par Soumeur
le 20/04/22
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Bonjour
Voici le chapitre 8 de mon histoire. J'attends vos retours avec impatience !
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Nous sommes 3 semaines après cette folle expérience.
Je me réveille avec l'envie de reprendre une séance. La menace de Maitresse Lucy est toujours présente mais je ne peux résister à l'idée d'y retourner.
Je me connecte de nouveau sur le site et réserve une nouvelle séance. Apres m'avoir authentifié, je remarque que je ne peux prendre qu'une séance de 1jour/1nuit.
Je me demande pourquoi la séance est aussi longue. Une demande importante sans doute.
Le jour venu, je me rend au château, comme la première fois. A l'entrée, Maitresse Sylvie ne me jete qu'un rapide coup d'oeil avant d'ajouter :
-"Tu connais le processus. A poil, en cage, Maintenant".
Bonne ambiance. Sagement, je m'exécute et me déshabille complètement, enfile ma cage de chasteté et me met à genoux en attendant Maitresse Sylvie.
- "Tu as été une vraie pute la dernière fois. Tu as as désobéi à une maitresse volontairement. Il va falloir qu'on règle ça."
Je veux répondre que je n'avais pas fait exprès et que j'étais prêt à obéir mais je me retint. Pas la peine de provoquer Maitresse Sylvie. Elle me passe un collier au cou, y accroche une laisse et ajoute :
- " Maintenant, tu n'es plus qu'un puceau soumis, une petite pute a dresser, un chien de merde à éduquer. A 4 pattes !"
J'obéit immédiatement. Elle me met un baillon en forme d'os dans la bouche et me tire dans le même couloir que la première fois mais s'arrête avant la cellule collective.
Je comprend où je vais aller. La fameuse pièce "Animaux de compagnie". Maitresse Sylvie ouvre la porte. La pièce est noire. Elle me tire à l'interieur et allume la lumière.
A suivre...
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
domination féminine, pouvoir, humiliation
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Suggestion
Par : maXou.Katantra
Vous connaissez ce titre il as était à l'affiche il y a quelques années...
Voici ce que j'en dit.
C'est elle qui nous attire vers son centre, au creux de ses seins, entre ses jambes, c'est elle qui nous parle d'un temps qu'elle as connue puis aura demandée à ce qu'on en parle plus.
Elle fait le monologue nous n'avons même pas le besoin d'en dire plus.
Elle regarde de tous côté puis s'aperçoit qu'elle plaît toujours.
Comme tout à chacun elle fait son marché.
Elles prennent le temps, elles nous accordent de l'espace, puis elles disent que nous n'avons pas su y prendre place. Elles regardent de tous côtés, elles prennent le temps et mieux elles disent ne pas avoir vu... jusqu'à ce qu'elle disparaissent.
Elles donnent un sens nouveau, elles trouvent Monsieur attirant, elles trouvent en ces hommes, les autres..., elles cherches les défauts, elles disent avoir donner de l'intention, un réel manque d'attention.
Elles veulent du sentiment, de l'émotion... Lorsque l'un d'entre nous en éprouve il se fait fustiger, mettre de côté, elles veulent être pute, salope de celui qu'elles auront choisit.
Autant je met la femme au centre de mes intérêts qu'elles prennent un malin plaisir à me rendre invisible, indifférente, mal intentionnée, il y a encore quelques années j'étais le transitoire, la passade, le en attendant d'avoir mieux. Aujourd'hui ce que je ressent ce n'est pas du sentiment c'est de la solitude celle là qu'on appel l'absente, solitude, inexistante, malencontreuse, inespérée. Elles regardent de tous côtés et s'accorde du parfait, celui qui paraît, ceux qui quelques mois après disparaissent vite fait.
Elles se plaignent de ne pas avoir déméritées... Le vagin, bon ou mauvais, nous ont évoque qu'un trou c'est un trou mais c'est aussi et surtout le fait qu'elles ne s'exprime quasiment jamais, parce qu'en trois minutes c'est vite fait, les valises posées, les sacoches vidées. Y ajouter quoi ?? des crochets, des cordes, de la chaleur, de la douceur...
Ce qu'elles veulent c'est dominé bien plus que lorsqu'elles évoquent un accord dans le fait de se soumettre, elles veulent décider de tout.
Dans un jeu elles diraient pouvoir baisser les yeux, la femme domine le monde. Elle ont un sens que Monsieur n'as pas, celui là, le sixième. Elles ont le pouvoir de dialoguer et même plus... de tenir un monologue avec leurs vagin. Pendant que nous, nous ne faisions attention à rien.
Nous n'avons même pas la décence... Messieurs ??!!
Ce qu'elles veulent c'est que nous leurs donnions un sens. De la reconnaissance.
Maître Lasky
FanPage : https://www.bdsm.fr/ma-238tre-lasky/
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Par : Abyme
Depuis que j'organise pour des soumises consentantes des évènements comme gangbang, exhib, humiliation publique, etc, j'ai remarqué que seulement 50% viennent parmi les hommes retenus, avec qui le RDV est pris, et qui avaient pourtant l'air réglo motivés et fiables. C'est presque devenu une règle générale : je veux organiser un gangbang avec 5 hommes ? J'en prévois 10 ! Lors de l'annonce et de la sélection, il sont pourtant tous à fond, très motivés, morts de faim même, ils me harcèlent sans relâche, j'en sélectionne, en leur donnant bien des règles et consignes, et surtout en insistant sur la ponctualité, sur le fait qu'on compte sur eux, mais non rien n'y fait.
Il y a aussi les rigolos, ceux qui, de derrière leur écran, se prennent pour des étalons redoutables ou des adonis incontournables, ou des maîtres potentiels très respectables, etc. Mais une fois qu'on les rencontre évidemment ils ne font pas le quart du poids annoncé...
Bref, recruter pour du sexe sur un site spécialisé, comme chacun sait, ce n'est pas si facile, surtout lorsqu'on cherche des gens fiables.
Trouver une femme pour un homme, c'est le plus dur, car il doit y avoir une proportion disons de 100 hommes seuls pour 1 femme seule : les hommes sont comme des spermatozoïdes convoitant tous le même ovule, ou des mouches sur un morceau de viande.
Côté homo ou bi, très dur aussi pour un homme passif de trouver un homme actif, car la plupart sont passifs.
Mais lorsque je me suis inscrit en tant que "couple" sur le même site, pour organiser ce genre d'évènements pour ma soumise, je me suis aperçu qu'il suffit d'"offrir" sa soumise pour déclencher une ruée d'hommes s'improvisant dominateurs ou puissants étalons. Je n'ai donc jamais eu de mal à recruter. En revanche le jour du RDV, la moitié sont là, et les autres, pfft, plus de nouvelles soudain... Fantasmeurs ? Petits joueurs ? Hésitants et flippant au dernier moment ? Ou très irrespectueux de la parole donnée ? Peut-être un peu de tout ça.
Cette semaine j'organise pour Silva un gangbang original, dont elle m'a elle-même suggéré et même réclamé la teneur. Il se déroulera ce weekend, et j'ai déjà largement recruté le double de mecs nécessaires (pour en avoir donc le nombre requis). J'ai donc indiqué sur l'annonce que le recrutement était terminé et qu'il était inutile de me solliciter à présent.
Et c'est là que ça devient marrant (et pénible à la fois) : j'ai encore plus de demandes et sollicitations qu'avant l'arrêt du recrutement. Les mecs ne lisent pas, ou bien ils essayent quand même, en croyant faire une demande exceptionnelle, d'exception, de mise en réserve en cas de désistement, etc...
Au début, je réponds à tout le monde, poliment, patiemment ; puis de moins en moins, en insistant sur le fait que si c'est précisé sur l'annonce, en capitales en plus, c'est que c'est vrai ; puis peu à peu je perds patience et suis moins amical face à ce flot insistant voire harcelant.
Il y a ceux qui, malgré le fait que ce soit un profil couple, s'adressent à la femme directement, genre "slt la miss, tes trop belle, libre se soir"
Il y a aussi ceux qui repèrent les couples dom/soumise et proposent tout simplement d'emprunter celle-ci et se substituer à son dom, d'emblée, sans avoir vérifié la recherche du couple en question.
Et évidemment, avec un pseudo comme je l'ai choisi (Soumiseaoffrir), c'est l'avalanche de sollicitations parfois d'anthologie.
Voici la dernière en date, juste pour le fun :
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D'abord voici l'annonce :
VIOL TOURNANTE SIMULÉ :
Samedi 15/07 19h, centre Montpellier, ma complice va se faire violer fermement par un groupe de mecs dominants (entre 6 et 10), et compte se défendre comme en réel. Donc les pieds tendres, les masseurs de shakras tantriques, les délicats, les soft, les “doux et respectueux“, SVP ne me faites pas perdre mon temps.
Je précise que c’est un fantasme maso qu’elle désire et a imaginé (voir la vidéo où elle l’explique).
Je sélectionne donc quelques hommes très fermes, voire brutes, qui sauront relever le défi en jouant sur l'équilibre entre respect et violence.
Cet évènement ne sera pas réitéré, il n'aura lieu qu'une fois, comme une expérience, un défi ponctuel.
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Voici ensuite le tchat avec un type qui sur son profil s'annonce comme un grand dominateur organisateur :
?
Bonjour, tout d'abord comprenez bien que je ne veux pas vous manquer de respect, vous déranger ou manquer de respect à la dignité de la femme.
J'ai pu constater que le scénario viol simulé était un fantasme pour certaines femmes, le viole et bien sûr un des pires crimes odieux, j'organise cependant depuis quelque temps des scénarios de ce type "viol simulé", pour celle-ci le désirant vraiment, dans la sécurité et le respect bien entendu, mais surtout avec beaucoup d'excitation et cérébralité.
J'ai pensé que peut être cela pourrait vous intéresser qu'en pensez-vous ?
?
Bonjour, je ne vois pas en quoi ça pourrait nous intéresser, puisque j'organise déjà la même chose pour ma soumise, et pas à perpette (nous sommes sur Montpellier et toi sur Avignon), et le plan se déroulera d'ailleurs ce samedi.
Je ne comprends pas ta requête, à moins que tu n'aies carrément pas lu notre fiche ni regardé la vidéo qui explique le plan.
? : Le scénario est à définir ensemble dans les grandes lignes, bien sur , il y aura une part d'inconnue ou pas pour votre plus grand plaisir. Le scénario peut se dérouler de plusieurs manières et dans plusieurs lieux différents. En extérieur je vous surprends dans votre voiture dans un coin tranquille, ou dans les bois marchant, ou entrain d'uriner d'arrière un bosquet. Possible aussi chez moi, ou chez vous, vous pouvez faire semblant de dormir et vous réveillez pendant la pénétration ou pas et être consentante ou pas, faire semblant d'être drogué ou soûle, je peux aussi vous surprendre sous la douche, aux toilettes, ou simplement dans votre salon/ chambre et vous forcez à avoir un rapport, voici quelque possibilité. Quelle idée vous plairez, on peut aller plus loin, plus hard ou plus soft plus cool.
? : heu, on dirait que tu n'as pas lu ma réponse précédente…
Tu ne devrais pas étaler tout ton baratin avant d'avoir eu une réponse au premier message, car là on dirait que tu t'emballes, à énumérer tous tes fantasmes
? : bref, bonne continuation, et à l'avenir tiens compte de ce que les gens marquent avant de les brancher
: vous pouvez disposer je vous bloque faux Maitre
? : non mais tu t’es relu? … mais LOL quoi ! je te bloque d’abord !
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Par : Elle.a
Lorsque je suis loin de lui, j'oblige mon soumis à entonner l'excellent "Tata Yoyo" debout devant son réfrigérateur ouvert, à l'heure la plus chaude de la journée.
Il se doit d'être en tenue d'Adam, le sexe plié à angle droit grâce à l'objet de son choix, sous le regard attentif de son berger allemand.
Il se doit bien évidemment d'être le plus droit possible, la main au képi, et le doigt sur la couture de l'absence de pantalon.
Tout ceci sous le chaperonnage de sa grand-mère qui m'envoie la photo avec le journal du jour pour preuve de son assiduité.
Je précise que je reviens dans 4 semaines.
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Par : Steph Doe
La porte s’ouvre sur l’univers qui, depuis fort longtemps, a alimenté silencieusement et secrètement mes fantasmes les plus beaux .
En cet après-midi d’automne, sous vos regards protecteurs et bienveillants, je me faufile dans les entrailles d’un univers qui d’onirique s’ ancre dans le réel.
Délicieuse ….l’anxiété au paroxysme qui décuple le désir de s’offrir,
Anesthésiant…. l’abandon à la confiance,
Caressant,….le fouet sur mon corps,
Sublimant,… le bandeau m’isole et m’expose.
Suspendue comme le temps, un après-midi d’octobre…
Vos mains expertes, vos lèvres, vos murmures à mon oreille …. me font frissonner, trembler, ressentir la moindre parcelle de mon corps
Qu’elles furent douces vos mains claquant sur mes fesses, musical, le tourbillon du fouet et cinglante, piquante, la badine….
Détachée des préoccupations du monde extérieur, je me délecte de la saveur de l’instant. Ce que je sens, ce que je vois, ce que je ressens n’est que plaisir, la roue s’affole et m’affole, en apesanteur, je sens m’envahir la paix intérieure.
…..Parcourant mes jambes, je savoure la chaleur de l’eau de la fontaine qu’il m’est si précieux de sentir jaillir…..
Qu’il fut merveilleux cet après-midi d’octobre.
« Cris et Chuchotements », lieu d’esthétisme et d’inspiration, est de ces bulles confidentielles où le temps se fige et d’où l’on ressort grandi
Tel le théâtre classique, l’unité de temps, de lieu et d’action s’illustrent magnifiquement; intérêt dramatique, concision et scène se conjuguent au 21ème siècle aussi savamment qu’au 17ème.
Premiers pas d’un parcours initiatique sur la scène des saveurs du corps et l’âme…. 48 heures sont passées, mon corps, encore, vibre de 1000 sensations mêlées, d’une légèreté qui m’emporte, me porte et me procure un bien-être inavouable!
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Par : #
Cafés…
Elle s’était posée sur le divan en cuir blanc de cette salle d’attente de l’hôtel, vraie libellule, sa robe rouge se détachait si intensément qu’elle semblait flotter dans l’air. D’où j’étais ses parfums m’avaient déjà rejoint. Senteurs de violette, de lavande... Chemisier noir et colliers qui dévalaient de son cou jusqu’à ses seins.
C’est à ce moment que j’ai senti la chaleur de sa monumentale poitrine… Je me suis avancé en face d’elle, me laissant glisser sur le canapé en vis-à-vis.
Quand ses yeux se posèrent sur moi elle semblait absente, absorbée dans ses pensées, son regard noyé dans son abondante chevelure blonde…
On a apporté nos cafés, et je me suis avancé vers la table en verre pour prendre un sucre; machinalement, sans pouvoir arracher mes yeux des siens je lui demandé si elle en désirait un; voix rauque pour me répondre "volontiers, un seul, s’il vous plait". Long frémissement dans mes reins, jusque dans mes cuisses. Le désir me prenait.
Je pris conscience des boutons dégrafés de son chemisier, son parfum m’a envahi plus profondément, réveillant mon sexe.
Impossible de la quitter des yeux, je la parcourais en la détaillant, mains fines aux longs ongles, griffes ornées de motifs pourpre et blanc, épaules larges, bras ouverts, jambes claires et lumineuses, cette robe fendue qui dévoilait maintenant une jambe charnue et tendre, un mouvement de son corps qui m’offrait soudain ses bas, et ses escarpins en cuir noir qui m’ont enflammé.
Ma main s’est posée sur ma cuisse, relevant la jambe de pantalon dont un pli brusquement me gênait. Son regard a suivi ma main, que j’ai follement déplacée et posée sur mon ventre tendu.
Sa bouche ourlée de rouge carmin se tordit, elle mordit sa lèvre inférieure, son désir a bondi jusqu’à moi. Je sentis, plus que je ne vis, ses mains se joindre sur sa ceinture en cuir et métal, puis se séparer, et ses doigts glissèrent vers la fente de sa robe.
Sans détacher nos regards figés l’un dans l’autre, dans un même mouvement sa main se faufila contre son ventre, glissant sur sa cuisse chaude, et j’ouvris mon pantalon, lui offrant la vision du désir qu’elle avait fait naître.
Ses doigts devaient certainement se frayer un passage vers sa fente, je reconnaissais maintenant des ondulations que mon regard la supplia de me faire découvrir. Elle écarta ses ses jambes et les pans de sa robe, se rejetant sur le dossier du canapé, m’abandonna ses caresses, ses yeux brûlant ma queue gonflée, que ma main massait lentement sans pudeur, sans vergogne. Je sentais les effluves de son plaisir, rejoignant le mien, je calquais mes ondulations sur celles de sa main, qui variait son rythme. Son souffle me guidait, mon regard se promenait de son visage à son sexe qu’elle avait libéré de son string rose pâle, écarté sur le côté, et je pouvais entendre les gémissements de sa fente mouillée et luisante; je sentais bouillir mon sang et je priais pour ne pas jouir avant elle.
Sa cadence s’accéléra, elle fermait parfois les yeux, elle se lâchait, surveillant parfois ma progression. Je grognais quelquefois, je lui exprimais mon désir, elle caressait ses seins gonflés sous son chemisier, elle décida de presser et de masser ses globes à travers le tissu, cela m’affola et elle s’en aperçut, alors elle planta de nouveau son regard dans le mien; hypnotisé, je la sentis à peine jouir, son corps agité par un tremblement terrible, une plainte arrachée à sa gorge, une secousse et un jet chaud dans sa main, sur ses doigts ruisselants, son poignet s’agita encore, faisant tinter ses bracelets dans cet immense silence, et elle comprit avant moi que j’arrivais au bout de mon plaisir…
Je me sentis brusquement paralysé, une crampe me terrassa, une chaleur intense irradia mon ventre, s’ouvrit un passage dans mon sexe, et allait s’échapper de mon corps.
Elle, je la vis à peine glisser vers moi, elle s’était levée, robe ouverte, respiration haletante, tasse de café à la main, sa main remplaça la mienne, quelques mouvements de va et viens.. Un râle dans mon orgasme, et elle me rejoignit avec un petit cri, mon jus s’échappa, elle guida mon gland et son café reçut ma crème chaude…
Dans mon regard bouillant je la voyais agenouillée devant moi, son bras appuyé sur ma cuisse, elle porta sa tasse à ses lèvres, et je la vis boire le contenu, ses yeux me parlaient, je ne sus que lui dire « Avale tout"… Sa voix rocailleuse et chaude me répondit "J’ai tout avalé, jusqu’à la dernière goutte"…
Sa langue passa sur ses lèvres avec une lenteur mordante, je sentais ses parfums et ses senteurs de femelle m’envahir, je ressentis un dernier soubresaut, sans savoir s’il venait d’elle ou de moi, peut-être même de nous deux.
Elle se releva, se retourna pour poser sa tasse, fit un pas en avant, remis en place ses vêtements que la tornade avait malmenés, le temps que je me redresse, que je me lève, elle s’était rajustée, elle prit son sac en bandoulière, rajusta ses lunettes sur ses yeux, se retourna.
« Au revoir, monsieur »….
Je n’avais pas encore rhabillé qu’elle avait disparu, me laissant seul avec l’odeur de notre plaisir.
Déjà elle me manquait.
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Par : Hedgehog
"Clac", le bruit de la porte qui se ferme me sort de mes pensées ...
Elle est partie, elle est partie et je me retrouve seul à la merci de Mélinda et de ses désirs ... Normalement, elle devait m'obéir ! Je ne comprends pas ... Non, ça ne va pas se passer comme ça, je vais lui montr...
"Déshabille toi" me dit Mélinda d'une voix ferme et sûre.
Je reste interdit ...
"Déshabille toi !, dit-elle encore plus fermement cette fois, à tel point que j'en suis impressionné, je ne l'imaginais pas ainsi ...
"Ne me le fais pas répéter une seconde fois ..., dans ton intérêt, je te le déconseille ..." me dit-elle ensuite ... Et je sens dans sa voix combien elle prend plaisir à cette éventualité ...
Je m'exécute alors, plutôt inquiet de ce qu'il pourrait m'arriver ...
Elle sourit ...
Quel délicieux sourire ...
Je l'observe sourire tout en retirant ma chemise et mes chaussures ..., j'hésite un peu en mettant mes mains sur ma ceinture ...
"Aller, retire tout" me dit elle en me transperçant de ses yeux plein de ... plein de quoi d'ailleurs ?
On dirait comme du désir et de l'envie mélangés..., mais pas tant de bientôt voir mon corps nu que plutôt de me regarder détacher ma ceinture puis déboutonner mon pantalon ... On dirait qu'elle se réjouit de me voir lui obéir pas à pas, sans résister ...
Mais je vais résister !! Je m'arrête avant le dernier bouton ...
Son regard se durcit ...
Je m'empresse de retirer ce dernier bouton et de descendre mon pantalon jusqu'à mes chevilles ...
Je le retire, je retire mes chaussettes, me voilà à une seule pièce de la nudité complète ... Il m'est difficile de cacher le désir que sa tenue du soir et de nos discussions passées éveillent en moi ... Son regard effleure cette partie de mon anatomie puis revient croiser durement le mien pour menacer ma nouvelle hésitation ...
Je retire mon boxer et me redresse complètement nu face à elle ..., je cherchant bêtement à faire quelque chose de mes mains ..., je les place plus ou moins devant mon sexe pour essayer de cacher cette érection qui tout d'un coup me gêne un peu...
Son regard à nouveau m'en dissuade ...
Je laisse mes mains et mes bras pendre le long de mon corps.
Elle me détaille des pieds à la tête...
Le temps s'étire ...
Mon érection s'obstine à ne pas faiblir ..., je ne comprends pas ...ou alors, peut être que j'aime être ainsi à nu face à ma Mélinda ..., en même temps, j'en avais tant rêvé ...
Je n'ose plus bouger ...
"Viens par ici" me dit elle.
Sa voix reste ferme ...
J'obéis à nouveau.
Tiens, voici quelques habits, ils devraient t'aller, enfile moi ça puis rejoins moi dans le salon.
Je regarde interdit les habits ...
Bon sang ..., j'en étais certain ...
"Attends Méli, je ne vais quand mêm..."
"Silence !"
" Je t'ai donné un ordre, tu obéis, un point c'est tout. Nous avons déjà parlé de ça pendant des heures au téléphone. Tu rigolais, tu disais que tu rêvais de me satisfaire et de me donner du plaisir... Et bien il est temps. Je veux le plaisir que tu m'as promis. Habille toi maintenant et vite, tu as beaucoup de choses à faire..."
Méli quitte la pièce pendant que je me rappelle cette conversations, ou devrais- je dire, "ces conversations", lors desquelles j'ai effectivement annoncé cela en le pensant sincèrement ...
Mais bon sang, je n'avais pas imaginé ça comme ça !
Je suis seul dans la salle de bain où elle m'a amené, je regarde les habits ..., puis je regarde la porte par laquelle elle est sortie...
Je soupire alors avant de me décider à prendre les bas et à les enfiler ...,
"Franchement, j'ai l'air malin tiens ..."
Je passe la jupe ..., elle est à ma taille ..., quelle idée de lui avoir donné mes mensurations ... tout me va ..., j'enfile le chemisier avec son décolleté ...
Pourquoi ne suis-je pas surpris qu'il n'y ait pas de culotte ...?
En même temps, c'est sûrement pour lui permettre de glisser sa main sous ma jupe, hum, je sens que ça va me plaire ça !
Les chaussures maintenant ..., un faible espoir ..., non, j'arrive à rentrer dans ces chaussures à talon ..., heureusement qu'ils ne sont pas hauts ...
Bon sang, j'avais parlé de ça pour rire !
Je ne pensais pas me retrouver ainsi !
"Viens !" dit sa voix impatiente ...
Je me dépêche d'ajuster cette longue perruque rousse , d'enfiler mes gants noirs et me voilà qui sort pour la rejoindre, l'air complètement ridicule, habillé en soubrette de la tête aux pieds ... et à deux doigts de me tordre les chevilles, tout en bénissant Méli d'avoir pris des talons bas ...
Elle me regarde à nouveau, s'approche de moi puis ajuste quelques petites choses par ci par là ...
Elle se recule un peu et sourit d'un air satisfait.
"Voilà, tu es très bien, enfin à ta place."
"Ecoute, lui dis-je, voilà, c'est amusant mais francheme..."
"Décidément, c'est vrai que tu es long à la détente...", me dit elle de sa voix si ferme. "Le weekend commence à peine ... et tu vas m'obéir pendant toute sa durée ..., et crois moi sur parole, je te ferais obéir aux moindres désirs dont nous avions parlé, que tu acceptes à ma première demande ou que tu ais besoin de motivation supplémentaires pour le faire ..., dit elle en indiquant de la main une petite table dans le coin du salon.
J'allais lui répondre quand la vue de cette table me coupa toute envie de dire le moindre mot ... Il y avait là des menottes, une cravache, un ou deux petits godes et d'autres objets qui échappèrent totalement à mon cerveau après que j'ai vu le gode ceinture posé lui aussi sur cette table ...
Tandis que mes yeux restaient fixés sur lui, la voix de Mélinda raisonna dans ma tête :
"Hé ! Je te parle, ne me fais pas répéter une fois de plus !"
"Pardon Mélinda, dis je d'une voix toute tremblante, je suis désolé, pardonne moi, je n'ai pas entendu ... je ..., j'ai pensais à autre chose ..., je ne voulais pas désobéir, excuse moi, pardon ... s'il te plaît, redis moi ce que tu m'as demandé et je le ferais tout de suite !"
Elle sourit ..., son regard s'est porté sur la table puis sur moi, et son sourire semble rempli d'une incroyable satisfaction ...
Bon sang, c'est certain, quoi qu'elle me demande, je le ferais, le gode ceinture, c'est bon pour mes fantasmes hein, je ne tiens pas à le tester ...
Je la regarde alors, désormais près à obéir à ses moindres demandes tandis que je regrette maintenant qu'elle ne m'ait pas donné de culotte ...comme si ce petit bout de tissus pouvait me protéger ...
Mais quand j'entends à nouveau sa voix, je suis pris d'un léger frémissement d'inquiétude teinté d'une folle envie de ne pas la décevoir ...
"Bien, maintenant que les choses sont claires voilà ce que tu vas faire..." me dit, toute souriante, Mélinda ...
Et ma peau frissonne soudain d'une tenace d'angoisse à l'énoncé de mes futures tâches et de ses si nombreux désirs ...
Bon sang !! Le weekend commence à peine !!
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Par : Brune et ronde
ECRIS EN UN
Je suis fatiguée, mes yeux se ferment mon esprit divague…
La marque, les marques en parallèle sur mes seins me ramènent a cette chambre d’hôtel…comme se remémorer un rêve, on ne sait plus ce qui est réel, l’ordre exact des choses, seul le ressenti est sur…
Stries violettes, sur mes vergetures, quelques points plus bleus, baignant maintenant dans un océan doré… au milieu de ma peau laiteuse…oui longtemps je m'en souviendrai, et pourtant pas, peu de douleur, je revois le geste, le mouvement de la main je ne ressent pas le coup !?
Je ne sais plus si j'ai bougé, si mon corps a vacillé.. Il n'a pas du y aller de main morte ! Mais jamais je n’aurais pensé marquer a ce point, lui non plus je pense…sa réaction le laisse penser…
Je regarde ma poitrine et repense a cette journée
Le stress, le trac, l'envie…
Le cœur qui bat la chamade a la sortie du métro, et ce trajet en voiture ou j’essaie de faire comme si de rien n’était…voit il que je panique presque ?...cet hotel introuvable…la réception, ou je passe en plein écran…je m’ecarte le laisse gérer, il semble si a l'aise, si sur de lui…j’aime ça
L’ascenseur, les portes se referment, enlève ton soutien gorge ! Ca cingle a mes oreilles ! Entre le stress, la brutalité du ton, mon énorme sac a main, je patine, je m'emmele les mains sur ces maudites attaches !! Dépêche toi ! La porte s'ouvre…de toute façons tu ne rentreras pas dans la chambre avec ! Il prend mon sac que j'avais posé pour essayer de me depatouiller de ce p….. ! De soutif, je le suis, dans le couloir une femme de ménage est sur le seuil d'une porte et mes mains enfin degrafent l'attache…j'entend du bruit derrière moi alors que je fais passer la bretelle gauche sous ma robe…elles sont deux !! Si la première n'a rien vu je ne jugerais pas pour la deuxième…mais je continu…je récupère cet incombant bout de tissus, 105D, ça ne tient pas au creux d'une main !! Je rougis, mais je souris…
Entrée dans la chambre.. Mon cœur bat vite…je pose mon soutien gorge sur la table, il me dit de me déshabiller, le ton est pressé, pressant, un peu brut, me déstabilise…j’ai l’impression d’être pataude, de mettre toujours trop de temps a réagir, il redemande, il insiste, je ne vais pas assez vite…il veut que j’enlève mon rouge a lèvre ! Surprise je me rend vers l’évier je frotte avec mes mains avec un peu d'eau, il en reste il attrape une serviette et me décape la bouche avec en demandant sur un ton dur et presque méprisant c’était nettoyé ça ? T'avait tout enlevé ? Plusieurs fois, maculant cette serviette, je balbutie...je n'avais pas osé salir une serviette je me maudis tout en m'excusant.
Est-ce a ce moment que je me retrouve a ses pieds ?
Non je crois qu'il y a eu les pinces avant, ces pinces a linge qu'il m'avait dit d’emmener et qu'encore une fois j'ai mis un temps fou a trouver quand il me les a demandé…encore une fois je me suis sentie gourde… excitation ou art de les poser, je n’ai pas eu très mal quand il les a mises..
Et me voilà a genou devant lui, empruntée encore une fois, pas sure de ce qu’il attend…
Je défais sa ceinture, son pantalon…il baisse lui-même son caleçon libérant ce sexe déjà un peu dur que j’attends.
Je l’appréhende avec ma langue ma bouche, je ferme les yeux et me concentre juste sur cette queue..
Après, après.. Ce n'est pas clair, j'ai des flashs, qui font palpiter mon ventre et mon cœur en y repensant…
La première claque sur mes fesses, déjà forte, et puis d'autres et cette sensation dans mon sexe qui réagi, face au miroir ou je n'ose regarder…j’essaie de ne pas crier, de me contenir, nous en avions parlé, je ne veux pas qu'il croit que je n’apprécie pas, que je suis une chochotte…pour autant parfois je trouve ça un peu fort, mais il demande…si ça va, si petite salope était bien venue pour ça…et je dis oui…oui maitre, ce « maitre » qui a parfois encore du mal a sortir…
A un moment il me fais regarder mon cul dans le miroir, demande si c'est assez rouge, c'est plutôt rose, mais certaines claques ont été fortes…alors je dit que je crois que c'est suffisant pour aujourd’hui, un peu plus aurait peut-être été, mais je ne veux pas l’interrompre au bout de deux claques en ayant dit qu'on continuait…je ne sais pas s'il apprécie ma réponse mais j'ai l’impression que son regard sonde le fond de mon âme.
Sommes nous passé par le lit avant la séance des seins ? Est-ce après ? Il y a eu plusieurs passages…
Sa queue entre mes seins, entre mes lèvres, au plus profond de ma bouche, de ma gorge, parfois un haut le cœur, les larmes aux yeux…
Flash ! Il tire sur mes tétons, pince fort, les tirent vers le bas, très fort, douloureux et il me pose une question, quelle questions ? Je n'arrive pas a répondre, ça va trop vite….et il tire de plus belle répétant inlassablement sa question…arretez s'il vous plait ! Et il s’arrête…m’attire sur son épaule, me laisse reprendre souffle et esprits, ce n’est pas le signal de fin, mais il a compris qu'il devait moduler un peu pour continuer…
Autre flash, ce geste incontrôlé de sa part…il n'a pas touché mon visage, je ne crois pas je n'ai pas senti, il s'est arrêté lui-même…s’excuse, me câline pour se faire pardonner ma surprise et ma peur, s'assure que je suis bien, que nous pouvons reprendre…
La séance des mamelles.. J'ai parfois reçu quelques claques, m'en suis mises aussi…mais plus sur la face du sein, le téton ou sur l’intérieur, lui avec de grands gestes sur l’extérieur de mes mamelles pendantes me donne un nouveau plaisir… c'est fort je le sens mais moins saillant que sur les fesses…mon antre coule, je crois que je souris…
Pourtant nous ne recommencerons pas, quelques temps après il regarde l'effet…c’est déjà piqué de trace violettes et bleues, peau trop vascularisée dit il, on ne le refera pas…je regarde, ha oui quand même !! Moi qui ne voulait pas de traces visibles…il me câline un peu, me dit qu'il va me donner ce qu’il faut pour soigner au mieux…
Son regard, son regard quand il me dit de me faire jouir.. Il dit de ne pas fermer les yeux, j'ose le regarder, laisser aller mon corps ma respiration…
Ce sont ses mains que je voudrais, sa queue, sa bouche s'il le souhaite, mais dame nature a gâter un peu notre premier moment…
Et puis ce regret, de ne pas avoir pu m'offrir totalement, lui donner accès à tout, j'en aurais pleuré ! Je me dis après que j’aurais du faire ceci ou cela, telle position….je voulais m'offrir sans réserve…
Une prochaine fois a-t-on dit, oui une prochaine fois être a lui sans réserve, totalement le laisser jouir de tous mes trous, de mon corps…encore sa bouche sur mes seins, ses mains qui serrent qui palpent qui prennent, une pression sur mes joues ma gorge, caresse ou prise en main ferme de mes cheveux…
Mon cœur s'emballe en y pensant, ma respiration s’accélère…
Il demande ou je veux, je dis ma bouche, moins de risques de salissure et surtout, surtout je veux connaitre son goût, vraiment, ardemment, au fond de ma gorge se répand ce miel amer…mon ventre brûle de sa jouissance.. Ne rien perdre, en douceur…
Il m'attire contre lui je me niche dans son épaule, cherchant a respirer son odeur, sa peau, il comprend mon besoin, ouvre grand sa chemise, je Hume et m'enivre
Il me parle me demande comment je vais, je suis bien !
Nous regardons les stigmates sur mes seins, il s'assure que je n'ai pas mal, après il fera un arrêt a la pharmacie pour moi…
Je me rafraîchi au lavabo, rince ma bouche, mais pas ma gorge, je veux garder un peu ce goût, je sais que l'amertume ressortira avec la première bouffée de cigarette…humm
Nous sortons de la chambre, moi un peu ailleurs, je crois qu'on a croiser quelqu'un a l’ascenseur…
Il me ramène s'assure que j'ai compris la posologie pour mes marques, badine un peu avec moi, me fait redescendre doucement…
Me dépose au métro, pile l'heure de l'appel a l'amie qui me sert de sécurité...pour elle ce ne sont que des rencontres d'une néo célibataire, sa première phrase, ça va petite cochonne ? Si tu savais ma chérie !! Oui ça va, petite cochonne, petite salope, petite soumise ravie, sur un petit nuage…
Nous avons beaucoup échangé depuis, il me dit qu'il aimerait un texte sur notre première séance, et puis il écrit : ECRIS EN UN
Oui mon maitre, puisque depuis je vous reconnait comme tel…
Le voici, peut-être un peu long, confus, mais preuve de mon don, pour mon dom
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Par : Lady Spencer
J'ai parfois beaucoup de mal à revenir à la "vie normale" après une soirée ou un we de pratiques BDSM
Ce que j'entends par vie normale, c'est la vie quotidienne, avec des activités professionnelles, des relations "normales", les gestes de la vie de tous les jours .
Sortir le chien et la poubelle, en balancer dans le container vert et essuyer les pattes de l'autre en rentrant
En espérant ne pas s'être planté dans la suite logique des évènements
Donc, ne plus faire la vaisselle nu-e sous le tablier bleu et blanc (fort seyant d'ailleurs...sourire), ne plus graisser les fouets après le déjeuner, de plus claquer de fesses qui n'attendent que cela, et ne plus parler librement du dernier clito vibrant sous les doigts !
Entre autres sujets de conversation, bien sûr !
Pas simple, de revenir dans sa peau de Madame Tout le Monde, avec ses tracas et ses joies et de trouver cela, de nouveau, normal !
Parce que, moi, j'aime bien vivre l'intensité des retrouvailles,de nouvelles rencontres, des échanges passionnés sur la domination, la soumission, et tout ce qui tourne autour
Les "pourquoi ", les "comment" les "waouhhh", les " oh non, ça, c'est trop pour moi" ....
Et surtout cette pleine et entière liberté de parler de nos désirs, de nos fantasmes, de ces jardins secrets, de toutes les raisons qui nous conduisent à vivre différemment notre sexualité notamment sans honte ni gêne
Ou avec gêne d'ailleurs lorsque les soumis-ses avouent leurs préférences et leurs difficultés en aimant tels actes ou telles approches : ça, j'adore !!! (sourire)
Pas simple de ne pas réagir en entendant ses collègues de travail évoquer un tatouage par ex, "mal placé" ou un piercing de mamelon qui les font dire : "mais, y faut être vraiment cintrés pour se faire abimer comme ça !!! Cintrés et vicieux ! "
Je me suis déjà laissée aller à commenter un geste ou une attitude "banale" en jouant sur une situation : un technicien par exemple, se mettant à genoux pour démonter une roue de fauteuil roulant, et qui, croyant impressionner tout le monde, me dit : "ne vous habituez pas à ce que je le fasse à chaque fois "
"Et pourtant, cette position vous convient parfaitement" ai-je répondu en souriant
Donc, pas simple de reprendre sa "place" lambda dans la vie, sans tout voir via le prisme BDSM : en tous cas, pour moi, ce n'est pas toujours simple
Et vous, comment vivez-vous ces moments de retour sur terre ?
Vous avez des astuces, des trucs facilitants ?
Vous avez vécu des situations ambigues parfois ?
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Par : slanesch
Je me lève d'humeur ronchonne. j'avale mon verre d'eau ,et ouvre le volet de la fenêtre de ma chambre.
Le ciel radieu de cette belle matinée de printemps,atténue un peu mon humeur. C'est donc avec un léger sourire au lèvre que je descend vêtu d'un unique boxer, pour prendre mon petit déjeuner sur la terrasse.
je descend les escaliers. Me sert un bolle de céréal et sort à l'extérieur pour aller m’installer.
Là quel n’est pas ma surprise de trouver ma coloc sophie étendue sur un transate, vêtue de son petit bikini à rayure blanche et rose.
Je ne vous aie pas encore décris ma coloc sophie. C'est une jeune fille de taille moyenne.
elle doit faire au alentour d'un mètre 65. ces cheveux sont blonds, sa silhouette est fine, et ses sein ont une jolie forme.
Elle possède aussi un joli sourire qui illumine un visage ou la joie de vivre se lit très souvent. Mais son atout majeur reste son postérieur.
Elle possède un cul magnifique. De belles petites fesses bien fermes.
La voyant se dorer au soleil les yeux fermé, je lui signale ma présence en l'interpelant.
-” Et bien alors tombée du lit!? qu'es que tu fais debout à cette heure ?”
Elle ouvre les yeux, me fait un petit sourire en voyant que c'est moi et me répond.
-“Les autres en partant mon réveillée et impossible de me rendormir.”
Elle jette un regard a mon bol de céréales: -” Ah c'est une bonne idée ça, va me chercher un verre de jus d'orange!”
je lui rétorque qu'elle est une grande fille et qu'elle peut se lever.
A cette instant, elle m'envoie d'un ton ferme - “ta gueule salope va me chercher un verre de jus d'orange!”
Je ne vous l’aie pas encore dit, mais sophie et moi sommes très complice.Je lui aie donc parlé de mes penchants pour la soumission.
Loin de trouver cela bizarre, elle s'est montrée très curieuses. Petit à petit au fil de nos conversations, je lui aie fait un peu découvrir cette univers nouveau pour elle. Elle y a vite pris goût.
De temps en temps comme ce matin, quand nous sommes seul tout les deux elle s'amuse à prendre un ton supérieur et à me donner des ordres. Elles les ponctue généralement d'un "salope". Sachant que cela me trouble énormément, et que je vais finir par céder en lui obéissant.
Ce matin n'étant qu'en pijama et sentant une érection naissante qui ne tarderai pas à faire gonfler mon boxer, je ne résiste pas longtemps.
je lui répond : -” oui sophie.”
Elle me fait un petit sourire complice et entendu avant que je file à la cuisine lui chercher son verre.
J'espérais que le temps de lui préparer mes pulsions se seraient calmées mais c'est plutôt l'inverse qui se produit. Ma queue ne fait que grossir dans mon boxer.
En revenant je ne pourrait pas nier que la situation m'excite.
C'est donc très gêné et le boxer prêt à exploser que je réapparaît devant elle.
J'essaye de ne pas me démonter et je rentre dans mon rôle. Je m'agenouille devant elle en lui tendant le verre. -“S'il te plait sofie.”
Elle prend le verre de mes mains, et me dit de me relever.
Je m'exécute. Elle regarde donc la bosse dans mon boxer et ensuite lève ses yeux sur moi.
“Ca t'excite vraiment de te faire traiter de salope?” me dit elle toujours l'aire amusée.
-”oui ça réveille la salope mâle qui est en moi lui répond je géné.”
prononcer ces mots me trouble, mais cela m'excite aussi énormément.
“Nous avons trois jours à passer tout les deux.” Dit elle.-”nos autres colocataires ne rentrent pas avant mardi, et je veux que tu sois mon soumis,cela te tente?
en la regardant dans les yeux, je lui répond -”oui.” D’une voix un peu timide.
Plusieur fois tu m'as dit que si je continuais de te chauffer, tu allais me supplier de te dominer comme une salôpe mâle déclare t'elle.
“J'ai envie de voir cela. Alors, fou toi à poil et offre moi ta soumission!”
Dit t elle d'un ton neutre toujours allongée sur son transate avec son verre de jus d'orange à la main.
Je la regarde. J'ai un peu peur, avant de m'exécuter, mais les mains tremblantes j'enlève mon boxer. à peine libérer ma queue bandée se dresse droite et dur, d'une de ses érections ou la queue est très sensible. Quand celui ci finit sur mes cheville, j'entend sophie avoir un petit gloussement et je vois son regard posé sur ma queue raide.
elle me dit - “Belle bite. Cela va être un plaisir d'en user et abuser.”
Son regard remonte sur le mien avant de déclarer. -”Cela te vas bien belle bite! Ce sera ton petit nom de soumis. Allez supplie moi maintenant belle bite !
Un peu gêné et le coeur battant, mais sous son emprise je me met a quatre pattes maintenant nu comme un verre sur la terrasse de la maison jambes écartées et face contre terre au pied du transate où sophie est affalée,elle vêtue de son petit bikini.
Je mes met à l'implorer t elle une déesse,
- “Je vous supplie sophie de me dominer.Je vous offre ma soumission. Je vous implore de faire de moi votre chose, je serai votre chien , votre esclave votre sex toy et votre petite pute mâle.Ma queue ma bouche et mon cul sont a vous! ”
ton cul et a moi s'esclaffe t elle. -” Alors pourquoi n'est il pas tourné vers moi “!?
Dans la seconde je me retourne face contre terre et derrière bien haut pour lui présenter mes fesses...
Quand j'y pense je devrai avoir honte. Mais au contraire sous l'excitation, j'y prend un plaisir perver.
Elle pousse un petit gloussement avant de déclarer-” Tu sais que je vais te le dépuceler ton cul n'est ce pas? Que je vais te baiser, que ca m'excite grave !dit le que tu le sait me crie t elle.”
Face contre terre, je lui dit oui sophie je le sais .-” Tu sais quoi? ” rétorque t elle. Je sais que tu va me baiser le cul...
-C'est bien belle bite. Maintenant met toi à genou jambes et bouche ouvertes ,mains derrière la tête...
Je m'exécute, totalement excité par la situation et bien décidé à essayer d'obéir à tous ses désirs...
-”Allez cambre toi un peu ma salope fait ressortir ton cul belle bite!!
Me voilà en train de bomber les fesses. Nu comme celà je sent le souffle de l'aire sur mes parties génital et le soleil sur des surfaces de ma peau qui n'en ont pas l'habitude. Cela me procure encore plus de plaisir...
Sofie daigne enfin se lever de son transate. Elle marche autour de moi fait le tour de mon corps en ricanant. Au passage elle me tapote les fesses. ce qui me surprend. je laisse échapper un petit cri de surprise.
Elle me tire alors les cheveux en arrière et me gifle la joue.
Ce n'est pa encore le moment de couiner belle bite s'exclame t elle.
Elle revient devant moi, regarde mes parties génitales et me dit: - “Il va falloir dépoiler tout cela mon cochon!”
Elle se dirige ensuite vers la table de la terrasse où ce trouve une grande boite que je n'avais pas encore remarquée.
Je me demande bien toute les choses qu'elle contient.
Elle en sort un rasoir et de la mousse à raser... elle me les jettes devant moi et elle me dit : - “Allez dépoile toi, je ne veux plus un poil sur tes couilles et ta queu dépeche toi.”
Et elle se rassoit sur le bord du transate, m'observent me raser les parties génitals avec précaution.
Quand je fini elle me dit de me remettre en position, les mains derrière la tête et m'asperge au jet d'eau pour me rincer. L'eau froide me coupe la respiration mais je tien la position. Elle rigole
“C'est bien belle bite allez maintenant remet toi en position face contre terre et cul en bombe comme tout à l'heure quand tu me l'as offert.
je m'exécute.Elle trouve que mes jambe ne sont pas assez ouvertes, et m'ordonne de les ouvrir plus :- “allez petite pute écarte tes jambes…”
Je ne la voit pas mais je l'entend se lever. J'ai un peu peur mais je l'entend le bruit de la bombe de mousse à raser. Puis ensuite en sent sur mon anus et le creux de mes fesses...
Elle pose une main sur l'une de mes fesses et je sent le rasoir commencer à passer sur ma peau.
-”Chut n'aie pas peur belle bite, je ne vais pas te faire mal.” Me chuchote t elle tendrement en me rasant.
- “je te prépare juste le cul pour son dépucelage n'aie pas peur.”
Tout en finissant de me raser elle me caresse les couilles doucement: “ Ca te plait tout ça hein ma petite pute? tu aimes être ma chose...
humm oui dis je en gémissant, j'adore cela sofie.
tu adores quoi mon soumis ?
-J'adore être ta petite pute ta chose sofie.
Elle rigole et me dit que je suis complètement givré.
“Mais moi aussi je commence à kiffer cela belle bite.” M'avoue t elle.
Quand elle finit par être satisfaite de mon “dépoilage” elle se redresse en me donnant une petite tape sur le cul.
Ne bouge pas belle bite...
La voilà qui se remet à me nettoyer au jet d'eau.
Ensuite elle me laisse comme cela et va se réalonger dans le transate.
- “Retourne toi” belle bite me dit elle.
elle me lance alor un flacon de gel douche au visage...
-” Allez lave toi! Fait mousser le savon et fait la salope. J'ai envie de me divertir.” M'annonce t'elle.
A ce moment la je n'aie plus aucune gène ou inhibition, me voilà faisant mousser le savon sur ma peau,
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Par : maitregold
Il était tard ce soir du 10 mai et sur le parking où nous nous quittâmes, déjà pointé comme une envie de se revoir..
Pas de suite ...non... la dictature des agendas n'en laissaient assurément pas le moindre espoir.
Heureuse et reconnaissante de pouvoir vivre ces instants si particuliers, je vous laissais un texto quelques jours plus tard afin de vous convier à un diner après la mi juin.
En attendant la vie avait repris son quotidien.
Le souvenir sensuel de nos derniers jeux m'accompagnait parfois lorsque je m’évadais en me caressant.Me revenait également en mémoire votre dernière proposition : celle de vous en maitre de cérémonie veillant sur votre soumise alors que je me ferais saillir par différents mâles. Je dois bien vous avouer que celle ci a le don de me faire encore un peu plus fantasmer. Evidemment comme toute chose nouvelle j'appréhende ce moment où vous me proposerez cette expérience. En attendant dans ma fantasmagorie cela tend à rendre la chose plus excitante encore.
En attendant les jours se succédaient presque égaux à eux mêmes.
Et puis un jour de semaine, un mardi, contre toute attente vers 16h un texto :
- « Voilà une proposition qui devrait vous plaire : Rdv ce soir vers 22h30 / 23 h devant la mairie du 17ème, lavement fait, collier et escarpins. J'attends votre réponse... »
puis :
- « Vous allez avoir du mal à vous concentrer pour cette fin de journée »
A la lecture de ce premier sms j'avoue n'avoir pas bien compris et il me fallut plusieurs lectures, être vraiment sûre de bien lire et de comprendre la signification de ce message avant de réaliser et de pouvoir vous répondre.
Comme par un fait exprès un cours ce soir là au conservatoire était annulé, et un ami qui revenait de province avait émis l'hypothèse de nous retrouver autour d’une table d'un restaurant.
Je déclinais son invitation et décidais de vous rejoindre, mon envie de vous fut plus pressante :
- « Bonjour cher maitre Gold, je serais au rendez vous ce soir »
et de rajouter :
- « En effet, votre proposition est tout à fait indécente et toute aussi excitante... à ce soir donc »
La surprise de votre proposition eut un effet immédiat et conformément à ce que vous prédisiez dans votre deuxième texto la fin de l'après midi fut plus laborieuse et cela se concrétisa par une moiteur qui déjà avait pris possession de mon intimité.
Vous étiez alors ravi de me savoir doucement excitée.
La douche prise, le lavement fait, le collier et les escarpins rangés au fond du sac, je programmais le GPS et pris la route. La circulation ne fut pas trop dense ce soir là et j' arrivais en avance au rendez vous.
Alors que je vous attendais un homme d'une trentaine d'années m'interpellais tandis qu'il me croisait :
- « Vous êtes très belle mademoiselle... »
Plutôt flatteur pour une femme de 50 ans et de rajouter sitôt que je l’eus remercié pour son compliment :
- « je peux vous parler ? » là je dû l'éconduire poliment.
Vous arriviez peu de temps après ..et je fus heureuse de vous voir...
Évidemment le lieu je le connaissais... mais c'est toujours un réel plaisir de vous sentir près de moi...j'aime votre proximité.. votre façon d'être à moi pour ces instants là...
Point de bandeau cette fois là. Il m'a été permis de cheminer là où vous portiez mes pas pour mon initiation...je devais donc découvrir certaines salles...
Plus que la surprise de cette soirée ce que j’allais alors vivre aller me marquer.
Tout commença alors que nous étions en train de nous déshabiller. Je n'avais pas encore complètement revêtue ma chère tenue de soumise, c'est-à-dire... nue ! quand la sonnerie de la porte d’entrée du club retentit.
Nous étions jusqu'alors seuls dans ce club et un homme venait de nous y rejoindre.
Des salutations de courtoisie passées, nous nous dirigions vers nos premiers jeux... toujours la croix de St André, comme un rituel, mais cette fois vous m'attachiez les chevilles. J'étais impatiente de sentir une nouvelle fois vos caresses... vos mains reprenant possession de mes tétons déjà tendus par ce plaisir à venir...et ce moment si particulier où votre soumise Alphée renait et vous abandonne son corps ... ma récompense à cette attente et une amorce pour les jouissances à venir...
Vous m'aviez prévenu et vous aviez raison .. sans le bandeau les sensations sont différentes. Je fermais les yeux et tentais de lâcher prise, d'oublier le monde du dehors. Installée sur cette croix les yeux fermés,tandis que vos doigts caressaient mon clitoris, je percevais le grincement des pas de cet autre homme sur le parquet il nous avait rejoint et il se voulait discret. Sans doute vous regardait t'il, il me semblait qu'il allait et venait.
Premiers émois, premiers plaisirs timide...et mes pieds entravés commençaient à fatiguer.
Deuxième mobilier, une sorte de cheval d'arçon sur lequel vous m'installiez. Une jambe de chaque coté de ses flancs et une ceinture qui me plaque sur son dos. Les mains quand à elles ont gardé toute leur liberté et par souci de confort personnel je décidais de les croiser sous ma tête. Les yeux toujours clos, je tentais de faire abstraction de cet autre que je savais là .... je voulais profiter un maximum de cet instant précieux avec vous, lâcher prise et jouir pour vous, pour nous.
La croupe bien offerte et lubrifiée vous me doigtiez largement, la chatte...le cul ! Oh oui je devais assurément mouiller ...Quelques fessées en prémisse histoire de me mettre en appétit puis bientôt les lanières d'un martinet qui rebondissaient sur mes reins.
D’abord doux puis allant crescendo au fur et à mesure que vous changiez d'instrument, les morsures devenaient plus forte presque à la manière d'une lanière d'un fouet. La douleur est l'amie du plaisir je le sais. Il me faut transcender cette douleur apprendre à la transformer en un plaisir et vous vous en assuriez..en ce domaine le chemin est à peine parcouru.
C'est alors, que surprise par une douleur plus vive, je portais mes mains sur mon dos. Vous me demandiez de les retirer... je les ôtais timidement et c'est alors que cet autre homme se joignit à nous. Il s'approcha de moi et d'un geste doux et assuré me retint mes mains tandis que le martinet avait repris le chemin de mes fesses. A cet instant précis j'eus la sensation que nous étions uni par un seul et unique but...le plaisir...le mien mais aussi le votre et le sien. Il les retira, mais un instant plus tard il recommença, toujours avec cette même bienveillance et cette même douceur.
Afin de le faire participer encore un peu plus à nos jeux, et à votre demande j'imagine, ses mains vinrent claquer, sur mes fesses puis les caresser pour de nouveau les claquer. Quelques instant plus tard il s'emparait de votre martinet et se mit à en jouer habilement. A des morsures plus vive se succédaient des lanières caressantes.
Dans l’entre fait vous aviez pris sa place et c'était maintenant vos mains que je serrais. Il semblait avoir lui aussi une certaine expérience en ce domaine.
Un jeu à 4 mains inattendu unique et précieux, un instant vraiment hors du temps, où sans nous connaître nous étions habité par le plaisir et la bienveillance .. merci maitre de m'avoir permis de connaître un tel moment.
Cet homme devait alors nous laissait mais nous devions le retrouver un peu plus tard dans la soirée.
Nous reprenions nos jeux et insatisfait de n'avoir pu obtenir une jouissance aussi forte que vous l'auriez voulu, vous m’installiez sur un lit les jambes bien écartées afin de pouvoir mieux profiter de ma chatte... vos caresses furent alors un vrai régal. J'ai toujours ce regret de ne pouvoir ou de ne pas encore savoir me lâcher si facilement malgré vos doigts ou votre langue si experte. Je m'en excuse cher maitre.
Un escalier plus bas nous nous retrouvions dans ce lounge si harmonieusement décoré... de belles statues... un canapé et des fauteuils dans le plus pur style BDSM. Le souvenir de notre dernière soirée passée en ce lieu me revint en mémoire.. notamment le souvenir de cet exécrable maitre qui tentait un exercice de bondage avec sa soumise pour qui le respect ne semblait pas transpirer.
Je vous suivais alors....vous teniez la laisse de votre soumise Alphée.
Nous retrouvions cet autre homme adossé au comptoir et devant le miroir où vous m’aviez installé il nous rejoignait. Vous vous teniez derrière moi tandis qu'il se tint debout devant moi .
Il se saisit de bâtons et comme pour une tenaille il enserra mes seins.. je voyais la peau de mes seins rougir. Je résistais un petit moment surprise par son initiative mais la douleur se fit plus forte et il déposa ses instruments... première expérience de bondage... peut être... je ne sais pas vraiment.
Cet exercice passé vous m'emmeniez alors vers la pièce du fond, celle où je me souvenais avoir pour la première fois goutée à une femme. Cette soumise si douce de ce maitre si minable .
Je pris place sur ce sling, les jambes et les mains fixées sur ces chaines, je fus une nouvelle fois exposée, ouverte, offerte au regard et plus encore... ma condition de soumise était de nouveau clairement énoncée et j'adore cela.
Une fois de plus il nous avait rejoint et étions donc trois et dans cette pièce étroite..
J'étais maintenant beaucoup moins intimidé par sa présence rassurée indubitablement par ses bonnes intentions. Tandis qu'il jouait avec mes tétons, les tirant, les pinçant, vous vous étiez installé entre mes jambes écartées et aviez commencé à me lécher le clitoris..je ressentais alors une explosion de sensations..
Cet autre homme nous laissa alors définitivement et nous devions finir cette magnifique soirée à deux.
J'affectionne tout particulièrement votre langue et vos doigts experts. Maintenant complètement à vous,vous m'emmeniez vers des sommets de jouissance que je devais alors dépasser à plusieurs reprises.
Cette soirée aussi inattendue fut un réel bonheur et plus encore.
Repue par toutes ces émotions je quittais ce sling et tout doucement nous retrouvions ce lounge où nous étions maintenant complément seul.
Toujours ce moment à deux si important et bien installé sur un canapé confortable nous discutions...une sorte de transition entre ce que nous venions de vivre et un retour à la réalité de la vie du dehors.
La soirée s'achevait et il nous fallait rentrer..
Merci maitre Gold pour cette soirée magnifique, surprenante.
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