te dresse pour que tu aimes avoir mal à chaque fois que je t’encule je veux faire de toi une vraie salope soumise qui aime se faire défoncer le cul. Elle me met en levrette et me donne des coups de reins énormes, mon anus est complètement dilaté et douloureux mais je prends quand même un plaisir monstre, elle sort, m’ allonge sur le dos, et là sa bite rentre tout seul dans mon cul grand ouvert. Maintenant tu es ma pute un véritable enculé qui aime ça et je j’enculerai à chaque fois que j’en ai envie.
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Par : le 20/06/22
Un jour, j'ai fait connaitre le plaisir anal à mon amant.
J'ai commencé par lui caresser l'anus pendant les fellations et il s'est laissé faire , il faut dire que lui me léchait l'anus pendant les cunnis et que j'avais accepté la sodomie dès nos premières relations sexuelles, je lui avais demandé si il avait eu des relations homos, il m'avait répondu qu'il n'était pas du tout attiré par les hommes, j'avais rajouté que si cela le gênait, je ne lui toucherai plus les fesses, il m'avait dis que non, qu'il aimait bien, fait par une femme. 
Un jour, pendant une pipe, je lui ai demandé d'écarter les jambes pour lui lécher les testicules, il adore, et ma langue a glissée dans sa raie que j'ai léchée de tout son long en m'attardant sur son petit trou qui ne s'est pas contracté et j'en ai profité pour le masser en cercle en le lubrifiant avec de la salive. 
Il s'ouvrait sous mes caresses, j'ai raidie ma langue et l'ai fait pénétré dans son orifice, je le branlais d'une main et lui écartais les fesses de l'autre, il avançait le bassin à la rencontre de mes pénétrations, ce qui me fit passer au niveau supérieur de l'initiation au plaisir anal, le doigtage. 
Couvrant mon index de salive, je le fis pénétrer doucement dans sa rosette de puceau, il eu un sursaut et je lui demandais s'il voulait que j'arrête, il dit non, je dis tu aimes?, il bredouilla, gêné, que oui, alors la, je lui annonçais d'une voix suave, que j'allais l'enculer avec mes doigts, il ne dit rien et je demandais, tu veux que je t'encule?, il dit oui, et je lui enfonçais entièrement mon index, et je commençais des vas et viens dans son sphincter tout en continuant à le masturber. 
C'était serré, sa rondelle vierge ensairait mon doigt, je déposais de la salive dessus et mon index coulissa mieux, je le ressortis pour aussi le lubrifier et mon majeur aussi et lui enfonçais les deux doigts dans son cul, doucement, il poussa un râle de douleur et de plaisir mélangés, j'enfonçais toujours et lui dit de pousser pour détendre son sphincter, il poussa et mes doigts le pénétrèrent entièrement, j'enculais un homme, je mouillais comme une chienne et me frottais la vulve sur les plis des draps pour me donner du plaisir, j'animais mes doigts dans son anus, les écartant, les vrillant, je les retirais et les renfonçais, je sentis sa queue palpiter, j'accélérais le vas et viens, il cria et son sperme gicla très haut, plusieurs jets, son anus s'est resserré autour de mes doigts pendant l'éjac et je l'ai limé à fond, j'ai jouie de le voir jouir. 
Depuis, nous sommes passés aux pénétrations avec vibros puis godes ceinture, une fois je lui ai mis un concombre devant une amie qui voulait savoir comment faire avec son amant, cela l'a vraiment excité de se faire enculer devant une femme, et je lui ai demandé de se faire dépuceler par un homme bien qu'il soit hétéro, il faut qu'il connaisse le plaisir d'une vraie bite dans l'anus, ça n'a rien à voir avec un gode, et j'espère assister à cela, pour vraiment le soumettre et en faire une vraie lopette.
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