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le 22/05/18
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Beaucoup de libertins et de libertines se revendiquent d’Epicure alors même que la philosophie épicurienne considère la sexualité comme étant un désir naturel, non nécessaire. Non nécessaire ?! Vivre pleinement sa sexualité contribue pourtant à l’équilibre psychologique et favorise une certaine sérénité de l’esprit. Quel antagonisme, par méconnaissance sémantique, ces derniers au nom des plaisirs de la chair feraient-ils l’apologie de la vie monacale ou d’Eunuques ? Préférence accordée à Eschyle pour qui « il est agréable, d’être agréable à quelqu'un » ou Sophocle qui préconise « être fou de joie, dans les plaisirs, au milieu des plaisirs » .
L'hédoniste considère le plaisir comme le bien unique et suprême dans la vie, et professe la recherche du plaisir, et même des plaisirs multiples, en tant que fin idéale de toute conduite. Alors que pour Epicure, le but ultime est l'atteinte de l’ataraxie. Donc sortons de notre léthargie épicurienne pour entrer dans les folies hédonistes.
La vie est une succession de souffrances et de petits instants de bonheur. Les plaisirs y sont trop éphémères. Cueillir le plaisir du moment, sans dol ni préjudice pour autrui, est de bon conseil pour agrémenter sa vie. Mettre ses sens en exubérance et son esprit en harmonie avec les saines forfaitures des corps.
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Suggestion
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Allongée dans ce lit, ses pensées la tourmentent, elle ne sait pas où ça la mènera, mais elle sait ce que son instinct lui dicte, là tout de suite.
Lentement elle se rapproche de lui, jusqu’à se retrouver collée à son dos, à sentir sa peau toucher la sienne. Ce contact l’électrise, elle sent monter en elle cette chaleur qu’elle avait oubliée.
Il dort, ou du moins fait comme s’il dormait. Alors, doucement, elle pose sa main sur son épaule. Ses doigts glissent le long du dessin, en apprenant chaque courbe, chaque détail. Lentement, elle fait courir sa main sur son bras. Elle se demande à cet instant ce qu’il ressent, lui. Mais au fond d’elle elle se fiche de ce qu’il pense. Elle a carte blanche, tant qu’il ne la repousse pas, elle compte bien en profiter.
Après avoir appris les courbes du dessin, ses doigts remontent sur son épaule, pour attaquer sa nuque et redescendre gentiment le long de son échine. Toujours du bout des doigts, elle détaille chaque vertèbre, chaque parcelle de peau qu’elle peut toucher. Rien ne lui échappe …
Puis c’en est trop, elle veut connaître son odeur, la douceur de cette peau que ses doigts explorent depuis de longues minutes.
Tendrement elle pose un premier baiser sur son épaule chaude. Cette chaleur … comme ça lui a manqué …
Elle colle sa bouche à sa peau et hume son odeur, s’imprégnant pour quelques instants de tout ce que cela représente pour elle. La douceur de ce moment la rend tellement calme, elle pourrait rester ainsi des heures durant, à caresser et embrasser sa peau … sans un mot, sans un geste, juste profiter du moment !
Sa bouche court le long de ses épaules, embrassant à la volée, tendrement, lentement, langoureusement … Le souffle court, elle s’écarte un instant, pour calmer le feu qui monte en elle.
Il bouge … se met sur le dos, et elle se retrouve alors la tête sur son cœur. Mon Dieu, elle ne sait pas depuis combien de temps elle n’a pas ressenti cela, mais cette chaleur monte en elle, doucement, progressivement, l’envahissant jusqu’au plus profond d’elle-même …
Toujours sans un mot, elle pose sa main sur son torse et la fait voyager. Lentement, elle remonte jusqu’à sa clavicule, saillante, mais pas trop. Ses doigts en dessinent le contour pour en apprendre chaque millimètre. Ensuite elle les fait descendre au milieu de son torse, glissant dangereusement vers son nombril … ultime limite de leurs non-dits …
Pendant que sa main explore et découvre ce torse d’homme, elle écoute son cœur battre dans sa poitrine. Malgré elle, elle se surprend à savourer ce rythme endormi, comme une musique qui la berce elle aussi, sans parvenir à l’endormir.
Elle le sait, la nuit touche bientôt à sa fin … alors elle emmagasine des souvenirs. Cette odeur, la texture de sa peau sous ses doigts et contre ses lèvres, le rythme de son cœur et ce sentiment de sécurité à ses côtés … tout ce qui a fait de ce moment un instant magique …
Elle emmagasine pour ne plus oublier ce qui la rend femme …
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Par : Sept sur Sept
Le edging, que l'on traduit le plus souvent par "déni d'orgasme", est un type de pratique le plus souvent lié au BDSM (même si certains le pratique dans le cadre d'une relation de couple vanille). Le edging est une pratique sexuelle qui consiste à stimuler son soumis ou sa soumise jusqu'au point de quasi-orgasme, et d'obliger le contrôle d'orgasme ou d'arrêter temporairement le jeu avant que votre orgasme arrive.
Le déni d'orgasme dans le BDSM
Dans le BDSM, le déni d'orgasme est donc utilisé comme un moyen d'assoir la relation entre le soumis ou la soumise et la partenaire qui domine tout en prenant du plaisir. La personne soumise devra faire attention à respecter le moment dont le partenaire dominant va décider s'il peut jouir. Cette pratique joue à plein sur la psychologie et s'articule autour de la dynamique du pouvoir. Le edging dans une relation BDSM aboutit donc à des moments très forts tant d'un point de vue physique qu’émotionnel. Le déni d'orgasme, au delà de la tension sexuelle est aussi une pratique extrêmement cérébrale.
Ceux qui pratiquent le edging le font, en première intention pour prolonger le plaisir (en le faisant durer) tout en l'intensifiant (l'orgasme final est très puissant du fait de l'accumulation de la tension sexuelle qui va crescendo . Le plaisir à l'issue d'une séance de edging est quasi systématiquement bien plus puissant. Comme les autres pratiques BDSM, le déni d'orgasme se fait après accord de chaque membre du couple. Au delà du consentement qui est la pierre angulaire de toute relation BDSM, comme chacun sait, le edging implique en plus que la personne qui s'y soumet fasse tout pour obéir et retarder sa jouissance.
Comment se lancer dans le edging ?
Parmi les conseils que l'on peut donner si vous avez envie de tester le edging, on trouvera l'immuable invitation à discuter entre partenaires. Lors de la discussion préparatoire entre les partenaires, pourra être déterminé les pratiques qui vont être employé par la maîtresse ou le maître pour emmener la personne soumise au bord de l'orgasme. Les pratiques peuvent être de tout ordre, l'edging peut inclure des stimulations plus ou moins rugueuse du gland et surtout de son frein (pour les soumis), du clitoris, de l'anus et des tétons (pour les soumise). Le jeu sexuel pourra également se faire avec des sextoys, notamment des vibromasseurs plus ou moins puissants (du vibro de base au très intense magic wand). Pour mieux contrôler la personne soumise et assoir sa domination, on aura souvent recours à des moyens d'immobilisation type menottes ou liens ou cordes de bondage. Cela peut participer grandement à l'excitation et au délicieux tutoiement de la limite de son désir, avant le basculement dans la jouissance.
Le edging c'est stimuler très très très (très) progressivement
Le principe est dans tous les cas de commencer doucement les stimulations de la personne sur qui on va pratiquer le edging. Il faut commencer par des contacts légers comme des caresses (pas nécessairement portées sur des zones érogènes) puis augmenter progressivement la tension liée au plaisir en se focalisant de plus en plus sur des zones érogènes. C'est ensuite le levier de l’intensité de la stimulation qui sera activé. On caressera plus fort, on griffera, on pincera. La personne qui domine est libre de choisir les pratiques (et de les utiliser graduellement, en finissant par la pratique qui donne le plus de plaisir, d'habitude, à leur partenaire).
Pour emmener votre soumise au edging, vous pouvez regarder du côté des vibromasseurs offrent des réglages de vitesse et de rythme ajustables et qui peuvent ainsi être utilisés pour explorer différents niveaux de sensation, des grondements lents aux vibrations rapides qui enverront des vagues de plaisir dans tout le corps. De la même manière, pour les soumis, on pourra utiliser cockring vibrants, qui offrent également des modèles de vibrations réglables qui produisent des effets similaires à ceux des vibromasseurs tout en offrant un maintien supplémentaire aux organes génitaux masculins.
Le edging si je suis seul.e c'est mort ?
On l'a vu, un des piments (fort !!!) dans le déni d'orgasme c'est ce qui se noue entre la personne soumise et la personne dominante.
Toutefois, le plaisir du déni d'orgasme (et l'intensité de l'orgasme, au bout du compte) peut être exploré en solitaire lors de la masturbation (j'avoue y succomber quand Chouchou est en déplacement).
1) Commencez encore plus doucement que d'habitude : mettez le téléphone en mode avion, fixez vous une heure avant laquelle vous vous refuser à jouir, et augmentez très très progressivement la pression, la vitesse ou l'intensité de vos stimulations sexuelles (qu'elles soient manuelles ou avec sextoy).
2) Faites des pauses, c'est l'une des clés : Lorsque vous vous sentez au bord d'un orgasme, changez de stimulation ou faites une pause (ne serait-ce que pour quelques instants). Cela permettra aux sensations d'excitation de se dissiper un peu avant de reprendre ( la reprise est en général très très très intense, un à chaque fois encore un peu plus "compliqué" de garder le contrôle).
3) Changez de main ! Que vous soyez un homme ou une femme, vous avez une main agile et précise et l'autre un peu plus gauche (même si c'est la mais droite !). Vous pouvez vous contraindre à vous caresser avec votre main la plus maladroite pour retarder les risques de jouir.
4) Concentrez-vous sur la respiration : Prendre de profondes respirations pendant que vous vous masturbez (ou pendant vos pauses) peut aider à détendre votre corps ce qui est très important pour essayez de retarder l'orgasme !
5) Limitez l'utilisation des vibromasseurs, par exemple forcez vous à n'utiliser que l'intensité la plus faible de votre vibro habituel, ou imposez vous à ne l'utiliser qu'à travers vos vêtements pendant X minutes.
6) Rédigez un texte sur vos pratiques et vos sensations au fur à mesure que votre excitation monte. La phase de rédaction étant incompatible avec la masturbation, d'écrire vous forcera donc à arrêter (tout en vous excitant de l'écrire, ce qui a un côté redoutable, j'en conviens). Si c'est une masturbation edging parce que votre partenaire habituel.le est loin vous pourrez d'ailleurs lui envoyer ce texte quand vous aurez craqué ! (si vous n'avez pas de partenaire attitré(e), pourquoi ne pas les partager sur les sites (ou même dans les commentaires de cet article !).
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La première fois que l'on teste "en conscience" le déni d'orgasme n'est rien quant à ce qu'on ressentira les fois suivantes. En réalité, c'est d'avoir connu le déni d'orgasme et la libération finale parfois après des heures de stimulations (et de pause) qui va rendre un peu plus délcieuse encore la pratique : on sait l'intensité de ce que l'on va ressentir à la fin si on résiste !!!
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Par : mael
Valeri et Xian rentrent à la base de la milice Stalin sur les bords de la Mer Noire, avec son petit aérodrome privé, ses bâtiments pour les entraînements et les préparations d'opérations spéciales. Une base discrète, qui ressemble plus à une petite station balnéaire qu'à un camp militaire.
Un coup de fil urgent.
- Salut Valeri, il faut que tu démontés l'opération Prigojine. Je te fais suivre toutes les instructions.
- ce sera fait camarade Président.
Valeri attire contre lui Xian, sa pire tueuse, une manchoue emasculeuse. Il a encore envie d'elle.
Xian comprend de suite. Elle baisse son pantalon et offre son superbe fessier sur le bureau de Valeri. Un petit cul très serré et incroyablement jouissif. Valeri est son seul homme, celui qui l'a depucelee Elle le laisse s'enfoncer sans le moindre ménagement dans sa chatte aussi tonique et serrée que son anus. C'est presque un viol à chaque fois. Valeri en a une grosse et n'aime pas les preliminaires. De toute façon, une fois passée la douleur, Xian adore cela. C'est une tigresse. Son mâle doit la prendre de force et lui faire mal, sans quoi ce n'est pas son mâle.
Elle hurle et jouit. Valeri grogne son orgasme. Xian est vraiment jouissive. Rassasié de sexe, il allume un cigare et réfléchi. Xian ne se rhabille pas. Elle montre sa chatte qui dégouline de sperme. Elle se masse son clito et se fait encore jouir devant son maître.
Valeri lit le dossier secret reçu via le canal sécurisé. Un coup facile cette fois.
- Rhabille toi Xian. Tu pars dans trente minutes. Tu te souviens du faux Prigojine et du faux coup d'état, de la substitution dans la station? Il faut tout démonter. Bonne chance. Tu as tout la dedans. Un bon 100xe fera l'affaire. Allez file.
Xian ne dit pas un mot. Elle ne parle jamais de toute façon. Une femme d'une fidélité et loyauté à toute épreuve.
Le soir Valeri regarde Russie one. On parle en boucle du crash d'un avion avec Prigojine et son état major à bord. Il s'allume un cigare et se sert un excellent cognac de Géorgie. Il boit à la santé du camarade Président. Et un autre verre à la santé du joli cul serré de Xian.
La base dort. Il fait une nuit d'encre sur la Mer Noire. Il est temps de rentrer à la maison. Roxana et Valentina doivent l'attendre. Il sourit. Elles en sont aux tours de chauffe. Une femme et une trans dans le même lit, elles ont de quoi faire quand il n'est pas là. Encore une mission réussie. Et chaque fois, il a une forte envie de baiser.
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Par : Sitaël
Cette statuette existe…j’en ai réalisé 3 exemplaires !
Celle que j’expose ici a trouvé sa place chez Txoria swann…
Mes élans créatifs m’ont amené à vouloir matérialiser le lien entre mon goût des arts, de la philosophie et de la psychologie, dans le contexte de la Culture BDSM et plus précisément, au regard de ce qui se joue au sein d’une relation d’interdépendance de type D/s.
Cette représentation symbolise pour moi le principe, ou devrais-je dire, la philosophie, voir, la quête de « l’élévation de soi », pour qui cherche à se révéler et s’accomplir, dans une posture d’abandon et de lâcher prise…
Elle est évocatrice du principe de guidance, comme socle fondateur d’un développement personnel et renvoi à l’idée sous-jacente de « faire l’apprentissage de la conscience et la connaissance de soi », en s’exposant volontairement et en confiance, à une certaine vulnérabilité…
Bien au-delà de simplement convoquer la promesse d’un plaisir sensoriel et émotionnel, qu’est-ce que faire le choix d’emprunter la voie de la soumission, si ce n’est prendre la décision contre intuitive* de s’accomplir et de s’élever, en embrassant la vulnérabilité ?
(*Contre intuitive, car communément jugée déraisonnable, immorale, transgressive, dégradante…Mais le plus souvent, jugée par des ignorants moralisateurs, des frustrés et des envieux dénués d’audace, de curiosité et d’ouverture d’esprit, tant intellectuelle que spirituelle !)
L’accomplissement de soi est une longue et noble quête semée de défis, de pièges et d’embuches, ponctuée de découvertes et jalonnée d’indices.
Chacune des étapes de cette aventure, nous offre de nous découvrir, en nous délestant de nos peurs, de nos croyances et de toutes les entraves et autres chaines, qui nous empêchent de faire corps avec nous-même et par voie de conséquence, de faire corps avec le monde qui nous entoure.
Certes, notre berceau éducatif, notre parcours de vie, nos expériences relationnelles, l’obligation morale d’être socialement normé/conforme et inversement…sont autant de facteurs pouvant contribuer à nous éloigner de nous-même ! Le HPE/HPI que je suis en a la grande expérience…
Cet éloignement s’accentuant bien entendu sous l’effet de l’importance des blessures et des traumatismes auxquels certains d’entre nous ont pu être exposés.
Mais tandis que nous avons tendance à chercher à l’extérieur de nous-même, des responsabilités et des causes expliquant ce qui freine notre accomplissement, à bien y regarder, nous sommes bien souvent devenus les auteurs de nos propres empêchements…
Alors…à l’instar de toute quête de Liberté, le secret donnant accès à l’élévation de soi ne repose-t-il pas sur le grand paradoxe, de choisir nos contraintes… ?
Sitaël
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Par : #
morsure de ceinture !
Morsure de ceinture vaut douleur et moiteur
Bientôt, je serai punie. Et pendant des heures.
Jambes écartées. Et mains à plat sur le mur.
Reins creusés. Cul relevé. Offerte en pâture.
Fil-de-feriste, entre excitation, inquiétude
Autour de nous, toujours le silence, la quiétude
Brisée par nos souffles, mes gémissements et mes cris
Ma respiration s’altère, ma raison aussi.
Il me bascule sur le lit. Me dit « Cambre-toi ». J’obéis.
« Et présente-moi donc ton petit cul »
Je lui obéis. Encore. Comme à chaque fois.
L’index sur mon anneau, sa queue bat contre mes fesses.
Mes fesses, elles, battent sur son bas-ventre. Il m’ouvre. Il entre.
« Est-ce-que tu me sens, là ? » me chuchote-t-il
« Oui, Monsieur. »
« Et qu’est-ce-que je fais ? » demande-t-il
« Vous m’enculez, Monsieur »
« Comment ? » il m’interrompt
« Comme une chienne. », je réponds.
Plus il m’appuie sur la tête, plus mon cul se donne
Je gémis, supplie. Rien à faire : il me pilonne.
Et ça dure jusqu’à ce : « Est-ce-que je peux jouir ? » Je demande..mal. La claque n’attend pas pour partir.
« Répète.»
« Est-ce-que je peux jouir, s’il-vous-plait, Monsieur ? »
« Vas-y » : avec M, les leçons se prennent au pieu.
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Par : Intime Photographie
Article d'origine : https://intime-photographie.fr/incontournable/comment-debuter-une-relation-bdsm
Comment débuter une relation BDSM ?
Vous vous sentez attiré par le BDSM, mais vous ne savez pas comment débuter une relation BDSM ? Cette page est faite pour vous ! Après avoir répondu à de nombreux lecteurs, je vais mettre ici quelques-unes des questions les plus posées et y apporter mes réponses. Si vous avez d’autres questions venez sur le forum ou contactez-moi via ce formulaire. Je ferai souvent référence à notre jeu pour soumise, pas forcément parce que je pense que c’est la meilleure solution mais parce que les conseils que je donne je les ai intégré à notre jeu.
Comment dresser une soumise !
Cette page évolue au fur et à mesure des questions. Elle peut s’appliquer quel que soit le sexe de la personne dominante et de la personne soumise. Afin d’éviter les lourdeurs dans le texte, je ne mettrai pas systématiquement toutes les versions de “le” ; “la” “soumis” dominatrice etc.
Attention
Les conseils prodigués ici ont pour but d’amener deux personnes consentantes à avoir une relation BDSM (ou Maître(sse) / esclave ou Dominant(e) / soumise) pour le plus grand plaisir des deux. Si votre question est “comment faire pour que ma femme soit mon esclave” mais sans s’occuper d’elle ni s’intéresser à ce qui lui plaît, vous pouvez d’ors et déjà fermer cette page. Ça doit rester ludique et amusant pour vous deux. Bon, oui, il y aura des moments un peu difficile, ça peut chauffer durement une fessée…
De quoi parle-t-on exactement ?
BDSM sont les initiales de Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sadisme et Masochisme. Il s’agit d’un ensemble de pratiques sexuelles faisant intervenir le bondage, les punitions, le sadisme et le masochisme, ou encore la domination et la soumission. C’est un jeu sexuel où chacun décide de prendre une position définie.
Il y a plusieurs types de relations BDSM, en fait il y en a autant que de couples (ou de groupes…). C’est a vous de créer ce qui vous ressemble, ne vous intéressez pas à “ce qui se fait” ou “ce qui doit être fait”.
On peut être masochiste ou pas, sadique ou pas, aimer l’humiliation ou pas, être libertin ou exclusif… Tout est possible. Vous pouvez tout de même jeter un œil à une référence “les 9 niveaux de soumissions dans le cadre BDSM”
Comment trouver une soumise / Comment trouver un soumis ?
Dans la vie de tout les jours !
Et oui, parfois on trouve juste un(e) partenaire et on se dirige lentement vers une relation dominant(e) / soumis(e).
Les forums et sites dédiés au BDSM.
Attention si vous allez sur des forums, ne postez PAS de petite annonce, en plus d’être parfaitement inutile c’est souvent mal pris. Ces lieux sont des communautés, vous ne pouvez pas demander quelque chose d’aussi intime à un groupe 15 minutes après vous y être inscrit. Je suis sur quelques forums / sites :
Sur notre forum BDSM, ici
www.bdsm.fr
https://fetlife.com/
Les munchs
Il s’agit de rencontres réelles de gens intéressés par le BDSM. Lors de ces réunions on discute, parfois on boit et on mange. Généralement, ces échanges se font dans des lieux tout public : il faut être habillé normalement, pas de relation sexuelle, bref comme on fait dans un bar. C’est plus rassurant pour tous, d’ailleurs ! Rien n’empêche après, si des affinités se créent, d’aller finir la soirée ailleurs.
Comment trouver une Maîtresse ? Comment trouver un Maître ? (Ou un(e) dominant(e).
Voir réponse ci-dessus !
J’ai trouvé un soumis / une soumise / un dominant / une dominante sur internet, et ça a l’air d’être une perle rare.
Attention. C’est peut être tout à faire vrai, et la personne est peut être totalement honnête. Ou pas. Il y a beaucoup de ce qu’on appelle des “fantasmeurs”, ce sont des gens qui vont se projeter, pour un temps dans un jeu de rôle qui les excite. Cela agit pour eux comme un jeu de rôle (RolePlay BDSM). De votre côté, vous vous investissez beaucoup : soit à créer des scénarios, des ordres, établir et entretenir un lien. Soit en étant obéissant, en montrant votre dévotion. Dans les deux cas en vous rendant disponible. Sauf que, d’une part, du jour au lendemain l’autre personne peut tout plaquet. D’autre part, êtes vous certain que la personne à qui vous écrivez est celle qu’elle prétend être ?
J’ai déjà un(e) partenaire, comment lui faire savoir mes penchants ?
Et oui, c’est compliqué ! Peur d’être honteux, rejeté, moqué… Surtout si on est jeune et qu’on craint que ça ne se répande dans le cercle d’amis ou de connaissances. Si vous êtes dans ce dernier cas, faites très attention, car le harcèlement peut prendre des proportions énormes en un rien de temps. En cas de catastrophe ne restez pas seul(e), parlez avec un(e) ami(e) sûr(e), ou parlez en sur un forum ou ici, je ferme la parenthèse. Si vous êtes un peu anxieux(se), pour en parler à votre partenaire optez pour une solution qui ne laisse pas de trace : l’oral, des exemples sur votre téléphone ou ordinateur, mais rien d’écrits que vous envoyez.
Ensuite, vous pouvez opter pour plusieurs choses :
Un SMS, si comme moi vous avez du mal à parler directement, “tu connais le BDSM ? Je découvre quelques photos que j’aime bien” et ajoutez en une ou deux pour amorcer la discussion. C’est un peu bateau mais ça peut se mêler dans la vie de tout les jours.
Une lettre manuscrite ou écrite à l’ordinateur et imprimée ou envoyée par courriel. Il faut se poser et l’écrire, la relire, peut être attendre un peu… Et envoyer ! Ça permet de bien choisir ses mots et son moment.
Lui parler, lui expliquer, pendant un repas, un RDV ou un apéro.
Mais qu’est ce que je lui dit ?
Ce que vous ressentez, pour elle / lui, ce que vous aimeriez lui faire, ou qu’elle vous fasse. Ce que vous aimeriez en plus, ce que vous avez déjà fait et que vous avez apprécié. Vous pouvez ajouter des photos et / ou vidéos, ou des liens vers des photos et vidéos qui vous plaisent. Essayez de savoir un peu ce que vous voulez avant d’aborder le sujet avec l’autre.
Est-ce que la personne va refuser ou accepter ?
Ça je ne peux pas le savoir. Mais honnêtement, aucune des personnes avec qui j’ai parlé est revenu me dire “bon, elle n’a pas voulu”.
Et si mon (ma) conjoint(e) décide de me quitter ?
Concrètement, si vous ne pouvez pas parler de sujets comme celui-ci à votre partenaire… Avez vous vraiment un partenaire ? Autant ne pas perdre de temps, si vous vous rendez compte que ça vous est “vital” et que c’est hors de question avec votre conjoint(e), l’un, l’autre, ou les deux risquez d’être malheureux et de vous abîmer.
Elle semble partante pour essayer et elle voudrait en savoir plus, que faire ?
Discuter, encore. Échanger vos préférences. Pourquoi ne pas lui indiquer ce site ? La personne pourra lire des questions réponses, et poser toutes celles qu’elle veut ! Je pourrais également transmettre les questions à ma soumise qui répondra directement.
Mon conjoint semblait partant, mais tarde à prendre des initiatives pour me soumettre.
Déjà un homme très excité (ça marche aussi pour les femmes…) aura probablement beaucoup plus tendance à se lâcher et à aller vers ce que vous souhaitez. Vous pouvez essayez de créer un scénario, même des grandes lignes, et lui présenter afin de le réaliser.
Sinon essayez de savoir ce dont vous avez envie, puis pendant une partie de jambe en l’air bien chaude, lui dire de vous fesser, de vous baiser bien fort à 4 pattes. Vous pouvez essayer de bien l’exciter : en le suçant à genoux, en écartant votre cul, votre chatte pour le mettre dans l’ambiance. Attention, si le but est d’avoir un(e) partenaire soumise, le vous déconseille de bien l’exciter pour ensuite le / la soumettre par surprise : c’est de l’abus.
Comment savoir ce qu’on aime, il y a une liste ?
Hé bien… Oui, j’ai une page dédiée à cette liste : Liste de préférence sexuelle (Checklist BDSM, questionnaire bdsm) je vous conseille de la remplir chacun de votre côté et de mettre en commun ensuite. Il faut clairement poser vos limites, l’un comme l’autre.
Allez, on se lance ! Faut-il du matériel en particulier ?
Absolument aucun. Ça viendra avec le temps ! Pour démarrer, vous avez déjà vos mains pour fesser, pourquoi pas une spatule de cuisine. A-t-on besoin de quelque chose pour se mettre à genoux ? Au gré des envies, des cadeaux, des promos, vous ferez votre stock d’accessoires et de tenues. Le but est de prendre du plaisir à deux : votre corps suffit.
Je manque d’idée… Qu’est-ce que je peux faire ?
C’est précisément pour cette question que je partage notre jeu : allez voir sa page ou celle de la version vanille. Il y a au total plus de 200 idées pour soumettre sa femme, ou pour se soumettre. Une version pour homme soumis devrait arriver.
Mademoiselle (ou Madame, ou autre) accepte d’être ma soumise une soirée, qu’est ce que je fais ?
C’est toujours compliqué de répondre à ce type de question, car elle dépend vraiment de vous, du couple que vous formez et de vos préférences. Parmi les idées que je propose, c’est à vous de créer votre projet. En revanche je vous conseille de créer un SafeWord (mot de sécurité, mot de secours, vous ci-dessous). Respectez ses limites et son consentement.
Comment débuter une séance ?
Il y a mille manières ! Mais si on est ensemble, je conseil de la mettre à genoux, de lui mettre un collier (voir plus bas), ou autre signe distinctif et de lui demander “qu’est ce que tu es ?”, elle répond alors “Je suis ta chienne” ou quelque chose comme ça. Plusieurs propositions sont intégrées dans les règles de notre jeu.
Qu’est-ce que le SafeWord ?
Il s’agit d’un ou plusieurs mot, qui, lorsqu’ils sont prononcés, font baisser l’intensité du jeu, ou arrête tout. Soit le temps de reprendre ses esprits et de ce mettre d’accord, soit complètement jusqu’à un prochain jeu. Dans notre contrat nous en avons plusieurs : « Orange » on calme un peu. « Rouge » on arrête tout et on discute. « Câlin », tu te mets contre moi et je te câline, tu me redis quand tu te sens prête à continuer. Lorsque le safeword est prononcé faites ce qui est prévu : calmez-vous ou arrêtez-vous immédiatement. Vraiment, sinon vous torpillez la confiance de votre partenaire -et à juste titre- vous ne la méritez pas. Pour les premiers jeux, évitez les baillons pour que votre partenaire puisse s’exprimer librement.
Faut-il créer un scénario complet ?
Vous pouvez, mais je vous conseille de faire quelque chose de vague : quelques idées notées, quelques pratiques, un déroulement schématique. Sachez inviter l’inattendu ! Sur le moment vous aurez probablement d’autres envies, d’autres idées. Vous pouvez également créer un scénario très précis et essayer de le respecter à la lettre, c’est autre chose et ça peut rassurer de savoir à l’avance ce qui est prévu.
Quelque chose ne se passe pas comme prévu, je fais quoi ?
Il faut savoir s’adapter : il y aura des bonnes et des mauvaises surprises. Ne vous vexez pas et avancez. Vous trouverez d’ailleurs des exemples de mes “échecs” sur ce blog, nous sommes humains et je tiens à montrer que nous ne sommes pas différents, quel que soit le côté du fouet où on est.
Elle refuse un truc, je la punis ?
C’est très excitant, on est bien lancé… Mais elle n’agit pas comme prévu. Clairement, surtout au début, je vous déconseille de la punir si ça ne va pas comme vous voulez, ça braquerait encore plus. Vous êtes dans la vraie vie : prenez soin l’un de l’autre. Attention à l’effet que ça peut avoir sur elle, restez bien à l’écoute.
S’il s’agit d’un jeu entre vous, qu’elle vous teste, vous pouvez insistez en restant dans le cadre définit au départ.
Si vous avez essayé de faire quelque chose alors qu’elle vous avait dit que c’était en dehors de ces limites, vous êtes fautif, présentez vos excuses et rassurez votre partenaire.
Si vous avez juste proposé pour voir si elle pouvait aller plus loin, revenez en arrière.
Mais, ma compagne n’est pas forcément prête en même temps que moi.
Je suis personnellement parti du principe que le dominant serait toujours plus ou moins prêt et que c’est à la personne soumise de définir lorsqu’elle est prête. C’est pour ça que dans notre jeu, la soumise ou l’apprentie pioche deux actions par mois et les réalise quand elle veut dans le mois. Ça permet qu’elle se sente bien, prête, et qu’elle ait pu faire tout ce qui lui semble nécessaire pour le bon déroulement de l’action et du jeu. Cette article peut également aider : Je suis soumise mais je n’ai pas envie, que faire ?
Est-il possible de lui imposer un moment où elle est soumise ?
C’est à vous de voir. Surtout, ne vous précipitez pas. Dans une situation comme la notre, à mon avis il peut être nécessaire à un dominant de choisir un moment ou Mlle ou Mme DOIT être soumise quoi qu’elle en pense -à partir du moment où elle a accepté cette possibilité-. Dans le cadre de notre jeu, ma soumise l’est : pendant ses actions, pendant 96h à la suite une fois par an (la date est choisie ensemble), 3 fois 24h répartie dans l’année quand je veux. Je lui envoie ou lui dis simplement quelque chose du type “à partir de maintenant et pour 24h tu es ma soumise”, elle signe son contrat et débute sa période de soumission. Lorsque l’ordre est donné par SMS le contrat est signé plus tard.
Un contrat est-il obligatoire ?
Absolument pas. Alors pourquoi on en fait un ? Déjà, pour entrer dans le rôle, ça a un côté solennel, comme le collier. Ensuite, parce que ça peut permettre de mettre noir sur blanc les limites, les obligations, les rôles de chacun. Dans le BDSM, tout est souvent du spectacle ! Si vous en faites un, ne signez pas ce avec quoi vous ne seriez pas d’accord. Nous proposons un grand nombre de contrats BDSM ici.
Comment être guidé ?
Il y a plusieurs solutions, les forums, les réseaux sociaux, vous connaissez tout ça. Il y a aussi le mentorat BDSM : il s’agit de choisir un mentor, un compagnon de route a qui poser nos questions, construire avec lui le cheminement. Les personnes dominantes et les personnes soumises peuvent demander ceci, et à mon sens même si le mentor est souvent un dominant pour un autre dominant : il n’y a pas de règle. J’ai moi même conseillé plusieurs soumises, qui se posaient des questions sur le chemin que prenait leur relation. Vous pouvez me contacter via le formulaire, via instagram,
Le collier est-il obligatoire ? Ma femme refuse de porter un collier.
Absolument pas. Si elle refuse, elle refuse, point. Elle trouve peut être cela trop dégradant. La situation changera sûrement si elle comprend, ou plutôt lorsque vous lui aurez montré que devenir “une chienne” ne ternit pas son image à vos yeux, mais au contraire vous rend fier. Pourquoi ne pas lui proposer de porter un joli ruban au départ ? Ou un petit bracelet, ou une petite chaîne de cou, sans connotation autre que pour vous. Ça peut être l’occasion d’un petit cadeau ! Par ailleurs certains dominants estiment que le collier doit se mériter et s’obtenir après un certain temps.
Est-ce qu’on peut inverser les rôles ?
Absolument ! Dans le milieu ça s’appelle “switcher”, on appelle “switch” ceux qui inversent régulièrement. Je trouve que c’est très positif : ça permet à celui / celle qui prend le rôle de dominant de se rendre compte de la responsabilité, de savoir à quoi il faut penser, de préparer des choses, de prendre soin de l’autre. Pour celui / celle qui devient soumise, ça permet de savoir la difficulté d’obéir en tout, voir de souffrir pour son / sa dominant(e).
Je souhaite faire du Shibari / bondage, ligoter mon / ma partenaire ?
Tant mieux ! Renseignez vous bien sur les consignes de sécurité avant de vous lancer. Vous trouverez quelques tutoriels de bondage simple ici: https://*** Lien en cours de validation (=attente du lien retour sur le site mentionné) ***/tag/tutoriel
Mon / Ma conjoint(e) veux me soumettre, est ce qu’il m’aime ?
Je ne connais pas votre couple, je ne peux pas être catégorique. Pour savoir s’il / elle vous aime : il faut lui demander. En revanche, est-ce qu’on peut être fou amoureux de quelqu’un et vouloir la soumettre ? Oui, c’est mon cas.
Est-ce pour me punir, j’ai fais quelque chose de mal ?
Non. Si d’ailleurs vous devez prendre une punition violente parce que vous “avez raté quelque chose” dans la vie de tous les jours, vous êtes probablement victime de violence domestique, pas acteur d’une relation équilibrée avec un jeu dominant / soumise. Dans le cadre BDSM, les erreurs sont bien souvent un prétexte pour jouer. On trouve d’ailleurs souvent des soumis(e)s qui disent “fauter” exprès pour que leur dominant(e) sen occupe.
Mon mari veut me faire porter un collier en public, je ne veux pas ou Mon mari veut me prêter à d’autres hommes, je ne veux pas. D’une manière générale : mon (ma) conjoint(e) veut m’imposer quelque chose que je ne veux pas.
Hé bien, ne le faites pas ! Si vous pensez qu’il / elle risque de vous quitter : avez vous envie de rester avec quelqu’un qui vous dit “soit tu fais ça soit je te quitte ?” ça finirai comment ? Après, oui, ça peut demander quelques efforts. Ne faites pas ce qui n’est pas tolérable pour vous, mais si un petit effort fait de gros effets ?
J’essayerai bien, mais j’ai vu des photos de choses terrifiantes.
Voir réponse ci-dessus : ne faites que ce que vous voulez. Savez vous ce que veut votre conjoint(e) ?
Je n’y arriverai jamais ! Les soumis(es) sur internet font des choses extraordinaires, je vais forcément être une déception.
Ayez confiance en vous ! Parlez avec votre partenaire, énoncez-lui vos craintes, vos limites, vos efforts. À chaque progrès il / elle sera comblé(e), promis. De nouveau, ne faites que ce que vous voulez, et que ce que vous pouvez assumer. Savez vous ce que veut votre conjoint(e) ? Il n’a peut être pas prévu de vous percer les seins à l’agrafeuse, il veut peut être juste vous contempler à genoux avec un beau collier.
Mais si je me mets à ses genoux, si je me soumets… Il ne va plus me voir que comme une chienne ?!
Si c’est quelqu’un de bien dans une relation équilibrée, non. Si ce n’est pas quelqu’un de bien : il vous voit déjà comme un trou. Personnellement, plus ma soumise accepte volontairement d’être soumise, humiliée, baisée… Plus elle est grande et merveilleuse à mes yeux.
Il / elle veut me rabaisser en dehors des séances de BDSM
Alors ce n’est pas un jeu, vous êtes juste victime de violence domestique, pas acteur d’une relation équilibrée avec un jeu dominant / soumise. Dans le cadre BDSM sain, les erreurs sont bien souvent un prétexte pour jouer. Personnellement, je pense que plus la soumise est forte dans tous les aspects de sa vie, plus sa soumission volontaire et joyeuse à de la valeur. Le rôle du (de la) dominant(e) est de soutenir son (sa) conjointe dans la vie de tous les jours, de le (la) rendre fort(e) et autonome. Voir cet article : BDSM sain ou violences.
Que faire pour ne pas avoir de marque ? (Pour les enfants, le sport, l’été…)
Privilégier les techniques qui ne laissent pas de marque : pincement de tétons et de lèvres, jeux d’humiliation, doigts dans la gorge, dilatation, déni d’orgasme… Plus les objets sont larges, moins ils marquent facilement : le paddle, la main sont donc à privilégier. Bien entendu, ne pas utiliser d’objet qui laissent des marques ou les utiliser doucement. Avec l’habitude, la peau durcit et on marque moins. Nous, nous pratiquons peu la douleur la peau est donc sensible en permanence.
Article d'origine : https://intime-photographie.fr/incontournable/comment-debuter-une-relation-bdsm
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Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même ça pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.
L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.
Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité.
J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.
Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer.
confession:
j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas.
lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes.
depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc.. l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶
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Par : Antoinette
Décidément cette petite conne de Samia, une adulte consentante et fort jolie qui adore les scénarios d'infantilisation, ne comprendra jamais ses leçons. J'ai beau lui flanquer de copieuses fessées, la mettre au piquet, l'enfermer dans le placard à balais, rien à faire, Samia ne comprend rien et se trompe toujours. A croire qu'elle fait exprès pour être punie de plus en plus sévèrement.
Pour y voir plus clair, je l'ai prise chez moi en cours particuliers pour un week end. Cette petite conne est arrivée avec sa jupette plissée, ses longues chaussettes mi bas de laine, ses chaussures vernies et ses couettes. Elle avait une sucette en bouche et ce manque de respect lui valu de suite une bonne paire de gifles. Elle serrait les genoux et a dit:
-Madam j'ai envie pipi
Je l'ai conduite aux toilettes et elle n'a pas pu se retenir. Elle a fait devant la porte. Elle voulait visiblement me faire perdre mes nerfs. J'ai sorti ma cane anglaise bien souple et son petit cul est vite devenu rouge. Elle a du tout nettoyer à quatre pattes et bien astiquer le sol. Cela au moins, Samia savait faire à peu près bien. Elle a du aussi laver sa petite culotte à la main et la faire sécher sur le poêle. C'est un froid week end d'automne, une journée de brumes où il fait bon rester au chaud.
C'est vrai que Samia a un adorable petit cul et un joli petit minou de femme qui adore jouer à l'écolière pas sage. J'ai eu envie d'elle et nous sommes montées dans ma chambre. J'avais envie de lui bouffer sa chatte pendant qu'elle sucerait mon clito. Nous avons joui très fort toutes les deux. Un pluie fine frappait contre la fenêtre de la chambre. Nous avons glissé sous la couette pour être bien au chaud.
Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de materner cette petite conne de Samia. Je lui ai donné le sein. Elle a sucé et s'est endormie comme une bébé.
Cela ne faisait pas avancer les devoirs. Mais pour une fois, j'ai décidé de prendre mon temps, de ne pas tomber dans le piège des fautes exprès pour recevoir des corrections. Non, j'ai décidé de conduire le jeu. Samia s'est pliée, cambrée. Elle a beaucoup gémi et supplié. Nous avons fait l'amour souvent. Elle a eu droit à son collier avec un bel anneau. Elle a adoré dormir nue au pied de mon lit, en bonne chienne bien dressée.
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Par : #
Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne.
Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées.
Se questionne.
Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées sont réalisées à la perfection.
Minutieuse elle espère le rendre fière,
Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire.
Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine,
Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraité, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur.
Bouche ouverte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyant, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux.
N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échapper des gémissements.
Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention.
Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece.
- Ouvre les yeux salope.
La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête,
Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce,
En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction.
Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer.
- Debout, danse.
Ce qu'elle fit, une danse sensuelle, balançant ses hanches, dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait que grandir l'excitation du Maitre, une source d'inspiration pour ces idées perverses.
Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, la fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la plantes des pieds, elle pleurs se debats, hurle, elle le supplie.
Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncé d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abats sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes
Il glisse sa mains le long de ses fesses, examinant l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevé, allongé sur le canapé, ses trous offert, prête à être utilisée.
Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chochotte à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue.
Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souillé.
Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role d'object sexuel, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisée, elle supplie.
Le maitre accepte.
Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance.
Épuisés, ils se prennent dans les bras, se couchant ensemble, et finissent par rejoindre morphée.
Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur de ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre.
Le rêve devient réalité.
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Par : Sept sur Sept
Le terme "subdrop" est dérivé de l'anglais et fait référence à une chute, une descente, dans ce cas, émotionnelle ou physique. Cette réaction est souvent la conséquence d'une expérience intense, qui peut être aussi bien psychologique que physique. Les pratiques BDSM peuvent engendrer des niveaux élevés d'adrénaline et d'endorphines.
L'adrénaline, souvent appelée "hormone du stress", est libérée en réponse à une situation stressante ou excitante. Elle prépare le corps à réagir, que ce soit pour fuir ou combattre. Les endorphines, quant à elles, sont des peptides qui agissent sur les récepteurs opioïdes du cerveau pour réduire la perception de la douleur. Elles sont souvent surnommées les "hormones du bonheur" car elles peuvent provoquer des sensations d'euphorie.
Après une scène ou une session BDSM, où ces substances chimiques ont été libérées en grande quantité, leur niveau dans le corps commence à diminuer. C'est à ce moment que le "subdrop" peut se manifester. Les participants peuvent ressentir une profonde tristesse, une sensation de dépression, ou un épuisement général. Cette descente émotionnelle et physique est parfois comparée à la sensation que l'on peut ressentir après un événement très attendu qui prend fin, comme un concert ou un grand événement sportif.
Il est absolument crucial de comprendre que le "subdrop" ne témoigne pas d'une expérience négative ou traumatisante en soi. C'est plutôt une réaction naturelle du corps à la suite d'une montée intense d'émotions et de sensations. Cependant, il est essentiel d'en être conscient et de prendre les mesures appropriées pour soutenir la personne qui en fait l'expérience.
Le "subdrop", bien que souvent associé au BDSM, trouve en réalité ses racines dans la biologie humaine. Pour comprendre ce phénomène, il est essentiel de se pencher sur les mécanismes neurobiologiques qui se déclenchent lors d'expériences intenses.
Lorsque nous vivons des moments d'intensité, qu'ils soient d'ordre physique, émotionnel ou psychologique, notre corps a une réponse chimique. Une des principales substances chimiques libérées est l'endorphine. Les endorphines sont des neurotransmetteurs, c'est-à-dire des messagers chimiques qui transmettent des informations d'un neurone à un autre dans le cerveau. Ces molécules jouent un rôle crucial dans la modulation de la douleur et la production de sensations agréables.
Agissant comme des analgésiques naturels, les endorphines ont la capacité de réduire la perception de la douleur. Elles sont souvent comparées à des opioïdes comme la morphine, bien qu'elles soient produites naturellement par le corps. Lors de leur libération, elles peuvent provoquer une sensation d'euphorie, un sentiment d'extase ou de bien-être intense.
Cependant, la nature a une manière d'équilibrer les choses. Après une telle montée d'endorphines, il est courant que leur niveau diminue une fois l'expérience intense terminée. Cette chute peut être abrupte, et c'est là que le phénomène du "subdrop" intervient. L'euphorie laisse place à des sentiments contrastés de tristesse, de mélancolie ou de vide. Cette transition peut être déroutante, surtout si la personne n'est pas préparée ou consciente de cette réaction biologique.
Il faut donc garder en tête que le "subdrop" n'est pas simplement une réaction psychologique, mais aussi une conséquence directe de la manière dont notre cerveau et notre corps gèrent les expériences intenses. La compréhension de ce mécanisme peut aider à mieux anticiper, gérer et soutenir ceux qui vivent cette descente émotionnelle.
Il est essentiel d'apprendre à reconnaître et à comprendre le "subdrop" pour plusieurs raisons :
Pour préserver sa santé mentale et bien-être émotionnel et/ou celle de son/sa partenaire :
Impact psychologique : Le "subdrop" n'est pas simplement une baisse d'humeur passagère. Pour certains, il peut s'apparenter à une véritable dépression temporaire, avec tous les symptômes associés tels que la tristesse, l'anxiété ou le sentiment d'isolement.
Soutien nécessaire : Ignorer ou minimiser le "subdrop" peut aggraver ces symptômes et avoir des conséquences durables sur la santé mentale d'une personne. Il est donc primordial d'offrir un soutien adapté, qu'il soit émotionnel, psychologique ou même physique, à ceux qui traversent cette période délicate.
Pour maintenir la confiance entre les partenaires :
Échange ouvert : Dans le contexte des relations BDSM, où la confiance est un pilier, la communication revêt une importance capitale. Les partenaires doivent être en mesure de discuter ouvertement de leurs ressentis, de leurs craintes et de leurs besoins.
Anticipation : Être conscient du potentiel de "subdrop" permet d'anticiper et de préparer la suite d'une session. Cela peut inclure des discussions préalables sur ce à quoi s'attendre et comment y faire face.
Prévention et gestion :
Mesures préventives : Bien que le "subdrop" ne puisse pas toujours être totalement évité, il est possible de mettre en place des stratégies pour en réduire l'impact. Cela peut inclure des techniques de relaxation, de méditation ou même des activités distrayantes.
L'importance de l'aftercare : L'aftercare, ou les soins post-session, est un élément essentiel pour aider à gérer le "subdrop". Il s'agit d'un moment dédié à la récupération, où les partenaires peuvent se reconnecter, discuter et s'assurer du bien-être de l'autre. Cela peut inclure des gestes simples comme se tenir la main, échanger des mots réconfortants ou partager une activité apaisante.
Le "subdrop" est un phénomène complexe qui mérite une attention toute particulière. En comprenant ses origines et ses implications, nous pouvons mieux soutenir ceux qui en font l'expérience.
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