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le 12/12/24
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Souvent, les dominants aiment employer un vocabulaire animalier avec leur soumise, la désignant par exemple sous le terme de chienne. C'est là une attention très ambivalente qui la dévalorise tout en la magnifiant, soulignant ainsi le désir qui l'anime ou l'attraction sexuelle qu'elle suscite.
Mon Maître désigne mes fesses par le terme de croupe, ce que je trouvais insultant, au début. Et puis, j'ai compris que cette appellation était somme toute assez flatteuse,soulignant la rondeur de mes fesses rebondies qu'il aime photograpgier sous toutes les coutures et dans toutes les positions. Quand j'entends ce mot désormais, je ne me raidis plus mais je me cambre et imperceptiblement, je tends ma croupe pour mIeux la lui présenter.
Posté dans: Lexique/Definitions
Suggestion
Par : Abby
Le collier est une part importante de la soumission. Quand je le porte, que je le mets, je ne suis plus moi, je deviens une autre, je deviens sa soumise. Mon état d’esprit change totalement, ma personnalité s’efface face à la soumise. J’appartiens à mon DOM dès que mon collier est bouclé. Mon regard change, ma posture aussi, j’essaye d’être plus sérieuse, ce qui n’est pas forcément le cas, mais je passe à ses ordres. Le but étant de me laisser aller et de me laisser faire. Mon collier est un vrai collier de chienne, pas de soumise comme on voit souvent dans les films, je ne mérite rien d’autre, je deviens sa chienne, obéissante, docile… peut-être pas tout le temps, mais c’est ce qu’il apprécie avec moi. Je garde quand même la décision finale sur ce que l’on peut faire, surtout sur les nouveaux jeux, sur les choses connues, il a la main libre. J’ai une fierté en le portant, je suis fière de lui appartenir, qu’il m’ai choisis, moi la débutante, moi qui prends confiance en moi quand je porte mon collier. Il me rend plus forte car je me dépasse quand je le porte, je dépasse tant de choses et surtout je m’affirme, et surtout je m’oublie un peu en le portant. J’oublie les soucis et les choses qui me tracassent, je n’ai plus rien à penser sauf le satisfaire et qu’il soit fier de moi. Je ne pensais pas au départ quand il m’en parlait, que ce collier pouvait tant faire de bien, je me disais oui c’est juste un point de repère, je n’imaginais pas une seule seconde que ce collier allait m’aider. Il signe mon appartenance à mon DOM, le respect que je lui porte. On ne peut pas savoir ce que c’est tant qu’il ne nous l’a pas passé avec un air satisfait, et réjouis. Bien sûr il ne m’a pas apprivoisé aussi facilement que ça. Notre première rencontre a même été cinglante, mon DOM m’ayant fouetté avec car j’avais oublié de le mettre. Les premières fois c’était juste un symbole sans grande importance pour moi. Puis, petit à petit, il est devenu LUI, lui le collier, lui le DOM ? Je ne sais plus très bien faire la différence. Quand je ne peux joindre mon DOM et je j’ai un coup de blues, il me suffit de mettre mon collier et je ressens un calme, une présence comme s’il là, près de moi. Vous direz surement que je suis folle ? Peut-être… mais avez-vous déjà appartenu à quelqu’un ? Vous êtes-vous déjà remis à lui totalement, en pleine confiance, en lui offrant votre corps pour des sévices physiques que vous n’accepteriez d’aucune autre personne ? En lui offrant votre esprit pour qu’il puisse le torturer, vous faire douter de vous-même pour mieux vous faire grandir ? Si oui, et si cette personne est votre DOM alors vous comprendrez certainement ce que je veux dire, sinon il vous sera impossible de comprendre avoir d’avoir vécu cette expérience. Ce petit bout de cuir, anodin et sans importance pour qui ne sait ce qu’il représente pour la soumise qui le porte parfois, est en réalité le support physique de toutes les frustrations que je souhaite éliminer, de tous les progrès que j’ai accomplis depuis que je suis SA soumise, de tous les progrès qui me reste à accomplir… Sans lui je serais sans ce lien permanent qui me permet de grandir, de capitaliser de mes expériences et progrès réalisés pendant les séances. C’est comme s’il enregistrait mes souffrances et mes victoires et c’est vrai, vu ma nudité lors de ces séances, c’est le seul témoin de ce que j’endure, de l’application que je mets à essayer de le satisfaire, de mon abnégation totale devant ses désirs. Et puis, finalement, ce n’est peut-être pas MON collier… C’est peut-être bien une partie de mon DOM qui m’accompagne au jour le jour. C’est mon DOM qui me l’a confié, c’est lui et lui seul qui peut me le reprendre un jour… Alors c’est un simple bout de cuir ou …
Suggestion BDSM.FR pour continuer vos lectures sur le sujet : Collier et Laisse en BDSM, La symbolique du collier et le groupe Collier & Appartenance
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Par : ErosDiabolik
Je repost mon article publié sur mon compte cherybybi le 21/11/24. Ce compte est bloqué sans sommation suite a la publication d'une photo interdite.
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Le BDSM (bondage, discipline, domination, soumission, sadisme, masochisme) repose sur un principe fondamental : le consentement mutuel éclairé. Chaque pratique, chaque geste, chaque échange dans cette dynamique se construit sur une base solide d'accord entre les parties impliquées.
Contrairement aux idées reçues véhiculées par une société qui juge parfois sévèrement ce qu’elle ne comprend pas, les pratiquants du BDSM ne s'engagent jamais dans des activités sans discussions préalables, sans limites définies, et sans consentement explicite.
Le BDSM, loin d'être un espace de violence ou de domination unilatérale, est une forme d'exploration consensuelle de plaisirs, de limites, et de confiance. Le respect de la volonté de chacun est au cœur de cette pratique. C'est pourquoi les notions de safewords, de négociations claires, et de communication constante sont fondamentales.
Dans un monde où de nombreux comportements abusifs se produisent sans consentement, le BDSM offre un modèle de respect et de transparence qui dépasse souvent les normes relationnelles traditionnelles.
Alors que la société dite "bien-pensante" tend à bannir ou à stigmatiser ces pratiques, elle passe parfois à côté d'une leçon essentielle : le consentement n'est pas seulement un pilier du BDSM, mais une valeur universelle que toute relation humaine devrait cultiver.
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Par : Sept sur Sept
Le terme "subdrop" est dérivé de l'anglais et fait référence à une chute, une descente, dans ce cas, émotionnelle ou physique. Cette réaction est souvent la conséquence d'une expérience intense, qui peut être aussi bien psychologique que physique. Les pratiques BDSM peuvent engendrer des niveaux élevés d'adrénaline et d'endorphines.
L'adrénaline, souvent appelée "hormone du stress", est libérée en réponse à une situation stressante ou excitante. Elle prépare le corps à réagir, que ce soit pour fuir ou combattre. Les endorphines, quant à elles, sont des peptides qui agissent sur les récepteurs opioïdes du cerveau pour réduire la perception de la douleur. Elles sont souvent surnommées les "hormones du bonheur" car elles peuvent provoquer des sensations d'euphorie.
Après une scène ou une session BDSM, où ces substances chimiques ont été libérées en grande quantité, leur niveau dans le corps commence à diminuer. C'est à ce moment que le "subdrop" peut se manifester. Les participants peuvent ressentir une profonde tristesse, une sensation de dépression, ou un épuisement général. Cette descente émotionnelle et physique est parfois comparée à la sensation que l'on peut ressentir après un événement très attendu qui prend fin, comme un concert ou un grand événement sportif.
Il est absolument crucial de comprendre que le "subdrop" ne témoigne pas d'une expérience négative ou traumatisante en soi. C'est plutôt une réaction naturelle du corps à la suite d'une montée intense d'émotions et de sensations. Cependant, il est essentiel d'en être conscient et de prendre les mesures appropriées pour soutenir la personne qui en fait l'expérience.
Le "subdrop", bien que souvent associé au BDSM, trouve en réalité ses racines dans la biologie humaine. Pour comprendre ce phénomène, il est essentiel de se pencher sur les mécanismes neurobiologiques qui se déclenchent lors d'expériences intenses.
Lorsque nous vivons des moments d'intensité, qu'ils soient d'ordre physique, émotionnel ou psychologique, notre corps a une réponse chimique. Une des principales substances chimiques libérées est l'endorphine. Les endorphines sont des neurotransmetteurs, c'est-à-dire des messagers chimiques qui transmettent des informations d'un neurone à un autre dans le cerveau. Ces molécules jouent un rôle crucial dans la modulation de la douleur et la production de sensations agréables.
Agissant comme des analgésiques naturels, les endorphines ont la capacité de réduire la perception de la douleur. Elles sont souvent comparées à des opioïdes comme la morphine, bien qu'elles soient produites naturellement par le corps. Lors de leur libération, elles peuvent provoquer une sensation d'euphorie, un sentiment d'extase ou de bien-être intense.
Cependant, la nature a une manière d'équilibrer les choses. Après une telle montée d'endorphines, il est courant que leur niveau diminue une fois l'expérience intense terminée. Cette chute peut être abrupte, et c'est là que le phénomène du "subdrop" intervient. L'euphorie laisse place à des sentiments contrastés de tristesse, de mélancolie ou de vide. Cette transition peut être déroutante, surtout si la personne n'est pas préparée ou consciente de cette réaction biologique.
Il faut donc garder en tête que le "subdrop" n'est pas simplement une réaction psychologique, mais aussi une conséquence directe de la manière dont notre cerveau et notre corps gèrent les expériences intenses. La compréhension de ce mécanisme peut aider à mieux anticiper, gérer et soutenir ceux qui vivent cette descente émotionnelle.
Il est essentiel d'apprendre à reconnaître et à comprendre le "subdrop" pour plusieurs raisons :
Pour préserver sa santé mentale et bien-être émotionnel et/ou celle de son/sa partenaire :
Impact psychologique : Le "subdrop" n'est pas simplement une baisse d'humeur passagère. Pour certains, il peut s'apparenter à une véritable dépression temporaire, avec tous les symptômes associés tels que la tristesse, l'anxiété ou le sentiment d'isolement.
Soutien nécessaire : Ignorer ou minimiser le "subdrop" peut aggraver ces symptômes et avoir des conséquences durables sur la santé mentale d'une personne. Il est donc primordial d'offrir un soutien adapté, qu'il soit émotionnel, psychologique ou même physique, à ceux qui traversent cette période délicate.
Pour maintenir la confiance entre les partenaires :
Échange ouvert : Dans le contexte des relations BDSM, où la confiance est un pilier, la communication revêt une importance capitale. Les partenaires doivent être en mesure de discuter ouvertement de leurs ressentis, de leurs craintes et de leurs besoins.
Anticipation : Être conscient du potentiel de "subdrop" permet d'anticiper et de préparer la suite d'une session. Cela peut inclure des discussions préalables sur ce à quoi s'attendre et comment y faire face.
Prévention et gestion :
Mesures préventives : Bien que le "subdrop" ne puisse pas toujours être totalement évité, il est possible de mettre en place des stratégies pour en réduire l'impact. Cela peut inclure des techniques de relaxation, de méditation ou même des activités distrayantes.
L'importance de l'aftercare : L'aftercare, ou les soins post-session, est un élément essentiel pour aider à gérer le "subdrop". Il s'agit d'un moment dédié à la récupération, où les partenaires peuvent se reconnecter, discuter et s'assurer du bien-être de l'autre. Cela peut inclure des gestes simples comme se tenir la main, échanger des mots réconfortants ou partager une activité apaisante.
Le "subdrop" est un phénomène complexe qui mérite une attention toute particulière. En comprenant ses origines et ses implications, nous pouvons mieux soutenir ceux qui en font l'expérience.
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 23/09/2019 -> 31/03/2024 - 927 Vues)
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Quelques bons conseils, le BDSM n'étant pas qu'une question de pratiques et d'accessoires, il y a de nombreuses jouissances à vivre et encore plus d'excitation à prendre en ces lieux en lisant ces quelques lignes.
Mais d'abord, posons nous la question de savoir si vous êtes bien ici chez vous, et surtout dans la bonne catégorie de profil ! :
-> Vous vous sentez l'âme d'une Soumise, vous souhaitez satisfaire vos pulsions les plus intimes ou simplement vous épancher et vous exprimer dans votre désir de libido..
-> Vous n'avez qu'une seule hâte ; Vous livrez et vous abandonner dans la bestialité, la perversité et le dirigisme... que cela soit sur un coup de dé, ou que votre présentation soit des plus soignées. Vous souhaitez toujours avoir des membres attentifs à vos attentes et prêt à vous contenter.
-> Votre désir secret serait de vivre une relation durable avec un(e) Dominant/Domina teintée de vanille ou d'extrême ? Trois mots d'ordre ; Travail, discipline, et bon sens.
Et tout s'avère possible !
Conseils&Recommandations pour vous, nouvelle venue :
01 - Ceux/Celles qui vous suggèrent que le monde est petit et que la sécurité est primordiale, en vantant dans le même temps leurs paroisses dans un but commercial, de rabattage, de féminisme mal avisé, ou ma foi d'une justification de leurs expériences... sont nombreux sur les sites communautaires liés à la sexualité.
Au delà de les ignorer, rappelez-vous pourquoi vous êtes venue dans ce dernier bastion ; Le besoin d'assouvir dans le plaisir et le bien être.
Vous aviez un cerveau fonctionnel à vous protéger, bien avant d'arriver sur ce site non ?
Pour le reste : https://www.bdsm.fr/conditions/ ou encore https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32239
02 - Soyez "contributrices" ; Avoir de la visibilité, c'est bien... Contribuez dans votre passion BDSM, c'est mieux ! Poster sur le mur général vous permettra d'échanger plus facilement avec les membres.
Vous pourrez vous présenter et commenter sur ce que vous avez dans les tripes ou dans le cœur. Cependant, n'oubliez pas d'apporter ce qu'il y a de meilleur en vous, en prenant une part active sur le site ; Écrivez des articles, dévoilez votre vision personnelle à travers des photos et vidéos plus intimistes, ou tout simplement créez, animez ou participez à des événements autour du BDSM.
03 - Vous n'arrivez pas ou ne comprenez pas comment attirer des Dominants/Dominas et Maîtres/Maîtresses dignes de ce nom, et les seules approches que vous avez obtenues ont été décevantes ?
Prenez systématiquement en compte qu'ils n'en soient pas moins des hommes et des femmes derrière leurs écrans, et concentrez-vous à savoir ce qu'ils/elles les attirent, et ne rejoignez jamais les cercles de frustré(e)s avides d'utiliser votre fragilité pour une amertume qui n'est pas la votre.
Autant les Femmes Soumises sont très prisées, autant les Hommes/Femmes Dominants/Dominas sachant ce qu'ils font le sont encore plus. Alors démarquez-vous dans votre Soumission et faite preuve de créativité et de patience.
Bon séjour sur le site !
*Trait d'humour caché dans le titre de cet article.
Article non officiel, avec du bon sens, et donc indispensable comme un bon coup de martinet.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 28/04/2020 -> 20/04/2024 - 1438 Vues)
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Les femmes mariées ont-elles des prédispositions dans la Soumission ?
Qu'est-ce qu'une Femme Mariée dans son désir de sérénité, ses pulsions extrêmes, et sa volonté à s'épanouir dans une relation BDSM ?
Entre illusion et idéalisme, frustration et désir de consommation à outrance, à l'éveil de leurs pulsions, les femmes mariées convergent toutes vers les sites où la lubricité est Reine.
"Vers un dernier regain d'énergie, pour une jouissance se voulant libératrice" pourrait-on dire de celles-ci.
A travers un dossier décryptant certains profils de femmes, leurs façons de penser et de réagir par leurs pulsions qui les étreignent, et les répercussions de leurs actes sur leurs environnements..
Plongez dans un sujet des plus captivants, où le rêve a plus d'importance que l'objectivité, la débauche a plus d'importance que les responsabilités.
Et d'une vérité qui ne peut qu'éclater ; Leurs besoins de vouloir respirer à tout prix.
01 - A qui s'adresse cet article ?
Ironiquement, moins pour les femmes mariées que pour leurs partenaires de vie, ou d'un soir..
Cet article pouvant se révéler dur et anxiogène pour les femmes n'ayant jamais effectué un travail d'introspection (Voir nuisible dans leurs désirs de spontanéité à se donner pour le plaisir).
Il est plutôt recommandé pour les hommes en devenir, les "cocufiés", ou simplement les Dominants à la petite semaine ne comprenant pas les raisons de leurs ruptures avec ce type de femmes.
Même si il est extrêmement difficile de se définir en tant qu'être humain dans une société pré-établie, seul les travailleurs/ses y trouveront leurs comptes dans ces écrits et conserveront une certaine excitation dans leurs lectures.
Le but de celui-ci n'étant pas de se donner bonne conscience, mais de se donner les "clés" indispensables à la compréhension de ces femmes, afin d'identifier leurs bien être de leurs plaisirs, et leurs besoins de leurs envies.
02 - Quels sont les principaux profils de femmes mariées arpentant un site de BDSM ?
- La femme dite "Vanille".
- La femme dite "Débauchée".
- La femme dite "Masochiste".
- La femme dite "En relation BDSM".
- La femme dite "Vanille".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme dite "Vanille" a généralement une attitude constructive de communication dans son couple.
Mais ne sachant pas comment fonctionne l'homme, elle sera d'une nature à vouloir régler sa frustration sexuelle et émotionnelle de façon factuelle (Rationnelle) sans connaitre la façon de l’appréhender de par ses pulsions de femme qu'elle décidera sciemment d'ignorer.
Les échanges se révélant souvent infructueux avec leurs conjoints, elle aura d'autant plus de justification à rejoindre des groupes (Notamment créée par des ami(e)s extravertis), ou des communautés de sites "d'informations" sur les relations de couples.
Profitant de ces escapades sous le couvert de vouloir faire évoluer leur couple, c'est souvent dans ce cadre que les femmes "vanille" se découvrent le temps et l'excitation à explorer des pratiques jamais réalisées auparavant (Voir refoulées).
Il sera très difficile de faire la part des choses pour elle par la suite, oscillant entre son désir et son "travail" de faire revivre une continuité dans son couple, et l'ivresse de son appétit récemment découvert.
Elle échouera de façon ponctuelle sur des sites BDSM de part ses rêves d'un amant fougueux et charismatique, ou d'un homme façonné de toute pièce estampillé "50 nuances de Grey" (Personnage créé et commercialisé pour satisfaire les désirs utopique des femmes sans expérience, et ayant bien sûr un pouvoir d'achat).
- La femme dite "Débauchée".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme débauchée se veut sportive, créative et originale.
A la fois synonyme de sa volonté de dépenser son énergie, que pour sa capacité à vouloir "leurrer" l'autre de ses besoins constants hors-normes.
Ayant un fort désir sexuel et de fraicheur de vivre, sa relation de couple se sera basée essentiellement sur des hommes simples ayant eu juste le courage de les aborder.
Cependant, sachant sa lubricité latente, et prônant les concessions envers leurs conjoints pour contrebalancer sa libido se rapprochant à l'apogée de la Nymphomanie, elle n'aura aucune stratégie à long terme pour contrecarrer l'épuisement moral et physique de leurs partenaires.
Une routine s'installant de leurs "sens du service" contribuant à l’oisiveté de leurs conjoints, "qu'eux" attribueront à une "stabilité" de couple.
Un mensonge éhonté sur ses besoins extrêmes dès la création de leurs relations, qui l'a feront chavirer à 180 degrés, l’obsession et la satisfaction sexuelle d'un mâle passant maintenant avant toutes choses.
- La femme dite "Masochiste".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme Masochiste se veut cultivée, distinguée et marginale.
Ayant une approche emplie de volontariat et d'initiative envers son partenaire, ses pulsions l'a porteront vers un tempérament caractériel lorsque la moindre stabilité se fera sentir.
Comptant sur sa capacité à maintenir cette souffrance intérieure, elle n'aura de cesse pourtant de vouloir repousser les limites de leurs conjoints pour qu'il l'a stoppe, ou qu'il l'a touche de nouveau par les sentiments.
Cependant, il devient impossible pour son conjoint de la contenter, de son incapacité à appréhender le masochisme en elle, qu'il avait pris pour une forte personnalité dans les débuts de leurs idylles.
Sans-gène, et sachant pertinemment ses besoins perpétuels, elle n'hésitera pas à cumuler plusieurs partenaires pour se sustenter. L'excitation des actes étant plus important pour elles, que ceux qui les prodiguent.
- La femme dite "En relation BDSM".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme "En relation BDSM" s'évertue à légitimer ses choix.
Se voulant concrètement épanouie, elle voudra s'afficher auprès de son Dominant dans un tourbillon d'esthétisme et d'osmose véritable.
Libre d’apparence dans ses choix de vie, elle n'en n'est pas moins prisonnière d'une relation peu hétéroclite, où seul les sites extrêmes et un environnement averti, sont dans la capacité de témoigner de leurs complicités dans leurs pulsions.
Si la relation avec ce type de femmes est basé et limité à la préservation de leurs plaisirs extrêmes, elle en est aussi la fondation et le réconfort dans leurs couples.
Gravitant entre une désuétude à se renouveler, et l'obsession croissante à pouvoir se faire concurrencer/détrôner dans leurs idylles, elles se cherchent plus une voie à "immortaliser" leurs relations, qu'à la faire évoluer.
03 - D'où provient l'excitation d'une femme mariée ?
Une femme traverse plusieurs étapes naturelles dans son existence, qu'importe la société où elle évolue.
Elles les amènent à se confronter entre leurs choix d'évolution de femme, et leurs fonctions imposées (empiriques) par leurs corps.
En fonction de son éducation, de son environnement et de ses aspirations, elle sera amenée très tôt à faire d'elle-même des concessions de vie, plus ou moins bien vécues.
Cette limite définie sera précurseure de ses premières frustrations, et déterminera assurément dans le même temps son niveau d'excitation et de plaisir dans ses futures relations.
Sachant cela, il convient qu'il devient difficile et usant, à vouloir se tracer une "route" bien droite en tant que femme, mariée et mère, qu'importe sa volonté et ses actes.
(La citation que "La vie trouve toujours son chemin" suggère que celle-ci est d'ailleurs sinueuse, et qu'il est peut être une gageure de vouloir la rendre droite de son égo, à vouloir garder le contrôle de sa vie.)
Clairement, la femme compense plus pour son plaisir, qu'elle n'a d'exigence envers lui.
Ce qui me fait dire que plus elle travaillera à se donner un sens à sa vie, plus elle se donnera au plaisir pour lui échapper.
Une logique et non un paradoxe d'un corps adapté prêt à épouser la vie, et non un homme.
La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant.
https://www.bdsm.fr/blog/4897/o-nanisme-je-men-branle-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
https://www.bdsm.fr/blog/4212/mentalit%C3%A9-cum-slave-notions -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
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Par : ktycat35
un petit lexique des surprenantes rencontres virtuelles faites ici ou là !
cela fait deux ans que je me suis lancée dans cette drôle de recherche, de vivre une relation bdsm suivie avec un partenaire bienveillant, conscient de ses droits et de ses devoirs et pour lequel je serai prête à me livrer corps et âme . j'ai rencontré pas mal de personnes, virtuellement et réellement . beaucoup de ces échanges furent enrichissants, mais beaucoup d'autres furent juste con-sternants !
heureusement, il existe des gens biens, des doms aussi ;-)
mais de ces échanges avec ces autres, je voulais en parler, histoire de repartir dans cette recherche la tête un peu plus légère.
cet écrit est juste le fruit de mon expérience, elle ne vaut que pour moi, elle est aussi liée à ma sensibilité et ma recherche.
par avance je m'excuse si j'offusque quiconque ici dominant ou soumise.
si d'autres souhaitent compléter cet écrit, ma foi, j'en serai ravie
- le graveleux
en général, ce spécimen commence l'échange par un verbiage du genre "droit au but"
exemple : tu suces, tu avales, tu aimes te faire enculer .... (désolée, j'ai corrigé les fotes d'aurtografes !)
réaction épidermique (voir épidémique !) en ce qui me concerne, je leur renvoie leurs questions en ajoutant que j'adore fister le cul de mon dom avant une bonne séance, histoire de se mettre en condition
résultat : ils s'en vont, YES !!!!!
- les sûrs (quoique "sur") d'eux (deux)
au commencement : je suis maître bidule, je pratique depuis 15 ans, je recherche ma prochaine soumise , elle doit être un mouton de Panurge et en plus fermer sa gueule, merci (ah non, le merci, y peuvent pas le dire, ils sont trop haut perchés pour s'abaisser à de telles banalités d'usage
réaction : je suis désolée ô grand maître tout puissant, mais je ne pratique pas tel truc (pourtant, j'en pratique pas mal, mais bon !)
s'ensuit le "je suis un maitre, je sais ce qui est bon pour toi et je sais ce que je veux, dans la relation , blablabla, c'est moi qui décide et toi tu ouvres juste la bouche pour me sucer !
re réaction : ah ben non, je ne souhaite pas être une esclave et suis très attachée à mon libre arbitre et à ma liberté d'expression, en plus j'ai un léger côté brat, donc ton truc, j'en veux pas !
résultat : il s'en va , en m'expliquant que je loupe l'affaire du siècle et que je n'ai rien compris au bdsm ( ben voyons )
- les protocolaires, variante des sûrs d'eux
un préambule plutôt courtois, voire un chouïa rigide, mais agréable de prime abord
ils expliquent assez rapidement qu'il faut faire ceci ou cela, comme ceci et comme cela, que le vous est obligatoire, que le sérieux est de rigueur, qu'aucun manquement à la règle ne sera toléré, blablabla ....
moi de lui répondre en toute honnêteté que je suis plutôt de nature joyeuse spontanée et passionnée , que j'ai du mal avec le protocole et que je risque de ne pas m'y plier et d'enfreindre trop souvent les règles, ne sont elles pas progressives et adaptables ?
ah mais non mademoiselle, le protocole ne souffre aucun aménagement, c'est la toute puissance du sacro saint protocole et rien d'autre
résultat : c'est moi qui m'en vais ! merci au plaisir !
- les justes trop flingués dans leur life
là tout se passe bien, en général, un échange agréable, un premier rendez vous basique avec un être intelligent (nom d'une pipe, ça fait du bien) où l'on parle de tout et du bdsm
réponse j'en viens à accepter le premier vrai rendez vous et découvre alors que la situation est en effet très compliquée, un ex souminatrice encore très présente , un déprimé profond, voir viscérale, attachant mais too much pour moi (même si j'ai un côté soeur thérésa, si si au fond à droite ! ), un dark gothique ultra, archi torturé et torturant ....
résultat : ça se finit en queue de poisson parce que trop compliqué !
- les affamés
ils arrivent tout fraîchement inscrits sur le site et lancent quinze demandes d'amis , ils sont chaud bouillants, là tout de suite, maintenant puis disparaissent comme ils sont venus ! chouette, vous dites vous, eh ben, non, rien n'y fera de ceux là, on ne s'en défait pas, par la porte ou par la fenêtre, ils reviennent !
tout y passe, les grandes déclarations, les promesses, les propositions financières ...
cycliques ils repassent vous harceler régulièrement, ça les prend comme ça, ils ne vous lâchent pas
ma réponse : refusant de tchatter, je garde les mails , au moins, ça me permet de retrouver le fil des conversations (merci le site pour ça , c'est trop bien pour se rafraichir la mémoire !) et de renvoyer à mon correspondant sa chaleur précédente
- les hommes mariés
pour ceux là, j'ai une tendresse particulière
comprenons nous bien, qu'ils soient mariés, je m'en fous, ça n'est pas moi que ça regarde, c'est eux, mais qu'ils le dissimulent m'agace.
ils vous racontent assez facilement que le bdsm est un relation basée sur la confiance, qu'il est bon de se livrer à minima à l'autre, blablabla ....
et comme je suis un peu psychorigide du côté de l'honnêteté, ça m'agace.
résultat : ne pouvant me libérer que les weekends c'est assez vite vu, ça ne cadre pas bien avec leur vie maritale
merci de m'avoir lue jusqu'au bout
et toujours aux plaisirs
kty
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Par : soma06
CONFIANCE / RECIPROCITE / COMPLICITE / SENSUALITE :
1 CONFIANCE
Ce n'est pas anodin que de pratiquer une relation BDSM !
En premier lieu, le Soumis doit avoir une confiance aveugle envers son Maître, car il y a des risques à se laisser librement & volontairement dominer autant sensuellement, physiquement & sexuellement!
Le soumis peut en effet se retrouver dans une situation bien délicate où alors il lui sera impossible de demander une libération ou de pouvoir se libérer lui-même !
C'est déjà arrivé de trouver un soumis incapable de se libérer!
Le Maître doit également avoir une entière confiance avec celui qui a accepté de se livrer, une fois bien clairement établi les limites des deux complices bien réciproques!
J'ai pu ainsi me laisser entraver dans des lieux privés ou publics en toute confiance envers celui qui aimait ainsi voir mon corps offert et disponible en toute sérénité et confiance ! Je savais qu'il prenait du plaisir à me voir ainsi immobilisé autant que j'en prenais à me savoir à sa disposition !
2 RECIPROCITE :
Ce n'est guère évident de trouver une réelle réciprocité entre le soumis et son Dominant : j'avoue avoir eu le bonheur et la chance d'avoir pu expérimenter une réelle réciprocité avec deux de mes anciens Maîtres !
Je suis toujours venu chez mes Dominateurs sans crainte du risque de pouvoir me trouver dans une situation indésirable !
3 COMPLICITE :
Pas toujours sur de trouver une agréable complicité entre les deux partenaires complémentaires et pourtant bien opposés !
Quels bonheurs et plaisirs surement partagés de se savoir réellement complice de son dominateur !
Savoir et parfois voir que son Dominateur prend autant de plaisirs à Vous contraindre qu'il en à Vous dominer physiquement, sensuellement et sexuellement !
Avoir la possibilité de sentir son corps à la complète disposition d'un Maître qui est vraiment complice d'une relation Dominant-Dominé !
4 SENSUALITE :
Personnellement c'est un passage obligé : je n'entrevois guère une relation Domi/soumis sans une réelle sensualité !
Le Maître doit exercer une sensualité forte sans brutalité qui doit mener son soumis à une soumission réelle, non exclue d'une forte sensualité bien réelle!
Le Maître doit pouvoir parcourir l'ensemble du corps de son soumis sensuellement jusqu'à la limite du supportable sans devoir exercer une brutalité trop souvent inutile!
La Domination n'exclue pas la sensualité, bien au contraire : elle peut être d'une violence souvent plus efficace que la brutalité!
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Par : Parloire
Avant toute choses, je n’ai la prétention d’aucune vérités, ceci est ma pensée, mon D/s, mon metasexe, avec Linsoumise..
D/s’ment parlant, pour moi, au début, dès le début même, le lien était l’évidence, la clé du fonctionnement, du maintient et de l’équilibre. L’arcade commune pouvait alors supporter les fardeaux et explorations individuelles, fondements vers un metasexe amplifiant.
Bien que tous les actes ont un sens, individuellement parlant, il est fondamental de leur donner du sens au travers du Lien et de dévoiler l’intelligence organisatrice de ces actes.
Le lien alors, c’est ma possibilité de passer à l’acte pour « moi », au travers de l’autre. L’autre devenant l’objet d’investigation profonde à soi même, à moi-même..
En créant le lien à l’autre, j’allais pouvoir aller chercher mon centre véritable dans un transfert avec l’autre, mais sans m’inspirer ou me confronter à son image; j’allais l’utiliser en modelant sa réponse pour moi même, un vecteur physique, une réponse psychologique à mon individualisation. Mes inhibitions, mes pulsions ou mes phobies, résultant d’avantage d’une forme intelligente que d’un désordre, allaient donner le sens des actes, qui se teinteraient du Lien, matrice de passage de mon autonomie, de ma capacité à l’échange, vers ma réalisation individuelle au travers et à l’aide de l’autre. Être moi au travers d’un autre... les Psy vont me décapiter ^^
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L’autonomie des actes sans plonger dans la connexion à l’autre est pour moi, d’une pauvreté incroyable, égoïste, d’une dimension de surface, sans densité et sans finesse. Donner de l’épaisseur, de la densité aux actes, leur accorder une forme de dignité, sublimée par l’interprétation profonde et commune du Lien. Avec ses nuances infimes, ses subtilités, ses méandres, et le poids titanesque des flux émotionnels qu’il peut supporter, transcende le rapport D/s.
Mais avant de créer du lien avec l’autre, il faut se comprendre soi même, car l’on accorde plus de valeur, ce que l’on sent par soi même, que ce que l’on nous dit de croire, de faire ou d’être. Ces formes d’intoxications éducatives, il est important de les écarter et de désactiver sa propre image: Adhérer à une idée commune, imiter des leaders, suivre la voie du troupeau parasitant la perception du « soi » profond. On est seuls au fond, car nous sommes tous différents, et c’est sans doute cette peur de solitude qui nous pousse à essayer de convaincre que l’on a raison ou d’adhérer à ce que pensent les autres..individualisme d’exclusion ou collectivisme uniformisant entretiennent un état fusionnel artificiel écartant la rencontre pour défendre leur points de vues au détriment de l’accueil et la compréhension de l’autre. Finalement, écraser l’autre ou se laisser écraser par lui en détruisant la différence, détruit l’autre et nous laisse bien seul...
Ainsi le lien servirait à répondre aux interrogations de soi et de l’autre, s’appuyant sur des valeurs fondamentales:
Le Respect, prendre en considération, avec égards, honnêteté et décence, forme révérencieuse voire de vénération de soi même, de l’autre, du N/nous, des valeurs et éthiques défendues.
La Sincérité, en toutes circonstances, ne point mentir, ni dans la composition de l’ensemble, ni dans celle des moindres détails du Lien à construire.
La Transparence, offre des actes, des pensées et des sentiments faciles à comprendre, à deviner, d’être visible au travers de ce qui fera écran.
Dans la Durée, le mensonge devient insupportable; la continuité est essentielle car l’écoulement du temps, ne s’arrête pas.
La Cohérence, apporter une harmonie, un rapport logique, une absence de contradiction dans l’enchaînement des parties de ce tout, pour soi et pour l’autre. Et ce dans la durée.
Avoir le droit de se tromper en toute sincérité, transparence, et cohérence puis rétablir la chose sur la nouvelle vérité dans le respect de soi même, de l’autre...
A ce point précis, le lien est créé, il est solide, il est fort des deux individus ayant éprouvé ce lien :
Exploration de soi
Exploration de soi à travers l’autre.
Il devient alors logique et motivant d’explorer par l’amplifications des variables intimes (du soi et du soi par l’autre) en créant une dynamique émotionnelle libérant l’espace de conscience du soi et de l’autre en même temps, établissant une dimension sexuelle commune: le meta sexe.
Outre ce qui retient l’animal, enchaîne ou ligote ma prisonnière, le lien, c’est le point essentiel dont dépend l’existence et l’équilibre de la relation D/s. Bien plus que la connexion physique ou amoureuse de deux individus, c’est l’articulation fondamentale entre les individus vers leurs meta-sexe. Le lien unit ici deux personnes, il établit entre elles des relations , les met en rapport; le rapport tel qu’il est perçu par l’esprit. Il pousse à échapper au temps, au mode des apparences multiples, pour permettre de saisir enfin, l’absolu et l’unité dans cette dimension ... meta-sexuelle.
Pensée au Parloire pour ma muse.
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Par : Comte de Noirceuil
Madame Domine : Que faire avec son soumis ?
Bon nombre de questions reviennent suite à votre lecture de l’article « Madame Domine ». Une partie des réponses se trouvent sur l’article suivant « Madame Domine 2 ». Quelques clefs certes pour différencier le type de punitions, châtiments, etc. D’autres questions comme « Quelles positions pour le soumis ? », « Quels mots/insultes pour le soumis ? » Plus globalement, une fois que vous avez pris en compte la tenue, les accessoires, etc…Que fait-on ?
Premièrement, en discuter avec le soumis. Je le répète à chaque article, mais il faut définir quelles sont les limites de celui-ci, mais aussi, jusqu’où notre nouvelle domina est prête à aller pour satisfaire son plaisir et celui de son homme ?
Il est nécessaire d’avoir le mot respect par rapport aux désirs de l’un et l’autre et d’être dans une totale confiance.
Dans un premier temps, vous avez défini votre « Safeword ». Le mot que le soumis à choisit pour dire « on arrête ». Le mot clé pour dire cela va trop loin.
Ne perdez pas de vue que votre soumis doit vous vouvoyer et vous remercier pour chaque acte que vous ferez (même une punition) De même qu’il est là pour votre plaisir, le sien sera de vous servir et peut-être d’en avoir (sexuellement) s’il le mérite.
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/quand-madame-domine-part-3/
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Par : #
Je t’attends, comme à mon habitude devant la porte d’entrée. Il est à peine 18h15 et tu n’arrives uniquement à 18h30. Je suis impatiente de te retrouver mon maître adoré, mon corps entier rentre dans le désir les plus charnel. Je me mets un coussin sous les genoux, et me mais a quatre pattes comme tu aimes, avec le collier sur le cou, et la laisses dans la bouche. Je me répète sans cesse les règles que tu ma fais apprendre.
• « Toujours attendre le maître devant la porte avants qu’il n’arrive. »
• « Ne jamais regarder le maître dans les yeux. »
• « Ne jamais parler sans en avoir l’autorisation donnée. »
• « Toujours avoir les yeux baissés quand le maître nous regarde. »
• « Toutes les punitions, j’accepterais sans broncher. »
• « A chaque punition, je remercierais le maître de ce plaisir. »
• « Au plaisir du maître, je me plierais. »
Il est l’heure, je vous entends arriver devant le hall d’entrée, j’écarte mieux les jambes pour vous montrer à quel point je vous et désiré. Vous ouvrez la porte et prenez un ton plutôt sec à mon égard, je comprends alors que je n’allais moins faire la fière. Vous tourner aux tours de moi, palper mes fesses avec envie, et prenez bien le temps de vérifier à quel point mon vagin, c’est humidifier pendant que je pensée a vous.
« Tourne-toi, dépêche-toi ma chienne. » M’ordonna le maître.
J’acquis en baisant la tête et les yeux, tout en me tournant vers vous. Vous me prenez la laisse, et vous l’attachassiez à mon collier, que vous prenez soin de bien resserrer. Vous me faites marcher à quatre pattes jusqu’à la chambre, ou vous avez disposer tout les jouet dans le placard bien fermer pour que la petite soumise que je suis ne puisse y accéder. Je vous attends assise les fesses sur les talons, pendant que vous ouvrez le placard pour prendre la cravache en cuir que vous adorez tant.
« Cambre-toi, que j’admire t’es fesses rosir sous mes coups. » M’ordonna le maître.
Je me cambre donc bien, le visage touchant le parquet les fesses relever pour vous mon maître, j’attends avec désire tous vos coups, je prends plaisir à compter comme vous l’aimais le nombre de fois ou la cravache rebondie sur mes fesses. Ce que vous voulez sait me marquer, j’adore ça quand le maître me marque de son envie. Je sens mes fesses chauffer sous la cravache, vous riais et prenez un malin plaisir à m’entendre beugler de plaisir.
« Tu aimes ça ma chienne, dit le que tu aimes ça. » M’ordonnât le maître.
« J’aime ça maître, merci maître de me donner tant de bien » rebondi-je.
Vous me faites me relever pour monter sur le lit, ou vous me mettais le baillons en cercle, pour que vous puissiez insérer votre doux membre au fond de ma gorge. Vous savez que j’aime ça et ne vous retenez pas, plus je bave et plus vous aimer mon maître, que j’aime me voir à votre service. Vous prenez mes cheveux et les attacher, pour mieux les agripper, de façon a ce que mon visage balance bien le long de vôtre verge. Je deviens de plus en plus excitée, et ma cyprine commence a humidifier l’intérieur de mes cuisses.
« Tourne toi, que j’admire ton sexe remplie de mouille a mon égard. » M’ordonna le maître.
Je me tourne et montrai avec les jambes bien écarté à mon maître a quel point lui servir étais pour moi un plaisir fou et exquis. Je sens les doigts du mètre caresser les contours de mon vagin, pour aller directement aux grandes lèvres pour remonter jusqu’à mon joli bourgeon gonflé de plaisir. Je sens votre doigt le titiller de droite à gauche et de haut en bas ce qui me fait mouiller encore plus. Le maître fait des mouvements de plus en plus vite et je gémis de plus belle.
« Ta gueule, et écarte donc plus t’es cuisse. » M’ordonna le maître.
Je le fis aussitôt dit, il me met le vibro coller au clitoris attaché d’un scotch bien adhésif, avants de rentrée bien au fond de mon vagin, vous agrippez mes cheveux pour me cambrer de plus belle. J’entends vos testicules claquer contre moi, vous me donnez des fessées en même temps, vous adorez quand je gémis de plus en plus fort sous le rythme de son sexe.
« Je te sens jouir sur ma queue salope, je vais donc te remplir la chatte. » Me dit-il.
Effectivement, mes parois vaginales ce serré contre sa verge, alors que mon corps tremblé du plaisir qu’il me donnait. Mes yeux tournent de plaisir, et je sens le maître ce vidé a l’intérieur de mon vagin, puis le maître se retira pour en faire couler sa semence.
« Merci maître pour tout ce plaisir que vous m’avez apporté. » Dit-je.
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Je préviens, avants d'avoir un masse de critique concernant l’orthographe.
Que je suis Dyslexique et fait donc déjà de mon mieux.
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