par lulu
le 24/09/19
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Depuis hier, cet esclave a été enchaîné au mur dans ses chaines au complet. Cagoulé. Bailloné.
Il a au moins juste assez de chaîne pour s'allonger. Le sol est dur. Isolé dans cette sombre pièce.
Il n'a pas beaucoup dormi. Finalement, son bandeau a été enlevé ainsi que son bâillon.
Il a pu boire de son écuelle posée sur le sol et de même il a mangé son gruau.
Ses mitaines lui ont été enlevées et il a pu pissé dans son seau, difficilement à cause de la cage qui comprime son pénis. Aucun mot n'a été prononcé. Il n'y a rien à dire,
Elle lui a tout remis., contrôlé que tout était bien verrouillé. Il a été laissé à nouveau enchaîné dans l'obscurité du sous-sol jusqu'à sa prochaine visite.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
enfermement
Suggestion
Par : #
alors même que je me remet de mes émotions, j’ai encore cette sensation a l’intérieur de se cul qui es le sien …..
elle me retire les menottes, je reste nu bien sur, sans la cage, la cagoule toujours en place….. elle m’enlève le baillon qui était déjà partiellement enlevé… je sens sa présence devant moi car je ne vois rien du tout mais PAS BESOIN DE VOIRE …. !!
elle me guide jusqu’a sa chatte déjà si chaude et ruisselante hummmm je comprends se que je doit faire ( hihiihiiii )
tout se que je vais faire est pour elle pour sont plaisir unique hummmmm…
ma langue contre son vagin à la servire …. tel est aussi ma place hummmm
je la lèche de longue en largue de haut en bas hummm, en cercle, j’entre même ma langue en elle, se n’est plus ma langue masi la sienne qu’elle dirige brillamment, j’entends alors « fait moi jouir petite salope !! « quel encouragement j’adore quand elle me le dit !!!
elle sais m'excité aussi hummmm…
au ton de sa voix de ses gémissements je sais que j’y suis presque ….
mes mains à présent sur ses têtons durcie elle me contrôle à nouveau !!! du mieux que je peux, je lui pince les tétons hummmm qu’elle sentiment d’être au service de la jouissance de sa Maitresse quel fierté ….
avec la place d’honneur … oui la langue entrain de léché la chatte de ma Maîtresse je me délecte même de son jus qui coule chaudement dans ma gorge!!!
elle re sert la tête contre sa chatte j’entend alors « fait moi jouir ou tu ne hummm … ne fera pas …. pas l’amour à ta femme …. hoooooo pendant 1 mois «
je réponds alors d’un geste sauvage un coup de langue plus vife au sein de sa chatte …. je m’étouffe mais c’est si bon … !!!! hummm je vais jusqu’au bout !!!!
je m’applique alors je boie de plus en plus de son jus qui dégouline sur se visage de petite salope !!!! je ressert dans les doigt les tétons de ma Maîtresse …. plus fort en tirant dessus !!!
hummmmm ouais elle vient !!!!! quel plaisir de la faire jouir !!!!! son crie me dit qu’elle y es !!!
sentiment d’accomplie de fierté à nouveau !!!!
suite a quoi elle guide la main de sa petite salope sur sa chatte encore hummm bien chaude ….
hooooo se n’est pas fini !!
encore une fois je comprends que je suis le pantin de ses plaisirs … j’enfonce directement 2 doigt …. hum je bouge dedans j’adore sa !!!
elle aussi elle me guide la tête sur ses tétons que je suce délicatement…. ou pas je les mordille les tien entre mes dent et les lèche en meme temps avec la langue !!!!! hummmmm entre temps j’ai maintement 4 doigts en elle, bientôt viens le 5eme doigt …
hummm je la sent très bien le fist n’est pas loin … j’essai de trouver la meilleur façon de rentré la main complet !!!
mais je n’y arrive pas …. (pas encore hihihi )
mais je vais la faire jouir !!! hoooo ouiiiii je joue alors de tout les doigts qui sont en elle a la rendre folle tout de même !!! je la sens venir elle me le dit !!!! avec mon autre main je joue de ses tétons durcie.
hummmm son souffle sa respiration augmente, la mienne aussi je ne comprends plus rien, à croire que son excitation me fait jouir aussi !!!!
elle joui si forte, elle m’empoigne de ses griffes que j’aime sentir !!!
elle appuie le corp de son petit soumis contre elle … le souffle chaud …
je lui fais un bisous brûlant dans la nuque … hummm
je luit dit Merci Maîtresse
j’entends Merci à toi petit soumis !!
je retire doucement la main de l’intérieur de sa chatte …
elle me dit de me redressé chose que je fais … ensuite elle m’ordonne de lècher la main ... hummmmm oui Maîtresse chose que je fais avec plaisir
( est se qu’elle sait que j’aime sa ??? , je pense que oui )
je me délecte les doigts après doigts tous passe par un coup de langue … je suce tout les doigts …
je ne sais même plus se que je fais le corps me répond plus je m’aperçoit que je suis partis loin très loin !!!!
se plaisir que j’ai eux a lui faire plaisir c’était uniquement POUR ELLE !!
Ma Maîtresse, et si sa lui a fait plaisir alors moi son petit soumis aussi !!!
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Par : Lady Gabrielle
Je VOUS livre , ici , les perversions mentales de Lady Gabrielle , qui , sommes toutes , ne sont pas aussi perverses que l'on pourrait le penser mais quand même très cérébrales.
Personnellement ,je n'ai jamais manipulé ma Maîtresse pour obtenir des faveurs .
Il m'est bien arrivé , comme beaucoup de soumis , de demander des choses que je n'ai pas souvent obtenu , d'ailleurs .
Mais je l'ai toujours fais en direct , sans utiliser de subterfuge.
En revanche , Lady Gabrielle , a fait preuve d'une certaine habileté mentale . Dans son cas le mot perversion est un peu fort .
C'est l'histoire que je m'en vais vous conter maintenant .
Au début de notre relation , nous ne vivions pas ensemble , pire , nous étions séparés par 150 km de plaines et de montagnes , heureusement pas infranchissables puisque traversées par une autoroute des plus pratique que je n'hésitais pas à emprunter maintes et maintes fois .
Et puis nous n'étions pas dramatiquement éloignés comme dans les contes romantiques et moralisateurs des temps passés.
Nous nous sommes beaucoup servi de nos téléphones portables . Vous voyez , nous n'étions pas dans un conte de Perrault.
Mais c'était et c'est encore une très belle histoire .
Je disais donc que nous étions reliés par téléphone. En effet, Lady Gabrielle avait exigé dès les premiers jours de ma soumission envers ELLE , un SMS journalier .
Pour moi , cela n'avait pas constitué une contrainte mais au contraire une joie et une preuve supplémentaire de ma soumission à Maîtresse .
Pour la petite histoire , sachez que j'ai changé 3 fois de forfait téléphonique entre août et décembre 2005.
Avec le numéro deMaîtresse illimité la nuit ainsi que les SMS illimités 24/24 .
Sinon j' aurai considérablement contribué à enrichir les actionnaires d'ORANGE .
Tout ça pour dire que ,au début , notre relation était essentiellement téléphonique et seulement épisodiquement physique.
Un jour enfin une nuit , au cours d'une de nos conversation , Maîtresse m'a suggéré la chose suivante : ELLE me demandait ce que je pensais de me prosterner devant ELLE à chacune de nos retrouvailles .
Il faut savoir , avant toutes choses , que les suggestions de Maîtresse Gabrielle , émises sur un ton doux et souriant sont tout ce que vous voulez ,mais certainement pas des suggestions ! ! ! Ce sont des ordres impératifs et péremptoires que soumis berny serait très mal venu de transgresser.
Ma réaction première fut un silence interminable que l'on pourrait comparer à celui des cimetières s'il n'était pas déjà éternel .
Ma surprise passée , la réflexion et mon esprit, au pouvoir hautement analytique , ayant fait leur travail, je voyais cette suggestion tout à fait réalisable . Sauf que . . .
Sauf que je ne connaissais pas encore très bien Maîtresse Gabrielle .
Moi je pensais que je devrais me prosterner devant ELLE discrètement , dans des endroits retirés , dans des coins sombres de portes cochères . . . Que nenni : je devais accomplir cet acte de soumission en public ! ! !
Et si possible , large , le public .
Notre rencontre suivant cette suggestion péremptoire et impérative eut lieu deux jours plus tard , à la gare de la Part -Dieu à Lyon , Maîtresse Gabrielle étant venu en train , dans le grand hall , un samedi à 11heures .
Ce matin là ,une foule de valises à roulettes tentaient de retenir des voyageurs en perdition , semblant leur dire ou Oui enfin bon . . .
Moi j'avais une suggestion à accomplir devant Maîtresse Gabrielle . Inutile de dire que durant les deux jours précédents, l'anxiété était monté en puissance dans mon esprit de soumis . Oserai je me prosterner , aurai je assez d'abnégation , aurai je le courage ?
Samedi matin , 11heures , octobre 2005. Il faisait beau ce matin là . Forcément je retrouvais ma Maîtresse .
Hall de la Part-Dieu à Lyon . Je suis planté au milieu , je domine la foule par ma taille , par mon épanouissement , par la force qu'ELLE me communique , parce que je suis à ELLE .
Voyageurs qui courrez , arrêtez de courir ! ! ! Cherchez LA avec moi ! vous verrez SA beauté .
Tout à coup ,une lumière . Ma tête se vide . ELLE apparaît en haut de l'escalier . ELLE est venue . Parce que la peur qu'ELLE ne vienne pas fait partie de mon anxiété , à chaque fois .
Parce que la peur qu'ELLE ne vienne pas fait partie de mon anxiété . Mais ELLE est là . Les pas -perdus de la gare ne la regarde même pas . ? . ? . ? Sacrilège . Pourtant ELLE est belle dans son tailleur façon Chanel , son chemisier blanc à col ouvert , ses escarpins noirs , avec ses cheveux blancs et courts , son visage rondinet , son petit nez à la retroussette , ses yeux toujours souriants , ses lèvres fines et sévères . ELLE est là , radieuse .
Et moi , dire que je suis heureux ne serait qu'un doux euphémisme . Mon esprit est envahi de . . . mon esprit ? quel esprit?
Mon cerveau est en ébullition . . . mon cerveau ? quel cerveau ? Ma tête . . .oui ma tête ! mais elle est vide ma tête et elle n'a qu'une chose en . . . tête : L'IMAGE DE MAÎTRESSE GABRIELLE descendant les escaliers du hall de la gare de la Part -Dieu par ce beau samedi d'octobre 2005 .
Et toi berny . . . hou hou berny ferme la bouche , et ne reste pas planté là comme un benêt va prendre sa valise .
Je monte quelques marches , à sa rencontre . Que dis je des marches : je gravis une montagne et comme je rejoins Maîtresse tout disparaît autour de moi . , le hall est une vallée noyée dans le brouillard.
Il n'y a plus que la montagne , Lady Gabrielle , le brouillard à nos pieds et le soleil .
A ce moment là je me suis mis à genoux , je me suis prosterné , j'ai embrassé SES pieds tour à tour . Enfin paraît il .
Car ce n'est que plus tard , bien plus tard que Maîtresse m'a affirmé que je l'avais fait . J'avais été à la hauteur . . .
de ses pieds en l'occurrence .
C'était la première fois que je me prosternais en public pour Maîtresse , et comme toutes """ les premières fois """ ce fut une charge émotionnelle extraordinaire . Je ne l'avais jamais fais avant pour personne . Et bien sur , depuis , je ne l'ai plus jamais fais pour quelqu'un d'autre sauf sur SON ordre .
Ce WE fut effectivement un beau WE plein de BDSM , CHACUNE et chacun de son côté préféré du fouet .
La fin de ces deux jours arriva très vite , trop vite . Je raccompagnais Maîtresse à la gare le dimanche soir . Nous allions nous quitter . Je n'avais pas de tristesse . Je savais que nous nous reverrions . Et puis un fil nous reliait ::: le
téléphone . . . sans fil .
Je montais dans le wagon sans compartiment avec un couloir central , je déposais la valise de Maîtresse dans le filet .
ELLE me tendait la main pour que je l'embrasse , ce que je fis , et sans qu''ELLE me l'ai demandé je me prosternais à nouveau et embrassais ses pieds .
Maîtresse fut surprise mais , sommes toute , très contente . Et imaginez la surprise des voyageurs et la promiscuité du lieu .
Depuis ce jour ; j'ai accompli cet acte de soumission dans maints endroits comme la terrasse de plusieurs restaurants , dans divers magasin , galerie marchande etc . . . Et toujours avec un immense plaisir décuplé par le fait que j'ai la possibilité de laisser entrevoir ma soumitude aux profanes .
Oui je sais ça devient compliqué . En un mot ce n'est pas une humiliation c'est une joie pour moi .
Voilà l'histoire de ce que j'appelle l'habileté mentale de Lady Gabrielle . J'espère qu'elle vous a plu .
Je m'en vais vous conter la perversion mentale qui a traversé le cerveau hautement dominateur de Maîtresse Gabrielle
hier à 16 H 37 .
Elle est très semblable à celle que je vous ai contée dans cette rubrique ( la première ) .
Allez c'est parti .
En ce moment le calme est plat sur la mer du BDSM entre Maîtresse et moi . Je suppose que cela arrive dans tous les couples . Et comme nous sommes nombreux à le dire nous ne vivons pas BDSM 24/24 .
Donc hier , nous faisions nos courses dans un supermarché du Pays de Gex , quand à 16 H 37 précisément il nous vînt l'envie de boire du café . Pour accomplir cet acte salvateur nous nous rendîmes dans un bar à café sis au centre de la galerie marchande du supermarché sus-cité .
je déposais nos achats nécessaires ,utiles et même les superflus ( ceux qui font le plus plaisir ) au pied du guéridon .(et si tu n'es pas guai ou guay ou gué part )
Je tirais la chaise afin que Maîtresse puisse y prendre place aisément puis je commandais les boisson caféinées .
Nous devisions calmement , amoureusement , enthousiasmement ( je vous laisse trouver tous les mots en ement que vous voudrez ) sur un projet qui n'a rien à voir avec le BDSM .
Quand , tout à coup et soudainement Maîtresse Gabrielle , qui peut être agacée par mon verbiage de bavard , me """suggéra """ de me mettre à genoux ! Là ! Tout de suite !
Je peux vous dire que ma température passa en une nanoseconde , de 36,9 degrés Celsius à 391 degrés Farenheit
Imaginez le trouble qui était le mien à ce moment là . Nous ne sommes pas sur le mode BDSM, nous parlons d'un sujet qui nous fait rêver , et cet ordre qui tombe abruptement . Je dois dire que Maîtresse Gabrielle a le secret de ce genre de revirement psychologique . J'oserais ,même dire qu'ELLE est redoutable dans cette pratique .
Bon mais que croyez vous que je fis ? Que je refusai ? Que nenni ! ! ! je n'ai pas intérêt . Je demandais seulement quelques instants de préparation psychologie ( aussi ) . Hé oui je ne suis pas ""SUPERSOUMIS"" je vous l'ai déjà dis .
Donc je m'exécutais après un silence intersidéral de plusieurs siècles . Alors évidement ,je me suis concentré sur le visage de ma Maîtresse , incapable de regarder ailleurs , je devais être rouge ou blanc ou peut être bien vert enfin je n'en sais rien ;. Toujours est il que je n'en menait pas large malgré la largeur de mes 107, 500 kg .
Quand à Maîtresse Gabrielle , tranquille , souriante , sereine , calme , détendue , heureuse en quelque sorte , ELLE regardais alentour . ELLE m'a dit par la suite que les têtes et les regards masculins , féminins et les autres ont tous convergé , en un instant vers nous .
Et ELLE m'avoua , si tant est qu'une Maîtresse puisse avouer quelque chose , avoir eu cette pensée pour les femmes
et pour les hommes
Et là . . ."" pour un instant , pour un instant seulement "" je me suis senti dans la peau de """ SUPERSOUMIS """
Merci Lady Gabrielle , merci de me faire vivre des moments d'une telle intensité . Je dois dire que l' "" après immédiat"" puis le souvenir de cet acte me remplissent de fierté , de bonheur , de joie .
Fierté d'avoir osé pour la FEMME que j'aime , je dis bien pour la FEMME même si la Maîtresse fait partie intégrante de
cette FEMME .
En un mot j'aime la FEMME qu'est Lady Gabrielle . ( je crois que c'est plus simple exprimé ainsi )
Alors vous allez dire que ça ressemble à mon premier post sur cette rubrique ( je vous avais prévenu ) et vous avez raison mais la situation était différente .
Voilà , j'espère que vous aurez aimé cette petite histoire .
Berny
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Par : M des Sens
Elle était revenue de deux semaines d'un voyage professionnel à l'étranger.
Et pendant le week-end de son retour, nous avions flâné dans les rues de Paris, comme deux amoureux, que nous étions, se retrouvant. Passant dans des endroits qui étaient chers à nos cœurs...
Des petits bars s'ouvrant à la nuit, à la douce nuit de l'été ou nous avions l'habitude de nous retrouver, aux folies des boîtes de nuits Parisiennes...ou encore sous les ponts parisiens regardant passer les bateaux-mouches éclairant à leurs passages les arches des ponts, nous dévoilant quelques peu aux regards des touristes...
Nous étions heureux de nous retrouver, simplement, et nous n'avions fait que de roucouler comme deux tourtereaux...
Au petit matin, de ce lundi...Elle partit à son travail, j'avais la chance de ne pas travailler ce jour.
Elle demeurait dans une belle chaumière, dans le sud de la région parisienne...
J'aimais me retrouver chez elle, il y avait un doux parfum d'ancien... Pierres apparentes, grandes et vastes pièces, qu'elle savait savamment décorer de meubles forts en prestance, ainsi que de beaux bougeoirs qu'elle adorait user à la place de la lumière électrique...
C'était pour moi, un havre de paix, ou j'aimais me retrouver, même quand elle n'y était pas.
Dans la journée, elle m'appela pour me faire part de son stress de la journée. Il semblait que sa visite à l'étranger n'avait pas apporté tous les fruits escomptés pour ses patrons... et ils lui faisaient la remontrance...
Après l'avoir quitté, triste de la savoir désappointée, je me mis alors en tête de lui changer les idées pour le soir venu.
Je l'appelais alors et lui dis qu'il fallait qu'elle soit rentrée pour 20 h... pile et pas de faux-fuyant.
Elle savait, dès lors, au ton de mon discours que la soirée serait... à Elle, à Nous.
Elle raccrocha, mais je sentis que le sourire lui était revenue et je fus rassuré de son bien-être.
Je préparais la table du salon sur le son de DM.
Recouvrant d'une nappe rouge le bois de ce divin meuble, qui fut parfois le spectateur passif de biens des émois ...
Puis je dressais la table comme si l'on recevait, mettant les petits plats dans les grands, cherchant l'harmonie des couverts et des verres.
J'y ajoutais un bougeoir en plein milieu, ainsi que quelques Roses rouges posées simplement à même la nappe.
Le vin décantait dans un beau Cristal, et je me hâtais de préparer un petit repas simple, mais frugal quand même.
Le champagne était au frais. Tout était presque près à la fin de l'après-midi.
Je préparais alors, les affaires de ma Belle, car je voulais qu'elle soit Belle
.
Je lui choisis une belle robe de soirée, rouge Sang, offrant, quand elle l'a portait, une vue si délicieuse sur la cambrure de son dos à nu.
Je la déposais sur le lit, délicatement, laissant tomber presque au sol le bas de cette étoffe.
Mais je ne préparais rien d'autre... si ce n'est ses chaussures à hauts talons assorties à sa parure future.
J'aime à savoir ma belle libre sous ses vêtements, et je savais qu'elle raffolait de ce petit vice que j'ai parfois... offrant bien des tourments des sens.
Je préparais également la salle de bain...
Cette dernière était des plus spacieuse. En son milieu se trouvait une baignoire, sur un promontoire que quelques marches permettaient d'y venir. Une fenêtre, aux drapés chaud en ornait le contour, donnait sur le jardin, certes pas très grand au regard de la grandeur de la maison, mais suffisamment pour que l'on ne puisse voir à l'intérieur. Une coiffeuse se trouvait dans le recoin de la pièce, ou s'amoncelait ses bijoux du quotidien, et d'autres, dans un coin secret, ceux du moins quotidien...
Je disposais, sur les marches menant à la baignoire, quelques petites bougies parfumées, ainsi que d'autres autour
Je préparais, aussi non loin, la serviette délicatement pliée sur la chaise de la coiffeuse.
Je pris le temps de me préparer aussi, revêtant simplement une chemise tout en noir et un pantalon tout aussi noir...
Pour finir, à l'entrée de la maison, je déposais, sur la petite table d'entrée un ravissant bouquet de Roses.
Tout était près...
Peu avant 20 h, elle m'appela...
« Je suis bientôt arrivée, à tout de suite » et je souris
J'allumais alors toutes les bougies que j'avais disposées ça et là et commença à faire couler le bain.
J'éteignis toutes les lumières, laissant la lueur si plaisante des flammes qui dansent.
Et mis en route, la musique, que j'avais également préparée en fond...
Après avoir arrêté l'eau du bain, je me rendis sur la petite terrasse, profitant de la douceur du soir en attendant la proche arrivée de la Belle.
J'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, et ma Belle apparu rapidement, avec les fleurs que je lui avais laissé, dans les mains, le sourire plus que présent.
Elle me déposa un tendre baiser, comme je les aime tant...Passionné, enivrant, fou et apaisant...
Elle prit une chaise et nous parlions quelques peu de sa journée pas si rose que cela.
Je sentais ma Belle, à mesure de notre discussion, repartir dans une frustration certaine. Je l'invitais alors à aller se détendre en prenant le bain que je lui avais préparé.
Elle me sourit, et me remercia de penser à Elle et surtout de penser à lui faire oublier ses moments de tensions.
Je la laissais seule se rendre dans la salle de bain, et de profiter de ce petit moment de solitude intime dans cette atmosphère que j'y avais créé pour Elle.
Au bout de quelques minutes, et après l'avoir entendu pénétrer dans le bain, je servis deux coupes Champagne.
Et je me rendis doucement dans la salle de bain.
Elle était là, dans cette eau chaude, parfumé et brouillée de bulles et de mousse...
La lumière des bougies apaisait l'ambiance, et la Belle, les yeux fermés, se délaçait de sa journée.
Aux traits de son visage, je voyais aisément, que ce décor lui apportait le repos tant désiré.
Je m'assis sur le rebord de la baignoire. Ma présence ne fut pas de suite perçu par ma Belle, et je souriais de la voir se détendre...
Ma main vint caresser la surface de l'eau, doucement, et un petit sourire se dessina sur son visage et elle garda les yeux clos, quand les remous vinrent troubler ce repos tant mérité.
Ma main vint au ras de sa peau...que j'aime pouvoir caresser une peau, juste à la surface de l'eau d'une belle O détendue, calme....
Son sourire fut plus présent et ses yeux s'ouvrirent au même moment...
Son regard croisa le mien, souriant de son bonheur...
Je lui tendis sa coupe...
Elle en but quelques gorgées, puis me la rendis....
Voulant se lever, je lui fis signe de rester encore...
Je déposais les coupes sur la coiffeuse, et revenant vers la Belle, je relevais mes manches, pour qu'elles ne tombent dans l'eau.
Mes mains vinrent dans un premier temps, juste sur ses épaules, massant doucement la base du coup...
Sa tête suivait, avec satisfaction, le mouvement de mes mains....partant tantôt à droite, tantôt à gauche...
Je la massais avec douceur, et...au bout d'un moment, mes mains quittèrent ses épaules pour, effleurant la surface de l'eau, se diriger vers ses monts, émergeant toujours juste à la surface, auréolé de la mousse du bain...
Son corps se cambrant pour chercher la douceur des doigts...
Les yeux toujours fermés, ma Belle frissonnait de la rencontre tant désiré sur ses monts de mes mains...
Jouant de la mousse, ses dernières caressaient la courbe de ses formes généreuses et attendrissantes de désir.
Son souffle devenait plus doux et un peu saccadé...
Dessinant des cercles dans l'eau autour des monts de l'O, je jouais ainsi avec délice, par moment, tiraillant avec douceur le pic de chacun d'entre eux, ou effleurant juste des ongles ses pics qui grandissait.
Ce jeu dura un moment, quand nos bouches, n'en pouvant plus, s'unirent pour danser follement...mélange de chaleurs et de frais, de goût de la liqueur pétillante au goût de ma belle...c'était des plus enivrants...
Durant cette danse de langues et de bouches...mes mains quittèrent les rondeurs, pour se diriger vers un autre mont...celui de Venus...
M'attardant légèrement sur son ventre, le corps de ma Belle se cambrait d'avantage, pour m'offrir plus facilement la conquête de son mont qu'Elle désirait m'offrir dans le trouble de la mousse...
Mais...je m'arrêtais avec dans cette ascension...ainsi que cette danse folle.....
Je me redressais...
« Tu n'as pas faim ? » lui dis-je ...
Elle sourit, connaissant ce jeu que j'adore faire, un peu déçue...mais, me connaissant, elle savait qu'il y aurait une suite...et que ce n'était qu'un petit « apéritif »...elle poussa juste un « Pfff » assortie d'un sourire coquin....
Je l'enroulais dans la blanche étoffe de la serviette...à la sortie de son Bain....L'embrassant tendrement comme elle m'avait fait à son arrivée...
« Va te vêtir...je vais préparer la suite »
Un sourire taquin illumina mon visage, un sourire illumina le sien....
Sans mots dire, Elle referma la porte de la salle de Bain, plus instinctivement qu'autre chose, et je la laissais seule se vêtir et se détendre encore plus....
J'étais plongé dans mes pensées, le verre de champagne toujours en main...quand un parfum si plaisant vint chatouiller délicatement mes sens...
Elle était dans l'embrasure de la porte, une main posée, à hauteur de son visage, sur le chambranle de la porte...un sourire taquin illuminait son visage...et son regard ne me quittait pas...
Elle était resplendissante dans cette robe qui dessinait si bien ses formes. Elle avait agrémentée sa tenue, que je lui avais choisit, par un maquillage très soutenue, dont elle connaissait si bien l'effet sur moi...Dessinant ses yeux avec excès, tirant celui-ci vers l'extérieur, suivant la courbe relevé de ses sourcils finement préparés... Ses lèvres, assortis à la couleur de sa robe, brillaient comme des diamants.
Je me levai et lui tendis ma main, qu'elle prit avec délicatesse.
Je la conduisis vers sa place, tirant d'abord la chaise avant qu'elle s'y assoit.
Elle tira sur sa robe, légèrement pour lui faciliter son assise, m'offrant une vue remarquable sur son dos à nue...s'assoyant d'abord comme une amazone, puis ramenant dans une douceur affolante ses deux jambes sous la table...et je rapprochais la chaise....
J'aime voir ces petits détails si féminins dans la mouvance d'une femme....cette façon sensuel d'user de ce charme si naturel et si envoûtant pour l'œil qui observe...que parfois on en reste si muet et Béa....
Le repas fut un délice tant pour la bouche que pour les yeux...
Nous mangions nos mots, nous dévorions nos regards, nous nous envoûtions de ce simple repas...Les sourires fusaient de ci de là...et toutes nos phrases n'étaient que subtiles sous entendus et jeux d'éveil de nos sens...déjà bien a l'affût.
Puis, le désert pris, je l'invitais à quelques par de danses.
La musique était douce.
Sa main posée sur mon cœur, recouverte par la mienne, mon autre main jouait dans l'ouverture de son dos, tantôt des bout des doigts tantôt de mes ongles long.
Lorsque j'usais de mes ongles, sa peau se parait de frisons, juste le passage, et la peau se couvre de ses petits signes...si visible sur la peau
Puis, après quelques chansons...et de mélanges de bouches, de langues et de salives...
Je pris d'une main, son cou...et de mes doigts je cherchais ce nœud...libérateur...
Ils trouveraient le fil, tirant dessus...
Elle baissa la tête pour mieux m'y aider...
Rapidement son étoffe tomba à terre...
Elle était nue...et je l'enlaçais pour sentir la chaleur de son corps...
Nous dansions encore sur une chanson...
Et machiavéliquement, je menais notre couple proche de notre armoire à secret.
Je m'écartais de la Belle, et ouvrit les portes de l'armoire...
Je fis en sorte de prendre ma convoitise sans qu'elle puisse voir ce que cela fut...
Mains derrière le dos, je retournais vers ma victime volontaire...
Elle m'embrassa.
Je l'écartais à nouveau, passant ma main devant ses yeux pour les clore...
Son visage sourit...mais elle s'exécuta sans peine...
Je passais d'abord derrière elle...Pris son poignet et y posa un bracelet...puis sans lâcher ce poignet, je pris le deuxième et y posa le second bracelet...
Ces bracelets étaient de cuir, reliés entre eux, par une petite chaîne....
Elle avait toujours les yeux fermés...
Je passais devant elle, et sans fléchir, sans prévenir...à la hauteur de ses pics dressés par la douce température....j'approchais...son deuxième ornement...
En même temps, je refermais sur ses pics, les deux pinces sur ses hardant promontoire...
Elle se redressa brusquement par la pression des pinces...un petit bruit sorti de sa bouche....
Les pinces étaient reliées par une fine petite chaîne qui pendait entre ses monts
Il me restait plus que deux éléments à mettre en place pour la parer définitivement... et se sentir Belle et soumise en ma possession....
Je regardais un instant l'œuvre que je venais de faire...
Une main posée sur son épaule, j'écoutais religieusement son souffle saccadé mais apaisé...
Je déposais un baisé sur son épaule, puis la laissa un instant sans qu'Elle puisse sentir ma chaleur.
Je pris dans notre secrète armoire, la suite de son tourment. Et je revins près d'Elle, posant à nouveau ma main sur son épaule...Elle se redressa brusquement, surprise un peu de ma venu, les chaines qui la retenaient se mirent un peu à tinter...bruits métalliques si agréable de la prisonnière de mes désirs.
Une de mes mains passa alors, doucement de sa vallée vers son cou, puis passa doucement sur le cotés de ce dernier. Mon pouce vint sous sa mâchoire, et l'obligea à redresser la tête...
Elle se redressa fièrement au dictât de ce doigt.
Mon autre main apporta ce cuir qui transforme une Belle en Possession.
Elle sourit, joyeuse en voyant ce présent.
Mes bras enlacèrent son cou pour fermer ce présent.
C'était un collier de cuir grand recouvrant la quasi-totalité du cou, finissant en pointe sur le devant juste à la naissance de la vallée. En son centre était présent un anneau.
Puis je finissais ce délice de parure en accrochant une laisse à l'anneau du collier.
Quand le fermoir de la laisse se fit entendre, très légèrement, Elle ouvrit enfin les yeux...
Elle me sourit, et baissa la tête, attendant qu'à présent, je la dirige vers là ou mes plus vils envies pouvaient l'emmener.
Elle n'était plus, ni femme de caractère, ni joueuse des sens, Elle était à présent cette captive de mes sens, de mes désirs. Elle était que ma Possession, belle et délicieux instrument de mes envies où seule, ma volonté n'avait que Foi.
Je pris son menton entre mes doigts, pour lui faire redresser la tête.
Nos regards se croisèrent.
Elle, heureuse d'être ainsi possédée et Moi, fière de son abandon.
Je lui souris, et je déposais un baiser sur ses lèvres.
Tirant sur la laisse, je la dirigeais alors vers le fauteuil. Je m'y assis, et tirant à nouveau sur cet instrument, sans mots dire, je la fis s’asseoir au près de moi,l'aidant pour qu'elle ne tombe pas, sur le sol qu'un tapis moelleux recouvrait.
Elle avait les jambes recroquevillées vers elle, le corps droit. Elle était là tête baissée, à mes pieds. Je tirais encore sur ce lien si fort, pour l'approcher tout près de moi.
Son corps était contre ma jambe et j'en sentais, au travers de l'étoffe qui la recouvrait, sa douce chaleur.
Je pris une cigarette, puis la boîte d'allumette qui se trouvait sur la table basse, face à nous.
Je fis tourner la tête de ma Possession pour qu'elle puisse me regarder.
Ses yeux étaient illuminés de bien-être et elle était suspendue à l'attente de la suite des événements.
Je lui offris la cigarette, qu'elle appât délicatement.
Je frottais une allumette contre le boîtier. Elle suivait le moindre de mes gestes...
Je dirigeais la flamme vers sa destinée.
Penchant la tête, pour éviter que la fumée puisse lui brûler les yeux, elle tira une grande lampée, allumant de ce fait cette cigarette.
Je lui repris, doucement, et la porta à ma bouche. Elle se pinça les lèvres, elle aimait ma façon délicate parfois sexy au dire de certains de prendre et d'user de cet objet.
Je posais ma main sur sa tête et l'obligeant à la poser sur ma jambe. Et je continuais, jusqu'à la fin, sans rien dire, caressant avec délice la chevelure de ma Possession à mes pieds, collée contre moi.
J'écrasais la cigarette dans le cendrier. Tenant toujours dans le creux de ma paume, la tête de ma Belle.
Je pris une coupe de champagne non loin que l'un de nous n'avait fini.
J'en bu une gorgée.
Ma main releva la tête de la Belle.
Je présentais ce divin nectar à ses lèves, et je l'y aidais, attendris de la voir ainsi dépendante volontaire de mes gestes et de son bien-être.
Je reposais la coupe, et souris au geste délicat et sensuelle de la langue de ma Belle sur ses lèvres, ne gâchant rien jusqu'à la dernière goutte...
Je fis quelques tours de main sur la chaîne jusqu'au collier, puis tirant à moi cette divine créature, j'approchais mes lèvres des siennes.
Nos lèvres s'unissaient, et le balle de nos langues suivait la musique si présente.
Je voyais cependant les traits quelques peux fatigués et tirés... ainsi que l'heure qui tournait.
Je me redressais, et tenant toujours près de moi dans cette étreinte délicieuse ma demoiselle, je l'aidais à se redresser.
Nos lèvres ne se quittaient pas...
Ma main libre parcourait avec douceur la chevelure de ma « prisonnière ».
Puis, elle descendit doucement le long de son dos, juste effleurant des ongles cette peau de satin, suivant le dessin de la colonne, jusqu'à arriver à la naissance des Lunes.
Elle avait les yeux fermés, mais son corps ondulait comme une Chatte que l'on caresse. Suivant, cherchant en chaque instant la pression marquante de ces griffes qu'Elle aimait tant.
Puis, la main vint, dessinant une parallèle au sol juste au dessus d'une Lune, sur le devant.
Passant sur sa hanche, Elle se cabrât sur le cotés, souriant par l'effet de chatouillis que cela lui provoquait.
Puis, à hauteur de son triangle d'Or, elle prit la direction montante d'un seul doigt, vers ses délicieux monts, effleurant son nombril.
Arrivant à la chaîne qui tenait prisonnier ses pics, le doigt suivi cette chaîne vers l'une des étreintes. Et d'un coup, je délivrais le premier pic, lui arrachant un souffle de soulagement.
Puis je délivrais le deuxième....
J'embrassais alors, tour à tour, ses « douloureux » avec délicatesse, apaisant, de ce geste, l'étreinte provoqué...
Elle murmura un « Humm » de satisfaction, me faisant sourire...
Puis brusquement, je m'arrêtais.
Je me redressai, approchai vivement le visage de ma Belle pour engloutir ses lèvres.
Elle savait que ce n'était pas la fin de son tourment...Elle attendait avec une envie certaine d'une suite qu'Elle devinait plus sauvage...
Mais là ...est une autre histoire...
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Par : #
Un vendredi haut en couleurs et en découvertes !
4 couples pour le Déjeuners Coquin et que l’ambiance fut belle et chaude, un quatuor s’était donné rendez-vous pour jouer en toute tranquillité et nos deux autres couples ont vite sympathisé le sling s’en souvient encore…
Punkette et ses deux soumises nous ont ravis les yeux et les oreilles durant les Goûters, une dizaine de couple habitués ou découvrant le club se sont vite mis à l’aise de par l’ambiance conviviale et chaleureuse.
Des premières fois, des découvertes…
Melle I. très belle TV s’est régalée de l’ambiance retrouvée du Club.
Des gémissements et des claquements ont retentis tout l’après-midi.
Misungui nous a offert une belle séance de Shibari, DirtyVonp s’est occupé de Ryouko et des femmes seules présentes; toutes désireuses de goûter à la domination ferme des trop rares hommes présents. Messieurs ne soyez pas timides ! La sélection est certes pointue mais nous recevons toujours avec plaisir les hommes de talents. Et le prochain vendredi promet encore de belles énergies et un maximum de luxure…
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Par : Zuip
Alors qu’elle est à genoux, devant lui debout, accroupie à ses pieds…
A moitié nue : c’est-à-dire troussée, dépoitraillée (ses seins pendent) :
– Je vais te dresser, dit-il.
Il y a confrontation des regards.
Elle va morfler. Elle le sait. Elle l’a compris.
Il n’est pas de ces Maîtres qui ordonnent de baisser les yeux.
Pourquoi se priver ?... Pourquoi se priver de sa beauté… Pourquoi se priver de la beauté, de l’éclat de ses yeux clairs. Et lire la crainte dans son regard. Ça le fait bander.
Il le lui dit :
– Ma queue est dure … J’aime te voir comme ça…
Cette envie de sortir sa queue ! Et de la lui foutre dans la bouche ! Au fond d’la gorge !...
Les deux mains sur la crâne de la fille, sa soumise, la maintenir, la contraindre… L’empêcher de déglutir, de respirer…
Qu’elle morfle ! Qu’elle morve ! Qu’elle bave ! Qu’elle chiale ! Qu’elle en pleure !
Qu’elle morfle et qu’elle en coule !
Qu’elle n’en puisse plus !
Mais non.
Il n’est pas encore temps.
Pour l’heure, c’est la cravache qu’il agite… Dans l’air… Qu’il fait siffler…
– Creuse les reins… Tends la croupe…
Il aime la voir ainsi : vulnérable… en attente… en attente de ses coups.
Elle aime ça. Etre ainsi… Corrigée, battue…
Et pourtant elle a mal, elle souffre.
Il ne fait pas semblant. Ne retient pas sa main.
Il frappe.
Fort.
Elle déguste.
Elle déguste. Glapit. Crie. Encaisse.
Chaque coup la saisit. L’envahit. L’habite. La brûle. Lui coupe la respiration. C’est trop fort… trop fort… insupportablement trop fort…
Et pourtant, à chaque fois, après chaque coup, elle reprend la position. Elle sait qu’elle le doit.
Les mains bien à plat sur le sol, les reins creusés, la croupe haute et offerte…
Et cela dure… Selon son bon plaisir… Son excitation, son désir…
La cravache tombe, cingle, frappe…
Les coups pleuvent, rapides ou espacés…
Il la frappe plusieurs fois, lui coupe le souffle… Ou au contraire lui laisse le temps de se reprendre, lui faisant croire, espérer : que c’est fini…
Mais non !... Il reprend, il continue.
Ses fesses brûlent… Son cul n’est plus que souffrance et douleur…
Elle se tord… bascule… hurle… revient…
Elle reprend la position. La cravache sur les reins, qui l’accompagne, la redresse , l’encourage…
Elle revient offrir son cul.
Doucement il frôle sa croupe de la cravache avant de frapper…
Il se déplace, bouge, la contourne… Pour que la claquette tombe : de chaque côté…
Vicieux, il glisse la cravache entre ses fesses… ouvre son con… lui dit dans quel état elle est…
Il constate :
– Ton cul est bien rouge… Tu es bien marquée… On pourra compter les coups…
Il constate :
– Mais tu en mouilles ?!... Tu aimes ça ?!...
– Oui, Monsieur…
Elle sait qu’elle doit répondre : dans ses larmes, sa morve…
Il l’enfonce dans sa honte… Caresse ses seins avec la cravache… Qu’il glisse soudain en travers de sa bouche, entre ses dents. Elle sait qu’elle doit la tenir.
Est-ce pour se saisir de son verre ? Allumer une cigarette ?... Aller chercher quelqu’autre instrument ? La badine ? Le martinet ? La canne ? Le fouet ?...
Ou venir s’agenouiller derrière elle pour la foutre… la baiser rudement… se réjouir de sa chatte trempée… l’utiliser pour son plaisir à lui… peut-être même l’enculer ?...
Ou promener la lame du cutter sur ses reins…
(...)
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Par : #
Le son ne précède pas le contact comme elle l'aurait cru. Elle s'attendait à un cliquetis net, un carillonnage métallique mais le bruissement est mat, sourd. Mangé par le temps, le fer est devenu muet. A peine un frottement ou un craquement entre les maillons grossiers, épais.
La chaîne encercle son torse et son cou, plaquée sur sa gorge, embusquée derrière l'échelle, soulignant sournoisement un sein avant de retomber sur son flanc. Les mains sont retenues quelques échelons au-dessus par des poignets de vieux cuir raidi. Le métal presse ses chairs, appuie sur son cou, dur et froid, freine l'air qu'elle avale à petite gorgée. En descendant d'un cran, sa gorge s'écrase contre la chaîne qui bloque, étrangle. Le souffle court irrite la trachée, le fourmillement des mains gagne les tempes. La chaîne se relâche d'un cran. Elle aspire l'atmosphère dense de bois et de poussière humide à grosses goulées.
Allongée. La chaîne enserre, serpentine liane lourde et placide. Elle pèse sur son ventre comme une main, s'enroule autour de son corps pour venir, vicieuse, caresser l'entrejambe, pénétrer le sexe, langue glaciale, gode implacable qui glisse sa froidure à l'orée bouillonnante. Choc thermique.
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Par : Abyme
Le saviez-vous ?
Dans les bourses (scrotum), les testicules bougent la plupart du temps. Le système régulateur ou thermostat naturel qui est à l'œuvre à cet endroit est hautement au point : Il s'adapte en permanence.
Lorsque l'homme entre dans l'eau froide, les bourses se rétractent (ainsi que l'ensemble de la peau, qui ainsi se densifie et offre une protection plus épaisse = chair de poule), pour rapprocher les testicules du corps et les réchauffer. De même si l'homme entre dans de l'eau trop chaud : même rétractation.
Tout cela parce que la fabrication (spermatogénèse) et le stockage du sperme sont optimum autour de 34°, et donc le scrotum permet aux testicules d'être plus éloigné du corps qui est à 37 en moyenne, température trop élevée pour la mobilité et la survie des spermatozoïdes. Par temps chaud, ils doivent être éloigné d'un corps qui surchauffe, d'où les couilles pendantes, mais s'il fait trop froid, ils se rapprochent. Mais si la température externe s'éloigne vraiment trop des 34°, en froid ou en chaud, le muscle crémaster fait monter les testicules systématiquement, pour coller à celle du corps qui, au moins, n'est "que" à 37°, température se rapprochant le plus de 34°.
On raconte que jadis les samouraïs se baignaient dans de l'eau brûlante avant un rapport, en guise de contraception ; en effet, les spermatozoïdes exposés à une chaleur bien trop violente pendant un certain temps sont rendus infertiles.
Et si les testicules ne sont pas tous les deux au même niveau (gauche plus bas que le droit), c'est aussi pour qu'ils ne se tiennent pas chaud l'un l'autre (et probablement en cas de choc aussi).
Étonnante nature, n'est-ce pas ?
Mais voilà le détail le plus intéressant, sujet de cet article :
Les "ajustements" thermiques sont en fait permanents. Si vous regardez bien votre scrotum (dans un miroir, ou en le filmant en gros plan) pour les hommes, ou pour les femmes si vous regardez celui de votre compagnon avec attention, vous verrez : ça n'arrête pas de bouger ! Des vrais sables mouvants, constamment, ça remonte, ça descend, ça glisse sous la peau, ça se retourne... Ça bouge tout le temps ! Même de façon imperceptible au regard non attentif, mais si on regarde de près avec attention, c'est évident.
N'est-ce pas merveilleux ?
La vie est en action, au cœur même de la zone qui la crée, mouvante, incernable, indocile, capricieuse. Miraculeuse.
Filo
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Par : Parloire
Accroché a tes lèvres, mon regard est médusé..
Comment fais-tu Insoumise ? Femme Soumise de cet instant
Scellée, ton corps sur ton âme, étirée dans ce film, isolée du lien.
Repousser tes limites, repousser.. un peu plus loin,
Un peu plus près, un peu plus serré… momifiée.
« Inspire à fond »
« HAAAAaaaaaaaaaaaPPpp !! …. »
Te voilà seule maintenant, je ferme ton cocon.. hermétique.
Respirer, respirer, respirer.. dans un sarcophage.
[…]
Les secondes trottent, pulsent dans ta tête, ton cœur défendant
Pas d’issue, pas d’air, pas de mouvements, sauf peut être
La trotteuse qui tourne et ta bouche qui aspire et souffle
Ma main posée sur ton crane, veille…
Inspire, expire,
Inspire… expire..
…. Inspire…
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
…. Inspire…
[…]
…. Expire….
[…]
Manque… tu manques… la buée sature le film
Ton corps veut vivre.. tu cherches à sortir, spasmes d’extraction..
Soumise tu es, Insoumise. Soumise au Lien.
Bouche grande ouverte.. 10 microns de plastique te séparent de ton appel d’air
[…]
Mon index vient caresser ta bouche, faisant le tour cyniquement
La peau infime et tendue, n’appelle que mon bon vouloir
Excitation perverse, d’un contrôle immoral
Mon ongle vient doucement cisailler sur tes dents
Mon doigt pénétrant, la membrane se déchire
INSPIRE !!!!!
Frénétiquement, l’air te redonne la vie..
Respire, Respire, Respire..
Ma bouche vient embrasser ta ligne rouge
Il est temps maintenant, que mon Objet cesse de me méduser.
Écartant tes lèvres, et passant ma main sur ta gorge
Je plonge ma queue dans cette bouche, cherchant la chaleur profonde…
Soumise j’ai dit !
Tu étouffais, je vais maintenant te noyer..
Abusant mon objet offert, jubilant de puissance
Envie bestiale arque bouté par ma conscience,
Je veille sur l’objet de mon plaisir… Inspire…
Avec mon plus profond respect,
Ma soum.. vous me médusez.
Parloire
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Je me suis souvent interrogé sur la relation entre attrait physique D'une personne et désir de domination.
Je ne serai pas hypocrite. Si il n'y a pas une attirance, une sensualité , dominer pour dominer, quel intérêt? Mais c'est réciproque et je trouve cela juste. A s'offrir sans retenue, une soumise à bien le droit de choisir son tourmenteur !
A contrario, une femme trop belle, nous pouvons en hésiter à en abuser de traces marquées ou sanctionner cette inénarrable beauté de délicieux coups de fouet.
L'homme Dominant cherche toujours sa Barbarella de cuir si moulant vêtue, alors qu' une femme nue sous un simple manteau avec un joli collier et les yeux baissés, mon Dieu, quel pied !
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Madame ferma les yeux, s’étira langoureusement dans le fauteuil. La tête reposant sur le coussin, elle écoutait le bruit de la maison, intérieurement, elle souriait. Elle ne l’entendait pas, même couché à quelques centimètres, il ne bougeait pas, il était là, si insignifiant dans sa présence et pourtant, si absolument fondamental. Il ne le savait pas, jamais il ne le saura. Madame voulait sa présence, elle portait en elle ce besoin vital de le posséder, mais son plaisir résidait justement dans cette distanciation entre sa nécessité intérieure et l’image qu’elle dégageait d’elle. Son indépendance, sa froideur, sa déité niaient, en apparence, sa joie de le posséder jusqu’au fond de son esprit, dans les abysses de son âme. Elle ne jouait pas, elle ne s’amusait pas. Madame désirait être démiurge et ce corps, cet esprit blotti à ses pieds, étaient la quintessence de ses années de recherche, de sa quête de l’être qu’elle voulait façonner et qu’elle avait enfin pu modeler à sa guise. Madame savait que la clarté, l’obscurité, le froid, le feu, la pluie et le vent, la cage ou le grand air, la faim, la soif, la peine, la joie, les pleurs, les rires, ne voulaient plus rien dire pour lui. Madame le savait parce qu’elle l’avait éduqué pour qu’il ne puisse plus réagir qu’à une seule appréhension, qu’une seule crainte, ne plus être en sa présence, ne plus entendre sa voix, ne plus sentir son parfum, ne plus être auprès d’elle. L’abandon était sa seule crainte. Il n’était plus qu’un petit chien sans autre attache que celle qu’il portait à la maîtresse. Pour lui, le monde se résumait à la présence rassurante, bienfaisante de celle qu’il considérait comme l’âme de son existence. C’est ainsi qu’elle l’avait voulu, c’est ainsi qu’il était devenu.
Pourquoi penser par soi-même quand un être supérieur pense pour toi ? Pourquoi choisir sa vie, quand la vie ne dépend plus de toi, mais de la main qui te frappe, qui te cajole, qui te nourrit, qui te guide ? Pourquoi lutter contre soi, quand Madame t’offre d’être sa créature ? Petit à petit, Madame franchit les barrières psychologiques qu’il le retenait encore parmi les êtres libres, puis un jour, il s’agenouilla complètement, il renonça à lui totalement et ne fut plus que la pensée en chair de la volonté de la maîtresse. Il pleura. Les larmes de sa libération se répandirent sur les escarpins vernis de madame, sur les mains bénies de la maîtresse. Elle l’autorisa sans mot à lécher et embrasser les extrémités de son corps. Ses dernières paroles, ses derniers mots furent pour renoncer à dire ou être, il avoua son attachement viscéral à madame et puis il se tut pour toujours. Dorénavant, il ne parlait plus, ne pensait plus, ne mangeait, ne buvait plus que sur ordre de la maîtresse. Elle lui était devenu bien plus indispensable que l’air qu’il respirait.
Son pied taquina un peu le corps étendu sous elle. Il ne bougea pas. Seule parfois la clochette accrochée au piercing de son périnée pouvait annoncer sa présence, seule la laisse en petits maillons d’acier pouvait tintinnabuler, mais ce n’était que des bruits d’appartenances, les sons du recueillement de son entière soumission. Madame posa son pied gainé de soie sur la bouche, il baisa l’offrande sans excitation, sans précipitation, avec la componction et la douceur exigée de lui. Madame se souvint des étapes de l’apprentissage, des efforts qu’elle déploya pour le mener jusqu’au renoncement total à lui-même. Bien sûr, il portait en lui cette structure mentale prête au renoncement absolu, mais le travail d’éducation fut long et douloureux. Il n’est jamais facile de perdre l’habitude de penser par soi et pour soi. La présence d’un esprit fort, aussi intensément ancré en soi que le lierre à la pierre peut inquiéter les plus dociles, mais quand le renoncement final survient, le soulagement est d’autant plus apaisant. Car ce renoncement est une étape vers la quiétude intérieure. Le soumis ne porte plus en lui la crainte de ne pas appartenir, il n’éprouve plus que la crainte de l’abandon. Madame inculqua dès le début de sa prise en main, la crainte dans son esprit. Craindre le mépris de madame, craindre la colère froide de madame, craindre l’oubli de madame, elle le nourrit de sa propre main, le frappa de sa propre volonté, le punit avec intransigeance, le consola avec douceur, le provoqua avec orgueil, l’éloigna sans pitié, le rappela avec mansuétude, toutes ces étapes, toutes ces actions instillaient en lui la crainte de ne pas être à la hauteur des exigences de madame et surtout de ne plus pouvoir être à ses pieds, dans ses grâces, dans sa magnificence.
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