La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 05/02/24
  Combien de caresses sur ce visage souriant ? Combien de regards sur cette silhouette juvénile ? Combien d'étreintes de ce corps paré d'élégance ? Combien de baisers sur ce front intelligent , sur ces joues tendres, cette bouche sévère et fraîche , sur ce cou chaud et infiniment doux ? Combien de vêtements à enlever, à arracher avant de me noyer dans cet univers de tendresse et de douceur que sont, pour moi, Vos seins ? Combien de jupes devrai je retrousser avant de laisser mes mains s'approprier les trésors qui y sont cachés mais si joliment suggérés? Combien de petites culottes devrai je brûler avant de Vous savoir nue entre mes mains Combien de fois me prosternerai je devant Vous , ma Déesse de l'Amour ? Combien de baisers déposerai je sur Votre corps magnifique qui hante à jamais ma mémoire ? Quand verrai je ma main enveloppant Votre mont de Vénus , mes doigts se perdre frénétiquement dans les plis de Votre intimité admirée ? Quand verrai je Votre ventre et Votre visage ravagé par le séisme de notre plaisir partagé ?   Je Vous aime Ma Muse, Ma Lady . Je suis à Vous, je Vous appartiens. Notre Amour est fort, notre Amour est tout puissant, il est notre force, notre vertu . IL nous aidera à traverser le temps qui nous reste .   Berny
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Par : le 20/08/23
Une petite promenade culturelle par ces fortes chaleurs, nue chez soi, volet tirés. J'aime pas les clims. Rien sur la peau, c'est encore le mieux. C'est ainsi que je suis tombé sur un des premiers nus à taille humaine de la Grèce Ancienne.  Aphrodite, la déesse du sexe plus que de l'amour.  C'est un peu une évidence pour moi, tant je me retrouve dans les descriptifs de cette sublime déesse, la plus belle de toutes, suivant le choix de Paris, grand amoureux des femmes.  Un choix surprenant, une déesse transexuelle, qui compte un hermaphrodite dans sa descendance, qui participe à des fêtes ou hommes et femmes doivent changer leurs vêtements, une fête bien amusante qui devrait être rétablie. Une journée ou les femmes s'habilleraient en hommes et les hommes en femmes. Cela permettrait de lutter contre toutes les pratiques sexistes et aussi d'aller vers plus de respect entre sexes et surtout d'amour.  Les divinités grecques décrivent ce que notre psyché contient de plus profond, de plus descriptif de nos comportements humains. Une façon amusante de faire de la psy des milliers d'années avant Jung ou Freud.  Aphrodite n'est pas seulement déesse de l'amour, du sexe, du porno, de la prostitution, de tous les vices charnels, de toutes les passions amoureuses, c'est aussi une guerrière fort honorée à Sparte et Troie, sa cité chérie qui donnera Rome.  Elle peut se transformer en dominatrice impitoyable.  J'aime cette déesse androgyne, la plus belle de toutes. 
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Par : le 15/07/23
Agée de 30 ans, Léa est une lesbienne dans l’âme. Elle compte Julie comme amie intime de longue date, une jeune hétéro adepte de jeux de bondage. Si elles se font des confidences sur leurs plaisirs respectifs, elles n’ont jamais fait quoi que ce soit entre elles. Ce ne sont pourtant pas les occasions qui ont manqués puisqu’il leur arrive de dormir ensemble lorsqu’elles partent en vacances entre femmes pour de longues randonnées en montagne. Tu as vu la publicité pour le gîte fétichiste en Espagne ? Cela à l’air sympa, qu’en penses-tu ? Demande Julie à sa copine. Oui, mais cela me semble loin et il doit y faire horriblement chaud ! Lui répond Léa. Avec la nouvelle ligne de TVG espagnole, ce n’est qu’à quatre heures de train ! En plus, ce n’est pas au sud de l’Espagne et hors périodes estivales, cela doit être sympa. Lui rétorque Julie avant de continuer de lui vanter ce gîte. Et si tu me disais ce que tu as derrière la tête ? Finit par lui dire Léa. Ben, heu, comment dire ? Allez, je me lance. Tu sais que j’adore le bondage et que je fais parfois du selfbondage. Ce site se propose d’accueillir des célibataires et de les sécuriser dans leurs selfbondages en intérieur et en extérieur. Même si cela me semble sérieux, j’ai un peu peur d’y aller toute seule. Cela te dirait que l’on y aille toutes les deux ? En plus, il y a plein de randonnées à faire autour du gîte. Lui explique Julie. Pourquoi pas, cela serait sympa ! Lui répond Léa en surfant sur le site ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** en plus, cela me plairait bien de te voir ramper nue dans le parc en plein soleil. Je n’en doute pas, espèce de perverse. Il leur reste de la place fin septembre, si tu veux, je m’occupe des réservations, tu me rembourseras après ! Propose Julie. Je regarde mon planning, fin septembre cela doit être possible, en plus, il fera moins chaud ! ..................... Trois mois plus tard, les filles arrivent à la gare de Saragosse avec leurs bagages. Elles récupèrent la voiture louée à la gare au tiers du prix de la France puis prennent la route pour se rendre au gîte. A leur arrivée, si l’accueil chaleureux leur est agréable, c’est la visite des lieux fétichistes qui met le feu aux poudres de leur libido respective. Léa flashe sur la chambre Love et Julie sur le donjon puis le matériel mis à leur disposition. La piscine couverte mais s’ouvrant sur le côté, leur fait également de l’oeil, si bien qu’après une douche, elles ne tardent pas à aller se prélasser nues dans une eau à 28 degrés. Le gîte étant également naturiste, elles ne se gênent pas pour parfaire un peu leur bronzage. La faim se fait sentir, elles n’ont pas à attendre puisque Julie avait commandé les repas à 9,50€ livrés dans le réfrigérateur du gîte. Ce repas inclut en principe une entrée et un plat mais un plateau de fruits du verger leur a été offert avec deux roses, autant dire que les filles apprécient. Pendant que Léa étudie le classeur réservé aux touristes vanilles, Julie s’excite toute seule en lisant « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées » réservé aux coquins. Elle ne peut s’empêcher de commenter ce qu’elle y découvre, ce qui finit par donner des envies à son amie. Tu comptes uniquement lire ou t’amuser un peu au donjon ? Parce que là, on dirait juste une fille qui fantasme..... ! Lui demande Léa en se moquant d’elle. Oh, ça va, laisse-moi le temps de me mettre dans l’ambiance ! Et puis, je n’ai pas eu le temps de préparer un ice-timer ou de demander une serrure de selfbondage. Si tu veux, je t’accompagne, comme ça on découvre ensemble et je peux même t’aider à t’attacher ! Lui propose Léa. Julie réfute un peu pour la forme avant d’accepter. Elles se rendent donc au donjon où, uniquement vêtue de son bas de maillot de bain, Julie teste les entraves du lit de la chambre Love. Léa participe activement en l’aidant à faire les réglages en lui demandant si cela ne serait pas mieux avec quelques sextoys ou un vibro bien placé. Devant les yeux brillants de son amie, Léa va chercher un magic wand massager puis un gode qu’elle désinfecte avant de revenir s’occuper de son amie. Julie refuse que Léa lui mette le gode dans la chatte, elle est trop gênée. Son amie lui libère donc un de ses poignets avec regret pour la laisser faire et se le mettre sans aucune difficulté. Et bien, on voit que les lieux t’excitent grave ma belle ! Se moque Léa en rattachant le poignet de Julie se retrouvant attachée bras et jambes en croix. Non sans une certaine excitation, Léa lui place le magic wand massager dans le bas du maillot pile poil au bon endroit, le savoir faire d’une femme se fait donc sentir. Julie ronronne quasiment dès cet instant en fermant les yeux de plaisir. Putain tu m’excites toi, je vais te laisser seule pour ne pas te croquer, je viens te libérer dans combien de temps ? Lui demande Léa. Oh une petite demi-heure, cela devrait être bien pour ce soir ! Lui répond Julie. Attends, je vais compléter un peu, il te manque des choses ! Sans demander l’avis de son amie, Léa lui rajoute des pinces à sein, lui impose un bâillon puis lui pose un bandeau sur les yeux. Pour Julie, c’est une première que d’être prisonnière du plaisir et d’être entravée par quelqu’un. Elle tire sur les entraves par principe et pour en tester la solidité, bien qu’elle n’ait aucune envie de s’échapper ! Léa s’installe sur la confortable chaise de Maîtresse pour s’accorder elle aussi un moment de plaisir. La musique « humaine » en fond est pour elle un puissant vecteur d’excitation. Quelques instant plus tard, la vision de son amie se débattant dans les jouissances à répétition la fait jouir à son tour. N’y tenant plus, elle monte sur le lit de la chambre love pour venir caresser et griffer la poitrine offerte à ses monstrueuses envies. Même si Julie est en plein délire, elle a bien conscience que les doigts taquins sont ceux de son amie mais le plaisir est si fort dans les entraves, qu’elle ne réfute pas, ni ne cherche à les fuir. Le concerto des gémissements ne tarde pas à se muer en un concert de rock métal ! C’est à ce moment là que Léa lui retire les pinces à sein, elle sait par expérience que c’est le meilleur moment pour que la douleur soit agréable. Comment résister à deux beaux tétons féminins pointant fièrement sur une belle poitrine quand on est lesbienne ? Léa résiste à son envie de lui sauter dessus et se contente de goûter les deux belles fraises épanouies. Cette dégustation se déroule encore une fois sans réfutations Julie semble même dire « encore » dans ses gémissements. Après de multiples jouissance, Julie demande grâce, elle n’en peut plus. C’est là que Léa commence réellement à s’amuser en lui disant qu’une soumise fait ce que sa Maîtresse désire et qu’elle ne s’arrêtera que quand l’envie lui viendra. En guise de pause, elle lui dévore à présent les tétons en s’acharnant sur le clitoris de son amie avec le magic wand massager. Son jeu de Maîtresse n’ira pas beaucoup plus loin, Léa avait décidé qu’une jouissance supplémentaire serait bien. Exténuée, la pauvre Julie ressemble à présent à un légume lorsque son amie la libère. Lorsque Léa la prend dans ses bras pour l’aider à revenir sur terre, Léa l’enlace et la serre fort contre elle en murmurant des « merci ». Quelques instants plus tard, la piscine leur fait de l’oeil lorsqu’elles quittent le donjon. Elles y piquent une tête pour se remettre de leurs émotions. LE LENDEMAIN Le tourisme classique et une randonnée sont au programme. Elles s’étonnent de la courtoisie espagnole lorsqu’elles croisent des anciens de la région comme ce vieux paysan comme sorti de nulle part avec une bêche à la main. Il leur a demandé si elles étaient perdues et voulaient de l’aide. Ce n’est qu’avec le traducteur du téléphone qu’elles ont pu discuter avec lui. Et là, le gag, c’est que le papy a sorti son mobile pour faire google map et leur faire voir leur chemin ! Après la douche salutaire prise immédiatement arrivée au gîte, les filles se rendent à la piscine pour prendre un bain. Julie est surprise de voir que le pilori a été sorti. Tiens, ils ont sorti le pilori ! Oui, c’est moi qui l’ai demandé à Marc ! Lui répond Léa. Il faut bien que tu profites des installations non ? A la sortie du bain, pris intégralement nue, nous dirons que chacune trouve sa place, Julie entravée dans le pilori et Léa sur un transat pour parfaire son bronzage. Pour s’amuser un peu avec son amie, lorsque Léa va chercher de, quoi se désaltérer, elle prend son temps en la laissant mariner seule entravée nue au pilori. A son retour une négociation voit le jour, lorsque Julie demande à être délivrée. Tu me donnes quoi en échange de ta libération ? Demande Léa. Je te masse le dos et les jambes, la randonnée était difficile, je pense que cela te fera du bien ! Propose Julie. D’accord mais avant je te masse les fesses au martinet, tu as été vilaine ! Lui répond Léa en se rendant au donjon prendre le nécessaire. A son retour, elle n’a pas que le martinet dans les mains, mais également des pinces à sein avec des clochettes. Malgré les réfutations de Julie, ayant très peur que Marc ou sa compagne viennent prendre un bain et les voient, les pinces trouvent leur place sur les tétons un peu étirés pour la circonstance. Léa claque ensuite les fesses de son amie gesticulant par réflexe sous les lanières. J’aime beaucoup le bruit de ces clochettes, cela donne envie de taper plus fort ! La fessée au martinet dure un peu, et pour cause, Léa a constaté que le sexe de son amie s’humidifie grandement pendant qu’elle la martyrise. Je découvre que tu es maso, tu m’avais cachée ça, salope ! Ce n’est pas vrai ! Tu exagères ! Ah bon ! Lui répond Léa en caressant le sexe trempé de son amie avant de lui faire voir ses doigts couverts de mouille. Et ça, c’est quoi ? De la transpiration salope ? Lèche-les, cela t’apprendra à me mentir ! Se sentant comme obligée, Julie s’exécute et se laisse même fouiller la bouche par les doigts parfumés de ses effluves. Être entravée et un peu malmenée l’excite vraiment comme le constate Léa en retournant voir le fessier légèrement rougi. Mais tu coules, toi tu as tout d’une soumise, je crois que je vais devenir ta Maîtresse et t’apprendre à ne plus mentir ou me cacher des choses ! Ponctue Léa en claquant à la main et de bon coeur, les fesses de son amie. De plus en plus excitée elle aussi, son sexe s’est grandement humidifié. Elle se caresse la moune avant d’aller lui faire déguster ses doigts. Perdue dans son monde de soumise, Julie ne se rend pas compte du subterfuge jusqu’au moment où Léa lui demande si elle a bon goût ! Salope !!!!! On ne parle pas comme ça à sa Maîtresse, tu seras punie pour ça, d’ailleurs, je vais demander à Marc de me donner des conseils ! Oh non, pas ça, j’ai trop honte ! Ok, alors en plus du massage, tu me boufferas les seins pendant que je me branle parce qu’il n’y a que toi qui a du plaisir depuis qu’on est arrivées ! Non.... Je vais donc expliquer tout cela à Marc et lui demander de te punir, je suis sûre que tu apprécieras son expertise en la matière ! Bon d’accord, mais juste une fois ! Lui répond Julie. ................... Lors du repas, cette fois offert et pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires, les filles apprécient l’ambiance ultra décontractée, si bien, que les confidences commencent à se faire. Elles constatent qu’en ces lieux, on peut parler de tout, de tourisme, de jardinage, de produits bios et surtout « de cul » sans être jugé. A priori, qu’elles soient entre femmes et ce qu’elles peuvent faire entre elles, ils s’en moquent éperdument. Lors de la conversation, la venue des célibataires au gîte est abordée. Ayant trop envie de savoir ce qu’ils font Julie pose des questions. Les réponses sont simples, ils fonctionnent sur le principe du selfbondage et de la self servitude en bénéficiant de conseils et d’assistance en cas de besoin. C’est là que Marc aborde le principe de l’espace game pouvant être adapté aux fétichismes de chacun. Léa saute sur l’occasion pour lui demander d’en préparer un pour « sa soumise ». Julie plonge aussitôt son nez dans son assiette, que son amie ait dévoilé ses fantasmes la gêne horriblement. Pas de problème, dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous le prépare, je vous explique si besoin puis vous laisserai jouer tranquilles entre vous ! Répond Marc comme si elle lui avait demandé un café ! Ma soumise est timide mais très cochonne, avez-vous des idées ? Oui, ce n’est pas les idées tordues qui lui manque ! Intervient son épouse amusée. L’espace game peut être en chienne, pour cela il faut lui attacher les pattes pliées et lui mettre un plug queue de chienne avant de l’envoyer chercher les clés. Cela peut être intégralement nue avec des fers aux pieds et des menottes puis ce que vous déciderez de lui ajouter. Dans ce cas, l’espace game se fera également dans le verger. Cela peut être en couche si ce fétichisme compte des vôtres ou vêtue si elle a très envie de faire pipi. Dites-moi ce qui vous fait vibrer, je vous trouverai des idées ! J’aime beaucoup l’idée de la chienne, vous pourrez m’aider car je n’ai jamais fait de bondage ? Demande Léa avant d’aller lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Avec plaisir, quand voulez-vous que je vous prépare ça ? Demande Marc Pour demain soir si cela ne vous dérange pas ! .............. Arrivées dans leur gîte, Julie est un peu furieuse que son amie ait dévoilé des choses sur leur intimité. Mais ma belle, si on est ici c’est pour s’amuser, ou alors il fallait choisir Disney ! Franchement, avec tout ce qu’ils voient et font, ils n’en ont rien à faire de nos jeux. Et puis il serait temps que tu grandisses un peu et que tu t’assumes, tu aurais bien plus de plaisir si tu ne jouais pas la coincée ! Lui répond son amie un peu en colère. D’ailleurs, tu me dois un massage que tu vas me faire de suite dans la chambre Love. Allez, on bouge ! Un peu perturbée, Julie suit donc son amie qui prend une serviette de bain et de l’huile de massage. Elles traversent le donjon où Léa prend une paire de menottes au passage. Après s’être couchée intégralement nue, elle lui tend le flacon d’huile de massage en lui ordonnant de s’appliquer si elle ne veut pas recevoir une vraie fessée ! C’est donc un peu contrariée qu’elle masse son amie tout en se demandant à quoi vont servir les menottes. Bien, j’ai envie de me faire plaisir, attrape-moi le magic wand massager et grignote doucement mes tétons pendant que je me branle, j’adore ça ! Ordonne Léa. Julie est assez perturbée lorsqu’elle prend un des tétons de son amie entre ses lèvres. Bon gré mal gré, elle essaye de lui donner du plaisir. Le bon dieu t’a donné des mains, ce n’est pas que pour travailler ou pour faire joli, caresse-moi en même temps ! Fais des efforts pour donner du plaisir à ta Maîtresse. Petit à petit, Julie prend elle aussi du plaisir à en donner. Tout en titillant un téton, elle fait courir ses doigts sur la poitrine de son amie commençant à gémir. Contribuer dans cet acte en principe intime, lui donne l’impression d’être voyeuse et l’excite un peu. Allez, prend le magic et occupe-toi de ma chatte, elle ne te griffera pas ! Julie s’exécute et finalement ne trouve pas cela déplaisant de s’occuper de son amie. Elle s'engaillardit même un peu en osant insinuer ses doigts dans le temple de l’amour. Quelques instant plus tard, ressentir les premières contractions la surprend agréablement, tout comme le bouquet final quand les cuisses de Léa emprisonnent sa main. Lèche-moi la chatte, j’ai encore envie ! Ordonne Léa. Non, désolée, je ne fais pas ça ! Répond aussitôt Julie. Refuser de donner du plaisir à sa Maîtresse, cela mérite une fessée parce que là, tu fais la gamine ! Donne-moi tes poignets ! Julie n’ose pas refuser, Léa ne lui laissant pas réellement le choix, elle se laisse menotter mains devant. Basculée prestement sur ses jambes et déculottée, la vilaine ne tarde pas à goûter à la fessée se disant « punitive ». Se sentir entravée et ainsi obligée de subir sa « punition » l’excite car les claques sont très modérées et un peu comme des caresses piquantes. Ces sensations forts agréables la pousse même à tendre un peu les fesses pour aller à la rencontre de la main. Après le prélude il y a parfois un postlude qui est, son contraire dans le domaine de la composition musicale. La puissance de la fessée monte donc d’un ton, les claques sont de plus en plus appuyées et deviennent bruyantes. Le fessier de Julie s’embrase rapidement, elle aimerait modérer un peu son amie, se protéger mais les menottes l’en empêchent, mais en même temps, l’aident à entrer dans la bulle de l’abandon. Lorsque Léa s’arrête de la fesser, son épiderme semble recouvert de fourmis décidées à la grignoter. Il n’y a pas que cette partie de son anatomie qui la démange, entre ses cuisses, l’humidité est généreuse. Mais ce n’est pas une punition ça pour toi, tu mouilles espèce de maso ! Déclare soudain Léa lorsqu’elle s’en rend compte. On va changer de registre, couche-toi sur le lit et retire ta culotte, j’ai une surprise pour toi ! Pendant que son amie s’exécute, Léa passe derrière le coin bar pour aller chercher une couche. En la voyant, Julie réfute, l’ABDL ce n’est pas du tout son trip, la couche lui rappelle celles de sa pauvre mère. Sa Maîtresse lui explique que ce ne sera qu’une précaution pour la suite et qu’elle n’est pas obligée de l’utiliser. Sans lui laisser le choix, elle l’oblige à soulever ses fesses rouges pour glisser la protection sous ses reins avant de terminer de la langer. Prise par l’oreille comme une gamine effrontée, Julie est guidée aux pieds du lit où Léa ouvre la porte de la cage. Allez, tu rentres dans la cage et tu ne mouftes pas ou tu te reprends une deuxième fessée mais avec un de leurs instruments, cela doit faire vraiment mal ! Julie abdique mais fait voir que les menottes sont toujours à ses poignets. Une fois retirées, elle entre donc dans la cage située sous le lit. Si elle est réellement perturbée par tout ce qu’il lui arrive, l’expérience de la cage ne la laisse pas de marbre. Après avoir verrouillée la porte, Léa va éteindre la lumière pour venir se coucher dans le lit, juste au dessus de son amie. Entre la randonnée, la piscine et les jouissances, la Maîtresse d’opportunité, et appréciant de l’être, ne tarde pas à s’endormir contrairement à Julie. Elle revit mentalement les évènements de la journée, son expérience au pilori, sa fessée puis les câlins qu’elle a du faire à son amie. Ce n’est pas l’envie qui lui manque de se caresser mais elle n’ose pas et se limite à « explorer » secrètement l’intérieur de la couche. Elle constate que c’est toujours bien humide et se pose des questions sur toutes ses envies, ses fantasmes. Si sa nuit est un peu perturbée par l’étroitesse du lit cage, elle est également peuplée de rêves très érotiques. Elle s’imagine même entravée sous la chaise percé et obligée de lécher son amie, c’est dire si tout cela la perturbe puisqu’elle est hétéro. Ce n’est que lorsque le soleil se lève, qu’elle est rattrapée par les choses naturelles de la vie : l’envie de faire pipi ! Absolument pas décidée à se faire dessus, même avec une couche, elle se retient. Se retenir ne l’aide pas à retrouver le sommeil et rend le temps fort long. Au environs de huit heures, elle est au bord de l’implosion et appelle Léa pour qu’elle lui ouvre la porte de la cage. Elle sait que la réveiller n’est pas une bonne idée, mais c’est plus fort qu’elle, la couche ce n’est vraiment pas son truc. Effectivement, ayant un réveil difficile Léa est furieuse. Elle commence par l’envoyer paître et devant l’insistance de son amie, décide qu’une réelle punition s’impose. Elle lui donne les menottes à travers les barreaux de la cage et lui demande de se les mettre pour aller faire pisser « la chienne soumise ». Convaincue d’être libérée de la protection, Julie abdique, ce n’est pas de pisser devant son amie qui la traumatisera. C’est une fois sortie de la cage en la remerciant, qu’elle est guidée vers la sortie. Un arrêt brutal la surprend au moment où elles passe sous le treuil. Léa lui remonte les poignets et bloque la chaîne des menottes dans le crochet. Malgré ses bruyantes réfutations, c’est en voyant ses poignets monter vers le plafond que le piège lui saute aux yeux. Debout et quasiment sur la pointe des pieds, elle n’a aucune chance de s’échapper. Léa lui enfile une culotte et bloque le magic wand entre la couche et la dite culotte servant de maintien sextoy. Après l’avoir mis en route, Léa la laisse accrochée ainsi au donjon pour aller se faire un café sans tenir compte des cris de la révoltée. Désespérée, Julie comprend rapidement qu’elle ne pourra pas se retenir. Entre l’envie devenue ultra pressante et les vibrations sur son bas ventre juste au dessus de sa vessie, il est impossible de résister. Un moment plus tard, c’est en criant de désespoir qu’elle finit par abdiquer et à se lâcher un peu pour libérer, partiellement, la pression devenant douloureuse. Si cet acte ne lui a pas plus du tout, par contre, se retrouver menottée debout toute seule dans le donjon avec un magic wand presque en bonne place ne lui déplait pas. Bien au contraire, elle essaye même de le faire glisser et descendre un peu avec une de ses cuisses. Dans sa tête, elle devient la victime d’un beau sadique bien membré ayant prévu de la mâter avant de la sauter. Elle l’imagine derrière elle en train de jouer avec ses seins puis ses tétons qu’il martyrise un peu. Les yeux fermés et en plein dans ses fantasmes puis les agréables sensations du magic wand sur la couche, elle ne voit pas son amie Léa entrer dans le donjon. Ce n’est que lorsqu’une bouche se colle contre la sienne et qu’en même temps le magic est appuyé sur le devant de sa couche, qu’elle se rend compte qu’elle n’est plus seule. La langue de son amie fouille sa bouche avec une certaine virilité pendant que ses mains s’attaquent à ses tétons sans défense. En pleine perdition dans les sensations diaboliques et perdue dans ses émotions, Julie ne fuit pas le baiser sauvage imposé. Au contraire, devenant fusionnel, elle y trouve presque une sorte « d’échappatoire » à sa pudeur. A la fois désiré et redoutée, l’explosion fatale pour sa pudeur lamine toute forme de résistance psychologique. Dans sa jouissance paroxystique, Julie hurle à plein poumons, pendant ses contractions et sa jouissance, elle finit de vider sa vessie dans la couche sans rien ne pouvoir contrôler. A bout de souffle, elle pend quasiment dans les menottes lorsque Léa fait descendre le treuil. Libéré du crochet, elle se couche en chien de fusil à même le sol pour se remettre de ses émotions et de cette jouissance d’une puissance jamais éprouvée jusqu’à présent. Léa s’est aussi assise par terre, elle a pris la tête de Julie pour la poser sur sa cuisse en guise d’oreiller. C’est avec une extrême douceur qu’elle la caresse comme si c’était un bébé qu’il faut consoler. Tu veux ma mort ! Indique Julie à son amie au bout d’un moment. Non, je veux que tu vives tes passions, tes fantasmes et, à priori, vu ce que je viens de voir, tu ne devrais pas t’en plaindre. Mais tu sais, cela ne me déplait pas du tout de m’occuper de toi comme ça. Je prends réellement du plaisir à t’en donner même si mon truc à moi, c’est plus doux et plus sensuel. .......... Les tourterelles en vacances partent à l’assaut des montagnes locales dans le parc naturel Moncayo. Il s’agit d’une chaîne de montagnes de 15 km de long et d'environ 7 km de large qui donne son nom à la comarque Tarazona y el Moncayo. Lors de la balade, Léa propose à Julie de devenir sa Maîtresse pour lui permettre de vivre réellement ses fantasmes. Elle lui précise que si c’est par amitié, l’idée ne lui déplait pas même si elle manque cruellement d’expérience et de savoir faire. Après une petite discussion Julie accepte, sous la condition qu’elle ne soit pas trop dure avec elle. A leur retour au gîte, après une douche salutaire, elles prennent un bain dans la piscine. A la suite de quoi, Julie part à la recherche de Marc pour savoir comment se déroule l’espace game. Je vous ai préparé un des classiques dans le verger mais vous ne m’avez pas précisé si vous voulez jouer Pets-play dans le parc ou un jeu plus grand. A la limite, vous pouvez faire les deux, ce soir le Pets-play et demain celui qui se fait dans le verger, les indices sont dans des boites en plastique lestées, ils ne s’envoleront pas. Je vais suivre vos idées mais il faudrait m’aider, je débute en BDSM ! Lui répond Léa. Pas de souci, je vais vous chercher le nécessaire pendant que vous emmenez votre amie, de préférence nue, sur la terrasse ! Lorsqu’elle va chercher Julie et lui ordonne de se dévêtir pour l’espace game, celle-ci réfute et souhaite conserver au minimum son bas de maillot. Pendant ce temps, Marc a préparé des cordes, une paire de menotte, une chaînette et un cadenas pour lui faire un collier. Sur la table, un plug queue de chienne fait aussitôt rougir le futur « caniche » ravi d’avoir gardé son bas de maillot. Mettez-vous à quatre pattes, je vais faire voir à votre amie comment réaliser ce bondage finalement assez simple ! Demande Marc au « modèle » dont la gorge vient de se serrer. Le bondage est finalement assez simple et rapide. Marc fait plier une des jambes de Julie qu’il enroule de corde en version shibari en expliquant à Léa comment faire la même chose avec l’autre jambe. Sans leur demander leur avis, il fait un collier à Julie avec la chaînette qu’il ferme avec un cadenas. A la suite de quoi, il ferme une des menottes sur son poignet, fait passer l’autre dans le collier avent de la fermer sur le poignet encore libre. Dans le carton qui est sur la table, il y a des boites en plastique, ce sont les indices qu’il faudrait aller cacher dans le parc. Mais pour cela, il faudrait occulter sa vue sinon elle n’aura qu’à vous regarder les placer. Si vous le souhaitez, je vais les cacher pour vous pendant que vous l’aveuglez avec une serviette de bain par exemple. Dans le carton vous trouverez une laisse et un petit martinet en cas de besoin puis un bâillon os, à vous de décider ce que vous utiliserez. Pour le plug queue de chienne, je vous laisse vous en occuper, je suppose que vous savez où il va ! Indique Marc en partant avec les indices. Immédiatement aveuglée par une serviette de bain, la respiration de Julie s’est emballée. Elle transpire même un peu, non pas de la chaleur mais parce qu’elle est émue, gênée, excitée, perturbée par sa Maîtresse transformant son bas de maillot en string. Léa mouille généreusement l’anus de son amie puis le petit plug qu’elle entreprend de lui introduire malgré ses réfutations. Le premier indice se situe aux pieds de la petite statue. Leur indique Marc à son retour. Si vous désirez déplacer un transat et le mettre dans le parc pendant qu’elle cherche n’hésitez pas ! Ajoute Marc à l’attention de Léa. Je vais vous laisser tranquille, amusez-vous, vous êtes là pour ça ! Pendant ces indications, Julie était ravie d’être aveuglée, c’était un peu comme si la serviette diminuait un peu sa honte. Le tissu retiré, c’est avec une grande claque sur ses fesses que le top départ lui est donné. La chienne humaine prend rapidement conscience que le jeu risque de durer car se déplacer sur les genoux et les coudes n’est pas aussi facile qu’on ne l’imagine. La seule chose qui l’amuse pour l’instant, c’est qu’à chaque mouvement la queue du plug caresse ses cuisses. Il n’y a pas qu’elle qui trouve cela amusant, Léa apprécie énormément les effets de son petit cul s’agitant ainsi. Elle se saisit du martinet pour aller motiver sa « chienne » en lui disant qu’elle est vraiment très belle comme ça avant d’ajouter : « je vais chercher mon portable et faire quelques photos ». Que Julie réfute n’y change rien, elle est abandonnée seule entravée en chienne dans le parc. Les caresses du vent l’accompagnent dans cette expérience troublante, être entravée quasiment nue, seule avec un plug queue de chienne commencent réellement à la troubler. Devenue une Maîtresse perverse par opportunité, c’est après avoir pris quelques photos que Léa va retrouver sa soumise en prenant avec elle la laisse et le martinet. En la voyant arriver, Julie comprend immédiatement qu’elle va devenir le jouet de sa Maîtresse, et elle ne se trompe pas. Entre femmes, quand on s’amuse ainsi, la perversité prend tout son sens. Une fois la laisse posée, Léa s’amuse à faire « marcher » son amie, à la faire asseoir, à faire la belle sans se priver de la motiver avec le martinet. Mais tu es en chaleur ! Déclare Léa en voyant que le maillot est mouillé à l’entrejambe ! Il faudrait que je trouve un beau mâle pour te faire couvrir ! Salope ! Un coup de martinet très appuyé s’abat aussitôt sur ses fesses ! Une chienne ça ne parle pas et en plus, une soumise n’insulte pas sa Maîtresse, ton dressage laisse à désirer ! Embrasse mes pieds et vite pour te faire pardonner ou je récupère les clés et te laisse comme ça pour la nuit ! Ordonne Léa. Julie abdique aussitôt sous la menace. Elle fait donc de petits bisous bruyants sur les pieds de sa Maîtresse avant que la laisse l’oblige à faire la belle. Par surprise Léa plaque le visage de la chienne au creux de ses cuisses en mourrant d’envie de se faire brouter le minou. Fais aussi des bisous là, allez chienne ! Lui ordonne Léa en claquant les fesses de son amie avec le martinet. Tenue fermement par les cheveux avec son visage plaqué contre le sexe de sa Maîtresse, Julie ne tente pas de fuir, les entraves libérant des carcans de ses interdits, elle lèche de bon coeur. Léa sent bien que sa chienne apprécie d’avoir la tête logée entre ses cuisses, cela lui fait prendre conscience que par le BDSM, son amie pourrait au moins devenir bi à défaut d’être lesbienne. Gardant cette idée en mémoire, elle libère sa « chienne » en lui disant « cherche, aller cherche ». Tout aussi perturbée, Julie prend à présent son rôle très à coeur. C’est avec quelques douleurs aux coudes et aux genoux qu’un moment plus tard, elle rapporte les clés des menottes avec ses dents. C’est trop bien ce jeu, j’ai bien aimé. La prochaine fois, je te ferai boire en gamelle et t’attacherai peut-être à la niche, cela serait amusant de t’y laisser un moment ! Ponctue Léa en serrant son amie dans ses bras après l’avoir libérée. Après avoir dîner en tête à tête, elles surfent sur leur téléphone avant de décider de se coucher. Oh, j’ai une idée, je vais t’attacher pour la nuit ! Déclare soudain Léa. Elle sort du gîte pour aller récupérer les cordes, la chaîne, le cadenas et les menottes puis le martinet. Dix minutes plus tard, après avoir eu le droit d’aller faire pipi, Julie se retrouve entravée nue jambes écartées sur le lit du haut. Ses poignets menottés sont fixés à la tête du lit avec la chaînette. Voir les tétons de son amie pointer fièrement donne des ailes à la lesbienne en manque de câlins. Après avoir éteint la lumière, elle rejoint la « captive » pour d’énormes câlins de plus en plus fusionnels. Caressée, embrassée, fouillée par des doigts experts, Julie est au bord de l’implosion, Lorsque Léa entreprend de brouter le chaton sans défense, elle est obligée de refreiner ses ardeurs, sa « victime » est sur le point d’exploser. Après un énorme baiser, Léa lui murmure que si elle ne lui bouffe pas la chatte, c’est la sienne qui sera fouettée au martinet. Lorsqu’elle enjambe la tête de son amie, Léa s’étonne de n’avoir aucune réfutation. Avec douceur, elle frotte son sexe sur le nez de son amie tout en caressant sa poitrine, en titillant ses tétons et n’a aucune réaction négative. Elle prend donc le martinet qu’elle fait tomber doucement sur le sexe de Julie avant de faire glisser lentement les lanières sur les lèvres trempées. Léa comprend que son amie est prête à sauter le pas. Elle recommence le petit jeu avec le martinet et s’assoie doucement sur son visage rencontrant aussitôt une langue peu expérimentée mais très motivée. Le facesitting ne tarde pas à évoluer en 69, Julie n’a plus besoin d’être menacée pour donner du plaisir avec sa langue, ni pour en prendre avec celle de l’experte lutinant sa perle clitoridienne. Ces échanges « linguistiques » portent leurs fruits plusieurs fois dans un concert mélodieux de gémissements de plaisir. Enfin rassasiée, la lesbienne devenue dominatrice ne libère pas sa soumise, non pas pour lui faire des misères mais pour se lover contre elle et la câliner. Les bisous sont forts tendres avant que le sommeil les rattrape dans ce grand lit king size. Libérée au milieu de la nuit pour un besoin naturel, Julie revient aussitôt se lover contre son amie, contre sa Maîtresse. Ce besoin de contact est soudainement plus fort qu’elle, par peur de la réveiller et de se faire gronder, elle n’ose pas lui faire des câlins. ............. Le lendemain, en revenant de visiter la gigantesque et sublime (abbaye appelée le Monastère de pierres]( https://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/fr/sex-toys/739-baillon-os.html?search_query=baillon+os&results=39), Léa demande à Julie d’où lui viens cette passion pour le bondage, les contraintes, la soumission. En fait, lorsque je suis attachée je ne me libère que mieux. Grâce aux entraves, je suis moins pudique et surtout moins timide. En fait, le gros paradoxe c’est que je me sens sécurisée, ce n’est pas ma faute, je suis obligée. Je sais que c’est complètement fou et illogique. En plus, mes jouissances sont dix fois plus fortes. Et toi, cela te plait de me dominer ? Initialement ce n’est pas ma tasse de thé. Je suis beaucoup plus portée sur la sensualité, les câlins mais j’avoue que je me découvre. Ce n’est pas déplaisant du tout. Ce qui m’amuse particulièrement avec toi c’est de t’obliger à te faire plaisir, à sauter des pas, à faire des choses que tu t’interdisais. Et puis avec une soumise aussi belle que toi, cela n’est pas déplaisant du tout, si tu vois ce que je veux dire. Lui répond Léa. Cela me gêne que tu m’appelles soumise, cela n’est pas du tout ma nature de me laisser marcher sur les pieds ! Là encore tu confonds tout. Tu peux être dominante dans la vie et aimer lâcher prise et donnant le contrôle à quelqu’un sous la couette. En amour tout comme pour le sexe, les interdits sont castrateurs de plaisir. De toute façon, nous sommes toutes des soumises ! Tu es soumise parfois ? Demande Julie. Non, quoi que me laisser attacher et dévorer à coups de langues par trois ou quatre filles ne me déplairait pas. Je disais que nous sommes toutes soumises à une autorité. Le pire est que l’on n’a pas le choix. Par exemple, quand un flic t’arrête pour contrôler tes papiers, tu obtempères, quand tu fais le chèque pour tes impôts, tu n’as pas le choix, tout comme quand ton chef de service te donne un ordre. La différence est que en amour, c’est toi qui décide de t’offrir, d’offrir le contrôle de ton corps. Arrivées au gîte, les filles prennent une douche et vont prendre un bain à la piscine. Léa s’allonge sur le matelas pneumatique avant d’ordonner à Julie de venir faire des bisous à son chaton. Julie refuse par peur d’être vue par Marc jusqu’au moment où Léa lui rappelle qu’un espace game l’attend, et cela en précisant qu’il pourrait se corser si elle ne s’exécute pas immédiatement. Ultra gênée, Julie s’exécute mais sans grande conviction, son regard étant en permanence tourné vers la porte de la piscine. Ne t’habille pas, va chercher les menottes, tu les mets puis tu les accroches au crochet du treuil de façon à être sur la pointe des pieds ! Lui ordonne Léa lorsqu’elle sortent de la piscine. Léa souhaite pousser un peu son amie dans la soumission. Après avoir fait monter un peu le crochet du treuil, pour être sûre que sa soumise ne s’enfuit pas, elle va demander à Marc de venir la conseiller. Réellement généreux dans l’âme et pas que pas intérêt, il se rend donc au donjon et découvre Julie nue en mauvaise posture. Étant débutante en BDSM, j’avoue ne pas savoir comment lui organiser l’espace game. Pouvez-vous m’aider ? Bien sûr, que désirez-vous comme jeu ? Quelque chose de très gênant pour une nana pudique et trop coincée ? En entendant ça, Julie a des envies de meurtre, en plus d’être exposée nue, son amie cherche à l’humilier. Oh il faut donc jouer sur le plaisir sexuel en même temps que le bondage. Vous pouvez par exemple combler ses orifices, bloquer ensuite le magic wand sur son sexe, ajouter des pinces à sein à grelot avant de l’envoyer chercher les clés ! Lui répond Marc comme si on lui avait demandé la recette de la sauce de ses aubergines grillées. Génial, mais je ne sais pas comment attacher le magic ni même comment faire tenir le plug et le gode, pouvez-vous m’aider au moins pour ça ? Pas de problème je vous laisse « combler » votre soumise pendant que je vais chercher ce qu’il vous faut ! Furieuse et morte de honte, Julie tente d’échapper à l’emprise de son amie. En vain, cette dernière ne lâche pas prise et s’acharne pour placer le gode et le plug entre les cuisses s’agitant. A son retour, Marc réalise un string de chaîne en faisant plusieurs passage entre les cuisses de Julie. Cette dernière est blême de honte, le sadique de la maison qu’elle trouvait sympa est soudainement détesté. Il ne loupe rien de son intimité comblée, au contraire, au passage des chaînes, il appuie même sur les sextoys pour bien les bloquer. A la suite de quoi, il propose à Léa de placer elle même les pinces à sein. Pendant ce temps, accroupi derrière les fesses comblées, et donc avec une vue imprenable, il lui pose des fers de bagnard. Vous pouvez descendre le treuil et passer les menottes derrière dans le string de chaîne, ainsi, elle ne pourra pas retirer ses pinces à sein. Consciencieux dans ses actes, Marc réalise un second string mais cette fois avec une corde de shibari. Ce string spécial ressemble à un petit harnais avec en son centre, le magic wand bloqué dans le triangle devenant comme celui des Bermudes pour la pauvre Julie. Je vais vous aider à la sortir, car avec les fers de bagnard aux chevilles, elle risque de tomber et se blesser. Vous pourriez peut-être lui poser le bâillon ouvert, sera nous fera un peu de silence car votre soumise râle beaucoup ! Propose Marc très provocateur. Attrapée à bras le corps, Julie se retrouve rapidement dehors près de la piscine. Marc lui indique où se trouve le premier indice avant de leur souhaiter « bon jeu » puis de quitter les lieux. Bâillonnée, la pauvre Julie sait qu’elle n’a pas d’autres choix que de partir ainsi « équipée » et pire que nue à la recherche des indices qui la conduiront aux clés. Si ce jeu l’amusait au départ, elle le trouve soudainement moins amusant. Léa ayant démarré le magic wand, entre les grelots de ces pinces à sein et le bruit du sextoy vibrant, il lui est impossible d’être discrète. C’est avec la rage au ventre qu’elle entreprend le parcours tant bien que mal. Obligée de se baisser au premier indice facile à trouver dans sa boite en plastique, Julie constate comme elle s’y attendait que le prochain se situe dans le verger. Sauf que pour s’y rendre, elle est obligée de passer le long du potager qui est complètement à découvert. Un quart d’heure plus tard, Julie découvre la petite statue aux pieds d’un plaqueminier. Encore une fois obligée de se baisser, sans le vouloir elle replace au bon endroit de son anatomie le magic wand qui avait bougé pendant ses déplacements difficiles. Enfin à l’abri des regards dans le verger, être ainsi entravée, caressée par le vent venant de se lever et avec le magic en bonne place, Julie commence à savourer les plaisirs de ce jeu. Au lieu de partir de suite jusqu’au fond du verger chercher les clés, elle s’accorde un moment de plaisir par peur de déplacer le vibro. Jouir ainsi, comblée, entravée, nue en pleine nature va être divin. Avec prudence, Julie va s’appuyer contre l’arbre pour ne pas tomber quand elle va exploser dans cette jouissance s’annonçant torride. Si de nature elle est discrète dans ses jouissances, entre la puissance de l’orgasme qui la terrasse et le bâillon bouche ouverte, elle en arrive à faire peur aux oiseaux venus assister au spectacle. Sa jouissance dure un peu, le magic ne lui accordant aucune pause. Si elle ne s’était pas appuyée contre l’arbre, elle se serait sûrement écroulée dans l’herbe. Si en d’autre temps, Julie apprécie ce sextoys, le fait de ne pas pouvoir l’arrêter un moment le rend soudainement moins agréable. Elle reprend donc le parcours en bavant sur sa poitrine, la jouissance paroxystique lui a donné si chaud qu’il lui est difficile de déglutir correctement. Léa l’attend à l’arrivée. Assise sur la chaise située sous la cabane naturelle, elle joue avec la ficelle reliant les clés ensemble. Elle en profite pour faire quelques photos au grand dam de son amie un peu honteuse. Regarde ce que Marc m’a prêtée ? Indique Léa en faisant voir une corde. Il m’a dit que je pouvais l’accrocher à l’arbre et te laisser mariner un peu avant le repas. oonnn en eu us ! Supplie Julie. Comprenant que son amie voulait dire « non, j’en peux plus » dans sa grande gentillesse, Léa lui retire les fers de bagnard puis le magic avant de lui passer la corde autour du cou comme pour ramener une esclave. Arrivées à la terrasse couverte située avant la piscine et le donjon, Léa lui donne à boire, essuie son visage trempé de transpiration et exige un bisou. Pendant ce bisou, Léa trouve que son amie mérite de prendre un bain. Sans lui retirer les menottes et les chaînes, elle la conduit à la piscine avant de la pousser sous la douche solaire. Puis, elle la fait dans l’eau. Aussitôt rejointe dans cette piscine où l’on a pied, c’est la fête à la grenouille, caresses, bisous et câlins sont au rendez-vous. Libérée des menottes un peu plus tard, Julie peut enfin prendre son amie dans ses bras pour une étreinte très câline. L’étreinte est associée de quelques mots « d’amour » du type salope, t’es malade, t’es folle » et d’un « je t’aime ». ................ Lors du repas du soir, offert par Julie, Léa demande à Marc si il pourrait lui donner un cours de bondage et quelques idées à faire lorsque son amie sera attachée. Julie sent aussitôt ses joues s’empourprer. Même si elle sait à présent qu’il ne la touchera pas et ne la jugera pas, se faire attacher quasiment nue ou peut-être pire par lui, la gêne énormément. Étant en pleine forme, il leur propose de le faire juste après le dîner. Si bien qu’une heure plus tard, il les rejoint au donjon. Toujours aussi zen, Marc apprend à Léa à faire un harnais. Pendant son cours, il lui donne des idées perverses du type, « cela peut être pratique pour bloquer des choses dans les orifices, entraver rapidement les poignets par surprise, l’envoyer faire des courses avec le harnais sous ses vêtements, ou se servir du harnais pour rebondir et faire autre chose ». Je peux aussi vous faire voir comment faire un Hogtied ! Volontiers ! Répond Léa très motivée. Comme c’est beaucoup plus contraignant, Julie pourrait s’allonger sur le lit de la chambre Love, ce sera plus confortable pour elle ! La proposition est actée. Le modèle peu rassurée s’allonge donc sur le ventre. Marc la fait descendre un peu sur le lit afin de proposer plus tard, une idée de jeu à Léa. En un rien de temps, les bras de Julie sont entravés dans son dos, puis reliés aux pieds de cette dernière dont les jambes sont également attachées et repliées. Vous pouvez également le compléter avec le cochet anal de bondage et une petite corde à fixer, soit à un bâillon, soit dans sa queue de cheval. Cela rajoute une touche de BDSM et impose au modèle de garder la tête haute. Et si j’osais, je vous dirai bien quelque chose de plus..... Osez chez Marc, oser, ma soumise fait semblant de ne pas apprécier vos idées, après elle coule comme une fontaine ! Répond Léa curieuse. Si vous y mettez le cochet de bondage dans les fesses, je vous fais voir pour les noeuds et vous donnerai l’astuce ! La pauvre Julie ! Ses joues s’empourprent alors qu’elle détourne le regard, essayant de préserver sa timidité face à l’idée que l’on insère quelque chose dans ses fesses devant quelqu’un ! Sa jolie petite culotte est donc transformée en string, ses petites fesses écartées pour l’insertion du crochet anal de bondage. Pendant que Marc y fixe la corde, malgré la gêne, elle est particulièrement troublée en sentant son anus profondément pénétré surtout lorsqu’il attache ensuite la corde à sa queue de cheval en relevant sa tête. Voilà qui est fait, il ne vous reste plus qu’à la laisser mariner ou vous amuser avec elle par exemple, en vous allongeant jambes écartées sous son visage pour une dégustation de minette ou dans l’autre sens si vous aimer que l’on lèche votre petite rose. Et puis, si elle ne s’applique pas et ne vous donne pas pleinement satisfaction, demain je vous prête la machine à fessée ! En entendant ça, la pauvre Julie se décompose. Il sait donc qu’elles câlinent ensemble. Après leur avoir souhaité une bonne soirée, Marc se retire afin de les laisser s’amuser en toute intimité. J’adore ce mec, il est aussi pervers que respectueux, qu’en penses-tu ? Demande Léa. J’en pense que j’ai horriblement honte ! Pourquoi, il fait tout pour nous mettre à l’aise et que l’on s’amuse. Et encore, à mon avis, là il doit faire dans le soft.... Bien, passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’une minette pour commencer et puis, après on verra..... Ni une ni deux, Léa se dévêtit, ajuste les lumières et démarre la musique avant de se coucher sur le lit en offrant son chaton à la dégustation. Tu as intérêt à t’appliquer, regarde j’ai aussi pris la cravache et le magic, au cas où... En plongeant le nez entre les cuisses fusées de son amie, Julie constate qu’à chaque mouvement de tête qu’elle fait, elle masturbe son anus légèrement en tirant sur la corde. Ses petits mouvements cumulés au bondage qu’elle adore, la belle petite soumise gravit peu à peu les échelons de l’excitation. Pour le jeu, Léa donne de temps en temps quelques petits coups de cravache, rien de bien méchant mais simplement pour pousser son amie dans ses retranchements. Soudain, l’idée proposée par Marc de se faire « bouffer le fion » lui vient à l’esprit. Tu ne t’appliques pas, je vais être obligée de prendre le magic si je veux jouir. Puisque tu es mauvaise avec mon clito, peut-être seras-tu meilleure avec mon petit, comment a t’il dit déjà ? Ah oui, ma petite rose ! Julie est un peu en perdition quand son amie se tourne et descend un peu sur le lit en écartant les fesses. Si elle n’avait pas été sous bondage, elle ne serait pas parvenue à lécher « un trou du cul ». Petit à petit, sa langue ne lui rapportant rien de particulier hormis une autre forme de contact charnel, cet acte ne lui déplait pas tant que ça. Si bien qu’elle met du coeur à l’ouvrage et va même jusqu’à se servir de sa langue comme un petit sexe. De l’autre côté de l’anatomie de son amie, le magic ronronne contre le clitoris. Sous ces si agréables sensations le cratère étoilé semble se mettre à « convulser », exposant ainsi que sa propriétaire apprécie. Après plusieurs orgasmes, Léa coupe le magic pour s’accorder une pause syndicale pendant que dans la hiérarchie, sa subalterne continue d’oeuvrer. Le patron serait furieux si il apprenait que Léa s’est endormie ainsi jusqu’au moment où, elle est réveillée par une morsure. Aie ! T’es folle ou quoi ? Ben quoi, tu dormais en me délaissant complètement comme si j’étais un simple sextoy ! Tu m’as fait réellement mal et puis il y a façon et façon de réveiller les gens. La tienne va te coûter cher demain ! Répond Léa sur le ton de la colère. Libérée des cordes, Julie n’est pas invitée à se coucher avec son amie mais mise au coin du gîte mains sur la tête comme une gamine punie. La pauvre Julie ne sait plus où elle en est. Particulièrement triste d’avoir fait mal à Léa, elle se morfond en se demandant également si elle l’a déçue. Les yeux pleins de larmes, elle finit par se retourner (sans permission) pour demander pardon. Tu ne vas pas me faire une dépression parce que tu t’es faites engueuler ! Mais oui tu es pardonnée mais demain, tu ne couperas pas à la machine à fessée. Allez, viens te coucher contre moi mais sèche tes larmes de crocodile ! Cette réponse éveille en elle des sentiments qu’elle ne peut ni ignorer ni comprendre pleinement. Dans un sens elle est rassurée, dans l’autre elle a peur de la fessée, tout en se sentant coupable mais heureuse de savoir que son amie devenue sa Maîtresse la punirait et donc, qu’elle l’aime encore. A L’ATTENTION DES LECTEURS Quand l’amitié devient Amour, le risque de voir exploser la relation amie et sexfriend est grande. Ah cela se rajoute que si à cet amour s’ajoute le BDSM, l’affect de la personne soumise est si décuplé qu’une rupture ou un simple écueil peut être vécu comme un traumatisme. Il est donc sage de le savoir afin d’être prudent dans ce type de relation parfois si belle, si magique. DERNIER JOUR DE VACANCES Le lendemain, il est décidé de se rendre à Saragosse pour faire du tourisme et du shopping. Avant de partir, les filles ont demandé à Marc si elles pourraient utiliser le service « Eco tourisme » proposé par le gîte. Ce service gratuit permet aux touristes de faire des achats sans trop se soucier de la place dans leurs valises. Il leur permet également de faire de sérieuses économies puisque beaucoup de produits sont nettement moins chers en Espagne. http://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/eco.html A leur retour, Marc leur donne un assez gros carton afin qu’elles puissent y ranger tous leurs achats. A la suite de quoi il le pèse puis les installe devant un ordinateur pour qu’elles puissent réaliser leur expédition puis payer les frais de port. Le colis avec toutes les folies réalisées dans les magasins ne sera expédié que le lundi après leur départ. Est-ce que vous pouvez nous prêter la machine à fessée, ma soumise a osé hier soir mordre mes parties charnues. Cela mérite donc une punition mais comme je ne me sens pas capable de la lui donner, la machine à fessée pourrait le faire à ma place ! Demande Léa La pauvre Julie pique un far de honte, sa gorge se serre aussitôt car elle se doute que Léa demandera de lui faire une démonstration qui aura lieu où ? Sur ses pauvres fesses évidemment ! Elle ne se trompe pas puisque Marc répond qu’il prête volontiers sa machine à fessée, mais qu’il y a une petite formation préalable afin d’éviter de casser les accessoires ou pire de faire tomber sa machine. Ils se rendent donc au donjon où il installe la machine en la fixant sur la chaise d’inquisition, une sorte de chaise haute pour adulte avec des possibilités autres que de nourrir un bébé ! Il précise à ce moment là qu’il est parfois intéressant d’y faire asseoir la personne punie juste après la fessée. Il suffit d’y déposer une sorte de paillasson plastifié avec de nombreux picots. La personne entravée dessus apprécie moins cette chaise que d’être au coin comme une gamine. Autant dire que Julie s’imagine bel et bien installée nue avec les fesses rouges sur cette maudite chaise. Après avoir installé le banc à fessée contre la fameuse chaise, Marc propose à Léa d’installer la fautive et surtout de bien serrer les entraves. En effet, si par réflexe elle mettait ses mains sur ses fesses au mauvais moment, elle aurait extrêmement mal aux doigts. Léa n’hésite pas un instant à relever la jupe et déculotter son amie pendant que Marc lui explique comment fonctionne la machine. Vous pouvez régler ici la puissance de un à dix, et sur la télécommande la durée de la fessée, le mode aléatoire ou programmé ! Explique Marc. Puissance maximum, cette vilaine mérite une bonne fessée ! Je vous le déconseille pour plusieurs raisons. La première est que puissance maximum avec une canne, ce sera extrêmement douloureux. La deuxième est qu’il est bien de « chauffer » un peu les fesses en démarrant progressivement, un peu pour faire chauffer un moteur avant de lui demander pleine puissance. Cela permet de jouer plus longtemps et surtout, d’inscrire dans le délicat fessier une punition qui se prolonge dans le temps. En clair, demain elle trouvera tous les sièges inconfortables et se rappellera de sa punition. Démarrez doucement, vous pourrez toujours augmenter la puissance. Je vous laisse entre vous gérer la suite, punition ou plaisir ou les deux ! Leur indique Marc avec un grand sourire juste avant de les laisser tranquilles. Si Léa était bien décidée à aller au bout de sa promesse, l’idée de faire réellement mal à son amie la perturbe En effet sa tirade précédente indiquant « puissance maximum » était juste pour s’amuser à faire peur à sa soumise. Elle démarre donc la machine à fessée avec prudence en mode « puissance 2 » et règle la durée sur trois minutes. Si son intention n’était pas de réellement punir par la douleur, elle constate rapidement que puissance deux, la fessée ressemble plus à des caresses qu’une punition. Julie semble même très apprécier, le comble de la déception pour une Maîtresse. Ça c’était pour t’échauffer les fesses, nous allons donc passer à la puissance supérieure ! Indique Léa en passant à « la puissance 4 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller s’installer sur le fauteuil de Maîtresse. Son but est de savourer les expressions du visage de cette amie et soumise que secrètement elle commence à aimer d’Amour. Lorsqu’elle lance la machine, Léa peut constater que Julie se pince les lèvres de douleur, en réalité ce n’est que de surprise. Pendant que les minutes de fessée mécanique s’égrainent, elle s’étonne de voir le visage de Julie s’épanouir comme si elle prenait du plaisir. En effet, elle entrouvre régulièrement les lèvres, affiche même le visage d’une fille « satisfaite ». Pour Julie, c’est une réelle découverte. Si être attachée et « contrainte » compte de ses principaux fantasmes, elle découvre lors de cette deuxième série, le plaisir que procurer la fessée. La deuxième série de fessée terminée, Léa se lève pour aller voir l’état des fesses de son amie. Les stries rouges qu’elle découvre lui pince le coeur. Ça va tu as compris que tu ne dois pas mordre ta Maîtresse ? Demande Léa pour jouer son rôle. Non Maîtresse, je n’ai pas compris et il est fort probable que je recommence de vous mordre ! Répond Julie. « ??????? » (Résumé des premières pensées de Léa) En effet, elle ne comprend pas qu’après avoir eu mal et les fesses marquées son amie en redemande en la provocant de la sorte. Pour en avoir le coeur net, elle laisse glisser ses doigts sur les fesses chaudes et striée en générant des frisons et un gémissement de satisfaction. Bien décidée à pousser ses investigations, le meilleur (doigt communément appelé le majeur) glisse dans la vallée pour aller mesurer l’hydrométrie du temple des plaisirs féminins. Elle s’étonne et s’émeut de découvrir un véritable « marécage ». Mais tu es maso des fesses toi ! Oui Maîtresse, ai-je droit à une autre série un peu plus forte ? En guise de réponse, Léa passe la machine à « la puissance 5 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller chercher une chaise et le magic wand. Elle lance la machine qui, régulièrement fait son office en claquant les fesses avec la régularité d’un métronome. En évitant les coups de canne, Léa allume le gros vibro qu’elle pose sur le clitoris de son amie. Moins d’une minute plus tard, Julie se met à chanter puis crier son plaisir sans aucune pudeur. Léa s’étonne même de l’intensité de cette mélodie. Noyée dans le plaisir des contraintes, ses fantasmes, la douleur devenant plaisir grâce aux endomorphines et ses jouissances à répétition, Julie en arrive à espérer que cela ne s’arrête jamais. Par contre, en voyant le fessier se marquer sérieusement, Léa se demande si elle doit poursuivre ou pas. Lorsque la machine s’arrête, elle la débranche aussitôt, estimant devant l’état des fesses que cela suffirait. C’est lorsqu’elle la délivre des entraves que Julie craque et se met à pleurer. Ultra perturbée, Léa l’aide à se relever pour la guider vers le lit de la chambre Love pour un gros câlin consolateur. Désolée ma puce, je ne comptais pas aller si loin ! Lui murmure Léa entre deux bisous doux et sages. Ne soit pas désolée, je pleure de bonheur, de trop de sensations ! Répond Julie en plongeant son visage dans la poitrine de son amie comme si ses seins devenaient un refuge. Un gros quart d’heure plus tard, enfin remise de ses émotions, Julie demande dans quel état sont ses fesses. Elles virent au bleu à certains endroits ma puce. Je m’en moque, c’était vraiment trop bon ! Je peux en acheter une ? Demande Julie. Si tu veux, ce sont tes finances mais à condition que je sois ton « garde folle » car tu risques de finir par te blesser. Maintenant c’est ton tour ! Déclare Julie spontanément. Jamais, il est hors de question que je prenne une fessée ! Mais non, ce n’est pas de ça que je parle, j’ai envie de te faire l’amour, de te rendre heureuse. Laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas ! Léa se laisse donc entraver nue bras et jambes en croix sur le lit de la chambre Love. Le but de Julie étant de la rendre « chèvre » de plaisir, elle s’investit totalement dans cette mission impérieuse en semblant se fondre harmonieusement dans des étreintes passionnées. Pas un pore de la peau de sa Maîtresse n’est épargnée par les lèvres avides et la langue goulue de l’amoureuse. Ses doigts, ses ongles et les sextoys font aussi cause commune dans cette « monstrueuse vengeance » visant à combler de bonheur celle qui lui a appris qu’entre femmes, le plaisir pouvait être divin. Nos amoureuses sont quasiment à l’état de légume sur pattes lorsqu’elles se rendent au gîte pour se coucher. Elles sont si épuisées que l’idée d’une douche ne les a même pas effleurées. Toutes deux, elles quitte le lendemain le gîte fétichistes avec le coeur gros tant ces vacances ont été merveilleuses. EPILOGUE Depuis ces vacances au gîte fétichistes, elles ne sont plus quittées et se sont décidées à emménager ensemble. Léa n’est toujours pas une vraie Maîtresse, elle ne pratique la domination et le bondage que par jeu et surtout par amour. Julie s’est mise aux plaisirs saphiques, elle n’a plus envie de quoi que ce soit avec la gente masculine, avec Léa elle a trouvé le bonheur et son épanouissement personnel. FIN TSM Note de l’auteur • Si Marc existe réellement • Si le gîte fétichistes existe réellement • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes. Visiter le SITE du gîte fétichistes en cliquant ICI Visiter le gîte fétichistes en vidéo sur Youtube
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Par : le 27/12/22
I) une rencontre d’âmes : la prise de contact fin du début des années 2000, 2007 pour être précis ; je naviguais dans les sphères du BDSM depuis quelques années, je me remettais d'une rupture sentimentale et de la fin d'une relation que certains nommeront D/s mais qui, a mes yeux, était bien plus. Une situation financière catastrophique se terminait, je touchais a la fin de ma première carrière professionnelle ; j’étais en quelque sorte dans des limbes sociales et personnelles fortes, brumeuses et accablantes. En ce mois de janvier, je parcourais les sites afin de pouvoir revenir vers le BDSM, je ne pouvais pas envisager une autre forme de relation, comme si je voulais éprouvé ma volonté de me soumettre, de vivre ma sexualité ou émettre un cri des émotions. En naviguant de site en site, et ce depuis la fin 2006, je finissais immanquablement par revenir sur celui d'une Dominatrice reconnue dans le milieu, Sa façon de présenter les relations, Son physique, Ses tenues et l univers que peignait chacun de ses mots, chacune de ses photos me troublait de façon certaine et forte. J'avais déjà écris un mail de présentation a cette Dame, Elle m'avait répondu et dans une forme de lâcheté je n'avais donné suite, incapable de pouvoir réunir l'offrande et pris de la peur de m'attacher, en un mot me croyant indigne. Mais en ce début d'année, mon esprit semblait ne pouvoir se détacher de l envie, du souhait de rencontrer cette Dame, Lady Morrigàn, de me confronter une fois encore a ce que je nommais mes démons, de poursuivre un cheminement, que je savais incontournable. Je me décidais a ré écrire a Lady Morrigàn afin de pouvoir obtenir la possibilité d'un appel téléphonique pour fixer une possibilité de rendez vous, lui exposer si possible l’émoi qu'elle suscitait en moi, quitte a passer pour un fou. Sa réponse ne tarda pas, elle m'expliquait qu elle ne serait pas disponible avant février, et que je pourrais réfléchir et que si cette envie de la La rencontrer était toujours présente, alors je devrais la rappeler a une date et une heure précises. Bien sûr je répondais par retour de mail, que j'acceptais les conditions et je m'engageais même a respecter Sa volonté quant a la date de l'appel. Durant la période entre cet échange et la date, mon esprit fut comme quasi dédie a l’élaboration d'une présentation, je commençais même a faire des calculs pour pouvoir prévoir l offrande (dont je me doutais du montant). Le mois et demi passa, sans doute bien trop lentement pour l'impatient que j’étais encore a l’époque, malgré une relation précédente m'ayant déjà apporté les bases d'une éducation D/s. Le jour et l'heure de l'appel arriva, je composais le numéro avec une grande nervosité, sans masquer mon numéro comme demandé ; les sonneries s’enchaînèrent jusqu'à déclencher le répondeur et j'entendis pour la première fois cette Voix qui allait me pénétrer, envelopper mon esprit ; a la voix douce et autoritaire, une diction troublante, les mots semblaient prendre une autre dimension et mon esprit commença a se délecter et se perdre dans ces chants hypnotiques. Je laissais un message, tentant de rendre ma voix la moins chevrotante possible malgré l’émotion. A peine avais je poser de le téléphone sur mon bureau, avec une touche de déception qui me poussa a allumer une cigarette, que celui ci sonna, numéro masqué ; alors que d'habitude je ne réponds pas a ces appels, là je décrochais et immédiatement je reconnu Sa voix envoûtante qui prononçait mon pseudo, j’éteignais la cigarette et lorsque un « merci d'avoir laisser un message, nous allons pouvoir échanger » parvint a mon esprit et aussi impulsif que cela puisse paraître, je me mis a genoux naturellement, comme si la présence de Lady Morrigàn venait a moi par Sa voix, comme si le soumis en moi reconnaissait d'instinct un règne l'appelant. La conversation était axée, entre autre, sur les conditions de rencontre et au fur et mesure, elle prit une tournure plus « intime », sur ce que Lady Morrigàn appréciait chez des soumis, sur les blogs et sites internet et sur l’expérience. Je découvrais alors que Lady Morrigàn possédait un cheptel de soumis « proches » qui lui rendait des services, elle me parlait alors d'un blog que je tenais et où j'exposais mes écrits et dessins, un compliment me fit vaciller. Il fut alors convenu que avant d'envisager quoique ce soit, je devais répondre a un questionnaire qui me serait envoyé via mail, rédiger une lettre exposant comment je voyais mon parcours et les motivations les plus exactes quant au fait de vouloir venir aux pieds de Lady Morrigàn. au cours de ce dialogue,je me rendais compte que certains aspects étaient en commun, certaines affections, visions. Je mettais cinq bonnes minutes a redescendre après cet échange, et dans la foulée je ne pus m’empêcher d’écrire un texte relatif a ses mots, sa voix et ce que je ressentais. Dans le jours qui suivirent, je recevais le questionnaire et m'appliquais a rédiger une lettre de motivation, la plus complète possible où je ne cachais rien de mes expériences, ressentis et situations. Il s'en suivi un échange de quelques mails, et l'envoi du texte écrit lors de notre dialogue téléphonique, puis quelques semaines plus tard , il me fut demander d’appeler Lady Morrigàn. cet appel était en vue de poser un rdv. La date fut convenue, l'offrande également, un geste me fut accordé égard a ma situation financière a la seule condition que j apporte le texte envoyé par mail , ainsi qu'un autre posant mon imaginaire sur le rdv a venir, sur papier a l'encre bleue. Le jour de la première rencontre : la date tant attendue était là, j'avais repéré le temps de trajet, je m’étais apprêté de manière a être le plus courtois et respectueux pour ce rendez vous, pour cette venue dans le lieu de règne de Lady Morrigàn. une grande nervosité me tiraillait la gorge et le ventre ; durant le trajet en transport, je me répétais les gestes, les mots et les attitudes que je Lui devais de respecter. Une fois sorti du métro avec de l'avance sur le rdv, une envie de fumer me prenait, je la réprimais difficilement, j'allais a l'adresse fournie, passais l'appel convenu a l heure convenue. Alors que mes doigts saisissaient le code d'entrée, je voyais mon tremblement augmenter,tout en moi me faisait penser que ce rdv allait devenir une référence, que je m’apprêtais a franchir un cap important, que cette rencontre allait compter. Je pris l'ascenseur, un ancien modèle des immeubles parisien, dans cette cage mouvante je me sentais comme en élévation vers un lieu unique, mystique. La voix de Lady M, son image étaient en moi et plus je montais, plus c’était le cas. La porte se trouvait juste en face de l'ascenseur, il ne semblait pas y avoir d'autres appartement sur le palier. Comme demandé, je ne sonnais pas mais me servait du butoir de porte, pas de réponse, devais je re frapper ? Alors que ma main était devant le butoir, j'entendais un bruit distinct, celui de talons sur le sol ; la porte s'ouvrait sur un couloir dans la pénombre, et se faisant une odeur, un parfum vint me saisir comme une main a la fois ferme et chaleureuse ; la voix de Lady Morrigàn m'invitait a entrer, elle se tenait derrière la porte ; alors je faisais trois pas dans le couloir , la porte se referma avec un bruit quasi de loquet, une sensation me prenait alors, celle de me dire que désormais un chemin pouvait s'ouvrir. Je sentais alors Lady Morrigàn passer sur mon coté, mon regard se baissa d'instinct. Elle se tenait face a moi, je restais bloqué comme idiot a regarder ce que je devinais être des bottes a talons aiguilles, noires et a lacets, je ne montais pas mon regard plus haut. Une main vint alors se placer a mi hauteur, je mettais la mienne a ma poche de revers afin de sortir l enveloppe de l offrande. Un « pas maintenant, suivez moi » un brin agacé me fit remettre l enveloppe dans ma poche. Je suivais Lady Morrigàn dans le couloir, en ne quittant pas ses talons des yeux, nous arrivâmes dans le boudoir, une belle pièce plongée dans une pénombre, je distinguais une console sur ma gauche, devant moi un petit tapis circulaire posé devant une cheminée, au dessus de laquelle un miroir entouré de bougeoirs triple étaient placés. Sur le mur face a moi, un bouclier et deux épées prêts d'une porte menant a une autre sale, sur le même mur après cette porte, en allant sur la gauche, un tableau sous le lequel étaient situés deux anneaux métalliques, en dessous se trouvait un guéridon au dessus de cuir. En continuant un regard circulaire sur la gauche, devant une fenêtre aux épais rideaux noirs tirés, se trouvait une méridienne Joséphine empire aux couleurs pourpres, un guéridon a gauche et entourée de plantes, puis mon regard revint sur la console a coté de laquelle je remarquais un valet. La musique que je remarquais enfin était de type underground fantasy. Lady Morrigàn me demanda de poser l'enveloppe sur la console, d’ôter ma veste sur le valet et de prendre place sur le tapis circulaire, je m’exécutais sans oser la regarder, d'autant que le ton employé a mon arrivée indiquait sans équivoque , que j'avais commis un impair. Une fois que je m’étais placé sur le tapis, regard baissé et mains derrière le dos, Lady Morrigàn me lançait : « allez vous, vous décidez a oser me regarder ou n'aurais je droit qu'a un regard fuyant d'animal coupable ? -Maîtresse, c'est que je sens avoir commis une faute -oh oui vous en avez commis une et venez d'en refaire une autre, je vous indiquerais lesquelles en temps voulu -bien Maîtresse » j'osais enfin lever les yeux, et là je la vis superbe, en position de reine sur la méridienne. Elle portait de superbes bottes montantes au dessus du mollet, lacées et noires, une jupe en vynil dont l'ouverture sur la cuisse laissait deviner des bas soyeux, un chemisier en dentelles blanches laissant deviner un bustier noir ; son visage exprimait de la vie, un teint pâle, des lèvres cerises, un regard perçant vous scrutant au plus profond, des cheveux blonds platine quasi blancs aux boucles travaillées sur les tempes, ses mains gantées d’élégance noire en cuir. Telle une aphrodite guerrière et rayonnante, elle était posée sur sa méridienne, une jambe légèrement pliée sur l'autre, une de ses mains en poing sur sa joue ; cette vision me conquit d'emblée, sa voix allait si bien avec son corps. Tout en Elle dégageait, grâce et force, une présence comme on en croise peu dans une vie,son être vibrait ses ondes jusqu' a mes souffles, s'en emparant en un battement de cils. Je me sentais si chanceux d’être en la présence d'une telle Femme et dans le même, je savais déjà que je signais là l'acte qui pourrait me mener a ma perte, tant je pressentais que cette Femme pourrait me menait a la damnation que je la suivrais alors avec un sourire reconnaissant et dévotion. Déjà je rêvais de l'honneur de pouvoir embrasser ses bottes, de lui livrer mon corps et mon cœur ; certaines rencontres sont ainsi faites que vous sentez jusqu'à votre moelle, qu'elles vous marqueront a jamais. Lady Morrigàn me demanda alors de me dénuder a l'exception de mes sous vêtements et de poser mes affaires correctement pliées aux cotés de la cheminée ; alors que je reprenais ma position initiale, debout et mains dans le dos, je me rendais compte que Lady Morrigàn s’était levée, alors que je me retrouvais face a elle, elle commençait a avancer vers moi. Une démarche a la fois féline et aristocrate, puissante et raffinée ; chaque pas qu'elle faisait en ma direction soulevait en moi des tornades d’émotions, je sentais une envie de reculer comme pris de panique et dans le même temps, une envie irrésistible de me jeter a ses pieds ; plus elle avançait, plus j’étais captivé, non seulement par son physique mais aussi et surtout par son aura, je sentais alors distinctement une fissure se dessiner en moi. Alors que son souffle se résonnait sur ma peau, elle m indiquait que l'inspection pouvait commencer, ainsi que le questionnaire. Ses mains commençaient a sinuer sur ma peau, de la base de la gorge a l abdomen en passant par les flancs, mes yeux se fermaient a son contact a la fois doux et inquisiteur. Entre des questions sur mes goûts musicaux,mentalité, des remarques sur ma condition physique venaient piquer mon orgueil, un peu trop mou, manque de fermeté (oh comme elle se servait bien de mes confidences sur mon manque d'assurance en mon physique).
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Par : le 22/02/22
De la Bienveillance, naît l'Espoir, De l'Espoir, naît la Vie. Avant de Vivre, il faut savoir se trouver soi-même, de nos envies, de nos aspirations, de nos désirs, conscient de nos failles, afin d'être en harmonie avec ce Je, pour s'offrir à l'autre, avec transparence. Vivre, c'est aussi savoir s'entourer des bonnes personnes, savoir patienter, savoir les veiller, savoir s'en nourrir en retour, savoir aller vers elles lorsqu'on en ressent le besoin, sans jugement, avec bienveillance, et parfois, avec Amour. Ce soir, au terme d'une semaine, initiée le 12 Février dernier, inattendue, qui semble avoir chamboulée à nouveau ma vie, insoupçonnée dont je n'avais ni l'envie, ni l'espoir, faisant mon deuil, déconstruisant un lien précédent, total, j'ai compris. La nommé âme-sœur, serait prématuré, et je n'en ferais pas ici l'exercice, néanmoins, lorsque je la regarde, lorsque je regarde en Elle, de cette Femme, n'étant séparée de moi que par 2 petites années, et 30km, j'y vois des choses, que je n'avais pas vu depuis 13 mois, et bien au delà. Avant ce mois de Janvier 2021 (je rédige cet écrit en Février 2022), en cette femme qui m'a vu enfin Vivre, trouver ma place, avec Elle à mes pieds, en savourant chaque instant, qui m'a aidé à me construire, m'a forgé, plus qu'aucune autre en tant que Maître, qui m'a façonné, dans mon désir d'apporter à l'autre, dans mon désir de la nourrir, de l'abreuver, de l'éveiller, de la révéler. De la distance, de ces 800kms, de nos différences d'âges, s'avérant bien plus âgée que moi, l'union de nos vies se révéla impossible, fissurant notre lien, au terme de 2 années et demi, sans réussir à le briser, car notre amour fut total, mais nos vies, surent briser nos âmes, individuellement, ainsi que notre tanière, de ce Oni's Den, dont nous surent rayonner, ensemble. Ce soir, j'écris ces mots, accompagnés d'une tisane au Thym, témointe d'un acte de bienveillance, ayant indiqué plus tôt dans la semaine que j'avais eu une nuit difficile, à cette Femme récemment arrivée dans ma vie, d'une nuit de 4h, la gorge prise. La voyant le lendemain au déjeuner, cette Femme, cette Animale, cette Renarde, su m'offrir de quoi guérir. Je le sent, Elle sera celle qui saura me veiller, panser mes plaies, et m'accompagner dans la découverte du monde, construisant le Notre, si patient, dans la communication, je le souhaite, nous réussirons à nous servir, car elle consciente de la rareté, ainsi que du caractère précieux de cette place, nourrie ces expériences passées. Ainsi, je sais, je sent, que jamais elle ne me lâchera... que jamais, elle ne m'abandonnera... Elle est le miroir de mon âme, car lorsque je la regarde, je me vois. Dans des fonctions naturellement différentes, mais je sais, je sent que c'est Elle, qui saura guider mon dernier souffle, pourquoi me direz-vous, parce que je suis un être d'émotions, de sentiments, d'amour, qui se donne, sans retenu, de manière exclusive, à celle sachant le faire vibrer, même si pour la première fois de ma vie, de ces fêlures récentes, je me retient, hélas. Alors que j'écrivais ces mots, je su recevoir un message, innocent : "Voudriez-vous que je passe en coup de vent pour vous embrasser et vous dire bonne nuit ?". La ou ce matin même, j'avais su rouler 30min, me rendant a son domicile afin de la croiser, me saisissant d'un livre oublié la veille, "Le Petit Prince", pour que celui-ci guide ma semaine de vacances, en présence de ma famille, d'une présence plus discrète qu'un lecture liée à ce milieu, plus sage, lui faisant la surprise en retour, de lui offrir, une lecture ayant guidée mon adolescence, d'un échantillon de mon gel douche, ainsi que d'un "rabou" de mes cordes de Shibari, afin que durant cette semaine, elle me sente prêt d'Elle. Je ne saurais dire les sentiments qui me traversent en cet instant, mais la ou par le passé, mon amour, bienveillant et transparent, su en retour me meurtrir d'une décision prise de celle que je pensais être la Femme de ma Vie, d'un acte dont j'ai demandé l'explication, mais qui me parait toujours aussi fou. Parmi ces derniers mots, me faisant face, elle su me dire de manière apaisée : "La meilleur des histoires, c'est celle que l'on a pas encore vécu", à quoi je répondis, que pour moi, "La meilleur des histoires, c'est celle pour laquelle on est prêt à se battre". J'ai enfin compris le sens de ces mots, et je tenais à la remercier, sincèrement, de m'avoir rendu ma liberté. J'ai chuté comme jamais, mais sans cela, je n'aurais pu être la ou je suis aujourd'hui, m'amenant bien plus loin dans mon cheminement de vie, que jamais par le passé. J'ai l'espoir que cette Femme, soit la dernière, et je souhaite me battre pour cela, ne m'offrant plus dans un amour inconditionnel, mais apprenant déjà à l'aimer, Elle, l'apprivoiser, en douceur, pour l'être merveilleux, la Femme, la Soumise, la Mère, et bien d'autres encore, qu'elle ne soupçonne pas encore, car dans les mains l'un de l'autre, un monde saurait s'ouvrir à nous, si nous prenons, ensemble, l'engagement solennel, de ne jamais détourner le regard, ni de museler nos paroles, afin que derrière ce lien, une Famille puisse naître. A vous tous, protégez-vous, mais n'oubliez jamais de vous aimez, encore et encore, car une vie sans amour, ce n 'est pas une vie, Aujourd'hui, je crois, je l'espère, avoir su trouver ce dernier Amour. A Vous, qui n'êtes pas encore mienne, mais qu'il me plait de nommer, ma Protégée. NB : A l'heure de ces écrits, ce lien en devenir n'a toujours pas été consommé, n'en ayant personnellement pas la force.
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Par : le 16/04/21
Je suis un dinosaure du bdsm qui a connu l'époque où la notion de relation Maître-soumise avait encore un sens profond, était un Lien quasi sacré, un engagement réciproque, basé indispensablement sur un sentiment amoureux démultiplié par l'Appartenance et la Domination/soumission (pour celles et ceux qui auraient un peu de culture, j'ai connu Alain et Catherine dans ma toute jeunesse). Rien à voir avec les "listes de pratiques", le pseudo libertinage déguisé en cuir et clous, ou les masques de carnaval que je vois sur les sites. La mode du bdsm a fait des ravages... Incompatible avec tout ce cirque, je me suis éloigné de Paris et du microcosme bdsm. Nouvelles pages, nouveaux chapitres. Je cherche aujourd'hui celle qui se reconnaîtra dans une vision profonde de la relation D/s, celle qui viendra en amour et en confiance se placer sous mon autorité à la fois stricte, bienveillante et globale. Celle qui sera ma compagne, ma muse, ma putain, ma femelle, ma soumise, mon amie... Celle de qui je serai le mentor, l'ami, l'amant, le protecteur, le guide, et le possesseur. Celle avec qui partager des affinités culturelles et des valeurs assez traditionnelles et patriarcales de la relation, celle pour qui appartenir, servir, obéir, subir soit un vrai besoin et une condition d'épanouissement en amour. Celle avec qui construire un projet de vie à deux, une relation harmonieuse et apaisée, durable, pour la suite... Je sais qu'il y a peu de chance qu'elle existe sur ces sites... mais sait-on jamais. Monsieur V. Autre chose à tous ceux qui se prétendent Maître... C'est comme si je me décrétais champion du monde de patinage artistique... ! Ce n'est que la femme, qui en se soumettant corps et âme fait de l'homme son Maître.
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Par : le 23/01/21
Jasmine est subliment belle. Pourquoi? Parce qu'elle est nature. Elle déteste l'apparence, les maquillages et artifices. Elle n'a pas besoin de cela. Plus les femmes sont belles et plus elles savent qu'elles n'ont besoin de rien, pas même de quelques gouttes de parfum. Les males se retournent, les admirent, les désirent, elles ont le choix. Ce n'est pas si facile d'être subliment belle et de n'avoir besoin de rien d'autre. C'est un cadeau de Dieu ou des Dieux qui aiment se moquer des désirs des hommes pour l'éphémère. Ce qui dure et c'est la plus belle beauté, c'est ce qui se trouve à l'intérieur, c'est cette grâce interne qui rayonne et illumine, le reste n'est qu'illusions. Jasmine est de tous les combats féministes. Elle milite pour les droits des minorités, les gays, les bi, les trans, les lesbiennes, les indiens d'Amazonie, les gorilles d'Ouganda. On peut admirer ses longues jambes si bien galbées au devant des manifestations. Des journalistes la flashent tellement elle est sublime lorsqu'elle revendique. Elle est vite repérée par une agence de mannequins et cela devient sont métier. Vendre sa beauté sur des réclames. Elle gagne fort bien sa vie et celui qui lui demande de coucher se prend une baffe. Seulement voilà, l'amour est un mystère. Jasmine rêve du grand amour. Elle ne veut pas d'aventures. Elle est toujours vierge et se réserve pour son homme. Elle n'en veut qu'un seul pour toute la vie. C'est son choix et elle l'assume. Elle est impitoyable avec tous ses prétendants qui se jettent à ses pieds. Elle sait que lorsqu'elle rencontrera son homme, ils n'auront pas besoin de mots pour se déclarer leur amour, le premier regard suffira. Mourat est un émigré tchétchène. Il s'est battu contre les russes dans le Caucase. Sa tête a été mise à prix et il a du fuir loin de son pays et loin des tueurs à sa recherche. Il a fini à Paris. Il a facilement trouvé du travail dans une agence de sécurité. C'est un expert dans de la maniement du Kindjal ce long couteau qui ressemble un peu au gladius des légionnaires romains. il est efficace, discret et fort apprécié pour ses talents. Il aime sa nouvelle vie. Un jour par hasard, dans un salon, son regard a croisé celui de Jasmine, ils se sont accrochés et ils ont su de suite, tous les deux que leurs âmes étaient liées. Ils se sont éloignés, chacun occupé à ses taches. Mourat a tout fait pour la retrouver et lui parler. Il sait qu'elle est la femme de sa vie. Il n'a eu aucun mal à savoir qui elle était et ou elle vivait. La deuxième rencontre a été magie. leurs lèvres se sont trouvées, leurs corps se sont serrés. Ils ont voulu être un. Depuis ils ne se quittent plus. Mourat, le tueur, est si doux, si prévenant, si respectueux avec sa femme. Un contraste qui n'a rien de surprenant. C'est Jasmine, la féministe pure et dure qui est devenue une surprise. C'est elle qui a voulu devenir l'esclave de son homme. C'est elle qui a voulu recevoir la fessée sur ses genoux. -Je ne suis pas sage, dit elle, corrige moi sept fois par jours, tu sais combien j'aime cela. Et Mourat a su faire et combler son épouse. -attache moi et prend moi ainsi, comme ton esclave. Je n'ai qu'un désir, te servir et t'obéir. C'est cela qui me fait jouir. Et son époux a su récompenser son épouse. -cadenasse ma chatte et porte la clé autour de ton cou. C'est mieux qu'une alliance au doigt. Mourat a sorti son kindjal et à percé son épouse comme il fallait. Depuis Jasmine est heureuse et en paix. Son vœux le plus cher s'est accompli.
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Par : le 03/01/21
Allez zou, une petite histoire pour bien commencer 2021. ...l'effet tunnel... Je travaille comme ingénieur dans une zone secrète en Arizona. Nous préparons les prochaines bases qui vont être implantées sur la Lune, Mars et autres corps de notre système solaire. Ma chef de service, Wira est une jeune indonésienne, toujours voilée, membre d'une secte musulmane très pieuse. Je n'ai jamais vu que ses yeux mais dès le premier regard, le jour où j'ai été affecté sur cette base, je suis tombé amoureux dingue de Wira. C'est con ce truc, aucune explication, j'ai su de suite que Wira était ma femme. Nos âmes étaient liées et cela depuis toujours, même par delà la naissance et la mort. Cette étrange impression que vous connaissez cette personne, qu'elle vous connaît parfaitement aussi et que tout devient si simple, si naturel. Un peu comme ces vieux couples qui ont usés les années ensemble, patiné leurs âmes et que plus rien ne peut séparer. Wira n'est pas intelligente, non, c'est une génie. A 21 ans, elle avait déjà trois doctorats en poche et publié des thèses fort innovantes. Résultat, les services secrets américains lui ont mis le grappin dessus et elle s'est retrouvée dans cette base, à bosser comme une malade sur des recherches qui la passionnent. Elle est d'une énergie incroyable. Pour ma part, j'ignore comment je me suis retrouvé dans ce lieu futuriste, tout d'acier et de verre et je ne sais même pas quel est mon job véritable. J'ai certes un diplôme d'ingénieur, mais ici, entouré de tous ces savants émérites, on se sent un peu comme un cantonnier avec sa pelle qui regarde passer des voitures de course. Un jour le général qui commande la base m' a convoqué dans son bureau meublé à l'ancienne, style 1800, sans doute pour se reposer le cerveau. -Alors, il parait que vous ne savez pas pourquoi vous êtes sur cette base, m'a t'il dit en me regardant droit dans les yeux avec ce regard délavé, typique des très hauts gradés de west point. Un regard à la Westmorland. Cela m'a fait sourire. -C'est exact. Je me pose la question tous les jours. -Nous vous avons fait venir, ...un peu de force...j'en conviens car vous êtes le mari de Wari. Ne le savez vous donc pas? Je n'ai pas su quoi répondre. Cela se voit tant que cela que je suis amoureux fou de Wari? -C'est une savante d'exception. Elle a besoin de son homme et nous savons que c'est vous, alors ne perdez plus de temps et demandez lui sa main. C'est un ordre ! Visiblement le général aux yeux à la Westmorland décide de tout. Rien que pour le faire chier j'ai envie de dire non et puis....je vois les yeux de Wari et je craque. -Ce sera fait avant ce soir. Je me suis pointé dans le bureau de Wari. Elle porte son voile islamique comme toujours. Ses yeux...quelle merveille. -Oui, de quoi s'agit il? je n'ose répondre. Elle me regarde. Je devine son fin sourire sous son voile. Visiblement je l'amuse. J'espère qu'elle ne va pas me prendre pour son animal de compagnie, son labrador. Puis non, zut, je suis trop amoureux. -Wira, voulez vous m'épouser. Elle se lève et viens vers moi. Elle semble flotter dans ses voiles. C'est comme si elle glissait sur le sol. Elle me prend la main et pose un baiser dessus. -Oui Ce simple mot m'a électrocuté. Je ne sais ni pourquoi ni comment mais nos lèvres se sont touchées, nos langues se sont cherchées, nos corps se sont lovés. J'ai senti ses seins lourds contre ma poitrine. J'ai eu envie d'elle, de lui faire l'amour. Mais Wari me connaît parfaitement. Elle a su calmer mon ardeur. -Après le mariage et tant que tu voudras. Le mariage a été célébré sur la base par le général pour le civil et un imam de sa secte. Wari n'a pas voulu prendre de vacances. Nous avons baisé toute la nuit et le matin j'ai retrouvé le lit vide. Elle était déjà retournée à son labo. Depuis, elle bosse, bosse et bosse. Je passe la voir quand je veux et je la tringle. Elle ne dit jamais non. Elle sait me faire jouir très fort en elle, prendre une douche avec moi et puis zou, de nouveau au boulot. Parfois, c'est elle qui vient. je me laisse faire. Elle dégrafe mon jean, sort mon sexe épais et s'empale dessus. Elle me couvre de baisers, m'inonde de cyprine parfumée. Elle sait se faire jouir sur mon sexe tendu, elle sait m'aspirer et me vider de ma semence. J'adore la laisser faire. Parfois, je me pose la question. Suis je son époux ou son labrador? C'est pas le général aux yeux à la Westmorland qui va me donner la réponse cette fois.
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Par : le 10/11/20
Lamia est franco libanaise, toute en très jolies rondeurs pour son époux qui en est fou. Lui , Sergeï, est presque malingre à coté, 1m75 pour 65 kg mais il est monté comme un Taureau, un bon 20 cm bien épais et endurant. Elle, c'est 1m 65 pour 145 kg de pur bonheur. Il ne faut pas parler à Sergeï des programmes minceurs qui passent en boucles dans les réclames TV. Quelle horreur cette idée de vouloir mincir. Pour Sergeï, rien n'est plus beau qu'une femme bien ronde.. Les maigres ne l'ont jamais fait bander. Avec Lamia il est au nirvana. Lorsqu'il va à l'Eglise il prie: "Mon Dieu, si je dois aller au Paradis, faites que mes 72 vierges soient bien rondes, sans quoi expédiez moi directement aux enfers, là où on s'amuse et baise. " Lamia est amoureuse folle de son "petit " Sergeï. Lorsqu'elle le serre dans ses bras elle se demande toujours où il est, c'est à dire dans quel pli et repli de son corps voluptueux il s'est enfoui. Le problème avec cette pandémie c'est que le toubib de Lamia a poussé des cris. -travailler, n'y songez même plus. Vous êtes en sur-risques avec votre surpoids. Je vous confine d'office. Elle a donc du rester à la maison et passer au télétravail. Elle est secrétaire et son boss a été très conciliant. Par contre Sergeï qui est routier doit lui bosser en extérieur et se lever tôt. La nuit Lamia ne peut dormir que si elle serre le pénis de son époux qui adore cela, lover sa belle queue dans la grosse paluche de sa femme. Elle ne le branle pas mais s'amuse à le garder en érection toute la nuit. Sergeï se laisse faire. C'est trop bon de sentir les rondeurs si douces de sa femme, sa chaleur, dans son dos. Le matin vers 4h, il est à point. Toute sa sève ne demande qu'à sortir. Lamia le suce et l'aspire goulument. Il se libère dans sa bouche et donne à son épouse sa ration de vitamines et d'énergie pour la journée. Lamia adore laver son époux sous la douche. Elle ne peut pas avoir d'enfant, alors c'est un peu son bébé. Elle le savonne, le rince, le talque, l'habille et Sergeï aime cela, se faire bichonner par sa femme. Après un bon petit déjeuner, il file retrouver son camion le cœur heureux. Il n'a qu'une hâte, à peine parti, c'est de vite retourner à la maison pour pilonner la chatte de son épouse. Le soir est enfin là. Lamia a préparé le repas. Elle s'est faite belle. Sergeï est trop impatient. Il l'a bien grosse et il veut se vider les couilles. Vite le canapé! Une levrette pour commencer. Ah ce cul superbe et généreux. Il s'enfonce d'un coup. C'est vraiment très jouissif. Lamia ruisselle. Il explose. Il n'a pas pu se retenir. Ce n'est pas grave, il sait qu'ils vont vite remettre cela. Lamia ne dit jamais non à son homme. Sergeï allume une gitane sans filtre...rires. Il fume et laisse échapper: -Tu es trop bonne Lamia. Je t'aime Lamia ne dit rien et lui donne ses seins magiques a sucer et caresser. Le sexe de sergeï se dresse à nouveau....
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Par : le 12/10/20
J'ai toujours aimé lire Guerre et Paix de Léon TolstoÏ, J'aime sa conception amusante de l'histoire où les grands hommes ne sont rien d'autres que des étiquettes sur des évènements historiques que personne ne comprend vraiment tant ils sont complexes. Sur ces évènements, l'auteur greffe des personnages fictifs qui vivent leurs vies. Seulement voilà, Tolstoï a ses bons et ses mauvais. C'est trop simple et je n'aime pas. De toute façon la fin de vie de Tolstoï avec son épouse a quelque chose de dramatique. Je veux donc réhabiliter certains personnages imaginaires crées, les décrire autrement. C'est libre. Parlons par exemple de celle que Tolstoï décrit comme une garce, Hélène kouraguine devenue Hélène Bezoukov après son mariage. Tolstoï veut décrire une femme intéressée uniquement par la fortune de son époux, Pierre Bezoukov. Je ne crois pas à cette version. Je crois que si l'on offre à une femme le choix entre l'amour et l'argent, la femme choisira toujours l'amour et n'en aura rien à faire de l'argent. Un mariage arrangé, voulu par son père, un mariage sans amour, bref un désastre pour les deux. Cela me fait penser à Lady DI et le Prince Charles. Un mariage arrangé sans amour véritable. Il ne sert à rien de jeter la pierre à l'un ou l'autre, cela n'a pas de sens. Non, la femme du Prince Charles c'est depuis toujours Camilla et depuis qu'ils sont ensemble, c'est un fleuve paisible. Pourquoi vouloir faire d'Hélène une garce alors qu'elle subit un mariage sans amour. Hé bien elle prend des amants, mais cela ne lui convient pas totalement. C'est un canon. Elle fait bander. Elle n'a aucun mal à multiplier les conquêtes mais elle est toujours insatisfaite. Elle a besoin comme toutes les femmes de l'amour total, complet, celui qui donne vraiment la paix et le bonheur, celui qui permet de construire. Ce n'est pas avec ceux qui veulent juste la sauter qu'elle peut trouver cela. Et Tolstoï en fait une garce, ce qu'elle n'est pas. Je n'aime pas Hélène, mais elle ne mérite pas l'opprobre. Le fait qu'elle ne soit pas heureuse, l'oblige presque à cette fuite en avant. De même, je n'aime pas Lady Di, mais elle ne mérite pas ce sort funeste. Hélène est belle, c'est une des plus jolies femmes de Russie. Avec Pierre Bezoukov elle devient immensément riche. Ceux qui ont arrangé ce mariage ont cru faire bien. Jeune belle et riche mais pas heureuse pour autant. Alors oui, le sexe, les amants. Les beaux jeunes hommes des régiments. Ce n'est pas une garce pour autant. Voilà c'est dit. N'en déplaise à l'illustre Tolstoï.
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Par : le 10/10/20
Madian n'aime ni les hommes, ni les femmes, ni les chèvres et les chameaux, ni tout ce qui se déplace en marchant courant ou rampant sur la terre âpre. Aussi il s'est retiré au pied d'un grand arbre perdu tout en haut d'une montagne. Il n'accepte que la compagnie des oiseaux des vastes cieux. Il ne fait rien, vit de rien, juste il respire sous son arbre, boit l'eau pure d'une petite source et mâche des herbes amères. Il ne fait rien mais son esprit est en feu. Il passe son temps à maudire les hommes, les peuples poussiéreux d'en bas, ces fous qui ne savent pas où ils vont. Ils les compare à des mouches sans ailes. Les humains le lui rendent bien. Les chasseurs passent loin de son arbre, l'arbre du fou disent ils. Ils font bien car Madian excelle à jeter des pierres. Seulement voilà, la sublime lila est une Madian au féminin, elle est son double ou sa complétude. Elle aussi déteste tout chez les humains. C'est ainsi qu'elle a cherché un lieux paisible loin de tout et que son regard à croisé celui de Madian. Ce dernier a voulu la chasser. -Arrière sinistre femelle à mamelles qui n'apporte que le trouble. Lila n'a pas répondu, elle a souri et trouvé Madian très beau. elle s'est installée plus bas dans une petite anfractuosité sous de gros rochers. Tous les jours elle se rapproche et regarde Madian méditer sous son arbre. cela suffit à son bonheur. Surtout elle aime lorsque Madian l'aperçoit et s'énerve. Elle aime le voir entrer en rage. Ses colères sont pires que l'orage et le puissant tonnerre. Lila est si belle. Elle aime se laver nue dans le torrent joyeux. Un jour Madian l'a surprise. Elle se faisait sécher au soleil sur les herbes vertes. Il est troublé. il ne peut exprimer sa colère. lila s'approche et se met à genoux. Elle a tressé un fouet avec des lianes. Elle le tend à Madian et dit: -frappe moi si tu veux, tant que tu veux, mais ne m'ignore plus. Je t'aime, toi mon beau ténébreux. Je t'ai aimé dès que je t'ai vu. Madian dédaigne le fouet. Il redresse Lila et la regarde dans les yeux. -il est dit que la femme est plus rusée que le serpent, voilà que tu veux m'enchainer avec ton amour. C'est quoi l'amour? Encore des malheurs et des turpitudes ? -Aime moi, laisse toi aller. Je sens l'émoi dans ton coeur. Je vois le trouble dans ton corps. -Es tu une couleuvre ou une vipère. J'ai fui le monde et toi tu veux me rendre esclave du plaisir que je pourrais prendre entre tes cuisses. Pourquoi ne retournes tu pas dans la grande ville. Un prince te trouvera belle et voudra faire de toi sa femme. -Mais c'est toi que j'aime, pas un Prince ou un riche marchand. Je n'ai que cela à t'offrir. -Mais pourquoi veux tu m'offrir ton amour. Je ne demandes rien. Lila est retournée au bord de la rivière et s'est allongée sur son fin matelas d'herbes douces. Elle a pris soin de bien cambrer sa croupe sublime. Une invitation au viol. Madian ne peux pas résister. Le besoin de s'accoupler est trop fort....Rires La morale de cette histoire, c'est que même loin de tout, la nature trouve toujours un moyen pour qu'un homme et une femme puissent s'accoupler et procréer.
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Par : le 27/09/20
Décidément cette petite conne de Samia, une adulte consentante et fort jolie qui adore les scénarios d'infantilisation, ne comprendra jamais ses leçons. J'ai beau lui flanquer de copieuses fessées, la mettre au piquet, l'enfermer dans le placard à balais, rien à faire, Samia ne comprend rien et se trompe toujours. A croire qu'elle fait exprès pour être punie de plus en plus sévèrement. Pour y voir plus clair, je l'ai prise chez moi en cours particuliers pour un week end. Cette petite conne est arrivée avec sa jupette plissée, ses longues chaussettes mi bas de laine, ses chaussures vernies et ses couettes. Elle avait une sucette en bouche et ce manque de respect lui valu de suite une bonne paire de gifles. Elle serrait les genoux et a dit: -Madam j'ai envie pipi Je l'ai conduite aux toilettes et elle n'a pas pu se retenir. Elle a fait devant la porte. Elle voulait visiblement me faire perdre mes nerfs. J'ai sorti ma cane anglaise bien souple et son petit cul est vite devenu rouge. Elle a du tout nettoyer à quatre pattes et bien astiquer le sol. Cela au moins, Samia savait faire à peu près bien. Elle a du aussi laver sa petite culotte à la main et la faire sécher sur le poêle. C'est un froid week end d'automne, une journée de brumes où il fait bon rester au chaud. C'est vrai que Samia a un adorable petit cul et un joli petit minou de femme qui adore jouer à l'écolière pas sage. J'ai eu envie d'elle et nous sommes montées dans ma chambre. J'avais envie de lui bouffer sa chatte pendant qu'elle sucerait mon clito. Nous avons joui très fort toutes les deux. Un pluie fine frappait contre la fenêtre de la chambre. Nous avons glissé sous la couette pour être bien au chaud. Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de materner cette petite conne de Samia. Je lui ai donné le sein. Elle a sucé et s'est endormie comme une bébé. Cela ne faisait pas avancer les devoirs. Mais pour une fois, j'ai décidé de prendre mon temps, de ne pas tomber dans le piège des fautes exprès pour recevoir des corrections. Non, j'ai décidé de conduire le jeu. Samia s'est pliée, cambrée. Elle a beaucoup gémi et supplié. Nous avons fait l'amour souvent. Elle a eu droit à son collier avec un bel anneau. Elle a adoré dormir nue au pied de mon lit, en bonne chienne bien dressée.
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