par Monsieur Jones
le 05/02/15
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Quelques photophores illuminent la pièce et le lit sur lequel elle est allongée, les bras et les jambes formant un grand X pornographique.
Nue, elle est contrainte à l’immobilité, sanglée par le chanvre et le cuir.
L’écartement de ses jambes exhibe l’indécence de son sexe, qui s’ouvre et s’expose.
Elle surveille la porte qui donne sur le salon. Cette porte fermée, d’où viennent ces voix d’hommes et de femmes accompagnées des tintements des coupes qui trinquent.
Elle a les yeux rivés sur la poignée de cette porte, car la poignée va bouger, la porte va s'ouvrir et déverser une marée d’hommes et de femmes dans l’intimité de la chambre.
Résignée, le sexe accessible et totalement disponible, elle appréhende l’instant fatal et son essaim de curieux, témoins de la honte qui lui empourpre les joues et enfièvre son bas ventre.
Elle ne pourra que fermer les yeux, Oh maigre réconfort face aux commentaires qui affluent et à ces mains visiteuses qui assouvissent leur curiosité sans retenue.
Elle ressentira une décharge dans le bas ventre quand une femme s'amusera de son sexe luisant qui mûrit à vu d'œil et bave ses humeurs démonstratives.
Elle n'aura aucun recourt pour empêcher la sévérité de ces doigts qui lui pincent la pointe des seins, inspectent la rigueur de son épilation, explorent son visage et ses cheveux.
Elle ne pourra cacher sa respiration forcée quand un doigt ira éprouver son anneau et la tonicité de son périnée.
Inéluctablement, elle aura honte d’être ainsi fouillée, livrée et de ressentir un plaisir pervers dans cette profanation. Elle aura honte de ces voix qui commentent le spectacle de son excitation et de son corps qui ne lui obéit plus mais s’abandonne, complaisant, à ces mains affamées.
Alors, elle scrute la poignée de la porte, d’où viennent ces voix d’hommes et de femmes, et le tintement de ces coupes qui trinquent. Et fatalement, la porte s’ouvre…
Posté dans: Histoires & Confessions
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oui, plus on l'enchaine, plus elle se déchaine, plus on l'attache, plus elle se libère...
Suggestion
Par : zardoz
Elle était brune sa chevelure tombant sur les épaules. Au matin, la nuit l’ayant décoiffée, une sorte de crinière environnait son visage qui donnait aux gestes lents de l’engourdissement du réveil une touche animale. Lorsqu’elle avait quitté le lit, ses yeux noirs s’éveillaient à leur tour. Ils étaient capables, j’en avais fait l’expérience, de se révéler les alliés puissants de sa détermination et dans les extrêmes, de brûler à distance l’objet de sa colère. Rien dans les traits de son caractère entier ne laissaient supposer une nature soumise. Une part de sang espagnol affirmait souvent sa présence, passionnée en amour, combative dans l’adversité.
Nous étions amoureux et nous nous essayions, dans les jeux de l’amour sans chercher à restreindre les possibles que d’ailleurs nous n’imaginions pas. Je me souviens d’un après-midi d’automne chaud et lumineux comme le sud-ouest parfois en offre quand l’été semble vouloir rester encore un peu. Le petit animal sauvage que j’avais apprivoisé s’était alangui et, dans un lit, cette fois, nous faisions l’amour. Bien des minutes s’étaient écoulées dans nos jeux lorsque elle prit, provocante, une position qu’elle appréciait. A quatre pattes, cambrée, proposée à mes caresses et à mon sexe, elle tourna la tête et me regardait derrière son épaule. Il me sembla percevoir dans ses yeux une interrogation mêlée de doute. Dans le feu de cette action, je n'étais guère porté sur l'introspection, je n'y prêtais pas plus d'attention. Une fois entré en elle, je ne sentis pas de différence dans son attitude. Ni les cris, ni les mouvements compulsifs du bassin que son plaisir imposait ne m'ont paru différents de ceux que je connaissais déjà bien. Puis au milieu de ces ébats sans surprise deux mots comme un souffle trop longtemps retenu, deux mots seulement : « Frappe-moi ! ». Pour être sûr que je comprenais bien je demandais qu’elle répète, sa voix presque incontrôlée lors de la première demande se mua en une supplique "Sur les fesses, sur les cuisses, frappe-moi !" Je restais quelques secondes en suspens. Je n'aurai pas voulu me voir en cet instant-là. A genou, planté en elle, ne bougeant plus avec sur le visage une expression sans doute à mi-chemin entre l''incompréhension et l'ébahissement. Elle non plus ne bougeait plus, mais ne montrait aucun des signes de mon hésitation. Je me repris : comme j'aimais lui donner du plaisir, elle me montrait un chemin auquel je ne pensais pas, voilà tout. Ma main se leva une première fois pour frapper mais ce premier coup n'étant pas assuré, il ne fit que caresser rudement, du bas vers le haut sa fesse droite dont la peau bougea en onde sous l'effet du choc relativement léger. Elle me donna là un premier soupir qui montrait l'impatience contenue. Un deuxième coup, plus sec cette fois vient frapper au même endroit, celui-ci fut suivi d'un petit cri bref, plus de surprise que douleur je pensais. Je recommençais sur l'autre fesse, l'équilibre me semblait important, et je revenais sur la première fesse cette fois avec plus de rudesse puisque ses cris traduisaient son désir de plus de force. Quelques minutes passèrent dans les claques mêlées de cris ou de gémissements, lorsqu’elle arrivait à contenir les cris. Je trouvais très excitant ce nouveau jeu et je prenais plaisir à alterner des caresses/claques avec des coups plus rudes, m'amusant à déclencher des cris plus forts par une plus cuisante claque aux moments où il lui semblait que la fessée devenait plus douce. Ses mouvements de bassin suffisaient à faire glisser mon sexe dans le sien. Ces premières minutes passées et avec elles l'inhibition de ma partenaire, elle se retrouva, fesses rosies et sans qu'elle s'en rende tout à fait compte dans une nouvelle position que la recherche de stabilité et le souhait de s'offrir au mieux exigeaient. Ses épaules touchaient maintenant le lit, ses bras étaient de part et d'autre de son corps, elle avait écarté encore ses jambes et la cambrure de ses reins avait un arrondi extraordinairement creux, elle faisait ressortir son sexe et son anus plus encore que les instants d'avant cherchant à offrir plus d'espace encore aux coups qu'elle quémandait. Une sensation délicieusement sourde m'envahissait le ventre. Elle s'était jusqu'alors offerte mais maintenant, sous l'effet de la douleur et du plaisir conjoints, elle s'écartelait. Je tentai de continuer de la fesser tout en restant en elle mais la position ne le permettait plus. Nos sexes ne pouvaient plus se joindre. Elle, plus basse, moi, trop grand. Je me retirai donc, me plaçant sur son côté gauche et continuant de frapper et d'en savourer les effets. Je dois avouer que ma propre excitation était montée très fortement et que la tension de mon sexe était telle qu'elle en devenait presque douloureuse. La fessée continuait de dispenser généreusement ses bienfaits mais elle ne sentait plus rien en elle lui permettant d'entrelacer les douleurs des claques avec le plaisir de la pénétration. Je lui demandais, hypocritement, d'en profiter pour se caresser, ses mains étaient libres après tout ! (j'ai dû ponctuer ma demande d'un mot comme "cochonne", comme cela lui plaisait et l'encourageait...) J'adorai la voir se masturber devant moi mais c'était un plaisir qu'elle ne me donnait que trop rarement. Dans cette situation, comme j'avais accédé à ses désirs, ne devait-elle pas accéder un peu aux miens ? J'en fus étonné, elle n'hésita pas. Sa main vint se placer sur son sexe et elle commença de se caresser, ouverte, impudique, animale. Sa position ne cachait rien des mouvements de sa main qui s'interrompait une seconde, parfois, quand un coup plus fort la surprenait. Mais cette main que je croyais timide reprenait vite sa place et je continuais de dispenser de mes mains les éclairs et la chaleur sur son corps plus que rose à présent. La fessée continuait et je me rendis vite compte que ma main, pourtant puissante commençait à fatiguer. (Je n'envisageais pas encore d'avoir recours à un autre instrument, cela ne vint que plus tard.). Je lui dis la fatigue de ma main. Elle me supplia de continuer encore un peu, qu'elle allait jouir bientôt. Elle étouffa ses cris dans l'oreiller, tendue vers l'arrière, cambrée, son orgasme montant sous les les effets de sa main pour le plaisir et de la mienne pour la douleur. Je frappais plus fort encore, je ne pouvais plus distinguer les cris de jouissance de ceux provoqués par mes coups. Ne voulant être en reste, je lui remontais les fesses, continuant de la fesser, je me glissais derrière pour entrer en elle d'un coup brusque qui soulagea un peu ma tension. Elle hurla dans son oreiller en feulant au rythme de mes coups de rein et des cuisantes claques sur ses fesses franchement rouges. Nous avons joui ensemble. Elle s'apaisa. Mon corps était devenu lourd, j'étais appuyé de mes mains sur ses fesses, sonné par l'orgasme, les jambes tremblantes. J'ai encore présente en moi la vision du contraste de mes mains brunies au soleil sur le rouge de ses fesses brûlantes. Je m'effondrais, plus que je m'installai, à côté d'elle. Elle n'avait pas varié sa position, fesses tendues, écartelée. Elle la conserva quelque temps foudroyée qu'elle était par le plaisir conjoint de nos sexes, de sa main, de la mienne. Quand elle s'allongea et vint se blottir dans mes bras, sa bouche près de la mienne, elle murmura, "J'ai un peu honte...". Ses yeux, illuminés, affirmaient le contraire."
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Par : Antoinette
Cet article je vais l'écrire au fur et à mesure. J'ai vu qu'on pouvait faire cela. Comme j'écris depuis mon tel et quand j'ai le temps, n'hésitez pas à y revenir s'il vous intéresse, j'ai plein de choses à échanger et partager. Bisous et belle journée.
Mael, c'est mon amant, et ce jour là, il m'a filé un rencart comme il aime, en pleine nature, dans un endroit isolé sous un grand chêne majestueux. Un endroit qu'il m'a fait connaître et que j'aime beaucoup. J'arrive avec ma petite voiture en tenue sport. Jogging et tennis. Comme femme trans, je ne me maquille presque jamais, je préfère être nature, juste bien epilee, et ma seule crème c'est de l'huile d'olive. Je mange bio, je fais du sport, je pratique les arts martiaux chinois, et j'ai un passing naturel sans forcer quoi que ce soit. J'ai pris un peu des hormones, mais j'ai du arrêter très vite. Je ne supportais pas. J'ai des petits seins fermes, de très jolies fesses musclées et ce que j'adore le plus, ce sont mes jambes. Parfois je les caresse pour mon plaisir. C'est hyper sensuel, se caresser les jambes . Cela fait monter l'envie de faire l'amour.
Mael m'attend avec un sac.
-j'ai trouvé tout ce qu'il te faut pour tester ton estrapade. C'est préférable de savoir où on va, avant d'en construire une avec un treuil électrique et autre. On va déjà voir si ton idée fonctionne. Tu veux toujours tester?
- bien sur que je veux tester....et pas que l'estrapade.
Je dis cela avec un fin sourire. Mael ne se fait pas prier. Il me chope de ses grosses mains et déjà sa langue est au fond de ma bouche. Il dévore mes lèvres, me couvre de baisers et il m'empoigne fermement les fesses. Il les masse très durement, sans le moindre ménagement et il sait que j'adore cela. Je sens ma chatte anale et mon clito suinter. Je ne suis plus qu'une poulette qui va finir à la broche. Il est dominant comme moi et donc ensemble c'est très vanille, mais, excusez moi, putain que c'est bon de bien se faire troncher par son amant. En plus il a horreur d'avoir la saucisse sous cellophane. Et comme je ne couche qu'avec lui et qu'il sait être tres safe ailleurs, je le laisse toujours me prendre sans capote. C'est si bon de sentir sa chatte anale tapissée de sperme chaud.
Bon j'arrête pour l'instant. Il faut que je file. Mais promis je vais revenir. Pour expliquer comment j'aime faire l'amour en femme trans, cette séance test d'estrapade et autres. Juste pour partager et échanger avec vous. il faut un peu de savoir faire pour bien sauter une trans. Il faut beaucoup de savoir faire pour une partie d'estrapade.
Je me suis décidée à écrire cet article parce j'ai pensé que je pouvais aider. Passe 60 au compteur, cela commence à faire de l'expérience et des expériences en vie. La première chose qui me semble plus que évidente pour moi, c'est que je ne suis pas et que je ne serais jamais une femme biologique. Peu importe que je sois une femme a l'intérieur, comme des garçons se sentent hommes à l'intérieur de corps de femmes, eux aussi ne seront jamais vraiment des hommes. Alors il faut s'accepter tels que nous sommes, c'est à dire des personnes trans et pas des hermaphrodites, c'est encore autre chose. Non juste des personnes avec une psyché complètement à l'opposé du corps qui l'héberge. Comprendre cela aide beaucoup. J'ai vite eu un passing extraordinaire lorsque je n'ai pas voulu m'habiller comme une femme, certainement pas comme un homme, non, comme il m'a plu de le faire. Rien à faire des jupes, des maquillages, des soutiens gorges, des chaussures à talons, le fait de savoir que je n'étais pas une femme ma beaucoup aidé. Plus de liberté de choix et surtout des choses qui collent vraiment à ce que l'on est au fond de soi. Et j'ai fait lever beaucoup de queues de mâles en rut, être soi même, être bien dans ses fringues et son look, cela aide à être complètement naturelle dans la rue. Si on vous remarque, c'est pour trouver que vous avez un joli petit cul bien bombé, un beau sourire, des yeux brillants de joie de vivre. Vous êtes un homme ou une femme trans, alors rayonnez, vibrez. La vie est belle. Fini le ghetto. Non, vous ne serez jamais ni homme, ni femme, alors autant être vous même
Ce qui compte c'est la beauté de votre âme.
Il ne faut pas faire de généralités mais dans mon cas, pour me faire l'amour, il ne faut surtout pas me palucher le pénis comme le ferait un garçon. J'ai vraiment horreur de cela. Bander, c'est pas du tout mon truc, même si cela marche toujours très bien. Non, dans ma tête j'ai un clito et un clito cela se caresse, cela ne se paluche pas. Je sais bien que des hommes aiment les femmes trans pour leur pénis, parce qu'ils ont envie d'être sodomisés. Ce n'est pas mon cas, je ne sodomise personne et même dans mes rares aventures avec des femmes, au tout début, j'avais beaucoup de mal. La sexualité trans est en concordance avec la psyché. Je n'ai donc qu'un clito et une chatte anale. Et les FtM n'ont pas de vagin, ni de clito mais un petit pénis et envie d'une greffe pour le rendre actif.
Mael me connaît bien. Comme avec Maso pendant la longue période où il a été mon compagnon, c'est comme si je n'avais plus de pénis. Avec eux deux je me sens femme et j'oublie trans. J'adore me donner complètement, être prise. C'est ma sexualité. Une sexualité de femme qui aime être baisée.
Je pose mes mains contre le gros chêne. Je reste debout et cambre les reins. Mael me baisse mon pantalon de jogging et ma culotte de coton. Je ne porte que du coton en sous vêtements. Ma croupe est bien tendue, offerte. J'attends l'assaut de mon mâle. Deux mains puissantes m'empoignent les hanches. Je suis pénétrée d'un coup. Je n'aime pas les préliminaires. J'aime être violée un peu par mon amant. Il sait rester fiché sans bouger, bien au fond, le temps que ma douleur se dissipe. Puis il commence à me ramoner. Je coule.
Il pincé mon gland entre son pouce et son index et masse. Je coule encore plus. Des vagues d'électricité me secouent. Mes jambes tremblent. De l'autre main, il caresse mes tetons qui durcissent. Je me dresse sur la plante des pieds. Le premier orgasme arrive. Je suis tétanisée. Je gicle. Mael doit stopper pour ne pas partir lui aussi. Une femme trans peut facilement arriver au mode multiorgasmes. Ils se suivent très vite en cascade. Je tremble encore plus. Mes fesses ne cessent de se contracter. Je suis de plus en plus serrée, comme si je voulais éjecter ce penis qui me defonce sans le moindre ménagement. Et encore des orgasmes, encore ce clito qui coule, qui coule. Et mes jambes complètement tétanisée par le plaisir. Je n'en peux plus. Mael explose. Il grogne comme un ours. Je sens ses giclees de sperme au fond de moi. C'est adorable. Il a prit son pied en moi, et j'en suis heureuse. Il me couvre de baisers.
La différence dans cet amour au féminin c'est que c'est plus long pour une femme trans pour redescendre. J'ai des vagues de tremblements. Il me faut bien quinze minutes pour reprendre mes esprits. Le cerveau est toujours en état d'hyper excitation, c'est délicieux. Je me love dans les bras de mon homme. Nous sommes assis sous le beau chêne. Il faut attendre que le plaisir diffuse partout. C'est le moment magique de l'amour universel.
-Bon on se le fait cette séance de test de l'estrapade ?
Mael est déjà debout. Il ne s'occupe plus de moi. Il trie son matos. J'entends des mousquetons claquer. Je remet ma culotte de coton blanche et mon pantalon de jogging. Je sens le sperme qui coule le long des cuisses. Je pue l'amour. Cela me fait sourire.
- prête. Mais juste une minute, il faut que je me change.
Je suis presque vegan. Comme je ne trouve pas ce qui me convient dans le commerce, je me le fabrique. Comme ces pagnes en coton par exemple. Très pratique pour se changer rapidement après l'amour.
Et surtout très sexy. Mael se remet à bander. Son gros gland est de nouveau gorgé de désir. C'est plus le moment. J'enfile vite mon pantalon de jogging. Quand je pense à toutes ces lingeries hyper chères sensées être erotique. Une simple bande large de coton nouée avec soin. Un beau pagne comme les égyptiennes. Ça c'est erotique et cela fait bander les mâles. De plus c'est unisexe. Cela va aussi très bien aux hommes. Leur sexe est bien plus libre et aéré dedans. J'adore nouer mes pagnes. C'est tout un art.
Mael vient d'étaler une couverture sur le sol, juste en dessous d'une grosse branche horizontale. Il m'enfile un harnais de sécurité de via ferrata à l'envers, avec le système d'accrochage dans le dos. Je m'allonge à plat ventre et il noue solidement mes chevilles et mes poignets ensemble dans mon dos.
- on dirait une grosse corbeille, me dit il amusé. T'es canon dans cette position.
Il ne me laisse pas le temps de répondre et m'enfonce un mors dans le bouche et le relié à mes chevilles et poignets dans le dos.
Je prends le temps de bien "ressentir" la position. Quand ce sera le tour de Maso, je suis toujours très précise, il faut qu'il soit bien. Il devrait pouvoir tenir une heure sans risques. C'est relativement confortable même si peu usuel en bdsm. Une position pourtant très intéressante.
Voilà, je suis solidement harnachee. Mael hisse sans problème mes 65 kg. Il faut dire que lui en fait plus de 100. Arrivée à la bonne hauteur, il bloque tout avec ses appareils de sécurité en falaises. Il vérifie chaque détail. Je suis bien. Flap. Pas le temps de réfléchir. Je viens de prendre un premier choc. Une chute de 50cm pour commencer. Cela peut sembler peu. Pourtant le choc est bien réel. Heureusement que ma tête est bien tenue et que les élastiques o t bien absorbé. Nouvelles vérifications. Mael me remonte plus haut. 1m .....
Flap ! Nouvelle chute! Nouvel arrêt brutal. Je me rend compte que ce jeu est dangereux. Avec des problèmes circulatoires ce n'est bon, ni pour le cerveau, ni pour le cœur. Heureusement, je n'ai pas ce genre de problèmes, Maso non plus. Je réclame les 1m 50.
Mael me hisse encore à la bonne hauteur. Il a mis des scotchs pour marquer la corde. Surtout ne pas se tromper sans quoi, j'irais me gauffrer au sol, face contre terre, sans protections. Flap! Nouvelle chute! Choc encore plus violent. Les élastiques absorbent bien. Pas de douleurs. Mes articulations dans le dos ne travaillent pas. Je réclame les 2 m. Facteur de chute 2.
Mael me sourit. Il me connaît et sait que j'aime tester et essayer les choses nouvelles. Pas le temps de réfléchir. Flap! Nouveau gadin! Cette fois, je le sens bien partout. Je comprends pourquoi ils ont mis des airbags dans les bagnoles. Un bon choc. Sans les élastiques pour absorber, je serais en danger. Pourtant cela semble rien 2m de chute.
Mael remballe déjà. Il est l'heure. J'aime bien être précise. Maso m'attend à la maison pour sa séance. Il en a besoin. La position de la corbeille me donne des idées. Juste un dernier bisous à Mael, et je file. Je conduit toujours très vite ma petite auto très sport. Une voiture de bourge qui se la péte turbo. Je me caresse les jambes en conduisant. Au carrefour ma copine, l'adjudante de gendarmerie est occupée. D'habitude elle m'arrête toujours pour faire un brin de causette. Je ne sais pas si c'est de la drague, mais je l'aime bien. Elle est très belle dans son uniforme. Je crois qu'elle aimerait bien me sauter. C'est pas un homme dans un corps de femme, non, juste une femme très phallique. Dommage, je suis très fidèle et je sens que cela l'excite encore plus. La chose inaccessible. Elle doit se dire comme dans la pub: " je l'aurais un jour je l'aurais" . Je lui adresse tout de même un bisou de la main avec un beau sourire. Elle est vraiment ravissante. C'est toujours aussi mystérieux les attirances. Je n'ai aucun doute sur le fait qu'elle a une très forte envie de me sauter depuis qu'elle a vu lors d'un contrôle que sur mon permis, très vieux, presque en loque, il était écrit....sexe masculin. Avec mon look femme bourge ecolo vegan bronzée, cela ne collait pas. Depuis c'est charmant, relax, amical, presque comme avec des mecs qui savent ne pas aller trop loin.
Je prend soin de bien crisser les pneux en me garant devant chez moi. Histoire d'avertir Maso.et de marquer mon territoire. Un rideau se tire. Il me fait un signe de la main. Je lui répond par un bisou. Cela veut dire:
- tu vas déguster mon chéri. Je pete la forme ce soir. Tu as voulu une domina à la maison, tu vas être servi.
Maso baisse les yeux et m'ouvre la porte. Je ne suis plus sa femme je suis devenu sa déesse. Désormais il me voue une adoration quasi mystique. C'est lui qui m'a tant aidé pour ma transition, qui m'a modelée suivant ses goûts, pour mon plus grand bonheur. Je suis toujours à lui, mais sous une autre forme. Il devine à mes gestes que je suis bien excitee ce soir. Il devine qu'il va morfler. Des frissons de plaisir commencent déjà à courir sur son beau corps de maso
:kiss::kiss::kiss:
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Par : Monsieur Jones
Debout, immobile au centre de la pièce, elle attend.
Sa tenue est juste, sans excès : jupe à carreaux, chemisier sage, mi bas blancs et souliers vernis. Elle porte de ravissantes couettes (grand sourire).
C'est l'heure tant redoutée de sa récitation.
Les yeux baissés, elle frotte le bout de son soulier verni contre le bois du plancher, et répète dans sa tête les premiers couplets.
- Je t'écoute
En inspirant, elle s'élance, dans un assaut timide de cette prose vénéneuse. Aucune erreur n'est tolérée, pas même une hésitation. Sa voix doit se hisser, funambule, jusqu'au 'sommet' de cette récitation, sans heurt. Car il veille, à l'affût de la moindre défaillance qu'il lui fera payer du claquement sec d'une règle plate sur ses fesses 'amnésiques'.
Au milieu de sa récitation, elle se trompe, hésite, capitule en se mordant la lèvre alors que tombe la sentence.
- Pose tes mains sur la chaise, penche-toi, relève ta jupe et baisse ta culotte sur les genoux !
Elle obéit, s'active, honteuse de s'être faite prendre, elle présente sa croupe pour qu'on y célèbre ses lacunes. Les dix claquements secs et sonores se succèdent sur le cul de cette petite ignorante qui se tord en silence.
- Rhabille-toi, reprend ta place et ta récitation au début !
La vilaine, se soumet à cette voix intransigeante. Le feu embrase ses joues et son bas-ventre alors qu'une humeur honteuse infiltre les lèvres de son sexe. Elle recommence son ouvrage alors que ses tempes battent au rythme du cœur qui martèle sa poitrine.
Le trouble l'envahit et brouille le chemin des mots. Elle fait de son mieux pour enfiler les phrases mais inévitablement, elle se perd et s'embrouille à nouveau.
- Reprend ta position vilaine et présente moi ce cul de petite écervelée qui ne connaît pas sa leçon
Elle reprend sa position, les mains sur la chaise et les claquements reprennent sur la croupe qu'elle présente docilement cambrée.
- Rhabille-toi et recommence !
Les fesses en fièvre et l'entrecuisse en pâmoison, la vilaine récite à nouveau sa prose. Elle baisse les yeux, cherche un peu de concentration alors que, maintenant, sa vulve suinte et imbibe le coton blanc de sa culotte.
Sa respiration est forcée et le trouble, qui lui étreint le sexe, la contraint de nouveau à perdre pied et bafouiller des excuses.
- Tu ne connais pas ce que tu devais connaître ! Tu ne vas pas recevoir la règle plate dix fois mais trente !
Résignée, elle reprend la pose et s'expose à la punition annoncée. Puis elle se rhabille et reprend place. Voilà qu'elle serre les cuisses, emportée par un soudain besoin de glisser la main dans sa culotte.
Elle se tortille, flageole sur ces jambes, réfrène l'urgence d'aller fouiller le sexe qui palpite et bave le trouble démonstratif qui lui remplit le bas ventre.
Cette récitation durera... Elle durera le temps qu'il faut pour que sa voix glisse sans impasse du premier mot jusqu'au dernier. Avez-vous des doutes sur la méthode?
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Par : #
Chapitre 1 : L’amie Emma
Emma est une amie de très longues dates , depuis l’adolescence, nous avons toujours eu contact mais toujours de manière à la fois brève et passionnel .. Nous parlons peu sur les réseaux sociaux , nous nous voyons peu . Mais quand on se vois et quand on se parle c’est toujours bienveillant et passionnant , on se fait évoluer l’un l’autre , on se fait des confidences sans pour autant être intrusif.
Ça fait maintenant des années que nous sommes amis , on à des vies différentes mais on s’apporte mutuellement des choses et aussi dans nos métiers respectifs .. elle est comédienne / actrice , elle commence a avoir une belle renommée et tout les ennuis qui vont avec .
Elle se confie à moi , me demande conseils.
Un beau jour je regarde l’un de ces tournages pour lui donner mon avis comme je le fais souvent , durant ce tournage elle joue une scène plutôt hot.. il n’y a jamais rien eu avec cette fille mais la voir comme ça m’excite .. je me rends compte à ce moment que je ne sais rien d’elle à propos de sa sexualité, je l’ai toujours connue seule , célibataire , sans histoire amoureuse ,.. je ne doute pas un seul instant qu’elle en ai eu , mais je n’ai aucune information à ce propos .. il faut dire que notre relation est très distinguée , je ne sais d’ailleurs pas pourquoi , mais notre langage est souvent soutenu quand on se parle.
Elle me demande mon avis sur le tournage et elle me demande ce que j’ai pensé de cette scène..
Je lui avoue avoir été surpris de la voir sous un tel angle , bien sure je n’ose pas lui dire que ça m’a excité car nous avons une relation très polie et très respectueuse.
La conversation se transforme un peu et nous en venons à oublier le tournage et à parler de sexe .. sans que je ne parle de mon coté dominant , elle me parle de son envie d’être dominée..
Je reçois pas mal d’informations que je note dans ma tête , je ne me met pas trop en avant je suis à l’écoute je sous entends simplement que j’ai déjà pratiquer ce genre de choses..
Elle fini par me souhaiter la bonne nuit et me laisse seul , avec mes pensées et cette nouvelle visions d’elle ..
Le lendemain nous ne parlons pas , mais le jour d’après la conversation reprends .. je décide de poser un peu plus de questions .. ces réponses sont assez clair , elle fantasme sur la perte de contrôle .. et en même temps elle a peur. En effet , elle est plutôt connue , l’impact que cela peut avoir sur elle et sur sa carrière si quelqu’un le savait pourrait être dévastateur.
Elle a besoin de découvrir , mais de découvrir des choses simples , et avec quelqu’un de confiance , quelqu’un de confiance ? Je ne peux me retenir et lui envoi « de confiance comme moi ? »
Le message est VU mais elle ne réponds pas , j’hésite à l’enlever et je stress .. j’ai peur de l’avoir vexer .. elle écrit .. la réponse arrive .. « personne d’autre que toi » me dit elle . Je me demande ce qu’elle veux .. ce que je dois faire pour que ça lui convienne , la conversation est très clair on se dit les choses tels qu’on les penses , tels qu’on les ressents. Au bout d’un moment elle m’écrit « vendredi chez moi ? » j’accepte ..
Nous sommes mercredi et dans 2 jours je m’occuperai d’elle , j’ai hate et en même temps je redoute !
Que vas t’il se passé ?
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Par : Fenikkusu
La lune est rouge ce soir.
Nous sommes au Japon. J’ai toujours voulu visiter ce pays. Il fait nuit, et un orage se prépare sur le Pacifique. La chaleur est étouffante.
Je T'emmène avec moi, Tu es sublime, douce, fragile et forte à la fois. Tu ne sais pas ou nous allons. Nous marchons tranquillement vers cet endroit que j'ai repéré pour cette occasion.
Un endroit isolé de tout. Nous serons seuls. Un endroit où Tu me dira ces mots que j'ai toujours refusé que Tu me dises. Je suis prêt aujourd’hui.
Ta main dans la mienne se fait pressante. Moite. Tremblante. Hésitante.
Tes petits escarpins blancs foulant le sol rocayeux T'empêche d'avancer rapidement. Je décide de Te prendre sur le dos. Nous rions comme des enfants. J'escalade cette pente qui mène vers notre avenir. Cette pente qui me rappelle tout ce que nous avons enduré pour enfin nous rencontrer et commencer cette vie. Devant nous, la lune nous regarde de son œil rouge et sombre. Au loin, le ciel est zébré de rayon de lumière. Un léger vent soulève tes cheveux qui me caressent la nuque. Tes bras autour de moi se resserrent un peu plus, je devine que Tu frissonnes de crainte.
Nous arrivons enfin devant ce cerisier japonais isolé. Je te dépose délicatement sur la petite pelouse qui l'entoure. Tu admires les lieux si beaux. Si calme avant la tempête. Et moi, je ne vois plus que Toi. Et je me dis que maintenant cet endroit est beau car Tu y es enfin. Tu marches doucement jusqu'au bord de la falaise qui tombe à pic dans l'océan. Océan qui prend de plus en plus de force avec l’orage qui se prépare.
Le bruit sourd du tonnerre prenant écho sur les vagues Te fait sursauter. Je m'approche derrière Toi sans un bruit. Je T'enserre de mes bras en T'embrassant dans le cou. Ta peau m'enivre de ses odeurs mêlant sueur et doux parfum.
"Que faisons-nous ici Monsieur?"
"Tu va voir. Regarde dans le buisson là bas. Mets ce que Tu y trouveras et uniquement ça."
Tu T'exécutes sans un mot et je Te regarde T'en aller. Admirant Tes formes et Ta démarche.
Le ciel est de plus en plus noir.
Les nuages effacent peu à peu de la voute céleste les étoiles. Seule cette lune rouge nous éclaire de sa lumière froide.
Je passe derrière le cerisier et récupère ce que j'y avais déposé plus tôt dans la journée. Des cordes. Ces liens que j'aime tant Te parer. Je m'approche d'une branche et passe plusieurs tours pour faire un point d'attache solide. J'y passe un anneau que j'ai forgé pour l'occasion. Autour de ce point, dans l'herbe humide, j'allume 2 braseros qui éclaireront ton corps. Et laisse un 3ème éteins.
Le vent fait chanter le cerisier.
Tu sors enfin. Tu es magnifique. Je T'admire dans ta robe blanche en soie. Je devine Tes seins nus sous la matière.
Le vent se faufile, glisse et fais voler tes cheveux rajoutant une musique douce à cette vision angélique. Tu T'approches de moi et caresse mon torse bouillant sans un mot. Des larmes coulent sur mes joues.
"Pourquoi pleurez-vous Monsieur?"
Je ne réponds pas. Tu sais déjà tout de moi. Tu caresses ma joue et me dépose un baiser en Te serrant contre moi.
Un éclair.
Je prends Tes mains que j'attache d'un geste sur. Tu me regardes, curieuse et amusée. Tu plonges ton regard sans crainte dans mes yeux sombres. Tu y mets chaque jour un peu plus de Ta lumière parmi mes ténèbres.
Je passe la corde dans l'anneau au dessus de Toi que Tu découvres enfin. Tu devines un peu ce que je vais faire. Et moi je souris intérieurement mêlant appréhension et amusement.
Tu ne Te doutes pas de ce que je vais Te demander. Voici enfin le moment que j'imaginais depuis si longtemps... Je passe autour de Toi. Je caresse Ta peau. Ta peau qui comme la mienne est gravé de nos histoires passées. Tu parais si fragile, je parais si fort. Ou l'inverse peut être. Je m'éloigne un peu pour aller au bord de cette falaise, face à l'océan.
Je sens l’électricité dans l’air, ma rage et ma peur qui monte. Et puis je sens Ton regard sur moi, qui m’apaise. Je me baisse et récupère mon fouet. Le cuir noir est chaud. J'aime cette sensation dans ma main.
Je m'approche de Toi, le fouet trainant dans l'herbe. Un serpent rodant prêt à bondir. Je prends Ton cou de ma main libre et Te dévore la bouche. Tu es déjà haletante.
Je recule et fais claquer mon fouet. Tu n'y as jamais gouté. Je vois Tes yeux qui se plissent, Ta bouche qui grimace déjà.
"Tourne-toi."
Tu fais face au cerisier. Ta robe blanche est collée à ton dos par la sueur.
Un éclair.
Un cri. Le premier.
Le vent s'est arrêté. Il n'y a plus que le grondement du tonnerre. Et le crissement strident du fouet dans l’air. Deuxième coup de fouet. Puis un troisième. Tu cries encore plus. Je viens te voir et te caresse le dos, constate les déchirures dans ta robe et les traces sur ta peau. Je prends tes cheveux dans ma main et tire ta tête en arrière.
"Dis-le."
Tu ouvres les yeux, stupéfaite. Incrédule. Et tu me regardes .
"Monsieur...?"
"Dis-le."
Je me recule, et je t'assène plusieurs coups de fouet.
"Dis le !"
Tu sais très bien ce que je veux entendre. Tu veux me le dire depuis si longtemps mais je n'ai jamais voulu l'entendre. Je ne voulais pas l’entendre.
"Dis le je t'en supplie !!"
Des larmes coulent sur mes joues. Le fouet lacère ta peau encore plus. Il s'enroule plusieurs fois autour de ton ventre. Tu ne cries presque plus.
Je jette le fouet loin de moi. Ton corps est nu. La robe s'en est allé avec le vent. Le sang coule de quelques plaies. Je tombe à genoux. Epuisé. En pleurs. La rage au ventre.
Plus un mot. Nous restons ainsi quelques secondes ou quelques minutes qui paraissent des siècles. La pluie commence à perler sur nos corps.
"Maitre... je Vous aime."
Enfin.
Je me relève. Je te caresse le dos, la nuque, les cheveux. Je t'embrasse. Je parcoure ton corps brulant. Je te détache et tu me tombes presque dans les bras.
Nous nous enlaçons. Nous nous embrassons. Je t'emmène près du premier brasero ou nous allumons une bougie blanche.
"C'est toi."
Nous allons, vers le second et allumons une bougie noire.
"C'est moi."
Le 3ème, toujours éteins.
"C'est Nous." dis-Tu en l'allumant avec les 2 bougies.
La lune a disparu derrière les nuages.
Je Te réponds : "Je t'aime".
...............
...............
...............
...............
Je me réveille, seul. La sueur coule sur mon front. Mes joues sont humides. Le lit est vide, comme depuis longtemps. Je me lève, il est 2h et des poussières. Ces images, ces visions trottent encore dans ma tête.
Je vais me faire un thé qui me rappellera ton parfum. J'allume une cigarette et je regarde par la fenêtre.
La lune est rouge ce soir. Une tempête se prépare.
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Par : Monsieur Jones
11h15
Je reçois le texto qui m’annonce qu’elle est sur le parking de l’hôtel.
Par retour, je lui envoie le numéro de la chambre ou elle doit se rendre.
Silencieux, j’observe mon reflet dans le miroir de la salle de bain dont j’ai fermé la porte.
11h21
Je l’entends pousser la porte de la chambre que j'ai laissée entrouverte, et y pénétrer.
Je l’écoute qui se prépare et passe la tenue décrite dans la lettre de consignes qu’elle a reçue hier.
Je devine le moment ou elle glisse le bandeau noir sur ses yeux et s’expose de la manière convenue.
Le silence... puis après une longue inspiration, elle dit:
« Je suis prête »
11h33
J’entre dans la chambre et la découvre, debout au centre la pièce, immobile les mains le long du corps.
Elle ne m’a jamais vu et ne connaît de moi que la voix et les mots de nos échanges.
« bonjour M. »
Elle me répond fébrilement, je devine qu’elle tremble un peu alors je lui parle et la rassure, en marchant autour d’elle sans la toucher.
Je respire son parfum que je commente.
Je lui chuchote dans le creux de l’oreille de rester immobile pendant l'inspection que je vais mener pour établir si elle a bien suivi mes consignes de tenue et de toilette.
11h49
Je pose la pulpe d’un doigt sur sa jambe, glisse doucement en remontant le long de sa cuisse, j’éprouve l’élasticité de son bas autofixant, relève la jupe et dévoile la dentelle de sa culotte.
Elle est figée, alors que ce doigt l’inspecte et que je respire les mèches de ses cheveux.
Nos chuchotements s’entremêlent, elle me dit son trouble, je lui livre mes exigences.
11h55
Mon index joue avec l’élastique de sa culotte, mes mains explorent la douceur de sa peau et la tonicité de ses fesses.
Je dégrafe son décolleté, met à jour la couleur du soutien gorge, palpe le bout de ses seins, à l’affût de l'instant ou, réceptifs, ils vont se raidir et se tendre.
12h09
Je tire sur sa culotte qui creuse et pénètre le sillon intime de son sexe et je lui dis :
« M., tu as le choix !
soit tu enlèves ton bandeau, prends tes affaires et disparais à jamais, soit tu restes et dans ce cas, je te veux offerte, abandonnée et docilement Obéissante… »
12h12
Elle reste…
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Par : soumis8968
Sur ordre de ma maîtresse " Madame Angèle"
Je dois partager avec vous mon journal de soumis (sans aucune retouche)
Bonne lecture
Jour 18
Journal rendu à l'heure et même en avance ce soir et Maîtresse etait pressée de me lire apparemment car elle est arrivée a 19h04 :)
Elle a liké et moi j'ai apprécié car avec elle je suis comme un petit chiot qui attend sa carresse sur la tête.
Elle a publié un jour supplémentaire je commence a m'y faire, j'ai moins peur mais toujours aussi excité, par contre j'aimerais bien qu'elle varie un peu les images. Et toujours ce partage que je ne comprends pas mais ça n'a pas l'air de la tracasser.
A propos des réactions, ce soir, j'ai réalisé qu'elle enorme faveur elle m'avait offerte en m'acceptant dans son cheptel , qu'elle chance j'avais d'etre devenu son jouet. Je me demande toujours pourquoi a t elle accepté aussi rapidement lorsque je l'ai contacté sur ce chat, elle qui déteste le virtuel auquel nous étions condamné au vu de la distance.
Ce soir mon marquage est encore bien visible au couché, Je l'adore. J'espère que devoir le porter en permanence ne le banalisera pas et que je continuerai à l'adorer longtemps.
Ce matin j'étais bien a l'heure pour les hommages. Maîtresse est en forme.
J'ai eu droit a une inspection en plein galerie marchande : marqué et cul nu dans la cabine d'essayage, j'avais deja fait mais ca reste excitant avec ces rideaux qui ne ferment jamais complètement.... et que n'importe qui peut ouvrir a tout instant...
Maîtresse aime la couleur de mon nouveau pantalon !
J'ai demandé à Maîtresse de choisir ma photo de profil sur le site : photo modifiée
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Par : domreve
Le lendemain, je la croisais au détour d’un couloir et notre bonjour ressembla à celui des autres jours … si elle avait su …
Le soir, je recevais un message sans ambiguïté.
« Monsieur,
Je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour mon retard d’hier soir.
Je suis consciente de ma faute et vous remercie de la sévérité dont vous avez fait preuve à mon égard.
Soyez certain que je veillerais dorénavant, plus scrupuleusement à vos ordres, même si ceux-ci devaient être humiliants. Si tel n’était pas le cas, j’accepterai vos sanctions.
Votre Ôbligée, Gaelle qui n’aspire qu’à mieux vous connaitre. »
Ma réponse ne tarda pas :
« Peut-être ne l’as-tu pas complètement saisi mais ce que je vais te demander va bien au-delà de quelques ordres donnés par-ci par-là et j’entends à ce que tu t‘engages à m’obéir aveuglément.
Rendez-vous demain à 10h00 à la machine à café, nous ferons connaissance. »
J’imaginais sa surprise, peut-être son appréhension, de me rencontrer dans un lieu publique, devant des gens que nous connaissions.
A l’heure dite elle était à la machine à café et cherchait du regard visiblement un peu soucieuse, parmi les nombreuses personnes présentes, lorsque je me dirigeai résolument vers elle, en lui tendant la main. Hésitante, elle me tendit la sienne et je la vis troublée ne sachant pas si elle avait à faire à la "bonne" personne. « Bonjour Gaëlle, avez-vous passé une bonne soirée avant-hier ? ». Mon salut ne laissait pas de place au doute. Elle me regardait avec un air surpris, mais en même temps je sentais en elle, du respect, un certain égard. Très gênée, elle balbutia ses premiers mots : « Bonjour Mmm heu … A., Je suis ravie de vous rencontrer. La soirée fut effectivement très agréable. ». « Et qu’est-ce qui vous a enchanté comme cela ? » Je vis qu’elle cherchait ses mots puisqu’elle devait utiliser des termes qui exprimaient ce qu’elle avait à dire mais qui ne pourraient pas prêter à interprétation par les chastes oreilles à proximité. « Bien des choses. La surprise, l’attente, un certain … inconfort à un moment. Le mystère. J’ai été capturée heu … captivée je voulais dire. ».
Comme il était surréaliste mais très excitant de converser de notre relation bien singulière au milieu des gens qui prenaient le café. Je vis, à son sourire, que nous partagions le même sentiment.
« Et êtes-vous intéressée par d’autres séminaires de ce type ? Des séminaires où nous prendrions le temps de traiter le sujet de manière plus … approfondie, plus fouillée. »
Elle me regarda d’un air vaguement inquiet et pourtant sa réponse sembla fuser malgré elle : « Je n’aspire qu’à cela. Et quand aura lieu la prochaine soirée ? ».
« Je vous ferais parvenir la date de notre prochaine réjouissance très prochainement, mais il faudra sans doute envisager plus que des soirées pour aller au fond des choses. »
Je lui tendais la main pour mettre un terme à notre conversation, elle inclina légèrement la tête et le buste comme dans une discrète révérence.
Elle paraissait bien pressée de me revoir, aussi tardais-je à reprendre contact.
A chaque fois, qu’elle me croisait, elle me saluait de manière très courtoise, un léger sourire aux lèvres et me demandait si l’organisation de ces soirées était planifiée. Ma réponse était toujours évasive.
Dans la semaine, je louais un gite en pleine campagne bourguignonne et envoyait le mail suivant :
« G.,
Prévoit de te libérer le week-end prochain du Vendredi au Dimanche soir. Tu prendras le train pour Beaune. Je t’attendrais Vendredi à la gare à 20h30. Tu n ‘emportes avec toi que le minimum. »
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Par : Abyme
JOUR 4 (suite)
La surprise
Tu te relèves, et je reprends quelques grandes respirations salvatrices, tes mains passent derrière ma tête et dénouent le bandeau.
«Je te présente Olivier»
Je mets quelques secondes avant de revenir dans un état où je me sens en mesure de répondre à ces présentations soudaines.
Je redresse la tête
et ouvre les yeux
Me surplombe, toujours calé entre mes cuisses, cet homme qui m'observe de ses yeux rieurs.
Un regard qui se transmet dans mon sourire.
«Enchantée», dis-je en riant, car la situation m'amuse assez, sa grosse barbe m'attendrit, son corps large et tatoué me plaît.
Tu es sur le côté, un peu consterné de voir que tu débandes.
«Alors il te baises bien le barbu?», me demandes-tu, avec un clin d’œil à celui qui a changé depuis vos dernières entrevues.
La sonnette retentit alors, c'est l'ampli que tu attendais tant, tu descends et me laisse seule avec ton pote, ravi de s'amuser encore avec mes lubricités.
On descend boire un thé, je nous roule un gros pétard, il faut que je décompresse.
Je reste en retrait des nouvelles que vous vous échangez, quoi qu'attentive et un peu impressionnée par la teneur des discussions.
«Et maintenant tu vas te caresser devant nous», me dis-tu après un silence qui clôt cette petite trêve. Excite-nous».
Je sens
le sang
qui me monte au visage
j'ouvre des cuisses
timides
j'y faufile une main
discrète
je vous jette quelques regards
furtifs
Franche ta main d'un geste
vient écarter mes genoux
«Ouverte, offerte»
Vous vous branlez en m'observant,
en voyant mon corps nu se tendre pour vous.
La situation me dépasse
je ne sais pas quel spectacle
j'offre,
j'ai peur d'être ridicule
face aux exigences de vos regards
de vos vices,
peur
de ne pas savoir
vous alanguir,
novice.
Tu me demandes alors de venir sur toi, et de m’empaler sur ton sexe dressé.
«Que je t'ouvres bien le cul».
Je t'enjambe,
j'appréhende,
je descends
dos à toi tout doucement sur ton membre,
impassible et patient.
Je respire profondément pour parvenir à me détendre, mais la douleur dans mes fesses est vive, car je me contracte instinctivement.
Tu me menaces.
«Vas-y maintenant, car dans pas longtemps c'est moi qui prend le relais, et tu sais ce que ça veut dire.»
Prise de panique de frissons d'urgence je descend encore un peu je gémis j'ai mal je souffle je descends encore m'agrippe à tes cuisses.
Olivier s'avance et se pose, debout face à moi. Je lève les yeux vers lui. Il se caresse la queue, qu'il tend à ma bouche qui se trouve là, et s'entrouvre frémissante.
Ses mains me poussent vers son sexe et me tiennent par les cheveux pendant que je le suce.
Je m'applique, tout en jouant de mon bassin au dessus de toi, me laissant doucement apprivoiser.
Je m'encule sur toi longtemps, et puis tes mains s'excitent sur mes fesses, tu palpes tapes griffes mes chairs, tu induis
ton rythme
ta vigueur
et grognes
ton contentement
pendant que ton ami me presse sans vergogne la tête contre lui, ma gorge toute entière investie de son sexe, il prend plaisir à me voir
ainsi
suffoquer
me rebeller en vain,
et il profite,
encore,
de son ascendant.
Je ne tiens plus mes muscles me lâchent
mes cuisses ne sont plus qu'une immense tétanie je me relève flanche tu me soutiens
Je tremble de tout mon corps
je ne tiens vraiment plus sur mes jambes
c'est du sérieux.
Je suis invitée à monter à nouveau dans le plumard. J'avance à petits pas bredouillants, mais au fond de moi je jubile de me trouver si bien encadrée, et que le festin ne soit pas encore terminé.
«Tu peux l'enculer si tu veux, mais vas-y tranquille elle en a pris plein le cul ces jours-ci»
Ma tête pudiquement baissée vient confirmer tes dires. Mais je me dérobe sous ses tentatives de me pénétrer, j'ai trop peur, je le sens impatient et peut-être pas aussi indulgent que toi, trop pressé.
Je ne me laisse pas faire
Olivier s'allonge je le caresse et viens lui lécher les tétons sous ses encouragements.
Je te sens venir derrière moi.
«Alors j'y retourne»
Et d'un coup tu viens te loger entre mes fesses. Surprise j'échappe un cri je me tords mais ton emprise est ferme, tu vas et viens déjà sans modération, mon corps sous tes impulsions bouge sur Olivier,
que je lèche
caresse
suce
Je le regarde
et m'agrippe férocement à lui
y plante mes griffes
désespérées
comme pour lui transmettre
la violence de tes assauts
en moi.
«Elle m'a fait jouir juste en me regardant», dit-il soudain à ton attention.
Mes cris suivent ton rythme fou tu t'emballes tu t'acharnes, insatiable, j'ai l'impression que tu veux montrer à ton ami à quel point tu te joues de moi avec quelle hargne tu te permets de me bousculer à quelle intensité tu m'as habituée ; les cris que tu m'arraches ressemblent à des plaintes qui se cramponnent
Tu t'arrêtes, et regardes ton compère
«On dirait que tu tiens la chandelle»
«Ça va, j'ai joui quatre fois. Et puis je la tiens elle, ce n'est pas une chandelle».
Je me redresse, vacillante, et lui souris.
«Ça dépend...»
Rires, échanges de paroles, il complimente mes seins, tu complimentes tout le reste, ma mouille autant que mes airs de sainte-nitouche.
Et moi je suis là,
face à vos corps détendus
et vos regards sur moi
avec ce sourire
en coin
que jamais je ne sais réprimer
et c'est ça qui est bon.
Ton ami se penche sur moi et m'embrasse.
«Il faut que j'y aille»
Je lui fais part de ma joie d'avoir vécu ce moment, et lui dis à la prochaine.
Tu te tournes vers lui et confirmes :
«C'est une invitation»
Accolades, remerciements.
Je t'entends parler avec lui, au seuil de la porte
«Je voulais vraiment que ce soit toi».
J'aime bien votre complicité.
Elle berce ma confiance.
***
On laisse aller
nos pas repus
parmi ces rues noires
où résonnent
les cloches du soir
tombé
sur nos ombres
guidés par des étoiles
qui ouvrent au dessus de nos têtes
minuscules
un ciel sans fond
un froid qui perce
nos peaux
défient nos sueurs
cet air qui nous passe
au travers
des os.
Fin du 4ème jour
(à suivre)
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 31/01/2016 -> 23/03/2024 - 754 Vues)
.
La raison du plus fort sur le plus faible..
Cette défloration de l'esprit.
Cette douleur qui peut me faire oublier qui je suis, et quel âge j'ai.
Ce plaisir à hurler et ne pas en mourir.
Ce premier choix que je réalise et qui m'incombe.
Que vais-je faire ?
Me rebeller ?
Capituler ?
ou ressentir cet abandon ?
Cette main levée, ce coup asséné.. qui me décolle l'âme de la tête.
Ce bleu, cette cicatrice.. Point de lancement où ma raison s'échappe.
Vais-je vaciller ?
Vais-je me perdre ?
où vont mes pensées ?
Cette poigne ferme qui me penche en arrière, m'arrachant de ma torpeur,
Signe distinctif d'un bourreau voulant m'achever,
Serait-elle prompte à ma rédemption ?
Ou à ma chute ?
Cette bouche, déversant ce lien ; Cette salive chaude au goût voluptueux,
descends comme de la lave au plus profond de mes entrailles, me brulant de l'intérieur.
Ce point culminant où je me sens plus bas que terre, et que je suis à disposition du ciel,
et de me surprendre à tourbillonner avec lui.
A la merci des éléments, mon avis n'a aucune importance, car je ne veux lui donner aucun pouvoir.
Quand la mélodie est là, les mots ne sont que de simples élastiques face à cet enchainement d'émotions.
Ce plaisir éphémère que je veux imprimer en moi.
M'appartenir est mon désir,
Prolonger ce plaisir est ma volonté.
Je le regarderais donc les yeux dans les cieux,
Voulant retenir ce Maître, apte à réinsuffler mon âme ou à la dévorer.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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