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Trans switch. 48 ans.
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 15/11/19
(Re)trouver , (re)prendre le chemin tortu(r)eux du Bien Donner Sereinement (sa) Marque de Soumission suppose voire impose par rapport au désir profond une patience constante, une plongée aux abymes de soi pour se découvrir se connaitre et ainsi parvenir à rencontrer un " Autre Soi " totalement dévêtu des atours acquis, comme pourraient exprimer " les vertueux" ou soi-disant tels ! Sur mon chemin, j'ai croisé et fréquenté , oh il y a... longtemps une jeune... qui m'a initié aux pincements de mes tétons. cela a été comme le tir d'une balle de fusil qu'il il est impossible de rattraper , la balle tirée; cette dernière (la balle) a, quelque peu atteint sa cible: le masochisme, le BDSM (cf 1ere ligne), la Soumission = le grand Lâcher Prise . ( A suivre...) Voir également
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Par : le 04/11/19
Il osa déposer un tendre baiser Sur sa bouche coquelicot pulpeuse Son souffle sur sa nuque dorée Fit frémir ses boucles joueuses Ses mains devinèrent ses contours Si ronds, si fermes, si palpables Vertige que la belle savoure L'émouvoir la rends désirable La robe noire moulant son corps Souligne ses formes harmonieuses Son décolleté .... Est une fureur Abrite une poitrine aguicheuse Viens, je t'amène pour danser Balance ton déhanché de reine Etoile de mes nuits fantasmées Beauté au désir irréel Il bredouilla des mots étouffés Espérant qu'elle sera sienne Que faire d'une si jolie poupée Si je ne peux la garder Mienne... Le 0311 2019 fiction
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Par : le 04/11/19
bougie La flamme éclaire la paraffine fond gouttes coulent en bonds solide sur la peau carapace de verre chaleur diffuse profonde pour résister dos rond remuant comme un vers chaleur très diffusée douleur plaisir mêlés délice approfondi sens en ébullitions sexe en congestion orgasme ressenti
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Par : le 28/10/19
L'été dernier - fortes chaleurs aidant, sans doute- Maître Guitout m'installe en voiture, yeux bandés, après m'avoir introduit sous mon boxer une grande quantité d'orties fraîches, bien réparties entre fesses et sexe... Une chaleur supplémentaire embrase alors mon corps immobilisé sur le siège; les chaos du chemin emprunté par le 4 x 4 plutôt rapide, enfin , je crois, accentuent plus encore mon échauffement. Il stoppe! dégage le polo et place sur chacun de mes tétons deux pinces agrémentées d' orties aussi... Douleurs... Douceurs = DELICES ou SUPPLICES? c'était que je l"accomplisse...! pour tout bénéfice! (à suivre) PS il faut lire: NATURE, mille excuses ou punition(s) selon votre volonté, Bien Soumicieusement.
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Par : le 19/10/19
/!\Cet article s'applique aux relations BDSM s'inscrivant dans une réelle relation suivie sur le long terme visant un abandon de soi total de la soumise envers le Maître. Il est uniquement le reflet de mon ressenti et de mon expérience personnelle. Les avis peuvent diverger à ce sujet et je serai ravi d'avoir votre point de vue en commentaire./!\ Dans une relation BDSM, le bien-être du Maître ET de la soumise doit être préservé. Il faut avouer que c'est la soumise qui prend le plus risque lorsqu'elle s'engage dans ce type de relation. En effet, pour pouvoir être vécue pleinement, elle nécessite de donner au Maître le pouvoir de prendre toutes les décisions la concernant (sauf dérogations à négocier). Elle doit donc s'assurer qu'il utilisera ce pouvoir à bon escient, dans leur intérêt mutuel. On pourrait donc penser hâtivement qu'il n'y a aucun intérêt à humilier sa soumise. J'aimerai donc apporter mon point de vue sur la question. ***L'humiliation comme moyen de s'offrir totalement dans toute sa vulnérabilité*** L'humiliation peut-être une épreuve plus ou moins difficiles suivant l'histoire et l'expérience de chacun. Une soumise ayant un vécu particulier pourra être réfractaire à certaines pratiques. Dans ce cas, il est de la responsabilité du Maître de prendre le temps nécessaire pour évaluer cette difficulté ainsi que sa cause. La soumise aura besoin naturellement d'un soutien renforcé si la décision est prise de lui faire subir cette épreuve malgré tout. Le Maître s'assurera que sa soumise a bien compris l'intérêt de la faire poursuivre tout en lui garantissant la possibilité d'arrêter la pratique à tout moment. Si la pratique en question consiste à exercer une contrainte empêchant la soumise de s'exprimer oralement pour y mettre fin, alors un autre moyen devra être trouvé pour que la soumise puisse avertir son Maître lorsqu'elle atteint sa limite. Je n'invente rien, il s'agit là simplement de bon sens et ce principe est repris dans beaucoup d'articles. Un des bienfaits de l'humiliation, pour ma part, est de renfoncer le lien de confiance avec la soumise. L'accompagner dans une épreuve difficile peut faire évoluer la relation dans le bon sens de manière significative. Elle se livre ainsi entièrement à son Maître qui pourrait abuser de cette position pour lui faire du mal, et pourtant, il l'utilise pour faire progresser sa soumise dans les épreuves qu'elle rencontre. Elle peut ainsi être fière de montrer son dévouement à son Maître ce qui contribue à son épanouissement. En plus de renforcer le lien de confiance dans la relation, l'humiliation peut également permettre de renforcer la confiance que la soumise a en elle-même. Le fait de traverser des épreuves avec succès lui fera prendre conscience de ses capacités, ce qui pourra être bénéfique pour elle également en dehors du BDSM. ***Quand l'humiliation bascule vers le mépris*** Toute pratique, humiliation y compris, doit s'inscrire dans une démarche positive. Il ne s'agit pas de se défouler sur sa soumise ou de la mépriser. Humilier sa soumise sans prendre en compte son ressenti et sans veiller à sa bonne préparation peut avoir des effets dévastateurs. Le respect est de mise, et humilier avec respect n'est pas à la portée de tous. Il y a malheureusement trop de soumises, pleines de bonne volonté, qui se laissent avoir par des pseudo-maîtres qui ne voient en leur dévouement qu'un moyen de satisfaire leur égo et oublier leur complexe d'infériorité. Elles sont forcées à dépasser leur limites sans aucun accompagnement de la part du maître. Parfois même en les faisant culpabiliser par des mots du genre "si tu n'es pas capable de ça, alors tu n'es pas une bonne soumise". A terme, ce genre de comportement produira les effets inverses que ceux recherchés, à savoir la perte de confiance en elle, en son Maître ainsi qu'une grande difficulté à refaire confiance par la suite. Sans compter le traumatisme que cela peut engendrer. Une bonne soumise n'est pas une soumise qui n'a aucune limite, d'ailleurs, en cherchant bien, on finit toujours par en trouver. Une bonne soumise, s'efforcera de faire de son mieux pour satisfaire son Maître malgré ses limites et un bon Maître l'accompagnera afin qu'elle progresse dans les meilleures conditions. D'ailleurs, je n'ai JAMAIS eu quelque début de relation sérieuse que ce soit avec une "soumise" se disant sans aucunes limites. Bien souvent il s'agit de filles malhonnêtes qui disparaîtront dès que le moindre effort leur sera demandé, et bon vent ! La pratique d'actes dégradants ou humiliants peut être enrichissante dans une relation à condition de le faire dans le respect et l'accompagnement de la soumise. Lorsqu'elle est effectuée à bon escient, elle peut permettre de renforcer le lien de confiance entre le Maître et la soumise, ainsi que faire progresser celle-ci dans le dépassement d'elle-même. Suivant les relations, cela peut également permettre de traiter un traumatisme que la soumise a vécu, dans ce cas l'attention du Maître devra être maximale pour garantir les meilleurs conditions de déroulement de la pratique. Les effets des pratiques humiliantes peuvent être négatifs lorsque cela est pratiqué avec des personnes mal intentionnées. Il est donc important de le pratiquer uniquement avec des personnes dignes de confiance et soucieuses du bien-être de l'individu humilié.
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Par : le 14/10/19
Une main Un corps Un sein Encore Lumière Pénombre Sollicitation Je sombre Plaisir Tendresse Jouir Caresses Venir Se blottir Sentir Gémir Crier Sensuel Espérer Charnel Pénétration Excitation Fellation Attentions Lèvres Membre Fièvre Répandre Le regard complice, les sens en éveil Nos corps fusionnent de plaisir Brûlent, s'animent, s'expriment Se calment, se lovent pour mieux jouir Pour toi mon A. Le 13 10 2019
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Par : le 14/10/19
J'ai entendu la porte s'ouvrir Mes yeux étaient clos, je t'attendais Je prenais patience, mon corps déjà offert Je frémis quand le bandeau vient voiler mes yeux Je trésaille en sentant la chaleur de tes lèvres sur mon cou Je frissonne quand ta main tire mes cheveux Je vibre quand ta main caresse ma joue Nue, je m'offre à ton désir Nue, j'accepte tes envies Je tremble quand tes doigts effleurent mes seins Je geins quand tu serres mes aréoles Je souris quand ta bouche aspire mes tétons dressés Je grimace quand tu tires sur mes pointes érigées J'ondule quand ta main glisse le long de mon ventre J'ondoie quand mon mont de vénus trouve sa place sous ta paume. Nue, je me donne à tes envies Nue, tu m'invites à tes désirs Je me cambre quand tu m'allonges sur le lit Je me courbe quand tes doigts découvre mon sexe Je retiens mon souffle quand tu saisis mon clitoris Je contiens ma respiration quand tu le pinces entre tes doigts Je gémis quand ta main s'enfonce dans mon intimité Je jouis quand je suis fouillée par toi ainsi Nue, je m'abandonne à ton plaisir Nue, je me livre à ton désir J'aime lorsque ton glaive me pénètre Je m'exprime quand tu vas et viens Nue, je hurle mon 'plaisir' Nue, je m'abandonne à la jouissance Le 13 10 2019
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Par : le 11/10/19
La tête à l'envers, A chaque pensée, A son endroit. Le coeur à l'envers, A chaque pensée, Au bon endroit. Je me révolte ; Je me défile, Et je file droit. Pourtant Miami, C'est bien par là. Chez mon amie, C'est bien tout droit. Je me désole, Sans cris, tout bas. Pourtant les cris, C'est mon bon droit. Car Miami, C'est toujours là-bas. Comme une histoire sans fin, Sans issue, ni voie. Un sourire accort, N'y suffirait pas. Pas d'accord à l'amiable, Selon Mia. Pertes et fraccas, Y suis allé tout droit ! Comme une histoire sans "enfin", Qui ne démarre pas. Loin de Miami, Un homme, un ex, Un il, en exil, Est toujours miam... De Mia.
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Par : le 11/10/19
Il est très facile de se mettre à juger quelqu'un, on le fait tous, consciemment ou non. Cet article se consacre surtout aux jugements malveillants de personnes qui s'octroient le droit de vous imposer leur vision des choses, en n'ayant parfois d'autre argument que leur âge avancé pour s'attribuer le statut d'expert d'un domaine qu'ils ne maîtrisent pourtant pas. J'ai pensé un bref moment que le BDSM était épargné ce genre de comportement, étant un mode de vie victime lui-même de vives critiques souvent infondées. Grand mal m'en a pris quand j'ai pris conscience que ceux qui causaient le plus de tort au BDSM, étaient en fait les adeptes eux-mêmes. Si on peut vraiment les qualifier d'adeptes... Je vais donner certains exemples, que personne ne se sente offusqué s'il s'y reconnait. L'important est de s'en rendre compte pour ne pas le reproduire. La remise en question perpétuelle est une bonne chose car celui que ne se trompe pas (ou plutôt qui pense toujours avoir raison), n'apprend pas non plus. Les pratiques des uns ne sont pas celles des autres Ce qui est bon pour vous ne l'est pas forcément pour autrui. Ca a l'air d'être une question de bon sens et pourtant... Nombreux sont ceux qui se permettent de juger les pratiques d'autrui uniquement parce que ce n'est pas leur manière de faire. Si tout le monde devait se comporter pareil, n'importe quel Maître conviendrait à n'importe quel soumise. Les pratiques du BDSM n'auraient aucune richesse et chaque nouvelle relation serait une photocopie de la précédente. Prenons l'exemple d'un article que beaucoup connaissent : "Les 12 règles de la soumise" pour ceux qui ne connaissent pas, je vous invite à rechercher sur google. Personnellement, je n'adhère pas à toutes ces règles. J'ai pu constater que beaucoup n'y adhèrent pas également. Jusque là tout va bien. Le problème commence quand ces mêmes personnes se permettent de juger ceux qui y adhèrent. Pourquoi ? Uniquement parce que eux n'y adhèrent pas pour des raisons qui leur sont propres. Si un Maître se plaît à dominer sa soumise ainsi et que la soumise se plaît à être ainsi traitée, où est le problème ? Sommes-nous en droit de leur imposer notre vision des choses ? Nous pouvons donner notre avis, certes. C'est tout ! Ce qui importe c'est que les deux y trouvent leur compte et nous ne sommes pas en droit de leur dire ce qui est bon pour eux. D'autres pourront dire quel telle ou telle pratique n'est pas du BDSM. Et alors ? Ce qui compte c'est de faire ce qui nous convient ou de faire du BDSM ? Pour ma part, j'ai commencé le BDSM parce que c'est ce qui se rapproche le plus de ma façon d'être. Je ne connaissais même pas ce terme au début, je l'ai découvert que par la suite. Je le pratique de la manière qui convient le mieux à l'épanouissement de ma soumise et moi-même. Si, j'en viens à devoir faire des choses, qui seraient mal perçues par les membres de la communauté du BDSM, dans l'intérêt de ma relation avec une soumise, je le ferais. Et si ce n'est pas du BDSM, alors donnez-lui un autre nom (BDSMR tiens ! ça sonne bien). L'âge comme preuve de son expertise Combien sont ceux qui ont croisé la route de quelqu'un qui se plaçait en expert du BDSM uniquement du fait de son âge ? Pas plus tard que tout à l'heure, en allant visiter un profil dans lequel la soumise disait chercher un Maître entre 20 et 35 ans si ma mémoire est bonne ; quelle ne fût pas ma surprise de voir sur son mur que quelqu'un avait déjà rétorqué que c'était trop jeune et qu'il lui fallait un Maître beaucoup plus mûr. Si j'ai bien appris quelque chose c'est que l'âge est le dernier des arguments à prendre en compte pour évaluer le potentiel d'un Maître ou d'une soumise (bien-sûr il faut quand même être majeur). Et pourtant combien de fois on m'a dit que j'étais trop jeune pour dominer... Les soumises que j'ai eue ne s'en sont pas plaintes pourtant, et les meilleures n'étaient pas forcément les plus âgées. Même dans le milieu professionnel, on nous rapporte toujours l'âge à l'expertise, et quand on prend le temps d'observer, on se rend compte que les "experts" ne travaillent pas toujours mieux, de plus leur "expertise" les empêche parfois de se remettre en question, estimant qu'ils n'ont rien à apprendre de personne. Il ne faut jamais arrêter de se remettre en question, c'est valable pour la soumise, mais aussi (surtout) pour le Maître. Ne pas se remettre en question nous empêche de voir nos erreurs et donc de progresser. Comment un Maître peut-il prétendre faire progresser sa soumise si lui même n'en est pas capable ? La connaissance absolue d'un domaine est une utopie et chacun aura toujours quelque chose à apprendre, quel que soit son niveau d'expertise. Ne pas juger ceux qui ont des pratiques différentes est une preuve de sagesse. Chaque relation est unique et l'important est d'être épanoui dans ce qu'on fait. Merci à ceux qui ont lu jusque là.
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Par : le 06/10/19
AVANT-PROPOS En dehors de sa réputation sulfureuse, que sait-on du Marquis de Sade ? Qu'il est né à Paris,le 2 Juin 1740,en l'hôtel de Condé, dans une vieille famille aristocratique de souche provençale, de grande noblesse. Qu'il fut écrivain,philosophe,et homme politique,longtemps voué à l'anathème,en raison de la part accordée dans ses écrits,à l'érotisme,associé à des actes de violence et de cruauté,qu'il passa pour cela,près d'une trentaine d'années en prison avant de s'éteindre le 2 Décembre 1814,dans l'asile d'aliénés de Charenton. L'étude dédiée au site, a pour but de tenter d'éclairer le lecteur sur la portée littéraire de son œuvre,qui a évolué du 19 ème siècle à nos jours, avec le double souci d'un respect scrupuleux de la réalité historique, et d'une stricte neutralité dans l'analyse,tous deux indispensables,à la fourniture d'une base de réflexion,ouverte à tous (tes). Elle se décompose en cinq articles à paraître, en vue d'en faciliter sa lecture, portant respectivement,sur la vie de l'homme,de son enfance à sa mort (I),d'un rappel de la période historique qu'il traversa (II), d'un exposé de ses différents écrits (III), de l'évolution du regard porté sur son œuvre (IV),et enfin de la place qu'il occupe,aujourd'hui dans l'univers du BDSM et de ses pratiques, accompagné,in fine,en annexe, d'une chronologie synthétique de sa vie. (V). Détenu sous tous les régimes politiques (Monarchie,Révolution et première République,Consulat puis Empire), condamné à mort par contumace pour crime de "sodomie et empoisonnement", puis embastillé, de 1784 à 1789,libéré au début de la révolution. Devenu secrétaire de la section des "Piques",de nouveau arrêté pour ses origines aristocratiques,il échappa de peu à la guillotine. Interpellé sous l'Empire,en 1801, pour atteinte à la morale,il fut incarcéré sans jugement à la prison de Sainte Pélagie,enfin transféré,à la suite d'un nouveau scandale,à Bicêtre. Il termina sa vie à l'asile de Charenton, dirigé alors par un homme de valeur, dénommé Coulmier. Paradoxalement,le Marquis de Sade ne parut jamais devant aucun tribunal,considéré alors comme un prisonnier d'Etat,atteint de folie,et secouru par les demandes réitérées de sa famille. Comble de l'ironie de l'Histoire,la détention de Sade, après la tourmente révolutionnaire,rappelle à tout point,le système aboli par la Révolution,des lettres de cachet de l'ancien Régime,dont avait été victime, un autre célèbre et sulfureux libertaire,le comte de Mirabeau.
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Par : le 03/09/19
Elle est multiple, aux couleurs irisés parfois sombres Elle se décline en pastel ou aquarelle de l'ombre Elle est irréelle, intangible que l'on voudrait toucher du doigt Elle est entière offrant son moi, livrant ses attentes et ses émois Pas vraiment pure, elle n'en a pas besoin, c'est à travers ses failles C'est à travers ses imperfections, que je le trouve ainsi, même canaille Elle enflamme mes sens, me trouble par son absence, son autre vie Elle parfum de mes rêves, ma passion, mes troubles envies Elle femme d'ô, en voiles indécentes Se donne, belle, librement Je l'imagine, elle, sa peau Nue sous mes mots L'âme offerte, sa vertu O, nous liées, inconnues Je tisse mes propres entraves Pour elle, pour un sourire suave Peu soumise, me surprendre moi-même Alors déraisonner et croire enfin que l'on s'aime Douce folie charnelle, sarabande solitaire de mes nuits Quand elle me révèle, incrédule, je soupire d'envies Aspirant à la connaître, je reste longtemps éveillée, rêvant Alors, je regarde ces mains, qui ne sont pas miennes qui la couvent Envieuse, je génère l'utopie, consciente de cette folie que j'éprouve Je voudrais la parcourir en douceur, caresser ses courbes de satin Me fondre en elle, effleurer encore le velours de ses beaux seins Sur les pages blanches, nous existe, par l'une, l'autre se sublime Elle est femme multiple, aux teintes d'un mythe, illusion intime Le 2 09 2019 fiction
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Par : le 05/08/19
Dis moi que tu me désires encore Que j'en respire le souffle de tes mots Sur ma chair, inhalant l'odeur de ton corps Laisse-le s'enflammer, à l'appel de tes maux// Pose tes mains, là, sur mes hanches Presse un peu plus fort. Elles se déhanchent Mes fesses se cambrent sous la badine Je me livre à toi, insolente et taquine// Dis moi encore des mots, susurre-les, là Au creux de mon oreille, faisant appel à mes sens Tes mots forts, soufflés, qui subliment mon indécence Ceux qui éveillent en moi, tant de désordre, tant d'émois // Laisse glisser tes doigts, là dans ma chevelure Attrape ma tête, je veux sentir cette puissance La force de ton désir, sur mon derme, pose ta griffure Brûlante, que je m'abandonne en accord, tout en aisance// Le 4 aout 2019 Pour toi mon A
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Par : le 30/07/19
Un horrible cauchemard Il y a bien longtemps, dans une lointaine galaxie... Je dors du sommeil du juste (pléonasme pour un Maître). Mon adorable corps dénudé en partie couvert par celui de ma soumise, elle aussi en tenue d'Eve. Presque devrais-je dire: elle ne porte que son collier de chienne. A ma main, la laisse que je ne quitte pas de la nuit. A animal pas encore totalement dressé, point trop de liberté ne faut. Puis l'horreur commence. Au petit matin, regardant son Maître endormi la soumise entreprend de caresser la partie de son anatomie faisant honneur à la gente masculine. En véritable machine de guerre, l'objet du désir, aussitôt en branle se met. Jusque là rien d'anormal, cela lui arrive 5 ou 6 par jour (les mauvais jours). Mais voilà, la soumise audacieuse non contente d'avoir démultiplié le volume de l'engin se met en devoir de le goûter. Soit dit en passant quel manque de mémoire, elle l'a déjà fait plusieurs fois la veille encore. Et la voilà qui sans autorisation caresse, léchote, suce et aspire sans vergogne l'objet du délit. D'initiée! Ses talents ne sont pas à remettre en cause, pourquoi donc s'entraîner en pleine nuit ? Le pire arrive alors, ce qui est souvent le cas avec les soumises désobéissantes. La chienne se met alors en devoir de chevaucher son pauvre Maître désarmé, profitant honteusement de son sommeil! Et la voilà qui, lui tournant le dos, suprême insolence soit dit en passant, s'empale sur cet engin admirable, chevauchant -pour l'instant- impunément son Maître trop confiant. Et la gourmande monte et descend, et va et vient... En sueur, elle se retourne, lèche la joue de son Maître pour reprendre son infernale sarabande de l'autre coté ! Quelle impudence. Imprudence aussi... Toujours sans ordre! Manquerait plus qu'elle jouisse. Elle ajoute encore pire à sa désobéissance : elle commence à gémir de plus en plus fortement au risque de réveiller son infortuné propriétaire qui goûte un repos pourtant amplement mérité. Egoïstement elle n'en n'a cure. Dans son sommeil, le malheureux, sans doute un peu somnambule caresse ses adorables seins. Geste machinal tout au plus. Un degré de plus dans l'horreur : la chienne, pour l'heure encore avide de chibre turgescent, se soulève et pose le sublime gland à l'entrée de sa rosette. Me croirez-vous au non, dans mon abominable cauchemar elle s'empale tout de go, d'un coup, au risque de blesser le malheureux. Et la voilà qui s'agite, reprend de plus belle ses va et viens. Aucun respect pour le fatigue du Maître, une véritable honte. Celui-ci, dans un état semi-comateux essaye vainement de se libérer en enserrant ses mains autour du coup de la chienne. Peine perdue. Tel un Pitbul au contraire ça l'excite encore davantage si c'était possible! Et là le drame, elle jouit. Oui vous avez bien lu cher lecteur effondré, l'insolente jouit sans autorisation... Elle crie, le corps secoué de spasmes, puis rejouit, et rejouit encore prolongeant horriblement le malheur de son Maître... Le calme est revenu sur les lieux du drame. L'homme n'a pas ouvert les yeux, pas certain de ce qui vient de se produire : cauchemar ou terrible réalité? La chienne enfin apaisée se désolidarise ( joli terme non?) de son Maître, et sans doute par mauvaise conscience et pour se faire pardonner lui lèche le visage, puis le sexe qu'elle doit bien nettoyer. Le malheureux prenant conscience de l'horreur qui vient de s'accomplir se pose mille questions: qu'a-t-il raté dans son éducation? Ses collègues Maîtres lui adresseront-ils encore la parole? Les soumises ne verront-elles pas désormais en lui un être faible? Un sentiment de honte le submerge. Dans un premier temps il voulait cacher cet événement dramatique, mais il comprend vite que pour exorciser un traumatisme si profond, il doit s'ouvrir et en parler, tentant de capter une main compatissante, une oreille attentive. Non pas de pitié mes amis, juste de la compassion et un soutien moral sans faille, voilà ce que j'attends de vous pour me remettre.
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Par : le 15/07/19
Du bout des doigts Je survole sa peau J'effleure le duvet de soie De son corps en repos Geste tendre contraire Au plaisir ennemi Je ne voudrais soustraire Sa silhouette endormie Ma main devenue caresse Les contours de son ombre Sensuelle en sa paresse Dans cette nuit en décombre Une douce essence se love Parfum suave inattendu Etranger à cette alcôve Dans les creux détendus De la belle allongée Le temps parait suspendu Je voudrais tant prolonger Ces secondes, ces minutes Mais déjà s'en va la trêve La douceur à la lumière Naissante du jour qui se lève Abandonne la garçonnière La pression de sa peau blonde Sa poitrine menue et ferme Suffisent pour que je succombe A la chaleur de son épiderme Le 09 07 2019 fiction
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Par : le 15/07/19
Dépose un baiser sur mes lèvres Juste au-dessus du rouge à rêves Qui colore ma bouche d'audace Et attise mes désirs fugaces // Dépose un baiser sur mon cou A la naissance de mon pouls Qu'il ruisselle en larmes salées Dans les sillons de mes pensées // Du rouge à rêves là, sur mes mains Qui cache croquis et dessins Sous des promesses de plaisir De découvertes à venir ... // Si tu déposes comme une flamme Un dernier baiser sur mon âme Je ferais fondre sous tes caresses Mes rêves rouges que je confesse // Dépose un baiser sur mes doutes Tout en douceur, au compte-gouttes Et laisse mes rêves s'épanouir Dans le carmin de leurs désirs // Le 08 07 2019
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Par : le 24/06/19
L'homme aux couilles bleues Il était une fois, dans un lieu de perdition, que forcément la morale réprouve (alors moi imaginez donc)... Dame Hydréane et moi dans vaste et chaud jacuzzi, nous nous embrassions voluptueusement. Alentours, un couple faisait de même puis se rapprochait doucement, certainement portés par l'onde induline. Ce qui devait arriver, arriva, un instant d'inattention et me voici bécotant une fort douce et jolie blonde qui embrassait merveilleusement. Ma soumise n'était pas en reste gratifiant son nouveau compère en CDD de quelques caresses dont elle avait le secret. Emerveillé celui se plongea dans le piège habituel tendu par ma Douce, ses insondables yeux noisettes. Ebloui, il pensa à voix haute : « elle a de vrais yeux de coquine ...! ». Lâchant une seconde la langue de ma voisine, j'ajoutai : « tu vois ma Douce, quand on est bien élevé, on ne dit pas salope, mais coquine ! ». Fard de ma belle Hydréane que je vis à peine, hapé à nouveau par des lèvres voraces. Un peu plus tard, ma soumise s'adonnait à nouveau à des pratiques aussi lubriques que libidineuses, ce qui n'était pas sans me gêner, mais bon, je prenais sur moi comme souvent. Entre son tempérament exhibitionniste et son âme délicieusement décadente, j'étais vernis. Bref, celle-ci faisait une démonstration convaincante de ses capacités buccales à son Maître. Par son talent autant que sa plastique irréprochable attirés, quelques voyeurs des 2 sexes observaient attentivement la divine scène. La Belle, vorace, autant que par son ouvrage accaparée ne s'en souciait guère.  Aussi lorsque l'un d'eux, plus aventurier que les autres osa s'approcher de plus près, s'adonnant ce faisant à un plaisir onanique, la soumise ne s'en troubla pas. Redoublant même étrangement d'ardeur à la tâche ... Le mâle (pour l'instant heureux) s'activait de plus belle. Le Maître satisfait de sa soumise, se mis en demeure de la besogner sérieusement. Celle-ci ne s'en plaignit nullement, entamant comme à son habitude ses jolies vocalises, faisant passer comparativement la voix de La Callas pour celle de Jane Birkin (généralement quittant Paris je retrouvais la pleine mesure de l'ouïe aux alentours d'Auxerre). Notre voyeur impénitent, se rapprochait doucement du petit volcan cette fois proche de l'éruption… Dans un esprit confraternel autant que de Noël, le Maître intima à sa Douce l'ordre d'aider le quidam à se soulager en caressant les bourses de celui qui, dans un premier temps, vis cela comme une bénédiction; d'évidence la belle ne se fit point prier, obéissant à ce type d'ordre avec une bonne volonté qui ne cessait de m'émerveiller. Innocemment (on non?), la soumise se saisit des testicules du malheureux (cette fois …) les broyant gentiment dans sa petite main étrangement musclée pour l'occasion. J'entends encore ces mots «aaaahhhhh, doucement !!!» . Ce qui ne manqua pas de déclencher un début de fou rire du Maître autant que de la soumise. Quelle perverse! Le handicap de ce dernier était pour autant bien supérieur, suivant le sage adage qu'il est plus difficile de tendre le bras que d'écarter les cuisses (NDLR : philosophie paternelle). Avez-vous déjà tenté de maintenir une érection dans ces conditions ? (Les Dominas équipées de god-ceinture n'ont pas le droit de jouer). Dans un effort quasi surhumain, reprenant son sérieux, le Maître y parvint pourtant et se remis avec autant de volonté que l'application à la tâche, déclenchant assurément l'admiration de tous (voir l'envie pour certains…), enfin au moins de sa Belle. Celle-ci avait par ailleurs adoucit sa caresse, ce qui entraîna un effet immédiat sur son fan, momentanément entre 2 eaux. Libéré, le pauvre se retira en se tenant néanmoins étrangement les bourses… J'aurais parié qu'elles étaient bleues dans la pénombre du lieu ...
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Par : le 17/05/19
Vision nocturne Ton corps qui ondule J'aime ta nudité Qui rime avec liberté Transcender ce moment fort Où l'on trouve le point d'accord L'envie d'une symphonie de plaisir Jouée à la satiété de nos désirs Désir profond d'entendre les râles De ce corps devenu animal le 12 05 2019
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Par : le 17/05/19
Moments choisis Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine... _ Allo? (softail) _ Bonjour mon Maître ! (Hydréane) _ Bonjour ma Douce _ J'ai une mauvaise nouvelle; vous savez le plug que vous m'avez acheté, celui que j'aime bien, et bien il est mort, HS. je l'ai usé je crois... _ (éclat de rire) Tu es unique ma Douce _ Surtout ne dites rien, je me ferais charrier sur le forum! _ Compte sur moi... _ Ce matin j'ai décoré mon sapin, il est super beau (Hydréane) _ Cool ma Douce, tu m'enverras une photo _ Je dois vous dire... Il y a une petite particularité dans la déco... _ ...Oui? _ J'ai mis mes boules de geisha que vous m'avez offert _ Mort de rire! Naaannn, t'as fait ça? _ Ben oui quoi, elles sont jolies les dorées, ça va bien avec le reste de ma déco, c'est dans le thème _ Euh...Et si quelqu'un remarque que tes 3 boules sont relièes par un petit cordon? _ Bah pas grave, j'dirai que je me suis trompée. Nous sommes assis à une table de restaurant. Nous discutons BDSM: matériel, pratiques, rencontres... A bâtons rompus; nous avons trop peu souvent cette chance... Au fur et à mesure que ma Douce me parle, intarissable, un immense sourire illumine mon visage. Elle ne comprends pas bien mais ma Douce poursuit, aiguillonnée par mes soins.  Plus ça va, plus je ris franchement, et lorsque que nos deux voisins de tablent partent avec un grand sourire eux aussi, Hydrénae me glisse, surprise: « mais qu'est-ce qu'ils ont? Ils n'ont pas arrêté de me regarder! Surtout le gros avec un oeil pervers! »  Je lui fait remarqué l'exiguité du lieu, la promiscuité qui s'en suit et le fait qu'à peine un mètre nous séparaient de ces deux messieurs qui ont interrompu très vite leur conversation pour mieux écouter la notre. M'en rendant compte j'en ai rajouté l'air de rien, t'orientant... Rarement ma Douce a piqué un tel fard... Un mail récent  « Mon Maître, terrible nouvelle, mon God le premier que vous m'avez acheter est mort; il ne marche plus du tout et pourtant j'ai changé les piles! Bah moi je l'aimais bien celui là... » Lui aussi donc, mais comment fait-elle pour les user comme ça??? Mais cher lecteur(trice) le meilleur est à venir « Je ne sais que faire, il faudra que je le jette. Ou que je l'enterre au fond du jardin avec mon plug ^^ » Signé Votre Hydréane sans God ^^.[/i] J'imagine vanille bêcher le jardin au printemps pour planter des carottes: ah tient il y en avait déjà... Hydréane Nous sommes dans un sauna ; mon Maître s’amuse à faire bruit avec son corps qui réagit a la vapeur et à l'humidité , vous savez ces bruits fort délicats qu'il imite à la perfection et  il y va de bon cœur ; il est allongé le  sur un petit muret à force de faire le pitre il glisse et se retrouve parterre face à moi qui est morte de rire et j'ai des témoins et voila mon pauvre Maître a mes pieds après une terrible glissade. Il faut vraiment s'imaginer cette scène ^^ Softail JE TE DETESTE! ^^ De tout mon coeur ma Douce. Oui j'avoue que j'ai rit en te lisant en souvenir de ce moment mémorable (devant témoins oui ^^). Mais bon là t'es en train de pourir mon post! Je vais sévir (la différence entre nous deux c'est que moi je vais vraiment pouvoir le faire, héhé) Hydréane Toujours au sauna  en parlant de travesti. Nous sommes dans le vestiaire ou l'on se déshabille. Arrive une superbe femme, de dos bas résille talon aiguille, jupe léopard elle se retourne son , décolté et plongeant ; je vois mon  Maître regarder non pas regarder son regard  pervers est plein d'envie devant cette sublime femme..... Je souris elle me regarde et je vois que c'est un travesti , mon Maître na pas encore vu ; je lui dis mais c'est Huguette il lève les yeux vers la femme ^^ Son regard dépité m en dit long. Je vous assure qu'elle a suivit Softail tout le temps que nous étions la ^^Je vous raconte pas comment elle a léché la vitre en regardant Softail droit dans les yeux ^^ Et comme certain le savent ici entre mon Maître et Huguette c'est une grande histoire d'amour ^^ Softail Je revois ce travesti d' 1M90 lécher la vitre du sauna quand nous étions de l'autre coté, toi morte de rire, de ce rire bon enfant, communicatif, celui qui vient des tripes... Vive le sourire du matin Ma Douce s'occupe de la réservation d'un hôtel pour nous. Bah oui, diriger, c'est savoir déléguer aussi ! ^^ Elle m'envoie confirmation de la réservation:"Mon Maître j'ai réservé l'hôtel, j'ai hâte d'être votre chienne, que me fouettiez...Signé votre petite salope soumise"; Vous comprendrez que j'aie abrègé pour les âmes sensibles.  Second mail 24h plus tard: " Oups mon Maître ce n'est pas à vous que j'ai envoyé confirmation de la réservation mais à l'hotel directement!!! La honte...Au fait j'avais déjà commis cette bourde une fois, l'an passé ce n'était pas déjà avec eux?" Ma réponse:  " Si ma Douce ... " Hydréane : Mon Maître venez racontez comment vous avez casser la cravache ^^ Ce qui est drole pendant nos rencontres c'est que il nous arrive toujours quelque chose ... Mon Maître qui me donne des coups de cravache , et là je vois un truc noir passer devant mes yeux, vous me croirez si vous voulez les amis c'est l'embout de la cravache qui vole dans la chambre... Softail cherche le bout partout et je pars dans un fou rire énorme, vous avez déjà vu un Maître cherche un embout de cravache... Le pire c'est qu'il le refixe (ou croit le faire) et recommence ,je ne peux me retenir malgré les coups et mon Bâillon le fou rire me prends quand l'embout retombe à coté de moi... N’empêche que la cravache à déraper et pour la première fois je saigne . Mais je ris et j'en ris encore de voir Softail chercher l’embout. Que j'avais cacher dans ma main ^^ Softail : Non mais il faut avouer que j'ai un certain mérite quand même (softail se la pète grave): garder son sérieux pendant que sa soumise part dans un fou rire mémorable pendant une séance de cravache. Bon je dois recoller les morceaux et cette garce cache l'embout dans sa main!!! C'est pô une vie d'être Maître d'Hydréane, j'vous jure! Ma Douce renvoie un mail à l'hotel pour savoir s'ils ont un parking. _ ça va ma Douce, cette fois-ci pas de bourde dans le destinataire? _ euh non mon Maître, mais euh, comment dire... Je viens de m'apercevoir que ma signature électronique est « hydréane soumise de Softail"!!! Ca veut dire qu'à chaque fois, tous mes interlocuteurs lisaient ça... _ mort de rire ma Douce ^^ Nouveau baillon boule; pas croyable en une séance ma Douce a: _ machouillé le baillon; HS! Pfff ces chiennes qui bouffent tout dès qu'on relâche à peine la surveillance... _ usé la cravache (fesse trop dure surement, c'est de la carne!!!). Ces 2 objets mytiques iront certainement rejoindre le plug et le god inhumés au fond du jardin.  Un moment de recueillement je vous prie... softail ému Bon, avouons quand même qu'Hydréane est une jolie blonde ^^ Et passablement douée pour se mettre seule dans l'embarras; comment trouverai-je tant d'idées sans son aide involontaire? Exemple: _ vous voyez mon Maître, quand j'aurai trouvé ma perle rare, ma soumise, je lui ferai faire ceci ou lui donnerai telle punition! _ excellente idée ma Douce, j'en manquais pour toi ^^ _ nooooon, z'avez pô le droit! _ mais si ma Douce, ton Maître a tous les droits, grâce à toi... ^^ _ c'est pô juste, je boude na! (en général ma Douce tape du pied à cet instant précis) _ décidément j'ai bien choisit ma position ^^ _ euh, mon Maître, quand est-ce qu'on switch?  (en général à bout d'argument elle commence à délirer gentiment, ou alors c'est qu'elle fume des trucs Ma Douce a reçu quelques jours auparavant son collier. Un joli collier de chienne. En cuir ou quelque chose comme ça. Serti de diamants,ou quelque chose comme ça (on n'a pas tous les même moyens^^). L'ayant acheté à distance, j'avais vu un peu grand; il était trop large, même resserré au dernier trou. Je lui avais enjoint, ravi, d'aller voir un cordonnier pour faire percer, un voir 2 trous supplémentaires. Presque comme si je pressentais ce qui pouvait se passer. Cela ne manqua pas. Sans doute devant son air gêné,celui-ci l'a regardée droit dans les yeux et lui a demandé: _ c'est pour vous? _ oui... J'aurais payé cher pour voir la tête d'Hydréane à cette seconde précise ^^ "Bonjour mon Maître, votre soumise Reine de la boulette: j'ai souhaité l'Anniversaire de F, une amie soumise et je me suis trompée de personne: j'ai envoyé une photo sexy de femme à une copine avec un doux message... Aie aie! " ^^ Ca arrive ma Douce, elle comprendra surement. Enfin peut-être. Enfin tu verras bien. Et puis l'important est que cela reste entre nous: tu te rends compte si d'autres savaient que tu es la reine des boulettes? Tout le monde voudrait venir manger un couscous chez toi.  
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Par : le 17/05/19
Assise, jambes écartées, entièrement habillée, gainée de nylon et de bottes, je signe en V mon désir. Large lettre, symptôme majuscule, désir capital. Trop bien installée, il faut croire. Vue courte ou jambe paresseuse, il m'enjoint de descendre d'un cran. Par terre, sur le tapis. J'attends qui de l'objectif de l'appareil photo ou du regard, de la main ou de la queue prendra possession des lieux. Rien de tout cela, il faut croire. La semelle d'une chaussure d'homme, c'est tout ce à quoi j'ai droit. Sur le moment, je m'interroge sans rien dire de mon questionnement fugace, est-ce une humiliation ? Parce que je ne mérite qu'un morceau de cuir tanné entre les cuisses ? J'ai maintes fois montré que je pouvais me branler sur n'importe quel objet, que je pouvais tirer du plaisir de tout et de rien. L'idée de "plaisir en chasteté". De jouir en me frottant à n'importe quoi. Mon clitoris sur le pommeau du lit, la couverture d'un livre, une cuisse mâle... Une intromission de talon haut, d'une vis sans fin, d'un levier de vitesse... N'importe quoi, vous dis-je. Alors la pointe de sa chaussure, c'est déjà un morceau de lui. C'est sa continuité, ou son début si l'on espère davantage. Il y a un moment de flottement, un sentiment oscillant entre cette sensation d'être humiliée, la posture, le fait de me déplacer par terre en rampant sur le dos, réduite à ce statut de bête. Le mot qui zèbre ma conscience d'humaine chancelante est "traînée", deux sens du terme, qui accepte cette seule option, ne se voir proposer qu'une pointe de chaussure, et pourtant s'en faire son délice, prendre son plaisir là où il était sur ce morceau de cuir. Après l'hésitation première, je me suis offerte à cette incongruité, la pression sur mon entrejambe, les cuisses écartelées, toujours jupe et collants, vêtus tous deux et pourtant soumis à nos perversions nues, cette brute obédience à nos pulsions, directes, directives, sans issue possible que cette pureté dans le vice. L'apparence sage que dément le bout de la chaussure en butée contre mon sexe voilé. Où se niche la chasteté, où se cache le plaisir sale de se faire baiser par une chaussure. Oui mais pas n'importe laquelle, c'est son pied, sa jambe, et dans le prolongement, son oeil. C'est l'érection d'os et de tendons sous le cuir, la cheville qui s'agite, le pied qui bande. La pointe tape le clitoris, s'immisce dans la fente obscurcie qui se tend pour en prendre davantage. Animale, le bassin arqué vers l'objet du plaisir, orientant sa propre tension, sa propre jouissance, n'osant quémander mais venant grappiller ces quelques millimètres de plus qui feront la différence. Bascule haute vers la chaussure qui frotte et pénètre. Réduite à rien. Objet mu par le seul plaisir sexuel. Jusqu'à l'obtention d'un orgasme miniature, frustrant, et paradoxalement cérébralement comblée car c'est tout ce que l'on obtiendra cette fois là.
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Par : le 17/05/19
Crocs contre cri chair contre chuchotement La chasse était ouverte La proie était promise Il suffisait de tendre les mains, d’ouvrir les serres, de refermer les poings Il suffisait d’un baiser avec les dents
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Par : le 17/05/19
La peau était vierge sous la lumière pâle de la lampe qui éclairait d'un halo soyeux le double sillon des omoplates. Les cheveux noirs, raides, se rangeaient de chaque côté de la nuque, qu'une raie départageait, et retombaient par dessus les épaules. Le dos était parfaitement dégagé, magnifique dans son opale nudité. La page blanche sur laquelle l'homme s'apprêtait à écrire tremblait légèrement. L'épiderme soulevé de vagues s'apaisa. Il y passa la main pour lisser les dernières ondulations. La caresse arracha un ultime frisson qui redescendit en vibrations le long de la colonne, jusqu'au creux des reins animé d'une petite fossette tout sourire. Les fesses en contrebas, fermes et charnues, ne bougeaient pas. Elles semblaient contractées. Elles finirent elles aussi par se détendre, quand l'homme posa la pointe de son pinceau pour un premier contact, à sec. Le manche en bambou se dressa à la verticale et remonta des lombaires au trapèze. Mieux qu'un massage, une respiration, une trajectoire d'énergie. L'apprentissage de la peau lui était essentiel. C'était une découverte, un toucher, un doigté dont dépendait le résultat de l'oeuvre à venir. Il devait en mesurer l'élasticité, la finesse, le grain, la sensibilité, la souplesse. (...) Récit un peu long, la suite sur soundcloud au bout de ma voix ;) https://soundcloud.com/user-632733430/a-main-levee-perle-vallens
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Par : le 17/05/19
Add-moi. Pin-moi.Tweete si tu me likes Ma life en MP si tu me spam. Selfie so sex au bout du curseur cramée l’échancrure éclate en surex touchée dans le flood Meet-moi direct. Mon avatar en 3D Booking now, chambre d’hôtel et chair irl Tu y crois à la réalité augmentée aux pixels ajoutés, à l’amour virtuel Gamer joue encore Pulsation de lumière bleue on the cloud par toutes les fenêtres ouvertes Tu n’échappes pas au bug Données invalides d’un cœur hacké Il ne reste plus qu’à verrouiller à supprimer les codes d’accès jusqu’à ce que la mémoire explose que les mots éclatent sur la bande passante Reboot si tu peux (et clin d'oeil au passage à @Faune de PoinZro )
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Par : le 29/04/19
Dans son regard je sentis qu'il s'abandonnait, il ne me ménagerait plus mais jusqu'ou irait-il? Après cet affront que je venais de lui faire subir et toujours en me regardant de ce regard dur, il se leva, remonta son pantalon, le ferma puis il enleva sa ceinture en cuir, la plia en deux et la fit claquer entre ses mains, je compris que cette ceinture était ma punition. D'un coup sec il l'abattit sur mon ventre, la douleur était intense, puissante et instantanée; c'était la première fois que quelqu'un utilisé une ceinture pour me punir et il le savait. "Tu voulais découvrir? Alors savoure, parce que j'ai été gentil mais ça ne sera plus le cas, tu vas regretter de m'avoir défié". Quand il prononça ces mots je compris qu'il ne parlait pas seulement de la morsure que je lui avais infligé mais de tous ces moments ou je m'étais débattu, de tous ces mots que j'avais prononcé pour le défier. Et en prononçant ces mots il abattit une nouvelle fois la ceinture sur mon ventre, plus fort encore. Il avait raison, je voulais découvrir mes limites et a en voir son regard, il avait décidé que c'est avec lui que je les découvrirais et que je les découvrirais et il avait décidé que était aujourd'hui et maintenant. Il continua de faire rougir mon corps sous les coups, variant la puissance de ses coups et la longueur de la ceinture, mes seins n'étaient plus douloureux, ils souffraient le martyr, a chaque coup sur l'un deux je me retenais de le supplier de les épargner mais j'avais trop de fierté pour ça. L'intérieur de mes cuisses étaient maculée de traits, de marques, les coups ressortaient, on pouvait désormais, sans regarder, juste en touchant, savoir ou la ceinture était tombée. De mon coté je serrais les dents mais mon envie, malgré cette fulgurante douleur n'était pas amoindrit, elle augmentait, ce qu'il ne manqua pas de me faire remarquer lorsque, après ce qui me parut une éternité, il posa la ceinture et qu'il vint poser ses doigts entre mes cuisses humides. Il me détacha les cheville et bien que j'ai envie de lui j'étais heureuse que ce soit fini, je ne savais pas si je serais capable de supporter un nouveau coup. Cependant je me trompais, seules mes chevilles étaient détachées, mes poignets restaient emprisonnées. Ce n'était donc pas fini, il regarda mon corps, regardant les marques qu'il avait faites avec un souvenir satisfait, il me regarda "Peut-être que la prochaine fois tu ne me défieras pas, ou peut-être que si, parce que visiblement tu aimes ça". Pour appuyer ses dires il posa mes chevilles sur ses épaules et une fois encore me penetra, sans délicatesse mais sans difficulté parce qu'une fois encore mon corps l'accueilli avec joie. Il s'arrêta a chaque fois que j'atteignais le point culminant, repoussant mon orgasme, me frustrant; c'était encore plus douloureux que les coups et il le savait mais infatigable il continua à me torturer jusqu'au moment ou il s'arrêta pour me poser une question "Tu as quelque chose à me dire?", je ne savais pas ce qu'il attendait comme réponse mais une me vint tout naturellement, elle sorti de ma bouche, sans retenu, aucune barriere n'avait jugé bon de s'interposer, mais dès que ce mot eu franchi mes lèvres je sus que je payerais "Connard". Il me regarda et il se mit a rire "Tu n'as pas compris la leçon?", je le regardais et bien que par fierté je ne voulais pas prononcer ces mots je le fis tout de même "Excuse moi.". Il continua de me regarder surpris mais déterminé "Je suis content que tu t'excuses, ça a du te demander un effort considérable mais il est trop tard.". Sans que je l'ai vu, il avait attrapé la ceinture et me cinglait les fesses, cette courte distance ne me permettait pas d'avoir mal mais l'acte y était. Il reposa ses jambes et revint sur moi. Il posa la ceinture sur mon cou, m'étranglant, diminuant ma respiration et d'un coup de bassin il me penetra, répétant le même manège qu'auparavent sauf que cette fois aucun son ne pouvait plus sortir de ma bouche, l'air manquant dans mes poumons. Il revint a mon oreille "Tu te souviens de ma menace? Garde la dans un coin de ta tête, on peut si facilement glisser." Il retira sa ceinture de mon cou, je respirais a grande goulée d'air, lui avait cette lueur démoniaque dans ses yeux, il savait ce qu'il allait me faire ensuite et il y était préparé. D'un coup il descendit au pied du lit, il attrapa mes chevilles et me retourna, j'étais désormais sur le ventre, les bras croisés et donc plus serrés, dans une position encore plus inconfortable. Et dorénavant la partie de mon corps non meurtrie était sans défense et a sa merci. Je tournais la tête pour le regardait, il tenait le martinet dans une main et la ceinture dans l'autre, il me regarda et reposa le martinet, gardant la ceinture et modifiant la longueur pour que la douleur s'intensifie. Il frappa une fesse, puis l'autre, chacune une fois, il fit de même avec mes cuisses et, mon dos, lui se prit trois coups violents. A mon grand soulagement il posa la ceinture et vint se placer au dessus de moi, il prit mes cheveux d'une main et tira, cela me fit pousser un crie puis gémir, lui commença descendre pour me pénétrer mais arrêta sa descente et me parla "Tu as mal, tu cris quand je te tire les cheveux, pauvre petite. Là, tu vas avoir une bonne raison de crier" et d'un coup violent, il me penetra, il m'encula comme il l'avait promis, j'hurlais sous le coup de la douleur puis je me sentis déchirée de l'intérieur. Il ressorti, "Désolé j'ai glissé, je t'avais prévenu que ça pouvait arriver.". Il reprit la ceinture, mit quelques coups sur mon dos puis il l'enroula autour de mon cou et serra puis il me mit a quatre pattes. J'avais les bras écartelés, l'air me manquait, mon corps me brulait, je me sentais déchirée de l'intérieur et j'avais les fesses en l'air le dos cambré. Lui regardait ce spectacle qui semblait lui plaire, nu, le martinet dans une main et un briquet dans l'autre, d'un regard il me montra une bougie, il se dirigea vers elle et l'alluma. Il se plaça derrière moi et du bas des cuisses jusqu'en haut du dos il me frappa avec le martinet, la douleur était intense mais plus supportable que celle de la ceinture, ma chaire était douloureuse mais moins. Il attrapa la bougie et laissa quelques gouttes tomber sur mon dos, j'aurais voulu hurler ma douleur mais l'air me manquait toujours, malgré tout ma plus grosse douleur était celle de tous ces orgasmes qu'il avait retenu, empêchant mon corps d'explosé, chaque centimètre de mon corps respirait l'envie et le besoin d'évacuer. Lorsqu'il se plaça derrière moi je cru que le supplice était fini mais une fois encore, d'un coup de rein, il m'encula, me déchira de l'intérieur, bien que l'air manquait un hurlement sorti de ma bouche et tandis qu'il continuait ses vas et viens mon corps s'abandonna. Enfin j'avais lâché prise et il avait prit le plein controle, il avait réussi a me briser en mille morceaux et mon corps lui appartenait, désormais je n'avais plus de limite, il pouvait faire ce que bon lui semblait et c'est ce qu'il fit. A cet instant j'étais sa soumise et il avait gagné. SI vous avez réussi a tout lire je vous remercie pour votre lecture, j'espere que mon écriture vous aura plus, je débute dans ce domaine. Tous les conseils sont bons prendre.
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Par : le 29/04/19
J'avais beau avoir perdu, j'avais le sentiment d'avoir gagné. Lorsqu'il revint dans cette pièce ou il m'avait laissé seule et sanglée, il tenait un martinet. Il s'approcha de moi, toujours ce sourire narquois accroché au visage. Il était habillé et tenait son martinet, j'étais nue et attachée, je ne pouvais pas me défendre mais la folie de mon esprit m'incita à parler, à le défier une fois encore "Tu crois que tu me fais peur?". Il écouta ma question avec amusement et me sourit, "Non, je ne pense pas te faire peur. Sauf que tu ne connais pas mes limites." et a ses mots je frémis. On avait déjà évoqué ce sujet ensemble, je ne connaissais pas ses limites mais cela venait du fait qu'il ne connaissait pas ses limites non plus. Il ne les avait pas encore atteintes, il avait pourtant été loin mais je lui faisais confiance. J'étais prête a trouver ses limites avec lui et j'étais prête a trouver les miennes par la même occasion, cependant étais-je prête a les découvrir aujourd'hui? Pendant que je vagabondais dans mes pensées réfléchissant a ses mots, lui, promenait le martinet sur mon corps puis d''un coup sec il me ramena à lui "Reste avec moi". Sous le coup et sous la surprise, j'acquiesçais sagement, ce qui le fit sourire. Les lanières étaient douces lorsqu'elles se baladait sur mon corps mais cinglantes lorsqu'elles rencontraient ma chaire. A chaque rencontre mon corps se cambrait, à chaque rencontre les marques sur mes poignets et mes chevilles devenaient plus profondes a mesure ou je tirais sur mes liens. Mes seins étaient douloureux, mes cuisses étaient zébrées, mon ventre marquées, coup après coup je voyais ma chaire rougir, devenir brulante et sensible, j'avais mal et pourtant a chaque coup un gémissement m'échappait, je mourrais d'envie. Je voulais le sentir en moi et il l'avait bien compris. Il posa le martinet et s'approcha, il baissa quelque peu son pantalon et s'allongea au dessus de moi, se positionnant juste au dessus de mon envie. "C'est ça que tu veux?" Je le regardais, je ne voulais pas répondre. D'une part je ne voulais pas me soumettre en admettant qu'il avait raison et d'autre part je ne voulais pas qu'il entende mon souffle saccadé. Je restais impassible essayant de masquer mon impitoyable envie. Tandis que je faisais tous les efforts du monde pour me contrôler, lui, de son bout, titillait mon bouton, et faisant tomber mes barrières il me penetra d'un coup de rein, sans prémisse, violemment. Il avait anéanti tous mes efforts pour lui résister, il m'avait fait crier, une fois encore il avait gagné et il me reposa la question "C'est ça que tu veux?", cette fois j'acquiesçais mais toujours sans prononcer un mot. Il continua ses coups de reins, toujours violemment mais la douleur faisait désormais partie intégrante de mon plaisir et je me sentais monter, prête a exploser. Cependant lui aussi le sentait mais avant que je m'abandonne au plaisir il arrêta et se retira. Toujours sur moi il approcha sa bouche de mon oreille et prononça seulement deux mots qui me firent me déchainer "Frustrant non?". D'un coup je me mis à tirer sur mes bras, sur mes jambes, bougeant pour le faire descendre de mon corps, de se corps dont il avait prit la possession. Chaque mouvement mordait ma chaire, ces impitoyables lanières ne me laissaient aucunes chances et lui, ne bougeait pas d'un centimètre malgré tous mes efforts se contentant de me regardait amusé et en s'approchant pour m'embrasser il me dit "Tes efforts ne servent à rien, tu es a moi". Ces mots me firent frémir de plaisir mais je n'étais toujours pas disposée à le laissait faire. Ainsi lorsqu'il posa ses lèvres sur les miennes je le mordis. Il jura et quand il se redressa je le vis s'essuyer les lèvres il me regarda et revint susurrer à mon oreille, sauf que cette fois sa voix n'était plus douce et taquine, elle était devenu rude et rauque tout comme ses paroles "Recommence ça, juste une fois et je t'encule.". Il n'était plus narquois, il n'était plus amusé, je savais qu'il ne parlait pas d'un rapport doux comme nous l'avions eu la veille, je savais que s'il mettait sa menace a exécution cela serait pour me pénétrer comme il l'avait fait quelques instants plus tôt, sans le moindre préambule, violemment et sans doute douloureusement. Je le voyais dans ses yeux, il n'était plus l'amoureux avec qui je m'amusais, il était devenu le dominant qui n'aurait plus aucune pitié.
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Par : le 29/04/19
Je suis nouvelle ici, je ne sais pas si ce récit est un récit que vous apprécierez et qui rentre dans vos critères mais j'essaye, j'attend vos avis pour progresser. Je le provoquais depuis plusieurs jours déjà … ce jour la, au premier éclat dans ses yeux je compris que j'aurais ce que je voulais. J'étais dans ses bras, lorsqu'il tourna la tête, me regarda et m'embrassa. Je vis cette étincelle dans ses yeux bleus, je sentis la dureté de ses lèvres généralement si douces et je compris qu'il ne s'arrêterait pas la. Je rêvais de ce moment, ce moment ou il prendrait les commandes et ou je pourrais m'abandonner, tout entière à lui, cependant je ne comptais pas le laisser faire aussi facilement. Il fut sur moi en moins de deux secondes et me saisit les poignets sans me laisser le temps de réagir, il se baissa et approcha sa bouche prêt de mon oreille " Ne te débat pas, tu as déjà perdu d'avance." puis il posa ses dents sur mon cou et mordit. Il me regarda a nouveau et ce fut a mon tour de parler, je le défiais "Tu crois ça?", mon regard provocateur rendit son regard encore plus noir, il comprit que je comptais résister et cela lui plaisait, cela le fit bander "Oui je crois et je suis même sûr que tu vas perdre.", je sentis son excitation mais son visage était impassible, il restait maître de lui même. Malgré mon combat pour m'échapper il réussit a m'attacher, un a un les membres de mon corps s'abandonnaient aux sangles qui attendaient patiemment et impitoyablement de marquer ma peau et ainsi de laisser leurs marques. Une fois qu'il m'eut immobilisé il se leva et me regarda avec un sourire narquois, moi, la femme nue, attachée et sans défense qui gisait désormais dans son lit. Il avait gagné et il le savait. Sans plus me regarder, il sorti de la pièce, me laissant ainsi.
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Par : le 19/04/19
Exposée, prosternée, fesses offertes. Je suis prête à jouir, humide, ouverte. Jouir de tes attentions, de tes baisers. Embrasés des félines lanières du martinet. Sur mes reins, mon cul, et mon sexe-fleur. Un martinet d'abord douceur. Inventant avec délicatesse. Sur mon corps, mille caresses. Puis pour attiser les sens, cet objet fripon. N'hésitant pas à s'infiltrer sans permission. En des lieux secrets, sensibles et soyeux, Ardent amant, lascif amant-serpent. Ondoyant, ondulant, s'immisçant. Pour éveiller et faire frémir le volcan. En moi somnolant. Un martinet enfin, voyou Naturel, un peu fou Et, qui, brûlant Comme moi de passion, embrasse Fougueusement, Hardiment la pointe de mes seins Impatients, l'œillet épanoui de mes reins Et, le fragile bourgeon. Nacré de mon sexe en fusion. Neufs queues d'un chat dont les morsures. Saoulent mes sens de leur folles luxures. Et, de mon ventre en éruption font jaillir Ma jouissance...Pour libérer mon plaisir. Le 18 04 2019
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Par : le 14/04/19
Aussi loin que je me souvienne, c’est-à-dire il y’a 10 ans la domination s’est révèle à moi comme quelque chose d’essentiel Avec le temps j’ai rassembler les morceaux du puzzle compliquer qui me constituer disons cerebralement. Pourquoi mes relations vanilles ne marchait pas ? Par ce que rien ne me retenait chez l’autre, par ce que chacun avait ses secrets sa vie bien distincte et ce pseudo couple constituait seulement un espace à combler et pourtant je me sentais tellement vide. Puis vint le bdsm d’abord vécu comme quelque chose d’interdit, d’inavouable, j’avais 19 ans et n’avait qu’une idée très vague. Puis il y’a eu cette jeune fille sur qui je prenais le contrôle chaque jour un peu plus, tout me venait de façon quasi naturelle, j’avais l’impression que les mots, les gestes avait été enfouies quelques parts et qu’ils ressurgissaient comme si je l’avais déjà vécu dans une autre vie dans d’autre temps Petit à petit le bdsm venait combler cet espace et m’aider à mieux comprendre qui j’étais et ou je devais aller. En cherchant à analyser pourquoi et qu’est-ce que j’avais besoin dans le bdsm je comprenais que le mot appartenance était l’essence même de ce dont j’avais besoin contrairement à un couple vanille ou l’on cherche à enchainer l’autre a sa propre vie finalement le bdsm me permettait à travers l’appartenance à m’enchainer a l’autre je comprenais que la chaine avait deux bouts et que l’un et l’autre s’enchainer mutuellement « si tu tombes, je tombe » Vivant ma vie avec passion, je comprenais que derrière une relation bdsm se cachait un sentiment unique l’amour inconditionnelle c’est ce que je cherchais depuis le début. Et je comprenais également que le vanille était parfois dote d’un amour conditionnel qu’il fallait donner sans recevoir parfois et inversement. Alors j’ai cherché, j’ai vécu se sentiment parfois de façon trop éphémère, on tombe mais on se relevé car il est notre but L’outil internet permet de nous rassembler, de pouvoir partager nos visions nos points de vue et c’est libérateur, mais dans cette quête c’est parfois compliquer car cet outil se cache derrière un écran l’être humain peut alors jouer de ça et peut être trompeur. Les mots sont parfois mal utilisés ou manque totalement de sincérité par ce qu’on s’essaye à son pouvoir de séduction l’écran nous cache il ne nous révèle pas tel que nous sommes vraiment. Malgré ça on se retrouve parfois derrière des profils qui comme soi, sont vraiment eux même car ils ont compris qu’être dominant ou soumis n’est pas un choix mais que c’est de notre nature profonde que le blanc et le noir sont indissociable. On attend seulement cet autre qui vous complètera cet autre avec qui votre âme échangera, ça peut être la, ou au détour d’une rue mais c’est ce qui nous rend vivant
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Par : le 29/03/19
Mark Knopfler en fond sonore. Duos avec Emmylou Harris. Quelle classe, vraiment… Elle ramène un plateau en bronze sur lequel sont posés deux grands verres à whisky old school, un bol d’olives et une bouteille de lait. Bien plus léger que la crème… ayant posé le tout sur la table du salon, elle se dirige vers l’armoire en épais bois verni dont elle sort une bouteille de vodka à moitié pleine et une bouteille de liqueur de café. Décidément, les volumes ne tombent jamais justes. Le nécessaire à cocktails n’étant jamais bien loin, elle sert deux verres gigantesques… Au dernier moment, elle se ravise et ne se sert pas de lait. Ce sera un russe noir pour elle et un russe blanc, royaliste, pour lui. Pas royaliste, ni même royal… Ducal. Un russe blanc pour le Duc… Son Duc. Son Duc lui sourit. Même après coup, elle mène la danse et se place au-dessus de tout… On ne rencontre pas tous les jours une fille qui tourne au Black Russian… Capable de faire tout cela…
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Par : le 05/03/19
Dans cette affaire, l’homme demande à la jeune femme de venir les yeux bandés, de se dévêtir et de le rejoindre dans sa chambre guidée par sa voix. Cette dernière s’exécute. Comme convenu préalablement entre eux, «Anthony L…» lui attache les mains et il y a une relation sexuelle avec elle. Une fois le rapport sexuel consommé, il lui détache les mains et lui ôte le bandeau sur les yeux. La jeune femme découvre alors que son partenaire ne correspond pas du tout à l’homme avec qui elle pensait avoir eu la relation. La chambre criminelle de la Cour de Cassation, conclue que «l’emploi d’un stratagème destiné à dissimuler l’identité et les caractéristiques physiques de son auteur pour surprendre le consentement d’une personne et obtenir d’elle un acte de pénétration sexuelle constitue la surprise» et est donc constitutif d’un viol par surprise (C.Cass.Crim 23 janvier 2019 n° 18-82,833 )
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Par : le 25/02/19
Nous montons l’escalier principal, je dois ressembler à une enfant, les yeux pétillants ayant hâte de découvrir sa surprise. J’ai ce sourire d’envie qui s’affiche en grand sur mon visage. J’ai chaud aussi. Les deux verres de vin bu à table quasiment cul sec, pour nous remonter le moral avec Louna après les gesticulations violentes et les éclats de voix, me chauffent les joues. Arrivés en haut, Max m’invite à tourner de suite à droite. Des personnes que je ne prends pas le temps de regarder se tiennent de chaque côté d’un petit renfoncement. Max pousse alors la porte de cette vaste chambre explorée plus tôt dans la soirée avec Shape. Elle est plongée dans le noir, ou plutôt dans une pénombre violette, à cause de grands néons fluo disposés aux quatre coins de la pièce qui donnent à nos dents le sourire émaille diamant et à nos yeux un air de vieux chien diabétique à la cataracte avancée. Il referme rapidement la porte derrière nous, après avoir dit aux personnes restées dehors « quelques secondes de patience ». A cet instant je ressens une petite touche d’angoisse, là au creux de mon ventre. Passagère, je sais que Shape ne me laisserait pas, là où je ne souhaite pas être. Respire Lilo, fais lui confiance. « Max, Shape, connait le jeu des fantômes ? Vous lui avez expliqué ? Ou vous lui direz ? » « Oui, oui ne t’inquiètes pas. Tu aimes jouer ? et ce soir tu vas pouvoir mener la danse ! » Je respire encore. Le lit immense est à ma gauche. Une armoire recouverte d’un miroir orné de jolies moulures se tient fièrement à droite. A côté il y a un mannequin de couture sur pieds. Un fauteuil joliment habillé fait face au lit. J’entends de suite, des rires et des secrets qui se partagent à voix basses derrière un paravent de tissus brodés dans le fond de cette grande chambre. Max me propose de me mettre plus à l’aise, et de retirer ma robe. Je commence donc à me déshabiller sans sourciller. Se tenant dans mon dos, il m’aide à y défaire le nœud. Je suis légèrement troublée mais également touchée par cette attention. Il me tend son bras afin que j’y dépose la robe. Lorsqu’il découvre mon tutu, je comprends qu’il me faut aussi le lui remettre. Encouragée par son sourire et ses yeux charmeurs, je me déchausse également. Me voici en sous-vêtements et bas, prête à participer à un jeu dont je ne connais toujours pas les règles. Voyant que je ne m’oppose pas à l’idée de me dévêtir, Max m’explique que je ne serais pas nue à la vue des hommes puisque recouverte d’un drap blanc, et que je serais bien plus à mon aise sans ma culotte et mon soutient gorge, mais que j’étais libre de le faire maintenant ou plus tard, ou pas. Trop de choix s’offrent à moi. Je ne réponds rien et ne bouge plus. Il invite alors les voix de derrière le paravent à finir de me préparer. Trois petits fantômes arrivent. Ce sont des femmes. Je suis rapidement recouverte d’un grand drap blanc, il y a des trous pour mes yeux et un pour ma bouche. Max fixe au niveau de mon regard un masque rose qui permet de maintenir les trous aux bons endroits. Puis il me rassure en me disant que je suis aussi très jolie en petit fantôme et me place face au miroir de l’armoire. Nous sommes quatre formes blanches fluorescentes. Je souris, j’adore cette image dans ce décor. Nous sommes les spectres magiques qui hantent ce château ! « Voilà ce qui va se passer, je vais faire entrer un homme Soumis ou Dominant choisi par mes soins dans la chambre des petits fantômes et vous aurez dix minutes pour faire ce que vous voulez de lui, Absolument tout. Il aura pour consigne de se laisser faire et de ne rien dire. » Mes trois autres complices sont emballées. Moi, sur l’instant, j’arrête bien vite mes gesticulations et mon début de balai fantomatique en me rapprochant de mes trois nouvelles amies. Le fantôme n’en mène plus large du tout. Et pourtant dans ma tête, des envies commencent à embouteiller le portillon. Personne ne me verra, je serais et ferais ce que je veux et cet homme volontaire sera le complice obligé de mes jeux. OUIIIiiiii, mais ouiiiiiiii, J’applaudi presque hystérique, au moment où Max quitte la pièce. Nous entrons doucement dans notre rôle et voletons sur le parquet, les immenses draps blancs se distinguent fortement dans l’environnement très sombre et perçu comme plus inquiétant de la chambre. Je recommence à danser, comme j’aime toujours à le faire. Je suis une petite fille à qui l’on vient d’offrir une superbe robe à paillette qui tourne ! Je fais l’oiseau avec mes bras, tente de découvrir mes jambes de façon sexy en face du miroir. Je trouve ces formes et leurs contrastes appuyés très jolies. Sous le tissu, je boue déjà et ma respiration et l’humidité qu’elle transporte me pique un peu les yeux. C’est à cet instant que Max réapparait dans la pièce avec notre première victime consentante. Mes trois amies se précipitent à sa rencontre tandis que je l’observe. Il est de taille plutôt petite, n’est pas souriant et semble comme gêné. Son regard est peu expressif, alors que les filles sont à caresser son corps au travers de ses habits de soirée. Je comprends à ce moment-là, que le trou pour la bouche ne serre pas uniquement à respirer. L’un des petits fantômes s’agenouille aux pieds de ce timide et s’empresse de défaire la fermeture éclair et la ceinture de son pantalon. Dans un premier temps, mes pieds sont comme vissés au sol, je n’arrive pas à me décoincer. Elles sont deux agenouillées à présent. J’ai fait un pas ou deux ou trois peut être. Je veux voir maintenant. Elles le font s’asseoir sur le lit. Lui frotte le ventre à six mains. Je suis toute proche. Il a l’air si mal à l’aise. Il m’est presque gênant de me tenir debout et de voir son visage. Je n’arrive pas à savoir s’il a une érection, alors qu’elles s’entraident à remettre en phase les bouches et orifices des tissus. Max au moment de ressortir, nous incite à nous amuser d’avantage car il ne reste plus que quelques minutes. Je m’encourage, -Allez Lilo, lance-toi, c’est le premier pas qui compte ! Je fais alors l’effort de m’agenouiller et de me frotter à sa jambe. A quatre patte, j’attrape ses lacets avec ma bouche et défais sa première chaussure, puis sa seconde et les envois loin de lui. Je fais de même avec ses chaussettes. J’ai envie qu’il me caresse la tête, les fesses aussi que je m’amuse à gigoter. J’ai besoin d’être encouragée pour toucher sa peau. Mais rien ne vient. Alors toujours à quatre pattes, je fais le tour du lit et m’allonge dans son dos afin de reprendre ma place de spectatrice. Un des petits fantômes vient me rejoindre, passe sa main sous mon drap et touche l’une de mes cuisses, je suis surprise, je me laisse faire pourtant. Et comme pour remercier ce geste, je pose ma bouche délicatement sur la sienne, c’est amusant. Je reçois une caresse sur mes fesses et un « merci c’est très agréable ». C’est le premier baiser que je donne à une femme. Max revient accompagné d’une dame brune qu’il installe sur le fauteuil faisant face au lit. Elle regarde plus qu’attentivement la scène qui s’offre à elle, le visage pointu, la bouche tout aussi serrée que sa jupe droite en simili cuir. Etrangement je sens l’homme timide plus détendu. L’un des fantômes incite la femme à se transformer également en spectre blanc, je les aide à fixer le masque. Ce nouveau complice se mélange alors aux autres l’espace d’un instant, mais me rejoint très vite à l’autre bout du lit en me disant « cela ne m’excite pas du tout ! » Max entre à nouveau « les dix minutes sont écoulées ! Monsieur, Madame, après vous…Petits fantômes, tenez-vous prêt, un autre candidat arrive ». « Bah, zut, je ne pensais pas rester pour un second round moi » et en même temps l’étincelle curiosité clignote en mode feux de Bengale. J’ai envie de voir qui s’invitera à présent chez nous. Je déguise le mannequin de bois et de velours, afin de rajouter une touche mystérieuse. Un des fantômes sera immobile et n’en perdra pas une miette ! Han…, il me vient une idée, celle que Shape pourrait lui aussi à son tour passer la porte de la chambre et se laisser aller aux plaisirs prodigués avidement par d’autres sous mes directives implicites. Il me reconnaitrait rapidement, malgré ce drap, c’est certain. C’est étrange, je suis jalouse, possessive, ses yeux ne doivent être que pour moi, ses intentions aussi, mais là, dans ce décorum, et grâce au jeu, je suis excitée en projetant une scène dans ma tête sur écran géant. Moi à ses genoux le suçant de manière appliquée et amoureuse et lui touché et explorant le corps d’autres… Oh … ou alors, non…il entre et assis sur le fauteuil regarde les fantômes lubriques animer d’autres désirs en plus des siens qui resteraient secrets. Il noterait les sévices et corrections qu’il s’appliquerait à me faire subir ensuite, à moi, sa vilaine soumise incapable de rester sage. Je souris. Je veux jouer encore… Il entre. Brun, la cinquantaine, un peu plus grand que moi, de corpulence moyenne, le visage sombre. Mes amies s’animent autour de lui, je m’avance à mon tour et trouve rapidement ma place face à lui légèrement décalée sur sa droite, ma jambe gauche bloquée par un fantôme déjà afféré à le masturber. J’aime sa main. Je la caresse doucement, remonte le long de sa chemise, son épaule, et dessine sa bouche avec mon index. C’est osé, mais il a pour consigne de se laisser faire, et moi j’ai tous les pouvoirs, alors… Il me fixe. Je ne décrocherais pas la première ! Il touche ma poitrine au travers du drap, la malaxe avec ses deux mains. Nos regards ne se lâchent pas. Puis il fait remonter le tissu et tire fortement sur mon soutient gorge pour faire sortir mes tétons déjà saillants. Il les ferre, et se met à les pincer. - Je ne lâcherais rien Monsieur. Mes yeux le lui disent, et je sais qu’il a compris, car déjà son emprise se fait plus forte. Encore un peu plus mordante à mesure que je soutiens plus intensément son regard. Je suis à présent obligée d’entrouvrir la bouche, afin de gérer cette douleur qui me trempe l’entre jambe. Ne sachant plus rester droite, je commence à frotter mes cuisses l’une contre l’autre. Je ressens une pointe honteuse, mais surtout du plaisir qui remonte depuis mon nombril, vacille en passant par la pointe de mes tétons suppliciés et termine à présent en soupir, là, tout contre mon palais. Lui transpire, son visage perle. J’aime ce qu’il me fait, j’aime cette façon qu’il a de me tester, j’aime le provoquer, me bousculer. Je gémis un peu, jusqu’au moment où, plus fort que moi, je lâche un cri et quitte ses yeux pour baisser les miens. Son souffle est devenu râle. Il lâche alors mes seins, dépose un baiser sur mon front puis je me retire. Je reprends ma place à l’autre bout du lit et récupère doucement une respiration plus calme. En retirant mon soutient gorge, et réajustant mon habit de lumière, je réalise avoir pris du plaisir uniquement grâce à mes tétons. Là encore, une première ! La personne suivante est plus joviale, il lui tarde de toutes nous toucher. Son corps est dur, son ventre rond. Il est debout au milieu de la chambre. Il m’est facile, de me faire féline à quatre pattes et de caresser, mes flancs, mes fesses, mes cuisses et une fois debout, d’écraser ma poitrine emplie de désir tout frais contre lui. Excité, il veut m’embrasser, mais ne trouve pas l’accès à ce qu’il désire, l’ouverture pour ma bouche ayant perdue sa place et se trouvant à présent sur le haut de mon crane. Aucun intérêt ! N’en pouvant plus, il soulève le drap et me retrouve en dessous. Je suis démasquée, à découvert. Il me voit, moi, mon visage qu’il caresse brutalement. Petit malaise, bien vite oublié. Je veux tout, satisfaire ma curiosité surtout, savoir de quoi je suis capable aussi. Je ressens comme une frénésie, un désir irrépressible, une faim de plaisir. Je sais à cet instant, que je ne contrôle plus rien, ou du moins, que je m’autorise à ne plus rien contrôler. Advienne que pourra Lilo, joue, joue, joue ... Je me sens puissante, forte, en pleine confiance. Il me saisit la nuque et prend ma bouche avec sa langue en l’enfonçant aussi durement qu’elle est raide et presque rêche. Je n’aime pas son contact, mais je l’accepte car son désir est fort. Il passe rapidement sur mes seins et se dirige bien vite dans ma culotte, ses doigts raides s’agitent et glissent sur ma mouille. C’est alors que deux fantômes nous rejoignent sous le chapiteau. Ses doigts quittent mon sexe et se perdent ailleurs. Je suis presque soulagée. Je laisse ces trois, puis quatre corps qui s’agitent et commencent à émettre des couinements. Je m’allonge sur le lit écartant mes bras et mes jambes pour récupérer un peu de fraicheur. Je retrouve alors ma bobine à question : - Qu’est-ce que je viens de faire ? Que va dire et penser Shape ? Vais-je être capable de tout lui raconter ? Sait-il ce qui se passe ici ? Max le tient informé ? Ces hommes lui font un rapport en sortant ? Ou est-il, Pourquoi ne vient-il pas ? Quelles seraient les limites à ne pas dépasser selon lui ? … « Petits fantômes, c’est le dernier candidat, il faut tout donner, je vous envoie le plus beau ! » Je me redresse rapidement. « C’est Shape ? » « Ah non, effectivement, ses Dames en avaient fait la demande, mais il a décliné l’invitation. » Je suis dépitée, n’ai plus envie de jouer. Je replace pourtant le masque et réajuste ma culotte en boudant. Est-il possible que tout est été discuté, prévu, avant ?... Mais non Lilo, ne soit pas bête, nous ne nous sommes pas quitté de la soirée ! . Il est là, une carrure de garde du corps, un athlète, avec des muscles qui doivent soulever de la fonte. Il est métisse, une petite quarantaine. Je n’ai jamais touché en corps comme celui-ci. Mes yeux se rallument à la vitesse de l’éclair. Je veux qu’il ne regarde que moi. Alors je me mets debout sur le lit et commence à bouger. Je fais le spectacle. Au départ timidement, puis je me mets à danser plus sensuellement, à faire voler ce blanc, plus haut, plus fort, je ris même un peu. Ses yeux sont sur moi maintenant. Je descends du lit et vais le retrouver en prenant tout mon temps. Arrivée derrière lui, mes mains passent dans son dos, et, sans comprendre ce qui me prend, comme énervée, je le mords, assez fort. Mes dents au niveau des omoplates, puis de ses reins, lorsque son pantalon tombe à ses genoux. Je le mords aussi sur ses biceps et lui pince les pectoraux. Je me trouve alors projeter sur le dos dans le lit. Et son corps écrase aussitôt le mien. Je ne vois plus rien. Le drap est appliqué sur mon visage et me colle. Son sexe dur, pressé sur ma hanche. Je ne proteste pas. Ne bouge aucunement lorsqu’Il retire mes bas et fait descendre ma culotte. Il n’est plus seul à me toucher, je le sais. Le drap se replie à mesure que mon corps se découvre à la vue de tous. J’ai un peu peur. D’abord des caresses sur l’intérieur de mes cuisses, un pli de plus, et c’est mon ventre que l’on touche, un pli encore, c’est au tour de ma poitrine d’être étreinte délicatement, un dernier pli. Le drap est toujours plus épais sur mon visage. Inquiète, je tente de décoller mes épaules du lit. Alors, une de mes nouvelles amies découvre ma bouche et m’embrasse affectueusement. Mes genoux sont écartés et je sens le souffle chaud de sa bouche à lui, se rapprocher, là à cet endroit. Sa langue me lèche, s’enfonce en moi, ses lèvres me sucent. Je ne sais plus réfléchir, je suis heureuse et soulagée lorsqu’il me pénètre de deux doigts fortement, je veux ça oui plus fort encore. Je perds la notion du temps, du bien du mal. Quatre personnes sont là et s’occupent de me donner du plaisir, à moi Lilo qui souvent hésite à aller au bout de celui-ci. Je ne tiens plus, je ne sais plus où je suis, ce qui se passe. J’entends que l'on m’encourage alors que j’hurle à ne pas reconnaitre ma propre voix. Mon corps se tord, s’étire, se cambre, se disloque. Oh non, je n’ai plus de craintes, je veux donner, leur donner et prendre aussi. Je jouis comme il est rare de jouir. Je jouis à en déchirer une solide pellicule qui encombrait mon corps de tant d’interdits. Je jouis de me retrouver moi, je jouis de les rencontrer eux. Je jouis de bonheur, je jouis à en chialer de toute l’affection que l’on me donne si généreusement. Je jouis pour ce partage d’amour simple, primaire, presque animal et pourtant tellement poétique. « Merci, merci, merci » Je le crie si fort lorsque ma nuque révulse et que mon crane pénètre le matelas. Les formes blanches me remercient à leur tour, l’une d’entre elles reste contre moi et me caresse le visage qu’elle vient finir de découvrir. Je respire fort, comme pour la première fois un air nouveau emplissant mes poumons avides de retrouver leur souffle . J’ouvre les yeux et lui souris lorsqu’ elle me dit « c’était si beau, quelle chance, quel cadeau ». Max est là au pied du lit et nous annonce que le spectacle commence à côté. Qu’il est temps de nous changer. « Et bien Lilo, ça a été crescendo, je me trompe ? Allez vite rejoindre votre Maitre, il vous attend impatient. A tout à l’heure ». Je peine à retrouver mes sous-vêtements dans le noir. De l'autre coté du lit, l’homme musclé fini de se rhabiller puis m’apporte mes bas et découvre alors mon visage. IL me prend dans ses bras, m’embrasse. Le gout de ce moment magique est accroché à sa peau. Je suis comme mélangée. Alors que je suis calme et sereine, j'éprouve une sorte de gêne, de petit malaise et aussi une grande reconnaissance envers cet homme . Il me remercie de lui avoir fait confiance, et prononce ce mot que je peine aujourd'hui à écrire hors contexte : "sublime". Il entoure mes joues de ses deux mains, me caresse la nuque et essuie mes yeux. Nous restons un moment debout l’un contre l’autre. Un instant je voudrais lui donner plus. Mais le jeu est terminé et je retrouve mes limites, le cadre n'est plus le même. « Au plaisir de nous revoir… » Je rejoins Shape en jupon et soutient gorge, je ne veux pas m’encombrer de d’avantage. Il est non loin de la chambre à regarder le spectacle qui se donne sur l’étage du dessous. Une magnifique femme, aux écailles de Dragon tatouées sur plus de la moitié de son corps se contorsionne autour d’une barre et crache du feu. J’ai besoin de me blottir contre lui, fort, de retrouver son gout, son odeur, qu'il me serre, m'écrase, qu’il m’embrasse et reprenne possession de moi entièrement. Plus personne n'existe autour de nous. Les sons se trouvent amortis contre cette bulle qu'il me faut urgemment reconstituer. « C’était bien ? » « Oh oui Shape, j’ai adoré et ai pu prendre tant de plaisir. C'était si étrange et tellement bon. J'aurais voulu que tu sois là. Tu veux que je te raconte tout ? Max t'a expliqué en quoi consistait le jeu ? Merci de m'avoir autorisé cela » « C’est bien alors, je suis content. Oui, je veux que tu me dises, si tu en as envie » « Shape, S’il te plait corrige moi fort avec la badine, donne moi la fessée sur le lit ou je me suis donnée, j’ai besoin de nous retrouver… » FIN
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Par : le 11/02/19
L'endroit est juste magique, à seulement trois quarts d'heure de la maison. Un château caché au fond d'un immense parc arboré animé d'éclairages mettant en scène les plus beaux spécimens d'arbres venus de multiples continents. Le Bâtiment est imposant, cossu, richement décoré. Mélange d'ancien, de noble et de plus moderne, mais avec un goût qui ne peut laisser indifférent. On me presse pour les présentations d'usages, j'embrasse avec enthousiasme Maître Georges toujours si gentil avec nous. C'est son anniversaire, et c'est ce que l'on appelle une célébration en grande pompe. Je m’imprègne des lieux, je respire cette atmosphère particulière et m'invente des histoires du passé. Il y à de la pierre taillée que je touche, l'escalier est majestueux. En montant, je m'applique a tenir ma robe de chaque côté, je suis une princesse. Les marches sont si larges que deux couples peuvent se croiser. Des balustrades en fer forgées permettent de s'appuyer dessus et d'admirer les étages du dessous et tout ce petit monde qui fourmille, discute, se croise ou se toise aussi parfois. Je suis au spectacle, au balcon de l'opéra... allez stop Lilo, ne t'éparpille pas, reviens là, ici, dans l'instant, accrochée solidement au bras de Shape. Qu'il est beau, tout classe, en noir et bleu foncé sa badine à la main. Le thème de la soirée pour fêter ce non anniversaire sur deux jours et ce avec plus de 150 invités est "Alice au Pays des Malices". Je porte pour être raccord à mon Maître, une robe bleue foncée avec un bandeau de satin noir style année 50, en dessous un tutu noir, une paire de bas, des petites chaussures à talons et pour faire référence au chat d'Alice j'ai des oreilles sur le crâne et un masque qui me donne un air "bête", ou mystérieux, c'est selon. J'ai déjà dis bonjour à beaucoup de monde avec mon plus beau sourire, celui que je suis seule à savoir qu'il ne veux rien dire . J'admire ....encore ...aux plafonds des dorures et de lourds lustres, sur les sols des tapis immenses fourmillants de détails colorés. Les meubles sont beaux, les lits démesurés et les fauteuils en cuir invitent à tous les essayer .Je veux voir partout. Dans certaines pièces je pourrais y loger le rez de chaussez de notre chez nous, et il y à ces portes épaisses lourdes et tellement bien travaillées, je serais capable de m'y frotter. Quelques jours avant, Shape avait reçu l'invitation et m'avait demandé de répondre à un questionnaire, sur des jeux auxquels je souhaiterai éventuellement participer. Il n'avait fait aucun commentaire sur mes réponses. Il me fallait attribuer une note allant de zéro à 10. Il y avait celui de la table de black Jack : avec la mise en jeu de son soumis ou soumise pour 10 minutes aux mains du ou de la gagnante. Celui des Renardes en détresses : soumises attachées devant sortir d'une pièce en moins de 15 minutes sous peine de punition en cas d'échec. Les petits fantômes lubriques : dans une pièce plongée dans le noir, pendant 10 minutes, laisser parler les sens des mains souhaitant faire connaissance. Le défilé des soumis'(es) : défiler devant un jury après avoir été préparé (es) sur le thème de la soirée. Les œuvres d'arts :à différents moments de la soirée, être meuble ou objet de décoration utile ou non, ou simplement oeuvre d'art exposée à la vue de tous sous vitrine. Et je ne me souviens plus des autres, sûrement qu'ils m'attiraient bien moins. Je me rappelle avoir été super emballée et dans un premier temps avoir attribué la note de 9 pour le jeu de carte. Je rêvais de l’atmosphère moite et tendue dans de vieux films mafieux, les gros cigares les chapeaux qui cachent stratégiquement les regards, l'éclairage peu généreux, le tapis vert, et ce sentiment d'être misée, jouée, réclamée et utilisée tel un lot remporté. Les renardes 8. J'imaginais des tas de filles attachées à des meubles ou radiateurs, avec ce sentiment de panique car à la clef les coups à vivre. Je me suis même vu dans la situation d'avoir réussi à me détacher, et comme dans Fort Boyard, à quelques secondes de la fermeture de la grille et de pouvoir m'échapper, le deal d'aider une ou deux complices me suppliant de les sauver. Les fantômes pour leurs mystères ont obtenus 7. J'étais à devoir traverser une pièce les yeux bandés et subir différents attouchements, coups ou humiliations. Les objets ou œuvres 5, moi contre un mur, poitrine à l"air, contrainte, tenant un plateau immobile plusieurs longues minutes sans rien pouvoir faire ou dire, trop difficile. Le défilé obtint la note de 4, trop de temps à passer à se préparer en plus du stresse d’être à la hauteur et tellement de choses potentielles à louper de la soirée, sans compter le jugement et l’attribution de notes telles des bêtes à concourir, j'aime pas. Et puis je me suis ravisée, croyant voir au 9 attribué une légère tension sur le visage de Shape. "Euh, non, non attend, je change, je mets 7 au black Jack et 9 aux fantômes, c'est mystérieux et ça me fiche déjà la trouille d'avoir les yeux bandés et si c'est dans le noir on risque de bien rigoler" . Cela fait plus d'une heure que nous sommes arrivés, nous retrouvons en nous promenant, nos amis et les têtes connues et rassurantes. Nous rejoignons Louna à la table du Black Jack lorsque la salle des jeux ouvre. Elle veut remporter au moins un des lots proposés et souhaite participer au même titre que les Maîtres et Dominas présents. Après tout, il n'était pas précisé que les soumises étaient exclues du jeu, et que notre place était uniquement celle d'être misée!!! Je suis à fond. Nous allons gagner !! Elle me demande conseil pour miser. Nous sommes sur excitées toutes deux. Elle joue les jetons et moi je compte. Louna à les seins à l'air et un serre taille. Elle donne envie à un photographe d'immortaliser l'instant. Moi j'ai les fesses en l'air à quatre pattes mes genoux enfoncés dans l'assise d'un canapé en cuir noir Chesterfield, mon ventre reposant sur l'accoudoir. Shape m'observe, il s'amuse à remonter mon jupon et à caresser mes fesses à l’abri des regards, pendant que je croise les doigts sur les mises un peu folles de Louna. Elle peut remporter une femme brune bien faite de sa personne, qui se tient debout à côté de son Maître. Le lot est décrit à voix haute. J'adore! Elle porte un bandeau et entend tout des conversations qui vont bons trains autour de la table de jeu. Je sens son envie et ses angoisses et, sadique, j'en rajoute en mettant plus d'ambiance, en riant plus fort en rajoutant au suspens et en jouant des mots. Je sais aussi qu'en faisant cela je participe à faire monter son désir. La peur étant un détonateur de plaisir encore plus fort.. Alors, je reçois à intervalle régulier, les premières claques de mon Maître sur mon cul qui en réclame déjà tellement plus. Je sais déjà, que je ne serais pas des plus sage à cette soirée !!! Louna remporte la Dame aux yeux bandés et elle est invitée, un peu gênée, pour le coup, à disposer de son lot dans une autre pièce. Elle me lance "Merde, je sais pas ce que je vais en faire moi !" J'explose de rire : "Bien fait. Improvise. Tu seras trouver. Ou mets son Maître à contribution, et là Pafff tu auras gagné sur tous les tableaux ! " A cet instant avant que je ne puisse baisser mon jupon, une sensation plus cuisante, c'est abattue sur ma fesse gauche. Je me relève et regarde Shape d'un air plus que renfrogné. Alors que nous sortons de la pièce et que nous croisons le lot suivant, un encordeur est aux manœuvres avec la protégée de Maître Balthazar. Shape me fait asseoir sur une chaise et me demande de me calmer un peu et de regarder. Ma poitrine serrée dépasse de ma robe. Il me surplombe, et je sais qu'il regarde ses deux monts que je tente alors, encore davantage de mettre en évidence. En face de moi, des cordes, un portique en bambou et une jeune soumise concentrée et détendue profitant de l'instant. Respiration dosée, yeux semblants comme ailleurs. Je peux observer aussi le dos de Maître Balthazar qui veille et regarde attentivement ce corps qui s'abandonne aux laçages trop méthodiques et sans aucune poésie à mon goût. Je m'ennuie un peu. Shape le sait, mais les cordes l’intéressent, d'autant plus que nous venons de traverser un passage pénible tous deux lors d'une séance de bondage à la maison. Un moment de panique mal géré de part et d'autre. Le corps de la soumise s'envole et son Maître peut alors vérifier si elle apprécie. 15 minutes pour moi sans action. Cela commence à être long. Shape me sourit, et me caresse alors les seins, il les sort d'avantage du décolleté " Ne bouge pas, regarde" alors la badine vient percuter gentiment et amoureusement ma poitrine qui gonfle à mesure et prend de la couleur. Je ne bouge pas, je regarde et moi aussi, à mon tour, je contrôle et respire. Nous sommes sur le balcon, là ou le passage se fait . Mais personne ne voit cet instant complice. Et que c'est bon. A ma droite, plus loin, une soumise se fait punir. Elle est nue agenouillée sur un fauteuil les mains en l'air contre une fresque au mur, son rosebud bien en place. Son Maître crie et gesticule. Il fait le show. Ma poitrine s'allume, elle me brûle littéralement, lorsque j'apprends le pourquoi de ces immenses coups sur son postérieur : " Chienne, la prochaine fois, lorsque je te demanderais de te caresser, qu'il y ai du monde ou pas, le feras tu? " ..... Et moi, je pourrais le faire ça ?? .... "Aie Aie Aoutch Shape !" Mes yeux sont mouillés, je verse une larme sans un bruit. Les caresses apaisantes finissent par calmer la morsure de cette badine métronome. Mon décolleté me fait penser aux culs rouges de certains babouins, c'est pas trop la classe, mais je souris et j'apprécie. A gauche deux Domina magnifiques préparent leurs soumis tenus en laisse à recevoir le fouet. Elles vont en jouer à quatre mains et sortent leurs instruments avant de s’entraîner face à face. Eux attendent, ils sont habillés de cuir, leurs torses sont restés en parti nu ainsi que leurs fesses et sexes encagés. Ils n'ont d'yeux que pour leur Maîtresse. Jusqu'à ce que Maître C fasse exploser ses fouets non loin de nous. C'est un passionné de cet instrument, ses créations sont des bijoux que je n'ose toucher qu'avec les yeux. De véritables œuvres d'art. Le bruit est plus que percutant et me fait sursauter à chaque fois.Je me demande à quel point, il ne fait pas exprès d'en faire la démonstration à cinq mètres à peine de mon visage. Shape s'est d’ailleurs légèrement déplacé et me bouche un peu la vue. Ce mûr du son est si éclatant, qu'il va nous rendre sourd. Un des soumis est alors placé dans un carcan en fer forgé extrêmement bien travaillé et riche de détails. C'est Maître C qui l'a également conçu. Il administre ensuite quelques coups de fouet longs, certains forts appuyés, avant que ce ne soit au tour des Dames. La séance s'arrête très vite lorsque la Maîtresse du soumis se rend compte que sur l'un des coups administrés par Maître C, une blessure laisse perler le sang de son protégé. Elle ne semble pas contente du tout. " Oh Ca va, c'est un bonhomme, il est pas en sucre ! " C'est tout ce que j'entendrais car Shape me demande de le suivre pour aller dîner. Je me lève et tout en marchant, je peux apprécier la vision de cette belle Domina au corps vinyle et à la longue queue de cheval blonde ,agenouillée aux pieds de son soumis en train de le panser de la façon la plus délicate qui soit. Cela me touche. A table nous discutons avec un couple très sympa et je retrouve Louna et Maître Balthazar. Louna me dit que pour finir la soumise était Switch et qu'au bout de quelques coups administrés sur son postérieur, elle à failli s'en manger une. Alors elle les a bien vite laissé jouer entre eux. Une bagarre manque d'éclater sérieusement derrière nous. C'est une scène animale ou les femelles s'en mêlent pour défendre leurs mâles La bêtise sur dosée en testostérone atteint ceux qui se disent grands et forts, pour peu qu'une histoire de couleur ou de frisure de cheveux s'en mêle !!! . Que c'est dommage, moi qui nous imagine tous égaux dans ce monde qui tend à faire oublier presque totalement nos complexes individuels créés et nourris par une société faite pour l'élite, les biens pensants, le pognon, le blanc, le fin etc etc .... Je suis mal à l'aise, je tremble un peu. Je crois que j'ai envie de partir. Shape et d'autres tentent de calmer les énervés et de faire redescendre les tensions. C'est à cet instant que Max m'invite à participer, après validation de Shape à l'instant "des petits fantômes ".... Shape lui précise "je vous la confie", il m'embrasse et me dit qu'il sort fumer une cigarette. Me voilà toute seule au bras de Max. Je le trouve très attirant, il à l'âme bienveillante et fort joueuse. Je suis à la fois emballée, heureuse et anxieuse. Il le sent et me prend alors la main pour me la serrer plus fort. Impossible de feindre le calme, alors je commence à lui poser dix questions à la seconde. Il me répond uniquement," suis moi, je vais tout t'expliquer"....
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Par : le 11/02/19
J'étais à genoux dans cette chambre, qui avait vue tant d'ébats et où je m'étais soumise à mon Maître pour son plaisir. J'étais offerte à mon Maître une nouvelle fois. Offerte de tout mon corps et de toute mon âme à ses moindres attentes, à ses moindres ordres. J'entendis la porte s'ouvrir puis se refermer tout aussi rapidement. Il se mit devant moi mais je ne pouvais voir que ses pieds. Je sentais sur moi ce regard intense qu'il m'adressait et qui me perçait tout au fond de mon être. Je sentais à la fois un regard inspecteur et autoritaire qui me faisait frissonner mais aussi cette chaleur intense liée à son désir de me dominer et d'abuser de tout mon être. Il me caressait la tête, satisfait de ce qu'il voyait et je savais que la séance pouvait bien commencer. "Je t'ai préparé un petit jeu ma belle. Tout d'abord je vais insérer un ballon anal ainsi que ce petit jouet vibrant dans tes deux chauds orifices. Ils seront au niveau minimum. Assez pour que tu les sentent bien mais pas trop sinon le jeu se terminerait trop rapidement." "Aujourd'hui j'ai envie que tu me satisfasses avec ta jolie et douce bouche. Mais je ne contenterai pas d'une fellation simple que tu sais très bien faire. Je voudrais que l'on travaille une gorge profonde. Ainsi tu vas travailler ta respiration et tous les muscles que tu peux mettre à ma disposition pour mon plaisir." "Si je sens que tu n'es pas concentré ou que tu essayes de te dérober à l’exercice j'augmente le volume de mes deux jouets. Si tu travailles bien, je te prendrais et nous satisferait tous les deux. Si ce n'est pas le cas et que je suis déçu de ta performance, je me libèrerais sur ton visage. Puis je t'attacherai sur le lit bras et jambes écartées avec le vibro au minimum pour maintenir ton état d'excitation. Tu resteras dans cette position le temps que je jugerai nécessaire pour ta punition." Tout au long de son explication il m'avait caressé la tête et j'avais docilement écouté et enregistré chacune de ses paroles. "M'as-tu bien compris ? dit-il en arrêtant ses caresses. "Oui Monsieur" ....
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Par : le 11/02/19
J'ai suspendu un attrape-rêves Au-dessus de ma couche Pour qu'il chasse de mon sommeil Les démons et les louches // Il repousse de mes doux songes Les silhouettes noires Les masques qui soudain s'allongent Aiguisés au rasoir // Je me ballade dans la nuit Libérée et joyeuse Mon Dhom inspire mes envies Je suis audacieuse // Le miroir sans tain nous reflète Renvoyant une image Qui enflamme d'un coup sa fléchette La cible n'est pas sage // Elle est à peine dissimulée D'un flou de transparence Que bien vite, il a ôté Sous un feu d'impatience // Le temps soudain s'est arrêté Vent de concupiscence Intense étreinte pour exprimer Plaisir et indécence // Mon attrape-rêves est accroché Comme un veilleur de nuit Dans mes songes, il te laisse entrer En secret... et sans bruit // Le 07 02 2019
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Par : le 26/12/18
La vie n'est pas facile surtout quand on porte un mal-être en soi Tu as fait un bout de chemin et tu es passé par des coups bas Mais regarde, tu es encore là et tu as toujours ce courage Pour te débarrasser du reste de ces sombres nuages // Tu es encore un peu trop submergé par ton passé Il faut apprendre petit à petit à le laisser s'estomper Et s'il te rattrape ne te fige pas mais montre-lui qui est le plus fort Apprendre à vivre avec demande souvent de grands efforts // Le passé a fait de toi ce que tu es aujourd'hui Tu peux faire de ton présent ce que deviendra ton avenir Si tu tombes, relève-toi et analyse le motif de cet accident Tu comprendras et la prochaine fois, tu éviteras cet incident // La chute n'est pas un échec, l'échec est de rester là où tu es tombé Si tu ne risques rien, tu risques encore plus, je peux te l'assurer Le plus important n'est pas la chute mais l'atterrissage De ton parachute, fais-en bon usage // N'accuse pas le puits d'être profond, c'est ta corde qui est courte Quand tu l'auras réalisé, serein tu pourras continuer ta route Vois la lumière, le côté jour de ton tableau À force de voir l'obscurité, tu ne trouveras plus rien de beau // Sur le chemin de la vie, souvent tu risqueras d'être blessé Ne pense pas au pire mais, panse ta plaie Forge-toi de ces blessures pour te renforcer Empare-toi de cette rage de réussir, de vaincre tes difficultés // On peut éviter bien des choses mis à part l'imprévu Ne perd pas l'espoir en pensant que tu as tout perdu Avance comme prévu, même si tu dois pleurer ou crier Cela peut faire du bien, soulager // Il y a bien des manières de ne pas réussir Mais la plus sûre est de ne jamais prendre de risques Tu seras surpris du résultat que tu peux obtenir Plus tu prends de la hauteur plus tu vois loin, c'est ça la technique // Si tu te sens incapable pour le moment alors laisse-toi le temps Cela ne veut pas dire que c'est définitif Il arrive que la fatigue te gagne, repose-toi un instant En étant à cent pour cent, on a plus de chance d'atteindre son objectif // Si l'envie et la force te manquent, que tu sois près de l'abandon Pense à ta mission, pense à la seule vie que tu possèdes, ce don Pense aux personnes qui t'entourent et qui souhaitent ton bonheur Pense à cette vie dont tu dois avoir le contrôle, ne fais pas l'erreur // L'erreur de la laisser s'enfuir petit à petit sans le remarquer Plus elle s'en ira, plus tu auras du mal à la rattraper Les jours, le temps passent à une vitesse que tu peux ignorer Après il sera trop tard pour faire ce que tu aurais déjà dû terminer // Il y a de la joie, du bonheur, de l'amour malgré tout si on veut voir Des moments de répits mérités pour admirer le chemin déjà parcouru Ce qui te donnera l'envie d'aller jusqu'au bout, jusqu'à la victoire À ton rythme, tes fondations seront solides et ça ne sera pas foutu // Tu peux faire d'une étincelle un bon feu Tu peux faire de quelques graines un jardin merveilleux L'évolution, tu la constateras au moment voulu Tu ressentiras une joie à te dire : heureusement que je me suis battu // le 24 12 2018
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Par : le 14/12/18
Merci à ces profils amis d'ici avec lesquels j'ai partagé de belles et souvent profondes conversations, dont l'humour et la bonne humeur n'étaient cependant pas exclues ! C'est incontestablement pour eux que je reste, eux que je n'ai peut-être pas eu le plaisir de croiser dans la vie réelle mais dont le cheminement m'intéresse et que je ne souhaite pas perdre de vue. De nouvelles connaissances de cette qualité sont toujours possibles, je ne ferme aucune porte, mais je ne me fais plus guère d'illusions quant à la possibilité pour moi de trouver ici ou ailleurs celle qui pourtant existe forcément quelque part. Je n'attends plus rien. J'ai été pourtant actif et persévérant, j'ai continué encore et encore à tenter le pari de séduire avec probité, pensant naïvement que cela finirait par payer. Trop idéaliste ? Non, je crois que c'est l'inverse : trop réellement concret, trop concerné avant tout à mettre en pratique plutôt qu'à chanter de faux espoirs. J'exècre l'hypocrisie des belles paroles et les vendeurs de rêves : un vrai rêveur enchante le réel par des actes et ses paroles sont indexées sur des faits probants, pas sur des promesses fumeuses ni des postures de coq fièrement dressé sur son ego de plumes hypnotiques. Le charisme ? Je n'en ai aucun ! Je ne mise pas sur la représentation égocentrique qu'une société me reconnaitrait, fût-elle underground et éliste comme celle du BDSM. Le charisme je le laisse au grandes gueules qui savent par leur agitation d'apparât subjuguer les encore moins épais qu'eux. Tant mieux s'ils se trouvent et nombreux ! Est-ce à dire que je n'ai point d'ego ? Bien sûr que si ! Mais je ne l'étale pas comme une confiture visqueuse pour attirer des mouches… Les papillons m'intéressent plus, même encore sous leur forme larvaire : je sais voir le diamant avant qu'il ne soit taillé pour laisser pénétrer la lumière. Spirituel ? Assurément ! Mais ne venez pas vous frotter si le mot n'est qu'un leurre de votre intelligence. Le mental m'est un outil précieux, je prétends bel et bien le maitriser, mais j'ai la sagesse de savoir que ce n'est pas lui qui supporte mon esprit. Je suis libre, humblement comme il se doit, discrètement, terriblement ! Oui, car être libre s'accompagne d'une solitude qu'il est bien plus facile de fuir que d'affronter. Je ne prétends pas être le seul de ce bois-là, mais il faut pour nous débusquer être soi-même un peu mieux qu'un dormeur inconscient. J'ai millle failles, faiblesses et défauts, ce sont mes meilleures armes pour me fondre dans la masse. Ni vu ni connu, c'est ainsi qu'on observe le mieux car il vaut mieux voir qu'être vu ! Vous ne comprenez pas ? Je n'expliquerai pas. La domination ? Quelle prétention ! Qui peut prétendre se dominer en toute circonstance avant de prétendre dominer l'autre ? La soumission ? Finalement une bien plus véridique voie de compréhension de sa nature humaine. Alors, quoi ?? Je suis dominant, c'est à dire soumis au service de la vie. Et si mon rôle m'amène à accompagner l'autre dans cette voie, ce n'est peut-être que pour y progresser aussi, par le partage sublime d'une complémentarité où nul ne domine mais les deux s'élèvent. Ne laissons pas les mots nous enfermer, ils ne sont là que pour libérer de l'indicible, transmettre une énergie, vivante, mouvante, évolutive. Je ne suis pas dominant : rien ne me définit. Ce n'est qu'un point de repère, un nuage de fumée blanche pour qui cherche à s'orienter. Je m'interdis de me vanter, mais cela ne doit pas m'interdire de parler. Je connais ce que risquer veut dire. Pour tout gagner il faut être prêt à tout perdre. Pour me trouver, il a bien fallu me perdre. J'ai survécu, maintenant je vis. Je suis en mesure de le prouver, combien font de même ? Combien prétendent connaître le chemin sans reconnaître qu'ils ne naviguent qu'à vue ? Il n'y a pas de chemin. Il n'y a que le présent et ce qu'on en fait. Le présent : l'offrande et le cadeau. Je continuerai de m'offrir, je continuerai de recevoir les présents. C'est tout, il n'y a pas à demander plus. Et celles et ceux qui l'entendent ainsi le partagent avec moi. Aux autres, que le passé déborde des ses échos, je souhaite de rencontrer la vacuité qui libère. Aux autres, que l'avenir obsède de projections complexes, je souhaite de dépasser les souffrances qu'ils appellent sans conscience. « Il n'y a que la spiritualité » m'a-t-elle dit avant de lancer des mots dont elle ne maitrisait pas la première lettre du premier mot. « C'est lourd comme dialogue » a-t-elle conclu sans avoir même commencé d'y participer. Oui, c'est lourd : lourd comme une pierre autour du cou quand on prétend s'envoler plus déplumée qu'une poulette du KFC ! Elle ne me lira malheureusement pas, et me lirait-elle qu'elle ne se reconnaitrait même pas, mais je l'en remercie : grâce à son involontaire participation, elle me permet de me libérer de tout ce que je chercherais encore. Résolûment, je continuerai de trouver personne à qui parler pendant que tous les Polyphèmes aveuglés continueront de lancer leurs rochers à l'amer ! Merci.
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Par : le 23/11/18
Noir C’était le jour J, qu’ils attendaient tous les deux depuis un moment. Le soir, ils arrivèrent comme convenu chez le couple d’amis qu’ils avaient contacté sur le site. Une fois les présentations faites, le maitre de maison lui dit "J'ai bien aimé ta première photo sur le site, où tu étais enchaînée. Donc, en attendant que t'arrives, je t'ai préparé une petite surprise". Elle chercha de l'aide dans le regard de son mari, mais celui-ci se contenta de dire "Vas-y, je sais que tu aimes ça. Pendant ce temps, je m'occuperai de Madame" dit-il en se rapprochant de la maîtresse de la maison. Cette dernière acquiesça avec un sourire complice. Avant qu'elle ne puisse protester, notre visiteuse fut menottée les mains dans le dos, à l'aide des hôtes et de son mari, et on lui passa ensuite un collier muni d'une laisse. "Suis-moi" ordonna le Maître d'une voix grave, mais à la fois douce et ferme. Il pris sa prisonnière par la laisse et la conduisit au sous-sol, dans une petite chambre où trônait un grand lit double, baigné dans une lumière rouge tamisée. "Assieds-toi" dit-il en indiquant le lit. "Je vais te préparer, n'aies pas peur. Tout ceci est conçu pour le plaisir et aucunement pour la souffrance". Il pris un foulard satiné et lui banda les yeux. Elle sentit les mains du Maître qui ôtaient ces menottes et son collier, la déshabillant ensuite complètement. "Je vais t'habiller différemment, laisse-toi faire s'il te plaît". Elle acquiesça de la tête et sentit un bâillon se loger dans sa bouche, fixé par une sangle élastique derrière la tête. Elle était dans le noir. Et réduite au silence.   Rouge Elle se sentit basculer sur le dos et, l'instant d'après, un petit gode en silicone se glissa dans son anus. Il avait été soigneusement lubrifié, et la sensation qu'il procurait était étrangement agréable. Ensuite, elle fut remise en position assise et ses jambes glissèrent dans un collant doux et soyeux. A la commande du Maître, elle se remit debout et le collant continua de remonter sur son corps; elle comprit qu'il s'agissait d'une combinaison intégrale en Lycra. Elle fût très excitée lorsque ses bras furent moulés de cette matière extraordinaire, jusqu'au bout des doigts, et que le zip remonta jusqu'à la nuque, serrant délicieusement son torse et ses seins. Le Maître lui enleva le foulard de ses yeux et elle découvrit que sa combinaison était rouge, comme la lumière de cette chambre. "Maintenant, je vais te mettre la cagoule, fermer le zip derrière ta tête, et le verrouiller avec ce petit cadenas". "Cagoule?? Cadenas?? Au secouuurs!!!!" ...mais le seul son qui sorti à travers son baillon fut "hhmmmppphh". Elle vu en effet la cagoule (intégrée à la combinaison) remonter, envelopper sa tête et sentit le zip se fermer vers le haut de son crâne, moulant sa tête et son cou d'une façon délicieuse; après quoi, elle entendit le clic du cadenas verrouillant la fermeture éclair. "Je suis scellée", pensa-t-elle sans espoir. On pouvait voir assez bien à travers le matériau, au moins pour distinguer les formes. Autour d'elle, l'univers était rouge, d'une nuance presque orgasmique.   Blanc Elle sentit qu'on lui passait des menottes en tissu autour des poignets et des chevilles, fermées par du velcro. Elle fut étendue sur le dos, et des sangles, attachées préalablement au sommier, furent attachées à ces menottes. En quelques secondes, elle se retrouva les bras et les jambes écartées, totalement immobilisée. "Ecartelée", pensa-t-elle. Les caresses se multipliaient sur son corps enveloppé, lui procurant des sensations délicieuses, se transformant en convulsions érotiques lorsque les doigts effleuraient les pointes de ses seins ou son clitoris. Cela faisait maintenant plusieurs dizaines de minutes qu'elle subissait en silence les caresses, étant emprisonnée dans sa combinaison et menottée au grand lit. Un grand vibromasseur à tête flexible faisait maintenant sentir sa présence, en insistant sur son clitoris et aussi sur l'extrémité plate du gode qui se trouvait toujours dans son anus, lui envoyant des effluves orgasmiques dans le cerveau, dans une explosion de sensations nouvelles. "Scellée. Menottée. Réduite au silence. Caressée. Sodomisée.". Ces pensées arrivèrent toutes ensemble au moment suprême, d'une durée impossible à déterminer. Sa cagoule et son bâillon une fois enlevés, elle laissa s'éclater de rire, un rire franc, joyeux, de pur bonheur, de délivrance. Elle prit le temps d'enlever délicatement sa combinaison (pas sans un certain regret...) et ils montèrent tous les deux à l'étage, où des coupes de champagne les attendaient. La soirée avait démarré bien. Elle se sentait au septième ciel, ses pensées baignaient dans une lumière blanche.  
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