par ViktorLyon
le 05/09/20
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Sa queue me semble hors norme. J’ai déjà sucé deux beaux membres, ceux des deux livreurs à qui m’avait offert Maîtresse Caroline. Mais là c’est un autre calibre. Je l’embrasse du bout des lèvres, le lèche à petits coups pour en appréhender toute la grosseur. Je ne saurais décrire le désir trouble qui m’étreint à ce moment là, accroupi dans les toilettes, habillé comme une chienne bonne à baiser, enchaîné aux tuyaux par mes étudiantes dominas. J’ai envie de donner du plaisir à cette queue qui s’offre à ma bouche. Et la Maîtresse du soumis que je suce ne manque pas de le remarquer :
-Mais c’est que tu as bien progressé dis-moi. J’avais vu que tu aimais ça sur la video. mais là je suis impressionnée. Tu es devenue une vraie pro de la suce… !!!
Christelle, c’est bien sa voix que j’avais reconnue. Ma Maîtresse, ou plutôt mes Maîtresses, mes étudiantes dominas, c’est une chose. Mais elle…. Peut-être est-ce parce qu’elle appartient au personnel administratif de l’école, peut-être parce qu’inconsciemment je la considère plus comme une adulte. Je ne sais pas, mais le fait qu’elle me domine, et surtout qu’elle sache qui je suis vraiment m’humilie avec une intensité inégalée. Ses mots me brûlent et me transpercent. Et si les larmes perlent à mes yeux, ce n’est pas uniquement à cause de la colonne de chair qui me fouille la gorge.
Je me concentre entièrement sur ma fellation, comme pour oublier mon humiliation, la chasser de mon esprit. J’ai envie de donner du plaisir à cette queue, je veux la faire jouir. Je veux son miel, comme une victoire pour la petite salope en chaleur que je suis devenue grâce à mes Maîtresses, mes étudiantes dominas. Mais ma Domina perverse n’est pas de cet avis.
Christelle ordonne à son soumis de se retirer de ma bouche et à moi de me redresser, face au mur, cul bien offert et cambré :
-Il est temps de donner du plaisir à sa petite chatte… Vas-y, encule là, elle n’attend que cela, n’est pas la chienne ?
Silence. Ma réponse tarde. Quelques secondes de trop pour Maîtresse Christelle. Ainsi, elle attrape mes couilles entre mes cuisses et serre :
-Je t’ai posé une question salope…!
Je gémis de douleur.
-Tu as envie de te faire enculer ?
J’articule difficilement un
-"Oui Maîtresse ! "
-Demande-le mieux que cela au mâle qui va te baiser la chatte. Tiens retourne toi, frotte toi contre lui comme une bonne femelle en chaleur. Montre lui que tu en crèves d’envie. Caressez-vous et embrassez vous les putes, j’ai envie de vous regarder. Excitez moi bien mes salopes !!!
Son soumis m’attire à lui et fourre sa langue dans ma bouche. Les hommes ne m’attirent pas. Ne m’excitent pas. Et je n’ai jamais ressenti le désir d’embrasser un homme, de caresser amoureusement, avec un désir intense, leur corps. Seule l’idée de soumission à une queue m’excite. Toucher, caresser, embrasser, sucer une queue cela fait bouillir mes sens. Me comporter avec un homme comme je sais me comporter avec une femme, j’en suis incapable. Aussi, j’ai un mouvement de recul qui n’échappe pas à Maîtresse Christelle.
La réaction est cinglante, sous la forme d’un coup de cravache brutal sur mes fesses. Suivi par sa voix, dure bien que murmurante, à mon oreille :
-Si je veux que tu sois sa femelle amoureuse, tu deviens sa femelle amoureuse… ne m’oblige pas à enlever ta cagoule et à te laisser visage nu pour l’heure qu’il te reste à passer ici. Tu as vraiment envie que tout le monde sache ?
-Non Maîtresse, pitié, s’il vous plaît….
-Alors à toi de jouer ma chienne !
Je pose mes mains sur la taille de mon « amant » et je viens me coller à lui. Maladroitement, je pose mes lèvre dans son cou. Ensuite, je laisse mes mains descendre sur ses fesses, je frotte ma queue contre lui. J’ai envie de sexe, vraiment envie. Et cette envie s’ajoute à la peur que j’ai de voir mon identité révélée. Elle la dépasse même, rapidement. Les encouragement de Maîtresse Christelle m’y aident beaucoup :
-Hmmmm bien… frotte toi bien contre lui, embrasse-le… suce ses tétons pendant que tu le masturbes, il adore ça…. c’est bien ma salope, laisse toi aller totalement. Tu es une femelle qui a envie de son étalon black. Dis-lui…..
Je suis en plein délire sexuel. Envoûté par la voix de Maîtresse, submergé par mon désir de cul, par mon besoin de cul. J’embrasse à pleine bouche, je joue de la langue avec la sienne, je la laisse descendre sur sa poitrine, je caresse ses fesses, ses couilles, je branle sa queue tout en lui disant mes envies.
-Baise moi… je veux ta queue dans ma chatte, encule moi… hmmm viens, je veux te sentir… je suis ta pute… fais moi jouir, ouvres moi… remplie moi de sperme… j’ai trop envie.
J’entends vaguement Maîtresse Christelle gémir de plaisir. Elle doit se caresser en se délectant du spectacle. Je me retourne et je tends mon cul vers son soumis, une main appuyée au mur, l’autre tenant sa queue maintenant recouverte d’un préservatif pour venir caresser mon œillet avec son gland. Il est si gros. J’ai peur d’être déchiré mais j’ai besoin de me faire baiser. Avec la cagoule qui préserve mon anonymat, mes Maîtresses me permettent de plonger au plus profond de mes fantasmes. Je n’aurais jamais été capable de leur avouer, de vive voix, face à elles.
Mais là, plus rien ne me retient. Je peux les vivre, mettre à terre toutes les barrières psychologiques et morales qui sont encore en moi. J’ai réellement envie de lui. Le contact de la douceur de son gland sur mon anus m’électrise. Je sais que je vais souffrir lorsqu’il va me pénétrer, mais le désir est si fort.
-Baise-moi !
Ses mains ouvrent mes globes et je sens sa pression. Lentement il m’ouvre. Je gémis de douleur, laisse échapper un cri. Maîtresse Christelle approche son visage du mien. J’entends ses halètements qui s’accélèrent.
-Prends-le.. allez ma chienne, tu en as trop envie… ouvre toi pour lui !
Son gland franchit le barrage de mon anneau. Et il me pénètre lentement, jusqu’à la garde, encouragé par mon long gémissement ininterrompu. De douleur et de plaisir, je ne sais plus. J’entends le plaisir de Maîtresse Christelle qui augmente. Au fur et à mesure que son soumis me baise plus vite, plus profondément. Ma Domina l’exhorte à me pilonner sans aucune retenue. En appui, les deux mains contre le mur, je subis cette sodomie violente, cette possession totale. Maîtresse jouit longuement alors que mon amant se déchaîne. Elle reprend son souffle et lui dit de se retirer. Sensation unique de vide. Elle lui arrache sa capote et lui ordonne de se branler pour décharger sa semence sur le sexe délicat de ma Maîtresse. Il jouit rapidement en grognant de plaisir. Puis Maîtresse plaque ma bouche sur ses lèvres maculées de foutre :
-Nettoie-moi, et fais moi jouir encore !
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
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Je suis toujours surpris qu'une femme s'abandonne à mes désirs. C'est pour garder cet émerveillement devant cette offrande que je me suis arrêté pendant des années. Car dominer C'est aussi savoir donner à sa soumise, de son temps, être créatif, empathique, l'amener à aller au delà de ses limites en respectant ses intimes frontières. C'est aussi se connaître et savoir que dominer n'est pas que hurler des incantations. Et le sourire d'une soumise épanouie...
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Lorsque la porte s’ouvrit, je découvris une Femme au sourire élégant, talons hauts, jupe classique, pull bleu marine, bas mortels. Elle m’accompagna au salon et m’invita à m’installer dans un fauteuil vert velours. La bouteille de whisky était déjà posée sur la table en verre, les glaçons commençaient à fondre dans la pomme, et Elle remplit deux verres du liquide ocre, avant que j’ose demander de ne pas me rajouter de glace, préférant ne pas diluer l’alcool dans une eau à deux degrés.
L’effet du premier verre fut immédiat. Je n’étais plus maître , ni de mes pensées, ni de mon corps tout entier. J’avais encore la force de me déplacer, en claudiquant, lorsqu’Elle me demanda de La suivre dans le jardin, mais Elle s’était déjà dédoublée. La substance qu’Elle avait ajoutée me rendait impuissant, mais docile.
L’arbre était un chêne. Elle m’y appuya, et me noua autour du tronc dont le diamètre était digne d’un séquoia yosémitique. Le bâillon terminait son œuvre. Elle recula, mains sur les hanches, et m’admira, fière de Sa proie. Je m’endormis.
Le seau d’eau provoqua un réveil douloureux. Mais j’avais alors retrouvé la vivacité de mon esprit, sans retrouver la mobilité de mes membres. Elle me montra Sa paire de ciseaux, son décolleté plongeant, et découpa soigneusement tous mes habits. Il Lui fallut moins de cinq minutes pour me dévêtir entièrement. Elle commença par prendre des photos, et appela Son amie qui était restée dans la véranda.
Elles me regardaient tout en se demandant ce qu’Elles pourraient faire de ce corps nu et frémissant. Elles commencèrent par cueillir quelques bouquets d’orties, et les accrochèrent à la corde aux niveaux les plus sensibles de mon anatomie. Je picotais et haletais. Elles riaient. Lorsqu’Elles commencèrent à s’agacer de mes ronronnements lourds et suppliants, Elles me giflèrent chacune à leur tour. Son amie était en fait ma voisine. Je La connaissais bien. Elle s’approcha de moi, déboutonna Son chemisier, dégrafa Son soutien-gorge, et me montra Sa superbe poitrine, que je regardais très souvent indiscrètement lorsque je La croisais en rentrant chez moi. Elle m’assura que jamais je ne pourrais L’effleurer ou La toucher. Et que je méritais par contre clairement les sévices qui m’attendaient pour L’avoir regardée aussi souvent impunément.
Elle me chuchota à l’oreille que c’était l’été, que la nuit n’était pas trop fraîche, que j’allais pouvoir rester ainsi toute une semaine, attaché à un arbre qui pouvait supporter mes somnolences. J’allais en baver. Elles viendraient me nourrir, me griffer, me chatouiller, me gifler, me rire au nez, me tourmenter, me branler, m’empêcher de jouir, se caresser devant moi, et pleins d’autres idées qui qui viendraient alors à Leur esprit en effervescence.
Lorsqu’Elles partirent, ce qu’Elles ne savent pas, un sourire se forma sur mes lèvres. Un vrai sourire. J’aimais ça.
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Le voyage en train n'est pas franchement long, mais à force de voir le même paysage défiler, il devient lassant. Bien que la journée eut été remplie, Il a hâte de rentrer ... et le plus tôt sera le mieux.
Le paysage, comme celui de hier, continuer de défiler sous ses yeux. Non, il n'a pas changé et même si, aujourd'hui, il fait beau, le paysage est toujours le même.
En scrutant de loin sans plus d'attention une ligne à haute tension sur une montagne, Son regard la suit descendre dans ce vallon, passer ensuite la crête, remonter la pente, survoler la falaise et, au final, se cacher sur l'autre versant pour finir quelque part, tout comme elle a démarré : quelque part.
L'imagination prend le relais pour voyager ailleurs ....
Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque.
Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent.
" Veux-tu prendre un verre avant de manger ?
- Volontiers, lui répond-il."
S'asseyant dans le divan, Il attend qu'elle vienne lui servir ce verre de Muscat qu'Il savoure de temps à autre. En cette fin de journée, ce n'est pas pour lui déplaire, au final. Pour elle, elle se choisit un jus de fruit.
Quand elle vient avec les verres, Il sort un oreiller assez large qu'Il dépose devant Ses jambes et lui débarrasse ses mains.
"Installe-toi ici, devant Moi".
Une petite hésitation mélangée à de la surprise, puis elle se met à genoux. Il lui rend son verre. Passant Sa main pour lui caresser sa nuque et la joue, chose qu'elle apprécie grandement, Il lui dépose un baiser sur le front et un autre sur la bouche.
" A la tienne, Hestia
- A la vôtre, Maitre".
Un tchine et les verres se dégustent. Mais il n'est pas encore vide qu'Il se lève, en laissant Sa main sur son épaule de manière à ce qu'elle ne bouge pas et s'éloigne.
Docile, et curieuse de cette tournure des événements, elle patiente.... pas très longtemps.
De retour, Il s'est débrouillé pour revenir en cachant ce dont il était parti prendre.
En s'asseyant à nouveau en face d'elle, Il lui dépose un nouveau baiser sur le front.
" Voulez-vous passer à table ? C'est prêt.
- Non, je préfère passer directement au dessert."
Sur ces mots, Il lui dépose un bandeau sur les yeux ainsi qu'un nouveau baiser sur la bouche. Puis, avec les 2 mains, Il lui caresse à nouveau le côté de la tête et la joue.
Le Voyage débute ...
Un tintement d'objet plus ou moins familiers et confus résonnent dans ses oreilles, mais très vite, elle devine ce qui a été sorti sur le canapé.... et fixé à ses poignets. Les attaches en cuir s'enroulent comme des prédateurs de plaisir et se lient intimement l'un avec l'autre.
A nouveau, les mains, plus fermes, passent dans ses cheveux. Mais cette fois, la réalité sous le bandeau devient volupté et celle-ci se transforme. Ce qui devait être un classique dîner entre 2 amoureux devient .... Son esprit prend son envol...
Les baisers qu'Il dépose sur ses lèvres et son front migrent vers son cou, décuplant les effets de plaisir. Ceux-ci restent de moins en moins emprisonnés et s'échappent via des petits soupirs et des rictus si particuliers et si amoureux.
Une surface fraîche sur ses lèvres, c'est son verre qu'Il dépose afin qu'elle continue son apéritif. Il est devenu dérisoire au regard de ce qui va arriver, mais boire le verre aveuglément que lui donne Son Maitre fait partie de ces gestes si intimes, et si symboliques à la fois....
Elle boit tranquillement, jusqu'à la fin. Mais à peine terminé, une Main saisit toute sa tête et la dirige vers le bas, sur Sa cuisse. Se réajustant, elle y prend position pendant que Son Maitre savoure son verre .... bien que ce ne soit pas le verre en lui-même qu'Il apprécie particulièrement.
La tête de Sa soumise sur Sa jambe. Si enfin le Lacher Prise pouvait survenir et Les Libérer ... De Sa main, des petites caresses parcourent la joue de Hestia qui répond par des petits soupirs apaisés, et gourmands pour certains.
Il prend son temps, tout comme Il lui fait prendre le sien.
Les 2 verres terminés et reposés, Il joint Ses 2 mains pour lui caresser toute la tête, comme il lui plaît. Les gémissements et les petits mouvements de plaisir ne se font pas attendre.
Puis, Il lui redresse la tête.
" Qui es-tu ?
- Je suis Votre soumise, Maitre"
Un autre tintement métallique familier résonne et une sensation de frais entoure le cou de celle qui se laisse d’avantage glisser vers la Liberté : son collier de séance.
Aussi noir que le bandeau, la suite des événements est toute autant imprévue. La soirée ne fait que commencer....
Le collier est à peine fixé que Sa main saisit sa mâchoire pour forcer son ouverture; une large boule est fourrée dans sa bouche, les lanières sont bien serrées, ses bras sont libérées et elle doit se lever.
Contrastant avec l'extrême douceur d'il y a quelques minutes, les vêtements sont retirés assez rapidement. Puis, une main ferme la fait asseoir là où Il était assis.
Cette fois, c'est pour habiller son pied d'escarpins qu'elle connaît aussi très bien. Les charmes ou les avantages d'avoir son Homme et Maitre fétichiste de ces accessoires...
Quoi qu'il en soit, elle retourne à nouveau sur son coussin, face à Lui, les yeux bandés, bâillonnée et les mains attachées.
"Ma soumise se tient droite". Ces mots sont prononcés alors que 2 mains la saisisse pour la redresser.
Posture droite, peut-être pas la plus confortable des positions, mais il y a le coussin.
Posture droite, offerte, surtout. Peut-être des cordes auraient parcouru son Corps afin d'être bien présentée. Mais Il avait décidé de faire ainsi.
Posture droite, c'est ainsi qu'Il la regarde, l'admire, la savoure. Confortablement assis dans le canapé, Il goûte à ce moment unique de Partage et d'Abandon à la fois.
Elle sait qu'Il est fier d'elle. Très fier. Alors, elle soigne sa posture autant pour satisfaire Son exigence et Plaisir que pour son propre plaisir monté en flèche.
Celui-ci grimpe d'avantage quand elle ressent des bouts de doigt titiller le bout de ses seins. Mais c'est sans commune mesure quand c'est Sa langue qui vient englober le téton et le lécher avec une envie passionnée. Là, plus question de faire attention à sa posture.
Une main lui saisit la tête la forçant à rester droite, tandis qu'une autre parcourt son Corps pour qu'il reste droit. Les gémissements augmentent au grès des torsions de son Corps qui ne parvient finalement pas à rester droit. Les tétons sont devenus durs sous l'effet de cette langue qui ne laisse aucun répit.
Si elle cesse un moment, c'est pour recommencer de plus belle sur l'un ou l'autre téton. Gauche ou droite, il est loin le moment où il fallait rester droite...
La baillon retiré lui laisse enfin la possibilité de respirer à fond. Ses seins, léchés, titillés, caressés lâchent tout un flot de sensations parcourant tout son Corps, plié et torsadé de Plaisir.
Un autre cliquetis métallique familier résonne au niveau de cou et sa tête est alors tirée vers l'avant, soutenu par une Main. Ce qui est aussi son objet de Plaisir s'enfonce dans sa bouche. Le sexe de Son Maitre est déjà bien en forme; il a eu tout le temps d'être excité par ces précédents préliminaires.
A présent, seule la laisse la retient. A genoux, elle s'affaire sur Son Membre et, à son tour, peut déguster les gémissements lâchés par Son Maitre. Plus discret qu'elle, Il n'en éprouve pas moins de Plaisir et lui fait savoir par les caresses plus ou moins contrôlées qu'Il lui fait sur la tête et par les ondulations de son Corps lui-même.
Paradoxalement, sans mains, le Plaisir est tout aussi au rendez-vous. C'est un Voyage de Partage, Echanges, chacun jouant de ce qu'il lui appartient chez l'autre en s'offrant d'avantages pour fait grimper d'avantage ce Plaisir déjà très haut.
Déjà trés haut, presque trop pour voyager encore plus longtemps.
D'un geste de main, Il arrête son va-et-vient de sa tête ce qui lui permet de reprendre son souffle.
Que fait-Il ? La regarde-t-il pour mieux la Dévorer ? La contemple-t-il ? La savoure-t-il ? Ou prend-il juste le temps avec sa soumise devenue Son Plaisir, Son Jouet.... Des 2, l'esprit est tout autant embrouillé par les vapeurs de Plaisir entrée en ébullition pendant cette fellation.
Une simple pause pour faire retomber la pression et mieux ré-attaquer après. Qu'est-ce que va suivre ....
D'un coup, 2 mains lui plaquent la tête contre Ses jambes. Il s'est relevé et la ainsi pénètre sans crier gare. Cette fois, c'est Lui. La tête est maintenue fermement, subissant les va-et-vient rapides de cette queue devenue aussi large que dure. Il ne lui laisse aucun répit. Le Plaisir est encore monté d'un cran quand Il la relâche enfin, laissant sa bouche tranquille après cette baise.
Elle reprend sa respiration, mais c'est de courte durée. Ses tétons sont pincés pour la forcer à se redresser et à libérer son sexe. Il est très mouillé quand Il loge un doigt sous les lèvres et chatouille le clitoris. Un coup de fouet de sensations parcourent son Corps devenu ainsi très sensible et elle lâche un nouveau gémissement. Il est de courte durée, une main ferme la rebaillonne à nouveau. L'autre main continue de caresser le clitoris et soudain... un des tétons reçoit l'assaut d'une langue bien connue et trés gourmande. Le chemin vers l'orgasme se réduit, la fin n'est plus bien loin.
Subir de plaisir, parce que le Voyage n'est pas terminé....
Enfin la position à genoux est terminée. Son Maître la relève et elle peut dégourdir ses genoux. Mais tout son Corps est en extase et aimerait bien ne pas rester debout....
Une pression sur sa laisse l'amène peu à côté et attend. Pas très longtemps, un autre cliquetis très familier la fait frissonner. Ses mains sont attachées devant cette fois, ne laissant plus aucun doute sur la suite du programme.
Le "claque" si caractéristique et si excitant résonne dans toute la pièce. Son sexe ne peut plus retenir toute l'humidité à ce niveau d'excitation.
Le second "claque" est plus proche. Il n'y aura pas de 3ème mais une piquante sensation zèbre ses fesses, suivie d'une autre, plus bas. Fouettée, elle reste docile, se contraignant à l'immobilité et savourant cet autre instant plus qu'unique. Elle aurait préféré être totalement attachée à une croix de St-André ou un autre support pour savourer d’avantage du Serpent, mais il n'y en a pas ici.
De toute façon, ça n'empêche pas la lanière de cuir de zébrer sa peau sur un côté puis un autre, inscrivant des marques rouges piquantes. De l'autre côté, Il prend un Plaisir tout aussi intense, différent, de diriger ce Serpent sur elle, infligeant toutes ces marques de Plaisir. Il le fait durer. Le Corps de sa soumise tressaille de douleur bénite et de Plaisir à chaque coup de fouet. Plus il rougit, plus il devient sensible et meilleur c'est. Elle est en plein voyage, Il le devine par ces petites mimiques de son Corps et ces gémissements. Il s'arrête. Il s'approche d'elle et fait serpenter le fouet sur sa poitrine, ses hanches, vers son cou... Petit à petit, il prend possession de ce Corps qui n'appartient plus à sa soumise, elle même partie en Voyage dans un monde de volupté, Liberté.
Ce spectacle, Il aime le contempler. C'est contre Lui que son corps, chauffé par ce fouet, s'abandonne, couvert de sueur et d'une multitude de marques. Après avoir joué avec ses seins, Il repart jouer à nouveau du Serpent. D'autres zébrures se rajoutent, accompagnés d'autres gémissement de Plaisir. Il n'existe plus de temps, ni d'horloge. Seul le claquement du fouet sert de repère; le Corps rougit d'avantage, devenant brillant par la sueur discrète.
Il préférerait d'avantage la voir encore plus libre de ces gestes si une structure lui permettait d'attacher sa soumise. Elle pourrait se laisser aller librement à chaque claque. Mais ce Cadeau, Sa soumise qu'Il fouette, Sa soumise qui s'offre à Lui est déjà inestimable qui n'a aucun équivalent. Tout comme un joyau sacré, Il prend soin de magner le Serpent pour apposer uniquement ces marques et douleur de Plaisir. Chose qu'elle lui rend bien par ces gémissements et ces torsions.
Nouvelle pause, Il la saisit à nouveau pour l'accroupir face à Lui. Une nouvelle fellation est imposée, plus brute. Jouant avec son propre "feu", Il est proche de l'orgasme. C'est un défi de Plaisir. Puis, à nouveau, sa langue part taquiner les tétons, à présent bien plus que sensibles. Elle manquerait de perdre l'équilibre parcourue par cet électricité de Plaisir. Malgré ces gémissements, ces frémissements, Il continue à jouer de ces seins, et encore plus.
Pourquoi s'arrêter ainsi ......
Il fait partie de ces moments uniques. Celui où le Corps est en ébullition, l'Esprit embrumé dans des vapeurs de volupté et de bien-être. Sans atteindre le « Sub-space », ils sont tous les 2 dans leur Univers, leur coquille. L'une s'abandonnant à Lui, Lui menant la danse, les 2 savourant et échangeant le moindre fait, son, le moindre contact ou odeur, le moindre …. tout pour prendre son pied et en offrir autant voir plus à l'autre.
Le Graal n'est plus bien loin.
L'Esprit n'est en mesure que de subir pour Elle. Quant à Lui, il lui reste une portion de lucidité pour la suite du programme. Enfin..... quel programme....
Tout ne s'est pas passé franchement comme prévu.
Comme Il l'avait voulu, elle s'est bien mise en position « Offerte » et Il avait pris le temps de savourer ce moment. Moment trop rare à Son goût.
Ensuite, il devait y avoir les cordes. Mais si celles-ci devaient sublimer le Corps de sa Fierté, elles allaient gêner les morsures du Serpent. Et, aujourd'hui, sur le coup, le Serpent avait gagné sa faveur.
C'est très fréquent que le programme change en cours de route. Ce n'est pas pour déplaire. Cela donne l'impression d'être devant un immense et magnifique buffet auquel on veut goûter à tout..... sachant que cela ne sera pas possible d'un coup et que le choix du meilleur est à faire.
Pratiquement rassasié « de force », Il s'offre une pause. Une pause aussi pour elle, en Voyage quelque part au 7e Ciel. Il la contemple. Quelle beauté de voir sa soumise en extase, lâchant prise de tout.
Quelle sensation étrange parcourt son Esprit... La volonté d'emmener encore plus loin sa soumise dans ce monde merveilleux, et plus longtemps en utilisant des manières, des accessoires violents, quitte à violenter son Corps. Cet extase qu'Il lui offre ne serait-il pas assez puissant comme cela ?
Ce sont pourtant ces sensations, ces envies si puissantes, paradoxales qui font ce qu'ils sont et de dont ils se sont rencontrés. Moment trop rare de séances et de sueur, le Graal est très proche, mais l'atteindre signifierait la fin de la quête, toute aussi jouissive que le décrocher.
Une pause.... qui cesse enfin.
Jetant un plaid épais par terre, Il dispose Sa soumise par terre, à 4 pattes, accompagné de quelques fessées. Les quelques zones restées encore blanches rougissent entre 2 marques de fouet. Tout est pratiquement rouge sur ce Corps à nouveau offert.
« Tu vas pouvoir crier » et s'installe derrière elle. Au comble de l'excitation, Il n'a aucun mal à s'installer en elle au son d'un fort gémissement. A Lui, elle s'offre aux coups de bassin. Son intimité déborde de Plaisir, assoiffée de ce Sexe attendu, voulu et enfin au rendez-vous. Instant magique de bouillonnement des esprits et corps déjà brûlants.
Les va-et-vient s'accentuent, accélèrent, les mains glissent sur la peau. Vite, attraper les épaules et s 'enfoncer d'avantage dans cette Chatte des Plaisirs, le Graal approche, des cris, le cœur s'emballe, les gémissements …
Le train s'est immobilisé le long du quai. Un trou du c.... heuu, passager tente de forcer le passage encombré par le vélo qu'il suffit juste de sortir pour dégager la voie...
Arriver à la maison est très rapide.
Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque.
Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent.
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Par : Lady Spencer
Je publie ce texte datant de 2003, car je le trouve extrêmement bien expliqué et précis : sans doute, certaines évolutions seront à relever, alors n'hésitez surtout pas à apporter vos commentaires : merci à vous
nb : pour les puristes de l'écriture, il est écrit "Maitre" et "soumise" et jamais "Maitresse" et "soumis" : juste une facilité de langage mais tout se comprendra pour tous les genres
"Pour le grand public les fouets sont, avec la cravache, le symbole sulfureux d'une relation BDSM. Certains Maîtres les réduiront a l'état de triste substitut phallique d'une libido vacillante alors que d'autres sauront leur donner vie pour en faire les catalyseurs de cette alchimie entre douleur et plaisir.
Signal whip
Les single-tail , ou simple lanière
http://mehere.free.fr/alamut/photos/fouets/le_squale/single_tail.gif
Les single-tail sont les fouets mythiques du BDSM. Qui n' a pas rêvé devant l'image de la soumise attachée sur la croix de St André le dos zébré par les assauts répétitifs du single tail de son Maître. Mais ceux ci, comme une formule 1, sont les plus beaux les plus racés, les plus puisant entre des mains expertes, entre des mains inexpérimentées ils devient approximatifs et dangereux.
Qu'entend-on par single tail ?
Comme leur nom de simple lanière l'indique, ceux ci, a la différence des martinets, se terminent par une seule lanière. Ils sont constitués de 4 parties :
La poignée : soit en bois, soit une tresse de cuir et qui fait la différence entre les différents types de fouets.
Le corps : est une tresse d'étroites lanières de cuir, 8 ou 16 en général, entourant une âme centrale constituée, pour les fouets de qualité d'un fouet de 4 ou 8 lanière et de simple papier journal dans les fouets de basse qualité. Plus le nombre de lanières est élevé plus le fouet est nerveux et précis.
La queue : ou tombant, simple lanière de cuir fichée dans le corps (australian fall) ou en continuité avec la tresse externe du corps (american fall).
Le cracker : plumeau en nylon ou sur certains fouets en kevlar, c'est lors de son passage du mur du son que se produit le bruit caractéristique du fouet.
Ces fouets sont en général en peau de vache, les meilleurs étant en peau de kangourou. Mais d'autres cuir peuvent être utilisés en fonction des pays. La fabrications des single-tail est complexe; elle demande temps et savoir faire et ne supporte pas la médiocrité - ce qui en fait des objets de prix.
La grande famille des single-tail
Fouets de travail a l'origine leur forme et leur structure a été déterminée par l'usage auquel ils étaient destinés comme par la région où ils étaient fabriqués.
Bullwhips : A l'origine utilisé pour le bétail, ou par les planteurs Texan sur leurs esclaves, c'est le fouet d'Indiana Jones. Ceux-ci ont un manche rigide en général entouré par la tresse externe du corps. La queue est soit de type américain soit de type australien . Le cracker est le plus souvent attaché a la queue par un noud, ce qui permet un remplacement facile.
On différencie donc plusieurs types de bullwhip : australian bullwhip et american bullwhip (des différences existant entre les american bullwhip faits aux USA et en Australie ). Ces fouets très puissants sont souvent trop long pour pouvoir être utilisés en intérieur.
Shock whip : Le fouet australien par excellence, pour le bétail a l'origine. Constitué par un manche rigide assez long sur lequel est noué le corps de fouet. La queue est évidemment une lanière de cuir sur laquelle est noué le cracker. Ceux ci ne sont pas sans similitudes avec les fouets de chasse a cours ou le perpignan. Là aussi leur longueur les réserve plutôt a l'extérieur. Ces fouets sont beaucoup trop longs (environ 2,5m) pour être utilisés autrement qu'en extérieur.
Signal whip : Ce fouet, utilisé a l'origine pour les courses de chiens, est le fouet le plus utilisé en bdsm. . Le Blacksnake en est une variation d'un diamètre supérieur et légèrement plus long utilisé sur des animaux plus importants . Son manche, tressé, est souple et sans discontinuité avec le corps. De même il n'y a pas de réelle transition entre le corps et la queue - le cracker est épissé dans la tresse de queue. Les modèles les plus fréquents font 1,2m de long, les plus réputés sont fabriqués par Joe Wheeler.
Sjumbock
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Sjumbock : ce sont des fouets redoutables, utilisés, entre autre par la police Sud Africaine a l'époque de l'apartheid. Ceux ci sont constitués d'un manche rigide auquel est fixée une tresse qui se termine par une lanière sans cracker. Si les Sjumbock en cuir de girafe sont déjà très puissants et ne doivent être utilisés qu'avec circonspection, ceux en cuir de rhinocéros sont des pièces de musée et ont la réputation de pouvoir casser un avant bras. La police sud-africaine est équipée des modèles en plastique extrudé d'un prix dérisoire!
Quirt : autrement appelés dog quirt. Le manche et le corps sont comparable a ceux d'un signal whip, la queue et le cracker étant remplacés par une lanière de cuir d'environ 2 cm de large, ils sont donc assez courts 80 cm. Ces fouets sont difficiles a faire claquer et peuvent faire très mal.
Flogger
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Les fouets à plusieurs lanières
Ce sont les martinets achetés chez le droguiste du coin qui servaient a corriger les enfants pas sages, ce sont les chat a neuf queux en usage sur le Bounty comme dans toute la marine de cette époque.
Ceux-ci sont constitués d'un manche ( en général rigide) sur lequel s'implantent les lanières, le nombre et la forme des lanières permet de les classer. Même s'ils sont infiniment plus facile a manier que les single-tail il est impératif, pour pouvoir les utiliser correctement, que le poids du manche soit équilibré par rapport aux lanières. Même si leur fabrication est moins complexe que celle des single-tail, un gadget tel qu'on en trouve dans les supermarchés du BDSM ne pourra pas donner plus qu'il ne vaut, c'est a dire rien.
Le martinet, cauchemar des enfants pas sages, plaisir des soumises obéissantes
Les martinets et apparentés, floggers en américain, ont plusieurs lanières simples en cuir ou en d'autres matériaux. Les martinets a lanières de cuir sont ceux qui permettent la plus grande variété de sensations tant par le choix du cuir des lanières (du très doux daim a des cuir plus lourds comme le bison) que par la façon de les utiliser. Les martinets a lanière en latex, a l'opposé, permettent peu de subtilités, provoquant une douleur incisive difficilement dosable. D'autres matériaux peuvent être utilisés comme le crin de cheval ou la fourrure de lapin. Les « mops » sont une variété de martinets comportant 150 lanières en cuir léger comme du daim. Plus le nombre de lanières sera élevé et plus celles-ci seront larges, plus on obtiendra une sensation de masse en profondeur comme une vague enveloppant la soumise. A l'inverse, moins il y aura de lanières et plus celles-ci seront fines (l'extrême étant le martinet a 15 lanières latex) plus l'effet sera cinglant, mais la sensation ne pourra jamais atteindre celle provoquée par un single-tail ou un chat à neuf queux.
Cat'o nine tails
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Le chat à neuf queux, un air vieille marine
Dans la marine à voile le châtiment du fouet était administré à l'aide d'un chat a neuf queux que confectionnait le condamné a partit d'un cordage détoroné (3 torons, eux-mêmes composés de 3 brins). A la fin de la punition les chat à neuf queux étaient, entre autre pour des raisons d'hygiène, (en ces temps-là les matelots étaient fouettés au sang), jetés a la mer. Pas la peine donc de chercher chez un antiquaire l'authentique fouet du Bounty : ce serait une escroquerie. Les chat à neuf queux (cat O nine en anglais) actuels ont leurs 9 lanières tressées de section ronde de façon à garder l'effet cinglant des chat originels. Les lanières sont soit terminées par un nœud soit par deux petites langues en cuir. Ces sont des fouets très puissants, plus encore s'ils sont terminés par un nœud, même s'ils sont plus légers à qualité égale que des martinets. Leur effet est essentiellement cinglant. Un hybride entre chats et martinets est le « flat braid » dont les lanières - souvent 9 - sont tressées plates
Quel fouet choisir ?
Chaque type de fouet a un effet différent, du cinglant superficiel pour les single tail au pesant profond pour les martinets les plus lourd. Dans une même famille de fouets la nature du cuir aura une incidence, du daim extrêmement sensuel, au lourd cuir de bison pour les martinets. Il est donc impératif de choisir son fouet en fonction des sensations que l'on désire provoquer mais aussi de l'expérience de sa partenaire. Un fouet de qualité coûtant cher, il faudra procéder par étapes pour s'équiper.
Choisir son premier martinet :
Le martinet est le premier fouet qu'il est judicieux d'acheter, celui-ci étant le plus facile à manier. Apprendre leur maniement est assez simple et rapide et un entraînement minimal permet de les avoir bien en main, hormis pour les modèles les plus lourd ou un entraînement quasi quotidien est souhaitable. Même si le ridicule ne tue pas il est fortement déconseillé d'acheter un des pitoyables ersatz si souvent vendus dans les supermarchés du bdsm, ceux-ci étant au mieux médiocres voire dangereux, sans parler du grotesque combiné gode-martinet. Le premier point à vérifier lors de l'achat d'un martinet est que les lanières soient biseautées à leur extrémité et que leurs bords ne soient pas coupants afin de ne pas risquer de blesser sa partenaire. Il faudra ensuite s'assurer du bon équilibrage entre le manche et les lanières, gage d'une bonne prise en main et de mouvements fluides et seul moyen d'éviter une tendinite du coude. Il faudra enfin veiller à la bonne fixation des lanières au manche dans lequel elle devront s'emboîter, celles-ci devant former un bouquet harmonieux en cercles concentriques ou éventuellement en spirale afin de rester bien groupées lors de l'impact. Pour le choix du cuir, on consultera a profit l'excellent site de Janette Heartwood.
Passer au single-tail , le grand saut
Acquérir un single-tail, fouet roi du bdsm tant par les connotations qu'il véhicule que par l'intensité des sensation qu'il procure, c'est quasiment changer de dimension. L'improvisation et l'approximation ne pardonnent pas s'il n'y a que quelques millimètres entre une caresse et une coupure profonde, il y a des heures de pratique entre un bouffon et un artiste. « Adopter » un single-tail , c'est s'entraîner au moins trois mois sur un oreiller avant de pouvoir songer à l'utiliser sur sa partenaire, c'est encore s'entraîner un minimum d'une demi-heure par jour (les plus grands Maîtres de la scène américaine s'entraînent en moyenne 2 heures par jour), c'est à ce prix qu'il prendra vie et fera corps avec son maître. Les seuls fabricants étant aux Etats-Unis et en Australie, il faudra passer par Internet pour en faire la commande.
Le signal whip est le plus couramment choisi, moins puissant qu'un bullwhip, c'est quasiment le seul a pouvoir être utilisé dans un intérieur classique, une longueur de 4 pieds est un bon choix. Un 8 brins sera moins précis mais aussi moitié moins coûteux qu'un 16 brins, le choix est donc très personnel. Les plus réputés sont les 16 brins fabriqués pas Joe Wheeler.
Quelques principes de sécurité
Ne pas blesser sa partenaire
Les fouets principalement, les martinets et les chats a 9 queux, n'ont pas qu'un effet sur la peau, plus ceux ci sont lourd plus l'onde de choc se propage sur les tissus et les structures sous jacentes. Il faudra donc se limiter aux parties charnues recouvertes par des tissus musculaires ou des structures osseuses comme le haut du dos, les fesses, la poitrine et les cuisses. Il faudra absolument éviter l'abdomen ( foie et rate ) ainsi que les lombes (reins). Si chez la femme un fouetter léger de l'entrecuisse peut être très érotique, chez l'homme on s'expose a des lésions graves testiculaires. Ceux dont la main n'a pas encore une précision parfaite pourront avantageusement faire porter un serre-taille a leur partenaire, celui-ci recouvrant justement les zones à éviter. Même si certains experts du single-tail s'autorisent a caresser le visage de leur partenaire, ce sont, à moins d'une parfaite maîtrise, des pratiques particulièrement à risque à ne pas imiter. Lorsque vous vous servez du fouet sur plusieurs partenaires n'oubliez pas de désinfecter les lanières (le sang peut s'incruster en profondeur dans le cuir) ou les crackers.
Ne pas se blesser
Lors des débuts avec un single-tail il est important de se protéger les yeux et les oreilles des retour malencontreux. Avant de pratiquer dans une pièce il faut s'assurer que le single-tail dans son mouvement ne pourra s'accrocher à aucun objet, aucun lustre. Non seulement cela abîmerait le cracker mais le risque de recevoir l'objet n'est pas négligeable. Lorsqu'un single queue touche lors de sa course un objet ou un mur celui-ci a la fâcheuse manie de revenir sur son utilisateur, souvent au visage."
Extraits du site de KHAYYAM ALAMUT, texte signé Le SQUALE (2003)
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Par : M des Sens
D’une très chère Amie, se posant des questions d’Etre ... à mon propre sentiment actuel…
Je partage ses réflexions, ses mots et Maux…
Pourquoi les gens vont-ils trop vite ?
Un homme, un Dominant, un Mec, un Gentleman, un chevalier prenait le temps le temps avant...
Il courtisait, charmait de ces mots et biens d'autres choses encore...
Il ne montrait pas son Graal dès les premiers instants...
Il n'énumérait pas ses prouesses et savoir-faire techniques dans tout domaine....
Il rassurait,
Il protégeait...
Avant d'avoir les faveurs de la Belle et l'emmener dans sa couche...
Même les Rois les durs et rudes quand ils aspiraient Femme, même une courtisane...
Ils devaient montrer Pattes blanches
Seules les gueuses, pauvres et femme de petites vertus avait ce comportement...Et encore...
Et
La Femme, Dame, Damoiselle et courtisane...
Séduisait tout autant, ou éconduisait le prétendant sans pour autant montrer leurs beaux présents de la Nature ainsi que leurs antres béantes et dégoulinantes ...
Elle titillait, elle suggérait, elle charmait par leurs apparats et belles tenues et Tenues fasse aux prétendants
Aujourd'hui tout est acquis...
D'un Dominant, il est forcément Maître...et fait obéir de son propre statu autoproclamé
D'une Soumise, elle obéit forcément car il est...et fait tout pour satisfaire l'autre au détriment d'elle-même....
(Cela s'applique aussi aux Domina et Soumis)
Mais où est donc passé ces "fondamentaux" de rapports...
Ces Pas de respects qui font d'une relation se construit avec Passion...Pour être vécue avec déraisons...
Ces premiers instants, où la séduction est si croustillante...
Cette élégance qui fait naître, à mesure du temps l'envie d'Etre, l'un pour l'autre...
L'un offrant alors la Protection, l'autre offrant le Don de soi
Pour que cette vie à Deux, ou plus, soit si Respectueuse, si prenante, si Luxuriante, si Décadente...
Mais si somptueuse et enivrante....
Tout fout le camp....Revenons aux Fondamentaux...Non ?
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Par : #
Cafés…
Elle s’était posée sur le divan en cuir blanc de cette salle d’attente de l’hôtel, vraie libellule, sa robe rouge se détachait si intensément qu’elle semblait flotter dans l’air. D’où j’étais ses parfums m’avaient déjà rejoint. Senteurs de violette, de lavande... Chemisier noir et colliers qui dévalaient de son cou jusqu’à ses seins.
C’est à ce moment que j’ai senti la chaleur de sa monumentale poitrine… Je me suis avancé en face d’elle, me laissant glisser sur le canapé en vis-à-vis.
Quand ses yeux se posèrent sur moi elle semblait absente, absorbée dans ses pensées, son regard noyé dans son abondante chevelure blonde…
On a apporté nos cafés, et je me suis avancé vers la table en verre pour prendre un sucre; machinalement, sans pouvoir arracher mes yeux des siens je lui demandé si elle en désirait un; voix rauque pour me répondre "volontiers, un seul, s’il vous plait". Long frémissement dans mes reins, jusque dans mes cuisses. Le désir me prenait.
Je pris conscience des boutons dégrafés de son chemisier, son parfum m’a envahi plus profondément, réveillant mon sexe.
Impossible de la quitter des yeux, je la parcourais en la détaillant, mains fines aux longs ongles, griffes ornées de motifs pourpre et blanc, épaules larges, bras ouverts, jambes claires et lumineuses, cette robe fendue qui dévoilait maintenant une jambe charnue et tendre, un mouvement de son corps qui m’offrait soudain ses bas, et ses escarpins en cuir noir qui m’ont enflammé.
Ma main s’est posée sur ma cuisse, relevant la jambe de pantalon dont un pli brusquement me gênait. Son regard a suivi ma main, que j’ai follement déplacée et posée sur mon ventre tendu.
Sa bouche ourlée de rouge carmin se tordit, elle mordit sa lèvre inférieure, son désir a bondi jusqu’à moi. Je sentis, plus que je ne vis, ses mains se joindre sur sa ceinture en cuir et métal, puis se séparer, et ses doigts glissèrent vers la fente de sa robe.
Sans détacher nos regards figés l’un dans l’autre, dans un même mouvement sa main se faufila contre son ventre, glissant sur sa cuisse chaude, et j’ouvris mon pantalon, lui offrant la vision du désir qu’elle avait fait naître.
Ses doigts devaient certainement se frayer un passage vers sa fente, je reconnaissais maintenant des ondulations que mon regard la supplia de me faire découvrir. Elle écarta ses ses jambes et les pans de sa robe, se rejetant sur le dossier du canapé, m’abandonna ses caresses, ses yeux brûlant ma queue gonflée, que ma main massait lentement sans pudeur, sans vergogne. Je sentais les effluves de son plaisir, rejoignant le mien, je calquais mes ondulations sur celles de sa main, qui variait son rythme. Son souffle me guidait, mon regard se promenait de son visage à son sexe qu’elle avait libéré de son string rose pâle, écarté sur le côté, et je pouvais entendre les gémissements de sa fente mouillée et luisante; je sentais bouillir mon sang et je priais pour ne pas jouir avant elle.
Sa cadence s’accéléra, elle fermait parfois les yeux, elle se lâchait, surveillant parfois ma progression. Je grognais quelquefois, je lui exprimais mon désir, elle caressait ses seins gonflés sous son chemisier, elle décida de presser et de masser ses globes à travers le tissu, cela m’affola et elle s’en aperçut, alors elle planta de nouveau son regard dans le mien; hypnotisé, je la sentis à peine jouir, son corps agité par un tremblement terrible, une plainte arrachée à sa gorge, une secousse et un jet chaud dans sa main, sur ses doigts ruisselants, son poignet s’agita encore, faisant tinter ses bracelets dans cet immense silence, et elle comprit avant moi que j’arrivais au bout de mon plaisir…
Je me sentis brusquement paralysé, une crampe me terrassa, une chaleur intense irradia mon ventre, s’ouvrit un passage dans mon sexe, et allait s’échapper de mon corps.
Elle, je la vis à peine glisser vers moi, elle s’était levée, robe ouverte, respiration haletante, tasse de café à la main, sa main remplaça la mienne, quelques mouvements de va et viens.. Un râle dans mon orgasme, et elle me rejoignit avec un petit cri, mon jus s’échappa, elle guida mon gland et son café reçut ma crème chaude…
Dans mon regard bouillant je la voyais agenouillée devant moi, son bras appuyé sur ma cuisse, elle porta sa tasse à ses lèvres, et je la vis boire le contenu, ses yeux me parlaient, je ne sus que lui dire « Avale tout"… Sa voix rocailleuse et chaude me répondit "J’ai tout avalé, jusqu’à la dernière goutte"…
Sa langue passa sur ses lèvres avec une lenteur mordante, je sentais ses parfums et ses senteurs de femelle m’envahir, je ressentis un dernier soubresaut, sans savoir s’il venait d’elle ou de moi, peut-être même de nous deux.
Elle se releva, se retourna pour poser sa tasse, fit un pas en avant, remis en place ses vêtements que la tornade avait malmenés, le temps que je me redresse, que je me lève, elle s’était rajustée, elle prit son sac en bandoulière, rajusta ses lunettes sur ses yeux, se retourna.
« Au revoir, monsieur »….
Je n’avais pas encore rhabillé qu’elle avait disparu, me laissant seul avec l’odeur de notre plaisir.
Déjà elle me manquait.
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Le son ne précède pas le contact comme elle l'aurait cru. Elle s'attendait à un cliquetis net, un carillonnage métallique mais le bruissement est mat, sourd. Mangé par le temps, le fer est devenu muet. A peine un frottement ou un craquement entre les maillons grossiers, épais.
La chaîne encercle son torse et son cou, plaquée sur sa gorge, embusquée derrière l'échelle, soulignant sournoisement un sein avant de retomber sur son flanc. Les mains sont retenues quelques échelons au-dessus par des poignets de vieux cuir raidi. Le métal presse ses chairs, appuie sur son cou, dur et froid, freine l'air qu'elle avale à petite gorgée. En descendant d'un cran, sa gorge s'écrase contre la chaîne qui bloque, étrangle. Le souffle court irrite la trachée, le fourmillement des mains gagne les tempes. La chaîne se relâche d'un cran. Elle aspire l'atmosphère dense de bois et de poussière humide à grosses goulées.
Allongée. La chaîne enserre, serpentine liane lourde et placide. Elle pèse sur son ventre comme une main, s'enroule autour de son corps pour venir, vicieuse, caresser l'entrejambe, pénétrer le sexe, langue glaciale, gode implacable qui glisse sa froidure à l'orée bouillonnante. Choc thermique.
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Par : Heartbeat
C’est un afterwork comme les autres : des gens papotent un verre à la main, de la musique en fond, ça fume, certains sont assis, d’autres debout…
Je te cherche du regard ; je sais que tu es là, dans cette foule bruyante. Après cette journée passée à m’envoyer des messages brûlants, tu m’as invitée à cette soirée en sachant que je mourrais d’envie de te retrouver seul, et surtout, chez toi. Connard un jour, connard toujours…
Mon regard finit par se poser sur toi, et je te vois en train de discuter avec une femme, jeune, jolie et mince. Vous êtes souriants, je te sens avenant, tu veux que je te voie en chasse… Je ne sais pas trop pourquoi, mais tu aimes le sentiment que cela provoque en moi. Tu aimes me sentir hésitante et tester ma potentielle jalousie, parce que tu sais que le plus jaloux de nous deux, c’est toi. Tu aimes jouer de mon manque de confiance en moi, mais ce que tu aimes surtout, c’est que je te désire, et que de mon désir et ma frustration naisse mon ressentiment. Très bien… Tu veux jouer ?
L’alcool et la chaleur aidant, je vide mon verre d’un trait, remonte ma jupe sur mes cuisses et baisse mon décolleté sur mes seins désormais pigeonnants. Dans ce genre de soirée, je suis plutôt de celles qui font déconnent avec leurs potes et font tranquillement connaissance avec les gens. Je laisse les danses lourdes de sous-entendus aux autres, à celles qui s’assument assez pour pouvoir entrer dans un jeu de séduction frontal.
J’ai suffisamment bu pour commencer à me déhancher sans aucune subtilité sur la musique qui passe. Tu me pousses dans mes retranchements et ça me rend furieuse... Entre toi et moi, il y a tout ce truc complexe autour du désir, du nôtre et de celui des autres. Tu voudrais que je me sente belle et bonne. J’en ai envie aussi, mais mon corps me bloque...
Des copines légèrement avinées - pour la plupart célibataires et en chasse viennent se joindre à ma danse. Nos amis ne tardent pas à nous rejoindre aussi. Nous formons un méli-mélo de gens à l’esprit échauffé par l’alcool, la musique, et la proximité des corps. Je sens un des mecs passer ses mains autour de ma taille et m’attirer à lui. Je me colle à lui… Il commence à me peloter sans aucune discrétion. Je ne sais pas trop ce que je fais, mais je me sens bien…
D’un coup, je suis brutalement arrachée à mon étreinte toute récemment nouée. Je te vois face à moi, hagard et rouge. Tu as l’air furax et je ne peux pas m’empêcher de réprimer un petit rictus : alors, qui est le plus jaloux d’entre nous deux ? Où sont passés ton self-control ainsi que l’homme souriant, avenant et charmeur de tout à l’heure ? Toi qui croyais pouvoir m’avoir à ce petit jeu malsain, tu t’es bien fait avoir.
Tu me prends par le bras et m’emmènes hors de la pièce centrale. Je te suis le long du couloir. Des pensées contradictoires se bousculent dans ma tête ; jouer sur la mauvaise image que j’ai de moi, est-ce une manière pour toi de garder le contrôle sur mes envies et mon désir ? Ou au contraire, cherches-tu réellement à me libérer ? Je peste, tu es un sale connard manipulateur et je t’en veux terriblement de chercher à appuyer là où ça fait mal, en tentant de vouloir jouer avec mes cordes sensibles... Et en même temps, j’ai envie de ton corps sur le mien depuis ce matin…
Mes réflexions sont coupées par ta main qui me tire vers une chambre inoccupée que tu as réussi à trouver au bout de plusieurs essais infructueux. Tu fermes la porte à clef, je fais face à ta colère, à tes sourcils froncés et à ta mine crispée. Je suis aussi en colère mais j’ai envie de toi ; je te saute dessus dans un mélange de frustration, d’agressivité et de désir.
Tu me repousses, saisis mes cheveux et me mets à genoux sur le lit. Tu sors mes seins de mon soutien-gorge. Comme je m’y attendais, tes claques ne tardent pas à tomber : tu les frappes du plat de la main, durement et sans pitié. Tu me bats les seins. J’ai envie que tu me laisses des traces, rouges et brûlantes… J’ai envie d’avoir mal, que ça claque et de sentir tes marques imprimées profondément dans ma chair, et tu en as pleinement conscience... Tu m’embrasses à pleine bouche. La douceur de tes lèvres contraste totalement avec la brutalité de tes mains sur ma poitrine. Tu tords mes tétons, je brûle d’envie pour toi…
J’imagine ton corps chaud sur le mien, j’ai envie d’empoigner tes cheveux, de sentir ton désir planté au plus profond de moi… J’ai envie de toi dans mon sexe, de ton torse collé au mien, de ta sueur mêlée à la mienne, d’avoir le souffle coupé à cause de ton poids sur mon corps… De haleter, d’entendre toutes sortes de bruits, ceux de l’amour… De sentir ta respiration s’accélérer et tes halètements s’intensifier… De voir tes yeux s’entrouvrir et se refermer… De te sentir te retenir, contenir et contrôler ton plaisir, pour finir par exploser en moi… J’ai envie que tu sentes à quel point je te désire, que tu voies ma chair de poule, mon sexe qui s’entrouvre et se prépare pour toi…
Je te le dis. Je te dis tout ça. Tu aimerais faire semblant de me punir pour avoir de telles pensées, mais je sais que tu en as trop envie aussi…
Mes seins sont écarlates et brûlants : tu as l’air plutôt fier de toi. Mon désir m’aide à supporter la douleur, mais je suis au bord des larmes… Tu me fais de plus en plus mal, et ton petit jeu de jalousie m’a mise hors de moi. Ce n’est pas seulement ma douleur que tu vois là : ce sont mes insécurités, mon manque de confiancei, mes doutes, et tout ce qui va avec.
Tu caresses doucement mon visage et finis par me coller une grosse baffe. Une deuxième tombe, puis une troisième. Et ainsi de suite. Tu ne t’arrêtes plus, tu me sais prête à céder à la douleur…
Les larmes tombent : tu as gagné.
Mes sanglots et gémissements t’excitent, tu me l’as toujours dit. Tu as toujours aimé me mettre dans des états d’inconfort extrême... Abaisser mes défenses, aller au-delà de mon caractère parfois volcanique, me voir à nu, dans tous les sens du terme. Tu me regardes longuement...
Tu finis par m’allonger sur le lit en m’embrassant. Tu embrasses chaque parcelle de mon corps, en partant de ma bouche jusqu’à aller vers mon sexe. Tu couvres ma poitrine endolorie de baisers, tu panses les douleurs que tu m’as infligées. Tu es douceur, caressant chaque centimètre de peau à pleine main. Mes larmes continuent de couler, mais ce ne sont plus des larmes de douleur et de peine...
Tu embrasses mon corps
Chaque cicatrice, chaque pli replet,
Chaque marque, chaque bourrelet…
Tu me chuchotes que tu m’aimes, encore et encore
Que je suis belle comme le jour
Que mon corps est ton abri
Et tu me fais l’amour
Ta douceur est infinie
Et petit à petit, ton désir me guérit…
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*Le kintsugi serait apparu lorsque, à la fin du xve siècle, le shogun Ashikaga Yoshimasa a renvoyé en Chine un bol de thé chinois endommagé pour le faire réparer. Le bol étant revenu réparé avec de vilaines agrafes métalliques, les artisans japonais auraient cherché un moyen de réparation plus esthétique. Cela découle d'une philosophie qui prend en compte le passé de l'objet, son histoire et donc les accidents éventuels qu'il a pu connaitre. La casse d'une céramique ne signifie plus sa fin ou sa mise au rebut, mais un renouveau, le début d'un autre cycle et une continuité dans son utilisation.
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Par : Dame Meg
Comme il me l'a indiqué je suis montée pour me preparer. Choisir une tenue, rassembler nos jouets, parfaire mon épilation. Je l'entend qui monte, je m'allonge sur le lit, cache mon visage dans l'oreiller. Il pose quelque chose sur moi et me demande de ne pas bouger. J'attends.
Il revient, me bande les yeux, puis un plug. Il me guide, je descends, arrive au salon avant de retirer mon bandeau. La table basse recouverte d'un plaid, une musique un peu étrange, la pénombre, une bougie de part et d'autre de la table. Je me retrouve à 4 pattes sur la table, jambes écartées.
Une fessée à la main pour commencer, la position n'est pas facile à tenir, puis un gode... difficile de me laisser aller, entre plaisir et douleur... les choses s'enchainent gode, vibro, un autre plug... les coups sur mes fesses, l'intérieur de mes cuisses, mon sexe...j'oscille entre orange et rouge... moment de pause où je le suce, et il continue de me fesser.
Je suis allongée sur le dos, poignets attachés à un pied de la table. Les choses se poursuivent... par moment la cire tombe sur ma peau. La tête en arrière, une nouvelle fellation... des sensations... la bille du plug qui bouge, le gode en verre qui s'impose... ses doigts me font jouir à plusieurs reprises. Je reviens à 4 pattes, il me prend sauvagement, l'envie qu'il jouisse... la roulette à dent sur mes fesses... c'est bon...
Le vibro, je me débats intérieurement... c'est trop, je ne peux pas poursuivre... je dis rouge.
Il me détache, me prend dans ses bras, je ne pensais pas dire mon safeword... pourtant... On finit dans un bain, pour débriefer.
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Par : M des Sens
Il arrive que les gens mentent sur leurs vrai personnes..
J'ai toujours eut du mal avec cela...Et je comprend pas pourquoi certains sont ainsi...que cela soit dans les paroles, les actes, ou leurs vrai nature...
Est-ce un jeu, est-ce une façon de se faire mousser ?....
Je reste toujours assez incrédule lorsque cela arrive,
Que dire ?...Et que faire contre ?...
Enfin....Des discutions récentes m'ont ramenées à cette expérience...Étrange....d'un faux-semblant, ou devrais-je dire...sur le fait que l'on peut tromper les gens sur sa vrai nature...mais qu'à un moment le masque tombe...Et le résultat est forcément à l'opposé de l'attente première....
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C’était il y a 13 ans, je m’étais inscrit sur un site dédier à cette passion désirant renouer avec mon passé auquel j’ai tourné le dos pendant trop longtemps…
Très vite, je fis la connaissance d’une charmante personne…les échanges devenant de plus en plus plaisant, sans entrer dans les détails, ni interrogatoires habituelles dont j’ai une sainte horreur, surtout pour faire connaissance….
Je l’invitais alors à changer de moyen de communication pour que nos échanges soit plus plaisant.
Nous continuâmes ainsi, au travers de MSN, nos échanges toujours plus envoutant, où nous parlions aussi bien de notre vie de tout les jours, en bien comme en mal, que cette passion qui nous permis de nous connaître.
Bien sur nous en profitâmes aussi pour se présenter visuellement l’un à l’autre, par l’intermédiaire de nos photos.
Il est vrai que c’est quand même plus plaisant de mettre un visage sur une personne qui vous charme par ses mots et de voir si l’adéquation physique avait la même résonance que les écrits.
Et ce fût le cas également.
De fil en aiguille, le charme comme souvent agis, et de part et d’autre, l’envie de sortir de ce carcan protecteur de notre vie se fit ressentir. Il est vrai qu’après près de 2 mois de discussions quasi quotidiennes, il faut faire un pas vers ceux qui nous attirent ;-)
Je lui proposais alors de nous rencontrer en réel, dans un endroit publique, pour garantir, à nous deux, une certaine sécurité…on ne sait jamais réellement à qui on a affaire ;-).
Le rendez-vous fut pris dans un café parisien, échange de numéro de portable pour être sur de ne pas se rater.
Je fus le premier à arriver dans ce café. Il faut dire que j’étais en avance, et surtout je déteste faire attendre les gens, ce qui est des plus normal aussi.
Et puis aussi la galanterie est une chose important même si beaucoup l’oubli aujourd’hui…Il ne faut jamais faire attendre une femme, même si, nous le savons souvent, les femmes sont très souvent en retard.
(J’imagine mesdames qui me lisez, le dessin d’un sourire sur votre visage en lisant cela, mais nous, hommes, savons que c’est surtout une manière de nous séduire, et je vous l’avoue, nous l’adorons…heu cependant sans trop d’excès aussi …rire)
Je pris une place dans un recoin afin que nous puissions être des plus au calme…Et je commandais un café…
Mon téléphone sonna, c’était Elle, une voie douce et charmeuse, qui m’emplit le cœur d’un espoir sans retenu…
« Je serais là dans 5 minutes, je vous pris de m’excuser pour mon retard »…
« Je vous en pris, gente amie, le plaisir de votre rencontre vaut bien ce petit désagrément ».
Au bout de 5/dix minutes, je vis une femme élégante franchir le seuil de la porte de ce café.
Je la reconnue de suite, je me levais pour lui indiquer ou je me situais…
Elle était vêtue, je m’en souviens encore, d’une jupe-portefeuille, noir dessinant ses hanches avec délicatesse et d’un chemisier blanc, laissant entrevoir une belle dentelle, tout aussi blanc, mettant ses monts en valeur mais sans excès.
Elle avait les cheveux long d’un noir cendre qui recouvraient ses épaules délicieusement…Ainsi qu’un petit foulard, tout aussi blanc, qui recouvrait son cou.
Elle savait ma préférence en ce genre de tenue, mis à part le foulard, et je savais qu’elle l’avait fait pour moi….
Je lui fis signe de la main, un sourire illumina son visage, et commença à avancer vers moi.
Elle savait également que je faisais beaucoup attention à la démarche, un pécher mignon de ma part, et je remarquais un certain excès dans cela. Mais ce fut délicieux de la voir s’avancer doucement, le pan de la jupe laissant entrevoir des chaussures à talons et de jolie bas blanc…
Chaque pas était assurément mesuré, chaque pied, à mesure, passant toujours l'un devant l’autre, montrant un déhanchement bien contrôlé, mais des plus subtile…d’ailleurs, je m’amusais à observer la foule environnante…je n’étais pas le seul à mirer cette belle créature s’avancer…
Il est vrai que je suis très attaché, pour ne pas dire exigeant, tant à l’aspect de la personne que la démarche de celle –ci. C’est quelque part, en tout cas pour moi, une chose très importante, plantant ainsi le « décor » et séduit, éveille les sens…
Elle prit place face à moi, après avoir déposé les 4 bises délicatement sur mes joues, tout émue, comme je le fus aussi de pouvoir La voir en chair et en Os.
Elle commanda un thé au citron, qui lui fut servis rapidement, et nous commencions à parler librement, à faire réellement connaissance.
Sa voie était douce et envoutante, à mesure qu’elle discutait, elle jouait avec ce foulard autour de son cou, montrant ainsi une certaine émotion, timidité délicieuse…
Je remarquais encore, lorsqu’elle buvait ou parlait, avec des gestes toujours prononcés, voir trop féminin…ainsi qu’un maquillage certes délicieux, mais encore une fois un peu trop excessif.
Certes j’aime que la femme soit maquillée, les yeux bien mis en valeur, une bouche bien dessinée, mais là…
Au bout d’un moment, je lui fis remarquer…
Elle baissa les yeux, rougit…et baissa la tête…
Pris alors son foulard par un bout et tira doucement dessus.
Peu à peu, je vis alors apparaître son cou…
Je la sentais un peu déconcerté, voir effrayée…un peu tremblante…
Je la rassurais quelques peu…
Mais je compris alors, lorsqu’elle redressa la tête, le pourquoi de son tourment…
Une pomme d’Adam….
Et oui…Elle est en fait, ni plus ni moi qu'une "SheMale", une rencontre du Troisième Sexe....
Je fus des plus surpris, car nous avions tant parlé, partagé, ...
pourquoi m’avoir caché ce secret…
d’autant que justement nous évoquions que cette passion était toujours basée sur le respect et la sincérité….
les bases indispensables d’une belle relation…
Nous en parlions alors longuement, mais elle comprit que même si j’étais des plus charmé tant par ses mots, sa personne, sa plastique…. que cette relation ne dépasserait jamais le stade de l’amitié..
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