Voilà, je rentre dans ton histoire "esclave à Syracuse" . Magie des mots, des écritures automatiques. Je te vois près des bateaux en train de te laver les jambes. Tu es si belle, les marins te sifflent, j'enrage. Tu es vraiment une salope de Syracusaine, belle et fière toujours le dos bien droit et ce défi permanent et très provocateur. Du style ;
Tu causes où tu me baises ?
C'est mon ressenti, ce côté libre chez toi. Tu es mon esclave, mon butin de guerre et pourtant tu me défies en permanence. Et cela m'excite et me fait bander. Tu mérites une bonne baffe pour te faire baisser les yeux et courber l'échine. Tu me résistes. Les marins se moquent de moi.
-Sort le fouet. Ces syracusaines sont toutes des salopes. Il faut les dresser au fouet.
Je déteste te donner le fouet. Tu le sais, tu le sens. Tu sais aussi que je suis tombé amoureux. Tu es vraiment une belle salope. Cela t'amuse et tu t'en sert contre moi. Pas facile de t'imposer mon autorité. Et toujours cette envie de te troncher.
Je te mène par les cheveux dans ma tente. La lutte commence. Tu résistes mais tu ne fait pas le poids. Je t'immobilise et remonte ta tunique. Quel beau cul tu as. Bombé, musclé, serré. Je t'empale d'un coup. J'ai trop envie de toi. Je sens que tu te cabre, que je te fais mal. J'aime forcer tes reins, ma façon de te marquer. Je ne bouge plus. Je t'écrase de tout mon poids. Tu te défends, tu gemis. La douleur passe. Je commence à te troncher de toute ma puissance. Je sens que tu prend du plaisir. Mais tu ne veux pas me l'avouer. Ta chatte est complètement fermée. Peut être une anomalie de naissance. Par contre ton petit clito est hyper sensible. Je passe ma grosse main sous toi et je le caresse doucement pendant que je t 'empale. Tu jouis encore et encore. Tu enrage parce que tu jouis et que tu ne peux pas résister à ces vagues de plaisir qui te secouent et te submergent. Tu lâches enfin prise. Tu sens si bon la femme quand tu jouis. J'explose à mon tour dans ton cul. Je lâche tout. J'hurle un violent orgasme. Les autres soldats rigolent dehors près de la tente.
J'ai faim. Baiser me donne toujours très faim. Tu me prépares un bon repas. Tu me sers et reste debout derrière moi. Je mange avec plaisir. Le vin de Sicile est très bon. Je te laisse finir les restes. Tu as très faim aussi. J'aime te voir manger. Tu respires la vitalité et la vie. Tu vas survivre à cette guerre. C'est un ressenti étrange. On sent qui va s'en sortir et qui va y rester. Je sais que je vais y rester. Il me reste si peu de temps à vivre. Tu sens mon inquiétude. Tu me proposes d'aller marcher. Je te prend par la main. Tu n'es plus mon esclave mais ma compagne. Oui, je sens que je t'aime très fort.
Parfois tu prend ma main et pose des baisers dessus. Tu n'es pas domptée, je te sens toujours si fière et rebelle à toute autorité. Nous nous asseyons. Tu viens entre mes jambes et tu te te loves dans mes bras. Nous parlons de tout et de rien. Je sens combien nous sommes proches en esprit. Nous faisons bien partie du même groupe d’âmes. Il n'est pas besoin de mots pour nous comprendre. Je te respire. J'aime ton odeur. Il est temps de rentrer. Nous avons fait l'amour tard dans la nuit. Comme si je voulais garder ta mémoire.
Au petit jour, je suis parti sans un bruit. Je me suis équipé dehors pour ne pas te réveiller. Adieu belle Syracusaine. Je sens que c'est mon dernier jour. Une si belle journée pourtant. Le ciel se couvre de rose et de safran. Il me faut rejoindre les premières lignes, la bas, sur les epipoles. Les rangs sont formés. En face les syracusains sont déjà alignés. Gylippe les passe en revue. Ce général spartiate n'est pas du genre locace, c'est plutôt un adepte du bâton. Il est redoutable. Un soldat mal aligné et son bâton le frappe avec une violence incroyable. Les Syracusains ont visiblement très peur de son bâton.
La bataille commence. Les Syracusains veulent nous empêcher de terminer notre mur pour encercler leur ville. Une bataille à mort. Surtout ne pas fléchir et perdre la ligne. Le choc est voilent. Boucliers contre boucliers. Tuer ou être tué Gylippe a repéré notre point faible. Il envoie ses meilleurs soldats à cet endroit là. Notre stratège ne réagit pas assez vite. La ligne commence à se disloguer. Nous reculons. Je n'ai pas vu la mort venir. Un coup de lance dans ma gorge, juste au dessus du bouclier. Je suis tombé avec fracas. Mes seules pensées, ...ton si joli cul , tes yeux de braise et ton odeur. Adieu...et qui sait dans une autre vie.
.../....
Mon ressenti après cet essai...je fais bien partie de ton groupe d'âmes. C'est pour cela que je peux entrer dans ta régression.
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