par noname
le 05/08/21
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Un Week-end très spécial
Chapitre 1 l’arrivée
Ma Maitresse m’a envoyé chez une amie qui va « prendre soin de moi ».
J’arrive donc chez Dame Anna qui me fait me déshabiller, mettre une cage de chasteté et 2 bracelets Elle me met ensuite mon collier que je lui présente à genoux et m’enfile un gode queue dans le cul.
Vêtu d’un simple imperméable, nous descendons au parking où je monte dans sa voiture.
Après un temps certain, Elle s’arrête sur un parking apparemment peu fréquenté, me demande de mettre un masque de chien, de sortir nu de la voiture et de me diriger pieds nus vers son coffre où je me retrouve prestement enfermé pour les derniers kilomètres qui nous séparent du but . Effectivement après quelques minutes , je sens que la voiture s’est engagé sur un chemin de terre et pui s s’arrête . Sans doute le parking et la libération de ce coffre où je commence à faire de la claustrophobie.
Mais j’entends sa portière se refermer et ses pas s’éloigner. Le silence.
Me voici seul, livré à moi-même et j’ai du mal à réprimer mon angoisse. Le noir et le manque d’air m’oppressent. De longues minutes s’écoulent. J’entends une voiture qui s’arrête à coté de nous, des voix, apparemment un couple , mais je me retiens de me manifester . A nouveau le silence.
Puis le coffre s’ouvre :
« sors de là , chien » Devant moi un homme qui est visiblement un employé de la maison ayant reçu des instructions très nettes quant au « bagage » à prendre dans le coffre .
Dès que je suis debout, il m’attache les 2 mains dans le dos et fixe une laisse sur mon collier. Je dois le suivre, pieds nus sur un sol caillouteux avant de rejoindre une allée bétonnée et de rentrer dans un genre d’hotel. Là il m’attache par les mais dans le dos à un comptoir de sorte que je me présente face à l’entrée, dos au comptoir. Après m’avoir ordonné de ne pas bouger, il me met un bandeau sur les yeux.
Je me laisse faire bien sur comme Dame Anna me l’a ordonné mais je me dis que nous ne devons pas être dans un endroit ordinaire. Un hotel ou ne maison d’hôte BDSM , peut être simplement libertine , ou peut-être les deux ?
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soumission
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Suggestion
Par : Empire
1/ Je joue 80% du répertoire de Cabrel à la guitare
2/ Je n'aime pas les gents... Je les supporte par obligation, seul de très rare perles trouvent grâce à mes yeux
3/ Je cours après quelque choses sans vraiment savoir quoi: Le temps, l'argent, le bonheur... Éternel insatisfait, la phrase qui revient le plus dans ma bouche c'est: Vivement demain!
4/ J'ai une véritable préférence pour les gens de moins de 30 ans: Rien à voir avec le sexe (quoi que! ceci n’empêche pas cela!) mais je trouve qu'après 25/30 ans, la masse devient trop conne, chiante et convenue... Bref, elle m'ennuie.
5/ Ne faites pas d'enfants! les plus beaux et les plus intelligents, je les ai déjà fait!! Vous ne pourriez que faire moins bien!!
6/ J'ai lu plus de 10 fois "fortune de France" (13 volumes de 800 pages!)et 4 fois "les rois maudits"!! Je suis incollable sur la période: Philippe le bel / louis 15!!
7/ Je parle de tout très bien, y compris de ce que je connais pas du tout! Avec de l'assurance, on peut inventer presque n'importe quoi, l'inculture ambiante ne se rend compte de rien!
8/ Je suis un bordélique né... Ranger m'ennuie, nettoyé m'ennuie, bref, si vous arrivez chez moi à l'improviste: Attendez vous à un paysage de zone de guerre!
9/ Je cuisine merveilleusement bien.... Les plats que je prend chez le traiteur!!
10/ Si je n'aime pas les gens: J'adore les rencontres: C'est comme une pochette surprise: Dans 99% des cas, c'est un truc à deux balles, mais parfois, c'est une vrai merveille: Et je suis un éternel optimiste pour ça!!
11/ Ne me provoquez jamais: Je suis bien assez con pour mettre dans ma réponse une énergie complètement disproportionnée pour avoir raison! (quoi que j'essaye de me soigner)
12/ J'ai toujours raison jusqu'à preuve irréfutable du contraire
13/ Je suis un amoureux des théories du complots: Prenez ce que vous voyez ou entendez, imaginez le scénario le plus retord et le plus tordu: Multiplié cela par 1000 et Vous vous approcherez de la vérité...
14/ Je suis un ardent défenseur des "causes perdues"! Je ne me place presque jamais du coté des majorités: Pour moi, les masses ont toujours tord: Un de mes grand principe pour réussir: Si tout le monde le fait, fait autrement...
15/Je suis hyper sociable: Je peux m'entendre avec tout et avec tout le monde (ou presque)... Mais ne vous fiez pas à mes sourires... Je ne suis pas mauvais acteur...
16/ Je suis patron parce que je ne supporte pas l'autorité...Et je suis un patron qui ne supporte pas d'être autoritaire
17/ J'ai collé 4 de mes anciens employeur au prud homme et j'ai gagné à chaque fois!
18/ Je me moque complètement de l'écologie!
19/ J'ai le porte feuille à droite... Mais le coeur à gauche: Et il m'est arrivé de voter au centre...
20/ Le BDSM est pour moi une vrai passion: Je ne peux concevoir de construire durablement une relation vanille.
Mille millions de merci @Heartbeat! 20 c'est largement suffisent!!
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Par : Lady Dae
Petite morsure
A mon regard, tu t’es offert, pieds et points liés comme le dit si bien l’expression.
Tu es donc là devant moi, attentant mon désir, ma volonté, confiant, au mépris de la raison ou de la prudence. Tu ne crains pas l’inconnue qui est devant toi. De ma main, j’ouvre le sac de satin rouge que je tiens pour saisir l’outil de mon plaisir. S’il est bien une chose dont je raffole, c’est d’apposer de petites morsures sur le corps d’un homme avec ce que je tiens entre mes mains. Ce délicat pinceau de ma volonté sur ta peau qui laisse de si excitantes marques. Je le caresse du manche qui permet ma prise jusqu’à son extrémité si mordante, ce petit rectangle de cuir qui s’imprègne si facilement dans ta peau.
Dans tes yeux, je lis le désir, le plaisir, l’attente mais aussi l’appréhension sans doute de ce futur contact. T’attachant les poignets, les chevilles, tu te retrouves à ma merci, les fesses nues, offertes. Je me grise de cet instant qui précède l’impact, percevant dans mon ventre les papillons d’excitation. Armant mon bras, je laisse filer le fusain qui fend l’air d’un sifflement jusqu’à ressentir l’impact dans mon poignet. Le frémissement de tes fesses se joignant au claquement sec de cette cravache qui te mord enfin provoque en moi une onde de plaisir. Rééditant le geste, un deuxième « schlack » sonore engendre un petit mouvement de recul de ta part. Je m’en délecte.
Puis, j’enchaîne encore et encore, sous les regards attentifs des curieux autour de nous. Mes paupières mi closes, je ronronne intérieurement de tes soubresauts. Je sens mon plaisir s’accroitre à mesure que ta douleur grandit. Mon instrument qui te caresse l’esprit, dessine ces petites morsures que j’aime tant voir sur ta peau, qui rougit de timidité d’avoir rencontrée une telle dame. Une deuxième lady rejoint la première pour un nouveau ballet ambidextre. Les coups s’accélèrent afin d’infliger mes plus plaisants tourments, lorsqu’un coup porté plus fort que les autres provoque un gémissement. Je récidive encore et encore. Tantôt fouettant, tantôt marquant, tantôt caressant, et reprenant cette ronde de sensations qui t’ensorcèle.
Mes sens enflammés, je choisis cet instant pour me parer de cet autre pinceau. Manié latéralement, il fouette en laissant des zébrures très peu espacées sur tes flancs. Je continue en descendant sur tes cuisses puis remonte sur tes épaules. Le sifflement du stick qui te mord et tes gémissements sous les impacts génèrent cette humidité entre mes cuisses. Une vague puissante de plaisir monte en moi alors que j’abats ma baguette imprimant le tempo de notre concerto sous les yeux envieux des spectateurs.
La symphonie se fait plus rapide. Je te mords de plus en plus fort. Tu halètes.
Prêt à rendre les armes... Je poursuis…
Ma voix…
Telle un couperet,
tranchante,
te murmure
tout la puissance de ma volonté.
Sous mon emprise,
tu es en cet instant mien,
la partition de mon concerto,
la toile de ce portrait.
Si douces petites morsures, si délicats plaisirs …
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Par : Thutale
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr ! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Thutale », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (Le texte original est de WonderSalope.)
1. Je suis née alors que mes parents n’avaient pas encore fini leur croissance. Ma seule existence a suffi à geler à jamais l’ambiance dans ce qui venait de devenir ma famille.
2. Quelques coups du destin plus tard, tout cela a dérapé en mode free-style dans un bad trip permanent dans mon entourage d’enfant. Héroïne, acides, overdoses, suicides.
3. Les premières années de ma vie, ça n’a pas été l’extase. Du coup par contraste, la vie c’est toujours génial maintenant.
4. J’ai dû faire beaucoup d’efforts pour accepter, tolérer, de poser le bout des orteils sur Terre.
5. J’ai dû faire beaucoup d’efforts pour oser me lier à un autre être.
6. J’ai fait beaucoup d’excès pour ne plus avoir mal, et encore davantage pour me faire mal, et il m’a fallu des années pour m’en remettre. Je ne pense pas être capable de faire une autre fois ce chemin.
7. Un jour, j’ai compris que si je ne changeais pas j’allais périr ou pire.
8. J’ai longtemps porté un abîme en moi, mais je suis sevrée de toute souffrance.
9. J’ai longtemps confondu être fort et bander ses forces pour tenir le cap dans le déséquilibre. Mais aujourd’hui je suis détendue et stable.
10. J’ai tellement changé au cours de ma vie que même moi je ne me reconnais pas. La métamorphose est devenue my way of life.
11. J’adore l’introspection.
12. Un jour, j’ai trouvé ma place sur Terre.
13. La spiritualité est le fil conducteur de ma vie.
14. Je suis bien à ma place dans mon boulot. Je crois que je suis exactement à ma place.
15. J’ai besoin d’intensité, peu importe que ce soit heureux ou malheureux ; toutes les sensations d’être en vie m’intéressent.
16. J’ai besoin d’authenticité. Et être d’une telle profondeur que la plus grande transparence ne la trahisse point. (C’est un idéal.)
17. J’aime chaque représentant de l’Humanité, chaque expression de la Vie, j’aime les choses animées et les choses inanimées, comme les galets ou les étoiles, et toutes les choses vertes et vivantes.
18. Je peux entrer en transe en scandant mentalement de la poésie, en contemplant un buisson de fleurs ou en posant le regard dans le profond du ciel.
19. J’ai un idéal de bodhisattva. Enfant je voulais prendre les souffrances de l’humanité sur mes épaules. J’aimerais encore mais j’ai compris que ça ne marchait pas comme ça. Et que la souffrance avait sa raison d’être.
20. J’ai fait partie de plusieurs fraternités.
21. J’ai vécu dans des communautés anarchistes, des ashrams, des fermes autogérées. Des villas avec piscine, des squats, des maisons troglodytes, des maisons aux carreaux cassés où le vent glacé s’engouffrait, des demeures classées monuments historiques.
22. Je porte une étrange pureté.
23. J’oscille sans cesse entre solitude et grégarité, fusion et individuation.
24. J’ai franchi plusieurs fois l’équateur. Je me suis baignée dans tous les Océans dont la température est raisonnable.
25. J’ai appris à aller vers mes points de fascination.
26. Je m’installe parfois debout sur la tête pendant dix minutes sans bouger.
27. J’ai glané des petits pois dans les champs par des nuits de pleine lune.
28. J’ai fait du béton toute nue (et c’est pas malin).
29. Je peux aimer et être aimée, fusionner sans me perdre, et perdre l’amour sans en être détruite.
30. Je lis et relis en boucle certains livres : Tolkien, Bradley, le Zarathoustra de Friedrich, la Consolation de philosophie de Boèce.
31. Je suis en tout sans mesure.
32. De tous les ressentis, celui qui m’est le plus nécessaire est le sentiment de liberté.
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Thutale »,
3) publier ce texte dans votre section « articles »,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : Abyme
J'ai oublié quand et où. Vers la fin des années 90, une retransmission du festival de Montreux jazz à la télé.
Nina simone était là, avec son gros chignon attaché par un tissu et son habituelle humilité, son visage reflétant celui qu'elle avait dû avoir lorsqu'elle était enfant, devant son piano, et elle semblait avoir quelque chose à dire.
Elle dit au public qu'elle allait lui raconter une histoire.
Elle étant en train d'improviser, c'était évident, et je voyais bien qu'elle était très touchée.
Mon magnétoscope était branché, alors j'ai eu l'impulsion d'appuyer sur record.
Depuis j'ai perdu l'enregistrement et impossible de le retrouver, mais j'avais traduit ce qu'elle a dit alors en s'accompagnant d'une impro au piano, et je viens de retrouver mes notes :
Les étoiles (stars),
Elles arrivent, elles repartent,
elles arrivent vite et s'en vont doucement.
elles s'en vont tel le dernier rayon de soleil.
Tout ce que vous voyez c'est la gloire,
mais on se sent seul là-haut
quand il n'y a personne avec qui partager.
Tu peux t'en soulager si tu écoutes cette histoire :
Les gens ont soif de gloire comme des athlètes dans l'arène.
Ils se brisent la nuque et rebondissent sur leurs pieds.
Certains sont couronnés, d'autres sont jetés à terre. Certains sont perdus et jamais retrouvés.
Mais la plupart ont tout vu : ils ont passé leur vie dans des cafés et des salles de concert sinistres...
Et ils ont tous une histoire.
Certains réussissent quand ils sont jeunes, avant que le monde n'ait fait son sale boulot.
Plus tard quelqu'un dira que tu as fait ton temps et qu'il faut céder la place maintenant.
C'est ce qu'ils disent.
Mais tu ne connaîtras jamais la douleur d'avoir un nom qui ne t'appartient pas.
Toutes ces années passées à oublier ce que tu sais trop bien.
Toi qui a donné ta couronne, on t'a laissé tomber.
Tu essaies de faire amende honorable sans te défendre,
peut-être en faisant semblant de n'avoir jamais vu les yeux de ces jeunes hommes
qui te suivaient pas à pas, demandaient des autographes, t'embrassaient sur la joue...
Tu n'as jamais pu croire à leur amour.
Jamais.
Certains réussissent quand ils sont vieux.
Peut-être ont-ils une âme qu'ils n'ont pas peur de mouiller,
Peut-être qu'il n'y a rien du tout...
(chanté, au bord des larmes : )
Je ne voulais pas raconter ça
je voulais raconter une histoire
comme nous en avons tous
mais je l'ai oubliée
alors je vais vous parler de l'atmosphère
qui règne au Etats Unis aujourd'hui
et qui gagne même la France
Mais je continue quand même
jusqu'à ce que je me ressaisisse...
Certaines femmes ont un corps que les hommes veulent regarder,
Alors elles l'exposent.
Des gens jouent de la guitare
Je pourrais les écouter jouer tout le temps.
Mais j'essaye quand même de raconter mon histoire
Janis Jan l'a très bien racontée
Janis Joplin l'a racontée encore mieux
et Billie Holliday encore beaucoup mieux.
Nous avons tous une histoire.
La dernière que j'apprendrai, c'est avec celle-là que je suis censée mourir.
Nina Simone nous a quitté peu après, il y a 13 ans, le 21 avril 2003, à l'âge de 70 ans. Une belle âme.
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Par : Abyme
Puisque Thutale me le demande, je me plie à ce jeu consistant à parler de moi, de ma vie et de mes secrets...
1. Je suis né par accident, de deux parents adolescents hippies et naturistes, obligés de se marier. Si l’avortement avait été déjà légal je ne serais pas là. J’ai un quart de sang corse.
2. Le jour du premier pas sur la lune, mes parents et moi y avons assisté en direct, c’était un dimanche soir. Je leur ai dit « C’est mal fait, je préfère Les Envahisseurs ».
3. La même année, j’ai vécu ma première humiliation publique : le maître d’école avait refusé de me laisser sortir faire pipi alors que je me tordais d’envie, car il ne restait que 10 minutes de classe. J’ai fait dans ma culotte et ai subi la risée de toute la classe et ai dû nettoyer pendant la récréation.
4. J’ai appris à lire pratiquement seul avec Tintin et Le Petit Prince. Je savais déjà lire et écrire en entrant au CP.
5. Tout petit j’avais déjà une bonne oreille musicale. Ma mère me montrait en spectacle à ses copines : je devais reproduire des génériques télévisés en chantant, ou n’importe quelle chanson de la radio, et je ne me trompais jamais.
6. Enfant, j’ai appris à sculpter sur des bouts de gruyère à la fin des repas. Mon premier succès fut le buste du Général de Gaulle de 6 cm de haut. Ma mère a essayé de le garder, mais un jour il fallu le jeter.
7. Ma mère était libertine nymphomane. Mais à l’époque on n’utilisait pas ce terme, on préférait dire « salope » ou « traînée ».
8. À 10 ans et demi, mon frère m’a demandé de l’enculer, ce que j’ai fait.
9. À l’école j’ai toujours été premier en dictée, orthographe et français, alors que je n’ai jamais appris mes leçons.
10. Mon dépucelage, à 15 ans, était une grande blonde du même âge, notre histoire a duré plus d’un an. Plus tard elle est devenue mannequin aux USA.
11. À 16 ans j’ai eu la chance de voir mes BD publiées dans un journal régional. Mon personnage était un oiseau sur sa branche, qui dispensait des pensées subversives.
12. La même année (1978) j’ai fondé mon premier groupe. C’était du hard rock, notre nom était Cyanürr. J’étais chanteur-bassiste.
13. Mes parents ont divorcé lorsque j’avais 11 ans, ce fut la guerre entre eux, et mon frère et moi avons été pris en otages, puis séparés : lui chez ma mère et moi chez mon père. Je n’ai retrouvé ma mère qu’à l’âge de 17 ans et demi, âge où j’ai quitté mon père pour entamer 3 ans d’errance en stop & SDF.
14. Je n’ai pas mon bac ni fait d’études (à part 2 ans de psycho, à 30 ans, j’avais fait croire que j’avais mon bac). J’ai toujours eu la moyenne sans travailler. Je n’ai jamais appris mes leçons, j’en étais incapable. Je suis autodidacte pour la plupart de ce que je fais.
15. Un jour, j’ai rencontré mon double parfait : sosie exact, même prénom et même date de naissance. Mon premier roman évoque cette rencontre hors du commun.
16. J’ai toujours été si étonné par le besoin de croire des humains que j’ai fait mes propres études autodidactes de théologie. Fasciné par le mysticisme et l’astro-physique à la fois, j’ai toujours considéré que la croyance religieuse était une espèce de tare, une béquille bénéfique pour les crédules qui en avait besoin. J’ai découvert pourtant que même des gens intelligents pouvaient être croyants, voire fanatiques, ce que je ne me suis jamais expliqué.
17. L’authenticité a toujours été mon crédo : l’honnêteté et la transparence, le fait de ne jamais mentir, me permettent d’être spontané, crédible et totalement libre. J’ai toujours résisté aux influences (y compris l’enseignement), qu’elles soient artistiques, politiques, spirituelles, etc.
18. J’ai découvert la vraie puissance de l’amour lorsque ma fille est née. Ce fut une renaissance.
19. Je suis à la fois un misanthrope cynique et un philanthrope ébahi. Un solitaire sauvage qui s’accorde une multitude de rencontres et d’échanges.
20. Je suis convaincu que la Poésie est le substrat de toute forme d’art.
21. Le fait de vivre en Inde a accentué ma circonspection rebelle envers le système sociétal dans lequel nous sommes coincés en occident.
22. Mon atelier était le QG local des Indignés sous Sarkozy. En parallèle, j’étais rédacteur en chef d’un journal dissident intitulé « Le Dazibao du Chaos », dont la particulartié était de s’afficher dans la rue, et dont la diffusion s’est interrompue en 2012.
23. J’ai pratiqué le judo pendant 9 ans et le kung fu pendant 13 ans. Et l’escalade libre (sans sécurité) toute ma vie, jusqu’à ce que mon handicap du dos me force à arrêter le sport.
24. Cela fait dix ans que je devrais porter un corset pour soutenir ma colonne vertébrale, mais j’ai toujours refusé, par crainte d’en être dépendant. Et je suis toujours debout.
25. J’ai créé une personne virtuelle que je fais vivre depuis huit ans. Elle a participé à plusieurs forums du net, et elle a sa page FB.
26. Cela fait 15 ans que ma fille devrait être morte. Grâce au succès d’une opération du cœur, son espérance de vie est devenue normale.
27. Ma boisson préférée est le jus de fruits. Je bois un peu d’alcool parfois mais je n’accepte pas d’alcooliques chez moi. Mon atelier-loft est un salon de thé.
28. Plus jeune, j’étais un grand timide. Je n’ai pratiquement jamais dragué de ma vie. En général j’ai toujours préféré qu’on vienne à moi plutôt que de solliciter.
29. Depuis ma rupture en 2006 avec la femme que j’aimais, je cultive l’indépendance (opposé de dépendance) et évite l’engagement exclusif. Je me suis rendu compte, comme un cap d’évolution, de maturité, que ce fonctionnement solitude/diversité/liberté me convient parfaitement, et me permet d’expérimenter, d’explorer, de vivre libre, d’être parfaitement bien dans ma peau.
30. Un jour je me suis retrouvé en tête à tête avec Serge Gainsbourg et nous avons discuté pendant trois quarts d’heure.
31. Un jour j’ai dû poignarder un homme (dans son bras, avec son propre couteau) pour sauver ma vie.
32. Lorsque j’avais 19 ans, la maison Barclay m’a proposé un contrat pour un album, mais j’ai refusé (ils voulaient que je traduise mes chansons en français alors que je les avais composées en anglais).
33. Dans le même style : Actes Sud ont accepté le manuscrit de mon premier roman, en 2002, mais comme j’ai refusé d’en changer la fin, le contrat ne s’est jamais fait.
34. Il existe en France 4 femmes qui ne veulent plus faire l’amour avec d’autres hommes après m’avoir connu (dont une depuis 8 ans et une autre depuis 7 ans).
35. Peu après ma séparation avec la mère de mes enfants, je me suis retrouvé un jour sur la plage avec une amante, à une fête en plein air où se trouvaient par hasard mon ex et ma maîtresse, qui venaient de faire connaissance. Elles sont venues me gifler toutes les deux à la suite sans explication, et celle qui m’accompagnait, après leur avoir demandé des éclaircissements, est venue faire de même ensuite. J’ai estimé que je le méritais et ai accepté la sentence sans réagir. J’ai fini la soirée seul.
36. J’ai déjà fait une semaine de prison.
37. Les trois femmes que je fréquente en ce moment le plus régulièrement portent toutes les trois le même prénom, par coïncidence.
38. J’ai dormi des centaines de nuit dans des cimetières de campagne.
39. J’ai inventé des petites choses qui, si j’en avais déposé les droits, auraient pu me rendre riche (le pin’s, le Yalta jeu d’échec à trois joueurs, la poche A4 dans le dos d’une veste, le soundtrack de roman…)
40. J’ai été en froid avec mon père pendant 30 ans. Juste avant de le retrouver, j’avais en tête l’image d’un homme plus jeune que celui que j’étais devenu.
41. Avant de passer derrière l’objectif et de devenir photographe, j’étais modèle, mannequin et comédien. Plusieurs photographes, publicistes et cinéastes ont exploité mon image.
42. J’ai rencontré 9 femmes de ce site, dont 7 avec qui j’ai eu des relations sexuelles, et dont 4 avec qui ça s’est reproduit plusieurs fois.
43. Lorsqu’on me lit (ici notamment), on peut croire que je suis prétentieux, égocentriste, vantard ou même mythomane. Mais lorsqu’on me rencontre on s’aperçoit que non, au contraire : je suis quelqu’un de généreux, attentionné, humble et vrai.
44. J’ai atteint un stade de ma vie où je me sens heureux et libre, en phase avec mes convictions. Je vis hors-système, en toute marginalité (et pauvreté par choix). Il ne se passe pas un jour sans que je crée. L’art, la création et l’expérimentation sont mon moteur de vie principal. Le sexe y est inclus mais est loin d’en être l’élément principal.
Règles du jeu :
Ceci est le jeu du portrait québécois.
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2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Abyme",
3) publier ce texte dans la section Articles,
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui likeront votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous likez sans être obligé de faire des devoirs, laissez juste un commentaire.
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Jeu & règles établis ici par Wondersalope.
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Par : ludic2
1) Je suis soumis depuis bientôt 9 ans (première rencontre avec une Maîtresse car je m'intéressais au BDSM depuis quelques temps déjà...).
2) J'ai été marqué durant mon adolescence par des récits de torture durant la guerre d'Algérie et en particulier la "gégène"
3) J'ai été à une certaine époque plus ou moins obsédé par l'idée de sévices et en particulier sexuels ...
4) Jusqu'à ce que je découvre le BDSM, j'ai pratiqué assez souvent sur moi des sévices et auto-flagellations ...
5) Le fantasme qui m'a conduit au BDSM était d'être "torturé" par des Dames. Ma Maîtresse actuelle s'en est souvenue et a monté, en décembre dernier, avec son ex. soumise devenue dominatrice un scénario "d'interrogatoire" assez génial ... (récit, photos et vidéos dans de prochains articles sur son blog et sur le mien).
6) La soumission m'a progressivement soulagé de mes obsessions. Et des rencontres BDSM avec mon ancienne Maîtresse, puis - et surtout- ma Maîtresse actuelle, se sont substituées partiellement au début, puis totalement depuis plusieurs mois aux sévices que je m'infligeais.
7) Ma première Maîtresse m'a initié à la soumission et commencé mon éducation. C'était une Maîtresse vénale, que je ne rencontrais que tous les 3 mois environ, et avec qui je n'avais que peu de contacts entre 2 rencontres...Elle était plus "bondages et contraintes" que flagellations et j'étais un peu frustré de ne pas avoir de marques ou d'en avoir peu...
8) Il y a 3 ans et demie, j'ai découvert le blog d'une grande Dame qui m'a tout de suite impressionné tant par ses qualités de Maîtresse que ses qualités humaines et sa culture qui apparaissaient dans ses articles. J'ai tout de suite rêvé de devenir son soumis.
9) Après un premier refus lié en particulier au fait que j'étais un homme marié, j'ai gardé contact via son blog et 1 an et demi plus tard, Elle a accepté (alors que je ne me faisais plus guère d'illusions) de me rencontrer. Ce fut le début d'une merveilleuse aventure !
10) Je suis progressivement passé, à partir du moment où j'ai découvert son blog et lu ses articles, et encore plus nettement à partir du moment où je l'ai rencontrée pour la première fois, d'une "pseudo-soumission" où je cherchais surtout à satisfaire des pulsions masochistes (et où d'une certaine manière la Maîtresse était à mon service -payant- pour çà), à une soumission où mon but premier est de satisfaire ma Maîtresse, de lui procurer du plaisir, d'être à son service, ce qui est fondamentalement différent.
11) J'adore ma Maîtresse. Je ne vis pas 24h/24 avec Elle puisque je suis marié et Elle aussi, mais Elle est présente dans mon esprit 24h//24. Je La respecte infiniment et, même si je ne le demande pas, Elle aussi me respecte.
12) Nous partageons les mêmes préférences pour les pratiques (la flagellation) même si ma Maîtresse me fait découvrir plein d'autres pratiques.
13) Dès que je n'ai pas de nouvelle d'Elle pendant plus de 2 à 3 jours, je suis fou d'inquiétude...
14) Elle a connu l'an dernier un dramatique évènement. J'en ai été moi-même terriblement affligé.
14) Très rapidement après nos premières rencontres, je me suis mis à éprouver beaucoup de plaisir à ressentir le plaisir qu'Elle avait à me dominer.
15) Je tire maintenant la plus grande partie de mon plaisir quand je me soumets à Elle, à sentir qu'Elle s'amuse en me dominant.
16) Je peux aller très loin avec Elle. Je peux aussi aller loin avec d'autres dominant(e)s si Elle est présente. J'ai pu constater que c'était beaucoup moins vrai si Elle s'absentait... Sa voix, son regard, le contact de ses mains peuvent me faire oublier complètement la douleur.
17) Ma Maîtresse est une grande Amie, une confidente; Elle en sait plus sur mes pulsions, mes fantasmes, que mon épouse... mais Elle est infiniment plus que çà... c'est ma Maîtresse et le restera, j'espère, pour toujours !
Rappel des règles :
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.
Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,
2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour arc_en_ciel».
3) publier ce texte dans votre section « articles »
4) me le faire savoir.
Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ).
Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : #
Ceci est le jeu du portrait québécois.
Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :
1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné ;
2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour luc" ;
3) le publier dans la section "articles" ;
4) me le faire savoir.
1. Je suis du sexe masculin, sans intention d’en changer, et hétéro, avec une seule rencontre, d’ailleurs assez plaisante, avec un homme.
2. A ce jour, j’ai eu un nombre de partenaires sexuels, hors fessée, à peine dans la moyenne française.
3. Je pratique le sport.
4. La fessée est un fantasme qui remonte à l’enfance.
5. J’ai été fessé une douzaine de fois, toujours par des hommes.
6. Je suis persuadé que la présidence de Trump va être un test des institutions américaines.
7. Les fessées trop douces m’ont franchement ennuyé; celles qui m’ont plu m’ont fait mal et laissé des marques pour quelques jours.
8. J’ai toujours été du côté du soumis, mais n’exclue pas d’essayer la domination.
9. Ma très heureuse relation actuelle m’empêche d’être fessé, ne pouvant exhiber des marques.
10. Je suis allé un peu au Québec.
11. Je vois plus les fautes d’orthographe des autres que les miennes.
12. Les photos de fesses d’un beau rouge uniforme me plaisent beaucoup.
13. Je n’ai rencontré que des fesseurs, sinon compétents, du moins fiables et respectueux, ce qui est le plus important, et leur en suis reconnaissant.
14. Je ne révélerai pas ici grand chose sur moi et, entre autres, pas que je trouve la pose de pinces à linges sur mes tétons très douloureuse, mais excitante.
15. La fessée, consentie et entre adultes, peut être une pratique très sensuelle.
16. Les hommes aussi peuvent avoir de belles fesses.
17. Le seul homme que j’ai “connu” m’a sucé dans sa voiture; j’avais malheureusement éjaculé trop vite. Il aurait bien voulu me revoir, mais pour des raisons oubliées, cela n’eût pas lieu.
18. Je suis très famille.
19. Ma consommation d’alcool est très modérée, je déteste la tabagie et n’ai jamais essayé aucune autre drogue que le chocolat.
20. J’aime me photographier nu.
21. Mes fesseurs sont restés habillés.
22. Les détails m’importent.
23. Quand je tenais un blog, j’avais rédigé un lexique de la fessée.
24. Une fessée commence par un échauffement progressif à la main, à la rigueur avec une tawse en cuir, d’une vingtaine de minutes.
25. Le racisme m’est incompréhensible.
26. Si j'éjacule, la fessée se termine; je prends donc mes précautions.
27. Le centralisme (jacobinisme) français m’exaspère.
28. L’humour est indispensable.
29. Le consentement est à la base de toute pratique sexuelle.
30. J’ai beaucoup travaillé.
31. Je rêve de recevoir à nouveau la fessée (flagellation) par un homme ou une femme qui saurait fixer mes limites et les faire progresser.
32. La musique est une nécessité.
33. J’entretiens une relation très amicale avec le martinet et très inamicale avec le tape-tapis, et ce pour la simple raison que je ne suis pas un tapis.
34. Tout comme une phrase se termine par un point, une fessée doit se terminer par une série de coups plus forts.
35. Je ne veux recevoir la fessée que nu, pour le sentiment d’être sans défense; la recevoir partiellement déshabillé me donnerait le sentiment d’être puni.
36. J’ai vécu dans plusieurs pays.
37. La guerre me fait horreur.
38. Mon dernier, et plus fréquent, fesseur, m’a trouvé endurant; il lui a manqué de savoir me faire accepter, entre autres par des caresses sur les fesses, plus que un ou deux coups de fouet.
39. Je suis très fesso-centrique.
40. Pour le reste, demandez-moi; je répondrai peut-être.
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Par : rekya
31 choses de moi pour Mademoiselle S Joy
J'ai eu du mal à écrire tout ceci, mais.... tout compte fait... ça fait du bien
1. Je suis folle de mes deux hommes, mon mari et mon Maître
2. Je suis libertine depuis près de 21 ans
3. Je suis soumise à mon Maître depuis bientôt un an
4. Je serais capable de cesser le libertinage si l'un de mes deux hommes me le demandais
5. Je suis bisexuelle
6. Je suis maman d'une fille de 31 ans
7. Je suis grand-mère d'une fille de 12 ans et ma fille porte son deuxième enfant dont je vais devoir patienter encore 8 mois avant de prendre bébé dans mes bras
8. J'ai deux bergers allemands, ekya femelle grise de 6 ans et iasko mâle noir de 3 ans
9. Je suis sensible mais quand on me cherche je peux être une sale peau de vache que l'on peux regretter d'avoir blessée
10. On ne touche pas aux miens, je mords
11. J'ai plaisir à être renarde, pet play, que j'ai découvert ici grâce à liberty, qui illumine le regard de mon Maître
12. Je ne me soumet qu'à mon Maître
13. J'ai fait une belle découverte récemment, elle s'appelle Joy, je la garderais sous mon aile tant qu'elle en aura besoin
14. Je suis alsacienne, je parles lis et écrit le dialecte ( et c'est pas un patois hein!!!)
15. J'ai repris mes études à l'âge de 50 ans ( BAC PRO ELEEC) bien que ne l'ayant obtenu, faute de ne pas avoir trouvé de patron, ce fut une très belle expérience
16. Je suis monitrice en éducation canine
17. Je passe beaucoup de temps en montagne pour ramasser des champignons et cueillir des plantes médicinales
18. Je parles couramment l'allemand ce qui m'a valut un 18 au BAC
19. Depuis que je suis soumise à mon Maître je me sens de plus en plus épanouie
20. Un peu de mon passé... jusqu'à l'âge de 32 ans j'avais 48 kilos. Oui je suis très complexée par mon poids et mes formes actuels
21. C'est à partir de 1990 quand j'ai connu mon mari, que j'ai enfin commencé à avoir confiance en moi, il a su me guider
22. Suite à une chute qui m'a valut un traumatisme facial, j'ai perdu toute confiance en moi, l'aide de mon mari et celle de mon Maître me permet de me reconstruire doucement
23. M... j'ai les larmes qui coulent en écrivant...
24. J'ai été abusé de l'âge de 9 ans jusqu'à l'âge de 19 ans, puis, à l'âge de 16 ans, pensant pouvoir me confier à une personne sûre, celle ci n'a rien trouvé de mieux que d'abuser de moi en me disant que si je ne me laissait pas faire il irait tout raconter à mes parents.... Je me suis tût durant plus de 25 ans...
25. J'ai certains dons qui me permettent d'aider les autres, ce que je fais sans rien attendre en retour
26. je ris aussi facilement que je pleure, mais j'ai la fierté de pouvoir dire que je suis "entière"
27. Je suis orpheline de mon papa depuis l'âge de 26 ans... il me manques...
28. Pfff Joy !!! On aurait pas pu se rencontrer le 19 du mois ???
29. J'ai une maman formidable qui, malgré son âge, a l'esprit très ouvert et m'accepte telle que je suis ( elle avait plus de 60 ans quand je lui ai annoncé que je suis libertine elle m'a répondu avec son bel accent alsacien " hoo tant que c'est entre adultes compétant.. " et moi lui répondre " consentants maman, consentants... )
30. Pareil pour ma fille qui est capable de rire avec son papa de la même manière qu'elle le fait pour mon Maître et en ayant une complicité réelle avec les deux
31. Aujourd'hui, je suis fière de pouvoir me promener en me tenant aux bras de mes deux hommes, je m'en fiche royalement du "quand dira t-on" et des critiques, c'est Ma vie, je la vie pleinement et je doutes fort que ceux qui me montrent du doigt soient plus heureux que moi
..... tire la langue et retourne fièrement dans sa tanière ......
RAPPEL DES REGLES DU JEU:
Ceci est le jeu du portrait Québéquois qui fait fureur sur fetlife.
Si vous cliquer sur "j'aime", je vous donnerais un nombre entre 1 et 50.
Vous devrez alors:
1 écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
2 me dédicacer le titre de la manière suivante" X choses sur moi pour Mademoiselle Joy
3 le publier dans la section article
4 me le faire savoir
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte.
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Par : Abyme
La langue française fait partie de mon métier, et je me retiens la plupart du temps sur internet, et en particulier ici, de les relever pour ne pas avoir l'air d'un chieur pointilleux. Mais voici un pense-bête qui pourra, je l'espère, en aider plus d'un (en supposant la patience de lire) :
Quelques fautes qui se répandent de plus en plus :
Les exceptions peu évidentes :
L'usage du subjonctif devient peu à peu obsolète en français parlé, mais certaine expression l'ont conservé. encore faut-il l'utiliser correctement.
Le subjonctif suit « avant » mais pas « après ».
Exemples :
Il est sorti avant qu’on le lui ait pris - Il est sorti après qu’on le lui a pris.
J’attends un moment avant qu’il l’ait dit - J’attends un moment après qu’il l’a dit.
On n’écrit pas « ballade » avec deux L lorsqu’il s’agit d’une promenade, mais « balade » avec un seul L.
Une ballade est une forme classique de poème chanté.
Les manies langagières, fautes qui se répandent à cause du mimétisme :
- « Bien évidemment » : un pléonasme snob de deux adverbes qui s’est hélas généralisé à cause de la télé. C’est comme si on disait « Bien bien sûr », ou « bien forcément ». en revanche on peut dire « il est bien évident » car « évident » est un adjectif.
- « Rajouter » au lieu d’ « ajouter » : Pourquoi tout le monde place un R en plus, mystère (peut-être à cause de l’expression « Il en rajoute »), mais peu de gens actuellement utilisent le verbe « ajouter » correctement à notre époque. Si vous ne dites pas « Je reparle » au lieu de « Je parle », ne dites pas « Rajouter » au lieu d’« Ajouter »
Les fautes dues au manque de lecture :
On dit pas « Où c’est que » à la place de « Où »
On ne dit pas « Je lui dis à elle » mais « Je lui dis »
On ne dit pas « Il y a un an en arrière » mais « Il y a un an »
On ne dit pas « Dans ma tête » lorsqu’on évoque une pensée du genre « Je me suis dit »
On n’écrit pas « comme même » mais « quand même »
On n’écrit pas « Un peu près » mais « à peu près »
On n’écrit pas « Elle n’est pas prête de venir » mais « Elle n’est pas près de venir » (ou alors « prête à venir » )
« Palier » est un niveau dans les escaliers d’un bâtiment, et « Pallier » est un verbe. Le verbe « Pallier » ne s’emploie pas suivi d’un « à ». Par exemple on ne dit pas « Il faudra pallier à ce manque » mais « Il faudra pallier ce manque ».
Confondre « ça » et « sa » ou « ce » et « se » :
« Ça » et « ce » sont démonstratifs.
« Ça » peut être remplacé par « cela » (il en est même sa contraction)
Ex : « Ça va » ; « Il m’a dit ça » ; « Ça me prend parfois » ; « Je suis comme ça »
« Ce » devient « cet » devant une voyelle et donne au féminin « cette »
Ex : « Donne-moi ce verre et cette bouteille » ; « Ce visage me rappelle cet homme, mais pas cette femme ».
« Sa » est un prénom possessif féminin qui devient « son » au masculin. À la première personne il devient « ma »
Ex : « Ça c’est sa voiture » = « Cela est son auto » (ma voiture, mon auto); « J’ai vu sa figure » = « J’ai vu son visage » (ma figure, mon visage)
Confondre « Tous » et « Tout » : le nombre et l’ensemble
Ex : « Ils m’ont tous pris » (partouze) - « Ils m’ont tout pris » (huissiers)
Les pléonasmes les plus utilisés à notre époque :
(vous en utilisez ! )
Marcher à pied
Monter en haut
Descendre en bas
Sortir dehors
Entrer dedans
Rajouter (au lieu d'ajouter) (voir plus haut)
Re-(verbe) encore
Se dire (ou penser) dans sa tête (voir plus haut)
Au jour d'aujourd'hui
S'avérer vrai
Tourner en rond
Se brosser les cheveux
Se moucher le nez
Prédire (ou prévoir ou réserver) à l'avance
Un bel avenir devant soi
Un projet d'avenir
Bien évidemment (voir plus haut)
Il pleut dehors
Solidaire les uns des autres
Un court résumé
Disperser ça et là
Moi je
Un bénévole volontaire
Une fuite en avant
Il y a un an en arrière (voir plus haut)
Certains sont déjà entérinés par l'usage oral (notamment la télé et les politiques), à vous de ne pas faire les moutons, si vous aimez notre langue.
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Par : Lisa
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Heartbeat », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope)
1- Je suis bloquée à 26 ans psychologiquement depuis 10 ans....
2- À force de le répéter à tout le monde, on dit que je suis formidable.
3 - Je suis addicte aux séries américaines, et totalement frigide aux fictions françaises
4 - Je tiens pas en place, je voyage dès que je peux. Il faut donc m'attacher pour me garder sur place
5 - Je fais du volley et du badminton 4 fois par semaine afin de me défouler et taper dans quelque chose
6 - J'adore les guilis aux pieds et dans le dos. Je m'en lasse pas.
7 - Je dors avec ma première peluche (elle a été refaite plusieurs fois)
8 - Mon meilleur amant fut mon meilleur ami
9 - j'habite Bordeaux et j'aime pas le vin
10 - Je suce encore mon pouce (à défaut d'autres choses )
11 - Je fais les meilleures lasagnes du monde ( enfin presque...), mes amis m'obligent toujours à en faire
12 - Je suis maniaque et bordélique dans certains domaines. Bref, paradoxale
13 - Je suis susceptible mais avec un grand cœur donc pas rancunière
14 - Au strip-poker, je joue depuis l'âge de 14 ans et je perds pas....ou on me laisse gagner (à méditer)
15 - Mes amis sont primordiaux dans ma vie, n'ayant pas de famille, ils sont ma référence.
16 - À cause de mon boulot, j'ai perdu un bébé et depuis je n'arrive plus à y croire.
17 - J'aime pas le café mais je ferai un effort si George le demande
18 - Je ne suis pas frileuse sauf à l'intérieur. Toujours paradoxale
19 - J'adore la lingerie sexy
20 - L'âge tardif à laquelle j'ai perdu ma virginité. Je me suis bien rattrapée depuis qu'on se rassure.
21 - J'adore faire une sieste quand je peux...
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