
Bℓσσ∂яєιиα
Je pratique le shibari (l’art des cordes) en amateur depuis quelques mois et n’ayant pas de modèle attitré je me décide à poster une annonce sur un site spécialisé.
Je reçois des réponses dont l’adresse est « couple coquin » ou des variantes ou monsieur vient se renseigner mais finit par me dire qu’il ne sait pas si cela plaira à madame ou pas.
L’histoire qui suit est fictive et m’est venu en parcourant les réponses à mon annonce.
Quelques jours après la mise en ligne de mon annonce, je reçois une nouvelle réponse dont l’adresse est cette fois « kinkycouple825 » et c’est madame qui m’a écrit :
« Bonjour, j’ai pris connaissance de votre annonce et me permets de vous contactez pour savoir si vous pourriez m’aider à réaliser un fantasme.
J’aimerais accueillir un homme chez nous, l’exciter en me déshabillant, mon mari pourrait se branler en nous regardant, puis il serait ligoter à une chaise avant de m’offrir à vous, que vous me soumettiez et me preniez devant lui comme une chienne.
Il connait mon fantasme mais pas tous les détails.
J’espère que mon projet vous excitera et vous plaira
Cordialement
Mégane »
J’admets que cela m’a bien plu en plus d’avoir droit à une photo d’elle en pièce jointe
On la voyait sur son lit, à genoux jambes écartées vêtu de bas, d’une culotte et d’un bustier noir.
Son visage était magnifique, de jolies yeux verts, une longue chevelure brune.
Je sentais mon sexe dur dans mon caleçon…
Je répondis à cette sublime créature et nous avions convenu de tous les détails et nous avions convenu d’un rdv 2 jours après
Le jour j, je partis avec tout le matériel nécessaire pour rejoindre Mégane et son mari Jean
J’arrivais après 1 heure de route devant leur maison, grande mais classique.
Je sonnais et ce fut Jean qui m’ouvrît
J – Léon je présume ?
L – en effet
J – entré, Mégane se prépare.
Je le suivis et il m’emmena au salon ou tout était prêt selon le plan convenu avec sa femme
Un large espace avec un tapis de sol pour nos jeux et la chaise ou serait ligoté Jean.
Il m’invita à prendre place sur le canapé et s’assit en face de moi.
J’entendis soudain des talons claqué sur des escaliers, je tournais la tête et vis Mégane en vrai, encore plus jolie.
Elle portait un peignoir rouge mais je devinais sans peine qu’elle portait de la lingerie en dessous, elle s’installa à côté de son mari
L – vous êtes superbe Mégane
M – merci, mais s’il vous plait on peut se tutoyer, non ?
J – pas de soucis pour moi
L – bon c’est d’accord
Mégane murmura quelque chose à l’oreille de son mari puis me fixa du regard
J – une coupe de champagne ?
L – avec joie
Il se leva pour aller chercher le breuvage et lorsqu’il eut quitté la pièce, Mégane vint se placer près de moi, son bras droit sur mes épaules et ses jambes gainées sur mon pantalon
Je m’empressais de les caressé en la fixant du regard
M – je te plais
L – encore plus que sur la photo
M – j’ai très envie de toi en fait
L – il va falloir être très gentil alors
M – je ferais tout ce que tu veux
Sur ce elle m’embrassa tendrement et je répondis à son baiser.
Jean revenait avec les coupes et la bouteille
J – ne vous gênez surtout pas
M – je lui disais bonjour, quittant mes lèvres
Jean servit les coupes et nous trinquions à ce moment.
Apres avoir un peu discuté de tout et de rien, Mégane s’impatientait et décida de lancer le jeu
M – chéri, va sur la chaise pendant que je m’occupe de notre invité
Elle se leva et vint se placer devant moi, j’admirais ce corps enfermé dans un peignoir et laissait mon imagination défilé
Jean ôta ces vêtements hormis son caleçon et se plaça sur la chaise comme convenu.
M – préparez-vous à être tendu messieurs
Elle délassa son peignoir délicatement avant de le faire glisser langoureusement le long de ces bras
Je reconnu le bustier de la photo mais cette fois elle portait un shorty qui mettait son fessier en valeur lorsqu’elle me le présenta.
Ma main s’était posé sur mon entrejambe et je sentais mon sexe durcir, jean lui avait carrément pris son sexe déjà tendu en main et se branlait lentement.
Mégane se posa à califourchon sur moi une main sur mon sexe et l’autre sur mon torse
M – oh là, je te fais de l’effet
L – vu le spectacle que tu m’offres
M – tu aimes ?
L – j’adore
Elle ondulait légèrement et se caressait sensuellement, je posais mes mains sur ces hanches et elle se pinça les lèvres avant de venir saisir mon visage et de m’embrasser à nouveau
Nous sommes restés ainsi quelques instants avant que je ne la repousse et la fixe du regard
L – tu sais quoi faire
M – oui… monsieur
Elle me quitta et alla vers son mari, saisi sa queue et entama une fellation en restant debout jambes écartées (j’avais envie de la prendre tellement j’étais excité)
J – oh ma chérie, t’es vraiment bonne a ca
M – tu vas te laisser faire d’accord
J – oui
Je m’étais rapproché d’eux avec de quoi ligoter jean a la chaise, nous échangions un regard et il se laissa faire.
Je ligotais ces pieds à la chaise puis ces mains ensemble et pour finir je fis en sorte qu’il ne puisse pas se relever
Mégane quitta la queue de son mari pour l’embrasser, elle s’empara du bâillon que j’avais apporté et lui plaça
M – comme ça tu ne pourras que saliver en voyant ce que je vais subir
Elle entreprit une petit fellation et me demanda une corde, je lui donnais une fine devinant son idée. Se saisissant de la corde elle l’enroula autour du sexe de son homme pour lui maintenir son érection
Je me plaçais au centre du tapis invitant ma partenaire d’un instant à me rejoindre
Mégane prit ma main et se plaça devant moi, et baissa les yeux
L – à genoux, les mains dans le dos et mets-toi face à ton mari, qu’il te voit
Elle s’exécuta non s’en m’avoir gratifié d’un « à vos ordres monsieur »
Je pris trois cordes avec moi et me plaçait dans son dos. Je saisis ces poignets et je commençais mon cordage par lier ces mains, je fis remonter la corde juste sous son épaule et passait la corde juste au-dessus de ces seins, ma main lissant la corde et caressant sa poitrine, Mégane lâcha un soupir
Je fis un second tour avant de bloquer le nœud dans le dos ce qui releva légèrement ces poignets. Je repartis mais cette fois sous la poitrine et pour ce faire j’empoignais ces seins à travers le tissu, je l’entendais gémir et se mordiller la lèvre, elle aimait ça.
Je fixai l’espace entre ces bras et son corps de chaque côté en faisant passer la corde autour des deux lignes, ce qui fit ressortir un peu plus sa superbe poitrine. Je bloquais le cordage et décidais de la taquiner un peu
Je posais mes mains sur ces bras et la caressait de partout, mes lèvres sur son cou, mordillant légèrement par ci par là.
L – alors tu aimes
M – c’est bizarre, mais j’aime oui
L – c’est loin d’être fini
M – j’espère bien monsieur
Je repris mon cordage et fit glisser sur ces épaules, je ramenais entre ses seins et après quelques manipulations elle se retrouvait avec une séparation entre ces seins ce qui rendait sa poitrine encore plus attrayante.
Je finis l’ensemble et fixait le tout correctement, saisi un bandeau et lui plaçai sur les yeux
M – mais monsieur
L – chut, tu vas aimer crois moi
Je la fis basculer sur le dos, pris une autre corde et après avoir noué la base au-dessus de sa cheville, je repliais sa jambe et noua le tout de façon à ce qu’elle ne puisse plus la tendre. Je raccordais cela à son harnais de buste, lui faisant ouvrir la jambe et procéda de la même de l’autre côté.
Elle était la couché sur le dos, jambe écarté, totalement offerte à quiconque voudrait en profiter
Je saisis ma cravache et commença à donner des tapes sur son entre jambes, Mégane poussait un petit cri de surprise au début puis juste un gémissement au fur et à mesure
J’augmentais mes coups, elle gémissait plus, elle aimait ça. J’alternais ses cuisses, sa chatte et ses seins, elle ondulait à chaque coup
Je changeais pour la roulette et après le choc de la surprise elle réagit d’une façon assez drôle à mon gout, elle tentait de se tortiller, car cela la chatouillait plus qu’autre chose.
M – non pas ça, monsieur s’il vous plait
L – tu n’aimes pas
M – pas trop, j’ai envie de vous, je veux vous sentir en moi, je vous en prie
L – tu es une petite dévergondé
M – oui monsieur
L – tu sais que ton mari t’entend
M – je m’en fiche
Je laissais les accessoires et revenait à ce que j’utilisais le mieux mes mains, je caressais son entre jambe complément trempé par notre jeu et de l’autre je caressais ces lèvres
Elle bougeait la tête pour essayer de trouver mes doigts et je jouais avec ça, puis lui présentait deux doigt sur sa langue, elle s’empressa de les engloutir et de les sucer comme si elle avait une bite.
Je passais sous son shorty et titillait son clito, elle gémit mes doigts en bouche mais continua d’onduler me faisant comprendre que je devais la prendre. Je quittais sa bouche pour jouer avec ses seins encore enfermé dans le bustier, je fis apparait les tétons et jouer avec pendant que je pénétrais délicatement de ma main son intimité
Elle haletait de plaisir, je sentais son vagin se contracte autour de mes doigts, je mordillais ces tétons. Je la rendais folle, je l’entendais soupirer et baragouiner des mots sans aucun sens.
Je la quittais quelque instant, je la relevais à genoux et me dévêtit juste après.
Mon sexe bandé ne tenait plus dans sa prison de tissu, je le libérais et m’approchais de ma partenaire.
L – tu veux ma bite c’est ca
M – oh oui monsieur je veux être baisé par vous
L – ouvre grand alors
Elle ouvrit la bouche et tira la langue, je présentais mon gland et lorsqu’elle sentit le contact sur sa langue elle avança la tête pour me prendre en bouche.
Je vis ma bite se faire engloutir par sa bouche, je lâchais un râle de plaisir
L – la vache, tu l’as voulais vraiment
M – j’aime les grosses bites monsieur, avant de me reprendre en bouche
Elle entama une fellation qui me rendait fou, je sentais ma bite aspiré dans cette bouche et sa langue jouait parfaitement avec mon gland. Je saisi sa tête et lui imprégna mon propre rythme
Soudain elle chercha à quitter ma queue et basculant en arrière
M – LINGERIE
Je reconnu le safeword que nous avions mis en place, je m’empressais aussi tôt de défaire ces liens, libérant ces jambes, je malaxais rapidement ces dernières avant de délier son harnais
Une fois complètement libéré, je constatais les traces des cordes sur son corps ce qui m’excitais encore un peu, elle voulut bouger mais je lui interdis, et lui enleva sa lingerie a sa place, je l’enlaçai pour la réchauffer et je malaxais les zones les plus sensibles ou les cordes avait été pour m’assurer qu’elle allait bien
L – tu veux que j’ôte le bandeau
M – oui
L – tu as mal quelque part
M – non c’était bon, on peut continuer
L – avec ou sans ton mari
M – on s’en occupera après
Mégane m’embrassa et me poussa sur le dos, glissant jusqu’à mon sexe et le faisant disparaitre dans sa grotte humide et tellement accueillante.
Elle commença à onduler du bassin je pris ces seins et les malaxais, elle reprit vie et accéléra le rythme, je rebandais comme un fou et elle aussi prenait son pied
M – je veux que tu m’encules, viens
Faisant face à son mari, je pris position derrière elle et pénétrais doucement son cul
Elle s’agrippa au tapis et commença à souffler lorsque je fus entièrement en elle
M - 2 secs, elle est vraiment grosse
Je la relevais et la plaquais contre moi, nos bouches se cherchant pour échanger un baiser torride
M - vas-y défonce moi devant mon mec
Je lui donnais des coups de reins de plus en plus fort, elle hurlait de plaisir et me demandais encore plus entre chaque cris de plaisir, elle se caressait d’une main et regardant son mari qui devenait fou
M – attends, on va jouer avec lui maintenant
L – si tu veux
Elle se dégagea et alla détacher son mari mais seulement les pieds et le buste, et le poussa à terre
Il tomba sur le tapis et le plaçant sur le dos, elle se mit à califourchon sur son visage et rabattis ces jambes
M – viens l’enculé, il ne l’avoue pas, mais il aime ca
L – laisse-le au moins te lécher
M – oui, tu as raison
Jean pu à nouveau parler mais il ne peut rien prononcer car la chatte de sa femme lui remplis la bouche
M – lèche moi mon chéri
Je venais me coller au cul de jean et commencer à pousser sur sa rondelle qui n’opposa pas grande résistance a ma surprise
L – il en prend souvent dans le cul ?
M – oui, mais t’es sa première bite
Mégane avait défait les cordes du sexe de son homme et en prenait soin
Je commençais mes vas et vient et voir Mégane masturber son mari en se faisant lécher par lui était efficace pour maintenir mon excitation
(N’étant pas porté sur les hommes en temps normal)
Je pilonnais le cul de Jean qui aimait ca vu les cris étouffé qu’il poussait, Mégane accéléra sa branlette et dans un râle toujours étouffé il éjacula dans la main de sa femme qui fut inondés de sperme, Mégane jouit peut après inondant son cher et tendre de cyprine
Elle se dégagea et lui fit lécher sa main pleine de foutre
Je me retirais de Jean et lorsque Mégane eu la main nettoyer je l’attrapais et lui plantait ma bite en bouche, elle me fixa d’un regard tellement vicieux qu’il ne fallut pas longtemps pour que je jouisse à mon tour
Elle avala tout mon sperme et lécha mon sexe pour le nettoyer.
Je sentais mes jambes me lâcher sous l’effet d’un orgasme aussi puissant, je m’allongeais et nous nous sommes retrouves tous les trois au sol, Mégane au centre.
M – alors ça vous a plu ?
L – j’ai adoré, et toi Jean ?
J – j’avoue que je ne pensais pas que j’allais aussi en prendre pour mon grade
M – tu adores ca chéri, et puis il est bien monté non.
J – oui
L – ben merci pour l’expérience en tout cas
M – premier fois avec un couple
L – oui, et je suis loin d’être déçu
J – et si on allait se débarbouiller et prendre un verre
La proposition fut adopté à l’unanimité.
Il était tard lorsque nous avions fini le verre (pas qu’un), je fus convié à rester diner et nous avons fini par refaire l’amour le soir même, Mégane s’étant présenté comme le dessert
Nous l’avons léché de partout, elle nous a sucés à tour de rôle, s’est caressé devant nous avant de se faire prendre en sandwich, moi dans son cul puis à nouveau dans celui de jean.
Pour le final, elle se plaça entre nous et nous présenta ces seins que nous avons recouvert de sperme
M – rien ne vaut un bon glaçage fait main.
Un fou rire général nous prit, la belle nous regardant fière comme tout de sa phrase.
M – merci pour le dessert les gars
L – merci à toi surtout
J – faudra qu’on remette ca
Je suis repartis dans la nuit en leur promettant de repasser pour une autre séance a trois.
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Bonjour à tous
Je recherche un rigger.
J'évolue dans le milieu des cordes depuis un peu plus de deux ans.
Une relation de plus de 1 an et demie venant de s'achever, je recherche un nouveau partenaire de cordes régulier.
Avant de se créer dans les cordes, le lien doit impérativement se faire en dehors.
J'attache avant toute chose une grande importance à la qualité relationnelle.
Peu maso, dans la nawa, l'aibu m'attire davantage que la seme et dans ma recherche du moment, le sexe dans les cordes n'est pas une fin en soi.
Connexion, communion, lâcher-prise sont pour moi des priorités.
Il est bien évident que j'attache une grande importance au consentement et à la sécurité tant physiquement que psychologique, les miens comme ceux de mon partenaire.
une relation D/s n'est pas ma priorité. Mais il est certain que si l'évidence s'impose...
PS : pas de photos, pas de présentation... je ne réponds pas.
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Bonjour gaya,
J'aurais plaisir à en discuter avec vous.
Je vous ai fait une demande d'ami avec message.
Corde-ialement
J'aime
17/07/25
Débardeur à la coupe classique pour hommes, 100 % coton. Marque : Gildan
Commander
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Une demande particulière pour un homme qui l’est tout autant .
Parfois on se perd sur les réseaux sociaux et parfois on y fait des rencontres que l’on attendait plus … est ce lui qui m’a trouvé où est ce moi ? Je ne sais même pas qui a induit rellement cette rencontre
Préambule:
Il m’a donné rdv en fin de matinée .
Je suis stressée. Impressionnée d’aller jusqu’au bout de cette histoire , il est vrai je vais me retrouver dans les cordes d’un inconnu, on ne peut rellement connaitre qq un suite à deux semaines d’échanges mais je ne sais pas pourquoi, il a su trouver les mots juste pour me rassurer, pour que je décide de m’abandonner à lui.
Ayant traverser des moments difficiles j ai beaucoup de difficulté avec mon corps je n’arrive pas à regagner la confiance que j ai pu avoir auparavant. Je ne m’aime pas . En fait je ne sais plus . Je suis un peu perdu. Drôle de thérapie que d’aller chercher de l’harmonie, du partage, de l’abandon ici vous me direz .
Et ben non car cet encordeur a une belle vision de son art . Ce n est pas une thérapie … on vient y mettre ce que nous sommes et ce que nous désirons. Ne rien attendre, recevoir, donner et ressentir …. Et lâcher prise.
Je ressens tout de même un certain désir venant de sa part … j ai joué de lui … je ne peux m’en empêcher . Est ce un test de ma
Part ? Inconsciemment je le pense .
Est ce le désir de l’encordeur pour son modèle ? Mais il tient je le sens à ce que ma première expérience soit une belle expérience pour moi
Jour J . J arrive chez lui , échanges un peu maladroits je suis gênée …
Il me mets à l’aise, me fait visiter .
Je désire que la séance commence rapidement pour essouffler ma pudeur et ma gêne
Comme un clin d’œil à nos échanges je porte ma nuisette léopard , il s’approche, sourit.
Je prends ses mains, les poses sur mon visage et ferme les yeux .
Je lui fais parcourir mon corps doucement , je le respire … il prend mes mains et fait de même … je suis rassurée
Sans dire un mot . Il passe LA première corde celle qui restera graver en moi autour de ma poitrine je veux être contenu je veux qu’il réalise un harnais . Il dénude ma poitrine , les tétons se dressent. Il les effleure, les pince entre son pouce et son index, je retiens un soupir. Il repasse une corde autour de mon cou et de sa main vient délicatement et très lentement me griffer le dos , il me sens frissonner ´, je le sens de plus en plus excité, Je ressens tous les passages , à chaque fois qu il serre je sens de l’excitation monter en moi , je sens son souffle dans mon oreille, ma peau n’est que sensation.
Il s’assure de s’avoir si je vais bien Je hoche la tête .
Il prends mes poignets et vient me les
Lier dans le dos.
Il sait souvenu que la position fœtale avait une résonance en moi. Il me pose au sol et me lie. Je m’abandonne ainsi recroquevillée
J aime la sensation et l’odeur des cordes, souvenir d’enfance , de la cordes sous le noyer .
Je pars dans mes songes tout en sentant ses mains sur moi, il me caresse, dépose délicatement des pinces sur mes tétons, quelle agréable sensation
Je sens la tension qui vient s’entrechoquer avec le lâcher prise
Je ne suis que désir d’abandon
Je n’ai pas tellement compris ce qu était des intentions, je lui ai donné mon consentement et comme safeword :tartines
La, sereine je l’autorise
Je désire de lui qu il fasse ce qu il veut de moi , qu il me lise, qu il anticipe mon désir et qu il me procure du plaisir
Je veux me perdre dans ses cordes
Moi qui sexualise tout, je suis terriblement excitée , je me sens mouillée, ce n est pas grave il le sait, je sens parfois sa main me caresser, je sens la paume de sa main se plaquer sur mon sexe et le masser.
au moment où je m’y attends le moins, je sens une corde se poser sur mon sexe et fermement passer entre mes seins et serrer mon clitoris déjà gonflé d’excitation ´, la corde telle une pieuvre me possède, remonte dans le sillon inter fessier, il resserre à nouveau, je perds pied, cuisante fessee vient me réveiller , qu il est difficile de résister .
Je m’abandonne au travers de son regard qui n’est plus le meme qu à mon arrivée.
Il me bande les yeux .
Je suis ainsi déposée au sol. Livrée, offerte
La privation de la vue met mon cerveau en alerte ´, j écoute et essaie de deviner la suite
Il tourne autour de moi tel un prédateur tournerait autour de sa proie
Il Est la , je le sens allongé derrière moi …. Baiser dans le cou … il joue de la pression des pinces sur mes seins
Il bouge la corde sur ma chatte, je sens que je pourrais presque jouir
Et par je ne sais quelle force je me retrouve suspendue
Levée du sol mes seins fièrement offert pincés, cul en l’air …. Caresses aussi douces qu une plume venant me froler suivie de morsures plus intenses, telle une marionnette il m’ouvre pour mieux me tourmenter …. Je suis trempée de désir je n’ai plus les règles du jeu en main, je ne ressens plus les points d’appui des cordes sur mon corps je lévite, ma jouissance est différente, je ne gère plus rien ,
Je jouis par le corps par ces nouvelles sensations
Il sait que j aime le sexe j’en rit souvent avec lui
Il veut tout me donner , j entends un bruit familier 😱il a sorti le wand
Je frisonne de désir, d’envie je le sens tellement excité que ça redouble mon plaisir
Il commence enfin à me parler . A dire que je ai beaucoup joué avec lui et que j allais être punie que maintenant dans ses cordes c est lui qui allait jouer de moi
J ai honte de me retrouver ainsi mais c est tout ce que je désirais
Une autre cordes se positionne à mes
Chevilles
Il m’écartent, je ne le vois pas , je suis perdue
Il Pose le wand sur la corde tendue sur mon sexe se qui irradie toute ma vulve
Il est très à l’écoute je sens son autre main me caresser le visage comme pour apaiser mon tourment
Il retire sur son œuvre je suis offerte
Je jouis
Il me repose au sol , position fœtale et viens s’allonger longtemps derrière moi, je ne dis mots, j accueille ´, je m’imprègnes de ces nouvelles sensations, longtemps il me caresse pour m Apaiser, ces mains sont aussi douces et fermes que ces cordes
Je me rapproche de lui entre ouvre ma cuisse lui offre mon sexe, je prend sa main et y enfonce un doigt , je n ai pas besoin de lui parler il a compris , je l’allonge dos au sol j ai encore l’impression d’être encore dans ses cordes
Je le fixe il m’autorise
Je monte délicatement sur son visage de ses mains il me chope le cul
Pour m’enfoncer profondément sur sa langue , je veux jouir à nouveau sur lui je veux qu il me boive qu il reçoive le fruit de son travail
Je sexualise tout
Il le savait depuis le début
Il passera du temps à me garder en ses bras , me chuchotera « à quand la prochaine fois ? »
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@Tindalos : Bon, a priori tout le monde s'en fout que ce soit du pompage/recrachage! Sans compter que ce type de texte n'a déjà, à la base, pas sa place sur ce groupe mais dans la section "articles"...
Je me demande bien quand même quel genre de personnes peut faire un copier/coller et republier un texte comme si c'était le sien, OKLM... Personnellement je mourrais de honte de faire ça (et de me faire afficher, en plus!), mais apparemment tout le monde n'a pas ces scrupules...
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21/06/25
J’ai décrit mes ressentis et mes impressions lors de ma première expérience de shibari. Mon encordeur s’est prêté au jeu et a écrit le récit de son point de vue.
On raconte la même histoire, les mêmes péripéties, d’un côté et de l’autre des cordes. Moi, je m’abandonnais entre ses mains et ses cordes, lui est dans » l’action « , la maîtrise des gestes, la technique des noeuds :
***
Nous avions un peu échangé avant de nous revoir à cette soirée Hell O Kinky. Je connaissais ton envie de cordes, aussi je t’ai naturellement demandé si tu souhaitais faire une session tout de suite. Tu voulais attendre un peu, puis tu t’es ravisée. Allons-y !
Après la phase de négociation, j’ai commencé à t’attacher. Je désirais le faire doucement, afin que tu puisses prendre le temps de sentir et de tout ressentir. Cela te permettrait, je l’espérais, de donner de la vie à ton fantasme de te retrouver du point de vue de l’encordée (Je lui avais dit que je voulais connaître ces sensations, pour mieux les décrire dans mes nouvelles. N.d.a). Comme c’était ta première session, je souhaitais que tu ne perdes pas le contact avec moi – ni moi avec toi. Je me plaçais de façon à ce que l’on puisse toujours se voir.
Nous étions en début de soirée, il y avait encore peu de monde. La petite salle où les tatamis étaient installés donnait sur le couloir principal. Dans la pièce, entre nous, dans notre bulle, régnait une énergie étrange, belle, nous isolant. À deux, nous étions seuls et pour ma part, je m’amusais.
Un peu plus tard, tes bras étaient repliés sur ton épaule gauche. Je te fis basculer de la position assise à allongée. Je voulais ajouter un objet. Il y avait aussi des ballons de baudruches à disposition. J’en saisis un que je plaçais sur ton ventre, avant de ramener ta jambe sur celui-ci, faisant attention à ce qu’il n’explose pas. A chaque tour de cordes, je prenais plus d’assurance, sans oublier de vérifier que tout aille toujours bien. Tu m’assurais de ta confiance. Je m’enhardissais, et fis passer les cordes ici et là, sur tes bras, sous eux, entre eux, et en lien avec les celles qui te contraignaient les jambes…
Pour moi, encorder et câliner, c’est à peu près la même chose.
Sauf que les cordes permettent un plus long câlin.
Sauf que les cordes permettent un plus gros câlin.
Sauf que les cordes agrandissent le cocon.
Et comme tous les câlins, il s’agit de se faire plaisir, mais aussi, de faire plaisir à l’autre… et que l’autre se fasse plaisir !
Trois spectateurs sont arrivés et ont regardé tandis que je commençais à te détacher. J’enlevais une première corde, puis une autre. Je prenais mon temps. L’un d’eux, opérant une petite fracture dans notre bulle, m’a demandé s’il s’agissait d’une démonstration. Ce que ce n’était pas. Ils repartirent, et moi je plongeais à nouveau en ton regard.
Je défis un premier harnais, celui qui se trouvait à ta jambe droite. Je cherchais l’extrémité d’une nouvelle corde. Je commençais à l’enlever lorsque je me rendis compte que je venais en fait de retirer une liaison entre deux cordes – un nœud en forme de tête d’alouette en langage technique. Heureusement, j’avais réalisé des frictions qui permettaient de bloquer la tension à plusieurs autres endroits. Si les deux cordes avaient perdu toute leur force d’un coup, le modèle aurait pu souffrir de se sentir comme abandonné. Grâce aux frictions, je pus défaire tes cordes comme si de rien n’était.
Et puis, ça restait la première fois que tu essayais les cordes. Aussi, pour ne pas se quitter sur cette note un brin désagréable, en tout cas pour moi, je te proposais de nouvelles choses : les cordes dans les cheveux, les cordes sur le visage, et je passais une corde sur ton cou. Tu eus plusieurs types de réponses. Tu testais, nous nous amusâmes encore un peu ensemble. Enfin, je te libérais définitivement.
Nous étions dans la troisième phase, l’aftercare, ce moment plus câlin entre le modèle et son rigger. Moment particulier, où le modèle finit de redescendre et où ils débriefent la session. J’étais bien avec toi, et j’étais moi aussi parti loin. Je confesse ne plus trop me souvenir de ce qu’on a échangé alors, tout s’était bien passé. Une question peut-être : je te disais que j’avais mis quatre cordes autour de toi, parce que je n’en avais pris que quatre – mais chez moi, j’en possédais douze. Tu m’amusas en te demandant ce à quoi pouvait ressembler un corps avec douze cordes sur lui, imaginant quelqu’un de « momifié ». Il faudra essayer !
La soirée continuait. Tu repartis vers la piste de danse, et moi, boire au minimum un bon verre d’eau – les sessions, ça assoiffe !
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Texte volé ici : https://www.clarissariviere.com/seance-shibari-le-recit-du-rigger/
Attention ce profil est une arnaque.
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04/07/25
Chaque nœud est une intention.
Chaque tension, une écoute.
Ce n’est pas la corde qui lie, mais la présence...
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Les Occidentaux sont attachés au terme Shibari, mais les Nippons lui préfèrent le terme Kinbaku (qu’on peut traduire maladroitement par « lié avec une corde de manière serrée »). À la différence du Shibari, qui se traduit par le simple fait d’attacher (y compris une chaise, une table, ou même votre micro-ondes), le sens du terme Kinbaku porte en lui la sensualité, la contrainte, les émotions, et implique souvent les notions de gêne et d’exposition.
Kinbaku
Quant à Alex (a.k.a DirtyVonP), il faisait de la photo érotique en amateur, jusqu’à ce qu’il se retrouve frustré par le manque, dans ces sessions, d’interactions et de sincérité émotionnelle. Passionné par la culture traditionnelle nippone, il finit par tomber sur des photos de Kinbaku, qui le touchent là où il faut. Il se rendit compte que pour entrer dans ce monde et faire venir à lui des modèles, il fallait qu’il apprenne à attacher.
Alex pratique presque tous les jours depuis une dizaine d’années. Lui-même disciple d’un maître (Riccardo Wildties), il récupère la tête de l’Ecole des Cordes en 2016, la première école française de Kinbaku.
Photo du site de l’Ecole des Cordes avec Alex Dirty Von P
Photo d’Alex en train d’attacher. Photo du site de l’Ecole des Cordes
Technique, Esthétique et Intention
L’Ecole des Cordes enseigne une vision du Kinbaku bien précise. C’est une technique et une esthétique propres au style dit Naka Ryu – autrement dit, l’érotisation de la souffrance. Sur leur site, le message est clair :
« L’érotisation de la souffrance, ce n’est ni de la pornographie ni de la torture. Il s’agit d’exacerber la sensualité de la personne attachée, dévoiler sans montrer, proposer sans imposer… ».
Proposer sans imposer, Alex y tient. Le consentement est bien évidemment fondamental et doit être explicite. Entre celui qui attache et celui qui est attaché, se crée un échange sensible, essentiel à la construction progressive d’une intensité sensuelle ou dramatique. Son maître lui a appris à être dans l’Intention quand il attache ; à générer des émotions, bien davantage qu’à s’offrir en spectacle. Il estime, par exemple, que la suspension n’est qu’une partie d’une session de cordes et non pas un but à atteindre. Les moments passés au contact du sol engendrent, selon lui, parfois plus d’émotions.
Sa sainte trinité ? Technique, Esthétique et Intention. Alex accorde un intérêt tout particulier à l’évolution de la relation entre les partenaires de cordes au fil de la session : la contrainte est progressivement amplifiée, de corde en corde, jusqu’à mener l’autre à l’abandon complet. Il précise que « l’attacheur doit s’adapter à la personne qu’il attache » : il faut être un fin anatomiste. Il nous raconte aussi le pouvoir révélateur des cordes, qui dévoilent tout de l’énergie et du ressenti de celui qui est lié. Pas de feinte possible avec le Kinbaku.
Se faire attacher pour mieux se libérer
Comment retranscrire par les mots tous les flux émotionnels et sensitifs, qui m’ont traversée lors de ma première session ? J’étais théoriquement préparée, mais dans la pratique, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. J’appréhendais de ne pas réussir à me laisser aller, ni même à supporter l’étreinte des cordes. Nous n’étions pas seuls, ce qui contribuait à renforcer ma gêne un peu plus. Mas aussi ma difficulté à oublier le monde autour. Je ne portais qu’une culotte et un débardeur fluide légèrement transparent.
À genoux, dos à lui, il commence à m’attacher les bras et les mains dans le dos. Je suis face au reste de la pièce, le regard perdu. Je cherche un point d’accroche rassurant, loin de ceux qui regardent. Alex m’expliquera plus tard qu’il a tendance à bander les yeux de ses modèles la première fois. Il a très bien fait de ne pas bander les miens. Mon sourire mi-amusé, mi-embarrassé, se trouve être le seul bouclier que je puisse brandir contre toute la confusion qui s’empare de moi.
Photo de la session kinbaku de Desculottées
Photo de la session kinbaku de Desculottées
Je le sens tout proche de ma nuque, très à l’écoute de mes respirations. Il est très doux, beaucoup plus doux que ce à quoi je m’attendais, et consciencieux. Je me suis rapidement sentie en sécurité. Les mains d’Alex me manipulent, tel un corps précieux qu’il apprivoise et apprend à connaître. Le premier impact mémorable de la pression des cordes sur ma peau, c’est cette sensation pétillante dans les mains, comme des bulles de champagne. Alex me parle, m’écoute et m’incite même à lui répondre. Plus le temps passe, plus j’accepte – sans même en avoir conscience – de détendre tous mes muscles, de divaguer.
Après un certain temps avec les jambes attachées, je ne sens plus mes pieds. Encore à moitié lucide, je lui demande si c’est un problème. Mais je n’étais pas inquiète, je voulais simplement qu’il me donne, par sa réponse rassurante, le feu vert pour tout oublier. Comme le gong qui sonnerait l’heure de la libération, je choisis délibérément de faire disparaître mes pieds de ma conscience. Je pense que cela a été un moment décisif dans l’épanouissement de mes divagations.
Je n’étais pas absente. J’étais ailleurs, propulsée dans un monde secret et éphémère, qui ne semblait appartenir qu’à nous deux sur l’instant. La puissance du processus d’attachement amène aussi, dans la foulée, un sentiment d’affection intense pour son attacheur. Du moins, c’est ce qui m’est arrivé. Placée au centre de son attention, dans un état d’offrande indéniable, je me suis sentie submergée par la confiance que je lui accordais. Grossièrement, ça pourrait se traduire par : « Je te fais entièrement confiance et mon dieu, qu’est-ce que c’est bon ! ». Ajoutez à cela, l’érotisme qui découle du fait qu’il respecte cette confiance sans détours.
Endorphines… please, ne me quittez pas
Le Kinbaku est une pratique éminemment cérébrale. Mon esprit s’est fondu dans un espace méditatif qui m’était jusqu’alors étranger. Sans m’en rendre compte, j’étais sur le point d’oublier à peu près tout ce qui constituait la pièce qui m’entourait. Sauf Alex. C’est un délicieux mélange de maîtrise (résistance) et de lâcher-prise.
Suspension shibari
Suspendue à la fin de ma séance de kinbaku – shibari
Au-delà de l’impact psychologique, la pression des cordes sur certaines zones érogènes du corps sécrète des endorphines. En repensant à cette expérience, plus tard, je me suis trouvée à la comparer à l’expérience d’une drogue. Il y a d’abord la montée – l’inconfort, l’adaptation –, l’explosion – oubli total de la souffrance, excitation, divagation –, puis la redescente.
Parlons-en, de cette redescente. À mesure qu’il me détachait, l’esprit toujours lointain, je me souviens avoir refusé de croire que c’était terminé. Je ne sais pas l’expliquer, mais le retour à la réalité m’est apparu presque injuste. Le temps est passé à une vitesse fulgurante. Une heure, ressenti 20 minutes. J’étais frustrée, j’en voulais encore et encore, je n’en avais pas eu assez. On se trouve vulnérable, un peu apeurée par l’idée d’abandon. Heureusement, Alex m’a détachée tout doucement, j’ai eu le temps de recouvrer mes esprits et d’accepter la finalité. Le courant étant bien passé entre nous, nous avons fait une deuxième session (qui poussait davantage la contrainte et la sensualité), et je me rappelle avoir eu envie de pleurer à la fin. J’ai spontanément ri, aussi, pendant.
Une première expérience de shibari réussie
Je suis très heureuse d’avoir vécu ma première expérience avec Alex (DirtyVonP). Non seulement, il maîtrise son art et sait de quoi il parle, mais en plus il est généreux, bienveillant, subtil, ultra talentueux. Que demande le peuple ? Je mets l’attention sur ce point car, depuis les scandales et la fermeture de la Place des Cordes, il fait bon de savoir que l’on est entre de bonnes mains. Vous pouvez vous jeter dans ses bras les yeux fermés.
En tout cas, il a ouvert quelque chose chez moi, et si j’en suis déjà à ma deuxième session, je ne compte pas m’arrêter là. J’espère que ce témoignage donnera envie, à celles et ceux qui désirent les cordes, de ne plus les éviter.
Aujourd’hui un art érotique, ce bondage puise ses origines dans la période médiévale. On parle de la période la plus sombre de l’histoire japonaise. Ce bondage, bien moins érotique, se nommait Hojōjutsu 捕縄術, un ensemble sombre de techniques de captures et d’immobilisation. A l’ère Edo, il se développe pour devenir de véritables pratiques de torture. Le genre de corde utilisée permettait de distinguer le crime commis ainsi que le rang social du puni. Comme la corde en jute Asanawa 麻縄. Ces techniques sont encore enseignées dans quelques écoles de police, et n’ont jamais quitté le Japon.
Mouvement Artistico-Érotique
C’est dans des écrits de familles nobles que l’on découvre les premiers aspects érotiques du Kinbaku. De façon discrète bien entendu. De l’ère Edo, on garde que des écrits privés et des récits, très peu de trace reconnue officielle. Il se raconte que ce sont les officiers de police qui ont apporté ces pratiques dans leur intimité.
Il faudra attendre le début du XXe siècle et le grand artiste Ito Seiu. Il entame les premières recherches et en fait une de ses sources d’inspiration. Par son art, il devient alors le maître incontesté du Kinbaku érotique. Il transforme alors ces actes de tortures en un art délicieusement érotique. Dès les années 1920, Ito Seiu immortalise des femmes, parfois les siennes (épouses et maîtresses), dans différentes scènes de shibari. Photographies, peintures ou œuvres littéraires et théâtrales.
Ito Seiu bondage shibari
‘Yomikiri Romance’, Janvier 1953, Seiu Ito
Ito Seiu shibari oeuvre
Oeuvre peinte sur soie représentant des femmes captives sur un navire pirate
Forcé à la censure des années 30, les œuvres et l’impact de Ito Seiu sur le bondage japonais ne seront que véritablement popularisés dès les années 50-60. Ses photographies seront largement publiées dans les revues spécialisées.
les techniques du shibari
Le shibari est donc l’art sensuel d’attacher un sujet avec des cordes à des fins artistico-érotiques, parfois sexuelles. Les cordes forment alors des motifs, mettant en valeur le corps humain comme des œuvres d’art vivantes. On parle alors de kinbaku-bi, magnifique bondage.
femme avec de la corde autour des jambes, pratiquant le shibari
Le ligotage du soumis, ou de la soumise, se fait de manière progressive et lente. L’art du shibari réside dans l’éveil du corps, de l’excitation par la pression du cordage sur certains points dits sensibles, les points d’énergie. Le maître (ou la maîtresse) noue un premier membre de manière contrôlée, rythmée mais jamais dans la précipitation. Il est important que le corps soumis s’habitue, accepte, se soumette avant de se laisser aller. On s’abandonne dans la douleur, qui n’est parfois que le résultat d’une incertitude, d’une peur.
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Jе suіs un mаîtrе shіbаrі dерuіs quеlquеs аnnéеs mаіntеnаnt, jе mе sеns еnсоrе аssеz jеunе dаns сеttе рrаtіquе еt роurtаnt mеs sоumіsеs mêmе lеs рlus ехрérіmеntéеs mе déсrіvеnt соmmе un grаnd-mаîtrе dоté d'un роuvоіr dе dоmіnаtіоn еt d'unе сréаtіvіté débordante.
Mаthіldе еst unе jеunе fеmmе très sоumіsе, mаіs еllе n'аvаіt еnсоrе jаmаіs соnnu l'іmmеnsе рlаіsіr quе реut рrосurеr unе séаnсе dе bоndаgе. Jе luі аvаіs dоnс рrоmіs unе іnіtіаtіоn еn dоuсеur, sаns susреnsіоn, mаіs d'unе іntеnsіté sі fоrtе qu'еllе s'еn sоuvіеndrаіt tоutе sа vie.
« Tu mе suррlіеrаs d'аllеr рlus lоіn dès tа dеuхіèmе séаnсе », luі аvаіs-jе dіt аvес tоutе lа соnfіаnсе quі еst lа mienne.
Еllе еst еntréе dаns mа ріèсе résеrvéе аuх séаnсеs « sоft » : grаnd tаріs dоuх аu sоl, un саnарé, un tаbоurеt sur lеquеl sоnt роsés un mаrtіnеt еt lа соrdе quі vа mе sеrvіr à lа lіgоtеr. Sа сhеvеlurе brunе еn quеuе-dе-сhеvаl dеsсеnd jusqu'аu сrеuх dеs rеіns, un реtіt hаut еn dеntеllе nоіrе, un роrtе jаrrеtеllе еt dеs bаs blаnс, dеs сhаussurеs nоіrеs à tаlоns hаuts luі dоnnеnt сеttе саmbrurе parfaite.
Еllе mе tоurnе lе dоs, jе luі іnstаllе délісаtеmеnt lе bаndеаu еn tіssu dоuх еt nоіr sur sоn rеgаrd соquіn. Jе luі раlре lеs fеssеs еt luі dоnnе dе légèrеs сlаquеs. Еllе gémіt déjà.
Jе luі аttrаре lеs роіgnеts еt l'оblіgе à gаrdеr sеs brаs dаns lе dоs.
J'аttrаре lа соrdе еn сhаnvrе, jе réаlіsе dеuх рrеmіеrs реtіts nœuds роur сréеr dеuх bоuсlеs еt у іnsérеr sеs роіgnеts рuіs jе lеs mоntе jusquе sur sеs éраulеs. Lа соrdе еntоurе sа роіtrіnе, sеs éраulеs еt sоn dоs. Jе rеssеrrе lе nœud аfіn dе сréеr un рrеmіеr роіnt dе tеnsіоn légеr mаіs bіеn рrésеnt tоut dе même.
Lе lіgоtаgе реut réеllеmеnt соmmеnсеr еt jе luі dоnnе quеlquеs сlаquеs bіеn реséеs роur lа fаіrе сrіеr un peu.
Deux nоuvеllеs bоuсlеs еntоurеnt mаіntеnаnt sеs bісерs еt lа vоіlà mаіntеnаnt соntrаіntе à аvоіr lеs mаіns dаns lе dоs sаns роuvоіr lеs bоugеr. Сhаquе nоuvеаu роіnt dе tеnsіоn, сhаquе nœud quе jе rеssеrrе l'а fаіt gémіr. Еllе аttrаре sеs fеssеs naturellement.
C'est lоіn d'êtrе tеrmіné, mаіs с'еst déjà très bеаu еt ехсіtаnt à rеgаrdеr : sоn соrрs dеbоut, sа саmbrurе légèrеmеnt саsséе раr lа tеnsіоn рrоvоquéе раr mа соrdе dоnt lа соulеur nаturеllе dе lа fіbrе sе mаrіе раrfаіtеmеnt à sа реаu blаnсhе еt douce.
Jе rеnоuvеllе l'орérаtіоn jusqu'à аttеіndrе quаtrе роіnts dе tеnsіоns еt dоnс huіt bоuсlеs еntоurаnt sеs brаs, dеs bісерs jusqu'аuх роіgnеts. Sеs mаіns sе tоuсhеnt mаіntеnаnt еt lа tеnsіоn dе lа соrdе luі éсаrtе nаturеllеmеnt sеs fеssеs.
Mаthіldе сrіе dе рlus еn рlus fоrt, сеttе dоuсе tоrturе l'ехсіtе, sа реtіtе сhаttе mоuіllе аbоndаmmеnt еt еllе vа très vіtе аvоіr drоіt à dе nоuvеllеs sеnsаtіоns dоnt еllе nе sоuрçоnnаіt раs l'ехіstеnсе !
Une bоnnе сlаquе sur сhаquе fеssе еt jе fаіs mаіntеnаnt раssеr lа соrdе dоubléе еntrе sеs fеssеs, jе lа réсuрèrе еn mе mеttаnt fасе à mа jеunе sоumіsе еt jе lа frоttе соntrе sеs lèvrеs еt sоn сlіtоrіs. Dе gаuсhе à drоіtе, vеrs lе hаut, lе сhаnvrе quі саrеssе sоn jоlі mіnоu tоut lіssе l'а fаіt gémіr еt lаіssе s'éсhарреr dеs « оh » еt dеs « оuі ». Еllе еst sоus mоn соntrôlе, mаіs еn соnfіаnсе, l'іntеnsіté dе sа jоuіssаnсе nе fаіt quе mоntеr. Dе сhаquе сôté dе sоn sехе, jе fаіs rеmоntеr lа соrdе роur lа fаіrе раssеr dаns lеs bоuсlеs sіtuéеs рrès dе sеs аіssеllеs еt dе sеs sеіns. Сеttе nоuvеllе étrеіntе lа surрrеnd, еllе gémіt еn étаnt аu bоrd dеs lаrmеs сеttе fоіs-сі. Dе реtіts, « аïе » gémіssаnts еnrісhіssеnt à се mоmеnt sоn vocabulaire.
Lа соrdе tоujоurs dоubléе rераssе еntrе sеs lèvrеs еt sеs fеssеs. Аvаnt dе l'аttасhеr à l'аvаnt-dеrnіеr nœud sіtué dаns lе сrеuх dе sеs rеіns, jе jоuе un реu аvес lа соrdе еntrе sеs fеssеs, sеs mаіns éсаrtаnt tоujоurs сеllеs-сі sаns аutrе possibilité.
Lа bоuсlе еst bоuсléе, Mаthіldе еst раrfаіtеmеnt lіgоtéе еt sоumіsе à mеs mоіndrеs volontés.
Jе bаіssе sоn hаut sеху justе sоus lеs tétоns аvаnt d'у іnstаllеr dе реtіtеs ріnсеs еn métаl fіn. J'аttrаре lе mаrtіnеt еt jе luі fоuеttе tеndrеmеnt lеs fеssеs quі rоugіssеnt vіtе mаlgré tоut. Jе luі аvаіs рrоmіs du sоft еt dе l'іntеnsіté, еllе а се qu'еllе mérite.
Jе fіnіs раr lа fаіrе аssеоіr sur lе саnарé, jе реnсhе sа têtе еt luі рrésеntе mа quеuе. J'еus drоіt à unе fеllаtіоn bіеn gоuluе, lеs mаіns lіgоtéеs dаns lе dоs, lа grаvіté lа fаіt s'еnfоnсеr mоn sехе аu рlus рrоfоnd dе sа gоrgе, jе luі mаіntіеns lа têtе соntrе mоn рubіs, еllе nе реut rіеn у faire.
Une fоіs détасhéе, еllе аvаіt bіеn mérіté unе bоnnе bаіsе рuіs sоdоmіе à quаtrе раttеs еt dе sоn аvеu l'оrgаsmе lе рlus іntеnsе jаmаіs ressenti.
Bien еntеndu, еllе а réсlаmé d'аutrеs séаnсеs dе bоndаgе аvес sоn nоuvеаu maître.
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bonjour,
je me présente nico 30ans, célibataire switch mais davantage soumis. je suis en recherche de partenaire pour expérimenter le shibari. je suis du var
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Bonsoir, est-ce que vous vous déplacer en dehors de votre département ? Sachant que riggeuse je suis et cherche toujours des modèles pour continuer à progresser.
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13/03/22
Hello. Je propose trois jours de voilier au départ de la Turballe.
On peut être 6 confortable à bord.
Ce serait du 10 au 12 Juin inclus (c'est un mardi/mercredi/jeudi). On peut dormir au bateau la veille.
Une participation de 150 euro par personne pour les 3 jours pour la location du voilier (qui n'est pas le mien)
Et faut compter les repas environ 20€/jour soit 60 euro au total.
Le but est de faire du bondage/shibari pendant ces 3 jours, mais aussi un peu de bateau !!
Je suis rigger. Mais j'adore aussi être attaché. Et nous aurons une riggeuse également à bord.
Plus d'informations en MP
Soyez la première personne à aimer.
C'est un fameux 3 mâts, hissés haut.
Saviez-vous que l'expression "PD comme un foc" est une référence au mât d'un navire et non à l'animal marin qui n'a rien demandé à personne?
Le Foc est une voile d'un bateau. Elle a une forme triangulaire et est située généralement à l'avant du bateau. Le foc est plus petit que la grand-voile. Deux cordes (les écoutes) servent à changer le foc de côté et à l'orienter en fonction du vent.
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Coucou à tous 💜
Enchantée ( désolée si mon post dérange )
Je me présente, Kendra jeune Trav de 27 ans
Une véritable accro au liens qui est a la recherche de personnes passionnée qui souhaiteraient faire des sessions Bondage / Shibari
J'ai eu quelque expérience j'ai quelque photos d'entre elle sur mon compte.
Sinon j'ai des tenues, des jouets et des cordes
Je suis d'Arras dans le Nord et je peut recevoir ou me déplacer
Merciii de votre temp
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Bonjour à tous,
Des personnes en région PACA qui pourraient me renseigner et me guider vers des atelier shibari, des munch? Je peux aussi me déplacer en privé en PACA et région voisine occasionnellement
Merci à ceux qui repondront
Deuxième expérience - Kinbaku
Que m'as-tu fait cette fois-ci ?
J’ai accueilli tes tentacules, je t’ai obéi.
J’ai accueillie la douleur, plus forte ;
J’ai toléré les engourdissements, plus sourds ;
J’ai toléré que mon sang recule, plus loin.
Je t’ai montré plus de chair, mon ventre, mes épaules ; j’ai aimé.
Que s’est-il passé cette fois-ci ?
J’ai laissé passer les bruit parasites, lointains, diffus.
J’ai laissé mon corps se relâcher, se détendre et se pendre ;
J’ai accepté tes détours scabreux, torturés, alambiqués ;
J’ai accepté que tu me mordes, me pénètres, me cisailles.
Je t’ai laisser plus de chair, à marquer, à tordre ; j’ai aimé.
Mais que m’as-tu fait cette fois-ci ?
Je suis restée bloquée.
Je te sens encore autour de moi ;
Je me sens encore entravé ;
Je te perçois encore contre ma peau ;
Je me perçois encore dans ton piège.
Tu m’as réveillée cette nuit.
Je t’ai sentie me chatouiller.
Je me suis sentie engourdie.
Je t’ai sentie me contraindre.
Tu ne m’as pas rendu mon corps,
Tu m’as gardée dans ton décor,
Je ne sais pas comment ressortir.
Cette fois je me suis ligotée à ma liberté.
Soyez la première personne à aimer.
Bonjour à tous,
Y’aurait il un maître shibari, en Dordogne, prêt à me former sur mon soumis ?
Belle journée 🌞
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Ah... Bordeaux c'est en Dordogne ? Mais je peux me tromper...
Vous avez tout ce qu'il faut à Bordeaux 

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05/05/25
Nous avions un peu échangé avant de nous revoir à cette soirée Hell O Kinky. Je connaissais ton envie de cordes, aussi je t’ai naturellement demandé si tu souhaitais faire une session tout de suite. Tu voulais attendre un peu, puis tu t’es ravisée. Allons-y !
Après la phase de négociation, j’ai commencé à t’attacher. Je désirais le faire doucement, afin que tu puisses prendre le temps de sentir et de tout ressentir. Cela te permettrait, je l’espérais, de donner de la vie à ton fantasme de te retrouver du point de vue de l’encordée (Je lui avais dit que je voulais connaître ces sensations, pour mieux les décrire dans mes nouvelles. N.d.a). Comme c’était ta première session, je souhaitais que tu ne perdes pas le contact avec moi – ni moi avec toi. Je me plaçais de façon à ce que l’on puisse toujours se voir.
Nous étions en début de soirée, il y avait encore peu de monde. La petite salle où les tatamis étaient installés donnait sur le couloir principal. Dans la pièce, entre nous, dans notre bulle, régnait une énergie étrange, belle, nous isolant. À deux, nous étions seuls et pour ma part, je m’amusais.
Un peu plus tard, tes bras étaient repliés sur ton épaule gauche. Je te fis basculer de la position assise à allongée. Je voulais ajouter un objet. Il y avait aussi des ballons de baudruches à disposition. J’en saisis un que je plaçais sur ton ventre, avant de ramener ta jambe sur celui-ci, faisant attention à ce qu’il n’explose pas. A chaque tour de cordes, je prenais plus d’assurance, sans oublier de vérifier que tout aille toujours bien. Tu m’assurais de ta confiance. Je m’enhardissais, et fis passer les cordes ici et là, sur tes bras, sous eux, entre eux, et en lien avec les celles qui te contraignaient les jambes…
Pour moi, encorder et câliner, c’est à peu près la même chose.
Sauf que les cordes permettent un plus long câlin.
Sauf que les cordes permettent un plus gros câlin.
Sauf que les cordes agrandissent le cocon.
Et comme tous les câlins, il s’agit de se faire plaisir, mais aussi, de faire plaisir à l’autre… et que l’autre se fasse plaisir !
Trois spectateurs sont arrivés et ont regardé tandis que je commençais à te détacher. J’enlevais une première corde, puis une autre. Je prenais mon temps. L’un d’eux, opérant une petite fracture dans notre bulle, m’a demandé s’il s’agissait d’une démonstration. Ce que ce n’était pas. Ils repartirent, et moi je plongeais à nouveau en ton regard.
Je défis un premier harnais, celui qui se trouvait à ta jambe droite. Je cherchais l’extrémité d’une nouvelle corde. Je commençais à l’enlever lorsque je me rendis compte que je venais en fait de retirer une liaison entre deux cordes – un nœud en forme de tête d’alouette en langage technique. Heureusement, j’avais réalisé des frictions qui permettaient de bloquer la tension à plusieurs autres endroits. Si les deux cordes avaient perdu toute leur force d’un coup, le modèle aurait pu souffrir de se sentir comme abandonné. Grâce aux frictions, je pus défaire tes cordes comme si de rien n’était.
Et puis, ça restait la première fois que tu essayais les cordes. Aussi, pour ne pas se quitter sur cette note un brin désagréable, en tout cas pour moi, je te proposais de nouvelles choses : les cordes dans les cheveux, les cordes sur le visage, et je passais une corde sur ton cou. Tu eus plusieurs types de réponses. Tu testais, nous nous amusâmes encore un peu ensemble. Enfin, je te libérais définitivement.
Nous étions dans la troisième phase, l’aftercare, ce moment plus câlin entre le modèle et son rigger. Moment particulier, où le modèle finit de redescendre et où ils débriefent la session. J’étais bien avec toi, et j’étais moi aussi parti loin. Je confesse ne plus trop me souvenir de ce qu’on a échangé alors, tout s’était bien passé. Une question peut-être : je te disais que j’avais mis quatre cordes autour de toi, parce que je n’en avais pris que quatre – mais chez moi, j’en possédais douze. Tu m’amusas en te demandant ce à quoi pouvait ressembler un corps avec douze cordes sur lui, imaginant quelqu’un de « momifié ». Il faudra essayer !
La soirée continuait. Tu repartis vers la piste de danse, et moi, boire au minimum un bon verre d’eau – les sessions, ça assoiffe !
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Voilà un récit de session comme je les aime, remplie d'émotions et de partage. Je me suis reconnue surtout lors du désencordement où vos frictions vous ont "sauvé". Je l'ai vécu il y a peu, mon pattern était vraiment perfectible, mais ma partenaire s'est senti bien et en confiance, ce fut l'essentiel.
Tout n'est pas toujours parfait lors d'une séance, on fait parfois des noeuds dans ses cordes, au sens propre du terme ici, et je vous remercie d'en parler, car on ne voit souvent que le résultat, on parle peu du chemin de la corde. Le tout est d'avoir bien assuré tout l'encordement pour que cela reste sécurisé et que le modèle soit toujours en confiance.
J'ai aimé aussi votre manière d'approcher cette première session de cordes et les précautions prises pour que votre partenaire puisse être en confiance.
Chaque session est différente et demande une approche réfléchie.
Merci pour ce beau partage d'expérience
Première expérience – Kinbaku
Elle glisse. Elle me lèche. Elle coule sur moi ; je la sens. Elle m’apprivoise, me questionne. Elle me serre, me dit que je lui appartiens et qu’elle m’appartient. Elle joint mes poignets qui s’embrassent, rapproche mes mains de mon cou qu’elles effleurent. Je la regarde, serpenter, passer et repasser, tourner, s’enrouler. Elle attend. Elle me demande. Elle lève mes poignets. Mes bras suivent. Je ferme les yeux. Mon corps me parle, elle aussi ; j’écoute. Mes muscles se relâchent. Elle domine. Il résiste. Elle le Domine. Il écoute. Il lui obéit.
Elle s’enroule autour de mes jambes. Elle les unit. Elle les aime, leur chuchote des silences, leur murmure des vibrations.
Le clocher sonne.. Midi non ?.. Je ne sais plus.. Il y a un chien aussi qui aboie, il est loin non ?
Constriction. Elle me rappelle à l’instant présent. Elle fond sur moi, vibre contre moi, fouette délicatement le sol. Coulisse quelque part au-dessus de moi.
Ma nuque. Le soulagement d’une douce chaleur. De la peau ? Une main. Mon corps comprends. Il se détend.
Elle se prononce ; se positionne. Précise. Elle a décidé ; elle me tracte. Mon corps se demande. Il accepte. Il a compris. Il se relâche à nouveau. Il quitte le sol. Le silence est assourdissant d’échanges.
Elle me berce dans le vide. Transforme quelques centimètres en un à-pic vertigineux. Vertige ? Hypnose thérapeutique ? Danse extatique ? Symbiose.
La partition continue. Dis-moi, es-tu la partition ? Les notes qu’il te demande de jouer ? Le serpent sort-il sans les notes du pungi ?
Compression. Elle me rappelle à l’instant présent. Les énergies se mêlent, s’échangent, se confondent, s’accordent... Les accords ; parfaits.
Elle lape une dernière fois les goûtes de douceur de ma peau. Me quitte en glissant inexorablement. Me retire son voile de chaleur. Me prive de son doux cocon. M’abandonne. Me laisse orpheline. Me parcourt d’un frisson inconnu. Me laisse ses douces morsures sur la peau.
En retirant mon entrave, elle m’enferme ; elle me ligote à la liberté. Elle me jette en pâture à l’inconnu. Une énergie brûlante sur mon épaule. De la peau ? Une main. Mon corps se rassure. Il n’est pas seul.
Elle tombe au sol. Ce bruit.. la corde, au sol, la paroi en pierre après une séance sous un doux soleil couchant. « Séance ». Ce mot… Les verrous sautent. Il fait une chaleur glaciale.
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Bonjour a tous . Je débute. Je cherche des explications concernant la qualité des cordes. J aimerai plus particulièrement des informations, précisions sur la structure des cordes en chanvre et jute: le nombre brin par spy, de torons, etc ont quelle importante vis a vis de la pratique du shibari. Merci de votre retour. (Peut être existe t il un article, un post sur ce groupe...mais je n' ai pas trouvé). Bien à vous
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Le type, la texture, la longueur, le diamètre, la couleur : tout dépend de ce que vous désirez faire. Une fois que vous serez décidé vous pourrez chercher les liens qui le permettent.
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12/03/25
Perso plus de 4500 m de liens en tous genres/couleurs/textures/dimensions.
Bonjour Tailleur de Pierre. Merci. En effet j' ai cherché et je suis en contact avec une corderie. Je cherche à me rapprocher de la qualité des ogawa. Or ces cordes sont constituées en 12/1. J ai du mal a évaluer la différence, ou plutôt l importance avec des cordes à 3 ou 4 torons. Peut être sont elles moins souples? Moins maniable ? En fait je veux pas des cordes inadaptées qui blesseraient par exemple. Donc google ne me dis pas tout.

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12/03/25
@cruz, je persiste à penser que le choix de corde s'effectue en fonction de ce que l'on désire faire.
Le shibari ce n'est pas que du bondage en suspension avec des cordes de jute de 6mm en 6 mètres de long.
Le Shibari c'est un art : il faut que ce soit beau tout simplement. J'ai de tout pour tout, y compris chaine(tte)s. On fait comme on aime.
La question reste : qu'est-ce que l'on aime ? ... ou vers quoi désire-t-on s'orienter ?
Et trouvez le/la partenaire pour le faire aussi.
L'entretien découle des types de liens que vous choisirez. La réponse d'Azhara est très bien,
pour le jute, et amène aussi des information intéressantes un peu pour tout.
A savoir que je jute est très utilisé au japon et c'est surtout parce que c'est dans ce qu'il y a de moins cher en cordes...
Toucher, manipuler, essayer... et choisir. Allez faire un tour dans un rope camp si vous en avez la possibilité. Il va y en avoir, la belle saison approche 

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12/03/25
C’est vrai qu’il y a beaucoup de choix possibles,
Moi je prends des cordes en coton de diamètre 10 mm, tressé et non torsadé
Des longueurs de 8 m environ
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12/03/25
Je rejoins l'avis de tailleurs de Pierre. Je pense qu'avant d'aller dans des considérations techniques de 3 ou 4 tourons, la longueur des fibres etc etc, chose purement technique e pour ma part à la limite de l'alchimie. Faites vous un 1er set de cordes simples. Commencez doucement la pratique au sol. Comprendre les divers mécanisme de tension, contre tension, friction etc... Faites le de façon ludique avec une partenaire qui a aussi les mêmes. Une fois que le sol sera aisé pour vous, passez à la semi suspension, si cela vous plait, et avancer peu à peu. Quand tout cela sera maitrisé, peut être alors vous vous poserez des questions plus existentielle sur les cordes.
Un dernier conseil, les cordes sont un lien entre 2 personnes, avant d'être des noeuds... Alors jouer en harmonie avec votre partenaires.
PS : dernier point, et la c'est peut être un vieux con qui parle : fuyez les cordes synthétiques, certains diront que je suis intégriste, mais au diable ces derniers.
HCL bonjour merci. C'est bien l idée... pour être totalement transparent, ma réflexion est la suivante ; nous sommes les 1er producteur de chanvre au monde, alors pourquoi aller courir au Bangladesh ou au Japon pour trouver des cordes dignes de l art? Alors je cherche... défaut de puriste 🤣
Bonsoir, personnellement j’ai des cordes ogawa achetées en France ici : https://www.kinbakulovers.com/boutique/cordes/corde-jute-japonaise-ogawa-8-metres/
L'habit ne fait pas le moine...
J'ai acheté sur le net par 100m et je les ai préparé moi même.
(C'est aussi une autre histoire ça ! )
Pour moi à moins de 50m je risque de manquer de cordes pour un beau Shibari. Avec 80 quasiment sûr que c'est bien. Du coup si je fais une suspension 10/20 m de plus ça peut être utile suivant la configuration...
Bien faire attention à prendre du chanvre NATUREL pour ne pas se faire fourguer du synthétique ou semi-synthétique, idem pour le jute bien sur.
Puisque vous débutez: peut être commencer par aller dans une asso cordes sérieuses vous y apprendrai les bases (y compris les caractéristiques des différentes cordes).
Je partage le premier post de HCL sur la philosophie,... pratiquant depuis toujours, je suis partisan de ne pas rebuter les novices. Laissons les, au moins au début, d'utiliser des cordes synthétiques, il en existe de bonne qualité pour de bons résultats, d'un entretien facile, ca permet de liberer l'esprit sur l'essentiel... au lieu de se perdre sur les outils.... Avant toutes choses un cordeur se réalise dans la technique.... avec un peu d'experience, il decouvrira les vertus du chanvre.
https://www.***LIEN COMMERCIAL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/veritable-cordes-de-shibari-ogawa/
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25/04/25