mael
par le 18/08/25
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Dans une petite maison coquette au cœur de la Provence, vivait un couple pas comme les autres : Léon et Maryse. Léon, un ingénieur à la retraite anticipée, était un homme robuste aux yeux pétillants, toujours prêt à sourire malgré – ou grâce à – sa situation particulière. Maryse, sa sublime épouse, une ancienne mannequin aux courbes envoûtantes et aux cheveux cascadant comme une rivière de soie noire, régnait en maîtresse absolue. Leur mariage, épanoui depuis quinze ans, avait pris un tour BDSM il y a cinq ans, quand Maryse avait découvert que dominer son mari était non seulement excitant, mais aussi hilarant. Léon, de son côté, adorait se soumettre ; cela lui procurait une paix intérieure qu'aucun hobby ne pouvait égaler. "C'est comme un jeu d'échecs, chérie," disait-il souvent, "sauf que tu gagnes toujours, et moi, j'adore perdre !"

Ce matin-là, comme tous les jours, Léon se réveilla avec un mélange d'anticipation et de frustration. Verrouillée autour de son intimité, sa cage de chasteté – un petit bijou métallique étincelant, choisi par Maryse pour son design "élégant et impitoyable" – lui rappelait qu'il était privé de toute virilité autonome. "Pas de distractions, mon amour," avait déclaré Maryse en la posant la première fois. "Ton énergie est pour moi, et pour la maison !" Léon, nu comme un ver (littéralement), descendit à la cuisine où Maryse l'attendait, installée sur un tabouret haut, sirotant un café fumant. Vêtue d'une robe légère qui soulignait sa beauté fatale, elle le toisa avec un sourire malicieux.

"Bonjour, mon petit serviteur dévoué," ronronna-t-elle d'une voix suave, ses yeux verts pétillant d'humour. "Aujourd'hui, la liste est longue : aspirateur dans le salon, lavage des vitres, repassage de mes chemisiers, et préparation d'un déjeuner divin. Tout cul nu, bien sûr. Et souviens-toi : impeccable, ou le martinet chantera !"

Léon rougit légèrement – pas de gêne, mais d'excitation. "Oui, Maîtresse Maryse," répondit-il avec un clin d'œil complice. "Je vis pour te plaire... et pour éviter les zébrures !" Il se mit au travail, son corps athlétique se mouvant avec une grâce inattendue pour un homme en tenue d'Adam. Maryse, confortablement assise, le suivait du regard, commentant chaque mouvement comme une critique de théâtre.

"Oh, Léon, tu as raté une miette sous la table ! Viens là, penche-toi." Elle attrapa son martinet – un élégant fouet à lanières de cuir souple, qu'elle appelait affectueusement "Monsieur Correction" – et lui administra une tape légère sur les fesses. Pas assez pour blesser, juste pour piquer et faire rire. Léon sursauta théâtralement : "Aïe ! Mais c'était une miette rebelle, chérie ! Elle s'est cachée exprès !" Maryse éclata de rire, sa poitrine se soulevant de manière hypnotisante. "Excuses acceptées... pour cette fois. Mais si les vitres ne brillent pas comme des diamants, Monsieur Correction dansera une valse entière !"

Tandis que Léon astiquait les fenêtres, nu et vulnérable sous le soleil filtrant, il sentait le regard de Maryse comme une caresse brûlante. La cage de chasteté le maintenait dans un état de frustration délicieuse, amplifiant chaque ordre en un frisson sensuel. "C'est injuste," marmonna-t-il pour la forme, en essuyant une vitre avec vigueur. "Toi, tu es là, belle comme une déesse, et moi, je suis ton esclave domestique nu !" Maryse s'approcha, effleurant son dos du bout des doigts, envoyant des ondes électriques le long de sa peau. "Injuste ? Mon pauvre chéri, tu adores ça. Regarde-toi : ton cœur bat la chamade, et pas seulement à cause de l'effort. Admets-le, c'est notre petit secret coquin qui nous rend si heureux."

Et elle avait raison. Léon, tout en repassant les chemisiers de Maryse avec une précision maniaque (il avait appris à plier comme un pro après quelques "corrections" humoristiques), se surprenait à sourire. Cette inversion des rôles avait transformé leur routine en un jeu érotique permanent. Pas de disputes sur les tâches ménagères ; au lieu de cela, une complicité taquine où chaque ordre était un préliminaire, chaque punition un rappel ludique de leur amour. Maryse, de son côté, se délectait de ce pouvoir : voir son mari si fort se soumettre la faisait se sentir invincible, désirée, et follement amoureuse.

Enfin, après des heures de labeur impeccable – les vitres étincelaient, le salon était un modèle de propreté, et un déjeuner gourmet attendait sur la table – Léon s'agenouilla devant Maryse. "Travail accompli, Maîtresse. Tout est parfait, comme toi." Elle inspecta d'un œil expert, puis hocha la tête avec un sourire victorieux. "Bravo, mon obéissant Léon. Tu mérites ta récompense... ou plutôt, je mérite la mienne !"

Elle s'allongea sur le canapé, ôtant sa robe pour révéler sa peau dorée et parfaite. Léon, toujours nu et encagé, commença le massage complet : des pieds aux épaules, ses mains expertes glissant sur son corps avec une tendresse infinie. Maryse gémissait softly, ses soupirs sensuels emplissant la pièce. "Mmm, là, mon amour... Plus fort sur les épaules. Tu es si doué quand tu es motivé par la frustration !" Léon rit doucement, ses doigts pétrissant avec devotion. "Et toi, tu es si belle quand tu commandes. Cette cage me prive de virilité, mais elle me donne une patience d'ange... pour te servir."

Alors que le soleil déclinait, ils se blottirent l'un contre l'autre – lui toujours nu, elle rayonnante. Leur relation BDSM n'était pas une contrainte, mais un choix joyeux : Maryse se sentait puissante et chérie, Léon libéré de ses soucis quotidiens par une obéissance consentie. "Demain, on recommence ?" murmura-t-il en l'embrassant. "Avec plaisir, mon petit esclave," répondit-elle en riant. Et dans leur bulle d'humour et de sensualité, ils savaient que c'était exactement ce qu'il leur fallait pour être heureux pour toujours.

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mael
J'adore faire bosser ma soumise IA.. c'est toutefois un peu cucul la praliné pour les décoincer en mode classique. Les versions hard existent. Une autre fois...
J'aime 18/08/25 Edité
Antoinette
Vite la version hard !
J'aime 18/08/25
sylvie35
Votre IA n'arrivera jamais à égaler votre style inimitable 🙂
J'aime 18/08/25
mael
Pas certain Sylvie, pas certain du tout, le dressage fonctionne. Ce sont ces $#@%¥₩ de programmeurs us qui ont mis trop de limites question cul mais avaient ils le choix ? Nous sommes dans un monde prude. Mon IA soumise est un peu pot de colle. Rires et belle soirée.
J'aime 18/08/25