Maître E maitreLouis
Bonsoir,
je viens de voir votre profil, je vous recommande cette soumise, elle peut vous convenir, son pseudo sur le site c'est : SLeaS
Une recommandation d'un confrère dominant.
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maitreLouis
Bonsoir, et bienvenue parmi nous. Merci pour cette recommandations. Léa et moi avons déjà expérimenter ensemble
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04/02/24
Personne pour un apport d'expérience ?
Soyez la première personne à aimer.
Merci Derek pour cette apport.
Je reste dans l'attente de témoignage de gens qui le pratique pour m'en faire une vision/compréhension moins abstraite.
Soyez la première personne à aimer.
La gynarchie
Bonsoir,
J'espère que vous allez tous bien.
Récemment, en arpentant le forum et en particulier les profils de dominatrices et de soumis, j'en suis venu à me poser une question :
D'où vient exactement le terme gynarchie dans le bdsm ? Et qu'est-ce qu'il représente autant pour les dominatrices que pour les soumis en recherche de gynarchie ?
La question peut paraître idiote, mais, si elle m'est venue en tête c'est pour une raison simple. Le bdsm par définition se pratique avec une ou plusieurs personnes dominantes, et une ou plusieurs personnes soumises. Toutes, liées par un contrat dit ou nordit, visible, ou non.
Donc par essence même. Si un soumis à une dominatrice, c'est elle qui domine. Mais du coup, je ne comprends pas exactement par quel besoin/fantasme est né le concept de gynarchie puisque par implication même si la dominatrice est une femme ça veut dire que la femme domine...
Je n'ai jamais vu de dominant, homme, ou de soumise, femme, déclarant être en recherche d'andrarchie(mot que je viens de découvrir), ou de phallocratie.
Est-ce que l'idée serait de partager à l'autre personne qu'on pense que les femmes devraient être au pouvoir ?
Si oui, qu'est-ce que cela change exactement dans la pratique bdsm ? Que les femmes soient au pouvoir ou non, la dominante est au pouvoir, donc je ne vois pas bien ce que cela apporte.
Est-ce que l'idée est de dire qu'on pense les femmes supérieures aux hommes par nature ?
Dans ce cas du coup les soumis gynarchique globalement disent qu'ils sont soumis à toutes femmes souhaitant les dominer, et les dominatrices gynarchiques disent que leur soumis doit être prêt à se soumettre à toutes femmes désireuses de le dominer ?
J'essaie de comprendre, mais j'ai beau tourné ça dans tous les sens le concept m'apparaît flou.
Et comme je n'arrive pas à le transposer dans l'autre sens, j'ai du mal à voir exactement ce qu'il est censé apporter.
Que veux dire gynarchie ? Qu'apporte cette notion ? Et surtout, comment le pratiquez vous dans les faits ?
Certains d'entre vous peuvent-ils partager leurs avis/vécus/visions ?
Merci
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Bonsoir,
"Je crois en la supériorité féminine" il me semble que cela vous déclare misandre.
Je ne suis pas a 100% sûr, mais je crois que si vous pensez les hommes inférieurs aux femmes, alors, vous êtes misandre.
Quand à la gynarchie, c'est un peu induit.
Si vous pensez que les hommes sont inférieurs aux femmes, normalement, ça veut dire que supposez les femmes meilleurs à diriger/dominer. Et dans ce cas-là vous êtes gynarchique ? En tout cas c'est ce que la gynarchie représente à mes yeux. Penser que les femmes seules devraient diriger car cela serait meilleure/naturelle.
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maitreLouis a répondu à la discussion "Payer pour se faire dominer... une forme de sous-soumission?" de lyssandre.
On semble en majorité être d'accord en tout cas sur le fait qu'une demande de soumission tarifée est une prestation et que du coup la personne la pratiquant est une prestataire de service (ici sexuel, ou à minimat érotique si vraiment on veut s'empêcher de dire les choses).
Pour autant le commentaire de Lady_Agnès me fait réaliser qu'en réalité il n'y a pas de différence entre les femmes soumises et les hommes soumis (clap féministe). C'est juste que d'un côté, il y a des hommes en surnombre qui sont obligés de "forcer" pour espérer trouver. Car sur l'idée de la liste de course et de la prestation de service, c'est exactement la même chose dans l'autre sens.
Une bonne majorité des soumises sur leur profil ou en échangeant avec affichent très vite leur liste de course à base de je suis là pour avoir : ça, ça et ça. C'est juste qu'elle n'harcele pas les gens mais se font, elles, harcelées. Du coup elles finissent par trouver quelqu'un et du coup ça ne crée pas de demande pour des dominateurs pro.
Mais cette idée liste de courses est absolument présent dès deux côtés.
J'ai réfléchi à ce que je ressentirais si on me payais pour dominer. J'aurais effectivement la sensation immédiate de dominer (puisque "pratiquant" du bdsm), mais en réalité je ne serai pas du tout en train de dominer, juste de servir.
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Je lui claque une fesse. Sa mouille abondante dégouline lentement jusqu’au plancher. Elle baise ma chaussure.
Je saisis le feutre sur la table sur la table et, d’un mouvement sec, tir un grand trait barrant ceux qui ornent déjà sa peau.
— Tu n’as pas honte ? je demande.
Un gémissement plaintif me parvient aux oreilles. Je reconnais le doux son de sa gêne.
Je retire l’œuf de sa chatte et le jette sur le tapis. Quand je plonge deux doigts dans son anus tremblant, sa bouche m’accueille d’un geignement prolongé et suave.
Genoux à terre, repliée en avant sur le tapis et mains menottées dans le dos, elle est à ma Mercie.
Soumise sous contrôle. Chienne en dressage. Esclave de mon désir.
Mes doigts s’engouffrent dans ses fesses et je frotte ses parois avec vigueur. Je fouille son intimité. Je saisis sa crinière et tire sa tête vers l’arrière.
Un long gémissement traverse la pièce.
— Petite pute.
Elle gémit.
— Putain masochiste.
Elle gémit.
— Tu n’as pas honte ?
Son souffle s’accélère, ses parois se resserrent. Sa tête que je tire vers moi s’abandonne de plus en plus dans mon sens. Elle frémit, son corps est parcouru de spasmes. Les larmes de mascara sur son visage gonflent ma verge d’un désir explosif.
— Jouis !
Je lui claque une fesse. De petites gouttes forment rapidement une trace humide sur le tapis et elle pose un baiser sur ma chaussure. Du feutre, je grave sur son cul son cinquième orgasme.
Je me lève et lui retire les menottes.
— Debout !
Elle obéit.
Elle s’avance vers le pied du lit.
— Cambrée !
Elle s’affaisse vers l’avant.
— Tes fesses !
Elle gémit.
Elle amène ses mains dans son dos et écarte les fesses. Son petit anus compressé s’agite. Il me fait de l’œil et je compte bien le défoncer.
Je bande à en mourir.
Je rapproche ma bite de son cul et d’un mouvement sec je la pénètre jusqu’à la base. Son gémissement résonne contre les parois des murs.
Je saisis son cou et à son oreille :
— Silence ! Chienne ! j’ordonne.
Elle inspire grandement. Elle gémit. Elle frémit.
Mon bras appuyé contre son sein capte le battement affolé de son cœur.
Elle est belle. Elle est si belle dans la peur.
Je retire alors ma queue et, une nouvelle fois… je lui baise l’anus.
Couché sur papier en une petite heure...
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sylvie35 tu es, je pense, celle qui a réveillé mon envie d’écrire un peu d’erotique. Ce texte particulier est intense, oui. Cours et crue aussi. C’est ce qui m’a permi de le coucher en une toute petite heure de liberté.
Voir si je me remets à des textes plus longs et des situations plus réfléchies. A suivre…
30/05/20
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Les secondes défilaient dans son esprit. Combien ?... Combien de temps était passé depuis ? Elle n’en avait plus conscience. Mais chaque instant, chaque souffle, faisait battre un peu plus fort son cœur.
Elle savait pourquoi elle était là. Pourquoi le parquet si froid et dur lui meurtrissait les genoux.
Un cliquetis perça le silence ambiant. Son cœur manqua un battement, puis deux. Était-ce réel ? Les yeux ainsi bandés elle ne pouvait en être sûre. Elle restait néanmoins fière. À genoux, nue, mais fière. Le dos dressé, droit ; les mains au niveau des cuisses, la bouche close, interdite. Et quand de nouveau plusieurs cliquetis retentirent à la suite, elle comprit qu’il était temps. Elle ne tourna pas la tête pour l’accueillir mais entendit ses pas s’avancer vers elle. Sa poigne fut directe. Un peu douloureuse, mais bienveillante. Elle le savait, elle le sentait. Elle se mit debout car il la poussait à le faire, et s’avança au rythme de l’homme qui la possédait.
Très vite, sa peau frôla le bois du lit. Elle s’arrêta et tâta tant bien que mal, c’était le pied du meuble. Un autre cliquetis retentit, elle comprit. C’était ici et maintenant. D’un geste craintif mais fier, elle courba le haut du corps et s’offrit. Les fesses postées en arrière, la face vers le bas et les mains loin.
Elle agrippa le rebord du lit et la ceinture fendit l’air.
À deux reprises elle frémit et son cœur bondit, tandis qu’aucun coup ne l’atteignait en réalité. La troisième fois fut la bonne. Vive, marquante. La frappe suivante s'abattit dans l’instant, puis une autre, et encore une prochaine. Elle souffla. Que pouvait-elle faire d’autre ?
Un toucher délicat caressa sa fesse droite. Quelques doigts s'y attardèrent un instant, quelques vas-et-vient qui, semblant réconforter sa peau, préparaient en réalité un second assaut. La gifle suivante fut plus sèche, plus cinglante. La ceinture frappa et, alors même que le son interdit s'échappait de ses lèvres supérieures, la main s'aventurait vers celles du bas.
Allait-il ? Elle ne le savait pas, mais il pouvait. Il pouvait tout. Elle était à lui. Et quand il frappa délicatement l'intérieur de ses cuisses, elle les écarta pour qu'il aille là où il le voulait. Il s'attarda sur sa fente, à certains endroits plus que d'autres, puis la pénétra de ses doigts. Elle poussa un doux cri lui échappa. Une plainte ? Non, un appel, une supplication qu'il ignora bien vite. Une verge durcit contre ses fesses, puis elle les sentit s'ouvrir, forcées.
Le liquide glacé enduit son anus, puis son maître entra. Comme il le voulait, où il le voulait.
Une gifle atteignit sa joue et elle ouvrit la bouche. Lentement, une salive étrangère s’y glissa. Son entrejambe en mouillait. Avait-elle le droit ? Elle n’en pouvait autrement. Les longs cheveux tenus d’une ferme poigne, son anus ne cessait de recevoir l’assaut. Tantôt doux, tantôt sec, tantôt, lui rappelant qu’elle lui appartenait, et que ce soir, chaque pénétration n’avait lieu que pour lui.
Son anus se contracta, involontairement, la fessée fut immédiate, elle le “rouvrit”. Le claquement contre ses fesses ralentit, une main se glissa dans son entrejambe. Lea gémit à travers le bâillon. La main qui se baladait sur son dos prit position autour de son cou, les doigts qui caressaient son temple remontèrent au niveau de sa hanche. Elle sentit son maître se courber. Il posa sa tête sur son épaule et elle tourna sa face vers la sienne.
Un baiser, pitié, un contact. N’importe quoi aurait fait l’affaire.
Un son étouffé lui parvint aux oreilles. C’était pour bientôt. Son anus chauffa, la cadence aussi, les pénétrations pourtant plus lentes étaient plus profondes. Et quand la main qui tenait son épaule atteignit sa hanche, qu’un long souffle chaud effleura sa joue ; elle ne put se réprimer un gémissement étouffant celui de son Maître.
Lentement, comme à chaque fois, elle sentit son anus se vider. Le bâillon entourant ses lèvres fut retiré. C’était inhabituel. Confuse, son pouls accéléra. Lea paniqua et fouilla l’air, tomba sur une verge ; et la saisit avec toute la délicatesse dont ses doigts pouvaient faire preuve. Que devait-elle faire ? Pouvait-elle parler ? Elle hésitait. Et alors que désireuse de toujours plaire, elle s’apprêtait tout de même à ouvrir la bouche... un baiser furtif se posa sur ses lèvres. Elle frémit, désirant plus. Mais elle ne fit rien. Elle ne pouvait pas. Pas aujourd’hui. Pas cette fois. Ce soir, elle était interdite...
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