par Soumeur
le 30/10/21
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Je me décidai à avancer. Je n'étais pas venu jusqu'ici pour me dégonfler.
Je suis entré dans le château par la porte centrale. Je suis arrivé à l'accueil derrière lequel se tenait une femme d'environ 40 ans, grande, brune.
- Bonjour, ais-je dis timidement.
-Bonjour monsieur, entrez ! M'a t elle répondue avec un grand sourire. Votre nom, s'il vous plaît ?
- Xavier
-Ah oui, c'est votre première fois chez nous je crois. Je vois que vous n'avez pas de bagages comme demandé. C'est parfait. Suivez moi, nous allons commencer. Au fait, moi, c'est Sylvie.
Je l'ai suivie jusqu'à ce qu'elle s'arrête devant une porte.
- Je vais vous demander d'entrer ici, de vous déshabiller et de mettre votre cage. Je reviens dans quelques minutes.
J'ai été un peu surpris de cet ordre assez inattendu et sans préparation.
Sans un mot, je suis entré dans cette pièce dont elle a refermé la porte derrière moi.
La pièce ne devait pas faire plus de 3 ou 4 m². Pour tout meuble, un banc longeait le mur de droite.
Un panneau accroché au mur a attiré mon attention : "Laissez ici tout effets personnels, dignité, humanité ou libre arbitre". Le ton était donné. Encore sonné par cette entrée en matière étonnante, j'ai retiré mes vêtements, ma montre, vérifié la cage de chasteté et me suis assis sur le banc.
Quelques secondes plus tard, Sylvie est revenue.
- C'est bien, vous êtes efficace à ce que je vois. Maintenant, à genoux sur le banc, les mains derrière la tête.
Je voulu l'interroger sur la suite des événements mais elle a ajouté :
- Allez ! Plus vite que ça !
Je me suis exécuté. Sylvie m'a attaché un collier terminé par une laisse autour du cou ainsi que des menottes aux chevilles.
- Les mains dans le dos ! m'a t-elle ordonné.
Elle m'a menotté également les poignets et a attaché les deux paires de menottes entre elles avec une longue chaine. Je l'ai vu mettre mes affaires dans un casier ouvert puis elle s'est saisie de la laisse.
D'une pression, elle m'a entraînée dans un couloir. Je suis passé devant une porte : "animaux domestiques".
- Excusez moi, Sylvie mais je croyais que les animaux étaient interdis.
- Maintenant, c'est Maitresse Sylvie et tu ne parle plus tant que quelqu'un ne t'en a pas donné l'autorisation, c'est clair ?
C'etait clair. Je me suis tus. C'était vraiment incroyable. J'étais là bas depuis 20 minutes environ et j'etais déjà nu, en cage de chasteté et menotté, à suivre une femme que je ne connaissais pas vers un destin sans doute pas des plus joyeux. Et pourtant, j'avais hâte...
A suivre...
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
soumission, cage de chasteté, obéissance
Suggestion
Par : #
Je me suis souvent interrogé sur la relation entre attrait physique D'une personne et désir de domination.
Je ne serai pas hypocrite. Si il n'y a pas une attirance, une sensualité , dominer pour dominer, quel intérêt? Mais c'est réciproque et je trouve cela juste. A s'offrir sans retenue, une soumise à bien le droit de choisir son tourmenteur !
A contrario, une femme trop belle, nous pouvons en hésiter à en abuser de traces marquées ou sanctionner cette inénarrable beauté de délicieux coups de fouet.
L'homme Dominant cherche toujours sa Barbarella de cuir si moulant vêtue, alors qu' une femme nue sous un simple manteau avec un joli collier et les yeux baissés, mon Dieu, quel pied !
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Par : Berny
Bonjour Lady Gabrielle .
Saint Valentin
Vous m'avez interdit de Vous souhaiter la saint Valentin . Bien ! Mais laissez moi Vous dire mon amour .
Vous m'avez pris , ce fameux matin d'août 2005 et depuis je suis devenu enfin moi même . J'étais au crépuscule d'une vie terne , Vous en avez fait un lever de soleil , un petit matin de juin après une nuit d'orage .
Vous , seule , savez changer l'ouragan que je sais être , que je puis être , en doux alizé .
Vous seule savez , aimez me faire trembler comme un champ de blé sous les brises de juillet .
Vous seule savez manier le Fer et le Cuir comme le Ciel et l'Orage martyrisant La Terre .
Vous seule avez su voir ,dans ce brouillard nébuleux , la lueur qui présage les grands matins du monde .
Vous seule avez transformé mes ténèbres en aurores boréales .
Et , pour que notre ciel flamboie Vous avez Marié , Unis , Epousé , le rouge que Vous êtes au noir que j'étais en ce treize octobre 2012 .
Alors , je ne Vous souhaite pas une bonne saint Valentin mais laissez moi Vous dire que je vous aime .
Mais pour moi ces années de bonheur n'ont pas commencées le jour de notre mariage . En fait , elles ont commencées ce jour d'août 2005 quand Lady Gabrielle me demanda si je voulais être son soumis .
Et , récemment , il m'est venu à l'esprit que mon acceptation est le dernier acte volontaire que j'ai accomplie . Oh , bien sûr il m'est arrivé d'acheter un fer à repassé ou un aspirateur sans autorisation mais pour ce qui est des grandes étapes de notre vie , c'est bien Lady Gabrielle qui tient la barre et moi qui hisse la voile .
Il en est de même pour notre mariage . ELLE aurait voulu que je fasse ma demande en bonne et dû forme . Je crois que j'ai , à peu près , réussi cette demande . Mais , honnêtement ce n'était pas à moi de faire cette demande . C'était à ELLE . C'est moi qui possède le côté féminin dans la psychologie de notre couple . Si Si . . .
Certaines et certains d'entre vous qui nous connaissent se disent que je suis devenu fou de dire des trucs pareils . Mais non . . . Jamais je n'ai réfléchi avec plus de lucidité .
Je pense définitivement qu'ELLE aurait dû me demander en mariage . comme ELLE m'a demandé de devenir son soumis en 2005 .Parce que Je crois que la psychologie de couple traditionnelle , judéo-chrétienne est inversée chez les couple D/S ,sado-maso , BDSM . De cela , je suis quasiment convaincu .
Il faudrait demander à des philosophes BDSM éminemment plus doués que moi en philosophie ce qu'ils en pensent . Toujours est il que ces gars là devront se donner du mal pour me faire admettre une autre théorie .
Mais bon , le sado-masochisme n'étant pas la tasse de thé des philosophes , je me garderais bien d'aller dévaliser la maison LIPTON .
Redeviens sérieux berny : que croyez vous qu'aurait été ma réponse si Lady Gabrielle m'avait fait sa demande en mariage ? Comme je sais que personne ne répondra à cette question , je vais vous dire ce qu'aurait été ma réponse :
Cela aurait été : OUI OUI OUI ! ! ! évidemment .
Se sentir aimer par sa Maîtresse ? C'est mon cas . Tenez pas plus tard que dimanche dernier , j'ai dû réviser mon emploie du temps de la soirée en raison d'un brusque débordement d'amour de la part de Lady Gabrielle .
Dimanche fin d'après midi , nous rentrons d'une sortie raquettes ( il y a beaucoup de neige dans notre région et n'allez pas croire que parce que nous rentrons et sortons , nous habitons la maison des courants d'air ) nous sommes un peu fatigués , je prépare un thé reconstituant accompagné de petit gâteau de la marque ""Lefèvre Utile"" plus connu sous le nom de ""LU"" (et oui on s'instruit toujours en lisant les posts de berny ) . Je pose le plateau avec théière , tasses et biscuit devant Lady Gabrielle , je prends place à ses côtés me réjouissant de regarder "" Question pour un champion "". Quand my Lady me dit "" tu sais de quoi j'ai envie ( alors déjà Elle n'attend pas ma réponse ) d'une soirée BDSM . ""
Heu. . . oui . ah bin non Maîtresse . . . là va y avoir """ Question pour un champion ."""
Mais voyons berny , je ne veux pas te priver de ton émission , tu te met nu , à genoux , ta tête sur mes genoux à moi et tu écoutes .
J'aime beaucoup la formule """ tu sais de quoi j'ai envie """ Comme si Lady me demandait mon avis . ELLE ne me demande pas mon avis Elle me donne un ordre . Et je m'exécute . Cela fait bizarre d' être privé de voir Juju Leperse courant autour de son pupitre ou jetant ses fiches en l'air .
Enfin . . . à défaut de me concentrer sur cette émission je me suis préparé mentalement à ce qui allait suivre , et croyez moi cette préparation fut nécessaire .
Bon alors donc . . . je suis à genoux ,nu devant Lady Gabrielle , j'écoute "" Question pour un champion ""
ne me demandez pas ce qui s'est passé durant l'émission , je n'en ai aucun souvenir .
A la fin de celle ci Maîtresse m'ordonna de rester en position pendant qu'Elle préparait notre soirée .
Sa tenue hérotiquement BDSM revêtue , ses jouets préférés disposés à portée de sa main gantée de cuir , Dame Gabrielle alluma les bougies sans lesquelles , Elle considèrerait que toutes séances bdsm ne seraient pas abouties .
Figé dans la position qu'il m'était interdit de changer je commençait à greloter . j'en faisais part à Lady .
Pour me réchauffer ELLE m'administra , illico , 30 coups de fouet assenés avec une certaine hargne.
Mouvement d'humeur provoqué par le dérangement dans ses préparatifs .
L'impréparation de mon corps ne m'aida certainement pas à supporter la douleur , je me tenais donc coi , attendant calmement le bon vouloir de ma Maîtresse . Cette flagellation expresse avait , cependant , contribué considérablement à rétablir mon confort calorifique .
Quand , enfin , Lady prêta attention à l'objet de son désir , mon corps en l'occurrence , j'étais prêt psychologiquement . ELLE mit des pinces sur mes seins , un bandeau sur mes yeux , m'ordonna la position debout au milieu de la pièce , main derrière le dos . Et c'est dans cette tenue que j'écoutais l'énoncé des griefs que Lady avait à me reprocher depuis notre dernière séance . Naturellement , enfin pour ELLE , chaque grief était ponctué d'un coup de cravache sur une partie différente de mon épiderme .
Est ce que Lady Gabrielle a oublié des griefs ? Il y a de fortes probabilités . Mais , franchement , ce n'est pas important car j'ai ,tellement , été sévèrement châtié que les fautes oubliées et même celles que je n'ai pas commises ont été prises en compte .
"""Tellement châtié""" """Sévèrement """ n'exagérons rien . Je n'ai pas subis ,quoi que ce soit qui
m'aurait mené au point de rupture .
Je ne me souviens pas de la chronologie des actions mais entre deux flagellations à la cravache je reçu une fessée magistrale qui m'oblige à me poser la question suivante : """Comment Lady Gabrielle a t-elle pu me l'administrer sans avoir mal aux mains .""" Pour ce faire ELLE était assise sur mon dos , moi à quatre
pattes . ELLE utilisa mon postérieur comme d'un tamtam . Je ne crois pas que les sons obtenus par ces mains expertes , étaient destinés à envoyer quelque message obscure . Quelles oreilles auraient ils atteint?
Si tant est qu'ils purent dépassés les murs de la maison . Non . . . je crois que la musique des coups de main s'abattant sur mes fesses , depuis longtemps rougies , était destinées à charmer l'ouïe de ma Maîtresse . Tout simplement .
Naguère , Lady Gabrielle m'a avoué aimer le bruit des claquements sur mon corps . Elle possède un fouet vipère terminé par deux mèches de tissu assez longues . Quand ce fouet est utilisé correctement seules les mèches viennent frapper , provoquant un bruit sec et agréable à l'oreille De ma Dame . Moi je dois avoué que ce fouet n'engendre pas des douleurs insupportables ce qui me le fait apprécié . Fait qui n'a pas échappé à la sagacité de Lady car Elle alterne l'utilisation de ce fouet avec celle d'un autre qui est beaucoup plus silencieux et beaucoup plus méchant . Un fouet terminé par une très fine tresse de cuire . Une horreur .
Insupportable mais que je suis bien obligé de supporter . Larmes aux yeux .
Par ce soucis d'alternance , Lady Gabrielle tient à me signifier que si nos séances BDSM sont des parties de plaisir ce ne sont quand même pas des réunions de jardin ( garden-party si vous préférez ) bucoliques .
ELLE tient à ce que soit bien défini , la position de Chacune et chacun de part et d'autre du fouet .
Soyez sans crainte , Lady Gabrielle , je connais parfaitement le bout du fouet avec lequel j'ai le plus d'affinité .
Il convient de terminer le récit de cette soirée . Bien que d'autres aussi intenses émotionnellement ont eues lieu depuis .
Après cette flagellation et cette fessée Lady Gabrielle utilisa quelques bougies non plus pour éclairer le lieu où je subissais ses tortures mais pour les prolonger . Elle fit couler la cire de ces complices momentanés et complaisants sur toute la surface de mon corps . Sachant que la stature de ce corps est imposante , je compatis à la peine qui a été celle de Lady Gabrielle pour accomplir cette tâche .
Cette dernière phrase ne révèle pas la stricte vérité , au regard du sourire qui illumine son visage , je ne pense pas que Lady Gabrielle , trouve la tâche très pénible . Et que dire de ce sourire quand ELLE arrache à grand coups de martinet , la cire collée aux poils de ce corps velu comme celui d'un ours .
Ce supplice est horrible . Cela m'apprendra à désobéir à Lady . Je devais me passer le peigne rasoir pour raccourcir les poils en question . En effet Lady a renoncé à exiger mon épilation. Vous avez déjà vu un ours épilé VOUS ?
Ah que n'ai-je donc pas obéi ? Les poils eurent été plus courts , la cire de bougies eut été moins adhérante donc les coups de martinet moins nombreux .CQFD .
Berny
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Je me lève d'humeur ronchonne. j'avale mon verre d'eau ,et ouvre le volet de la fenêtre de ma chambre.
Le ciel radieu de cette belle matinée de printemps,atténue un peu mon humeur. C'est donc avec un léger sourire au lèvre que je descend vêtu d'un unique boxer, pour prendre mon petit déjeuner sur la terrasse.
je descend les escaliers. Me sert un bolle de céréal et sort à l'extérieur pour aller m’installer.
Là quel n’est pas ma surprise de trouver ma coloc sophie étendue sur un transate, vêtue de son petit bikini à rayure blanche et rose.
Je ne vous aie pas encore décris ma coloc sophie. C'est une jeune fille de taille moyenne.
elle doit faire au alentour d'un mètre 65. ces cheveux sont blonds, sa silhouette est fine, et ses sein ont une jolie forme.
Elle possède aussi un joli sourire qui illumine un visage ou la joie de vivre se lit très souvent. Mais son atout majeur reste son postérieur.
Elle possède un cul magnifique. De belles petites fesses bien fermes.
La voyant se dorer au soleil les yeux fermé, je lui signale ma présence en l'interpelant.
-” Et bien alors tombée du lit!? qu'es que tu fais debout à cette heure ?”
Elle ouvre les yeux, me fait un petit sourire en voyant que c'est moi et me répond.
-“Les autres en partant mon réveillée et impossible de me rendormir.”
Elle jette un regard a mon bol de céréales: -” Ah c'est une bonne idée ça, va me chercher un verre de jus d'orange!”
je lui rétorque qu'elle est une grande fille et qu'elle peut se lever.
A cette instant, elle m'envoie d'un ton ferme - “ta gueule salope va me chercher un verre de jus d'orange!”
Je ne vous l’aie pas encore dit, mais sophie et moi sommes très complice.Je lui aie donc parlé de mes penchants pour la soumission.
Loin de trouver cela bizarre, elle s'est montrée très curieuses. Petit à petit au fil de nos conversations, je lui aie fait un peu découvrir cette univers nouveau pour elle. Elle y a vite pris goût.
De temps en temps comme ce matin, quand nous sommes seul tout les deux elle s'amuse à prendre un ton supérieur et à me donner des ordres. Elles les ponctue généralement d'un "salope". Sachant que cela me trouble énormément, et que je vais finir par céder en lui obéissant.
Ce matin n'étant qu'en pijama et sentant une érection naissante qui ne tarderai pas à faire gonfler mon boxer, je ne résiste pas longtemps.
je lui répond : -” oui sophie.”
Elle me fait un petit sourire complice et entendu avant que je file à la cuisine lui chercher son verre.
J'espérais que le temps de lui préparer mes pulsions se seraient calmées mais c'est plutôt l'inverse qui se produit. Ma queue ne fait que grossir dans mon boxer.
En revenant je ne pourrait pas nier que la situation m'excite.
C'est donc très gêné et le boxer prêt à exploser que je réapparaît devant elle.
J'essaye de ne pas me démonter et je rentre dans mon rôle. Je m'agenouille devant elle en lui tendant le verre. -“S'il te plait sofie.”
Elle prend le verre de mes mains, et me dit de me relever.
Je m'exécute. Elle regarde donc la bosse dans mon boxer et ensuite lève ses yeux sur moi.
“Ca t'excite vraiment de te faire traiter de salope?” me dit elle toujours l'aire amusée.
-”oui ça réveille la salope mâle qui est en moi lui répond je géné.”
prononcer ces mots me trouble, mais cela m'excite aussi énormément.
“Nous avons trois jours à passer tout les deux.” Dit elle.-”nos autres colocataires ne rentrent pas avant mardi, et je veux que tu sois mon soumis,cela te tente?
en la regardant dans les yeux, je lui répond -”oui.” D’une voix un peu timide.
Plusieur fois tu m'as dit que si je continuais de te chauffer, tu allais me supplier de te dominer comme une salôpe mâle déclare t'elle.
“J'ai envie de voir cela. Alors, fou toi à poil et offre moi ta soumission!”
Dit t elle d'un ton neutre toujours allongée sur son transate avec son verre de jus d'orange à la main.
Je la regarde. J'ai un peu peur, avant de m'exécuter, mais les mains tremblantes j'enlève mon boxer. à peine libérer ma queue bandée se dresse droite et dur, d'une de ses érections ou la queue est très sensible. Quand celui ci finit sur mes cheville, j'entend sophie avoir un petit gloussement et je vois son regard posé sur ma queue raide.
elle me dit - “Belle bite. Cela va être un plaisir d'en user et abuser.”
Son regard remonte sur le mien avant de déclarer. -”Cela te vas bien belle bite! Ce sera ton petit nom de soumis. Allez supplie moi maintenant belle bite !
Un peu gêné et le coeur battant, mais sous son emprise je me met a quatre pattes maintenant nu comme un verre sur la terrasse de la maison jambes écartées et face contre terre au pied du transate où sophie est affalée,elle vêtue de son petit bikini.
Je mes met à l'implorer t elle une déesse,
- “Je vous supplie sophie de me dominer.Je vous offre ma soumission. Je vous implore de faire de moi votre chose, je serai votre chien , votre esclave votre sex toy et votre petite pute mâle.Ma queue ma bouche et mon cul sont a vous! ”
ton cul et a moi s'esclaffe t elle. -” Alors pourquoi n'est il pas tourné vers moi “!?
Dans la seconde je me retourne face contre terre et derrière bien haut pour lui présenter mes fesses...
Quand j'y pense je devrai avoir honte. Mais au contraire sous l'excitation, j'y prend un plaisir perver.
Elle pousse un petit gloussement avant de déclarer-” Tu sais que je vais te le dépuceler ton cul n'est ce pas? Que je vais te baiser, que ca m'excite grave !dit le que tu le sait me crie t elle.”
Face contre terre, je lui dit oui sophie je le sais .-” Tu sais quoi? ” rétorque t elle. Je sais que tu va me baiser le cul...
-C'est bien belle bite. Maintenant met toi à genou jambes et bouche ouvertes ,mains derrière la tête...
Je m'exécute, totalement excité par la situation et bien décidé à essayer d'obéir à tous ses désirs...
-”Allez cambre toi un peu ma salope fait ressortir ton cul belle bite!!
Me voilà en train de bomber les fesses. Nu comme celà je sent le souffle de l'aire sur mes parties génital et le soleil sur des surfaces de ma peau qui n'en ont pas l'habitude. Cela me procure encore plus de plaisir...
Sofie daigne enfin se lever de son transate. Elle marche autour de moi fait le tour de mon corps en ricanant. Au passage elle me tapote les fesses. ce qui me surprend. je laisse échapper un petit cri de surprise.
Elle me tire alors les cheveux en arrière et me gifle la joue.
Ce n'est pa encore le moment de couiner belle bite s'exclame t elle.
Elle revient devant moi, regarde mes parties génitales et me dit: - “Il va falloir dépoiler tout cela mon cochon!”
Elle se dirige ensuite vers la table de la terrasse où ce trouve une grande boite que je n'avais pas encore remarquée.
Je me demande bien toute les choses qu'elle contient.
Elle en sort un rasoir et de la mousse à raser... elle me les jettes devant moi et elle me dit : - “Allez dépoile toi, je ne veux plus un poil sur tes couilles et ta queu dépeche toi.”
Et elle se rassoit sur le bord du transate, m'observent me raser les parties génitals avec précaution.
Quand je fini elle me dit de me remettre en position, les mains derrière la tête et m'asperge au jet d'eau pour me rincer. L'eau froide me coupe la respiration mais je tien la position. Elle rigole
“C'est bien belle bite allez maintenant remet toi en position face contre terre et cul en bombe comme tout à l'heure quand tu me l'as offert.
je m'exécute.Elle trouve que mes jambe ne sont pas assez ouvertes, et m'ordonne de les ouvrir plus :- “allez petite pute écarte tes jambes…”
Je ne la voit pas mais je l'entend se lever. J'ai un peu peur mais je l'entend le bruit de la bombe de mousse à raser. Puis ensuite en sent sur mon anus et le creux de mes fesses...
Elle pose une main sur l'une de mes fesses et je sent le rasoir commencer à passer sur ma peau.
-”Chut n'aie pas peur belle bite, je ne vais pas te faire mal.” Me chuchote t elle tendrement en me rasant.
- “je te prépare juste le cul pour son dépucelage n'aie pas peur.”
Tout en finissant de me raser elle me caresse les couilles doucement: “ Ca te plait tout ça hein ma petite pute? tu aimes être ma chose...
humm oui dis je en gémissant, j'adore cela sofie.
tu adores quoi mon soumis ?
-J'adore être ta petite pute ta chose sofie.
Elle rigole et me dit que je suis complètement givré.
“Mais moi aussi je commence à kiffer cela belle bite.” M'avoue t elle.
Quand elle finit par être satisfaite de mon “dépoilage” elle se redresse en me donnant une petite tape sur le cul.
Ne bouge pas belle bite...
La voilà qui se remet à me nettoyer au jet d'eau.
Ensuite elle me laisse comme cela et va se réalonger dans le transate.
- “Retourne toi” belle bite me dit elle.
elle me lance alor un flacon de gel douche au visage...
-” Allez lave toi! Fait mousser le savon et fait la salope. J'ai envie de me divertir.” M'annonce t'elle.
A ce moment la je n'aie plus aucune gène ou inhibition, me voilà faisant mousser le savon sur ma peau,
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Madame ferma les yeux, s’étira langoureusement dans le fauteuil. La tête reposant sur le coussin, elle écoutait le bruit de la maison, intérieurement, elle souriait. Elle ne l’entendait pas, même couché à quelques centimètres, il ne bougeait pas, il était là, si insignifiant dans sa présence et pourtant, si absolument fondamental. Il ne le savait pas, jamais il ne le saura. Madame voulait sa présence, elle portait en elle ce besoin vital de le posséder, mais son plaisir résidait justement dans cette distanciation entre sa nécessité intérieure et l’image qu’elle dégageait d’elle. Son indépendance, sa froideur, sa déité niaient, en apparence, sa joie de le posséder jusqu’au fond de son esprit, dans les abysses de son âme. Elle ne jouait pas, elle ne s’amusait pas. Madame désirait être démiurge et ce corps, cet esprit blotti à ses pieds, étaient la quintessence de ses années de recherche, de sa quête de l’être qu’elle voulait façonner et qu’elle avait enfin pu modeler à sa guise. Madame savait que la clarté, l’obscurité, le froid, le feu, la pluie et le vent, la cage ou le grand air, la faim, la soif, la peine, la joie, les pleurs, les rires, ne voulaient plus rien dire pour lui. Madame le savait parce qu’elle l’avait éduqué pour qu’il ne puisse plus réagir qu’à une seule appréhension, qu’une seule crainte, ne plus être en sa présence, ne plus entendre sa voix, ne plus sentir son parfum, ne plus être auprès d’elle. L’abandon était sa seule crainte. Il n’était plus qu’un petit chien sans autre attache que celle qu’il portait à la maîtresse. Pour lui, le monde se résumait à la présence rassurante, bienfaisante de celle qu’il considérait comme l’âme de son existence. C’est ainsi qu’elle l’avait voulu, c’est ainsi qu’il était devenu.
Pourquoi penser par soi-même quand un être supérieur pense pour toi ? Pourquoi choisir sa vie, quand la vie ne dépend plus de toi, mais de la main qui te frappe, qui te cajole, qui te nourrit, qui te guide ? Pourquoi lutter contre soi, quand Madame t’offre d’être sa créature ? Petit à petit, Madame franchit les barrières psychologiques qu’il le retenait encore parmi les êtres libres, puis un jour, il s’agenouilla complètement, il renonça à lui totalement et ne fut plus que la pensée en chair de la volonté de la maîtresse. Il pleura. Les larmes de sa libération se répandirent sur les escarpins vernis de madame, sur les mains bénies de la maîtresse. Elle l’autorisa sans mot à lécher et embrasser les extrémités de son corps. Ses dernières paroles, ses derniers mots furent pour renoncer à dire ou être, il avoua son attachement viscéral à madame et puis il se tut pour toujours. Dorénavant, il ne parlait plus, ne pensait plus, ne mangeait, ne buvait plus que sur ordre de la maîtresse. Elle lui était devenu bien plus indispensable que l’air qu’il respirait.
Son pied taquina un peu le corps étendu sous elle. Il ne bougea pas. Seule parfois la clochette accrochée au piercing de son périnée pouvait annoncer sa présence, seule la laisse en petits maillons d’acier pouvait tintinnabuler, mais ce n’était que des bruits d’appartenances, les sons du recueillement de son entière soumission. Madame posa son pied gainé de soie sur la bouche, il baisa l’offrande sans excitation, sans précipitation, avec la componction et la douceur exigée de lui. Madame se souvint des étapes de l’apprentissage, des efforts qu’elle déploya pour le mener jusqu’au renoncement total à lui-même. Bien sûr, il portait en lui cette structure mentale prête au renoncement absolu, mais le travail d’éducation fut long et douloureux. Il n’est jamais facile de perdre l’habitude de penser par soi et pour soi. La présence d’un esprit fort, aussi intensément ancré en soi que le lierre à la pierre peut inquiéter les plus dociles, mais quand le renoncement final survient, le soulagement est d’autant plus apaisant. Car ce renoncement est une étape vers la quiétude intérieure. Le soumis ne porte plus en lui la crainte de ne pas appartenir, il n’éprouve plus que la crainte de l’abandon. Madame inculqua dès le début de sa prise en main, la crainte dans son esprit. Craindre le mépris de madame, craindre la colère froide de madame, craindre l’oubli de madame, elle le nourrit de sa propre main, le frappa de sa propre volonté, le punit avec intransigeance, le consola avec douceur, le provoqua avec orgueil, l’éloigna sans pitié, le rappela avec mansuétude, toutes ces étapes, toutes ces actions instillaient en lui la crainte de ne pas être à la hauteur des exigences de madame et surtout de ne plus pouvoir être à ses pieds, dans ses grâces, dans sa magnificence.
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Par : Switcher
je me suis déjà fait enculer par des femmes avec des godes ceinture,mais le plaisir ne doit pas le même qu’avec une vraie bite. Pourrais je donc prendre du plaisir avec des trans. Mais jusqu’où ? Il fallait que je le sache…
J’entrepris donc de poursuivre mon exploration du genre, et de mes limites.
Je consultais donc des sites de trans à la recherche de celle qui me plairait le plus.
A l’heure dite, je me présente au domicile de la belle avec un peu d’excitation et beaucoup d’appréhension.
Elle m’ouvre la porte. Première bonne surprise, elle est belle, très féminine et très sexy.
Passé les formalités d’usage, elle me donne une serviette de toilette propre et je me dirige vers la douche.
Douche finie, je noue la serviette autour de ma taille et sors de la salle de bain.
Elle est allongée sur le lit, tallons aiguilles, bas, et belle lingerie. Elle me fait signe de venir la rejoindre.
Je lui explique que c’est la première fois avec un trans, elle me rassure aussitôt avec des mots doux. Puis elle m’allonge sur le lit, se penche sur moi.
Très vite, elle glisse sa main sous la serviette, mon sexe est déjà dur, elle m’excite.
Presque machinalement, je descends ma main vers son string pour la caresser. Elle ne bande pas encore mais je sens son sexe qui commence à durcir. J’imagine que d’avoir à faire à un novice doit l’exciter un peu.
Elle retire son string pour libérer sa queue puis se place en 69. Elle commence à me sucer. Mon excitation ne fait aucun doute, mon sexe est dur et sa bouche l’engloutit sans difficulté, elle sait y faire.
Je me retrouve avec sa queue sous les yeux. Machinalement, je commence à la branler doucement.
« Suce moi » me dit-elle…
J’obéis. J’avance ma bouche, met ma main à la base de sa queue et commence à la sucer. Je suis plutôt excité d’avantage. Passé les premiers va et vient, je prends confiance et pousse plus loin son sexe dans ma bouche. Elle apprécie visiblement. Sa queue devient toute dure, elle guide ma tête de sa main, sans arrêter de me sucer.
Puis je sens un de ces doigts caresser mon anus, d’abord doucement, avant qu’elle ne l’enfonce lentement pour me préparer à la suite.
Je ne peux plus lâcher sa queue. La sentir grossir dans ma bouche m’électrise. J’accélère le mouvement de ma main comme si je voulais la faire jouir.
Mais ce n’était pas encore le moment. Avant il fallait passer à la casserole…
Après quelques minutes de ce 69 excitant et surtout qu’elle m’ait bien ouvert le cul avec deux doigts, elle m’allongea sur le dos et passa un coussin sous mes fesses.
Je ne contrôlais plus rien, j’étais son jouet.
Elle a relevé mes jambes, enfilé une capote, placé sa queue à l’entrée de mon cul et m’a pénétrée doucement.
Dire que je n’ai pas eu mal serait mentir, mais c’était aussi jouissif. Tout en s’enfonçant en moi, elle branlait ma queue. Et elle rentra toute sa queue dans mon cul.
Voilà, je l’avais fait, pour la première fois, je me faisais enculer.
Elle resta quelques instant figée au fond de moi avant d’entamer un lent va et vient. La douleur s’estompa , le plaisir prenant la relève au fur et à mesure qu’elle allait et venait dans mon cul.
Après que minutes dans cette position, elle se retira, me retourna sur le ventre et me pénétra à nouveau. Plus fort, plus violemment, plus vite… Je me laissais faire, je ne réfléchissais plus. Sa queue me faisait du bien. J’en voulais encore.
Elle me pilonna pendant de longues minutes en me susurrant des mots crus :
« Tu aimes que je t’encule . Tu aimes que je défonce ton petit cul serré »
Je ne répondais même plus, j’étais submergé par le plaisir.
Elle se retira, s’allongea sur le dos et me fit s’asseoir accroupi sur sa queue. Dans cette position, elle m’a possédé encore plus loin. Sa queue me provoquait un plaisir intense, je la voulais encore plus loin dans mon cul.
En même temps quelle me prenait, elle branlait ma queue qui était gonflée comme jamais.
J’allais de plus en plus vite sur son sexe, je sentais que j’allais exploser, et elle aussi.
« Vas y , bouge, je vais jouir »
Elle a eu en un spasme puissant, elle jouissait dans mon cul.
Cette sensation m’a fait jouir violemment, d’autant qu’elle me branlait toujours. Je me suis vidé sur son ventre puis écroulé sur elle.
Je suis resté comme ça plusieurs minutes sans bouger, je ne pouvais plus. " Tu l’as fait… Et tu aimes ça. Tu es une vraie petite lopette et je vais t'enculer tous les semaines pour que tu deviennes une vraie salope.."
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Par : Abyme
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Ce matin-là, un œil curieux pouvait remarquer deux femmes chargées traverser, sous l'ombre bienvenue des arbres dans l'allée, le parc du Peyrou. Il les verrait passer près de l'Arc de Triomphe, murmurant peut-être déjà des insanités complices. Il les verrait glisser sur les pavés du vieux Montpellier et progresser à petit pas dans la descente vers la cathédrale Saint Pierre.
Le soleil cogne déjà impitoyablement, l'air est moite et promettrait presque un orage d'été, qui ne viendra pas...?S'il n'est pas allé à leur rencontre, c'est qu'il se prépare à subir les assauts sodomites de la domina. Mais il est prêt à leur arrivée.
Toutes deux retrouvent avec bien-être le domaine hétéroclite de l'homme qui leur sourit, torse-nu, dans l'entrebaillement de la porte. Rien n'a vraiment changé depuis un an. Les instruments de musique modernes et anciens, d'ici ou d'ailleurs n'ont pas quitté leur place. Ni les livres et les objets d'art.?Cela sent plus l'encens que le stupre, mais mon œil avise d'emblée une autre collection : des godemichés tous plus gros les uns que les autres. Les voir étalés ainsi à la vue dans un effet compact et dense nous laisse rêveuses.
?Elle a apporté ses fouets et son vibrateur, ainsi que deux ou trois autres jouets. J'ai mes cordes, ma boîte d'aquarelle, un livre érotique. Nous avons projeté, les uns les autres, certains scénarios mais il faut nous réapprivoiser tous les trois, ensemble.?Sonne l'Angelus. Grouillent les estomacs. Les premiers plaisirs sont de chère : bonne charcuterie, bons fromages, bon pain, bon vin augurent des agapes de chair à venir. Une belle façon d'entamer cette journée. Nous la finirons de même...?Il nous raconte, il nous enchante, en musique et en narrations. Nous sommes suspendues toutes deux à ses lèvres. Je la masse aussi, l'huile d'amande douce glisse sur ses épaules et son dos, sa nuque, comme glisse la voix mâle et suave entre nos oreilles. Préliminaires...??Passé l'instant de partage artistique et gastronomique, de sensualité douce, nous parlons de nos envies. J'évoque un jeu d'été, une sodomie filmée, et diverses autres fantaisies. On ne déflore pas tout. On laisse l'appétit grandir, le désir s'installer, palpable entre les murs ou sous la poutre où sont fixées des chaînes.
À ces chaînes pendent deux anneaux. C'est son jeu à lui, son choix. Il m'enfile les anneaux aux bras puis scelle un carcan enserrant poignets et cou.
Me voilà captive, maintenue à la poutre, oscillante-battante entre quatre mains curieuses et avides. L'une claque sur mes fesses, main d'homme longue, large, un battoir sur ma peau qui chauffe, tandis qu'une main féminine apporte son lot de plaisirs, doigtage et caresses pour contrebalancer la rudesse de la fessée.
Lui pose des aspire-tétons sur mes seins. Ma bouche hésite entre les gémissements plaintifs et les cris de jouissance. La badine remplace la main de l'homme, impitoyable, sèche, vive, mordante. Elle laissera son empreinte en hématomes violacés.
Lui se place contre mon dos. Sa queue raide prend mon cul sans ménagement. Je pousse un cri de surprise et de douleur, mais bientôt le plaisir poind son nez inévitable, envahissant. Elle pose un vibrateur sur mon sexe brûlant, le plaisir grandit, prend son envol.
L'orgasme, le premier, violent. Lâcher prise, pleurs. Je ne porte pas de baîllon pour bloquer mes bruits de voix, je me sens baver, en longs filaments. Jusque sur son visage, qu'elle essuie, hallucinée. Puis elle essuie ma bouche suintante.
Il s'est retiré. Un leurre. Il y revient plus tard, après m'avoir doigtée avec fougue. Il m'encule à nouveau énergiquement et elle me stimule. Combien ai-je eu d'orgasmes ? Trois, quatre ? ?Il me détache enfin et je retombe tout molle, inerte et repue sur le lit. Anéantie, ailleurs et ici pourtant, le corps démis, dégoncé, abandonné entre les bras de l'amant et sous le regard bienveillant de la domina. Instant de calme, de tendresse pour tous les trois. Nous sommes en sueur, lui surtout, d'avoir tant donné de sa personne.??La suite s'enchaîne sur des plaisirs buccaux en tout genre, avec beaucoup de sensualité. Et sur un godage en règle de celui qui goûte tant le plaisir anal. Doigté, godé, puis fisté par elle, très concentrée, les yeux agrandis par le désir, une lueur de gourmandise tellement palpable dans son regard. Il est à quatre pattes, offert et gémissant. J'écris le début d'un texte érotique sur son dos mais il transpire tellement que les lettres se brouillent dans la foulée. Je lis puis il doit prendre le relais tout en étant fisté, ardemment. Je me délecte des mots et de la vue. Il y est question de cunnilingus, entre autres. Je me place devant lui, ma vulve face à son visage. Comme il est troublant de le voir me lécher et se faire fister, et la voir, elle, son visage empreint d'une jouissance toute cérébrale. Délices de voyeuses démultipliés, agrandis par les sensations tactiles, les sons, les claquements de langue et les gémissements.
Les cunnilingus se suivront sur l'une ou l'autre au cours de la journée, des jeux d'exhibition et voyeurisme, des jeux uro, c'est un festival de chair et de peau, de regards et de mots, de cris et de feulements. Voir une femme jouir est si beau, regarder un homme lui apporter cette jouissance est si voluptueux. Je ne m'en lasse pas...??Puis, elle s'empare de ses trois serpents qui s'apprêtent à siffler sur nos peaux enlacées. Fouetteuse émérite, son geste est sûr, net et en même temps sensuel, quand parfois j'ose un regard vers elle. C'est une danse. Lui et moi serrés l'un contre l'autre d'un côté, tournant devant elle. Ses serpents et elle, qui tournoient avant de s'abattre. Cela claque, cela single. Stoïque face à la douleur, lui ne bronche pas, quand je pousse des cris aigus et formule des protestations. Mais aïeuuuu ! J'assume ce côté chochotte annoncé bien avant le début de la journée. Revendiqué même.
Il m'agace, cet impassible au sourire tranquille ! Sa maîtrise est parfaite et mes bavardages stériles contrastent de façon ridicule avec sa zénitude. Il m'entoure de ses bras protecteurs et sourit. La séance ne dure pas très longtemps, juste une découverte de ses talents. Merci Lady Spencer.
Et merci Abyme pour nous avoir accueillies chez toi pour cette journée mémorable. L'atterrissage a été long après une telle intensité.
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Je ferme les yeux et je me laisse remonter le temps : mercredi dernier, une journée chaude, très chaude ....
Un problème de voiture et Lullaby vient me récupérer : elle dort chez moi, ce qui nous offre cette complicité perverse de prévoir nos jeux : pourrons-nous tous les réaliser ?
Pas certaine, mais aucune importance : nous partons le lendemain chez Abyme, à deux pour jouer avec lui, sur lui et en lui : en nous aussi bien sûr
Je redis à Lullaby que je ne suis toujours pas bi mais mon voyeurisme est tel que j'apprécierai toutes scènes érotico-porno-orgasmo- et plus si affinités ....
Je veux voir, sentir, ressentir, je suis excitée mais je masque sans trop savoir pourquoi : mes désirs se font intenses, je me caresse sur le canapé alors que Lulla dort au 1er : je tais ma jouissance
Chez Abyme, la chaleur est lourde, il ferme les fenêtres pour éviter que les cris de plaisirs ne glissent vers la cathédrale : il aura raison .
Fin de matinée : nous arrivons déjà trempées par la chaleur mais Abyme nous rafraichit rapidement : il est fatigué de ses jeux de la veille, avec une femme rencontrée peu avant, son accueil s'en ressent .
Sans doute n'est-il pas simple non plus de naviguer entre une switch, Lullaby, et une domina, moi : qui veut quoi dans tout ça ?
Et toi, Abyme : tes désirs te portent vers quoi et vers qui ?
Lullaby joue à le provoquer : hmmm, est-ce bien prudent ?
Mes désirs sont clairs : je veux revivre "une fontaine" et je veux le cul d'Abyme : je veux le baiser et le fister : j'adore !
Lulla laisse couler une petite phrase : "oui, je vais prendre ton cul aussi, Abyme" .....
Déjeuner de belles et bonnes choses ouvrant nos appétits, je goûte un Gigondas délicieux, moi qui ne bois pas ....
Lullaby explique qu'elle a un gage ou plutôt, un "devoir" à remplir pour son parisien dominateur : avant la fin de l'été, elle devra comptabiliser 12 sodomies avec 12 hommes différents (tiens : une question ce soir : et aucune avec une femme ?), tout cela photographié ou filmé : je sens Abyme intéressé ....
Tenue maintenant appropriée et nous montons dans la chambre : Lulla sait qu'elle va être sodomisée, je ressens son excitation mais elle ne s'attend pas à être prise aussi vite et fort : elle aime les préparatifs, les caresses...
Abyme en a décidé autrement
Au-dessus du lit, une poutre où sont fixées des attaches : Abyme ordonne à Lulla de prendre place sous les attaches : il la bloque, place un carcan, je l'aide et cette situation est loin de me laisser indifférente entre les cuisses
Ses ordres tombent, secs, impétueux : il sait qu'un autre de mes désirs étaient de le voir DOMINER une femme : il va me donner satisfaction, oh combien !
En quelques instants, Lulla est bloquée, offerte, sa chatte et son cul à disposition, cette image est très troublante
Je ne saisis pas son émotion à ce moment mais je vois son expression lorsque Abyme écarte ses fesses, vivement
Il branle sa queue déjà raide et se frotte sur ce cul tremblant : d'un seul coup de reins, il la pénètre et elle crie sous l'assaut : elle geint, et demande déjà plus de douceur : "je ne suis pas comme tes amies aussi facilement enculables " ....
Abyme redouble de vigueur et baise ce cul à grands coups de bassin : ce cul ouvert et dilaté qui fait couiner Lullaby de ce plaisir douloureux qui monte dans ses reins
Il sort son dard pour le rentrer de nouveau, sans délicatesse, enculant plus fort encore le cul palpitant : il la lime, la baise, la viole presque, exige qu'elle dise aimer cela, et de sa voix entrecoupée de sanglots de plaisir, elle murmure aimer être prise ainsi
Je vois Abyme en Maître absolu de cette baise échevelée, sa queue dure amenant Lullaby à cette jouissance si puissante qu'elle en pleure, en bave comme sa chatte bave : je ne résiste pas au plaisir de la visiter, sa chatte, je la pénètre de deux doigts et je caresse le membre mâle contre la paroi tendue : je suis excitée, terriblement et en même temps, étonnée de vivre cela
Mon regard en sera témoin lorsque nous regarderons la vidéo plus tard : un étonnement de tant de plaisirs partagés sur ce cul sodomisé violemment
Abyme ne cesse ses va-et-vient, il redouble de force : elle jouit sous ses coups de butoir, lui se retient bien-sûr ...
Il reprendra son cul plus tard dans la journée, pour la faire gémir et hurler de plaisir, je branlerai sa chatte de nouveau, en pénétrant en même temps son cul : mes doigts pinceront la fine paroi, je masturberai aussi son clitoris, dur et sensible
Elle s'effondrera, tremblante, les bras marqués par les attaches, les cuisses pleines de mouille et de sueur, les cheveux collés sur son visage, les lèvres rouges de désir et de plaisir : ce plaisir brutal qu'elle a tant aimé !
Lorsqu’il la détache, elle s'effondre sur les draps trempés : tout se mélange : les liquides d'orgasmes, la sueur, les larmes, les bouches aussi .
Elle est secouée de spasmes et ses larmes donnent à son visage ce teint rosé la rendant belle en sa jouissance : Abyme lui dit ces mots là, la câline, la protège, la serre dans ses bras
Elle retient ma main qu'elle garde dans la sienne et murmure un "merci" pour cette complicité
Elle dira même en me regardant tendrement : "toi qui te dis non bi ...." et éclate de rire ....
La chaleur est presque insupportable, nos trois corps suent de plus en plus mais nous ne sommes pas rassasiés d'expériences et de sensations
Plus tard, Abyme, de nouveau dur, raide, avide de nous donner encore du plaisir, avide de m'offrir son cul également, rebaisera la chatte de Lullaby : une complicité charnelle entre eux qui les attire, les aimante dans ce se besoin de donner et de prendre .
Je sens ce besoin de fusion entre leur corps, je me mets en retrait mais je continue à jouer les voyeuses excitées : mon sexe est tendu, ouvert et plein de mouille chaude
Cette sensation de se sentir ouverte est prodigieuse : un appel à la queue véritable, ou aux doigts, ou un gode, qu'importe ...
Il ouvre ses lèvres et branle son clitoris, délicatement puis par des mouvements circulaires rapides : elle crie encore, se tord sous ses doigts qui la pénètrent puis ressortent : il la veut encore, il le sent car elle veut aussi sa bite en elle
Son ventre de femelle l'appelle, il la retourne sur le ventre et la sodomise de nouveau : elle le reçoit sans protester mais couine sans cesse.
Il veut la voir jouir encore et encore, moi je le veux aussi : je n'interviens pas entre eux mais avec eux, je glisse mes doigts dans chaque orifice à ma portée
En Lulla, je plonge 2 doigts dans son sexe et je la harponne de mes doigts recourbés dans sa chatte : ses cris de plaisir me font couler et excitent Abyme : il est dos à moi, je le veux à 4 pattes, j'appuie sur son dos pour qu'il m'offre généreusement son cul tendu
Mes doigts l'ouvrent et le dilatent : quel accueil dans ce cul !
C'est mou, c'est chaud et trempé : il mouille du cul, cette salope !
Il se contracte sur mes doigts, j'en glisse un 4ème puis le pouce : je me sens attirée dans cette antre, je veux le fister, je veux le posséder, je veux lui remplir le ventre , alors je force et je rentre en lui , je prends enfin son cul
Mon poing baise son cul, sans ménagement, je sais combien il aime sentir son cul baisé ainsi alors, je ne me retiens plus, ma main va et vient dans ce ventre affolé ...
Je veux me sentir prisonnière de son cul, que je pense ne plus jamais pouvoir en ressortir ......
Je mets encore et encore du lubrifiant m'autorisant tous les mouvements au fond de lui : je veux le faire jouir ainsi mais je le sens crispé et pas en phase avec mon envie
Je sors de ce cul que j'aime tant pour le reprendre plus tard
Les mains d'Abyme trouvent nos chattes et les masturbent , sa queue reprend sa place contre le vagin et tape le fond pour la replonger en jouissance: les cris de Lulla reprennent , elle ne peut plus se contrôler, elle jouit encore : pas forcément d'orgasme mais de plaisir orgasmique qui ne s'arrète plus ....
Une des plus belles images qui restera longtemps gravée en moi, sera de voir et d'entendre Abyme se lover contre Lulla et la câjoler pour la faire redescendre doucement, avec des mots tendres, il la calme, la rassure, l'aime à sa manière....
Plus tard en soirée, d'autres désirs nouent encore nos tripes : la pratique uro et la flagellation
Abyme installe tout le matériel au rdc : draps, couvertures... Questions techniques rapidement résolues : nous installons, nous nous préparons à vivre d'autres sensations, d'autres plaisirs
Abyme a un désir puissant : que nous urinions en lui et ce désir fait écho en moi : j'aime terriblement les jeux d'urolagnie : je les trouve indécents et j'aime ça !
Lullaby observe attentivement, n'ayant pas encore pratiqué : son regard brille tant elle veut offrir ce plaisir là à Abyme
Elle me suit dans mes envies également
L'installation demande quelques précisions : Abyme a besoin d'une excitation particulière : une caresse lui procurant cette érection est de lécher Lulla, assise les cuisses écartées
J'adore entendre Lulla gémir sous la langue d’Abyme : il l'aspire, il la mord, il écarte ses grandes lèvres, il tète son clitoris et la fait couler : le plaisir monte entre les reins de Lullaby, elle feule, elle couine, elle crie de nouveau ...
Abyme me demande d'ouvrir son cul d'homme excité : je place le speculum, délicatement, je l'installe au fond de son cul et j'ouvre.
Je le dilate doucement mais implacablement : de le voir ainsi ouvert fait mouiller mon sexe, mon jus d'excitation coule sur mes cuisses
Abyme s'allonge sur le dos et remonte son bassin pour nous offrir son orifice béant : nous venons à tour de rôle Lulla et moi tenter de vider notre vessie mais pour nous, ce n'est pas simple : se lâcher ainsi, ouvrir les vannes demande une capacité que nous ne trouvons pas : ce sera pour la prochaine fois : quel dommage !
Mais je veux redevenir fontaine et lui seul peut me procurer ce plaisir
Je m'allonge sur le dos, les cuisses largement écartées, je me sens enfin juste Femelle au bord de son prochain orgasme : je veux vivre de nouveau cette fontaine : Abyme se place face à moi, Lulla de côté et les doigts d’Abyme me pénètrent
Tout va vite, trop vite... je ne comprends toujours pas, je me contracte, une crainte de me laisser trop aller ..... Il me branle tellement fort que mon liquide sort et trempe son bras : je suis là et très loin à la fois, je me sens trembler, je suis prise par un orgasme très bref mais tellement puissant !
J'expliquerai le lendemain à Abyme pourquoi je n'ai pas tout lâché : cette jouissance est tellement nouvelle pour moi que je cherche encore à maîtriser et à garder le contrôle : il l'a ressenti au bout des doigts : la prochaine fois, Abyme, la prochaine fois, je lâcherai vraiment ....
Je reste allongée pour récupérer : suis-je Dominatrice à cet instant ? Oui, non, peu importe, je suis une femme pleine de désirs encore, pétrie de jouissance, je me moque de savoir si je suis dans une case comme je l'ai déjà lu ou entendu et ce qui va suivre m'excitera au plus haut point
Filo se place au-dessus de moi, embrasse Lulla, la doigte, puis il plonge sa queue dans ma bouche : je le suce et j'aime ça
Il se retire de ma bouche pour un autre jeu : il sait naturellement que j'aime ce qu'il va faire : il vise ma bouche et pisse dedans, par jets chauds et forts
Je le goûte, j'avale un peu, en laisse couler sur moi et j'adore cette sensation
Mais ce que je vais aimer plus encore, c'est cette urine chaude dont Filo remplit ma fente : il gicle en moi de longs jets ....j'adore !
Il pisse au fond de mon ventre, il me remplit , il me marque de ses phéromones urinaires ....et j'ai failli en jouir !
Et ça, Abyme ne le savait pas jusqu'à lire mes mots ce soir
J'imagine combien de femmes dominatrices réagiraient violemment en lisant ce récit : quoi ? de quelle espèce de domina, LS fait partie ???
Je n'en sais fichtre rien et je m'en fiche : je veux clôturer ce récit en remerciant Lullaby et Abyme pour la liberté de plaisirs vécus ensemble, pour ces éclats de rire, et pour cette perverse complicité d'homme et de femmes
Merci pour ces tremblements au plus profond de mon ventre en vous regardant tous les deux
Merci pour nos fous-rires avec Lulla
Merci pour cette fontaine si bien cachée au fond de moi : libère moi encore Abyme .....
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Pour rappel, quelques images de la séance sodo en carcan :
https://www.bdsm.fr/photo/394184/lullaby-seance/userid_14770
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Par : LaurentSensuel
A quatre pattes, nu, ma langue lèche la trace de tes pas.
Lentement derrière toi, je remonte le long de tes talons vertigineux et commence l’ascension de tes jambes par le haut de tes chevilles et l’arrière de tes mollets.
Toujours plus haut vers le creux de tes genoux, puis l’intérieur de tes cuisses fabuleuses, j’atteins sous la jupe corolle, la divine frontière de tes bas.
A quatre pattes ensuite, sortant du crissant plaisir de la soie, ma langue touche enfin ta peau nue, un carré merveilleux à la fois chaud, vivant, sec, goûtu.
Je m’y attarde, passe de l’une à l’autre de tes cuisses, enfoui ma tête entre tes jambes, prend plaisir au goût de ta peau.
A genoux enfin, ma tête se relève et je plonge entre le divin pli de tes fesses. Ma langue darde vers ton oeillet, ma bouche en ventouse sur ton orifice. Je titille, je lèche, j’aspire. Froid et serré, peu à peu il s’ouvre à moi, se réchauffe, se mouille, et tu commences à bouger. Je passe autour, dessus, dedans enfin ; je goûte et je sens tes fesses et ton trou magnifique. Mes mains en corolle, joue avec ton entre-jambe.
Longtemps tu résistes, enfin tu te donnes, vibres, bouges, serres, m’écrases, m’étouffes.
Longtemps je suis à toi, généreux et tendu, docile et écrasé.
Le plaisir croît et nous laisse enfin, toi tendue puis lourde, moi écrasé et etouffé sous tes fesses divines.
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Par : #
J'ai six ans. Peut-être huit. Les épaules fuyantes, le regard implorant, je ne suis plus qu'une plaie et un visage souillé de larmes. Je ne suis plus que douleur. Il y a un vague écho lointain dans le cuir qui lacère, il y en a davantage dans les larmes qui coulent en continu, cette suie noire qui fond sur mes joues. Je voudrais l'essuyer, enlever cette saleté qui me couvre toute. L'instant d'avant j'étais une femme assumée, libérée, jouisseuse et maintenant je suis une fillette de six ans prise en faute.
Je suis de plus en plus petite. Je rétrécis sous les coups qui pleuvent. Morveuse, liquéfiée, je me ratatine sur moi même. Je voudrais presque disparaître sous terre. Du moins que mon corps disparaisse. N'être plus qu'un pur esprit de petite fille sage. C'est ce que je suis tout au fond, je le sais bien. Mais je ne peux m'empêcher de faire des bêtises, de happer le regard des hommes, de provoquer leur désir, de voir leur sexe se dresser, d'en être à l'origine, de me comporter comme une effrontée, une impudique, une salope.
Je me mords les lèvres pour tenter d'étouffer de nouveaux cris. Abnégation, silence, maintien. Même de cela j'en suis incapable, je geins, je pleurniche comme un bébé. J'ose le regarder dans les yeux, assombris, sévères, y trouver la force, y lire le désir. Je ne sais pas ce que j'y lis, les mots secs forment une litanie cruelle, parfois plus durs que les coups. Sa bouche se tord autant que sa ceinture. Il me réprimande, il me punit, sans ménagement, sans indulgence. Implacable, impitoyable. Je crois ne l'avoir jamais vu autant que cette fois si âpre, si ardemment désireux de me faire mal, de me dire des choses humiliantes.
J'attends, j'espère sa clémence. Tantôt je me sens lâcher, tantôt je résiste, je refuse, je nie l'évidence. Suis-je si méchante, si vicieuse pour mériter cette sanction ? J'étais prévenue pourtant, la peine devait être exemplaire, je devais être sévèrement punie. Je pensais être prête. Je pensais pouvoir endurer mais ma détermination fond au fur et à mesure, je perds courage, j'abandonne toute dignité. Je suis une loque avec une âme de petite fille, qui perce ma pupille. Vois-moi, vois comme je suis petite et sans défense, accorde-moi ton pardon. Non pas encore, le cuir cingle encore sur ma peau. Puis, le couteau lacère le tissu.
Regarde-toi, regarde comme tu es indécente, à quoi donc te sert une culotte si c'est pour l'ôter devant le premier homme venu ? La robe tombe en lambeaux, la culotte est déchirée. Je suis presque nue, les bras resserrés sur mes seins et mon sexe. Je tente en vain de retrouver un semblant de pudeur. Je pleure toujours, sans m'arrêter. Il me semble que je ne m'arrêterai jamais. Jusqu'à ce que qu'enfin, la punition cesse et que sa voix s'adoucisse, que ses yeux s'éclaircissent. La petite fille souillée peut alors aller se laver, avant de trouver son réconfort dans les bras de son tortionnaire.
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Par : #
prenant des poses obscènes et dégradantes pour un homme,tripotant mes parties génitales pour me rendre compte de leur nouvelle état.
-” Tu es bien excité dit moi belle bite. Allez met toi à genoux jambes ouvertes devant moi et branle toi. Je veux te voir jouir..”
Je sors un peu de mon état et suis un peu gêné à cette idée, mais la je me rend conte que sophie ah une main dans son maillot de bain et se caresse aussi.
Je me laisse aller en arrière m'apuyant sur une main offrand ainsi mon sex tendu dans la direction de sofie. De l'autre main, je saisi mon membre et commence à me masturber.
-” Allez belle bite regarde moi dans les yeux quand tu fais ça.” me dit 'elle. Me voilà en train de me masturber devant sofie, nu, à genou au pied de cette jeune fille autoritaire et magnifique...
Quand je la regarde sur son translate une main dans son bas de maillot à me contempler me rabaisser devant elle, quand mes yeux croisent les siens, je n'aie plus qu'une envie contenter le moindre de ses désirs.
“C'est bien belle bite demande moi l'autorisation pour jouir.”
Quand je sent le plaisir monter en moi je lui dit:” sophie je vais venir est que je peut jouir!”
-“oui belle bite” me dit 'elle, un sourire au lèvre.” Jouis ma salope!”
Je ne tien plus je joui et perd toutes notions de réalités et d'espace pendant un court instant.
Je reviens à moi, au moment ou sofie , toujours installée sur son transate m'asperge d'eau .
-”'T’endors pas belle bite. Tu dois me servir maintenant.”
Un peu confus je me ressaisi et déclare - oui sofie.
”aujourd'hui c'est Maîtresse sophie me lance t elle.”
je me corrige - “Oui maitresse Sophie.”
Le reste de la matinée nous voit , elle toujours dans son transate, moi la servant en esclave nu comme un verre. temps tôt lui amenant un verre d'eau, temps tôt lui servant de repose pied. Elle me gratifiant par moment d'une vulgarité,par d'autre instant d'une bonne claque sur les fesses, le tout dans la complicité et les rires...
Vient ensuite l'heure du repa,elle m'habille d'un tablier blanc de cuisine et me demande d'aller lui faire à manger.
je commence à lui cuisiner des spaghettis bolognaise, son repas préféré. Pendant ce temps là, elle s'installe sur la table de jardin et commence à faire ses contes.
Je peux la voir depuis la fenêtre de la cuisine, ne prêtant aucune attention à moi. Cela rajoute à mon humiliation d'être là, à cuisiner pour elle, excité par la situation tandis qu'elle vaque à ses occupations sans tenir compte de moi.
Quand le repas est prêt je lui signale.
Elle me dit depuis le jardin.
-”Enlève ton tablier et sert moi à manger.
je m'exécute. Me revoilà nu comme un verre mettant la table.Une foi qu'elle a fini ses contes je lui sert son repas et un verre de vin, attendant nu à côté d'elle la bouteille à la main et la queue de nouveau raide...
” Ca à l'aire bon belle bite.” Déclare t elle.
Elle porte la fourchette à sa bouche en me regardant dans les yeux.
Je peux voir de la satisfaction sur son visage.- ” C'est délicieux ma pute, bravo.”
Elle porte ensuite le verre de vin à ses lèvres mais dès qu'elle y goûte je comprend que quelques choses ne va pas...
” c'est le vin d'hier ça esclave. Non? ”
” Oui maîtresse ”
“Tu l'as gouté avant de me l'amener? “
Je perçois mon erreur
“ non sofie “
“ Il est éventé.” dit elle .
Elle pose le verre sur la table,claque des doigts en montrant la cuisine et me dit d'aller chercher un autr verre, et une autre bouteille de vin.
“Oui maîtresse.” Dis je, en courant lui chercher.
Je reviens bien vite lui sert un verre et me prosterne à ses pieds, lui demandant pardon.
Elle goûte le nouveau verre et semble satisfaite. Ensuite sofie d'une main me caresse les cheveux, d'une voix ferme et douce à la fois.
- “ allez viens t'asseoir on va manger maintenant”.
Nous commençons à manger tout les deux, je me détend un peu. On rigole, discute de tout et de ce que l'on est en train de faire.
“ Tu es vraiment givré! ” me dit t'elle en souriant.
“Tu te serrai vu courir cul tout nu me chercher une autre bouteille de vin.”
Tu étais ridicule.
Un peu honteux je rougi.
-” Oui je sais, c'est un peu bizarre. Je dois être pervers d'aimer cela.”
-” Ne t'inquiète pas. C'est bizarre mais ce n'est pas grave.Puis j'aime bien avoir mon petit esclave à la maison.Puis pour tout te dire, j'aime bien qu'on m'obéisse et soumettre un hommes et 'l'humilier Ca commence à me plaire.J'y prend goût. ”
Sur ces dernières paroles sont sourires s'élargit.
Le repas touche à sa fin quand sophie me dit :
- “ bon maintenant belle bite tu vas débarrasser et faire la vaisselle, mais avant il faut te punir pour ce mauvais vin servi lève toi! “
Je m'exécute, le coeur battant à la chamade de peur et d'excitation. Je me demande ce qu'elle va bien pouvoir inventer. Je sais qu'elle est pleine d'imagination...
Elle recule un peu la chaise sur laquelle elle est installée. Toujours assise elle me regarde dans les yeux et en claquant des doigts me montre ses genoux.
Je comprend directement ce qu'elle veut et ne me fait pas prier...
Silencieusement je m'installe sur le ventre en travers de ses jambes, mon nombril sur ses cuisses.
Elle me demande de passer les mains dans le dos. Elles me saisis les poignets et les emprisonnes. Le contactes de nos peaux qui se touchent et la situation commence à me faire bander.
Sophie doit sentir ma queue grossir contre sa cuisse.
Elle pose alors son autre main sur mes fesses et les caresse doucement en me susurrant.
“Ca t'excite belle bite hein? c'est ton grand fantasme de recevoir la fessée? “
“oui Maîtresse sophie ca m'excite beaucoup.”
Dit je d'une petite voix un peu honteuse.
“Allez belle bite, écarte un peu tes jambes.”
En silence je le fais. Je suis sur la pointe des pieds les fesse tendues vers le haut.
Elle en profite pour passer sa main entre mes cuisses à fin de me caresser doucement les testicules et la verge.
Tu sais belle bite, j'ai lu qu'il y a deux type de fessée, la petite fessée gentille pour faire plaisir... et celle pour punir.
Tout le long de son discours elle me mettait des petites fessées de plus en plus fort .
Je sentais mes fesses devenir chaude et picoter cela m'excitait doucement, mais sur le dernier mot la claque fut beaucoup plus forte m'arrachant un cri de surprise et de douleur.
Ensuite les coups se sont mit à pleuvoir sur mes fesses de plus en plus fort et douloureux, devenant rapide pour finir en rafale.
Mes fesses me brûle me font mal.Je la supplie d'arrêter. -”pitié sophie j'ai mal,arrête”.
Mais rien y fait.
-”J'arrêterai quand j’en aurai envie! ”
Me crie t elle en repartant de plus belle.
Je suis vaincu je couine à chaque coup je supplie, j'implore. Elle finit par arréter me repoussant en bas de ses genoux.
Je tombe à ses pieds vaincus et épuisé.
Elle se lève me temps un pied et me dit: - “ allez face contre terre, implore mon pardon. “
Je pose ma tête sur son pied et lui gémit pardon sophie,pitié je t'implore. J'implore ton pardon.
“A genoux les mains sur la tête. “ Me dit 'elle.
Je m'exécute,les fesses brulantes. Je la voit aller chercher mon téléphone portable sur la table.
Elle comprend que je suis inquiet.
“Ne t'en fait pas belle bite. je vais juste te faire une vidéo souvenir… “
Elle passe passe derrière moi. Je comprend qu'elle a dut commencer la vidéo...
j'entend ses commentaires. -” Voilà belle bite, et oui c'est ton nouveau nom . Voila je te fait une petite vidéo souvenir pour que tu puisses te branler quand je serais pas là pour t'humilier.. regarde l'état de tes fesses.Tu as le cul tout rouge.”
Elle passe ensuite devant moi le téléphone à la main, braque la caméra sur moi, à genoux les mains derrière la tête
”Alors belle bite,regarde la caméra et dit combien tu es content d'avoir reçu une fessée.”
Je lève la tête toujours dans la même position. Je vois son visage radieu et moqueur regarder le mien au travers de l'écran du téléphone.
”Merci sophie de m'avoir donné la fessée. ”
Dis je un peu honteux.
“Mais de rien ma petite pute. hein oui que tu es ma pute? “
“Oui maîtresse sophie. Je suis votre pute , votre salope male, votre esclave et votre chien. “
Elle se met à rire et me dit : - “ C'est bien ma salope, allez ouvre ta bouche que je la fourre.”
Je m'exécute et aussitôt elle m'enfonce plusieur doigts dans la bouche, et s’amuse à faire des va et vient dedans. Elle rigole toujours et me dit que bientôt c'est son gode ceinture que je vais sucer.Le vas et vient de ses doigts fini par me faire beaucoup saliver et baver.
Elle décide alors d'enlever ses doigts de ma bouche, de me mettre deux gifle et de s'essuyer la mains sur mon visage - “Que voilà une belle vidéo souvenir....” En coupant le téléphone elle me dit de mettre ma tête en arrière et de garder ma bouche ouverte.
Ensuite elle pose le portable sur la table et prend le verre rempli de mauvais vin.
Elle me dit de fermer les yeux et je sent le vin couler dans ma bouche et sur mon visage.
Il ruisselle sur mon corp .
“Allez avale ce mauvais vin que tu voulais donner à ta reine, voilà c'est bien salope.
Maintenant tu va rester un peu nu comme cela pour méditer sur ton erreur.”
Et c'est ainsi que je suis resté complètement nu à genou, les mains derrière la tête, du vin collant sur mon corps. Exposé pendant un temps indéterminé sur le sol de la terrasse.
Pendant ce moment j'ai eu le temps de penser à la situation. Au fait que j'étais en train de vivre mon fantasme après tout ce temps.
Au fait que; oh mon dieu. J'avais montré cette face cachée de ma personnalité à une amie proche. Que je n'étais plus en train de fantasmer derrière mon écran, à parler à des inconnus, mais que maintenant quelqu'un connaissait vraiment cette facette de ma personnalité.
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Par : mael
C'est mon truc. Tout est dans le titre. C'est ainsi. Lorsque j'ai enfilé ma première jupe, j'ai senti des picotements dans les doigts, l'envie de tenir un fouet, et j'ai beaucoup aimé cette sensation. Je me suis senti femme, une gynarchiste impitoyable.
Ma mère voulait une fille. Elle a eu un garçon, mais ce besoin de féminité est resté profondément ancré en moi, comme pour beaucoup de travestis occasionnels.
Mon premier orgasme a été celui d'une femme. Au judo, avec un beau jeune homme, fort séduisant, mon professeur, fier de sa ceinture noire. Nous étions seuls dans le dojo. Je n'étais que ceinture blanche et parfaite débutante, ce crétin a eu provisoirement le dessus. Il m'a projettée au sol, m'a immobilisée et a glissé sa jambe entre les miennes et a appuyé sur mon bas ventre. J'ai joui très fort, pas en éjaculant comme un homme, non, comme une femme au clito très très sensible. Des orgasmes à répétition. Il se frottait lorsqu'il a vu qu'il me faisait jouir très fort. Mal lui en a pris, car je l'ai retourné, j'ai défait sa ceinture, j'ai baissé son pantalon blanc et il a reçu une fessée monumentale. Il avait les fesses si rouges qu'il s'est mis à pleurer de plaisir. Je me suis servi de sa ceinture pour lui attacher les mains dans le dos.
Fessé sur mes genoux, ce crétin m'a jouit dessus. J'avais sa semence sur mes jambes. Je l'ai obligé à me lécher. Il était aux anges, tout tremblant, tout en excuses.
Sous la douche, je lui ai redonné une sévère correction et j'ai eu un nouvel orgasme, différent du premier, totalement cérébral cette fois. C'était si jouissif de voir les jolies petites fesses bien rouges et bien musclées de celui qui était censé être mon professeur de judo. j'aurais pu le sodomiser, mais j'ai préféré en rester à cette jouissance de femme.
C'était le pied. J'étais une vrai fille à l'intérieur et j'adorais cela. Le beau jeune homme aux fesses bien rebondies avait envie de se faire prendre. Rien, je ne lui ai même pas donné mon gros clito à sucer. J'ai voulu le Frustrer, histoire d'en faire un chien docile. Il me regardait avec des yeux grand ouverts, comme en adoration. il a reçu une bonne baffe et il a couiné.
Depuis, c'est ainsi, chaque fois que je passe une jupe, je me sens dominatrice impitoyable jusqu'au bout des ongles. J'adore attacher, et infliger de très sévères correction. Implorer ma pitié ne sert à rien. Avec une jupe, je deviens terrifiante. Je veux voir des fesses bien rouges et des larmes, celles du plaisir de mes soumises et soumis, en proie à l'extase. Travesti et dominatrice, c'est vraiment le pied.
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