Devant la table massive qui mêle le bois lisse et brillant au revêtement vert, elle attend. Jambes tendues, légèrement écartées, jupe à mi cuisses, chemisier boutonné juste sous la naissance des seins, elle fait semblant d'ignorer les regards lourds qu'elle sent sur elle. Encore relativement décente et sage pour le moment, elle a les moyens de garder un certaine contenance, même si le sang bout déjà dans ses veines.
La salle n'est pas pleine, elle n'est pas la seule femme. Elle est en revanche toute seule et focalise sur elle l'attention des hommes, que sans doute inconsciemment elle appelle de ses voeux. Oui, mais non. Elle aime qu'on la regarde et elle est dans le déni à la fois. Non, non, personne ne la regarde. Eux jouent déjà... Ses pensées s'entrechoquent. Elle s'impatiente. Un homme d'une table voisine la frôle, heurte son épaule, s'excuse. Elle esquisse un sourire. Elle aimerait qu'il soit déjà là mais il se fait attendre.
Les boules sont posées devant elle, dans le triangle, les deux queues sur la table. Elle en prend une en main, lisse le bois de la pulpe de son index, la pose à côté d'elle, comme une canne.
D'une marche rapide il franchit enfin le seuil de la salle et se dirige vers elle yeux pétillants, large sourire, pour venir cueillir un baiser, sucer ses lèvres et les mordre au sang. Elle ne parvient à étouffer un couinement aigu.
Il saisit d'une main l'un de ses tétons qu'il pince à travers le chemisier et passe l'autre main sous sa jupe afin de contrôler l'effet produit, celui d'une humidité patente dans une ouverture naissante. Il se saisit de la seconde queue de billard et prend du recul, en pose la pointe dans l'échancrure, puis fait glisser l'embout le long de son ventre jusqu'à l'intersection de ses cuisses, sans la quitter des yeux. Manière de viser l'emplacement du clitoris et d'exercer une pression imperceptible. Et infiniment troublante.
Cette fois, elle est sûre que les groupes d'hommes les plus proches la dévisagent. Elle sent le rouge lui monter aux joues.
- A toi de jouer, dit-il.
Elle ôte le triangle et "casse", en se penchant légèrement au dessus de la table. Le jeu a commencé. Il passe une main sur sa nuque, saisit ses cheveux et abaisse son buste, il observe alentours,contrôle la visibilité de son décolleté. Insuffisant. Il lui demande de déboutonner davantage. Elle devine ce que pourrait être sa prochaine requête : elle devra enlever sa culotte et la poser sur la table. Elle sent des yeux rivés sur elle, elle prend alors son courage à deux mains et fait glisser la culotte, qui atterrit sur la table. Elle essaie de la dissimuler dans un coin. L'impression qu'on ne voit que la dentelle noire, pourtant. Il désigne une boule à jouer à l'autre bout de la table. Il lui demande de s'allonger, jusqu'à poser ses seins sur le tapis vert, en écartant les jambes. Tous les regards mâles braqués sur elle.
A nouveau, elle sent sa main sur son intimité, il la pénètre d'un doigt, collé contre elle. Il fait cela de façon discrète, presqu'invisible mais personne n'est dupe. Elle frémit et son souffle se fait plus court. Elle manque la boule bien entendu.
A suivre
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Demain soir je prendrai le train... Où m'emmène-t-il ? Je feins de l'ignorer mais ne peut contenir plus longtemps le secret à mesure que mon visage s'illumine. Doucement, bravant le froid, la machine pourfend les rails et le vent dans ta direction : la pluie ne pourra me stopper. Je vais la retrouver, elle.
Vous en avez une vous aussi ? Votre "elle" à vous ? Si vous en avez un(e), vous comprendrez mon excitation.
Tu es là. Le quai, les gens te frôle et d'un courant d'air caressent tes cheveux châtains... D'un vif pas te retrouve dans mes bras et sans attendre nous nous esquivons vers chez moi. Tu t'en souviens n'est-ce pas ? Cette modeste maison, notre cocon caché, notre Eden à nous, où toi ma Ève, aime croquer dans cette pomme. Cette fois-ci tu ne peux t'empêcher de rougir, tu sais ce que je m'apprête à faire mais tu ne peux me repousser.
Tu le sens ? Oui, c'est nouveau, je t'avais prévenue ma jeune initiée. Ce n'est pas le même désir que d'habitude, n'est-ce pas ?
Te faisant dos, je décide de te regarder : comme tu es belle ma soumise aux yeux bandés... J'ai fais de toi ma sculpture et tu veux que je t'entretienne, mais avant laisse moi t'observer comme un artiste. Tes coudes surplombent tes tempes et ta cascade de cheveux recouvrent le reste de tes bras, soigneusement attachés aux poignets dans ton dos. À genoux, tes jambes écartées m'appellent mais te voyant gémir je commence à me délecter de ton désir : n'allons pas trop vite, savourons l'instant... N'est-ce pas ce que tu souhaites ?
Du bout de ma cravache, je rehausse ton menton pour voir l'expression de ton visage. Tu es impuissante, tu le sais mais tu l'adores. Je commence à te fouetter, les marques rouges sur ton corps frêle me fascinent... Mais voyant le sol mouillé sous ton bassin, l'envie de te goûter me vient à l'esprit... Mais il est trop tôt, tu ne l'as pas encore mérité. Je vais donc m'asseoir face à toi et tirer sur ta laisse pour te guider, faire de toi ma chienne pour mon plaisir uniquement. Tu sais ce que tu as à faire et tu le fais comme il faut, pour t'encourager je tire sur cette laisse d'une main et te cravache de l'autre : tes larmes se mêlent à ta salive...
Ayant apprécié tes avances, je dois te récompenser. Tu te cambres sur mes genoux et tu te laisses divaguer. Mes doigts sont rudes et s’immiscent dans tous tes orifices et je n'oublie pas de te faire goûter tes propres fluides, je sais que tu aimes ça..
Après t'avoir doigté, je te regarde à nouveau, mon index dans ta bouche. Tu m'excites et m’enivre, je ne peux y résister. Je me lève farouchement et me masturbe au dessus de toi. À mes ordres tu reçois ma semence sur les lèvre et t'abreuve de ceci comme d'un nectar sans pareil. Je retire ton bandeau et me plonge dans tes yeux.
En t'embrassant je remarque sur ta joue qu'il en reste : d'un doigt coquin tu récupères l’échappée et sur ta langue laissera fondre cette douceur enchantée.
Une seule goutte suffit...
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À mesure que les jours passent, ma passion se déchire. Je ne rêve que de toi, te faire souffrir pour te faire jouir... Mais est-ce ton souhait ? Je n'en sais rien, dois-je te détruire ton corps pour pouvoir sentir le miens ? La douleur que je t'inflige car tu ne peux me l'infliger, m'attriste et me ravie c'est étrange mais ainsi... J'espère qu'à l'avenir tu sauras me surpasser : mon élève dépassera le maître et saura s'y opposer.
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Vous, debout devant un lit ; parée de vos plus fines dentelles,
le sexe apparent.
L'Hôte accueille l'Inconnu, le mène à vous. Le silence est d'or.
Le nouvel Arrivant est âgé. Vous en êtes surprise. Son aspect est
ingrat,... abîmé.
Réticence, indignation, ne seraient point tolérées. Et vous le savez.
L'Invité se dénude ; l'oeil est égrillard, la verge, éprouvée.
L'Hôte vous agenouille. Vous comprenez ; vous sucez.
Un frétillement... pusillanime ; alors vous sucez... longuement.
Puis, l'Hôte vous indique le lit. Vous vous y allongez. Sur le dos,
comme convenu.
L'Etre-Spectre s'approche, vous absorbe de toute son ombre, de tout
son poids. Le phallus érodé vous pénètre. Votre regard, seul, fuit.
L'acte se veut bref, incertain, chevrotant.
Le Membre-Fossile s'agite, répand, se retire. Le poids s'évapore.
Vous demeurez inerte ; momifiée.
L'Hôte congédie respectueusement l'Invité, vous rejoint, sourit à votre
ressentiment et vous invite à diluer votre courroux, sous un jet d'eau.
Car l'Hôte souhaite, être seul. Il s'allonge à son tour. Pense au Vieillard.
A son regard, en le quittant. Plus précisément à la lueur revigorée en ses yeux.
Comme surgie du Néant, avant de mieux y retourner. Etincelle de l'Insensée, de
l'Ennemie chère, tant méprisée par l'Hôte.
L'étincelle troublante de la Vie,... et de sa lutte.
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Vous, debout, portant une simple culotte, les yeux bandés.
L'Invité entre dans la pièce. Pas un mot n'est prononcé.
L'Hôte retire votre frêle étoffe. D'une main sur l'épaule, il vous
incite à vous agenouiller. Vous obtempérez.
L'Invité se déshabille, perceptiblement. Il s'approche. L'Hôte desserre votre
mâchoire. L'Inconnu propose son sexe, à l'orée de votre bouche.
Les lèvres tendues, investie de votre meilleure volonté, vous n'enveloppez
guère davantage que le gland.
Vous vous crispez ; vous comprenez. La taille du membre est hors norme.
Car, à cet instant, l'Hôte vous rêve... Pouliche.
A genoux, face contre terre. L'Hôte est à vos côtés ; votre tête pose sur
ses cuisses.
L'invité se déplace, se positionne. L'Homme-Etalon vous pénètre. Lentement,
progressivement. L'intromission est totale. Vos traits se tendent.
L'acte se veut intense, brutal. Les râles se font cris. La culotte surgit
dans votre gorge.
La verge-centaure s'impose, exulte, répand, se retire.
Haletante, recroquevillée, centrée. Le pouls s'apaise ; le bandeau glisse ;
la culotte s'échappe. Mais pas l'Hôte.
L'Invité s'est évanoui, ailleurs. Pourtant, une Bête se tapit, proche.
Car le dédale de vos souvenirs possède , désormais, son Minotaure.
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Le joli texte "Convictions" de Carcosa me fait penser à un texte sur les réunions sécrètes que j'avais écrit dans le passé.
En voici une copie ci-après.
. . .
Me voici à la porte de mon Palais. J’ai revêtu le plus riche de mes costumes, fait d’étoffes rares aux couleurs de la nuit, noirs soyeux, bleus profonds, liserés mauves, parsemé d’étoiles scintillantes et de fils d’or, chemise à col de dentelle du Béguinage de Bruges.
Je couvre mes épaules d’une large cape, ceins ma tête d’un tricorne noir brodé d’or, place sur mon visage un masque aux motifs complexes marqué d’un L mêlé aux armes de ma noble maison.
Je saisis fermement ma canne-épée au pommeau d’argent.
J’aime son contact dans ma main.
Je monte sur la gondole qui m’attend et la laisse filer sans bruit vers la réception donnée par mon ami le Duc de Lodi.
Je suis maintenant dans la grande salle richement décorée.
J’aime le ballet des éclairs des peaux diaphanes des femmes nues, fragiles et envoûtantes flammèches se détachant sur les habits sombres des hommes masqués.
Mais voilà qu’un frémissement parcourt l’assemblée. Il se dit qu’une femme à la beauté admirable vient de faire son entrée provoquant, à la découverte des courbes voluptueuses de son corps l’émoi des premiers invités qu’elle vient de croiser.
La foule s’écarte.
Elle avance, à la fois intimidée et brave, inquiète et noble. Ce doit être la première fois qu’elle est conviée à une de ces fêtes de tous les interdits.
Je redresse ma tête, intéressé, attentif.
Elle semble chercher une aide, un mentor.
Bien sûr elle ne reconnaît personne.
Elle doit faire un choix. Tourne sa tête de toutes parts.
Nos regards se croisent. Ils se fixent.
Ses pas changent de direction, ils la conduisent sur moi.
Je suis immobile.
Elle vient presser son corps contre mon flanc, en signe de choix, de demande, d’allégeance.
Je penche légèrement ma tête afin de percer son regard et lire dans son âme.
J’y vois une grande noblesse et une sorte d’abandon propice à l’entraîner, pour peu qu’elle soit bien guidée, dans la plus étourdissante des débauches.
Les appâts de son corps lascivement dévoilés appellent mes mains.
Mes doigts s’emparent d’un de ses tétons impudiquement érigés et le pincent délicatement.
Je sens l’exquis frémissement de son corps tout au long de mon côté. Sensation délicieuse.
En signe de possession, je passe ensuite son bras autour de sa taille d’une extrême finesse, effleure sa croupe d’un mouvement lent.
Moments délicats et troublants des premiers contacts.
La belle s’abandonne.
Voulant tester son obéissance avant la décision d’en faire ma partenaire pour cette nuit à nulle autre pareille, j’abats ma main en une claque sèche et sonore sur l'une de ses fesses magnifiques. Quelques rires feutrés semblent vouloir débuter.
Je relève imperceptiblement la tête, ils s’arrêtent net.
Je l’entraîne alors dans une valse folle prélude à la folie de nos proches ébats et aux exaltantes dépravations que je me promets de lui faire
. . .
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Une scène de domination :
Elle paraissait si fragile et si vulnérable, seins nus, ne portant pour tout habit que des bas soutenus d'un porte-jarretelles.
Elle devait garder ses mains derrière la tête et ce n'était vraiment pas facile.
En effet, son dominant, à deux mètres d'elle, tenait fermement un fouet à la main et lui assénait des coups violents au niveau du bassin et de la taille.
La lanière du fouet s'enroulait à chaque fois rapidement autour de son corps et terminait son action par un claquement sonore, imprimant une strie rouge sur la peau.
Pleine de courage, elle gardait tant bien que mal sa position mais ne pouvait s'empêcher de pousser de petits cris plaintifs dont son dominant se délectait.
Puis de temps en temps il redoublait les coups jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus tenir et plie son buste en avant dans un frêle effort pour protéger son corps.
Et alors, dans une entente parfaite, sans qu'aucun ne donne un signe à l'autre, ils se jetaient dans les bras l'un de l'autre et se perdaient dans une folle étreinte.
Et là, l'émotion était palpable, omniprésente, puissante. Elle s'imposait à tous les spectateurs.
Et la tendresse que chacun vouait à l'autre leur conférait une force que nul n'aurait pu briser...
Quelques questions :
Peut-être au vu de cette scène, au vu surtout de vos expériences, pensez-vous que la domination (et parfois elle peut se révéler cruelle) puisse être compatible avec l'expression de la tendresse ?
Mesdames et Messieurs les soumis(es), la tendresse est-elle présente dans vos fantasmes de soumission, ou préférez-vous imaginer un partenaire ténébreux et sévère ?
Mesdames et Messieurs les dominants(es), souhaitez-vous être habité de ce sentiment, savez-vous, même souhaitez-vous l'exprimer auprès de votre partenaire ?
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PRÈS DU BUREAU
Il lui avait donné rendez-vous devant l’entrée de son bureau, dix minutes avant sa sortie habituelle.
Cela l’avait rendue nerveuse.
Non pas les dix minutes d’avance, mais le fait qu’il vienne la chercher au bureau.
Ces collègues n'allaient pas tarder à sortir.
La suite n’allait pas lui donner tort.
Il la rejoignit et l’embrassa dans le cou pour ensuite la prendre par le bras et déambuler lentement avec elle sur le trottoir en restant en silence.
Cela ne lui ressemblait pas.
Il mijotait quelque chose.
Elle n’osait rien dire, appréciant chaque pas qui l’éloignait de ses collègues de travail.
Malheureusement, il s’arrêta au premier coin de rue et dit :
« - Voilà, je pense que nous sommes assez loin.
" - Assez loin de quoi, Maître ?"
" - As-tu besoin de vider ta vessie ? »
« - Heu… Pas vraiment Maître. »
« - Ce n'est pas grave, dit-il dans un sourire, accroupie-toi sur Le trottoir, écarte ta culotte et ne bouge plus, lorsque tu auras envie, soulage-toi directement comme une bonne petite chienne. Nous avons tout notre temps, n’est-ce pas ? »
(Illustration via une œuvre de Sandokan, un dessinateur que j'adore et que l'on peut trouver sur son blog)
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Fiancé de voiles, chamarrée,
le vent jette tes couleurs,
l'océan promène nos odeurs,
tes pas nus sont glissés.
Fiancée au lever de l'amour
dans le rouge soleil
vibrant de sommeil,
j'attends, ton doux retour.
Thé fumant et cardamone
grain de sucre roux
tes lèvres ont ce goût
ton regard me sermonne.
Fiancée, J'arrête le temps,
épousons nous, à corps,
la lune au ciel est la encore,
n'en parlons pas à nos parents.
Tu pleures fiancée chamarrée
et moi aussi, si tu savais,
les regrets se brisent au quais,
et les pierres nous ont blessés.
Tu glisses a jamais bel amour
pied nus dans mon corps
envoûté du plus bel or,
fiancée du point du jour.
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Je te regarde avec malice
Glisser ta main sur ma cuisse
Elle va pour un doux supplice
Satisfaire à tous tes caprices
Seras-tu spectatrice
Ou seras-tu ma complice
Me guidant vers ton calice
Attendant de moi des délices
Je m'applique sans sacrifice
A ce plaisant exercice
Et d'une langue profanatrice
Je goute à tes parfums d'épice
Puis à ton tour sans avarice
Tes doigts saisissent l'appendice
Il se dresse sans artifice
Vers ma douce tentatrice
De mon bonheur l'ambassadrice
Ta main douce est bienfaitrice
Ton glaive est droit et lisse
Il te laisse admiratrice
Il faut que tu te ressaisisses
Et bien maintenir l'édifice
Que notre extase se tisse
Et que nos corps gémissent
Le 6 décembre 2016
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Le sourire malicieux, les yeux courroucés
L'allure rebelle, de la femme indomptée.
La jeune femme trahit, son intime complicité.
Un désir, une envie, d'une tendre fessée.
Soudain basculée, sa jolie croupe offerte.
La bouche refuse, mais ses pulsions se prêtent.
robe relevée, comme un rideau de scène.
Les doigts font glisser, la culotte sans peine
Déjà la peau frissonne, de mille plaisirs.
D'un désir infini, qu'elle ne peut contenir.
Les tendres rondeurs, caressées par la fessée.
S'offrent aux mains de son Dominant intéressé.
Les gestes ébauchés, d'une lenteur pénétrante.
Les fesses se tendent, devenant provocantes.
La jeune femme gémit, le temps d'un délice.
Lascive et ravie, de ces gracieux sévices.
Le 6 décembre 2016
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Il est doux et blond, solide, bien campé sur ses pieds, un vernis de bon aloi de bois bien élevé. Un gentleman à ton image, ce montant de lit !
Les doigts se promènent sur cette ossature douce, jusqu'au renflement du pommeau dont ils palpent la turgescence, mesurent la protubérance ronde et délicatement ciselée en dessous. Comme le gland de géant d'un pénis raccourci. Un pénis qui ne serait qu'un gland gigantesque, sur lequel je colle mon entrejambe, y appuyant mon clitoris. Tâter le terrain. Doux et dur à la fois. Je m'y frotte doucement en t'imaginant observateur et commentateur de la scène, ce qui me fait mouiller. La friction devient dès lors plus agréable. Je me frotte aussi à califourchon sur le montant du lit, en faisant des va et vient qui propulse mon sexe et mon anus sur le pommeau derrière moi. Je me redresse dessus et mon sexe s'ouvre, comme forcé par ce pommeau bien rond.
Mon esprit voyage vers toi toujours dont j'imagine la main me fistant, forçant mon entrée comme ce pommeau qui ouvre mes résistances, peu à peu. La chair se distend et est comme une bouche qui voudrait gober... ta main. Je vois tes yeux briller et ta bouche salivante. J'imagine ta salive coulant sur mon visage, dans ma bouche, sur ta main en guise de lubrifiant. Je m'enfonce un peu plus, ondulant mes fesses et frottant mon clitoris. Je ne suis pas loin de l'orgasme. Alors je t'entends dans mes rêves débauchés me demander de jouir. Et je jouis, en silence.
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Poupée qui dit oui
à la fessée, aux frissons.
Poupée qui rougit
aux coups de main des garçons.
Poupée qui frémit
à leurs morsures, leurs suçons.
Poupée qui gémit
indécente, sans façon.
Qui encore et encore jouit,
jamais ne dit non
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I/ils se donnent rendez-vous à l'endroit habituel. Elle arrive en avance, toute excitée, toute chose. Comment va elle réagir en le revoyant. Son cerveau fonctionne à plein régime, des questions, des doutes, des envies, tellement de choses à lui dire, mais par quoi commencer. Son corps tremblotte, sa respiration s'accélère.
Tout a coup, elle aperçoit sa voiture. Le sourire se fait apparaître sur son visage. IL se gare à côté d'elle et la rejoint. I/ils se regardent un moment dans les yeux avant de d'embrasser timidement. IL la prend dans ses bras et la caresse. Elle se laisse faire car elle en a tellement envie, cela faisait longtemps. Envie de sentir son étreinte, envie de se blottir dans ses bras. Le temps semblait s'arrêter pour les laisser tous les deux profiter du moment.
I/ils prennent la voiture pour aller boire un verre. Finalement I/ils optent pour un plat. Tout en mangeant, I/ils discutent, rigolent, se font les yeux doux comme si de rien n'était, comme avant.
Après mangé, I/ils décident de profiter du beau temps, la journée s'y prêtant. Arrivés à destination, I/ils se promènent dans le parc, main dans la main. Plus rien n'existe, i/ils sont seuls au monde, dans leur monde. I/ils empruntent un petit chemin et se rapprochent dangereusement l'un de l'autre. IL passe ses doigts dans son décolleté lui caressant le sein gauche. Elle aime ça et sait très bien ce que cela signifie. Elle n'attend que ça depuis qu'IL s'est garé.
I/ils s'aventurent un peu plus loin dans la lisière du bois, jusqu'à un petit endroit à l'écart, intime, en plein milieu de la végétation. IL l'embrasse d'un baiser de détresse, comme s'IL n'allait jamais la revoir. Elle répond à son baiser avec la plus grande des tendresses qui soit. IL glisse Ses mains dans son soutien gorge jusqu'à ses tétons qu'IL pince doucement puis fermement lui arrachant un petit gémissant de douleur agréable. IL tira vers le bas l'obligeant à se pencher, se baisser jusqu'à ce qu'elle se mette à genoux devant, sa position préférée. N'attendant pas qu'IL le fasse, elle déboutonne son pantalon avec grand empressement, le descend légèrement, plonge sa main dans le caleçon pour en sortir l'objet de sa convoitise, de sa gourmandise, déjà bien durcie par l'excitation, la tension sexuelle qui règne entre E/eux.
Elle le prend en bouche, le suce, le lèche, le deguste. Elle en est avide. c'est Lui qui lui a appris à apprécier cette pratique. Non qu'elle la trouve dégradante, mais ce n'était pas trop son truc avant de Le connaître. Elle glisse sa langue le long du membre turgescent. Elle pose ses lèvres sur Son gland et descend jusqu'à Sa garde l'engloutissant, lentement puis de plus en plus rapidement au rythme des va et vient qu'IL impose avec Ses mains posées de chaque côté de sa tête. D'un coup, il demande de se relever et de se retourner. IL lui enlève sa culotte. Elle est déjà toute humide malgré son indisposition, l'excitation coule le long de ses jambes. Ses doigts s'aventurent tout près de son oeillet qui s'ouvre lorsqu'ils s'y enfoncent. D'abord surprise, elle gémit au fur et à mesure qu'IL enfoncé Ses doigts. IL les retire et enfoncé Sa queue. Hummm elle adore ça, elle aime le sentir de toute Sa longueur et en force. IL accélère Ses coups de reins pour son plus grand plaisir. Elle Lui demande d'y aller encore plus fort, d'être plus bestial, plus violent dans Ses coups. Alors IL se laisse aller avec frénésie et l'oblige à se mettre à quatre pattes comme la chienne qu'elle a été jadis pour lui. Et continue à la besogner de plus en plus fort, de plus en plus vite. Sentant Sa jouissance arrivée rapidement, IL se retire, lui demande de se retourner et d'ouvrir sa bouche, ce qu'elle fait. IL lui baise la bouche jusqu'à la gorge et s'y déverse. Elle avale Son sperme si précieux.
I/ils se rhabillent tous les deux et reprennent le chemin de la voiturew main dans la main. Elle le dépose à Sa voitur. I/ils se font des calins pleins de tendresse. IL prend Sa voiture et repart comme IL est venu.
Pendant un instant, Elle etait heureuse car elle l'avait retrouvé. Un court après-midi, elle s'est laissé aller entre Ses mains. IL n'est plus Son Maître, elle n'est plus Sa soumise, mais dans les faits, elle Lui était encore soumise, juste à cet instant, juste à ce moment précis. Elle ne sait pas si elle le reverra un jour, peut-être ou peut-être pas. Mais une chose est sûre et certaine. Des échanges qu'I/ils ont, IL ne redeviendra pas Son Maître, ni elle sa soumis, même si le lien qui les U/unit est très fort. IL restera à jamais Son âme sœur et elle Sa soumise idéale, mais la vie en a décidé autrement. L/,leurs routes sont à jamais séparées. Elle n'a plus rien à espérer, elle doit avancer, se reconstruire, et qui sait au fil du temps et des conversations, un jour elle trouvera peut-être Celui qui lui permettra de refermer la parenthèse de Lui.
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Ce site est une terre d'exhibition, où la pesanteur fluctue. Il y
germe deux poids, deux mesures.
Autant dévoiler un sexe féminin est plébiscité. D'autant plus si
l'audace s'inscrit dans un processus D/s transgressif. Où la soumise
glorifiée, se projette candidement ; telle l'oeuvre d'un succédané d'odyssée
antiquisante aux vertus épanouissantes.
Autant le quidam proposant son phallus, à la vue de tous, est promptement raillé, rabroué, et
prié d'en retourner humblement, lui et son pénis,... à ses pénates.
La rebuffade, en revanche, n'a qu'un poids, une mesure. Elle s'effectue à l'unisson.
Pour unetelles, une verge impudique est forcément, férocement agressive. Poncif
sociétal, où la sexualité masculine se veut prédatrice.
Pour untels dominants, si fiers d'exhiber leurs trophées assujettis, ils chassent
en meute l'impudent, faisant curée du philistin... évidemment "sans cervelle".
Comme si la vue de ce mât sans voilure, ainsi dévoilé, ne méritait qu'un vent persifleur.
Un souffle porteur, que trop souvent, des complexes celés de nos chers Doms.
Face à ces courants contraires, l'esseulé et son fier éten..."dard", bravant l'oeil de vos
cyclones sardoniques, se fait erratique...
Et je le regrette. Car lorsqu'un sceptre majestueux me subjugue, m'inspire, je n'ai qu'une
envie.
Offrir le membre royal à celle, à mes côtés, qui le contemple avec les mêmes yeux
égrillards que les miens...
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Je ne sais de Lui que ce qu'IL a bien voulu me dire. Certes, IL m'a dévoilé certaines choses de sa vie, Ses expériences, Ses goûts mais pas assez pour satisfaire ma curiosité. Quelque-chose en Lui m'attire, je ne saurais dire quoi. IL est si énigmatique, si mystérieux.
IL m'a donné rendez-vous en terrasse d'un café. Je me suis apprêtée comme IL m'a demandé, une jupe fendue sur le côté dévoilant le haut de mes cuisses et une chemise mettant en valeur mon joli décolleté soutenu par un soutien gorge en dentelle. Je prend place à une table d'où passants et clients du café pouvaient me voir. Je commande un freeze lemon pour me désaltérer et faire passer mon stress. À l'approche de l'heure fatidique du rendez-vous, je sens la chaleur envahir mon corps, les papillons vadrouiller dans mon ventre et la moiteur s'intensifier entre mes cuisses que je écarte légèrement comme IL le veut. Je regarde au loin et d'un coup mon coeur fait un loupé, IL vient dans ma direction. Je l'ai reconnu au vu de la description sommaire qu'IL a faite de Lui, taille moyenne, plutôt élancé, les cheveux bruns courts, pantalon noir et chemise blanche à col ouvert. Sa démarche est assurée et ses lunettes de soleil Lui donne un look mauvais garçon que j'aime beaucoup je dois dire.
IL s'assoit devant moi sans un mot, me fixe un long moment et je finis par baisser les yeux. C'est à ce moment-là qu'IL enlève ses lunettes et me dit :
- regarde moi petite chienne que tu es !
Au ton de Sa voix, je comprends que c'est un ordre. Je lève mes yeux et je tombe nez à nez sur les siens, de couleur noisette, Son regard est si intense, si profond, que je me sens perdue. Je reste à Le regarder un moment et l'expression de son visage change. Je comprends ce qu'IL veut. Alors je prends mon courage à deux mains, je m'agenouille à Ses pieds, et embrasse la main qu'IL me tend. Les regards se tournent vers N/nous, mélange d'étonnement, d'envie, de gêne, de dégout. Mais j'en fais fi. Je suis bien car je suis avec Lui et c'est tout ce qui compte. IL me salue de la tête et je me rassois tranquillement. À mon attitude, IL comprends que je fais abstraction du monde qui nous entoure. IL pose Sa main sur mon genou, remonte sur l'intérieur de ma cuisse me forçant à écarter outrageusement les jambes. Les clients N/nous regardent subjugués par le spectacle. Ses doigts effleurent mon antre humide. Hummm que c'est bon. J'adore cette sensation, plaisir en public. IL cherche et trouve mon clitoris qu'IL titille. Mais je dois m'efforcer de ne rien laisser transparaître tels sont Ses ordres : ne pas bouger, ne pas gémir, ne pas souffler rapidement. Le serveur arrive pour prendre la commande. Tout en continuant à me caresser, IL demande 2 cafés. Je vois le serveur intrigué, puis sourire, son regard devient lubrique, et la réaction ne se fait pas attendre. Le serveur est excité par ce qu'il voit et perçoit. Quand à moi, je sens l'orgasme imminent arriver. Le serveur repart et c'est à ce moment précis qu'IL retire ses doigts qu'IL donne à lecher. Humm que c'est bon, mais quelle frustration de rester ainsi sur sa faim. Nous prenons notre café et IL me fait comprendre que nous devons y aller.
Nous marchons en direction de son appartement, il fait beau et bon et cela Lui donne l'envie de flâner un peu. IL prend ma main et me dirige dans une ruelle, un peu à l'écart mais pas trop, juste assez pour attirer sans susciter d'atteinte aux mœurs.
- aujourd'hui tu es Ma chose et tu feras tout ce que je te dis. Est-ce clair ?
- oui, lui répondis-je je
- oui qui ??
- oui Monsieur
- pardon ??
- oui Maître
- alors, mets toi à genoux devant moi.
Je suis gênée de me mettre ainsi à genoux, en pleine rue, en pleine lumière. Toutefois les papillons grondent en moi. Je suis terrifiée et excitée par ce qu'IL me demande faire. Je me mets à genoux pendant qu'IL déboutonne son pantalon, laissant entrevoir Sa queue qui pointe dans son boxer, l'objet de ma gourmandise. Je libère sa lame déjà dure comme de l'acier. Il tressaille lorsque de la pointe de ma langue je titille Son gland. Je lève les yeux vers Lui et je vois ses yeux qui commencent à s'embrumer. Alors ma bouche s'ouvre pour le laisser entrer enfin. Son sexe est long, épais et nervuré. J'enroule ma langue tout en faisant des va et vient longs et lents. Je veux Lui donner le maximum de plaisir, c'est Son envie et c'est mon désir. Au fur et à mesure que son excitation monte, IL accélère le rythme. Ses mains se posent sur chaque côté de ma tête et la tiennent fermement. IL veut plus, Son regard me le dit. IL veut baiser ma bouche alors pour Lui montrer que j'ai compris je l'ouvre en grand. Il sourit et commence Sa baise bestiale. IL va de plus en plus loin au fond de ma gorge, à limite de m'étouffer. Je Le laisse faire car je suis objet de Son plaisir. Le fond de la gorge me fait mal mais c'est tellement bon de le voir ainsi se lâcher. IL se déverse enfin et moi, contre toute attente, je me liquéfie à l'idée d'avoir été Son déversoir. IL reboutonne Son pantalon pendant que je passe ma langue sur mes lèvres. Il m'aide à me relever et m'embrasse à pleine bouche dans un baiser toute à fois dur et passionné. IL a le chic pour faire monter la température.
Nous reprenons la route tranquillement comme si de rien n'était devant les personnes médusées par la scène à laquelle elles viennent d'assister. Pensant notre route, nous parlons de choses diverses tout en rigolant. Nous sommes enfin devant l'immeuble. IL compose le code et m'invite à entrer. Nous prenons l'ascenseur et moi stress monte légèrement, mes doutes aussi. Et si je restais figée, et si je ne convenais pas, et si je n'étais pas celle qu'IL espérait. IL pressens mes interrogations, me prend la main et y pose un baiser. IL me caresse la joue ce qui provoque des frissons sur tout mon corps.
Il ouvre la porte de son appartement, et me fait rentrer. C'est un très joli appartement, style épuré et moderne. Après une visite guidée, IL me donne l'ordre de l'attendre agenouillée devant le canapé. Je m'y attelle pendant qu'Il va de l'autre côté de l'appartement. J'attends patiemment son retour, mais les minutes me paraissent interminables. D'un coup, je sens un main se poser sur mes cheveux et je lève les yeux, IL est là avec son regard espiègle, plein malice et très gourmand. Remarquez je suis gourmande aussi. IL se baisse pour m'embrasser le front puis s'assoit face à moi. je vois qu'IL pose à côté de Lui certains objets familiers : un collier et une cravache. IL souhaite que je Lui offre de nouveau ma bouche.
Je Lui baisse le pantalon et m'attelle à la tâche qui m'est confiée. Je Le prends délicatement en bouche, lentement. Il gémit alors j'accélère le mouvement et ma bouche descend de plus en plus loin sur Sa hampe. Je me concentre sur l'objet de ma gourmandise et sans criergare, je sens une chaleur cuisante sur mon cul et je comprends qu'il s'agit d'un coup de cravache. Il a décidé de me fesser pendant que je le suce. Il alterne coup de reins et coups de cravache. Puis il la lâche prend ma tête entre ses mains :
- ouvre la bouche petite salope
- encore plus, allez
Là IL me besogne telle Sa petite chose que je suis. Son gland heurte le fond de la gorge à m'en provoquer des hauts le cœur, alors je respire profondément la le nez. D'un coup je sens que je vais vomir, je me retire et cours aux toilettes pour éviter tout incident gênant. Je reviens dans le salon.
- à genoux, viens à moi à genoux.
J'obéis et traverse la pièce en marchant à 4 pattes, reviens à Ses pieds et le reprend en bouche. Je continue ainsi à le sucer, aller aux toilettes et revenir à 4 pattes. IL lâche ma tête et vient se placer à genoux derrière moi. D'un coup sec, sans ménagement, Sa lame dure et épaisse s'introduit dans mon anus, me soutirant un cri de douleur. Mes larmes coulent le long de mes joues. Il entame un va et vient rapide, et je pleure à chaude larmes à cause de la douleur. Je comprends qu'il me faut me décontracter. Alors je ferme les yeux et me cambre au maximum pour permettre une pénétration plus profonde. Contre toute attente la douleur se transforme en plaisir, hummmm que c'est bon. Son excitation s'amplifie, IL est au bord de la jouissance
- donne moi ta bouche, vite
Je me retourne et IL s'engouffre au fond de ma gorge et s'y déverse. IL adore ça et moi aussi. IL caresse les cheveux
- Tu vas prendre une douche ma petite chienne.
Je sens qu'un peu de Son sperme coule de mon cul quand je me lève
- non ! À 4 pattes comme la bonne chienne que tu es.
Je me remets à 4 et j'avance ainsi à ses côtés jusqu'à la salle de bain, je monte dans la baignoire et m'apprête à me laver.
- non ! Je vais le faire. Mais avant tu auras le droit à ma douche.
Je le regarde et comprends ce qui m'attends. Alors je me couche légèrement, en position semi assise, ouvre la bouche. Je sens un liquide chaud qui coule sur ma langue et que j'avale, mon cou, mes seins, mon ventre. La douche dorée, j'étais contre au début, je trouvais cette pratique dégradante, humiliante. Mais IL a su dédramatiser mon malaise. IL m'a poussé à dépasser mes limites. Guidée par Lui, j'ai pu m'épanouir et apprécié ce moment. Une fois Sa douche finie, il entreprend de me laver entièrement, soigneusement, tendrement. Je ferme les yeux et me laisse faire. Une fois lavée IL me sèche délicatement, me prend par la main et m'emmène dans la chambre.
- à genoux ma petite chose
Je m’exécute. IL quitte la chambre et revient quelques minutes plus tard avec le collier et s'assoit sur le lit, je baisse la tête.
- es tu une bonne soumise ?
- seul Vous peut le juger mon Maître.
Alors il me regarde fixement avec un sourire en coin
- montre moi que Je ne me suis pas trompé sur toi. Conduis toi en bonne soumise que tu es.
Je me prosterne devant Lui, les mains devant touchant ses pieds dénudés, j'embrasse le sol jusqu'à Ses pieds sur lesquels mes lèvres se posent pour un baiser plein de dévotion car je suis Sa chose. Il apprécie mon geste et passe Ses doigts sur mon dos.
- relève ta tête Ma douce.
IL me montre le collier avant de me le passer autour du cou. Il est en cuir, d'environ 3 centimètres de large, rouge et noir. Je le trouve magnifique. Une fois autour de mon cou, j'éprouve une grande fierté. Je suis Sienne et j'en deviens chose.
- viens sur le lit et allonge toi.
Ce que je fais
- essarte les jambe, montre moi La chatte qui m'appartient.
Je souris et ne me fait pas prier, j'écarte bien grand, lui offrant une vue panoramique sur l'objet de sa convoitise. Je mets automatiquement mes mains au dessus de ma tête et ferme les yeux. Ses doigts caressent mon clitoris et je gémis. D'un coup je sens quelque chose de chaud et humide. La pointe de Sa langue à remplacé Ses doigts. Le plaisir monte inexorablement, je gémis de plus en plus fort. Je suis prise d'un orgasme si intense que je cris et cherche à me soustraire de son emprise. IL le comprend et me plaque au lit avec son corps. IL a décidé de me faire perdre complètement la tête. Sans attendre que mon orgasme redescende IL insère deux doigts dans ma chatte, entame un va et vient très rapide, et j'ouvre les vanne. Je deviens fontaine dans un cri de joie, les draps en sont mouillés, le matelas aussi. Les larmes coulent sur mon visage et mon corps tout entier tremble.
IL porte ses doigts à ma bouche pour que je me goûte, hummm quel délice. Occupé à lécher Ses doigts, je ne me rends pas compte qu'IL bouge. IL se positionne entre mes jambes s'enfonce d'un coup dans ma chatte et j'en soupire d'aise. Que c'est bon de sentir Sa queue, Ses nervures, chaque centimètres de Sa peau. IL me besogne sans vergogne, brutal, le regard froid. Je fond, je me noie dans ce regard. Je veux qu'IL me déchire. Je veux Lui appartenir corps et âme. Cette pensée déclenche en moi une montée du plaisir. IL le sent et accélère. Je pars dans le cosmos, mon vagin se contracte intensément provoquant une montée de son plaisir. IL se laisse aller et éjacule en moi tout en s'effondrant sur moi. Sa bouche se pose sur la mienne pour un baiser passionné chargé d'amour et de désespoir.
Nous restons un moment dans les bras l'un de l'autre pour reprendre notre souffle et nos esprits. Je n'ai jamais ressenti ça, un feu d'artifice à l'intérieur de ma tête et de mon corps. S'en suit un moment de silence, de calme, de sérénité. Je resterai ainsi là pendant des heures. Je ne me suis jamais sentie aussi heureuse et apaisée. Je le regarde, Ses yeux sont clos et sa respiration est lente et régulière. Nous finissons par nous endormir ainsi
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Elle s'érige de loin, phallique, dressée, caressée dans son contrebas par le bras de la Seine. Babel escarpée qui s'élève vers les cieux, jambes écartées, indécemment lumineuse, elle flashe sur les bouches de métro, béantes, salivant leur flot d'hommes et de femmes qui viennent à elle avec avidité, convoitise, gourmandise parfois. Le ventre grouillant de la ville ploie jusqu'à elle. Elle nous regarde de là-haut, sa tête fière qui nous adresse comme un clin d'oeil, un halo unique et circulaire, éclairant comme un phare dans la tempête.
A cette heure-ci, il n'y a plus grand monde. L'humidité me glace, je frissonne en montant dans l'ascenseur, qui semble nous avaler pour nous propulser vers la cîme de la tour. Il se colle à moi et il me fourre sa langue dans la bouche, pointue et douce. Je la happe, l'aspire. Je sens sa chaleur m'envahir. Elle semble se concentrer toute dans mes orifices, humides et brûlants. Le désir monte en même temps que l'ascenseur. 276 mètres de fulgurance et d'urgence. Un haut le cœur qui rebondit dans mon sexe. « S'il vous plaît, mettez votre main entre mes cuisses.Maintenant! » J'aimerais le crier, mais je ne dis rien, j'attends qu'il glisse ses doigts contre le liseré du bas, qu'il s'introduise, fouille mes chairs. Chair-de-poule. Gonflement de vulve. Mouille. Mes yeux glissent de son regard vers le vide qui s'accentue à mesure que nous montons plus haut. Une même et unique sensation, un vertige. Je sombre.
A l'arrivée, le bar à Champagne nous réchauffe. J'ai beau brûler intérieurement, le froid humide me gagne.
Je l'entends murmurer. « Champagne ou Champagne ? » Je lis dans ses yeux que ce sera les deux? Je sens mon cerveau cogner contre mes tempes, mes jambes se dérober, mais je bascule avec lui.
Le romantisme des bulles fines, blondes qui explosent sur la paroi des flûtes avant la perversion d'une autre liqueur. Il m'abreuve de sa bouche, me rafraîchit, m'apaise. Ma fièvre ne semble pas vouloir se calmer pour autant. Mes visions de la ville au loin se floutent d'images de corps à corps, de baise sauvage, brutale, cheveux agrippés, main sur mon cou.
Je sirote, je chipote, je prends mon temps, le regardant en coin. Il voit bien mon manège, il me demande de vider ma coupe. Il me prend par la main, nous nous dirigeons vers les toilettes. Je crois que je vais me trouver mal, mon cœur tangue, je serre sa main plus fort. Dans les toilettes, il me fait m'accroupir, ouvrir ma bouche, défait sa boucle de ceinture et sort son sexe qu'il glisse avec délicatesse entre mes lèvres. Il sait qu'il doit me ménager, faire monter mon désir de lui. Je le lèche avec douceur, en décalottant le gland, doux que je suçote comme un bonbon. Je savoure, avec une lenteur calculée. Mais je sais qu'il sait. Il n'est pas dupe.
Je le branle tout en le dégustant, pour le sentir grandir, et je caresse de ma langue la base de sa queue, à la jonction des testicules, tout en le gardant dans ma bouche. Ma langue virevolte, sillonne le frein, glisse et exulte. Je salive d'abondance, autant que mon sexe mouille. Mon excitation est montée d'un cran et je le sens déployé, ferme, palpitant. Je profite de l'instant, j'en oublie où je suis. «Champagne», dit-il avant de se laisser couler doucement dans ma gorge. Je le bois yeux mi-clos, frémissante. Le second calice. Et le second liquide, plus âcre, plus intime, c'est lui qui coule en moi. Il me pénètre, il m'habite. C'est une autre jouissance toute neuve, tout là-haut...
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D’ordinaire plutôt introverti, je n’ai pas l’habitude de coucher sur le papier mes impressions et sentiments. Mais s’agissant ici de ma première expérience BDSM, je pense que c’est un passage important et que cela mérite d’être raconté et partagé. C’est un exercice assez difficile pour moi, car je ne suis pas encore à l'aise avec mes émotions, j'ai l'impression de parfois n'en avoir aucune, parfois de ressentir quelque chose et même des fois de ne pas le maîtriser, j'ai beaucoup de mal à mettre des mots dessus. Ainsi j’espère ne pas les décrire de façon trop maladroite...
Prologue
C'est au détour d'une conversation que l'on m'a proposé de venir à une soirée d'immersion. En club libertin ? Mince, où suis-je tombé, où vais-je me mettre, je n'ai rien qui colle au dresscode de l'établissement et vu ma timidité... Pas grave me répond-on, allez je viens, je tente le coup mais je suis quand même pas trop rassuré.
J'essaie de ne pas trop y penser pendant la journée, mais arrivé le soir le stress commence à monter... dans quoi est-ce que je me suis lancé, qu'est-ce qui va se passer ?? Allez ça va bien se passer, c'est un lieu public, au pire je me barre en courant, au mieux j'aurais l'occasion de jouer, qui sait ? 19h35, Matmatah sur les ondes, je chante à tue-tête pour faire baisser la pression. Arrivé sur place, je vais garer la voiture, déjà un petit groupe s'est formé sur le trottoir en face. Je suis placé trop loin pour voir précisément, il va falloir se lancer, sortir de ma zone de confort et briser la glace ! Euh, vous êtes là pour la soirée BDSM ? Yes, je suis bien tombé, on discute, la pression redescend, nous sommes bientôt rejoints par un couple et nous dirigeons à l'intérieur. Une première tournée de bières pour faire connaissance, puis nous partons faire le tour de l'étage et visiter les différents espaces du club : cuisine, chambres et un petit donjon avec lit en cage et chaise BDSM. Nous redescendons, et bientôt les premiers jeux commencent sur la piste de danse.
Une dame de notre groupe nous présente son matériel : cravache, martinets de formes, matières et longueurs différentes, paddle, etc. A la base les jeux d'impact ne m'attirent pas plus que ça, mais par curiosité, j'en prend quand même l'un ou l'autre et essaie sur mon avant-bras...
C'est là qu'elle me demande si j'aimerais essayer.
Hésitant au départ, je ne dis pas non, mais je redoute les marques et j'aimerais ne pas le faire en public, je ne sais pas encore comment je vais réagir... Elle comprend mes craintes, j'accepte volontiers son invitation.
Acte 1 : « Initiation »
Elle regroupe son matériel puis nous montons à l'étage nous installer dans une chambre libre. Elle me fait signe de me déshabiller, bientôt me voilà en caleçon, puis je m'installe dos à elle, les mains contre le mur. Je suis prêt... L'apéritif sera fait avec l'un de ses instruments les plus doux. C'est agréable sur la peau, ca me fait presque l'effet d'un massage. Elle me demande régulièrement si tout va bien, oui jusqu'ici tout va bien... J'essaie de la guider dans mes sensations, un peu plus haut, un peu plus bas, ça soulage bien les tensions dans le dos au passage... Puis elle monte crescendo, change d'instrument, mais cela reste toujours très agréable, ça commence à chauffer, ma peau rougit et je crois que j'aime ça...
Je me rhabille et nous allons pour descendre, quand elle me demande si j'aimerais essayer sur la poitrine. Ma foi pourquoi pas, mon esprit est bien chauffé et je me sens en confiance avec elle... TILT !!! et si on le faisait sur la chaise BDSM ?? J'enlève mon T-shirt et prend place. Bientôt les liens se resserrent sur mes cuisses et mes poignets, je peux encore bouger les mains mais je ne peux plus partir ! Elle me flagelle doucement la poitrine avec ses martinets, puis après une série commence à s’intéresser à mes tétons. C'est un peu mon point faible, je ne peux que dire que j'aime ça ! Et ainsi elle alterne entre le martinet et des caresses et pincements sur ma poitrine. Entre temps des clients libertins sont venus observer la scène, mais je ne m'en préoccupe pas, mon esprit semble flotter ailleurs à ce moment...
Nous redescendons, tous deux heureux de ce premier jeu, elle me complimente sur ma générosité. J'ai un peu de mal à comprendre, c'est en fait la communication, le lien qui s'établit entre les deux partenaires de jeu, la réponse à l'impact par un tressautement, les muscles qui se tendent et se détendent, un mouvement du dos, parfois des grognements.
Nous reprenons une boisson, pendant ce temps d'autres sont en train de jouer, une des filles est en train d'être encordée, un homme joue du fouet sur une jeune fille.
Acte 2 : « Sauce Piquante »
Parmi ses jouets, elle a emmené un nouveau martinet en sisal et me le montre. L'objet semble rustique, agressif, brut de décoffrage : il s'agit d'un martinet en corde dont chaque lanière se termine par un noeud. Je teste sur mon avant-bras, en effet c'est bien plus piquant que ceux que j'ai eu l'occasion d'essayer un peu plus tôt. Elle me demande si je veux essayer, j'accepte et cette fois nous prenons place sur la piste de danse, aux côtés des autres joueurs. D'abord installé face à un jeu de miroirs, elle teste l'objet dans mon dos, ce n'est pas désagréable, ça chauffe certes mais ça ne pique pas tant que ça... puis elle me demande de me retourner pour l'essayer sur ma poitrine.
Je suis face à elle, je croise les bras dans mon dos pour protéger la peau fragile de l'impact. La sensation est très agréable, j'apprécie. Ici, il fait plus clair qu'à l'étage, et quand nos regards se croisent, elle semble y trouver un grand plaisir également. Sentiment difficile à décrire que je n'ai que rarement vécu...
Acte 3 : « Club Sandwich »
Entre-temps les jeux se poursuivent, certains clients libertins goûteront à l'impact et même le patron y aura droit. Je ne me souviens plus trop comment on y est venu, mais à un moment l'ami de ma partenaire me demande si je veux essayer son cat-o-nine. J'ai encore la caisse et suffisamment d'appétit, j'accepte volontiers. Encore une fois je tombe le T-shirt et je vais m'appuyer sur la régie du DJ, à ce moment inoccupée. La sensation est différente, plus cinglante, plus incisive mais toujours agréable même si la visée n’est pas des plus évidentes à cause de la pénombre.
J'ai le dos bien chauffé, quand Elle s'introduit entre mes bras et commence à jouer avec ma poitrine ! Changement de situation inattendu mais tout à fait opportun, je recule pour lui laisser la place de s'exprimer au martinet tandis que son ami me propose d'essayer son fouet. Oui ! Et ainsi commence une danse folle, mon corps est comme une partition où mes deux partenaires inscrivent leur mélodie, alternant entre rythme en cadence, syncope et contre-temps le tout en crescendo. Le tout ponctué de quelques râles, parfois le fouet fait mouche et la sensation est toute autre ! Je commence à lutter intérieurement, c'est compliqué de gérer les différentes sensations entre mon dos et ma poitrine, d'un autre côté je n'ai pas envie d'arrêter tout de suite... Mais toute chanson a une fin, et nous terminons cette danse tous trois heureux, c'est ma première fois pour beaucoup de choses...
L'heure tourne, il se fait tard. Les clients commencent à partir et notre petit groupe se dirige également vers la sortie. Poignée de mains avec le patron des lieux, puis nous nous séparons en nous promettant de se revoir bientôt. En résumé, une excellente soirée et plus qu’une immersion, ce fut le grand plongeon !
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Dentelles noires, ajourées, je dors dans le tiroir de la commode quand sa main m'agrippe. Je jubile, frémissement de tissu sous ses doigts graciles. Mais que fait-elle ? Elle me pose sur le lit ! Elle hésite, on dirait... Comment peut-elle ? Ne suis-je donc pas la plus seyante, la plus agréable, celle qui la rend désirable, celle qui l'habille d'un rien, celle qui la déshabille aussi bien ? Ouf, elle me prend, me serre contre son ventre rond, fait glisser ses jambes, elle me remonte avec délicatesse, ajuste et lisse sur ses fesses, j'aime leur galbe, je me sens belle sur elles. Et comme j'aime le contact de sa vulve, tendre et renflée qui m'épouse si bien, lisse par en dessous, frisottant sur la partie bombée. Les effluves me parviennent, douces encore. Je soupire d'aise, je suis chez moi ici, je vais sentir le mouvement des jambes, le frottement doux, les courants d'air parfois qui me rafraîchissent... Enfin, presque. Elle décide d'enfiler un collant, me voilà enfermée !
La journée passe. Comme parfois, je descends sur ses genoux de temps en temps, avec le collant. Lui et moi, nous nous suivons dans un exercice répétitif. Que j'aimerais qu'il s'en aille celui-là ! A croire qu'elle m'a entendue... Valsent collants ! Elle décide de mettre des bas. Je les vois, on se regarde, on se salue. Ils s'arriment en haut des cuisses, élastiquées et qui laissent entrevoir une bande blanche et soyeuse. J'adore cet endroit, c'est si beau à voir. Mais, elle fixe quelque chose qui me déforme un peu, comme un joyau entre ses fesses. Pas très agréable mais joli. Elle ne porte pas très souvent ce bijou qui appuie sur mes dentelles. Est-ce le fait du bijou, des bas, je sens couler sur moi, cela embaume, je suis un peu tâchée mais j'aime cette ambiance tropicale, chaude et humide. Je me sens si bien, désormais...
Elle repart, en marchant, je sens le bijou derrière, l'humidité devant et l'air me frôler un peu partout, mais je n'ai pas froid. J'aime me promener ainsi, nez au vent...
Elle n'est plus seule maintenant, une voix mâle. Je crois qu'on l'embrasse, elle mouille un peu plus mais son vagin garde tout pour lui. Egoïste !
Elle marche avec lui. D'autres doigts me passent dessous, mais je ne les intéresse pas, j'ai l'habitude. Les doigts veulent juste s'enfoncer sous moi, dans cette chair douce et parfumée, moite, gonflée. Je patiente, j'attends qu'il en ait terminé. Mais, mais, que fait-elle ? Je glisse le long de ses jambes ! Je me retrouve dans l'atmosphère sombre et éclairée d'une gare. On me voit, n'est-ce pas ? Elle me tend à cette autre main, celle de l'homme qui m'empoche alors et m'oublie. Elle m'a abandonnée !
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Rêves de salives échangées, de crachats épandus, mousseux, le long de mon cou, dans le creux de mes seins, à l'orée de mon sexe, d'eaux sinueuses et capricieuses, de pleurs incontrôlés, de fleuves grondants, d'abondances fluides et parfumées, de liqueurs précieuses et d'humeurs salines, de coulée lactée, de chocolat fondu, de collines miellées et de peau nappée, léchée et savourée, d'onctuosités ondoyantes, de flux et reflux incessants, d'un ressac interminable...
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Une goutte d'eau, aux lueurs scintillantes,
Dévale son dos, en lumières miroitantes.
Franchissant la jolie cambrure des fesses.
Elle tombe dans la flaque où les rides naissent.
Sa main gantée, écumeuse de savon.
Glisse sur son ventre, parcouru de frissons.
Les dômes de ses seins, aux rondeurs charnelles.
Allument dans sa tête, des milliers d'étincelles.
Derrière le rideau, comme s'il guettait sa proie.
Le mâle attend, l'ardent élan étant son choix.
L’œil brillant, parcouru d'images impudiques.
Tous ses sens exacerbés, de désirs érotiques.
Enfin s'ouvre le rideau, sur des courbes gracieuses.
La peau frémissante, en ondes voluptueuses.
Le reste n'est qu'une affaire, d'intimité privée.
Un domaine où règnent l'amour, et la sensualité.
Le 23 octobre 2016
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La pluralité des goûts invite à une pluralité des formes. Ainsi, la beauté se pare de bien des courbes, aussi uniques les unes que les autres ; et c'est tant mieux !
Pour autant, je ne confonds pas silhouettes naturellement généreuses, et bourrelets négligents.
En ces lieux, on prône le plaisir, mais aussi l'esthétisme.
Conjointement, soumises et dominants évoquent, ou s'affublent à l'envie de notions plus ou moins pompeuses :
éducation, rigueur, sévérité, apprentissage, mise en valeur de l'autre...
Tout un programme, donc !
Pléthore de photos personnelles sont publiées. La grande majorité des corps proposés, crient à l'unisson :
paresse, négligence, laisser-aller, laxisme...
Alors soumises et dominants, quid de ces demandes ou promesses disciplinaires ?
Car la plus grande des rigueurs ne s'exprime-t'elle pas, tout d'abord, au travers de notre hygiène de vie (alimentaire, sportive,...) ?
Et la première des sévérités, n'est-elle pas d'y veiller ?
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