Axellia DomAD
Axellia Dom
Ses origines remontent à la société japonaise médiévale, et était à usage militaire. Cette technique de ligotage permettait de capturer et d’arrêter les ennemis, mais était également utilisée comme un châtiment corporel.
Cet art des liens demande une grande technique, et un apprentissage car elle peut se révéler dangereuse. En effet, si vous n’êtes pas averti et que vous essayez de ligoter votre partenaire, vous risquez au mieux de le.la faire ressembler à un gigot, au pire de le.la brûler avec les cordes, voire dans les cas les plus tragiques, d’entraîner sa mort.
Avant de vous lancer dans cette technique, mieux vaut donc apprendre à faire des nœuds et prendre quelques cours.
Apprendre le Shibari partout en France
Il existe des écoles de shibari pour s’initier en toute sécurité à cet art japonais. Vous trouverez notamment la célèbre école des cordes, « première école française d’apprentissage du Shibari ». Vous pourrez donc assister à des séances découvertes durant lesquels il y aura un atelier d’initiation. Ces instants découvertes se déroulent les mardis soirs et deux samedis après midi par mois. Un dimanche matin par mois est consacré à l’apprentissage des techniques de base du shibari.
En plus de ces ateliers découvertes, vous avez bien entendu la possibilité de prendre des cours particuliers. Mais si vous hésitez à vous lancer dans l’aventure, les séances d’initiation vous permettront de vous donner un avant goût et de savoir si vous désirez poursuivre dans cet art.
Cette école se situe à Joinville-le-pont en région Parisienne, vous trouverez toutes les informations utiles sur son site internet, ainsi que des tuto et vidéos si vous voulez apprendre à distance.
Dans le sud de la France, l’école Art des cordes Sud basée à Montpellier propose également différentes formules pour apprendre le Kinbaku (autre nom pour shibari ou bondage japonais). Vous pouvez prendre des cours, mais également assister à des workshop où un intervenant extérieur à l’école vient partager sa vision et sa pratique du Shibari. Ces ateliers permettent aux élèves de s’ouvrir à de nouvelles perspectives et de sortir de leur zone de confort.
Direction Lyon, avec l’association Lyon Shibari. Son credo ? “Permettre à chaque membre de découvrir et d’explorer son nawado” (du japonais nawa = cordes, do = cheminement d’éveil). Comme les autres écoles, l’association propose des initiations, des cours et des workshops. Mais aussi des soirées, des entraînements, et des rendez-vous conviviaux types performances, repas et apéro. Une bonne façon de s’y mettre dans la joie et la bonne humeur.
Active sur la Bretagne et les Pays de la Loire, l’association EDO propose des cours et des initiations pour permettre à chacun de se former tout au long de l’année, à son rythme et en fonction de son niveau. Sur son site internet, l’association EDO met à disposition un dépliant de prévention sur les fondamentaux du shibari, les « 4C » : Confiance, Consentement, Conscience et Communication.
L’Antre Corde, située à Bordeaux, est une association qui a ouvert ses portes très récemment, en juin 2019. Elle propose comme les autres écoles des ateliers, cours d’initiation, et divers évènements pour discuter de l’univers du shibari et se rencontrer. Avant de vous engager, vous pouvez assister en tant que spectateur pour vous faire une opinion de l’association et du contenu des cours.
La Corderie est un espace dédié au shibari en plein centre de Marseille. Ce centre propose deux évènements par semaine : les mardis, cours pour les débutants ; et les jeudis, cours pour tous les niveaux. Mais cela ne s’arrête pas là, d’autres événements comme des workshops, des performances sont régulièrement organisés tout au long de l’année.
Et maintenant, quelques vidéos de shibari sélectionnées spécialement pour vous donner l’eau à la bouche.
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Kadabra
J'ai déjà vu ce texte quelque part 🤔
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Il y a 2 heure(s)

Tindalos
Ouais, encore et toujours la même personne derrière des faux profils similaires qui fait des copier/coller de trucs piqués à droite à gauche...
Après, le pourquoi du comment, mystère...
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Il y a 59 minutes
Bonjour à tous et toutes
Je projette de prendre des cours de shibari.
Les cours ne prenant pas de personnes seules, je recherche quelqu'un qui aime également cette pratique et désireuse de progresser pour m'accompagner.
Étant moi-même switch, dans l'idéal tu le serais également [c'est à dire attacheur(rigger) /attaché(bunny)].
Tu peux être uniquement bunny mais il faut montrer un minimum d'intérêt au maniement de la corde.
Les cours se font aux alentours de Vichy.
Si vous êtes intéressés merci de me contacter.
Note : si vous avez lu mon profil, bien que je sois gay, tu peux être un hétéro homme ou femme, lgbtqi+ avec tout ce que cela inclu).
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Le kinbaku, j’en avais envie, depuis longtemps. Quand j’ai commencé à m’intéresser plus profondément à mon corps, à cette planète si complexe et évolutive que j’avais tant de mal à comprendre. Je suis alors entrée dans le tourbillon de « l’expérience » : il fallait que par ses réactions, j’apprenne à me connaître autrement.
Accordons-nous
Au fil de mes recherches, il y a quelques années, j’ai découvert le Kinbaku – ou Shibari. Sans chercher à mettre de mots ni m’être véritablement renseignée sur cette pratique, elle m’a attirée. C’était instinctif – ou intuitif. Je tombais sur des photos de corps maintenus fermement par un système de cordes, si joliment travaillé, que le tenant artistique de ce savoir-faire m’est apparu comme une évidence. Au-delà des considérations esthétiques, je me suis mise à penser à la place des modèles : je voyais leur résistance face à ces cordes comme la preuve indéniable d’une certaine forme d’endurance que je convoitais. Ce n’était d’ailleurs pas qu’une question de résistance physique : tout ce qui pouvait amener à désirer – puis supporter – cet état, d’un point de vue psychologique, me fascinait.
Adepte des jeux BDSM, je frôlais toujours l’univers du revers de la main, sans pourtant jamais oser mettre un pied dans un workshop. Jusqu’à ce que l’Ecole des Cordes contacte Desculottées et nous propose une session découverte. Folle de curiosité, j’ai sauté sur l’occasion généreuse.
Shibari ou Kinbaku – quelle différence ?
Ma hâte et mon envie de découvrir gommaient presque entièrement mon appréhension. C’est Alex qui m’accueille, ce grand gaillard dont le corps, presque entièrement tatoué fait à peu près deux fois ma taille. Son sourire bienveillant me met tout de suite à l’aise. Il nous propose à boire et on s’installe autour d’une table pour discuter. Il nous raconte les origines de cet art, autrefois torture, démocratisé, puis érotisé dans les années 50 par les magazines orientés BDSM.
Les Occidentaux sont attachés au terme Shibari, mais les Nippons lui préfèrent le terme Kinbaku (qu’on peut traduire maladroitement par « lié avec une corde de manière serrée »). À la différence du Shibari, qui se traduit par le simple fait d’attacher (y compris une chaise, une table, ou même votre micro-ondes), le sens du terme Kinbaku porte en lui la sensualité, la contrainte, les émotions, et implique souvent les notions de gêne et d’exposition.
Quant à Alex , il faisait de la photo érotique en amateur, jusqu’à ce qu’il se retrouve frustré par le manque, dans ces sessions, d’interactions et de sincérité émotionnelle. Passionné par la culture traditionnelle nippone, il finit par tomber sur des photos de Kinbaku, qui le touchent là où il faut. Il se rendit compte que pour entrer dans ce monde et faire venir à lui des modèles, il fallait qu’il apprenne à attacher.
Alex pratique presque tous les jours depuis une dizaine d’années. Lui-même disciple d’un maître (Riccardo Wildties), il récupère la tête de l’Ecole des Cordes en 2016, la première école française de Kinbaku.
Photo du site de l’Ecole des Cordes avec Alex Dirty Von P
Photo d’Alex en train d’attacher. Photo du site de l’Ecole des Cordes
Technique, Esthétique et Intention
L’Ecole des Cordes enseigne une vision du Kinbaku bien précise. C’est une technique et une esthétique propres au style dit Naka Ryu – autrement dit, l’érotisation de la souffrance. Sur leur site, le message est clair :
« L’érotisation de la souffrance, ce n’est ni de la pornographie ni de la torture. Il s’agit d’exacerber la sensualité de la personne attachée, dévoiler sans montrer, proposer sans imposer… ».
Proposer sans imposer, Alex y tient. Le consentement est bien évidemment fondamental et doit être explicite. Entre celui qui attache et celui qui est attaché, se crée un échange sensible, essentiel à la construction progressive d’une intensité sensuelle ou dramatique. Son maître lui a appris à être dans l’Intention quand il attache ; à générer des émotions, bien davantage qu’à s’offrir en spectacle. Il estime, par exemple, que la suspension n’est qu’une partie d’une session de cordes et non pas un but à atteindre. Les moments passés au contact du sol engendrent, selon lui, parfois plus d’émotions.
Sa sainte trinité ? Technique, Esthétique et Intention. Alex accorde un intérêt tout particulier à l’évolution de la relation entre les partenaires de cordes au fil de la session : la contrainte est progressivement amplifiée, de corde en corde, jusqu’à mener l’autre à l’abandon complet. Il précise que « l’attacheur doit s’adapter à la personne qu’il attache » : il faut être un fin anatomiste. Il nous raconte aussi le pouvoir révélateur des cordes, qui dévoilent tout de l’énergie et du ressenti de celui qui est lié. Pas de feinte possible avec le Kinbaku.
Se faire attacher pour mieux se libérer
Comment retranscrire par les mots tous les flux émotionnels et sensitifs, qui m’ont traversée lors de ma première session ? J’étais théoriquement préparée, mais dans la pratique, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. J’appréhendais de ne pas réussir à me laisser aller, ni même à supporter l’étreinte des cordes. Nous n’étions pas seuls, ce qui contribuait à renforcer ma gêne un peu plus. Mas aussi ma difficulté à oublier le monde autour. Je ne portais qu’une culotte et un débardeur fluide légèrement transparent.
À genoux, dos à lui, il commence à m’attacher les bras et les mains dans le dos. Je suis face au reste de la pièce, le regard perdu. Je cherche un point d’accroche rassurant, loin de ceux qui regardent. Alex m’expliquera plus tard qu’il a tendance à bander les yeux de ses modèles la première fois. Il a très bien fait de ne pas bander les miens. Mon sourire mi-amusé, mi-embarrassé, se trouve être le seul bouclier que je puisse brandir contre toute la confusion qui s’empare de moi.
Photo de la session kinbaku de Desculottées
Photo de la session kinbaku de Desculottées
Je le sens tout proche de ma nuque, très à l’écoute de mes respirations. Il est très doux, beaucoup plus doux que ce à quoi je m’attendais, et consciencieux. Je me suis rapidement sentie en sécurité. Les mains d’Alex me manipulent, tel un corps précieux qu’il apprivoise et apprend à connaître. Le premier impact mémorable de la pression des cordes sur ma peau, c’est cette sensation pétillante dans les mains, comme des bulles de champagne. Alex me parle, m’écoute et m’incite même à lui répondre. Plus le temps passe, plus j’accepte – sans même en avoir conscience – de détendre tous mes muscles, de divaguer.
Après un certain temps avec les jambes attachées, je ne sens plus mes pieds. Encore à moitié lucide, je lui demande si c’est un problème. Mais je n’étais pas inquiète, je voulais simplement qu’il me donne, par sa réponse rassurante, le feu vert pour tout oublier. Comme le gong qui sonnerait l’heure de la libération, je choisis délibérément de faire disparaître mes pieds de ma conscience. Je pense que cela a été un moment décisif dans l’épanouissement de mes divagations.
Photo d'Alex Dirty Von P en train d'attacher dans une séance de shibari
Photo d’Alex Dirty Von P en train de m’attacher
Je n’étais pas absente. J’étais ailleurs, propulsée dans un monde secret et éphémère, qui ne semblait appartenir qu’à nous deux sur l’instant. La puissance du processus d’attachement amène aussi, dans la foulée, un sentiment d’affection intense pour son attacheur. Du moins, c’est ce qui m’est arrivé. Placée au centre de son attention, dans un état d’offrande indéniable, je me suis sentie submergée par la confiance que je lui accordais. Grossièrement, ça pourrait se traduire par : « Je te fais entièrement confiance et mon dieu, qu’est-ce que c’est bon ! ». Ajoutez à cela, l’érotisme qui découle du fait qu’il respecte cette confiance sans détours.
Endorphines… please, ne me quittez pas
Le Kinbaku est une pratique éminemment cérébrale. Mon esprit s’est fondu dans un espace méditatif qui m’était jusqu’alors étranger. Sans m’en rendre compte, j’étais sur le point d’oublier à peu près tout ce qui constituait la pièce qui m’entourait. Sauf Alex. C’est un délicieux mélange de maîtrise (résistance) et de lâcher-prise.
Suspension shibari
Suspendue à la fin de ma séance de kinbaku – shibari
Au-delà de l’impact psychologique, la pression des cordes sur certaines zones érogènes du corps sécrète des endorphines. En repensant à cette expérience, plus tard, je me suis trouvée à la comparer à l’expérience d’une drogue. Il y a d’abord la montée – l’inconfort, l’adaptation –, l’explosion – oubli total de la souffrance, excitation, divagation –, puis la redescente.
Parlons-en, de cette redescente. À mesure qu’il me détachait, l’esprit toujours lointain, je me souviens avoir refusé de croire que c’était terminé. Je ne sais pas l’expliquer, mais le retour à la réalité m’est apparu presque injuste. Le temps est passé à une vitesse fulgurante. Une heure, ressenti 20 minutes. J’étais frustrée, j’en voulais encore et encore, je n’en avais pas eu assez. On se trouve vulnérable, un peu apeurée par l’idée d’abandon. Heureusement, Alex m’a détachée tout doucement, j’ai eu le temps de recouvrer mes esprits et d’accepter la finalité. Le courant étant bien passé entre nous, nous avons fait une deuxième session (qui poussait davantage la contrainte et la sensualité), et je me rappelle avoir eu envie de pleurer à la fin. J’ai spontanément ri, aussi, pendant.
Une première expérience de shibari réussie
Je suis très heureuse d’avoir vécu ma première expérience avec Alex (DirtyVonP). Non seulement, il maîtrise son art et sait de quoi il parle, mais en plus il est généreux, bienveillant, subtil, ultra talentueux. Que demande le peuple ? Je mets l’attention sur ce point car, depuis les scandales et la fermeture de la Place des Cordes, il fait bon de savoir que l’on est entre de bonnes mains. Vous pouvez vous jeter dans ses bras les yeux fermés.
En tout cas, il a ouvert quelque chose chez moi, et si j’en suis déjà à ma deuxième session, je ne compte pas m’arrêter là. J’espère que ce témoignage donnera envie, à celles et ceux qui désirent les cordes, de ne plus les éviter.
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Bien que certaines techniques Shibari se basent sur des techniques martiales, il s’agit d’un type de bondage relativement doux et excitant en soi. L’apprentissage de cette forme d’art peut engendrer une plus grande confiance et créer un lien plus étroit entre les deux utilisateurs. Le Shibari demande toutefois un grand dévouement, de la patience et de l’imagination. Le Shibari se base sur quelques motifs spécifiques, plus particulièrement influencés par les nœuds Hojojutsu. La corde est enroulée autour de certaines parties du corps dans des motifs spécifiques pour finalement venir envelopper l’entièreté du corps. Il existe différents niveaux de pression et de limitation, dépendamment de la partie du corps stimulée.
« Le Shibari, c’est l’action d’envelopper des cordes de bondage en motifs spécifiques autour du corps ou de certaines parties du corps. »
Le Shibari est connu pour ses positions asymétriques qui renforcent l’impact psychologique et ajoutent une nouvelle dimension à l’expérience. Un des points de divergence les plus importants avec le bondage occidental est que le Shibari n’est pas uniquement une question de restriction du mouvement ; en liant les cordes de différentes manières en motifs variés, il y a justement moyen de stimuler les parties génitales, les seins et les zones érogènes du partenaire. Ci-dessous, nous vous expliquons brièvement deux nœuds célèbres : le Takate Kote et l’Ebi.
1. Takate Kote
L’un des motifs les plus célèbres est le Takate Kote, également connu sous le nom de « Arm Box Tie ». Il est à l’origine d’une grande partie des nœuds Shibari et offre une base pour envelopper tout le corps. Le Takate Kote consiste à ligoter les bras et les seins alors que les mains sont attachées derrière le dos. Dans cette vidéo, vous verrez exactement comment le nœud est ficelé.
2. Ebi — Shrimp tie
Un autre nœud populaire est l’Ebi, également connu sous le nom de « Shrimp Tie ». À l’origine, il était utilisé comme méthode de torture. C’est une des méthodes de restriction de mouvement les plus efficaces. Le soumis est ligoté dans une position assise, mains derrière le dos. Ensuite, sa nuque est attachée à ses chevilles, l’obligeant à se pencher en avant lorsque le nœud est serré.
Attention ! Le Takate Kote en particulier requiert de la pratique et beaucoup de concentration. Ne pratiquez pas le Shibari sans les instructions d’une personne expérimentée.
Nécessités pour la pratique du Shibari/bondage japonais
Au Japon, le Shibari est pratiqué à l’aide d’une corde de sept mètres, mais toute corde entre cinq et huit mètres peut faire l’affaire. Traditionnellement, elle est faite en chanvre ou en jute pour une sensation douce, mais forte. Les cordes en soie fonctionnent tout aussi bien et évitent le frottement.
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Chapô
Ne reproduisez surtout pas ça chez vous sous peine de sérieuses blessures. Eh oui, on n’attache pas sa ou son partenaire n’importe comment ! L’art des cordes s’apprend, qu’il s’agisse de bondage ou de shibari. Jules nous parle de sa formation et de son utilisation des cordes dans le sexe.
J’utilise des cordes dans le sexe depuis deux ans, pas de manière professionnelle, dans le sens où je ne suis pas un maître shibari, mais pour m’amuser avec mes partenaires. J’ai quand même fait pas mal d’ateliers pour me former à faire les noeuds en toute sécurité, notamment l’Atelier Simonet. J’aime bien le shibari mais c’est vrai que j’intègre plus des cordes dans le sexe plutôt que je n’en fais. D’ailleurs, le shibari n’est même pas forcément sexuel. Il peut être esthétique, voire artistique. Comme j’aime bien qu’il y ait du sexe à chaque fois que j’attache mes partenaires, j’ai réduit les noeuds à quelque chose de simple, de manière à conserver une certaine souplesse. On peut dire que jusqu’à présent, je suis encore un débutant dans cet univers. C’est d’ailleurs accessible à tous ! C’est aussi un bon moyen de rompre avec la monotonie, y compris dans un couple..
A l’origine, tout l’univers BDSM m’intéresse. Je me suis donc naturellement intéressé au shibari et au bondage, que je vois un peu comme des ingrédients que je peux ajouter dans mes pratiques sexuelles. J’ai toujours aimé les jeux qui incluent de la contrainte physique, de la domination et de la soumission.
Cela étant dit, je ne m’étais jamais donné accès à ça. Je n’osais pas forcément pratiquer et même dans les pornos que je pouvais regarder sur Internet, ce n’était pas ce qui me plaisait. J’ai toujours trouvé qu’ils donnaient une mauvaise vision du BDSM dans laquelle les femmes se font beaucoup maltraiter. Sans parler du fait qu’on ne voit jamais les discussions au préalable ou encore l’after care alors que ces moments sont primordiaux.
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Bonsoir
Le porno comme les films sur le bdsm donne pas forcement une bonne image des pratiques des relations D/s et pour parfaire sont savoir il faut du temps et de l’apprentissage
Je ne pratique pas le shibari car je n’est pas encore les connaissance pour pratiqué en sécurité
Au fil du temps j’ai rencontrer pas mal de personne du SM
Et bdsm et ont en apprend tout les jours
Pour répondre au com de soma06
Sur fetlife il y a tout les éventents par region
Et en p.a.c.a il doit y en avoir
Je vous suggère Mr gabriel de corvus qui est de votre region vous le trouverez trouverais sur les réseaux sociaux
Apprendre au près de personne ayant un certain savoir c'est bien. Mais ce n'est pas le tout. Il faut pratiquer, pratiquer et pratiquer. Profiter de la moindre occasion pour que les mains mémorisent les gestes. Pour que les gestes ne doivent pas faire l'objet d'une reflexion laborieuse quand c'est sur une personnne. Alors vous avez pour cela des dossiers de chaises, vos jambes, des bouteilles, un poteau, un tronc etc... Tout ce qui peut vous permettre de pratiquer cordes, tension / contre tension, noeud etc... pour qu'au moment d'attacher une personne les choses soient fluide et naturelle.
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[VENTE DE CORDES]
Nous avons parfois des cordes de shibari à vendre à prix intéressant.
- Très bonne OCCASION (peu servies car remplacement régulier)
- NEUVES (quand on achète en gros et qu'il reste de la longueur.
Paiement à la commande via PayPal ; envoi possible (frais de port en plus) ou remise en mains propres entre Rennes et Nantes.
MP dans une demande d'amis si intéressé.
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Bonjour à toutes et à tous, une envie de faire d'elle ma chose, mon objet, mon jouet. Belle journée. Me Bernard
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Quand ma secrétaire n a pas grand chose à faire, autant l embellir avec quelques cordes,et profiter du silence
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