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le 11/04/18
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Excellent et alléchant récit... On perçoit de suite la lancinante envie de s'offrir à son Maître... Un délice...!
Votre texte est magnifique. Bravo pour votre prose. Vos phrases sont très belles. Que j'aimerais vivre cela! On me l'a promis pour après le confinement et jai hâte! Vous avez bien raison de prévenir pour votre dyslexie mais cela donne un petit charme naïf à vos écrits. Votre mieux est très bien croyez moi. Merci à vous.
Suggestion
Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même ça pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.
L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.
Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité.
J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.
Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer.
confession:
j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas.
lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes.
depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc.. l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶
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Par : Louvia
Dans ce lien qui est le N/notre, l'Obéissance est au cœur de la relation, au même titre que la Dévotion.
La relation que N/nous avons avec Monsieur est bâtie sur ces deux principes.
Ce sont des engagements fondamentaux, qui sont érigés sous un principe de mode de vie et non d'un jeu.
J'entends par là que N/notre dynamique ne tient pas à des kinks, bien que ceux-ci ne soient pas en reste. Que les domaines de "compétence" de Monsieur ne se restreignent pas à la chambre à coucher. Ils s'étendent peu à peu, jusqu'au jour où ils atteindront ses limites.
La part d'engagement qui est la Sienne est de me guider, de me cadrer, et de m'amener à m'épanouir dans ma condition d'initiée et de ce qui s'en suivra. A veiller avec Exigence à mon éducation.
Il est entendu qu'il Ordonne et que j'obéis.
La part d'engagement qui est la mienne se résume en deux points. Dévotion et Obeissance. Plus je Le connais, plus j'apprends, et plus je distingue l'importance qu'à l'obéissance à Ses yeux.
Il n'y a qu'à regarder comment Monsieur réprimande tout écart pour savoir ce que l'indiscipline Lui inspire. Et Monsieur ne manque pas à me ramener à mes obligations lorsque je m'égare.
Obéir c'est mon Rôle, mon Job, ma Place. Ma responsabilité. J'en tire allègrement mon parti, car je vois dans cet acte le moyen de lui prouver par mille cette volonté intacte de me soumettre à Ses décisions.
Je vois chaque ordre comme une opportunité silencieuse de réaffirmer cette volonté. L'obéissance est de ce fait un réel facteur de motivation, tout comme ces opportunités qu'Il m'offre de le Satisfaire..
Il n'en demeure pas moins qu'il n'est pas toujours aisé d'obéir. C'est un choix constant . Parfois c'est contraignant. Parfois je me heurte à ma flemme. Parfois mon obéissance est controversée par la brat qui sommeille en moi. Je ne considère pas mon obéissance comme acquise.
Pour autant, ça n'en rend pas ma volonté à me plier devant Lui moins réelle, et c'est même là que selon moi l’Obéissance tire tout son charme. Dans l'effort, le Véritable Don. Lorsque je vais plus loin que moi. Lorsque je vais jusqu'à Lui.
A chaque fois que d'une façon ou d'une autre je suis appelée à me soumettre à Sa Volonté. Que ce soit par un ordre, une interdiction, ou un choix de Sa part. Obéir c'est Le prioriser, c'est donner vie à ma dévotion. C'est accepter Son contrôle, Ses décisions. C'est faire de Lui le Despote de mon monde. Comme en cet instant, tandis que j'écris à Sa demande.
Il me vient à l'esprit une évidence. L'obéissance que j'offre à Monsieur ne vient pas de nulle part.
Bien que je pense être de nature Docile, il est certain que ce n'est pas un Don que j'offrirais au premier venu. A Lui, de Lui obéir et de me soumettre à Sa volonté naît de ce qu'Il est, de ce qu'Il m'inspire.
Du sentiment d'être considérée, respectée. De l'estime que me porte Monsieur, de son attention à ce que les ordres promulgués produisent l'effet escompté sur moi aussi. Je le fais car je sais que les décisions qu'Il prend me poussent vers le haut. Je Lui obéis parce que j'ai confiance en Lui et en Son jugement. Je sais qu'Il a toutes les qualités nécessaires, et qu'Il œuvre à mon épanouissement.
Cela ne serait pas possible autrement.
Mon obéissance est un écho à Son Emprise de Maître.
#PhotoDuNet
#PenséesD'Initiée
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Par : mia michael
Deuxième partie.
********************
Notre séjour au Cap d'Agde se termine sur une note humide ! Jibi me donne son adresse et son téléphone, on peut aller leur pisser dessus quand on veut. Le jour du départ, je reçois une enveloppe au camping, les photos de Dave, le photographe connu. Je suis belle à côté de ce garçonnet... Ah, mince, c'est Julien.
Je suis triste de quitter le Cap d'Agde : les vacances sont finies. J'ai quand même un sale goût en bouche, pas comme Jibi et Cynthia, plutôt de ce qui s'est passé avec Kriss.
Le retour n'est pas intéressant, parce que tout se passe trop bien. On est pris en stop par des gens sympas, au lieu de prêtres lubriques. Alors je vais faire le grand écart entre Agde et Lille et gommer le voyage du retour. Si vous vous baladez dans le parc naturel du Morvan, levez la tête, ma chatte est juste au-dessus de vous?!
Les parents de Julien sont mitigés, heureux de voir un fils devenu "clean" mais pas très enthousiastes à l'idée qu'il épouse une Rom. Je ne crois pas les avoir convaincus que j'étais un bon parti... mais, ils veulent le caser et surtout, qu'il arrête de se "poudrer" le nez et de picoler.
Le mariage va se faire rapidement, grâce aux relations de mon futur beau-père. Mon père est parti vers le Sud. On se parle au téléphone, il me donne sa bénédiction... On se verra plus tard. Vous voyez, rien de passionnant. Avec les parents de Julien, je fais profil bas, pas de caprices, pas de punitions pour Julien, ou alors en privé. Je veux que rien ne vienne faire capoter mon mariage. Bientôt, je serai la Comtesse Samia de Préville?! Ah, putain?! Ça me troue le cul, tellement c'est classe?! Moi qui suis née sur la route, je vais devenir une aristocrate... avant de passer à autre chose. C'est une étape, dès que j'ai une opportunité, je la saisis par les cheveux ou les poils de sa chatte.
Je joue donc les fiancées modèles.
On habite la grande maison de la famille de Préville, pendant que celle des concierges, où on habitera, est remise en état. C'est une jolie petite maison datant de la fin du 19e siècle. Je surveille les travaux, choisis les couleurs, fais installer une véranda. Mon beau-père finance les travaux, mais il me refuse une piscine, le rat?! Je passe aussi plusieurs jours avec lui dans ses usines : «?Les filatures du Nord Est?». C'est une très grosse affaire et bientôt, elle sera à moi... enfin, comme Julien a un frère et une sœur plus âgés, elle sera à nous pour 1/3 quand mon beau père rendra le denier soupir.
Qu'est-ce qu'il y a de très amusant dans ma vie de fiancée modèle??
Les rapports entre mes futurs beaux parents. C'est la mère de Julien, née Cynthia Ballard, ma future belle mère, qui est la riche héritière. Elle a la majorité des actions. Sylvain, mon futur beau-père, a amené le titre de noblesse et il "file doux". Je crois que père et fils sont des mâles oméga – c’est-à-dire au bas de l’échelle – même si le père est d'une autre trempe.
Cynthia amène ses amants chez eux, comme c'était le cas au Touquet, mais lui ne peut pas bouger.
Le petit déjeuner se prend à 8 h. Une bonne le sert, je suis là avec Julien et Sylvain. Sa femme se pointe avec un amant, pas toujours le même, qu'elle bécote devant son mari. Vous voyez, le père et le fils sont pareils?!
***
On est à une semaine du mariage. Ce matin, Sylvain, mon futur beau-père, me dit qu'après le voyage de noces, je serai chargée des contacts avec les différents syndicats. Il croit sans doute que je suis une fille du peuple, comme les syndicalistes et... il n'a pas tort.
Je dois préparer mon enterrement de fille de jeune fille. Dans la famille de Préville, ils le font un peu à l'américaine, les amies de la mariée lui préparent des surprises à la con. Je m'entends très bien avec la sœur aînée de Julien, Emma. Elle est la seule un peu rock'n roll, même plus que ça. Je lui ai demandé de s'occuper de mon enterrement de vie de jeune fille?! Elle a une trentaine d'années et ne veut pas travailler dans l'usine. Heureusement que l'autre frère seconde son père. J'ai aperçu un tatoo sur le bras d'Emma, c'est ma sœur de tatouage.
Ce matin, on parle de la fameuse soirée. Emma commence par me demander :
— Qui s'occupe de l'enterrement de vie de jeune homme de Julien??
— Aucune idée. Personne encore, je pense.
Elle réfléchit, puis me regarde tout à coup en riant. Je lui dis :
— Quoi?? Pourquoi tu ris??
— Non, pour rien.
— Allez, dis-moi.
— Bon... Ça ne te dérange pas que je dise que Julien n'est pas très viril??
— Bien sûr que non.
— Alors, je me suis dit, si on l'habillait en femme afin de faire un double enterrement de vie de jeunes filles??
Il faut un moment pour que je visualise la scène et... j'adore. Je lui réponds :
— Tu es géniale, c’est vendu?! Tu t'en occupes??
— D'accord. Si on faisait ça dans une boîte gay, filles et garçons?? J'ai une copine parmi les ouvrières de l'usine et on sort souvent ensemble dans une boîte de ce genre...
Elle m'étonne de plus en plus, si ça se trouve, c'est une butineuse. Je veux dire qu'elle aime les filles.
Le lendemain soir, Emma vient me chercher. On passe prendre sa copine qui travaille dans un des ateliers. Elle est encore plus rock'n roll. Nettement, même. Grande, mince, des cheveux noirs et une cicatrice en travers d'un sourcil, mais une vraie, pas comme un chanteur pour minettes qui se coupe le milieu du sourcil pour faire genre, "je suis un dur". Elle me dit :
— Alors, c'est toi qui vas épouser le fils du patron??
Elle me tutoie alors que je serai bientôt la patronne?! Enfin, un peu... Mais vous me voyez lui dire "Mademoiselle, chacun à sa place??" Non?! Je lui dis :
— En effet. Tu le connais??
— Oui et vous allez très bien ensemble
Elle se fout de moi, là?? Oui, elles se mettent à rire toutes les deux. Je ris avec elles. Je suis contente d'être avec ces filles, parce que par moment, les de Préville, j'en ai jusque là. Je veux toujours devenir comtesse, mais j'ai besoin d’amies du peuple. Emma a aussi l'air d'avoir besoin de changer de monde. On monte dans sa petite voiture et 15 minutes plus tard, on s'arrête devant une maison aux volets fermés. Sur la porte, il y a juste le dessin d'un monocle. On rencontre le patron, un costaud avec un pantalon de cuir et les cheveux rasés.
Emma lui dit ce qu'on veut faire. Il la regarde, surpris, puis éclate de rire. Voilà, c'est bien parti pour enterrer ma vie de jeune fille et la vie de jeune homme de Julien. Après cette soirée, il sera... un homme?! Enfin, peut-être.
Mon futur beau-père m'a donné un budget pour la soirée. Je le confie à Emma. Après tout, on est dans la même famille.
***
Trois jours plus tard, Emma vient m'aider à tout préparer pour la soirée. Elle est accompagnée par une de ses amies qui l'aide à me coiffer et me maquiller. Elles rasent même ma petite pelouse qui a eu le temps de repousser, un peu. Emma m'apporte aussi une jolie robe rose... La totale "jeune fille"?! Et puis, ça devient intéressant, elle appelle Julien, son frère. Il sait qu'on va passer la soirée ensemble, mais il n'en sait pas plus. Dès qu’il me voit, Julien s’exclame :
— Comme tu es belle?!
— Toi aussi, tu vas être belle. Déshabille-toi.
La coiffeuse maquilleuse glousse un peu en voyant son petit zizi. Ensuite, elle s'occupe de lui : coiffure, maquillage, vernis sur les ongles. Il a des cheveux assez longs et grâce à un brushing, il a vraiment une coiffure de fille. Voilà, il est presque... prête. Je lui donne une jolie culotte avec de la dentelle et une robe qui ressemble à la mienne, mais en bleu pastel. Franchement, elle est très mignonne?! Emma et sa copine le lui disent aussi et c'est vrai. Il lui reste à mettre des chaussures avec un petit talon, pas plus pour éviter qu'il se casse la figure. Julien manque un peu de nichons, mais il y a de la dentelle assortie à sa culotte à l'endroit de la poitrine.
On se regarde toutes les trois dans un miroir... Pas mal... surtout moi, bien sûr. Franchement, faut aimer le second degré pour se déguiser en vraies pétasses. On s'arrange pour quitter la maison en douce. J'ai pas envie que les parents fassent une crise en voyant leur nouvelle... fille.
On prend la voiture d'Emma. Je parle avec elle et la maquilleuse. Julien, comme à son habitude, ne dit rien : sois belle et tais-toi. Je lui demande :
— Ça te plaît, être en fille??
— ... Euh... oui...
Pas loquace, la gamine?! On va chez l'amie d'Emma, Manu, qui est ouvrière. Il y a aussi trois de leurs amies qui ne sont pas du tout le genre de fille qu'Emma devait rencontrer dans les rallyes d'aristos. Il y a une autre ouvrière de l'usine, une serveuse et une "on ne sait pas". Des filles plutôt jolies, mais des Chtis de base. Deux d'entre elles sont sûrement des butineuses, maintenant vous savez ce que ça veut dire. On s'embrasse toutes. Elles trouvent Julien trop mignonne, je relève sa jupe pour montrer sa jolie culotte en dentelle. Julien est toute rougissante, une vraie future mariée. Je crois que ce déguisement lui plaît, il serait bien mi-chair, mi-poisson. Je vais peut-être le faire dépuceler ce soir, on verra....
On part dans le centre-ville. Dans les rues, les gens se rendent tout de suite compte que c'est un enterrement de vie de jeunes filles : six filles un peu bourrées qui rigolent. Des garçons nous abordent, ils veulent embrasser la future mariée pour lu porter sa chance. Ils embrassent... Julien aussi, bien sûr.
Après s’être bien fait remarquer, on rejoint le bar, QG de Manu et Emma. Les clients sont au courant et ils sont ravis de nous voir. Il y a des butineuses et puis des mâles gays, mais dans le style du patron : crâne rasé, moustaches, jeans troués avec traces de cambouis. Moi, je me réserve les filles, et Julien, je lui laisse les hommes. Quoi?? C'est lui qui ressemble à une fille. Euh... moi aussi, c'est vrai. J'ai un peu trop picolé?!
Le patron du bar nous dit :
— On a fermé les portes pour être entre nous, si vous voulez vous détendre...
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
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Par : Maxxence
Je.
Je suis rond, gros, obèse. Je déborde, je suis excessif. Je parle en mon nom et témoigne, je ne donne aucun ordre, je donne mon avis. Je, parce que ce qui sort de JE c'est le fruit de mon expérience, mes réflexions, mes lectures, mes influences, mes curiosités, mes opinions, mes arbitrages(1).
Je. Moi-moi-moi. Puisqu'il est nécessaire de répondre aux injonctions de "les autres", ma façon d'aborder les événements, les sentiments, les émotions, les autres, c'est par mes sens, cela me concerne donc, et si je veux pouvoir projeter ce que je reçois, je dois pouvoir me l'approprier, le ramener à ce que je connais : donc à moi. Ramener à soi dans le souhait de comprendre, entendre, recevoir ce qui émane de faits, d'autrui, d'événements, il faut être cohérent et avoir un écho en soi.
Je. Je suis principalement autodidacte, alors j'ai réinventé la roue et le bonheur veut qu'elle puisse tourner. Certains jugent cette roue imparfaite, qu'ils le jugent ainsi. Qu'y puis-je ?
Je. Je crois disposer de valeurs ancrées solidement, d'être sincère, transparent, fiable, engagé, précautionneux dans mes entreprises amoureuses, désireux d'entrer dans le monde de l'autre et d'élever notre relation à une construction positive dans un mode d'expression alternatif qui est la sexualité BDSM.
Je. J'aime l'emprise, je la revendique, la recherche et je tends à la mettre en œuvre avec mes partenaires, avec le soin particulier à ce que celle-ci, sans aucune sophistication, puisse être vécue dans le désir d'accompagner ses explorations du plus sombre au plus lumineux, avec audace, avec désir d'animer les émotions, nos émois, avec et vers des pratiques amoureuses, sensuelles, sexuelles atypiques. Des expériences qui encouragent les émotions intenses, uniques, puissantes. Qui créer de nouvelles perspectives, avec le soin de ne jamais meurtrir l'âme de celle que j'aime, avec la prudence de ne point abîmer l'amour, les liens émotionnels, sentimentaux qui nous lie.
Je. Je suis conscient d'avoir pour certains, l'odeur du souffre, d'être selon leurs présentations, un individu toxique. Un être à fuir. Un danger. Un harceleur (#legaliste). Je ne suis pas soucieux de "mon" image, ils perdent leurs temps. Je ne suis pas un prédateur, je n'ai rien à craindre des faits, de la justice, des jugements, parce que je suis loyal, responsable de mes actes, de mes initiatives, des résultats qu'ils ont produits.
Je. Parce que ce "moi" et ce que JE suis forme un tout qui fait que ce que je façonne comme comportement de communication, d'interrogation, d'interventions, de réflexions sont puisés dans les artères de celui que JE suis, de mes expériences et mes connaissances. S'il m'arrive de faire fausse route, je sais le reconnaitre ; quand bien même qu'il me faudrait, comme autrui, j'imagine, un temps afin d' apprivoiser l'idée que je puisse m'être fourvoyé. Je suis organiquement engagé dans mes actes militants, dans mes relations amoureuses, dans ma loyauté aux amitiés.
Je. Je n'use d'aucun artifice pour être "autre chose", "donner une image", le ton qui m'est imputé à l'écrit est une dimension qui est exprimée comme je le fais à l'oral, avec les différences qui résident dans le fait que la communication écrite et verbale n’est pas perçue de la même façon. Je ne sais pas dire autrement que "comme je parle, je vais l'écrire".
Je. Je n'ai pas l'intention de blesser, chagriner. Ce n'est jamais l'intention "par défaut". Lorsque je veux cogner, je l'assume, je le fais savoir, je n'hésite pas et j'endosse, sans la moindre attente de clémence ma responsabilité d'aller à l'affrontement. JE suis responsable de mes propos, de mes actes, JE ne suis pas comptable des interprétations qu'en font les autres.
Je. Pour m'effacer, écouter (tenter d'entendre!), pénétrer l'autre autrement que par ses orifices, recevoir ou percevoir la subtilité des peurs et des fantasmes, la création d'une histoire nouvelle. J'ai pour charge et besoin ; de redevenir un être inexploré, à l'égale de mon alter ego avec qui je vais cheminer sur les sentiers et les espaces non défrichés que nous allez créer, de concert. Les acquis "techniques" ne sont que compétences au service d'une aventure, pas de l'intelligence émotionnelle, parce que l'autre est unique. Mon JE, puissant(2) me permet de m'effacer, de n'être qu'une forme d'esprit qui a pour ambitions, vocations, de percevoir/recevoir/comprendre/entendre l'Autre, dans le but, dans le désir d'aller vers des latitudes inexplorées, agir à façon afin de créer une odyssée, de façonner des souvenirs, de manipuler -en conscience- la création composée à quatre mains.
Je. JE suis continûment remis "en jeu". Je suis blessé. Je suis amoureux. Je suis heureux. Je suis en colère. Je suis curieux. Je suis en éveil. Je suis mutilé. Je suis dans l'ennui. Je suis joyeux. Je suis déprimé. Je suis : vivant.
Je. Je ne m'excuserais pas, jamais, d'être dans ces modalités où il m'est nécessaire de ramener à ce que JE suis afin d'accéder au pouvoir de percevoir, concevoir le propos d'un tiers, pour entendre, comprendre l'autre, toi, le monde autour de MOI. Sans être certain d'y parvenir, et sans aucun doute, JE suis animé par le désir concret et sincère d'y parvenir.
Je, Je, Je ...
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1) Arbitrer, dans le contexte présent, le mot revêt le sens d'une décision prise en conscience, d'agir avec réflexion, distance afin de motiver mes choix, à l'inverse de la pulsion, de l'animalité d'une attitude instinctive. Ce n'est pas juger, c'est choisir une option et l'exprimer, la motiver. Juger est une appréciation morale, éthique, philosophique sur un comportement. Si je dois juger, alors j'emploie le mot, sans difficulté, sans tourner autour du pot. Je sais juger avec légèreté ou ironie ou bien fermeté, parfois avec ce qui en découle, à regret, d'actions judiciaires à mettre en œuvre, s'il le faut - #Legaliste.
2) "Mon JE, puissant" je restitue ici une perception qui m'est souvent retournée, lorsqu'on me dit que je "ramène tout à moi", je comprends ce qui en agace plus d'un/e, c'est ma manière à moi-je, de comprendre ce qui m'est transmis, c'est ma façon d'aborder ce qui je reçois
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Par : Master Mind
Pour ceux trop pressés : la soumination n'existe pas, c'est une autre façon de dire D/s.
Pour la suite de mon propos, j'ai choisi un Dominant et une soumise, mais le sexe des protagonistes n'a aucune importance, c'est le rôle et non le genre qui importe.
Analysons les rapports de pouvoir dans une relation D/s. Tout le monde sait que le Dominant ordonne et que la soumise exécute. Donc la logique veut que ce soit le Dominant qui ait le pouvoir. Mais est-ce vraiment le cas ?
À moins d'habiter dans certaines parties du monde où l'esclavage existe encore, la soumise se soumet par choix. Mieux, elle choisit même son Maître. Nous voici devant le premier paradoxe.
Dans toute relation D/s de bon niveau, il est coutumier d'avoir un "safeword" qui signale au Maître qu'il dépasse les capacités de la soumise. Et j'irais même plus loin, si le Dominant ne remplit pas les attentes de la soumise, elle peut partir purement et simplement. Tiens encore un paradoxe : la soumise décide de quand on arrête.
Certains ne jurent que par le contrat qui lient et sacralisent les limites des deux parties. Encore une fois la soumise a son mot à dire avant de signer. Elle va fixer des limites, formalisées ou non par écrit. Troisième paradoxe : la soumise fixe les limites.
Avec une soumise qui choisit son Maître, qui a le pouvoir de dire stop et de fixer les limites de la relation, qui détient réellement le pouvoir ? La soumise !
Et oui, les soumises ont aussi des attentes. Certaines veulent souffrir, se faire humilier, aiment la violence ou le sexe. Aussi douloureuses et pénibles que soient les activités et punitions offertes par leur Maîtres, elles en ont besoin. Mais plus qu'un besoin physique, un besoin psychologique.
De ce fait, une soumise va faire tout ce qu'elle peut pour pousser son Maître à la combler : la vilaine souminatrice !
Et le Dominant va tout faire pour garder sa soumise et donc tout faire pour la combler : le vilain souminateur !
Malheureusement, vous pouvez retourner le problème dans tous les sens, une relation D/s durable sera faite de compromis. Dès lors, elles seront toutes des relations souminateur/souminatrice et là, personne n'y comprend plus rien, et personne ne sait qui fait quoi. Alors restons sur nos conventionnels D/s pour que chacun sache se situer et ce qu'il est censé faire et arrêtons de parler de soumination.
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 29/04/2019 -> 24/03/2024 - 3575 Vues)
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Quoi de plus extrême de vivre une relation avec une Masochiste "Brat".
Un plaisir intense à porter de main, pour un bien être inatteignable.
Si ces simples mots peuvent paraitre réducteur et fataliste, la réalité n'en est pas moins déconcertante.
Loin de résumer la complexité de leurs existences, il ne peut être que profitable d'en savoir plus à leurs sujets dans un patchwork
sombre, dur, où l'Amour n'est pas une finalité en soi.
A quoi reconnait-on une "Brat" ?
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Imaginez-vous la représentation d'une sirène au visage innocent, sur un radeau au prise du tumulte des vagues...
Une sirène pouvant subjuguer l'homme et lui faire oublier le sens même de la réalité et la parodie même de cette situation.
Avec une intime conviction de pouvoir secourir cette âme égarée, alors que son plus grand souhait est de vous faire sombrer dans son abime, représentant à ses yeux la noirceur de son âme.
Chez elle tout n'est que provocation à ne pas attirer l’œil sur ce qu'elle est réellement.
Elle est très reconnaissable de son physique et de ses traits de comportements.
Une beauté bordé d'innocence donc, qui ne fait que faire contraste à l'image de leur nez souvent cassé.
La "Brat" se veut malicieuse, mais ne dépassera jamais le stade de l'adolescence. Un fort désir de combattre, mais pas d'évoluer.
Affichant souvent un tempérament engagé et militant, ne sachant quand l'ouvrir comme la fermer, la patience est souvent éprouvée en sa présence.
Aspirant à vouloir atteindre des hauts buts personnels et professionnels, avec comme fer de lance un sens de la responsabilité aigu.
Il n'en est pas moins d'une incapacité à comprendre le sens même de ce mot : "responsabilité", puisque qu'il faut avoir des valeurs à "aimer" pour en prendre véritablement conscience.
Oscillant sur les fautes avouées à moitié pardonnées, et pouvoir vivre et se déculpabiliser de ses propres actes dans l'enfantillage, l'hystérie, ou l'inconscience.
Par quoi une "Brat" est elle attirée ?
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Attirée par des êtres complets, leurs visions, et la couleur qu'exprime l'amour de la joie de vivre, plus que la véritable beauté d'âme qu'elle ne savent reconnaitre. Elle se veut "faire valoir" ou "potiche" à coté de cette être qui brille à ses yeux, ne sachant comment réagir sur le fait qu'il y ai une quelconque attirance envers elle, avec comme seule retenue la peur d'être rejeté par celui-ci.
Elle ne veut que voir et ressentir un avenir dans les yeux de l'autre et avoir l'excitation sur le fait de pouvoir y plonger.
Elle a des affinités prononcées avec les animaux, mais rarement avec les enfants, capable de les trahir dans leurs mensonges éhontés et de les pousser dans leurs retranchements.
La femme "Brat" alterne entre trois profils d'hommes :
- Le Dominant représentant l'autorité, une direction personnelle à atteindre sa propre sérénité, et la porte à se regarder en face.
- Le Sadique représentant le désir à se complaire, et à profiter de la vie dans l'insouciance, et la porte dans la valorisation dans le plaisir qu'elle donne.
- L'homme enfant impulsif représentant le complice, l'incomplet, le pulsionnel, le sensible, et l'a porte à l'accompagner dans le plaisir de se sentir utile.
Que fait fuir une "Brat" ?
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Se sachant à jamais "vilain petit canard", le seul ressenti à les appréhender et les comprendre leurs font prendre la fuite,
comme leur donner de l'amour qu'elle ne mérite en rien et qui est tout au plus pour elle un ressenti gênant.
Une fuite où elle sème des petits cailloux d'embuches et de déception, propice à être dans un terrain à provoquer, pour mieux justifier leurs ruptures.
L'excitation compulsive d'une "Brat"
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Faire souffrir ou souffrir, une cruauté, voir un harcèlement nécessaire à son excitation à devenir bourreau à la place du bourreau, et vouloir être arrêtée.
Contraindre l'autre à la perte de la maîtrise de soi, par milles facéties, milles provocations, et n'ayant que de moments d'apaisement qu'à se faire utiliser, torturer, humilier, ou se faire corriger pour cela.
Car après tout, l'heureux élu... ne serait ce pas la personne capable de recadrer le bourreau que l'on n'a jamais su contredire, s'affranchir, ou se détourner ?
Une légitimité à savoir et pouvoir encaisser, autant de mots et de coups qui ne font que nous traverser, nos émotions devenues inatteignables ou jeter à la poubelle.
Une aptitude qui nous a permis de nous projeter dans une survie permanente, et de ne pas plonger dans une irrémédiable auto-destruction, à vouloir recoller un amour de soi qui n'existe plus.
La Masochiste "Brat" ne vise pas le "bonheur" à proprement dit, car elle aura toujours l'impression de pouvoir se sortir de toutes les situations, au lieu de les prendre à bras le corps, pleurer sur son sort ou éprouver sa vulnérabilité à se rendre véritablement femme.
En conclusion ?
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Il est difficile d’appréhender une Masochiste "Brat", de pouvoir avoir la capacité d'Aimer l'invivable, une boule de souffrance à l'état pure... tant elle peut nous marquer dans sa présence, et d'autant plus dans lson absence.
Je ne peux qu'évoquer le personnage fictif, mais haut en couleur de Kara Thrace (Série Battlestar Galactica 2004)
marquée par la méchanceté et la manipulation apparente de sa mère et de la légèreté, de l'absence, et la passion "autre" de son père pour sa fille.
L'essence même de la création des Femmes dit "Brat" : L'Absence de l'amour maternelle, nécessaire à la régularisation des émotions et de l'amour de soi.
https://www.youtube.com/watch?v=Y0ZRxghpp4I
(Battlestar Galactica S02E02 Starbuck and Helo - "Metamorphosis One")
A titre personnel, je regarde souvent cette scène lorsque je suis confronté à des Masochistes "Brat".
Qu'accepter qu'Aimer ce qui ne veux/peux pas l'être sera toujours éprouvant en soi.
Qu'Aimer une Femme Masochiste "Brat" n'est pas un non sens, c'est un devoir de mémoire envers un être fauché par la vie, impossible à aimer en retour.
Une destinée "funeste" à sombrer dans l'une de leurs perpétuelles batailles existentielles.
Portée par les 4 vents de l'amertume, de la frustration, de la colère, et de la mélancolie...
Avec la Liberté comme seule compagnon de route, aussi légère qu'inconsistante, aussi dangereuse que salvatrice.
Cette liberté qui n'aura jamais de destination.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 23/09/2019 -> 31/03/2024 - 927 Vues)
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Quelques bons conseils, le BDSM n'étant pas qu'une question de pratiques et d'accessoires, il y a de nombreuses jouissances à vivre et encore plus d'excitation à prendre en ces lieux en lisant ces quelques lignes.
Mais d'abord, posons nous la question de savoir si vous êtes bien ici chez vous, et surtout dans la bonne catégorie de profil ! :
-> Vous vous sentez l'âme d'une Soumise, vous souhaitez satisfaire vos pulsions les plus intimes ou simplement vous épancher et vous exprimer dans votre désir de libido..
-> Vous n'avez qu'une seule hâte ; Vous livrez et vous abandonner dans la bestialité, la perversité et le dirigisme... que cela soit sur un coup de dé, ou que votre présentation soit des plus soignées. Vous souhaitez toujours avoir des membres attentifs à vos attentes et prêt à vous contenter.
-> Votre désir secret serait de vivre une relation durable avec un(e) Dominant/Domina teintée de vanille ou d'extrême ? Trois mots d'ordre ; Travail, discipline, et bon sens.
Et tout s'avère possible !
Conseils&Recommandations pour vous, nouvelle venue :
01 - Ceux/Celles qui vous suggèrent que le monde est petit et que la sécurité est primordiale, en vantant dans le même temps leurs paroisses dans un but commercial, de rabattage, de féminisme mal avisé, ou ma foi d'une justification de leurs expériences... sont nombreux sur les sites communautaires liés à la sexualité.
Au delà de les ignorer, rappelez-vous pourquoi vous êtes venue dans ce dernier bastion ; Le besoin d'assouvir dans le plaisir et le bien être.
Vous aviez un cerveau fonctionnel à vous protéger, bien avant d'arriver sur ce site non ?
Pour le reste : https://www.bdsm.fr/conditions/ ou encore https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32239
02 - Soyez "contributrices" ; Avoir de la visibilité, c'est bien... Contribuez dans votre passion BDSM, c'est mieux ! Poster sur le mur général vous permettra d'échanger plus facilement avec les membres.
Vous pourrez vous présenter et commenter sur ce que vous avez dans les tripes ou dans le cœur. Cependant, n'oubliez pas d'apporter ce qu'il y a de meilleur en vous, en prenant une part active sur le site ; Écrivez des articles, dévoilez votre vision personnelle à travers des photos et vidéos plus intimistes, ou tout simplement créez, animez ou participez à des événements autour du BDSM.
03 - Vous n'arrivez pas ou ne comprenez pas comment attirer des Dominants/Dominas et Maîtres/Maîtresses dignes de ce nom, et les seules approches que vous avez obtenues ont été décevantes ?
Prenez systématiquement en compte qu'ils n'en soient pas moins des hommes et des femmes derrière leurs écrans, et concentrez-vous à savoir ce qu'ils/elles les attirent, et ne rejoignez jamais les cercles de frustré(e)s avides d'utiliser votre fragilité pour une amertume qui n'est pas la votre.
Autant les Femmes Soumises sont très prisées, autant les Hommes/Femmes Dominants/Dominas sachant ce qu'ils font le sont encore plus. Alors démarquez-vous dans votre Soumission et faite preuve de créativité et de patience.
Bon séjour sur le site !
*Trait d'humour caché dans le titre de cet article.
Article non officiel, avec du bon sens, et donc indispensable comme un bon coup de martinet.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : ChatMOnYou
(Réédition du 14/10/2020 -> 26/05/2024 - 818 Vues)
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Se donner à l'autel des perversions.
Nourrir l'espoir; cette bête difforme, tentaculaire, arrangeante... Apte à se faufiler dans les moindres recoins de notre être.
Sortir de cette obscurité qu'est la perdition, et aspirer à se livrer à un dessein plus grand.
Etre happé(e), forcé(e), vidé(e) de sa conscience, sous totale emprise de l'inconnu.
A la fois effrayant et fascinant... Se livrer à cette entité, ne sachant où son regard et ses membres vont se porter.
Implorer sa clémence de se repaître de ce qui nous rend abject(e), névrosé(e), frustré(e), incapable de reprendre le contrôle de nos vies.
Se réapproprier ce corps translucide, et se donner matière dans un enchevêtrement de chairs et de sensations extrêmes.
Emprunt de souillure, de volupté, faire partie d'un tout, et se définir en rien.
Prier à que cela soit au bon endroit, assez profond et suffisamment fort, à se reconnecter dans des spasmes grotesques.
Pour se redonner naissance et respirer pour la première fois.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/9393/Esclave-Domestique-:-3-R%C3%A9veils-ordinaires -> Esclave Domestique : 3 Réveils ordinaires.
https://www.bdsm.fr/blog/4212/Mentalit%C3%A9-:-Cum-Slave-(Notions) -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
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Par : BDSM
L'abattage était une punition infligée par les souteneurs aux prostituées qui ne filaient pas droit. Il s'agissait de placer la prostituée dans les hôtels les plus sordides ou autres cabanes de chantiers pour les livrer à un grand nombre d'hommes, en proposant un tarif "symbolique" pour rendre la "séance" abordable au plus grand nombre. L'abattage était également un moyen d'exploiter les prostitués arrivant en fin de carrière et ayant perdu leurs charmes les plus vendeurs. Il existait à Paris des hôtels de passe qui étaient spécialisés dans ce "commerce". Dans les rapport de soumission/Domination, on considère l'abattage comme une preuve que la soumise (ou le soumis) sont dignes de leur Maître ou de leur Maîtresse dans la mesure où ils ou elles acceptent cet acte "intense".
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Par : #
Charte
Le collectif Kinky-Lorraine est un espace amical, inclusif, et respectueux de chacun.
Son but est d’organiser des minis-Munch en Lorraine ainsi que des évènements plus privés.
Il met également à disposition de certains membres un espace de communication de groupe, via son serveur.
:la Charte
1 - Comportement :
Respecter la vie privée des membres.
Respecter l'anonymat des membres.
Ne pas diffuser les propos que des membres ont tenus au sein du collectif, en dehors du collectif, sans leur autorisation explicite.
Accepter que l’on souligne vos éventuelles maladresses, et accepter d'en discuter si nécessaire.
Votre vision des choses vous appartient, vous ne devez forcer personne à l'adopter.
Aucune forme de propos, de geste discriminatoire, ou favorisant une oppression, ne sera tolérée.
Le serveur du collectif ne doit pas être utilisé comme un « site de rencontre ».
Aucun message privé ne doit être adressé à d'autres membres via notre serveur, sans avoir recueilli préalablement son consentement explicite sur un salon public.
Les photos et vidéos sont autorisées uniquement dans le cadre de l’accord préalable des personnes photographiées. Toute photo ou vidéo d’une personne n’y ayant pas consenti est proscrite. Toute diffusion sans autorisation expresse des personnes figurant sur la photo ou la vidéo est proscrite.
Le "vrai" BDSM n'existe pas. Merci de garder ce paramètre à l’esprit lorsque vous échangez avec les autres participant·es.
2 - En cas de participation à des évènements et jeux :
À la fois dans vos jeux BDSM, mais aussi dans toutes vos interactions lors des soirées, le consentement préalable de la personne avec qui vous interagissez est essentiel. Il doit être donné de façon explicite, libre, éclairé, informé, spécifique, et révocable. En cas de violation de consentement, vous pouvez vous adresser au staff.
Le non-respect du consentement d’autrui entraine des mesures d’exclusion définitive.
Durant les jeux proposés au sein du collectif, seuls les safe word ''Rouge'' et ''Orange'' devront être employés. Ces mots sont communément admis au sein du collectif et permettront aux autres membres d'intervenir si besoin. Vous devez vous sentir libre d’utiliser ces safes word pour stopper le jeu ou une pratique. Le non-respect de l’arrêt en cas de prononciation est sanctionné d’exclusion définitive.
Les états de conscience modifiée (ébriété, drogue, manque de sommeil ou de nourriture…) sont dangereux dans le cadre de jeux BDSM, tant du côté Top que du côté Bottom. Le staff se réserve le droit de mettre un terme à toute séance dont le(s) participant·e(s) présente(nt) de tels signes.
Les lieux et les espaces mis à disposition doivent rester propres et en bon état. Durant toute la soirée en général, et lorsque vous utilisez un espace pour les jeux en particulier, vous vous engagez à respecter la propreté et à prendre soin du matériel et des lieux mis à votre disposition. Vous vous engagez à nettoyer l’espace et le matériel après son utilisation. Du matériel de nettoyage et des poubelles seront mis à votre disposition.
Évitez toute manifestation bruyante à proximité d’une scène de jeu. Soit-vous respectez ceux qui jouent, soit vous vous éclipsez.
Lorsque des pratiquant·es officient, ne les dérangez pas, en tentant de vous insérer dans le jeu par des actes ou même des paroles. Si les pratiquant·es souhaitent vous intégrer dans leur jeu, iels sauront vous le demander.
Le staff se réserve le droit d'autoriser ou non certaines pratiques durant les évènements organisés.
Les pratiques autorisées le sont sous réserve d’une bonne connaissance et d’une bonne maîtrise des risques impliqués et des mesures de sécurité nécessaires. Le staff se réserve le droit de mettre un terme à toute séance ne respectant pas ces conditions.
Si une pratique vous semble dangereuse ou mal réalisée, adressez-vous à un membre du staff.
Il est interdit de fumer/vaper à l’intérieur des lieux mis a disposition.
Respecter les propriétés individuelles de chacun. Si quelqu'un apporte du matériel, il est en droit de ne pas vous le prêter. Vous devez quoi qu'il arrive lui demander avant de vous en servir.
Respecter son ou sa partenaire, autant que ses limites physiques et psychologique
Systématiquement procéder à une négociation avant une session, afin de m’enquérir des limites de mon/ma partenaire.
Connaître, accepter et communiquer mes limites.
Pratiquer de manière à permettre à chaque instant l’expression d’un refus.
Je m’engage à faire part à l’équipe d’organisation toute situation allant à l’encontre de cette charte.
Je m'engage à respecter la législation en vigueur en France.
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