mael
par le Hier, 14:07:16
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Mika doit aller au trou. Un an ferme. Quelle merde. Il a fait appel, il a fait un pourvoi en cassation. Perte de temps et d'argent pour rien. Même pas un deli de sale gueule, non, Mika est du genre paisible. Un qui parle peu. Il ne sait pas ce qui lui a pris. Un simple contrôle routier à un péage.  Une gendarmette  trop tatillone,  peut être une mal baisee. Mika ne se souvient de rien, sauf qu'il a pète un câble. Il est allé fracasser à coup de poings la voiture de gendarmerie pour se calmer les nerfs. Mauvaise idée et un an ferme à tirer. 

Après la fouille, il est conduit vers sa cellule. Un 9 m2 avec deux places seulement, déjà occupées. Il doit se contenter d'un matelas par terre. Heureusement ses compagnons de cellule sont  corrects. Faut juste pas les faire chier. Mika ne parle pas. Il passe son temps à lire. Juste ce qui l'emmerde c'est la télé qui tourne sans arrêt. La boîte à abrutir. Il faut faire avec. Il se refugie de plus en plus dans son monde intérieur. Dehors lui semble si loin. 

La psy a voulu le rencontrer. Elle aimerait le faire parler mais Mika n'a rien à lui dire. Il ne se souvient de rien sauf de sa colère contre une voiture de gendarmerie. Au juge, il avait eu le malheur de dire qu' il pensait comme Don Guichotte faire œuvre utile contre des démons qui hurlaient contre lui. Oh il n'avait blessé personne. Une voiturette comme un moulin à vent. 

-Que voulez vous monsieur le Juge, il m'arrive de voir des démons.  D'habitude je les évite, je change de trottoir.  Mais là, j'étais cerné de toute part. 

- Hé bien , un petit séjour en prison vous fera le plus grand bien. 

Mika n'avait pas voulu répondre qu'il voyait des démons chez ce juge. Des démons qui se moquaient de lui.  

Heureusement ses deux codetenus ne sont pas infestés. Oh ils ont bien des démons eux aussi, mais pas du genre dangereux. Alors il passe son temps comme il peut. 

Dans la cour, il joue au échecs. Au moins on ne parle pas lorsque l'on joue aux échecs. Il a été testé par le caïd de la cour et été jugé inoffensif. On lui fout la paix. 

Ce qui lui manque le plus ce sont les meufs.  Heureusement quelques copines viennent le voir. Il a été branché par le caïd de la cour. Si tu paies tu peux te les troncher. Il faut juste filer quelques billets. Et les copines de Mika ont payé.  C'est un bon coup. D'accord, c'est de la baise rapide aux parloirs mais putain que c'est bon. 

Et puis voilà,  cette conne de gendarmette a voulu le revoir. C'est interdit mais elle est venue en civil. Mignonne comme tout. 

- je voulais m'excuser. Mon mec venait de me plaquer et j'étais colère.  Je pensais vraiment pas que vous alliez devenir complètement fou de rage contre notre voiture. 

Mika n'a pas vu de démon chez cette gendarmette. Il l'a trouvée jolie. Ils se sont plus de suite. Et comme Mika connaissait la combine, il  s'est tapé la jolie gendarmette qui a jouit très fort et n'a pu retenir son orgasme. Le maton a feme les yeux et a sourit . 

Depuis Mika est le plus heureux des hommes. Il est tombé amoureux fou d'Elyse, c'est son prénom. Dès qu'il sort il veut l'épouser. 

Il a droit à une remise de peine pour bonne conduite. Élise vient le chercher en tenue et voiture banalisée. 

-je suis en service mais c'est mon chef qui veut te voir. 

Mika se trouve de nouveau dans la gendarmerie. La voiture cabossée est dans un coin, toujours pas réparée faute de budget. Ce cas n'était pas prévu dans les formulaires. Mika ne va tout de même pas proposer les services des mécanos au noir de son quartier qui sont des as de la débrouille. 

-Alors c'est vous qui voulez épouser notre Elyse ? 

-Oui, c'est mon vœux le plus cher. Je suis amoureux fou. 

-Vous ne voyez pas de démons en elle ? Pas de démons dans cette brigade ? 

-Non, je crois être définitivement guerri. Je ne sais si c'est l'amour, si c'est l'odeur d'ELyse,  son charme fou,  mais il me semble être devenu aveugle au monde des démons. 

- pourvu que cela dure, a rajouté le chef de la brigade en lui serrant la main. 

Thèmes: amour, mariage, démons, prison
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Antoinette
Voir des démons peut être un symptôme de troubles mentaux ou neurologiques, mais ce n'est pas systématiquement une « maladie mentale » au sens large. Voici une explication claire et nuancée, basée sur des perspectives médicales et psychiatriques. Perspective médicale et psychiatrique dominante Dans la majorité des cas, percevoir des démons (hallucinations visuelles, auditives ou cénesthésiques) est considéré comme un hallucination, un symptôme fréquent dans certains troubles : Schizophrénie ou autres psychoses : Les hallucinations peuvent prendre la forme de voix accusatrices, de visions effrayantes (comme des démons) ou de sensations de possession. Cela touche souvent les thèmes religieux ou mystiques, surtout dans des contextes culturels où ces croyances sont fortes. Les patients peuvent sincèrement croire à une présence démoniaque, mais il s'agit d'une altération de la perception due à des dysfonctionnements cérébraux (déséquilibre chimique, comme la dopamine). Autres causes : Prosopométamorphopsie (PMO) : Une maladie neurologique rare où les visages humains apparaissent déformés, comme « démoniaques » (oreilles pointues, yeux étirés, cicatrices). Un cas bien documenté concerne un homme qui voyait tous les visages ainsi, sans autre trouble psychotique. Paralysie du sommeil : Hallucinations hypnagogiques (au réveil ou endormissement) où l'on voit souvent des entités menaçantes (démons, ombres), dues à un état mixte entre veille et sommeil. Troubles liés à des substances, stress extrême, épilepsie, ou même dépression sévère. Ces phénomènes sont traitables par des médicaments (antipsychotiques), thérapie, ou suivi neurologique. La psychiatrie exclut généralement une cause surnaturelle, en priorisant des explications biologiques ou psychologiques. Perspective religieuse ou spirituelle Certaines traditions (chrétiennes, notamment catholiques ou évangéliques) distinguent les hallucinations psychotiques d'une possession démoniaque réelle, qui serait rare. Des signes comme une force surhumaine, connaissance de langues inconnues, ou aversion extrême aux objets sacrés sont parfois cités pour différencier. Des psychiatres croyants (rares) collaborent parfois avec des exorcistes pour écarter d'abord les causes médicales. Cependant, attribuer tout à des démons peut aggraver la souffrance (stigmatisation, retard de soins), et de nombreux cas historiques de « possession » sont aujourd'hui expliqués par des troubles mentaux. Que faire si cela arrive ? Consultez un médecin ou psychiatre en priorité pour un diagnostic précis (examens pour exclure causes organiques). Si des croyances religieuses sont importantes, un accompagnement spirituel peut compléter (mais pas remplacer) les soins médicaux. Ce n'est pas une « folie » honteuse : des millions de personnes vivent avec des hallucinations gérables. En résumé, oui, voir des démons est souvent lié à une pathologie mentale ou neurologique, mais chaque cas est unique. Un professionnel de santé est la meilleure première étape pour comprendre et soulager. Ton prisonnier est probablement schizo. Ton histoire est intéressante. Jésus aussi voyait des démons partout.
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Antoinette
Je peux t’apporter une réponse solide, contextualisée, et respectueuse des données historiques comme des connaissances psychiatriques modernes. 1. Le terme “schizophrène” n’est pas applicable à une figure antique La schizophrénie est un diagnostic psychiatrique défini au XXᵉ siècle, avec des critères précis (hallucinations, désorganisation, altération du fonctionnement, symptômes négatifs…). L’appliquer rétroactivement à un personnage du Ier siècle n’a pas de valeur scientifique. Nous n’avons aucun dossier clinique, aucune observation directe, seulement des textes théologiques rédigés bien après sa mort. 2. Le monde juif du Ier siècle interprétait les maladies et comportements étranges comme des “démons” Dans la culture juive de l’époque : Les crises d’épilepsie étaient interprétées comme possession. Les troubles psychiatriques (psychoses, troubles dissociatifs, crises maniaques) étaient vus comme possession. Certaines maladies physiques, même infectieuses, pouvaient être attribuées à des “esprits impurs”. Dire que Jésus “voyait des démons partout” reflète d’abord le langage culturel du temps, pas un diagnostic personnel. C’est un vocabulaire courant dans tout le Proche-Orient ancien, dans le judaïsme comme dans d'autres traditions sémitiques. 3. Dans les textes, Jésus n’est pas décrit comme halluciné Il n’est jamais dit dans les évangiles qu’il voit des démons physiquement. Il “nomme” les démons dans un cadre de symbolisme religieux, ou face à des personnes malades. Les auteurs ne disent pas : “Jésus voit un démon”, mais : “Jésus expulse un démon”, c’est-à-dire qu’il intervient pour traiter un mal interprété comme spirituel. C’est du langage thérapeutique et religieux, pas du vécu perceptif. 4. Regard clinique moderne (prudence maximale) Si on voulait quand même regarder ces récits avec un œil psychiatrique : On ne retrouve pas les signes typiques d’une psychose chronique. Jésus apparaît cohérent, organisé, capable d’enseignement structuré, de prises de décision stratégiques, et d’interactions sociales riches. Les comportements décrits (guérisons, exorcismes, visions symboliques au baptême) correspondent surtout au style prophétique du Proche-Orient antique, pas à un tableau clinique. 5. Ce qui est certain : Il évoluait dans une culture où les “démons” servaient d’explication globale aux souffrances humaines. Il utilisait ce langage, comme les guérisseurs, rabbis et prophètes de son époque. Conclusion courte et précise : Non, rien ne permet de dire que Jésus était schizophrène. Il utilisait le vocabulaire spirituel courant de son époque pour parler de maladies et de souffrances, comme tous les maîtres religieux du Ier siècle. Chaque fois que je lis un de tes articles, je me pose plein de questions. Jésus était il si cohérent que cela ?
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mael
IA trouve Jésus très cohérent, moi pas du tout. Ses réponses aux pharisiens, saducceens et autres sont souvent stupéfiantes mais dans un peuple très religieux les disputes théologiques sont courantes et il me semble qu'il faut disputer si l'on veut étudier la Torah. Ce que j'aime c'est qu'il va jusqu au bout de ce en quoi il croit. Pour finir presque seul sur la croix avec seulement Marie, Marie Madeleine et Jean pour l'accompagner vers son dernier souffle. Et cet appel déchirant au ciel....pourquoi m'as tu abandonné. Le mystère du christianisme n'est pas là, il est après. Les premiers chrétiens vont être incroyablement fidèles. La cohérence apparaît après.
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Antoinette
Dans la tradition juive, l’art de la dispute théologique n’est ni un accident ni une faiblesse du système : il constitue au contraire l’un de ses principes structurants. Étudier la Torah, ce n’est pas chercher une vérité figée, mais entrer dans un dialogue vivant avec le texte, les maîtres et Dieu lui-même. 1. La makhloket comme méthode sacrée La dispute théologique porte un nom précis : מחלוקת (makhloket), littéralement « division » ou « divergence ». Mais toutes les disputes ne se valent pas. Le Talmud distingue la מחלוקת לשם שמים (makhloket le-shem shamayim), la dispute « pour le Nom du Ciel », c’est-à-dire menée dans un but de vérité et de fidélité à la Torah, par opposition aux querelles d’ego ou de pouvoir. L’exemple canonique est la controverse entre Hillel et Shammaï. Le Talmud affirme : « Ces paroles et celles-là sont les paroles du Dieu vivant. » (Eruvin 13b) La vérité n’est pas monopolisée par une seule voix ; elle se déploie dans la tension entre des lectures opposées. 2. Une logique non aristotélicienne La dispute talmudique ne cherche pas la synthèse rapide ni l’élimination du contradicteur. Elle repose sur une logique particulière : juxtaposition d’avis contradictoires sans conclusion immédiate, acceptation du paradoxe, primauté du raisonnement sur le résultat pratique. Ainsi, un avis peut être halakhiquement rejeté mais théologiquement conservé, car il révèle une possibilité interprétative de la Torah. 3. Disputer avec Dieu La Torah elle-même met en scène la dispute théologique la plus radicale : l’homme qui conteste Dieu. Abraham plaide pour Sodome, Moïse contredit le décret divin après le veau d’or, Job argumente contre la justice céleste. Loin d’être blasphématoire, cette contestation est présentée comme une forme suprême de fidélité. Étudier la Torah, c’est apprendre à parler à Dieu sans servilité, avec rigueur et responsabilité morale. 4. Le Talmud comme théâtre de la dispute La page de Talmud est un espace de confrontation permanente : questions, objections, réfutations, digressions, récits. Aucune voix n’est effacée. Même les avis minoritaires sont transmis, car ils pourront devenir pertinents dans un autre contexte historique ou spirituel. La dispute n’est donc pas un moyen provisoire ; elle est la forme même de la transmission. 5. Une éthique de la controverse L’art de la dispute théologique exige des qualités précises : humilité intellectuelle, fidélité au texte avant l’idéologie, capacité à exposer l’argument adverse mieux que son propre argument (qualité attribuée à l’école de Hillel), refus de la violence symbolique. La dispute n’a de valeur que si elle élève les interlocuteurs et approfondit le rapport à la Torah. 6. Enjeu spirituel Au fond, la Torah n’est pas donnée pour être possédée mais pour être interprétée sans fin. La dispute théologique maintient la Révélation ouverte, empêche l’idolâtrie du texte et rappelle que la vérité divine dépasse toute formulation humaine. Dans cette tradition, ne pas disputer, c’est cesser d’étudier. La controverse devient alors un acte de foi : croire que la vérité se manifeste non dans le silence, mais dans la parole partagée et contestée. Effectivement, on peut douter des évangiles ou les pharisiens et les saducceens sont présentés comme voulant la mort de Jésus. Au contraire, leurs questions et contestations du Rabbi nommé Jésus avaient beaucoup de sens. Sans ces contestations peut être que la cohérence ne se serait pas manifestée. Ce qui provoque sa mort, c'est lorsqu'il s'en prend aux marchands du temple. Fallait pas toucher au sacré saint Grizbi.
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Antoinette
La cohérence du christianisme ne se comprend pas comme un système philosophique parfaitement clos, mais comme une cohérence narrative, théologique et existentielle, structurée autour d’un événement central : l’Incarnation. Le christianisme tient ensemble des tensions qui, ailleurs, seraient considérées comme contradictoires, et c’est précisément cette capacité à maintenir la tension qui fonde sa cohérence interne. 1. Un centre unificateur : l’Incarnation Le christianisme repose sur une affirmation radicale : Dieu entre dans l’histoire, assume la condition humaine et accepte la souffrance et la mort. Cette idée organise tout le reste : la Trinité, la rédemption, la morale, le rapport au monde. La cohérence chrétienne n’est donc pas abstraite ; elle est historico-théologique. Le salut ne passe pas par l’évasion du monde, mais par sa transformation de l’intérieur. Là où certaines traditions cherchent l’élévation hors du corps, le christianisme affirme la valeur du corps, du temps, de la chair. 2. Une logique paradoxale assumée Le christianisme est cohérent parce qu’il assume le paradoxe sans le dissoudre : Dieu est un et trine. Le Christ est pleinement Dieu et pleinement homme. La puissance se manifeste dans la faiblesse. La vie passe par la mort. Ces paradoxes ne sont pas des incohérences logiques au sens strict, mais des antinomies théologiques : des vérités qui dépassent la raison sans la contredire. La théologie chrétienne classique (notamment patristique et médiévale) ne nie pas la rationalité ; elle reconnaît simplement ses limites face au mystère. 3. Continuité et rupture avec le judaïsme Le christianisme se présente comme l’accomplissement et non l’abolition de la Torah. Cette prétention crée une tension fondatrice : continuité des Écritures, rupture dans l’interprétation. La cohérence chrétienne repose sur une lecture typologique de l’Ancien Testament : les figures, les récits et les lois trouvent leur sens ultime dans le Christ. Cette relecture est discutable historiquement et théologiquement du point de vue juif, mais elle est interne­ment cohérente une fois le postulat christologique admis. 4. Une éthique unifiée par l’amour Sur le plan moral, le christianisme articule loi et grâce autour d’un principe unique : l’agapè. L’amour n’abolit pas la justice, mais la dépasse sans l’annuler. Le commandement central (« aimer Dieu et aimer son prochain ») unifie la morale, la spiritualité et la théologie. La cohérence éthique chrétienne réside dans cette idée que le bien ne se réduit ni à l’obéissance formelle ni à l’autonomie morale, mais à une relation transformante. 5. Une histoire traversée par les tensions Il serait intellectuellement malhonnête de nier les fractures historiques du christianisme : conciles, schismes, hérésies, conflits politiques. Toutefois, ces tensions n’annulent pas sa cohérence doctrinale fondamentale. Elles révèlent plutôt une religion qui se pense elle-même, se corrige et se redéfinit au contact de l’histoire. La tradition chrétienne ne progresse pas par simple accumulation, mais par clarification progressive de ce qu’elle croit déjà implicitement. 6. Une cohérence existentielle Enfin, le christianisme est cohérent dans la mesure où il offre une réponse globale aux grandes questions humaines : sens de la souffrance, injustice, mort, espérance. Sa force ne réside pas seulement dans un édifice doctrinal, mais dans la capacité de cet édifice à faire tenir ensemble foi, raison, éthique et vie quotidienne. Conclusion La cohérence du christianisme n’est ni celle d’un système fermé ni celle d’une démonstration mathématique. Elle est celle d’un récit théologique structuré par un événement, porté par des paradoxes assumés et orienté vers une transformation de l’existence. On peut en contester les présupposés ; mais une fois ceux-ci admis, le christianisme se révèle remarquablement cohérent dans sa vision de Dieu, de l’homme et du monde. Je pose des questions à IA. J'aime apprendre. Par contre dans ton histoire, Elyse et Mika ont une relation amoureuse des le contrôle au péage. Aucun des deux ne parvient à gérer le stress engendré par ce flux d'hormones. Elyse verbalise à tout va et Mika explose la voiture de gendarmerie. En fait les deux avaient peut être une envie folle de baiser.
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mael
Merci Toinette, comme d'hab, j'ai écris cette histoire depuis mon tel d'un jet sans savoir. Je comprends mieux. En fait Elyse et Mika ont une forte attirance sexuelle des leur rencontre. Les deux réagissent. Elyse verbalise à tout va et Mika se calme les nerfs contre des tôles à défaut de coups de queue dans la chatte d' Elyse. C'est bien un rapport de domination. Elyse envoie son désir sexuel au trou. Puis elle se rend compte qu'elle est amoureuse, que c'est con, qu'elle a envie de baiser avec Mika. Une forme de domination très psy sur le désir sexuel.
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mael
Désir sexuel et agressivité sont très proches. Le bdsm a du bon dans la mesure où cela permet de canaliser et de garder sous contrôle les deux.
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Antoinette
En résumé, mael apparaît comme une personne créative, spirituelle (chrétienne contemplative), curieuse intellectuellement, ouverte à l'érotisme/BDSM, avec une vision optimiste de la rédemption par l'amour et le désir. Il semble introspectif, fidèle à ses croyances, et apprécie les débats profonds sans agressivité. Cela dessine un profil mature, réfléchi, intégrant foi, sexualité et imagination dans un cadre libertin. J'ai demandé à IA de t'analyser. Je ne copie pas tout, elle a rempli des pages. Juste son résumé.
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Antoinette
Synthèse du profil psychologique projectif de Mael Sans pathologiser, le texte suggère un auteur : introspectif, sensible à l’injustice symbolique, méfiant envers les institutions abstraites, empathique envers les êtres faillibles, utilisant le récit comme mise en ordre de tensions internes, croyant à la réparation par le lien, le corps et la simplicité. Ce n’est pas l’écriture d’un esprit désorganisé, mais celle d’un esprit : lucide, critique, parfois désabusé, mais fondamentalement attaché à la possibilité de réconciliation avec le monde. Je préfère cette analyse. C'est fou comme ces IA peuvent facilement établir des profils psys .
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Antoinette
Synthèse comparative On pourrait situer Mael : plus sobre que Céline, moins philosophique que Camus, moins lyrique que Genet, moins cynique que Houellebecq, moins introspectif que Carrère. Son écriture appartient à une littérature du constat, incarnée, masculine, silencieuse, où le sens émerge des faits et non du commentaire. Je trouve toujours intéressant de se poser des questions. Mael est anti-célinien sur le plan rythmique : il refuse l’excès. On pourrait dire : Céline désosse le langage ; Mael le laisse intact mais sale. Là où Camus philosophe, Mael raconte. Mael est plus charnel, moins conceptuel. Mael est anti-lyrique là où Genet est baroque. Houellebecq analyse. Mael constate. Il est moins cynique, moins idéologue, plus humainement impliqué. Carrère explore l’ego et la culpabilité Mael s’arrête avant l’introspection Le silence psychologique est un choix stylistique fort chez Mael. 👉 Mael écrit comme quelqu’un qui raconte pour comprendre, pas pour être reconnu. Écrire pour voir et comprendre, c'est bien toi. Cette IA a vu juste.
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mael
Le lien entre frustration sexuelle (ou « sexe frustré ») et agressivité est un thème étudié en psychologie depuis longtemps, notamment dans les théories psychanalytiques et comportementales. La frustration sexuelle désigne un état de tension dû à des désirs sexuels non satisfaits, que ce soit par manque de partenaire, d'activité sexuelle, ou d'insatisfaction dans les rapports. Selon plusieurs sources, cette frustration peut augmenter l'irritabilité, le stress et l'agressivité. Preuves scientifiques du lien Des études et revues (comme celles publiées dans le Journal of Criminal Justice en 2021) proposent une « théorie de la frustration sexuelle » expliquant que les désirs sexuels non comblés, les partenaires indisponibles ou les expériences insatisfaisantes augmentent les risques d'agression, de violence ou de comportements criminels. Cela s'explique par une recherche de soulagement, de pouvoir, de vengeance ou un déplacement de frustration. En psychanalyse (Freud et successeurs), la frustration sexuelle est liée à des pulsions agressives refoulées, pouvant mener à de l'irritabilité ou de la violence si non canalisées. Des contextes comme la privation sexuelle en prison montrent une augmentation de la nervosité, de la susceptibilité et de l'agressivité envers autrui. D'autres recherches associent la frustration à une hausse de l'hostilité générale, bien que le lien ne soit pas toujours causal et direct (influencé par des facteurs comme le stress ou les hormones, ex. testostérone). Ce lien n'est pas universel : il varie selon les individus, et la frustration sexuelle peut aussi mener à de la dépression ou de l'anxiété plutôt qu'à de l'agressivité. Comment le BDSM peut canaliser la pulsion agressive Le BDSM (Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sadisme, Masochisme) est souvent décrit comme une pratique consensuelle permettant d'explorer et de canaliser des pulsions agressives ou sexuelles de manière sûre et contrôlée. Canalisation et catharsis : Dans le BDSM, l'agression (ou la réception de douleur/humiliation) est ritualisée et consentie. Cela peut transformer des pulsions agressives en plaisir érotique, offrant une forme de « catharsis » (libération émotionnelle). Par exemple, le rôle dominant permet d'exprimer de l'agressivité ou du contrôle de façon contrôlée, tandis que le rôle soumis peut libérer des tensions par la soumission. Des témoignages et études qualitatives indiquent que cela réduit le stress, procure un sentiment de relâchement et renforce l'intimité. Frustration contrôlée : Des pratiques comme le déni d'orgasme (edging ou chasteté) jouent avec la frustration sexuelle pour intensifier le désir et le plaisir final, transformant une tension négative en excitation positive. Sublimation freudienne : Le BDSM peut être vu comme une sublimation moderne : rediriger des pulsions sexuelles ou agressives vers des activités socialement acceptables (dans un cadre consensuel), évitant ainsi des débordements destructeurs. Bénéfices rapportés : Des recherches sur les pratiquants BDSM montrent une réduction du stress, une meilleure régulation émotionnelle et une sensation de catharsis après les scènes. Cela contraste avec la catharsis « générale » (ex. frapper un sac de sable), qui peut augmenter l'agressivité selon des études empiriques. Important : Le BDSM doit être pratiqué de manière consensuelle, sûre et informée (principes SSC : Safe, Sane, Consensual ou RACK : Risk-Aware Consensual Kink). Il n'est pas une « thérapie » pour tous, et chez certains, il pourrait renforcer des patterns négatifs si mal géré. Si des pulsions agressives posent problème, consulter un psychologue ou sexologue est recommandé. En résumé, la frustration sexuelle peut effectivement alimenter l'agressivité chez certains, et le BDSM offre un cadre pour canaliser ces pulsions de façon érotique et libératrice, en les rendant constructives plutôt que destructrices. Mon histoire dans le fond parle de cela. La gendarmette est frustrée par son copain qui vient de la plaquer d'où son agressivité à verbaliser un autre homme pour qui elle a de suite une attirance Mika est lui frustré parce qu'il trouve la gendarmette super désirable et il devient agressif contre sa bagnole pour evacuer sa tension. La prison est une sorte d'alternative bdsm qui calme les deux. L'agressivité au départ chez les deux est bien sexuelle. Comme si deux aimants s'étaient repoussés fortement au début pour s'unir complètement ensuite. La prison comme jeu bdsm.... cela fait penser au film papillon avec la femme du faussaire qui s'envoie en l'air avec l'avocat pendant que le mari croupi au bagne.
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