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Maitre-d'oeuvre

Homme Dominateur. Vit à Lorraine, France. 102 ans. est marié(e).
Extrait de son book
Maitre-d'oeuvre
Bonjour. Je pense comme @Intime Photographie que le jeu est dangereux, en tous cas, comme vous le décrivez. A savoir entretenir ( même avec l'aval de votre partenaire) une double relation sera à terme la disparition de l'un ou de l'autre des partenaires. Les rapports intimes génèrent des liens qui deviennent un jour ou l'autre un besoin, un attachement qui prend toute la place dans l'esprit. Aussi: Soit votre compagnon démontrera sa jalousie de bonne heure et votre choix de ne pas le quitter sera encore possible, et c'est votre relation D/s qui se terminera.  Soit encore votre nouvel amant prendra toute la place et vous quitterez votre compagnon actuel. Dans les deux cas l'un laissera la placce à l'autre. En serez vous satisfaite ? Je serais plus dans une relation ( si vous la souhaitez vraiment ) où vous seriez trois à jouer de votre soumission. Votre actuel compagnon étant le leader de votre Domination, et votre nouveau partenaire son " coéquipier " en quelques sortes. ( même si dans les faits c'est ce dernier qui sera celui qui vous fera découvrir la D/s, de par sa propre expérience.) Ainsi, il saurait ( votre actuel ) tout de ce que vous vivez, et serait à même lors des debriefings, de vous donner ses sentiments et vous les votres. et pour vous d'eux d'enrichir votre connaissance de la D/s. Est-ce acceptable ? Viable ? Est-ce que le " coéquipier" serait pret à tenir ce rôle quelque peu dégradant pour le Dom qu'il serait supposé être ? Autant de questions concernant vos psychés respectifs, auxquelles je n'ai pas de réponse. Mais une chose est très probable. Un troisième laron dans une affaire Intime n'existe pas pour très longtemps. Ca, c'est à peu près certain. Bonne chance, bonne continuation. ;-)   
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a mis a jour son propre profil.
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@ moondog. Quand je vous dis que vous m'avez lu en diagonale, votre dernier post le démontre. En effet vous coupez mes phrases là où cela vous donnes du grain à moudre: J'ai dit: J'ai le pouvoir de lui imposer beaucoup. Elle accepte tout ce que je lui impose. Oui, mais notre relation est basée sur l'amour, le respect qui en découle et non sur une relation toxique. Cette fin de phrase est essentielle or, vous l'évincez de votre copier coller !!!  Je vous avoue que je ne souhaite pas aller plus avant. En effet la polémique n'est plus de mon âge. Bonne continuiation :wink:
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délicieuse déesse autoritaire recherche son loyal et dévoué soumis en quête d'éducation, de soumission et de vénération je pratique ma passion dans une pièce aménagée privée et non professionnelle... .:.
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@ moondog Je ne sais pas si vous avez lu mon post en diagonale ou si vous ne savez comprendre ce que j'ai écris, mais... Peu importe. Vous ne m'avez visiblement pas compris. Tant pis !! A une prochaine. :wink::grinning:  
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Bonjour à toutes et tous. Il me semble pour commencer que le BDSM et la D/s donc, sont la relation d'une personne avec une autre, dont l'une souhaite se soumettre et l'autre dominer. Jusque là, j'ai bon non ?? Donc: suivant les règles d'usage ( ouhhh que c'est laid ) un accord est pris entre les partenaires concernant le cadre de jeu (relation) et les limites acceptables par celui/celle qui va se soumettre. De la même façon, le Dominant fixe de son coté ses attentes et ses souhaits. voir ses limites propres. Lorsque les deux se sont mis d'accord sur le cadre de leur relation, alors celle-ci peut débuter dans un rapport sain et sécurisé. ( en principe ) Y a t il Simularion du pouvoir ? Je ne le crois pas personnelement. Puisque ce pouvoir est reconnu et accepté par le/la soumis(e) Y a t il une emprise qui sort du cadre d'une relation normale entre individus ? Oui, bien entendu. Mais celle-ci est  basée sur le fondement de la relation BDSM.  Ensuite, qu'une relation dépasse le cadre pour devenir très inclusive, voir esclavagiste ? Il n'y a pas besoin d'être dans le BDSM pour cela. Tous les individus malfaisants peuvent avoir des comportements tels, qu'ils soient BDSM ou non. Le fond du problème reste le niveau d'acceptation de la personne soumise vis à vis d'attitudes non consensuelles, et du temps qu'il faut à cette personne pour se rendre compte que la relation est malsaine. Car, comme le disent les anglais: (You need two hands to clap !) il faut deux mains pour applaudir. Il faut également être deux dans une relation. Je ne dénie pas que certain(ne)s individus ont une capacité accrue à prendre du pouvoir sur un autre et que cela puisse conduire à des situations inacceptables, Mais encore une fois, ce n'est pas l'apanage du monde BDSM.  Que les conséquences en soient accentuées par le fait que le/la soumis(e) ait donné une forme de pouvoir qui finit par lui échapper dans la notion de l'acceptable ? Oui je le conçois.  Mais je continue de penser que chacun, chacune, doit évaluer en conscience ( je parle là des soumis(e) ) le niveau de soumission au delà duquel les accords concernant l'acceptable sont dépassés et prendre par conséquent les mesures qui s'imposent. Je n'accepte que difficilement ( de façon pragmatique et non de façon empathique ) un(e) soumis(e) qui accepte ces situations dont elles ont conscience qu'elles ont basculées dans le "dangereux" pour il/elle, sans réagir immédiatement: Dialogue dans un premier temps. Rupture de la relation (BDSM) si le dialogue n'est pas suffisant pour mettre fin à une emprise trop inclusive ou pire. Donc: et je conclus comme cela, Je suis en relation D/s avec ma soumise depuis 17 ans. J'ai le pouvoir de lui imposer beaucoup. Elle accepte tout ce que je lui impose. Oui, mais notre relation est basée sur l'amour, le respect qui en découle et non sur une relation toxique acceptée dans un premier temps et rejetée ensuite, beaucoup trop tard, avec des dommages psychologiques qui peuvent être causés pour la vie durant. La D/s est une relation d'échange de pouvoir. Une relation saine entre individus sains et consciens de ce qu'elle doit être. Non sur un pied d'égalité dans la relation, mais sur un pied d'égalité dans l'acceptation et donc le respect des limites agréées. Toute autre vue de ce genre de situation et ses résultats, est le fruit malheureux d'une relation dans laquelle le/la soumis(e) n'a pas décelé le danger que représentait la relation débutante avec un individu malsain. C'est très dommage, mais dans la vie vanille, c'est le quotidien de tant de personnes, qu'il n'est pas, à mon sens, ( ce quotidien ) de fait, une exclusivité BDSM. A vous lire. :grinning:  
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@Milau C'était il y a 3 ans et demi. Quelle est votre position à ce jour ton Dom et toi ?? Avez voud évolué ? Et dans quel sens ?  D'avance merci de ta réponse. :smiley:
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a répondu à la discussion "Besoin d'un avis" de Sm 87.
Voilà: C'est mon avis !! Satisfait ??? :sleeping::sunglasses:
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Bonjour. Quant à moi, je dirai en quelques phrases le fond de ma pensée: Le propre du fantasme est de ne pas être réalisé ! Oui certaines libertines (Pro) pratiquent le Gang-Bang. Mais de là à penser qu'elles se soumettent pour leur Dom ??? Il y a un pas qui relève du fantasme précisément. Bonne continuation. :smile:
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@ Zig63 Les relations Switches sont pour moi toujours étranges dans leur conception. Mais encore une fois, il s'agit de SM. Et là... Je suis bien embarrassé pour juger de ce que je connais bien mal. Il reste qu'à la lecture de ton post ci-dessus.... Le ciel de ma compréhension ne s'éclaircit pas !!! :wink: :smile:
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Que vous dire ? Qu'il m'est totalement impossible de l'envisager ? Je suis son Dominant depuis plus de 16 ans. Et je ne me vois pas du tout, mais pas du tout en soumis. Par ailleurs, je pense que l'image que je lui offre depuis notre rencontre serait durablement endommagée. Comment gérer l'après ? Impossible je pense. Les images seraient durables et le sérieux que je mets dans notre relation serait tournée en ridicule concernant mes ordres et demandes quelle qu'elles  soient. Quid du vouvoiement ? après qu'elle m'ait traité de lope ou de trou à merde ou je ne sais quoi d'autre ? Notre relation est D/s 24/7. Ce n'est pas un jeu de cache cache, et si je comprends que certains y trouvent une forme de jeu complémentaire à leur habitude, je ne vois pas comment je pourrais seulement le concevoir. Je pense que ce type d'échange ( finalement le Switch's attitude ) n'est pas concevable en D/s alors qu'en S/M, je ne vois pas de frein à s'en amuser. Question de rapport entre individus. Voilà pour moi (nous) :-)
Fétichiste du latex, des talons et des tenues de jeux sexy, j'apprécie les complices hédonistes aimant jouer dans un esprit D/S érotique et voluptueux. j'ai beaucoup de tempérament et je prends plaisir autant dans la domination que dans la docilité. et vous ? .:.
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Ohhh la la !! quel sujet épineux. Il y a là matière à tout et à son contraire. En effet combien de soumis(e)s souhaitent progresser dans leur soumission ? Et donc... Aller au-delà de ce qui est acceptable en début de relation ? A peu près toutes/Tous !! La confiance est quelque chose qui est donc à géométrie variable, puisque le souhait, dit autrement, c'est que la/le soum se dépasse dans ses capacités. Oui... mais alors ?? cette confiance ? Est-elle vraiment évolutive ? a-t-elle la souplesse nécessaire pour accepter que la/le Dom pousse plus loin l'expérience lorsque sa/son soum lui paraît être suffisamment à l'aise dans une pratique définie et acceptée ? N'est-ce point au Dom de prendre ce genre d'initiative ? ( Fort a la/au soum d'utiliser le Safe word et d'expliquer ce refus en debriefing ) Il me paraît toujours étrange de se mettre en relation BDSM et de parler d'abus de confiance dès que la/le soum sort de sa zone de confort. Je ressens depuis quelques années cet inconfort dans la prise de décision chez beaucoup de Doms, pris dans les méandres de cette incapacité à définir ce qui doit être la limite sinon celle que lui ressent vis à vis de sa/son soum. ( ce qui était la situation qui prévalait il y a quelques années + 10 ans ) Je ne parle pas ici de tout ce qui pourrait concerner les attitudes illégales: viol, Prostitution, violence non désirée Etc... Mais simplement de faire des contraintes évolutives dans le cadre des accords de départ, aux fins de faire parvenir la/le soum à une progression dans l'exercice de sa soumission. Au risque d'aller plus loin que ce que la/le soum souhaite à cet instant donné. ( Encore une fois, le safe word et le débriefing étant les arbitres dans l'action et dans le post-action ) Voilà. Je crois qu'à trop vouloir mettre des mots sur tout, on finit par ne plus savoir pourquoi on s'adonne à sa pratique du BDSM. ce n'est pas un monde de Bisounours, et par voie de conséquences, il faut, avant d'entrer en relation, savoir bien ce que l'on a derrière la tête en termes d'acceptation de ce que l'autre imposera et de la progression que l'on se sent en capacité d'intégrer dans la relation sur du moyen/long terme. Bien à vous. :grinning:
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a répondu à la discussion "ADMIRATION" de Lady Spencer.
L'admiration.... Grande question. Ce n'est pas le sentiment primordial de notre rencontre. Il me suffisait alors de ressentir son besoin de soumission à mon égard pour que cela comble mon attente. Tout restant à faire en D/s, mais pour le moins, elle était prête à s'offrir dans son intégralité à mes demandes. De son coté, elle m'a avoué être en lecture plus que régulière des posts que j'adressais sur le forum où nous étions en commun, sans aucun rapport entre nous, (elle lisait seulement ) Puis un beau matin, elle s'est décidé à passer un message "type annonce", ce qui était permis sur ce forum. Je lui ai adressé un M.P. pour lui faire part de mes remarques quant à sa recherche et donc aux informations, demandes, affirmations qu'elle avait mises dans son premier possible contact. Je lui faisais part de ma réticence sur l'aboutissement d'une telle littérature dans la recherche d'un premier contact. Il était fait ce premier contact. Je n'attendais aucune réponse, sinon une qui soit un " allez vous faire voir ailleurs " mais pas du tout. Elle expliquait, justifiait ses propos, et j'ai alors senti son immense honnêteté, sa droiture intellectuelle, sa vraie nature soumise. et en plus, elle me disait être surprise que je me sois intéressé à elle. Elle ne m'admirait pas non plus, mais avait l'espoir qu'un Dom ayant mes opinions serait un jour en contact avec elle, sans espérer toutefois que ce serait moi. Depuis bientôt 16 ans maintenant, j'ai de l'admiration pour la merveilleuse femme qu'elle est. J'aime ma soumise, mais ce n'est pas de l'admiration ça. C'est une sorte de mélange de pulsions et de ressentis dans le besoin de dominer. Très différent de ce que l'admiration provoque. Je pense toutefois que cette admiration de ma femme vient en partie de son état de soumise, douce, tendre, ayant des attentions que l'on ne rencontre pas tous les jours en vanille, loin de là. Et ce je le répète, depuis bientôt 16 ans. Bref, cet état lui confère des agissements, une façon de réagir, de répondre à mon caractère pas toujours facile, que je n'aurais pas espéré chez une vanille. Quant à elle, m'admire-t-elle ? Je ne lui ai jamais demandé. Je ne le souhaite pas, en tous cas, pas sur mon statut de Dom. Ensuite, l'homme que je suis ? J'espère que pour le moins elle admire notre vie commune. Je n'ai pas besoin d'être admiré. Voilà pour moi. :smiley:
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@ Polo. Je ne souscris absolument pas à votre analyse. Je vous laisse libre de penser comme cela. J'ajoute que je trouve que vous avez bien de la chance si vous trouvez ce que vous cherchez. Inutile de vous dire qu'une soumise pensant de la sorte n'aurait jamais trouvé en moi le Pseudo-dominant que vous semblez désirer et qui n'en n'est pas un, assurément. Je domine, je façonne et si la soumise n'apprécie pas ? Alors elle s'en va. Pas de souci. Mais je peux vous dire après 16 ans de domination, que jamais une soumise ne me forgera, ni ne décidera de ce que je dois faire pour lui convenir. Au delà des interdits, faisant suite aux accords qui scellent notre partenariat, Je " DECIDE " Elle obéit !! Et je ne crois pas être un cas isolé. Loin de là. Bonne continuation. :grinning:
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@StellaMaris de Ngu59fr Je vous laisse penser ce qui vous paraît être le plus plausible. Puis-je vous faire part de ceci ? Ce que vous me dites pourrait être comparé à cela: Pour bien construire une maison, il faut avoir été une maison ou être dans la "brique et la charpente" d'une maison !! :wink: Métaphore un peu brute de fonte, je vous l'accorde, mais cela étant.... :wink:
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@ StellaMaris de Ngu59fr Bonjour. Je ne partage pas votre déclaration, même si j'en comprends l'esprit : "un Dom se met forcément dans la tête et dans la peau du soumis," Non, un Dom ne se met pas dans la tête et surtout pas dans la peau du/de la soum. En aucune manière. Ce serait aller à l'encontre de l'intérêt de la relation. Je vais tâcher de m'en expliquer: Le Dom doit ressentir ce qui est nécessaire à sa soumise, ce qui peut la faire grandir, ce qui doit lui prouver que sa confiance est justifiée. Et non pas être le copié collé de ce qu'elle est elle même. Un Dom ( D/s) et non pas un Dom ( spécialiste SM de la douleur et de la contrainte physique ) Est tout d'abord celui qui choisit de prendre sous son aile ( pouvoir accordé) une soumise aux fins de la protéger, de l'aimer éventuellement, assez pour lui accorder toute son attention, sa mansuétude, sa bienveillance, et finalement la rendre plus grande, plus assurée de ce qu'elle est réellement, de sa force par conséquent. Car une soumise n'est ni un jouet, ni une écervelée. C'est une femme, qui confie ses "faiblesses" ou en tous cas ses doutes sur elles même à un Dominant qui va l'amener, parfois contre ses propres allants, vers se réelle nature, qu'elle soit du domaine sexuel ( accepter d'être la salope qu'elle est au fond ) que sociale, la renforcer dans sa détermination à devenir ce qu'elle souhaitait devenir ! Le tout dans un rapport dans lequel Il est le guide, mais aussi le " Maître " des directions prises. ( donc responsable du résultat final ) Loin de se mettre dans la peau de qui que ce soit, il doit être bien dans sa sienne, et avoir donc cette liberté de prendre en charge le devenir de sa belle. Comme @sylvie35 j'ai choisi de parler de Dom/soumise, mais ceci peut être réversible bien entendu, le principe et les actes étant les mêmes dans le fondamental. Voilà ma conception de la domination face à une soumission offerte dans la confiance indispensable entre les partenaires. A vous lire :grinning:
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@ Spirale Loin de remettre en question vos propos sur lesquels je ne souhaite pas discuter, êtes vous certain de parler de D/s ici ? Moi je lis un texte parlant de Jeux S.M. C'est assez différent de ce que doit comporter une relation D/s non ?? Une composante soit, mais pas une relation sur le fondamental. Cela étant, ce peut être satisfaisant si c'est ce que recherche @VikingPrimal. Toutefois parle-t-il de D ( Dominant ) Bonne continuation. :wink: :smiley:
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@ Lady Spencer. Vous avez un grand sens de l'humour. :alien:
Maitre-d'oeuvre
Bonjour. Je pense que vous êtes partie bien trop loin dans votre réflexion et que la D/s n'est plus un propos dans les éléments que vous citez. Je rappelle à toutes fins utiles que le BDSM mais la D/s sont des engagements principalement sexuels, quand bien même une altération de la vie de la soumise se met en place dans son rapport à sa liberté. Laquelle ? Celle qui consiste à accepter les demandes de son Maître en matière vestimentaire, en matière sexuelle, de tous ordres ( et après que des limites aient été fixées entre eux ) il ne s'agit pas d'avilissement dans lequel la soumise perd toutes ses convictions, tous ses principes, toutes ses tendances religieuses, politiques, et j'en passe. Alors, je crois que les réponses vont d'elles mêmes. Si vous ne vous accordez en rien ( en tous cas en terme sociétal, politique, familial, autres ? ) la question est: comment vous êtes vous accordés sur une possible relation de soumission à son égard ? Et quand bien même ce serait arrivé, je ne vois pas où se trouve la question. Car il n'y a qu'une réponse, comme dans toutes relations, quand ça ne colle plus, on fait ses valises et on déménage. Toute autre recherche de compromis est déjà l'acceptation de tout accepter, et surtout l'inacceptable. Donc............ Aucune relation liant deux individus ( sauf l'esclavage réel, mais peut on encore parler de relation ) n'implique ce type de soumission absolue. J'espère avoir été clair et précis dans mon jugement. Bonne continuation. :-)
Maitre-d'oeuvre
@Lady Spencer Je pense que lorsqu'une femme se travestit en homme, la nuance avec une femme en tailleur pantalon, veste est infime. De ce fait le coté ridicule de l'apparence n'existe pas ( de mon point de vue en tous cas). Ensuite, il est évident que pour les travestis, il y a un ressort qui fonctionne. Sinon, ils ne seraient pas dans le plaisir. Mais encore une fois, je pense que ce ressort ne peut fonctionner avec tous les hommes. Je serais rouge de honte rien que de voir les vêtements posés sur le lit ou autre à l'idée du ridicule de situation dans laquelle cette vestimentation me placerait. ( par chance pour moi, cela ne risque pas d'arriver ) :laughing: Et par opposition, je n'aurais aucun intérêt à travestir ma soumise en homme !! Tant les vêtements pour femmes ont évolués avec le temps: Shorts, pantalons, et même dans certains cas chemisier cravate sous une veste de tailleur avec pantalon... Du coup, le fantasme du travestissement....... Lol :smiley:
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