par mael
le 23/07/20
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Oleg et Kathrin sont en couple. Ils adorent baiser. Ils se sont rencontrés dans un club de lutte Gréco Romaine de Moscou. Bien sûr,, ils ont voulu jouer à la lutte sexuelle où celui qui gagne domine l'autre. Interdit de pénétrer l'autre pendant la lutte, par contre pour compenser la différence de masse, Kathrin a droit à la saisie des couilles et du pénis. Une arme redoutable qui lui donne souvent l'avantage.
Oleg croit avoir gagner. Il écrase Kathrin de tout son poids et l'immobilise. Il protège ses couilles de la main droite. Kathrin est rusée. Cette fois elle glisse sa langue dans une oreille d'Oleg et le chatouille. Il se déconcentre. Trop tard, une main vient de le choper par les couilles...
-Alors mon doudou, on fait moins le malin.
-Salope, tu m'as encore baisé
-Tu abandonnes ou je te castre ?
-J'abandonne pardi, pas le choix. On devrait interdire les chatouilles dans les oreilles.
-Dis pas de conneries, t'as pedu, t'as perdu, on râle pas et tourne toi, je vais t'enculer au god ceinture, tu te sentiras bien mieux après.
-Salope ! ...putain pas si fort avec le god...Ouille...
-Mais t'es une vraie gonzesse mon doudou et tu aimes cela, regarde tu coules.
-Salope, tu me fais jouir.
-Allez, viens mon doudou, viens te finir dans ma chatte, tu l'as bien grosse à présent.
Oleg ne se fait pas prier, il défonce la chatte de Kathrin qui ruisselle et explose un orgasme de mammouth de Sibérie.
-Putain que c'est bon ! t'es la plus grosse salope des rives de la Volga !
La morale de cette histoire c'est qu'un enculé bande mieux après s’être bien fait mettre.
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM, Lexique/Definitions
Suggestion
Par : BDSM
L'abattage était une punition infligée par les souteneurs aux prostituées qui ne filaient pas droit. Il s'agissait de placer la prostituée dans les hôtels les plus sordides ou autres cabanes de chantiers pour les livrer à un grand nombre d'hommes, en proposant un tarif "symbolique" pour rendre la "séance" abordable au plus grand nombre. L'abattage était également un moyen d'exploiter les prostitués arrivant en fin de carrière et ayant perdu leurs charmes les plus vendeurs. Il existait à Paris des hôtels de passe qui étaient spécialisés dans ce "commerce". Dans les rapport de soumission/Domination, on considère l'abattage comme une preuve que la soumise (ou le soumis) sont dignes de leur Maître ou de leur Maîtresse dans la mesure où ils ou elles acceptent cet acte "intense".
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Par : #
Vous connaissez ce titre il as était à l'affiche il y a quelques années...
Voici ce que j'en dit.
C'est elle qui nous attire vers son centre, au creux de ses seins, entre ses jambes, c'est elle qui nous parle d'un temps qu'elle as connue puis aura demandée à ce qu'on en parle plus.
Elle fait le monologue nous n'avons même pas le besoin d'en dire plus.
Elle regarde de tous côté puis s'aperçoit qu'elle plaît toujours.
Comme tout à chacun elle fait son marché.
Elles prennent le temps, elles nous accordent de l'espace, puis elles disent que nous n'avons pas su y prendre place. Elles regardent de tous côtés, elles prennent le temps et mieux elles disent ne pas avoir vu... jusqu'à ce qu'elle disparaissent.
Elles donnent un sens nouveau, elles trouvent Monsieur attirant, elles trouvent en ces hommes, les autres..., elles cherches les défauts, elles disent avoir donner de l'intention, un réel manque d'attention.
Elles veulent du sentiment, de l'émotion... Lorsque l'un d'entre nous en éprouve il se fait fustiger, mettre de côté, elles veulent être pute, salope de celui qu'elles auront choisit.
Autant je met la femme au centre de mes intérêts qu'elles prennent un malin plaisir à me rendre invisible, indifférente, mal intentionnée, il y a encore quelques années j'étais le transitoire, la passade, le en attendant d'avoir mieux. Aujourd'hui ce que je ressent ce n'est pas du sentiment c'est de la solitude celle là qu'on appel l'absente, solitude, inexistante, malencontreuse, inespérée. Elles regardent de tous côtés et s'accorde du parfait, celui qui paraît, ceux qui quelques mois après disparaissent vite fait.
Elles se plaignent de ne pas avoir déméritées... Le vagin, bon ou mauvais, nous ont évoque qu'un trou c'est un trou mais c'est aussi et surtout le fait qu'elles ne s'exprime quasiment jamais, parce qu'en trois minutes c'est vite fait, les valises posées, les sacoches vidées. Y ajouter quoi ?? des crochets, des cordes, de la chaleur, de la douceur...
Ce qu'elles veulent c'est dominé bien plus que lorsqu'elles évoquent un accord dans le fait de se soumettre, elles veulent décider de tout.
Dans un jeu elles diraient pouvoir baisser les yeux, la femme domine le monde. Elle ont un sens que Monsieur n'as pas, celui là, le sixième. Elles ont le pouvoir de dialoguer et même plus... de tenir un monologue avec leurs vagin. Pendant que nous, nous ne faisions attention à rien.
Nous n'avons même pas la décence... Messieurs ??!!
Ce qu'elles veulent c'est que nous leurs donnions un sens. De la reconnaissance.
Maître Lasky
FanPage : https://www.bdsm.fr/ma-238tre-lasky/
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Par : BDSM
L'acrophilie repose sur l'excitation d'une personne par l'altitude (acro="point culminant"). L'excitation sexuelle peut être ressenti par certaines personnes pratiquant le saut à l'elastique ou le parachutisme : ces pratiques font vibrer, finalement, les mêmes "cordes" (c'est le cas de le dire) que celle du bondage : enserrage dans un harnais, suspension, vertige. Certain(e)s soumis(e)s ayant le vertige sont d'ailleurs parfois forcé par leur domina ou leur dom, a monter les yeux bandés sur une echelle. Par contre, l'acrophilie a tendance à s'épuiser au fil des expériences, car l'acoutumence à l'altitude diminue l'excitation.
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Par : Monsieur Jones
- Xaroff, si vous voulez bien vous allonger sur ce divan.
Avant de commencer, j'aimerais savoir pourquoi vous estimez avoir besoin d’une thérapie.
- Et bien disons que depuis tout petit j’ai des envies étranges et hier, alors que j’y donnais libre court, j’ai pris conscience qu’il fallait que je fasse quelque chose pour en comprendre l'origine...
- Ah oui? que s’est-il passé hier ?
- J’étais avec une femme à qui j’avais imposé une tenue de soubrette. Elle portait une robe noire assez courte, un petit tablier, une coiffe dans les cheveux et, puisqu’il faut tout dire, avait à me demande enlevé sa culotte et son soutien gorge. J’avais pris soin de faire jaillir sa poitrine en dehors de son décolleté.
- Je vois oui, et ?
- En regardant cette femme droit dans les yeux, j’ai émietté lentement une biscotte sur le sol en lui disant qu’elle allait devoir faire le ménage.
- Une femme de ménage donc... mais pourquoi cette biscotte?
- Vous allez comprendre docteur. J'ai exigé qu'elle reste immobile et suis allé chercher un pinceau avec un manche de belle taille, à la fois oval et épais. C'était un pinceau rond et bien fourni. J'ai ramené aussi une petite pelle en plastique, comme celle que l’on utilise avec les balayettes.
- Ah! un conflit ! Ménage ou Peinture... ?
- J’y viens docteur. Elle a écarté les cuisses à ma demande pour que je garnisse son sexe avec le manche du pinceau. Son sexe salivait tellement que, pour immobiliser le pinceau, il a fallu que j’utilise un ruban plastique, vous savez ces films plastiques sans colle qui adhérent sur eux-même. Je l'ai enroulé autour de la taille et des cuisses en suivant le chemin d’un huit imaginaire dont le nœud passait au niveau de la vulve immobilisant le manche dans le sexe.
On ne voyait, entre ses jambes, plus qu'une touffe de poils au bout d'un petit pédoncule.
- Et bien, vous avez de bien curieuses manières d’encourager une femme à faire le ménage… que s’est-il passé ensuite ?
- J’ai placé un fauteuil pas très loin des brisures sur le sol, m’y suis assis et lui ai dit de rassembler les miettes éparpillées pour en faire un petit tas qu’il lui faudrait pousser jusqu'à la pelle que je tenais posée sur le sol à un demi-mètre de là. …
Sans un mot, elle s’est accroupie et s'est appliquée à la tâche, ondulant du bassin à mesure que le pinceau léchait le sol pour guider les miettes comme un petit troupeau en transhumance vers la pelle. Tous ses muscles étaient sollicités avec cette unique ambition pastorale.
Je l'ai trouvée infiniment belle.
On pouvait voir, dans ses yeux et la tension de sa bouche, se concentrer les plus belles émotions du monde, l'excitation, la colère, la gêne, l'envie, la douleur et la liberté...
...
- Vous ne dites rien, docteur ? qu’est-ce que vous en pensez ?
- Et bien, comment dire... Est-ce que, à tout hasard, il lui arriverait de faire des heures supplémentaires, car cela pourrait m’intéresser... ?
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Par : Parloire
Avant toute choses, je n’ai la prétention d’aucune vérités, ceci est ma pensée, mon D/s, mon metasexe, avec Linsoumise..
D/s’ment parlant, pour moi, au début, dès le début même, le lien était l’évidence, la clé du fonctionnement, du maintient et de l’équilibre. L’arcade commune pouvait alors supporter les fardeaux et explorations individuelles, fondements vers un metasexe amplifiant.
Bien que tous les actes ont un sens, individuellement parlant, il est fondamental de leur donner du sens au travers du Lien et de dévoiler l’intelligence organisatrice de ces actes.
Le lien alors, c’est ma possibilité de passer à l’acte pour « moi », au travers de l’autre. L’autre devenant l’objet d’investigation profonde à soi même, à moi-même..
En créant le lien à l’autre, j’allais pouvoir aller chercher mon centre véritable dans un transfert avec l’autre, mais sans m’inspirer ou me confronter à son image; j’allais l’utiliser en modelant sa réponse pour moi même, un vecteur physique, une réponse psychologique à mon individualisation. Mes inhibitions, mes pulsions ou mes phobies, résultant d’avantage d’une forme intelligente que d’un désordre, allaient donner le sens des actes, qui se teinteraient du Lien, matrice de passage de mon autonomie, de ma capacité à l’échange, vers ma réalisation individuelle au travers et à l’aide de l’autre. Être moi au travers d’un autre... les Psy vont me décapiter ^^
.
L’autonomie des actes sans plonger dans la connexion à l’autre est pour moi, d’une pauvreté incroyable, égoïste, d’une dimension de surface, sans densité et sans finesse. Donner de l’épaisseur, de la densité aux actes, leur accorder une forme de dignité, sublimée par l’interprétation profonde et commune du Lien. Avec ses nuances infimes, ses subtilités, ses méandres, et le poids titanesque des flux émotionnels qu’il peut supporter, transcende le rapport D/s.
Mais avant de créer du lien avec l’autre, il faut se comprendre soi même, car l’on accorde plus de valeur, ce que l’on sent par soi même, que ce que l’on nous dit de croire, de faire ou d’être. Ces formes d’intoxications éducatives, il est important de les écarter et de désactiver sa propre image: Adhérer à une idée commune, imiter des leaders, suivre la voie du troupeau parasitant la perception du « soi » profond. On est seuls au fond, car nous sommes tous différents, et c’est sans doute cette peur de solitude qui nous pousse à essayer de convaincre que l’on a raison ou d’adhérer à ce que pensent les autres..individualisme d’exclusion ou collectivisme uniformisant entretiennent un état fusionnel artificiel écartant la rencontre pour défendre leur points de vues au détriment de l’accueil et la compréhension de l’autre. Finalement, écraser l’autre ou se laisser écraser par lui en détruisant la différence, détruit l’autre et nous laisse bien seul...
Ainsi le lien servirait à répondre aux interrogations de soi et de l’autre, s’appuyant sur des valeurs fondamentales:
Le Respect, prendre en considération, avec égards, honnêteté et décence, forme révérencieuse voire de vénération de soi même, de l’autre, du N/nous, des valeurs et éthiques défendues.
La Sincérité, en toutes circonstances, ne point mentir, ni dans la composition de l’ensemble, ni dans celle des moindres détails du Lien à construire.
La Transparence, offre des actes, des pensées et des sentiments faciles à comprendre, à deviner, d’être visible au travers de ce qui fera écran.
Dans la Durée, le mensonge devient insupportable; la continuité est essentielle car l’écoulement du temps, ne s’arrête pas.
La Cohérence, apporter une harmonie, un rapport logique, une absence de contradiction dans l’enchaînement des parties de ce tout, pour soi et pour l’autre. Et ce dans la durée.
Avoir le droit de se tromper en toute sincérité, transparence, et cohérence puis rétablir la chose sur la nouvelle vérité dans le respect de soi même, de l’autre...
A ce point précis, le lien est créé, il est solide, il est fort des deux individus ayant éprouvé ce lien :
Exploration de soi
Exploration de soi à travers l’autre.
Il devient alors logique et motivant d’explorer par l’amplifications des variables intimes (du soi et du soi par l’autre) en créant une dynamique émotionnelle libérant l’espace de conscience du soi et de l’autre en même temps, établissant une dimension sexuelle commune: le meta sexe.
Outre ce qui retient l’animal, enchaîne ou ligote ma prisonnière, le lien, c’est le point essentiel dont dépend l’existence et l’équilibre de la relation D/s. Bien plus que la connexion physique ou amoureuse de deux individus, c’est l’articulation fondamentale entre les individus vers leurs meta-sexe. Le lien unit ici deux personnes, il établit entre elles des relations , les met en rapport; le rapport tel qu’il est perçu par l’esprit. Il pousse à échapper au temps, au mode des apparences multiples, pour permettre de saisir enfin, l’absolu et l’unité dans cette dimension ... meta-sexuelle.
Pensée au Parloire pour ma muse.
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Par : LaurentSensuel
A quatre pattes, nu, ma langue lèche la trace de tes pas.
Lentement derrière toi, je remonte le long de tes talons vertigineux et commence l’ascension de tes jambes par le haut de tes chevilles et l’arrière de tes mollets.
Toujours plus haut vers le creux de tes genoux, puis l’intérieur de tes cuisses fabuleuses, j’atteins sous la jupe corolle, la divine frontière de tes bas.
A quatre pattes ensuite, sortant du crissant plaisir de la soie, ma langue touche enfin ta peau nue, un carré merveilleux à la fois chaud, vivant, sec, goûtu.
Je m’y attarde, passe de l’une à l’autre de tes cuisses, enfoui ma tête entre tes jambes, prend plaisir au goût de ta peau.
A genoux enfin, ma tête se relève et je plonge entre le divin pli de tes fesses. Ma langue darde vers ton oeillet, ma bouche en ventouse sur ton orifice. Je titille, je lèche, j’aspire. Froid et serré, peu à peu il s’ouvre à moi, se réchauffe, se mouille, et tu commences à bouger. Je passe autour, dessus, dedans enfin ; je goûte et je sens tes fesses et ton trou magnifique. Mes mains en corolle, joue avec ton entre-jambe.
Longtemps tu résistes, enfin tu te donnes, vibres, bouges, serres, m’écrases, m’étouffes.
Longtemps je suis à toi, généreux et tendu, docile et écrasé.
Le plaisir croît et nous laisse enfin, toi tendue puis lourde, moi écrasé et etouffé sous tes fesses divines.
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Par : lolol04
Arrière pays méditerranéen, au printemps. Au deuxième jour d'un week-end de jeux, donc déjà après de bons moments de plaisirs partagés, avec une partenaire souvent sur la même longueur d'onde que moi.
La randonnée en moyenne montagne est très agréable, pas trop physique, avec de beaux paysages, de belles vues, un côté sauvage et hors des sentiers battus. Il fait plutôt chaud, je transpire, elle boit. Nous parlons de choses et d'autres, et pas seulement de sujets coquins !
Le temps d'une pause bien méritée arrive. Nous nous éloignons du chemin et gagnons un espace assez plat, recouvert d'une confortable épaisseur d'herbe. Nous nous allongeons côte à côte, au soleil, parés pour une petite sieste, et continuons à deviser un peu.
Soudain, elle se lève, et, ô surprise, enlève le bas. Elle se positionne au-dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma tête, son sexe nu offert à mon regard, quel plaisir des yeux pour moi. Puis elle se baisse et s'accroupit lentement jusqu'à effleurer mon visage, je crois comprendre ce dont elle a envie. Je commence à la lécher doucement, puis de plus en plus ardemment; elle sait que j'adore cela et je sais qu'elle l'adore également; pour preuve son sexe est de plus en plus humide et je la sens et l'entends frémir.
Mais son désir de l'instant est tout autre, mon esprit concentré sur le cunnilingus ne l'avait pas envisagé ! Tout à coup, un liquide plus chaud, abondant et au goût prononcé se déverse sur moi; elle est en train de se soulager tout en prenant du plaisir. Cela n'interrompt pas mon excitation, bien au contraire; je bois autant que je le peux, tout en continuant de la titiller de ma langue. Son écoulement me semble durer une éternité, je n'avais pas saisi qu'elle avait tellement bu. Je poursuis mes caresses jusqu'à sa jouissance qui toujours me met en joie. Mon visage est aussi humide que son sexe, l'odeur et le goût de sa cyprine et de son urine s'y mêlent, je suis aux anges !
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Par : ludic2
Bientôt 4 ans que j'étais son soumis attitré...
La remise du collier fut un moment terriblement émouvant. Nous avons vécu des moments très forts que personnellement je n'oublierai jamais.
Aujourd'hui nos chemins se séparent. Celle qui fut mon guide sur les chemins escarpés du BDSM a décidé, pour des raisons qui lui appartiennent , de ne plus avoir de soumis attitré.
Je n'oublierai jamais les moments intenses vécus avec Elle. Avec le temps, Elle deviendra sans doute une amie pour qui j'aurai toujours énormément d'estime, d'affection et de reconnaissance. J'espère La revoir pour des rencontres occasionnelles SM ou conviviales.
Aujourd'hui donc, je redeviens sans collier mais les 5 ans 1/2 où nous avons cheminé ensemble sur les sentiers étroits et parfois vertigineux du BDSM ne disparaitront jamais de ma mémoire.
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Par : Lady Spencer
Plusieurs personnes dont Tendresseab voudraient avoir des conseils sur le marquage au fer : je propose ici un récapitulatif non exhaustif sur cette pratique EXTREME : il ne s'agit pas d'un simple tatouage, il s'agit d'une brûlure bien réelle, qui est réalisée pour durer plusieurs années.
D'où une réflexion profonde à discuter entre deux personnes au sein de la relation DS, et pas, à mon sens, un désir de poser son empreinte sur un coup de tète !
Je ne place dans cet article QUE mes avis et ma pratique, sans exclure d'autres avis bien-sûr, toujours les bienvenus, en précisant 2 points importants :
j'ai réalisé 2 marquages au fer rouge
je suis infirmière, ce qui a facilité l'approche de la technique et les soins "post-op"
Je n'aborderai pas les désirs de marquage : ils sont propres à chaque couple et ne se discutent normalement pas .
Que l'on trouve cette pratique extrème, oui car c'est le cas : mais merci de ne pas porter de jugement hâtif sur le bien ou le mal de cet acte
Voici donc quelques conseils techniques sur les fers en alliage de bronze : pour les autres fers, voir avec le créateur du fer
l'emplacement du marquage : toutes zones charnues du corps (fesses, bras, cuisses, abdomen, épaules, seins.....)
Eviter les zones cicatricielles, zones de peau fine, zones osseuses
Le fer de grande taille, devra être en contact complet avec la peau
l'état de santé de la personne marquée : ne pas réaliser le marquage lors d'une maladie même bénigne , reporter l'acte .
Précision qui peut sembler "logique" mais qui ne l'est pas tant que cela : si la personne devant subir un branding est en phase dépressive, ne pas pratiquer l'acte non plus : physiquement, les brûlures peuvent être beaucoup plus difficiles à cicatriser, et psychologiquement, le vécu du branding peut en être modifié
réalisation : contention de la personne : ça me semble indispensable !
Le fer est chauffé entre 800 et 900°, son application est certes brève mais la douleur est très violente : attacher sur une table par ex, bras et jambes solidement écartés et immobilisés pour éviter tout mouvement incontrôlé
bloc de glace : pour analgésier la zone, vous pouvez mettre un bloc de glace pendant quelques minutes avant (enveloppé dans un tissu et sorti du congel 1/4h avant le marquage : sinon,risque de brûlure par le froid)
L'analgésie n'est pas recherchée par tous, à voir selon vos désirs
asepsie : la zone de marquage sera lavée eau et savon, rinçage +++ et séchage +++ (rasage éventuel)
puis, compresse alcoolisée (alcool à70°) à passer sur la zone large
préparation du fer : prévoir un récipient pour poser le fer en fin de marquage
Le chauffer sur une flamme de type camping gaz par ex, jamais sur un brasero qui laisseraient des résidus charbonneux (tant pis pour le coté western)
Précision : commencer par chauffer l'extrémité du fer (jointure) et finir par le fer lui-même
Conseil : lors de cette phase, mettez vous dans la pénombre pour surveiller la couleur de chauffe : le fer ne doit jamais être ROUGE VIF, pour un fer en bronze
2 à 3 minutes suffisent pour atteindre la bonne température
Lorsqu'une couleur rouge sombre apparait sur les extrémités du fer, le sortir de la flamme et attendre 5 secondes environ pour que la chaleur se répartisse dans tout le fer : la couleur rouge sombre disparaitra alors.
Le fer est prêt pour l'application
Application : d'une main ferme, geste sûr, sans trembler, appliquer le fer sur la peau , sans forcer (vous constaterez combien le fer pénètre la chair)
Temps de pose : ATTENTION : 2 à 3 SECONDES, PAS PLUS (c'est long pour celui qui reçoit et très court pour celui qui applique)
Entrainez vous avant, avec le fer froid sur un tissu par ex : vous pouvez prononcer une phrase calmement, du style "Par ce fer, je te marque"
Pour stopper la brûlure qui continue après le retrait du fer, posez immédiatement le bloc de glace avec une compresse sur la plaie.
Là, c'est un instant d'émotion pure : je ne vous donne aucun conseil (sourire)
Soins post-marquage : le but du marquage par brûlure de la peau, est de la remplacer par un tissu cicatriciel donc, les soins sont essentiels
La cicatrisation sera plus ou moins longue (3 à 4 semaines, voire plus)
La plaie sera de suite nettoyée avec des compresses stériles et du sérum physiologique à 0.9 %, pas de coton qui s'accrocherait et laisserait des micro fibres .
Pansement tous les jours la 1ère semaine puis tous les 2 jours
Si plaie inflammée (rouge et sensible) : nettoyage à la Bétadine (jaune)
Protéger la plaie avec un pansement sec, compresse et pommade pour brûlure ou avec un pansement hydrocellulaire (vendu en pharmacie suivant la taille)
Ne jamais gratter les croutes, elle tomberont seules
Si un problème infectieux survient, rougeur anormale, douleur lancinante, fièvre....consulter immédiatement un médecin et ne pas hésiter à lui expliquer le marquage : il n'est pas là pour juger mais pour vous aider et vous soigner
Le marquage obtenu aura une couleur nacrée dans les semaines suivant la fin de la cicatrisation : plus visible sur une peau bronzée par exemple
Conseils en collaboration avec Marc Sainteul de "Corpus Delicti" ,créateur de bijoux BDSM
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Par : #
Ont se fait toujours une idée de la réalité ne considérant pas qu'en vérité elle est déformée.
On attend le superhéros, son héroïne celui/celle qui nous donnera vie. On se dit qu'une fois attrapé(e) on va le/la mettre en cage, une bonne fois pour toute et qui plus est, pour l’Éternité.
Voilà la seul réalité... La vérité à reconsidérer. Le quotidien des ménages Français, leurs cinq à sept pas franchement désopilant. Les trois coup vite fait inscrit sur le semainier, le frigo qui s'ouvre et se ferme et le troisième samedi du mois où l'ont sait qu'il va falloir être au Top...
Parce que la quinzaine est déjà dépenser, c'est à la maison dans un recoin de son monde, que s'apprête à vivre l'extase d'un moment toujours bien trop court, l'orgasme que Madame à demandée.
Expressément, accessoirement, rudement, tendrement aussi au début bien entendu.
Et il faut se faire à cette idée !! Bander sur ordonnance, à la commande.
Celui qui sait qu'après tant d'années Madame sera toujours aussi séduisante, il sait également que, seul, dans son froque, Mister SuperHéros n'est pas toujours du même avis bien qu'il se languit d'avoir au lit son Héroïne.
Sentir si là journée c'est bien passer puis finir par quand même le demandé pour ne pas qu'elle hurle son manque d'attention.
Se rapprocher pour qu'elle puisse, à son tour, sentir la domination, toutes les situation qui auraient pu nous faire flancher.
Mister SuperHéros à demi-molle sais bien faire savoir lui aussi lorsqu'il y a de l'inattention. Un manque de considération, la réalité des faits, la seul vérité.
Madame ne se soumet pas, nous lui soumettons les idées du débat. Elle décide de la vérité à observée et dans la réalité nous mettons à contribution ce qu'elle aura décider et que nous aurions valider, expressément, accessoirement mais surtout tendrement au début, bien entendu.
Poussez-vous je fais le ménage devant ma porte, je passe un coup de balai, il n'est pas midi mais ça ne saurait tarder. Autant de proverbe que ce que le vent emporte le temps. Tant de principe de vie, autant en philosophie.
Madame attend mais est-ce qu'elle sait seulement qu'en moi sommeil un superHéros. Parfois laid, tantôt beau, sur du papier glacé ont voient tout le temps le reflet d'une fausse réalité, en photo et, mis en scène, c'est parfait j’achète. Le prix à payer de la dur réalité des faits.
Tantôt bon ou plutôt mauvais en moyenne c'est trois minutes que cela me prend pour vider... mes valises. Je m'attache vite, je déteint rapidement.
Je râle souvent, éternel insatisfait, perfectionniste et persévérant.
Madame devra se rendre compte du temps que j'ai à lui offrir c'est un cadeau, un présent. Un patient, impatient.
Et puisque ma notoriété laisse à désirée est-ce qu'elle saura dominé la situation ???!!
Plus aucun doute... Elle attend aussi quelque part, là où se perd se tas d'années. Un refrain, j'avoue, l'une d'entre elle me l'as soufflée.
Maître Lasky
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