Gros ménage dans mes contacts. Si vous n'y êtes plus, c'est que l'on ne se connait probablement pas ou que vous ne m'avez éveillé aucun intérêt. Si vous souhaitez re-éveiller mes intérêts, (re)ajoutez-moi. Attention, je ne dépasse pas les 20 personnes.
(Illustration : Oxford Street (Worker Off Duty), par Georgia Peskett)
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Nouvelle histoire en description de l'image.
C'est la troisième. Je me rapproche vraiment plus de la saga de Gor ici.
RenardΨ a ajouté de nouvelles photos à son propre album "Artworks"
L’Épopée de Wulfric le Dévastateur
Dans les terres sauvages et brumeuses du nord, où les vents hurlent comme des loups affamés, une bataille d’une sauvagerie sans nom s’était déroulée sous un ciel gris et oppressant. Cette terre, jadis dominée par le clan des Ferrocœur, était aujourd’hui un charnier, un testament sanglant à la fureur d’un seul homme : Wulfric, le Dévastateur, un guerrier au corps taillé dans le roc, dont la hache double tranchait l’air avec une précision mortelle. Ses cheveux noirs comme la nuit flottaient sauvagement autour de son visage buriné, et ses yeux bleus glacés brillaient d’une rage primitive. Ce jour-là, il avait juré de réduire en cendres l’orgueil du chef Hagen Ferrocœur, un seigneur brutal dont la cruauté avait fini par attirer la vengeance de Wulfric.
La bataille avait débuté à l’aube, lorsque les premières lueurs perçaient à peine l’horizon. Les guerriers du clan Ferrocœur, armés de lances et d’épées rouillées, avaient chargé avec des cris de guerre gutturaux, confiants dans leur nombre. Mais Wulfric, seul contre une horde de quarante hommes, était une tempête de destruction. Sa hache sifflait dans l’air, découpant les chairs et brisant les os avec une aisance terrifiante. Le premier à tomber fut un colosse barbu, dont la tête roula sur le sol boueux avant que son corps ne s’effondre. Les suivants ne firent pas mieux : Wulfric esquivait les coups avec une agilité surprenante pour sa stature massive, son bouclier de bois renforcé déviant les lances tandis que sa lame s’enfonçait dans les torses et les crânes.
Le sang giclait en arcs rouges sous le ciel pâle, teintant la terre d’une couleur sombre. Les guerriers, pris de panique face à cet homme invincible, tentaient de l’encercler, mais Wulfric tournoyait comme un démon, frappant avec une force brute. Un jeune guerrier tenta de lui planter une dague dans le dos, mais Wulfric pivota, attrapa son bras et le brisa comme une branche sèche avant de lui trancher la gorge d’un revers. Les cris des mourants résonnaient, mêlés au fracas des armes qui s’entrechoquaient. Les derniers résistants, épuisés et terrifiés, furent fauchés en quelques coups, leurs corps s’entassant en un monticule grotesque au centre du champ de bataille.
Au cœur de ce chaos, dans la grande salle de bois et de pierre du clan Ferrocœur, se tenait Freya, la fille du chef Hagen. À vingt ans, elle était une vision de beauté sauvage : ses cheveux blonds cascadaient comme de l’or liquide sur ses épaules délicates, ses yeux verts pétillaient d’une innocence fragile, et sa peau douce contrastait avec les rudes vêtements de lin qu’elle portait. Fille unique de Hagen, elle avait été élevée dans un luxe relatif, protégée des horreurs du monde extérieur. Mais ce jour-là, alors que les cris de la bataille s’infiltraient dans la demeure, son monde s’effondra.
Wulfric, couvert de sang et de sueur, enfonça la porte de la salle principale avec un rugissement bestial. Hagen, un homme massif aux cheveux grisonnants, se dressa devant lui, brandissant une épée massive. « Tu ne toucheras pas à ma fille, chien ! » hurla-t-il, chargeant avec une fureur désespérée. Mais Wulfric para le coup d’un revers de son bouclier et, d’un mouvement fluide, planta sa hache dans la poitrine du chef. Hagen s’effondra, le souffle coupé, son sang se répandant sur le sol de pierre. À côté, la mère de Freya, une femme aux traits encore beaux malgré son âge, tenta de s’interposer, mais Wulfric la repoussa d’un coup de poing, lui brisant la mâchoire. Elle tomba, inerte, tandis que Freya hurlait de terreur.
Wulfric se tourna vers la jeune femme, ses yeux brillant d’une lueur possessive. Il s’avança, saisissant ses poignets frêles avec une poigne de fer. « Tu es à moi maintenant, chienne, » gronda-t-il, la tirant brutalement hors de la salle. Freya se débattait, ses cris étouffés par la poigne de son ravisseur, ses pieds nus glissant sur le sol ensanglanté. Il la traîna à l’extérieur, sous le ciel gris, jusqu’au monticule de cadavres où il avait triomphé. Là, au milieu des corps brisés et des armes abandonnées, il la força à s’agenouiller, son regard dominant fixé sur elle.
Avec une sauvagerie délibérée, Wulfric arracha les vêtements de Freya. Les tissus de lin cédèrent sous ses mains puissantes, dévoilant sa peau laiteuse et ses courbes sensuelles. Il ne lui laissa que quelques lambeaux de tissu, à peine suffisants pour couvrir sa poitrine et son bas-ventre, exposant sa jeunesse et sa vulnérabilité au froid mordant. Freya, tremblante, s’accrocha à sa jambe musclée, terrifiée par la prise de conscience des cadavres de son peuple qui l’entouraient.
Déjà souilllon, son calvaire ne s'arrêta pas là. Il commença une scène de domination brutale. Wulfric la releva d’un geste sec, la plaquant contre un rocher voisin. Ses mains rudes explorèrent son corps, la rugosité des mains de l'assaillant contre sa peau douce. Les minces tissus n'étaient pas un obstacle. Freya gémit puis hurla, entre la peur, le chagrin, la douleur et une résignation forcée, ses yeux masqués de larmes. Wulfric, animé par une sauvagerie primitive, la pénétra avec une force écrasante, ses mouvements violents rythmés par des grognements profonds. Chaque coup était une affirmation de sa victoire, chaque cri de Freya un écho de sa déchéance. Ses cheveux blonds se répandirent comme une auréole souillée sur la pierre, son corps jeune et sensuel marqué par les griffures et les bleus laissés par son maître.
L’acte dura peu. Cette fugacité était une danse macabre sous l’ombre de têtes livides qui semblait les observer depuis les brumes. Lorsque Wulfric se retira enfin, Freya s’effondra, à bout de forces, son souffle saccadé résonnant dans l’air silencieux.
Mais sa soumission ne s’arrêtait pas là. Dans les jours qui suivirent, il la lia avec des cordes rugueuses, la forçant à marcher derrière lui comme une esclave. Chaque pas était une humiliation, chaque regard de Wulfric une promesse de domination renouvelée. Il la battait avec une lanière de cuir lorsqu’elle ralentissait, laissant des marques rouges sur sa peau parfaite, mais jamais assez pour la briser complètement. Elle apprit à obéir, ses yeux verts marqués par une résignation presque acquise.
Sa chûte et la fin de son once de fierté arrivèrent un soir, sous un ciel étoilé. Wulfric, assis près d’un feu, ordonna à Freya de s’agenouiller devant lui. Elle obéit, ses mains tremblantes posées sur ses cuisses nues, son corps marqué par les jours de servitude et de voyage. Il attacha une chaîne à son cou, symbole de son esclavage éternel, et lui murmura d’une voix rauque : « Tu vivras pour me servir. Tu n'as plus de nom a partir de ce jour. ». La jeune femme, brisée, fut marquée d'une infâme douleur, du sceau de celui qui fut, jadis, l'ennemi de son peuple. Elle baissa les yeux, sa beauté altérée par la marque, sa sensualité devenue une arme tournée contre elle-même. Elle allait subir mille souillure et voir bien plus loin que sa terre natale.
À la fin des temps, les derniers peuples racontèrent encore leur histoire. Wulfric le dévastateur et sa bête. Leur histoire fut éternelle.
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Le féminin sacré
Sous un ciel cramoisi, la succube s’étendait sur un drap noir comme la tombe, le verre rouge sang tremblant entre ses doigts. Sa peau luisait, nue, provocante, comme une offrande à la faim du démon qui lui faisait face. Ses yeux noirs brûlaient d’un feu vénéneux, et ses lèvres dessinaient une promesse, un piège — la sensualité armée d’un sourire.
Le démon se tenait là, massif, le torse hérissé de veines, un bras marqué de tatouages rituels, ses griffes crispées par la soif de chair. Un rictus tordu barrait sa gueule bestiale. Ses crocs luisaient sous un filet de bave, et ses naseaux palpitaient d’un désir brut, sauvage, intransigeant.
Elle écarta les cuisses dans un frisson de soie et de sang. Son regard, cependant, n’était qu’un appel voilé, un appât pour exciter la bête. Son souffle se fit plus profond, sa poitrine se souleva, comme si chaque battement de cœur était une offrande sacrificielle.
- Viens, murmura-t-elle. Prends-moi si tu l’oses.
Le démon grogna, ses yeux injectés de rage. Il n’attendait plus. Sa main puissante saisit sa cheville et l’attira violemment contre lui, déchirant le tissu et l’éparpillant au sol comme des lambeaux de vertu. Son corps massif se plaqua contre le sien, la submergeant sous sa force brute. Il ne lui laissa aucun répit. Ses griffes labourèrent sa peau, laissant de profondes traces, des sillons de feu et de sang.
Elle voulut parler, mais il lui écrasa la bouche d’un baiser qui n’était qu'une morsure bestiale, un pacte de violence. Elle gémit, offerte à la rage qui la secouait. Ses mains agrippèrent ses épaules, non pour le retenir, mais pour s’y accrocher et ne pas sombrer dans l’oubli.
Le démon, lui, jouissait de cette lutte. Chaque sursaut de la succube le rendait plus furieux. Son corps était une arme, ses reins, un bélier. Il martelait son corps, la chair contre la chair, jusqu’à ce que ses râles se mêlent aux siens dans un crescendo de souffles roques et de pleurs.
Elle essayait de le guider, de dompter sa sauvagerie, mais il la brisa d’un seul mouvement, d’un seul coup, la réduisant à l’état de proie. Elle avait rêvé de le conquérir par la ruse ; il la posséda par la force. La succube n’était plus qu’un pantin de chair, une ombre d’elle-même. Ses cris se muèrent en sanglots.
Enfin, dans une ultime convulsion, le démon rugit sa victoire. Il avait tout pris — le corps, l’âme, la ruse — et il laissa derrière lui un champ de ruines. La succube, vidée, les jambes brisées par la violence, s’effondra à genoux, le regard vide.
Elle comprit trop tard qu’elle avait perdu. Son piège était devenu son tombeau. Il avait mené la danse, écrasant ses illusions sous le poids de son désir. Son verre de vin gisait renversé à terre, inutile trophée d’une conquête dépassée.
Le démon, encore ivre de fureur, la regarda de haut. Dans ses yeux brûlait un éclat sombre, une lueur de triomphe froid. Le sang battait encore à ses tempes, le souffle encore lourd de rage. Il la contempla un instant, satisfait, puis tourna les talons, abandonnant sa proie dans l’ombre. Le feu avait tout consumé ; il ne restait plus qu’un goût âcre de cendre et de sang.
Et là, dans la nuit sans fin, le démon sourit à Morphée. La victoire avait un prix, mais c’était le prix qu’il avait choisi. La succube, à genoux, sut alors que tout avait été écrit d’avance. Elle avait convoqué la bête ; elle avait semé la rage. Elle récoltait la ruine.
Dans ce crépuscule éternel, seule la bestialité régnait.
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Une petite histoire.
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Dans les émanations spectrales qui nimbaient l'ancienne et puissante citadelle oubliée, une jeune femme à l'ébène toison et à la robe d'une blancheur sépulcrale se tenait en proie. Des arabesques ténébreuses incrustaient son épiderme diaphane, corolles fanées et volutes complexes vibrant d'une obscure palpitation. Ses mains, d'une albescence maladive, enserraient ses avant-bras où les mêmes stigmates nocturnes s'enroulaient. Ses prunelles dilatées, abyssales, oscillaient entre une épouvante pétrifiante rivée pour l'être qui la surplombait, et une obscure convoitise qui voilait leur limpidité.
La créature, nimbée de lambeaux obscurs dévorant la faible lumière, arborait un faciès monstrueux aux canines effilées et aux globes oculaires injectés d'un sang vermeil. Des macules écarlates souillaient son pelage de ténèbres, stigmates d'une sauvagerie primordiale qui la glaçait jusqu'à la moelle. Dans ses serres osseuses, il exhibait une agrafe capillaire d'argent ciselé. Des circonvolutions alambiquées et des pointes acérées constituaient l'artefact, irradiant une puissance ténébreuse qui à la fois l'attirait et la révulsait.
Au-dessus d'eux, des silhouettes membraneuses et funestes sillonnaient la voûte plombée, leurs cris gutturaux se mêlant au silence oppressant de la forteresse. L'air vibrait d'une menace imminente, exhalant une étrange expectative. Sa parure vaporeuse, dévoilant des lignes fragiles, n'était point une simple offrande, mais le signe d'une vulnérabilité qu'elle redoutait et qu'une part obscure de son être semblait implorer.
Elle remémorait les chuchotements, les légendes effroyables de la bête et de sa domination. L'angoisse la constrictait, telle une froide étreinte à la gorge. Pourtant, au plus profond de son âme, une fierté trouble bourgeonnait à l'idée d'être l'élue, celle désirée par une entité d'une puissance et d'une horreur extraordinaires. C'était une sujétion imposée, certes, mais auréolée d'une fascination morbide pour le prédateur.
Tandis que la bête approchait l'ornement, son haleine fétide effleurant son épiderme délicat, un frisson singulier la parcourut. Ce n'était pas uniquement la peur. Il y avait aussi une attente fébrile, une obscure impatience de sentir le métal glacé s'immiscer dans sa chevelure, de marquer son appartenance à cette force des ténèbres qui la terrifiait autant qu'elle l'enivrait d'une étrange soumission. Son histoire se tissait d'un paradoxe lancinant : la crainte de l'anéantissement et la secrète aspiration à une possession définitive.
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Bonjour Monsieur,
Vous savez... la suprématie est malmenée... elle est trop souvent uniquement apparentée a une Ascendance sexuelle .
L'hégémonie, l'omnipotence ... la supériorité masculine ne se résume pas a cela . Alors...sans vouloir juger sur les 300 personnes passées de votre groupe combien ont réellement de l'importance sur le sujet dont il est question ?
Il est ,apparemment ,evident que je n'ai pas ma place dans le groupe .
Belle soirée.
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Non Monsieur du tout . C'est davantage la tournure que prend la suprématie... et je ne pars pas ... il y'a toujours des témoignages, des gens , des visions dont on peut s'enrichir .Mais... si vous parvenez ...Vous.. au travers de certains partages a dégager ce quelque chose que les autres ne possèdent pas ... je dois admettre qu'il ne doit pas vous êtres aisé de trouver un semblable dans vos entourages sans émettre de jugements ou d'avoir de préjugés...c'est plus un constat...mais peut-être que j'idealise certaines conditions qui sont souvent normalisées ou banalisées alors quelles ne peuvent pas l'être dans la veritable réalité .
Merci pour votre reponse ,belle soirée Monsieur.
@Monsieur K ... la diversité de pensées a toujours ce spectre sans limite de ramener ses expériences ou d'autres apporteront leurs fantasmes...La suprématie est réelle mais pas édulcorée par une caricature corporelle et charnelle...c'est tellement plus profond ,intense et denué de limites....
Le conditionnement dans l'ordre et l'execution est fade comme il est présenté trop souvent ici..mais peut-être que ma façon de penser est floutée et que c'est moi qui est dans le faux....
Une femme qui vous apporte le courrier, quoi de plus banal ? Le petit truc en plus du quotidien ? Une enveloppe de bonne qualité.
Photo : film La secrétaire, Maggie Gyllenhaal
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