par Soumeur
le 04/07/22
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Soudain, Maitresse Julia me tire la tête en arrière. Je vais lui demander la raison de cet acte inattendu juste avant que l'autre soumis ne m'éjacule dessus. Grâce à la réactivité de Maitresse Julia, j'évite de justesse l'éjaculation bucale que je redoutais. Je reçois donc du sperme sur le menton, le cou et le haut du torse. Rassuré mais un peu dégoûté par le liquide chaud qui me coule dessus, je recule de quelques pas. Maitresse Julia me regarde quelques instants, puis comme elle semble satisfaite, elle fait un signe de tête au maître et me tire hors de la piece.
Une fois dehors, elle me dit sans me regarder :
- "Ca suffit pour aujourd'hui. Je t'emmène faire ta toilette puis je te montrerais ton dortoir pour la nuit".
C'est à ce moment là que je me rend compte que je n'ai toujours pas mangé depuis que je suis arrivé dans ce lieu.
Elle m'entraîne dans le couloir vers une nouvelle porte sur laquelle est écrit : "Salle de bain". Elle me pousse à l'intérieur et se dirige vers le coin de la pièce. C'est une pièce comme les autres, assez sombre, dénué de mobilier avec une ampoule et fils apparents pour tout éclairage. Maitresse Julia m'enleve les bracelets qui entravaient mes poignets et mes chevilles mais me laisse le collier au cou. Elle prend un tuyau d'arrosage qu'elle utilise pour m'asperger tout le corps. Le froid de l'eau me gèle les os et la pression du jet me plaque au mur. Après m'avoir bien aspergé partout, Maitresse Julia arrête l'eau. Je m'attend à ce qu'elle me donne une serviette mais elle se contente de rattacher la laisse à mon collier et une cage de chasteté à mon pénis qui à retrouvé sa taille d'origine.
- " Maintenant, je vais te ramener dans ta cage pour la nuit et demain tu pourra partir".
-" J'ai très faim, serait il possible d'avoir quelque chose à manger ?"
- "Je ne sais pas si tu le mérites".
-" S'il vous plaît Maitresse. J'ai subi toutes vos tortures sans rien dire"
- "Ose me dire que tu n'as pas aimé"
Je ne répondis pas.
-"C'est bien ce que je pensais. Maintenant, tu vas rentrer là jusqu'à demain"
A suivre...
Posté dans: Techniques & Pratiques BDSM
Thèmes:
soumission, petplay, chasteté
Suggestion
Par : maitregold
Le lendemain matin, et à condition qu'il ne fut pas trop tôt, j'adorais aller vous rejoindre dans votre lit, me glisser sous les draps comme ça l'air de rien. Vous sentiez alors que je vous caressais délicatement.. Oh ! ...je savais que vous m'aviez entendu et que vous faisiez mine de dormir encore. Alors je plongeais sous les draps et d'une langue délicate je descendais le long de votre poitrail pour finir au saint des saints !! Bien souvent elle réagissait avant que je ne l'eue atteinte !! Ce qui me ravissait...alors je m'appliquais du mieux que je pouvais. C'est alors que vos mains rejoignait ma tête, et que votre respiration se faisait lente et plus profonde comme si vous vouliez retenir en vous toutes ces émotions que vous ressentiez. S'en suivait un petit déjeuner où votre soumise vous appelez Hervé et où le voile n'avait pas sa place.
Une fois la douche prise c'était une toute autre histoire !
La météo déterminait comme bien souvent la suite que nous donnerions à cette journée !
Il pleuvait ? Nous restions chez vous et j'étais totalement à votre disposition...
Il faisait beau ? Nous nous baladions ou nous restions sur votre terrasse et là encore votre soumise était votre objet de plaisir !
Notre histoire se forgeait ainsi mois après mois et le socle de notre relation devenait de plus en plus solide. Ce que je pouvais vivre avec vous était unique. Vous étiez et êtes toujours un subtil mélange délicieux d'attention, de douceur mais aussi d'autorité et de charisme. Je me souviens que lorsque je goutais à ce genre de relation pour la première fois, j'avais rencontré un homme qui lui aussi dégageait cette particularité. J'avais beaucoup aimé ce trait de caractère. Ce qui me plu d'emblée chez vous.
Avec vous, je me rendais compte que j'étais en train de redécouvrir ou plutôt de découvrir les plaisirs que mon propre corps pouvait m'offrir.
Je vous faisais don de mon corps et vous en extirpiez votre plaisir tout en transcendant le mien.
A chaque innovation vous étiez là à guetter la moindre désapprobation le moindre désagrément que je pouvais exprimer...c'était important pour vous comme pour moi. De cela il fallait absolument que nous le partagions. Votre plaisir ne pouvait passer que par l'expression du mien. J'étais votre soumise et paradoxalement je détenais les clefs de votre ou plutôt de notre plaisir. Vous aviez semble t'il une idée assez précise de ce que vous vouliez... J'avais admis la fessée, vos claques sur mon corps que vous pratiquiez couramment, et ce pilier qui était devenu maintenant un compagnon...un de mes 3 ou 4 accessoires. J'aimais m'y retrouver vous offrant mes fesses ou mes mamelles que vous honoriez à votre convenance. En guise de prélude, vous m'offriez un de vos baisers profonds tandis que votre sexe ne pouvait s'empêcher d'essayer de s'insinuer en moi. S'en suivait l'expression d'un plaisir crescendo.
Et puis il y eu cette première fois où vous avez voulu expérimenté le fouet. Pour cela vous avez voulu marquer l'évènement et aviez misé sur un bel endroit ....neutre !
Vous aviez réservé un gite de charme à 200 kms de Paris :
- Dis moi... tu es disponible le week end prochain n'est-ce-pas ? Aviez-vous lancé comme ça l'air de rien alors que nous dissertions sur les conditions de la femme, si mes souvenirs sont exacts !
-J'aimerais t'emmener à la campagne... vois si tu peux prendre ton lundi...d'accord ?
- oui bien sur maitre...où m’emmenez-vous my dear master ? vous me direz ce qu'il faut que j’amène... ?
- tu le sauras ...mais plus tard... pour le moment demande ta journée !
Evidemment, vous avez voulu entretenir le mystère et sur la destination et sur ce qui m'attendait.
Je dois dire que vous aviez réussi votre coup. Mon imaginaire fonctionna à plein régime durant toute la semaine précédent ce week end...Impossible de vous arracher le moindre détail !
Le mercredi de la fameuse semaine vous avez consenti à me donner ces quelques consigne vestimentaire :
- tu prendras une tenue habillée, tes accessoires évidemment. 1 jupe et un jean si tu veux, une et une seule petite culotte. Il est évident que lorsque je te récupérerais samedi matin à 10h tu seras en jupe sans dessous ! !
Vous prononciez ces derniers mots sur un ton presque narquois avec j’imagine des yeux plein de malice. Je soupçonne même qu'à ce moment précis vous vous imaginiez la scène où je découvrirais la véritable raison de ce déplacement.
Comme toujours nous en avions discuté et je savais que vous y viendriez un jour sans pour autant en connaitre le moment exact.
Tout autant curieux par nature que moi vous aviez choisi ce bout de province où il y fait bon vivre et qui de surcroit regorge de trésors historique et culturel ! Il était évident que nous ne resterions pas enfermés tout le séjour !!
Par chance, la météo avait annoncé du beau temps à peu prés partout.
Je dormis la veille de ce grand jour, d'un sommeil agité pour finalement me lever sur le coup de 7h ! Petit déjeuner et toilette soignée...il me fallait être imberbe, parfumée et maquillée légèrement. Mon sac était prêt et c'est fébrilement que je vous attendais.
9h55 le téléphone sonna :
- dans 5 mn je suis en bas de chez toi, j'espère que tu y seras également! Nous partirons immédiatement...
- humm ... mon maitre arrive vous avais je répondu sur un ton suave et légèrement moqueur ... Humm .. oui je serais là fidele au rendez vous !! Poursuivais-je !
- oui ..oui. c'est ça...fait ta maligne...en attendant je serais là dans 3 mn.. et tu as intérêt à y être !!
- humm...je n'sais pas ...à y réfléchir je crois que je ne viendrais pas ..!! A près tout je ne sais même pas où vous m'emmenez, disais je en souriant,...et si vous aviez l'intention de .. je n' sais pas moi...euh... abusez de moi ou me trucider... vous avez pensé à ça ??
Vous saviez que je plaisantais... Et tout en vous parlant je m'étais rapproché du trottoir et y fut bien avant votre arrivée!
Vous m'avez souri tout en me saluant d'un simple baiser sur mes lèvres !
Sitôt le sac embarqué nous prenions l'autoroute du sud...direction...l'inconnu !
Assise sur mes fesses, les jambes entrouvertes et la jupe légèrement remontée sur les genoux nous dissertions comme à votre habitude sur nos petites tracasseries du moment.
La destination finale devait rester un mystère jusqu'au bout !
Il commençait â faire faim et vous avez cédé aux demandes incessantes de votre soumise..
Déjeuner correct dans l'auberge du coin et enfin découverte du lieu de villégiature...
Une magnifique maison d'hôte au bout d'une allée bordée de tilleuls. Cela vous ressemble bien... vous aimez tellement les belles choses !!
Le propriétaire nous attendait sur le seuil et nous fit visiter les lieux :
2 chambres à l'étage, une superbe salle de bain..
Au rez de chaussée une belle terrasse donnait sur un jardin fleuri et un petit cours d'eau ..au salon deux grand canapés trônaient en son milieu.
Il vous en confire les clefs et disparu.
La porte refermée notre séjour pouvait débuter.
Nos diverses activités nous avait tenu éloignés l'un de l'autre depuis plus de 3 semaines ...et l'appel des sens commençait à réclamer son dû !
- eh bien soumise ! ...on a déjà oubliée les bonnes habitudes...même ici tu les respecteras ... Allez...commence par me saluer ..!
- bien sur maitre... avec plaisir ! un sourire illumina mon visage...je m'agenouilla et commença à déboutonner son pantalon afin de le saluer comme il le voulait !
Encore une fois je remerciais mon maitre pour ce week end en cette belle demeure.
- Va enfiler ta tenue et rejoints moi ici ..tu as 10mn.
Pas le temps de flemmarder .. Et 9 mn plus tard je fus devant lui.
- remonte ce voile .... approche toi ...écarte les jambes !
Vos invectives n'avaient alors qu'un but ..faire monter, comme s'il en était besoin, ce désir de vous qui déjà me brulait intérieurement !
En l'espace d'une fraction de seconde votre main était sur mon sexe et contrôlait la netteté de l'endroit !
Constatant mon etat d'excitation flagrant :
- eh bien soumise .. c'est bon de te savoir ainsi !
Ce à quoi je repondis :
- merci maitre ... vous savez que j'ai toujours envie de vous ...ce n'est pas un scoop !!
Vos yeux délicieusement pervers et un grand sourire eclairait votre visage ...puis :
- tourne toi..penche toi et écarte tes fesses !
Là encore un doigt ferme s'aventura et fit quelques aller retour !!
- bien soumise ..tu es comme j'aime...mouillée et prête !! maintenant assis toi là et offre toi .. que je vois bien tes trous ... salope !!!
Je remerciais mon maitre pour son inspection et m'asseya juste devant lui !
- cet apres midi, commença t'il, nous irons faire du tourisme et avant de rentrer nous irons peut être visiter une cave ... Ca te va ?
- vous savez que j'aime ça, en plus je ne connais pas la région ...tout va bien donc ....le temps de prendre mon appareil photo et je suis à vous .euh...jupe ou je peux mettre mon jean ?
- mets ton djean si tu veux ! Je t'attends ...tu as ...allez on va dire 15 mn !
-20 ? tentais je de négocier en souriant ..
- non 15 .. Allez depeche toi
- bien maitre ..à tout de suite ..je m'eclipsa et m'habilla !
Nous partimes pour une belle ballade : ... le joli château de l'Islette logé au coeur d' un écrin de verdure ... puis nous nous dirigions vers la cave que vous vouliez visiter également !
durant le trajet votre main alla souvent flâner ....allant et venant du genou à l'entrecuisse. Ma main quand à elle, avait pour consigne de se tenir sur votre sexe. Votre desir etait toujours là. Ses soubresauts m'indiquait son desir de s'affranchir de toutes les barrieres qui le tenait encore enfermé!
Soudain ce petit chemin là à gauche, où vous vous etes soudain engouffré :
- tient ma belle ..vas y suce moi ..maintenant que tu m'as bien excite . ..allez salope ..allez vas y .. tu le sais que tu es une salope ..hein !!! oui comme ça bien au fond ..oh oui hummm que c'est bon et quelques instants plus tard nous étions à l'extérieur du véhicule
- tourne toi et baisse ton djean petite pute ...écarte tes fesses .. !!
Connaissant mon maitre depuis maintenant plus de 2 ans je savais ce qu'il aimait entendre dans ces moments là :
- oh oui maitre enculez moi ... enculez votre salope !
- penche toi alors et ecarte bien tes fesses ..salope !!
Et puis tandis qu'allongeais sur le capot de la voiture je vous offrais mes fesses :
- merci maitre !! et je sentais son membre dur me pénétrer doucement d'abord puis plus vigoureusement
Juste avant de jouir je devais me retourner et recevoir votre précieuse semence que j'eue soin d'étaler sur mon visage pour mieux vous affirmer ma soumission et donc votre domination.
Ce fut un moment tellement intense que ce plaisir m'avait une fois de plus transperce le corps
- merci maitre vous remerciais je encore
Puis nous repartimes en direction de la cave que vous vouliez visiter. Je remarquais ce petit sourire persistant. Votre regard me racontait combien vous etiez fier et content d'avoir marqué votre territoire !
Durant toute cette visite vous n'avez pas arrêter de me sourire, heureux de savoir que je portais sur mon visage votre marque d'appartenance..j'en fus fière et honorée..vous me faisiez quelques clins d'oeil entendu !! Je vois repondais par mon sourire !
Sur le chemin qui nous menait sur le lieu de notre séjour vous m'avez dis d'un ton ferme mais cependant bienveillant :
- en arrivant tu monteras te changer bien sûr ! et je veux que tu mettes, ta nuisette noire avec tes belles mamelles à l'exterieure,..tu sais celle que j'aime bien et ton string noire!
- bien maitre ..repondis je sans plus me soucier de ce qu'il adviendrait plus tard ..
Sitôt arrivée, je montais me changer et réapparu dans la tenue exigée !
- bien. .assis toi là ..allez ...offre toi à ton maitre .. soumise ..!.puis quelques instants plus tard, alors que vous me tendiez un verre ..
- je voudrais expérimenter une nouvelle chose avec toi .. Je te sens prête pour cela .. Es tu d'accord pour essayer quelque chose de nouveau ?
- euh ...oui maitre, l'air tout de même un peu inquiète
- tu sais que nous discutons beaucoup de ton éducation et que je ne ferais rien contre ta volonté ou du moins rien que l'on est pas discuté !!
-oui maitre acquiesçais je .. ça je le sais et vous avez toute ma confiance maitre
- bien ... j'aimerais donc tester le fouet ! .nous en avons parlé et tu n'etais pas contre me semble t'il !...nous dinerons avant ..puis tu te prépareras ..tu mettras un voile recouvrant pour ton dos ! Tu t'installeras face au canapé ..tu commenceras par te caresser puis je te fouetterais ..tu es d'accord ?
- oui maitre ..bien sur ..je sais que vous vouliez cela depuis un bon moment ..merci maitre !
Je vous repondais d'un ton pas tres assuré , cette annonce m'avait immédiatement remplie d'inquiétude !
On sonna à la porte. Mon maitre alla ouvrir apres m'avoir demandé de m'en tenir à l'ecart.
Notre diner arrivait ..
Un beau chandelier ...une bouteille de ce que mon maitre venait d'acquérir pour arroser notre repas..
Je fus légèrement tendue et angoissée connaissant la suite que vois alliez donner à cette soirée !
Puis vint le grand moment !
Comme à son habitude mon maitre commença a m'embrasser amoureusement puis m'invita à prendre place en me désignant le canapé !
- va ma belle .. ! Ne t'inquiete pas je serais doux ...tu me connais et tu sais que je ne suis pas une brute !
- oui oui je sais ça ...maitre mais vous savez en meme temps que je ne suis pas mazo non plus !!
- aaaahh mais qui te parle de ça ...enfin ! tu me connais quand meme !! bon assez parlé ....je ne fouetterais que tes fesses .. !
Face contre le dossier du canapé .. mes mains étaient mointes et mon coeur battait à tout rompre !
J'attendais la première morsure de la lanière... au lieu de cela je sentis une main chaude caresser mon fessier. J'avais commencé à me masturber et cette main inattendue m'avait détendue ..sans me prévenir mon maitre m'assena le premier coup !
J'etais saisi ..j'avais ressenti une vive morsure ! Je me concentrais sur mes caresses ..puis vint le second ..d'une meme intensité et toujours aussi mordant ..mon maitre vint me voir et passa sa main sur mon dos et sur mes fesses suppliciées :
.. Ça va soumise ? Es tu contente que ton maitre te fouette ?
- euh ..c'est à dire cher maitre que je ne dirais pas que je suis contente, vous avais je alors repondu sur un ton malicieux et éprouvée .. Euh ...disons plutôt que je suis contente que mon maitre me fasse connaitre une nouvelle chose ! Mais vous n'avez fait que me caresser ..là cher maitre ...trouvais je alors intelligent de rajouter...
Je le reconnais cela etait quelque peu inconsideré
-ah bon ? m'avez vous repondu affichant un sourire jusqu'aux oreilles ...ah bon ..es tu sûr de cela soumise ?
-euh ...non pas du tout !
Mais il etait trop tard et vous avez enchainé les troisiemes et quatrieme coups à la file. Ils furent plus marqués mais sans etre non plus trop appuyés !
Fiere et forte je ne laissais entendre qu'un simple cri dû à la surprise de l'enchainement de ces deux derniers coups ! Je redoublais d'intensite dans mes caresses pour me laisser envahir par un orgasme intense pendant que vous m'asseniez un cinquieme et dernier coup
Il me fallu tout de meme quelques minutes pour me remette de mes emotions ....et je me retourna. Je devais alors constater que vous ne portiez plus votre pantalon et que de surcroit votre queue affichait fièrement son contentement !
J'eue grand plaisir alors à la prendre en bouche l'avalant goulument pour en extirpez tout votre plaisir. Il ne me fallut que quelques secondes à peine..vos mains réconfortantes caressaient mon fessier apaisant ainsi les morsures du fouet ! Vous etiez heureux et moi plus encore
Je su qu'il me faudrait désormais compter avec ce nouvel accessoire!
Pour marquer ce baptême vous avez débouché cette bouteille de champagne que vous teniez jusqu'alors cachée !
Nous finissions la soiree sur le canapé à discuter moi caler contre vous ! Je fus extraordinairement bien comme à chaque fois que nous connaissions un moment si fort.
Puis chacun regagna une chambre et je m'endormis d'un sommeil de plomb.
Le lendemain vous fûtes levé plus tot que moi et m'avez fait la surprise d'un café au lit.
C'était la première fois que vous vous adonniez à cet exercice.
Exercice réussi !
(vous recommencez quand vous voulez cher maitre!)
Café...une petite fleur dans un soliflore et un baiser sur chacune de mes mamelles ..un vrai réveil romantique !! vous m'avez gâté .très cher maitre!
S'en suivait un petit déjeuner sur la terrasse au soleil puis la douche et je reprenais mon rôle de soumise. Votre sollicitude m'avait beaucoup touchée ce matin là et c'est ainsi que je pus prendre le soleil revetue de la nuisette et du plug inséré entre mes fesses ...vous pouviez contempler ainsi à loisir les marques laissées par votre oeuvre !
La matinée se déroula ainsi tranquillement !
L'après midi nous faisions une expo sur des artistes peintre contemporains ! Beau bâtiment et belle expo ..jupe sans dessous et decolleté furent de sortie.. Nous poursuivions par la visite du cloitre de la Psalette et sa cathédrale attenante. ! J'aime ces endroits là ..ils dégagent de la sereinité et force l'humilité face à l'oeuvre accomplie par la main de l'homme !
Je vous faisais remarquer que cela n'était guère décent ... moi en jupe sans dessous me promener dans un endroit aussi pieux !! Vous m'avez répondu par un sourire . Je vous ai senti à cet instant très amoureux ..vous me teniez par l'épaule .. des petits bisous venaient se poser sur mes lèvres ... . Plus tard vous m'avouerez que cela vous avez bien excité et j'aime vous voir ainsi !
Le soir vous m'avez demandé de revêtir ma tenue habillée toujours sans dessous ! En effet nous sortions !
Vos activités professionnelles vous avez amenées par ici et vous aviez gardé quelques contacts.
Vous aviez choisi de m'emmener chez l'un d'eux !
Ce petit manoir qui se dessinait au bout d'une belle allée allait nous accueillir pour cette soirée .. je sentais qu'elle serait particulière ....une impression ...rien qu'une simple impression..!
Un majordome vint nous ouvrir la porte puis un peu plus tard vos amis nous accueillaient enfin !
Un couple la cinquantaine ..à peine grisonnant ..elle .. feminine distinguée sans en faire trop, lui elegant et de surcroit bel homme !! tres sympatique, pensais je !!.
Durant cette prise de connaissance je sentais les regards sur moi ...me scrutant .. me déshabillant presque !!
Cela me mettait mal à l'aise .. j'avais un tres mauvais pressentiment .plus les minutes passaient plus mon impression du départ se confirmait.
Une ambiance assez spéciale s'installait .. J'avoue que je ne comprenais pas et n'avais qu'une envie ... partir loin de là avec quelques explications !!
Une chose me tenait ...vous êtes pas homme à dévoiler votre intimité et j'étais donc sûre que vous n'aviez pas revelé ce qui nous unissait..
Me voyant désemparée et tendue vous vous êtes adressé discrètement à votre ami et vous m'avez prise a part :
- ma belle, avez vous commencé par me dire, t'ais je deja decu ?
- non maitre, non bien sur .. mais là je ne comprends pas pourquoi vos amis me dévisagent ainsi ..j'ai un truc qui ne va pas ? Je dépareille dans le paysage ? La il faut que vous me disiez parce que je n'aime pas ça du tout !!
- oui c'est vrai tu as raison j'aurais dû t'en parler et te prie de m'en excuser ..voilà .. Marc était une relation de travail au départ..nous avons sympathisé et nos conversations nous ont poussé parfois a nous raconter intimement c'est comme ça que je sais que sa femme Isabelle a parfois des aventures avec des femmes. Je me suis dis que cela te plairait peut être ... en plus c'est une belle femme ... tu en as toujours envie .. n'est ce pas ?
- j'en dis que vous auriez pu effectivement m'en parler ..là j'ai l'impression d'être une bête curieuse et ce n'est pas tres agréable Hervé ! D'autant que vous avez dû le dire à votre ami .. qui lui en a parlé à sa femme !! En fait je suis la seule idiote à ne pas être au courant !! Vraiment là je vous en remercie !! moi qui pensait finir ce week end en apothéose ..
- encore une fois excuse moi ma belle. !!
- et donc qu'est il censé se passer ce soir ?? je vais passer à la casserole ??
- mais non ...bien sur que non ...nous faisons juste connaissance ...voir si toi et elle ça pourrait coller ... !
- ah oui ? Et puis apres ?? Vous avez deja tout planifié si je comprends bien .. Vous avez peut être déjà la date et l'heure de fixer ??Ais je mon mot à dire ?
- ah mais oui et j'y compte bien !! tu sais que rien ne se fait si tu n'es pas d'accord. ..je ne t'ai jamais rien imposé !
- bien maitre ..retournons voir vos amis ..ils vont s'inquiéter et nous en reparleront ailleurs quand nous serons seuls !! Sur le principe je suis tjs d'accord ..sur la méthode employée ...non ! Repondis je sur un ton emporté mais discret.
- bien... merci ma soumise ..tu as raison retournons voir nos amis !
De retour vous m'avez tendu une coupe de champagne vous m'avez souri et nous avons poursuivi la soirée !
Vous sentant coupable de ce contretemps vous vous êtes montré plus que prévenant
A table je fus à vos coté et je dû m'assoir comme à l'accoutumé sur mes fesses .. laissant votre main vagabondee sur mes cuisses et parfois jusque mon entrecuisses ..vous savez que cela m'excites ..je vous laissais faire ...je ne voulais pas gacher votre plaisir !! nous discuterions de cette soiree plus tard !! Pour l'instant je ne voulais pas rendre vos retrouvailles désagréable !! Je me montrais donc agreable souriante et disponible. Je pense que vous avez su apprécier cela !
Il se faisait tard et nous prenions congés de vos amis !
Sur le trajet vous m'avez demandé si gentiment de vous caresser que je n'eu pas la force de vous le refuser ..je m'exécutais et sans que vous n'ayez eu besoin de le demander je me penchais vers votre sexe le suçant sur toute sa longueur. Votre main soudain me maintint la tête alors que votre sexe était au fond de ma gorge ...je sentis votre chaude semence m'envahir la bouche tandis que vous poussiez un râle de satisfaction !
J'avalais toute votre substance, je nettoyais du mieux que je pouvais votre membre et me relevais!
Ce soir là nous dormions ensemble et vous me faisiez l'amour.
J'aime ces instants .. si rare et si précieux. Ils me dévoilent alors une autre facette de votre être : le mâle dominant fendant l'armure. Vous vous faites alors si doux. Votre regard pétillant, vos gestes tendre et votre attention constante me raconte ce que vous ne me révélez pas autrement.
Oh oui ! je les connais ces sentiments ...ils sont la pierre angulaire de notre histoire sans laquelle rien de tout cela n'existerait !
Merci maitre pour tout cela !
Lundi ..jour de retour sur Paris ..pas très envie de rentrer mais il le fallait bien. Nous n'avions pas reparler de la soirée de la veille .."laissons les choses s'apaiser" avez vous dit ..et j'étais assez d'accord avec cela..
Il nous fallu faire nos sa sacs et partir pour midi après avoir restitué les clefs !
J'avais adoré ce week end provincial...et j'en espérais bien d'autre !
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J'ai six ans. Peut-être huit. Les épaules fuyantes, le regard implorant, je ne suis plus qu'une plaie et un visage souillé de larmes. Je ne suis plus que douleur. Il y a un vague écho lointain dans le cuir qui lacère, il y en a davantage dans les larmes qui coulent en continu, cette suie noire qui fond sur mes joues. Je voudrais l'essuyer, enlever cette saleté qui me couvre toute. L'instant d'avant j'étais une femme assumée, libérée, jouisseuse et maintenant je suis une fillette de six ans prise en faute.
Je suis de plus en plus petite. Je rétrécis sous les coups qui pleuvent. Morveuse, liquéfiée, je me ratatine sur moi même. Je voudrais presque disparaître sous terre. Du moins que mon corps disparaisse. N'être plus qu'un pur esprit de petite fille sage. C'est ce que je suis tout au fond, je le sais bien. Mais je ne peux m'empêcher de faire des bêtises, de happer le regard des hommes, de provoquer leur désir, de voir leur sexe se dresser, d'en être à l'origine, de me comporter comme une effrontée, une impudique, une salope.
Je me mords les lèvres pour tenter d'étouffer de nouveaux cris. Abnégation, silence, maintien. Même de cela j'en suis incapable, je geins, je pleurniche comme un bébé. J'ose le regarder dans les yeux, assombris, sévères, y trouver la force, y lire le désir. Je ne sais pas ce que j'y lis, les mots secs forment une litanie cruelle, parfois plus durs que les coups. Sa bouche se tord autant que sa ceinture. Il me réprimande, il me punit, sans ménagement, sans indulgence. Implacable, impitoyable. Je crois ne l'avoir jamais vu autant que cette fois si âpre, si ardemment désireux de me faire mal, de me dire des choses humiliantes.
J'attends, j'espère sa clémence. Tantôt je me sens lâcher, tantôt je résiste, je refuse, je nie l'évidence. Suis-je si méchante, si vicieuse pour mériter cette sanction ? J'étais prévenue pourtant, la peine devait être exemplaire, je devais être sévèrement punie. Je pensais être prête. Je pensais pouvoir endurer mais ma détermination fond au fur et à mesure, je perds courage, j'abandonne toute dignité. Je suis une loque avec une âme de petite fille, qui perce ma pupille. Vois-moi, vois comme je suis petite et sans défense, accorde-moi ton pardon. Non pas encore, le cuir cingle encore sur ma peau. Puis, le couteau lacère le tissu.
Regarde-toi, regarde comme tu es indécente, à quoi donc te sert une culotte si c'est pour l'ôter devant le premier homme venu ? La robe tombe en lambeaux, la culotte est déchirée. Je suis presque nue, les bras resserrés sur mes seins et mon sexe. Je tente en vain de retrouver un semblant de pudeur. Je pleure toujours, sans m'arrêter. Il me semble que je ne m'arrêterai jamais. Jusqu'à ce que qu'enfin, la punition cesse et que sa voix s'adoucisse, que ses yeux s'éclaircissent. La petite fille souillée peut alors aller se laver, avant de trouver son réconfort dans les bras de son tortionnaire.
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Par : Steph Doe
Première visite à Cris et Chuchotements, un vendredi midi de septembre. Le dress code m’avait été imposé, précis et succinct : chaussures fines à talons, bas noirs, soutien-gorge en dentelle dévoilant et présentant mes tétons et mes seins, collier de soumise et bandeau noir sur les yeux.
J’avais préparé ma tenue avec attention, excitation et y avais ajouté, pour faire « plus habillé » une fine tresse noire en cuir à mettre autour de la taille. J’avais tenté de négocier de porter une culotte de dentelle, du moins au début le temps de me plonger dans l’atmosphère, mais j’avais été remise à ma place. Mon sexe devait être visible et disponible dès l’arrivée.
Sitôt la porte étroite franchie, mon mari D. me presse de me parer. Le lieu est sombre et exigu, nous nous glissons dans les toilettes. Je me dénude intégralement, enfile bas, chaussures et soutien-gorge. D. glisse le collier à mon cou, et y attache la laisse, puis noue le bandeau autour de ma tête. Je suis prête. D. me guide, me tenant en laisse vers l’escalier menant à une première salle en sous-sol. La jeune femme de la réception, plutôt amusée par la situation, se propose de m’aider à ne pas trébucher.
Je suis très tendue, mélange de peur et d’excitation ; les escaliers, les yeux bandés, l’odeur un peu âpre d’un sous-sol en pierres, la quasi nudité, ce qui m’attendait dans ce club inconnu… Ayant malgré tout envie de jouer et toute en confiance avec D., j’ai hâte de découvrir la suite des événements… Le temps s’arrête.
Arrivée sur la «terre ferme» de la salle en sous-sol, D. me conduit jusqu’à un canapé, sur lequel il me prie de m’asseoir, jambes écartées. Le tissus rugueux n’est pas très agréable au toucher. La douceur des baisers de mon mari, la chaleur de ses caresses sur mon corps et le vin blanc sur mes lèvres et mon palais me permettent de me détendre. Je ne sais pas combien d’hommes et de femmes étaient dans la pièce… Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le canapé, la tête en contrebas pour marquer ma cambrure et faire saillir mes fesses. Il joue avec les lanières de son martinet en cuir, chatouillant ma peau jusqu’à me faire frissonner.
Je n’ai pourtant pas froid. Peu de temps après, je reconnais la voix de Mlle M., qui salue D. et le félicite, me semble-t-il, pour la soumission et la beauté de sa soumise, précisant qu’elle reviendra une fois parée. Je comprends à ce moment là que D. ne sera pas mon Maître aujourd’hui, ce serait Mlle M.. Aimant le contact des femmes, leur sensualité, la douceur de leurs lèvres, je m’en réjouis immédiatement. Une Domina, quelle belle première expérience! J’avais imaginé que Mr R. serait lui aussi présent.
Ne l’entendant pas, je suppose maintenant qu’il viendra dans un deuxième temps ou qu’il n’a pas pu se libérer. L’attente commence, me permettant de complètement déconnecter, de me concentrer et de m’imprégner du lieu, de ses bruits et de ses odeurs.
A son retour, Mlle M. caresse mon corps, me flatte, exprime ce que je ne vois pas et que je projette dans chacun de mes fantasmes, le spectacle que nous allons donner, et moi en particulier. Il me semble qu’elle me caresse avec un martinet différent de celui de D. , plus bruyant (et donc plus effrayant), aux lamelles plus larges, plus plates, plus froides qui me font penser à des ailes de chauve-souris.
Elle joue avec l’instrument avant de fouetter mes cuisses, mes fesses et mes reins, de façon crescendo. D. qui me donne ses doigts à mordiller et à sucer sent au fur et à mesure que les coups se font plus forts. Mes dents le mordillent puis le mordent franchement. Mlle M. me félicite et me récompense en m’embrassant avec gourmandise et douceur. Un encouragement pour la suite. Je suis invitée à me relever (ce que j’avais osé faire précédemment sans autorisation, ce que Mlle M. ne manqua pas de me rappeler) pour être accompagnée jusqu’à une sorte de podium sur lequel je suis montée. Mlle M. lève ma main droite pour l’accrocher à une menotte dans laquelle se trouve une poignée. Pareil pour la main gauche. Je me retrouve les mains liées, le corps exposé, chaque parcelle de peau offerte aux regards et aux coups de ma dominatrice. Elle me fait écarter les jambes pour mieux découvrir et exposer mon corps et mon sexe. Sentant ma tension et mon appréhension, M. me caresse avec un vibromasseur. Sensation immédiate de chaleur, d’excitation, d’envie d’aller plus loin en me cambrant et en exposant un peu plus mes fesses. Je reçois des coups de badine, sur mes cuisses, mes fesses, mon dos, sur mon ventre, sur mes seins que je sens durcir et gonfler immédiatement. Toute mon attention est focalisée sur ces quelques cm2 de peau, sentant la chaleur de mes tétons après chaque coup de bâton. J’entends Mlle M. reprendre le martinet, en jouer avant de m’appliquer des coups plus marqués que sur le canapé.
A la fois concentrée sur mon ressenti et en contrôle (crispation) de mon corps, j’attends anxieuse le crescendo des coups. Mlle M. me susurre à l’oreille qu’elle va passer la main à un expert, un Maître… Je comprends à ce moment là que Mr R. est présent. Depuis quand ? La présence et les mots de D. me portent. Je le sais fier de moi, excité par mon exhibition, sans limite cette fois-ci. Mr R. prend la main. Les coups de martinet pleuvent … Crispée, tendue, j’ai du mal à ressentir du plaisir. Pour autant, je suis très fière d’être là, de ne pas flancher et de respecter les règles du jeu. Je n’ai jamais été frappée de façon si violente. Et imaginer l’effet que je fais à D. et aux autres spectateurs (combien sont -ils ? des hommes ? des femmes ? que font-ils ? ) me permet de dépasser la douleur ressentie. Mr R. se rapproche de moi pour la première fois. Je suis immédiatement séduite par les traits de son parfum raffiné et puissant, mélange d’effluves rappelant la terre, le cuir et la forêt. Peut-être l’Habit Rouge de Guerlain ?
Ses mains chaudes caressent mon ventre, sa voix sensuelle se veut rassurante, le tutoiement créé une immédiate proximité. La « découverte » sensorielle de Mr R. me comble et me rassure. Ses conseils sont très précieux : "détends-toi", "lâche prise", une invitation à vivre le moment présent. On me pivote sur le podium (pour un jeu de lumière différent ? Une exposition de mon corps sous un autre angle ?), je relâche toute la pression que j’avais gardée au niveau des poignées auxquelles mes mains s’agrippaient et je laisse mon corps se détendre pour mieux profiter des coups de martinet. La morsure, large et à chaque fois amplifiée, la chaleur immédiatement dégagée par ma peau en réaction et le bien être que cela procure avant le renouvellement d’une morsure plus marquée.
Un homme en couple qui observe la scène commente l’appel à la fessée de mes fesses blanches. Je suis flattée… A la fin de chaque crescendo, les mots réconfortants de Mr R., la caresse de ses larges mains sur les parties de mon corps violentées et la douceur des gestes de Mlle M. concomitants aux coups m’amènent de l’excitation ; Mlle M. s’agenouille pour me lécher, Mlle M. m’embrasse, mon mari que je sens très proche caresse mes bras et m’encourage. Progressivement, je lâche prise dans se maelström d’impression sensorielles qui assaillent chaque infirme partie de mon corps, coups de martinet, fessées…
On me détache, j’ai la tête qui tourne. On me conduit vers un meuble sur lequel on m’attache, poignets, chevilles, ventre. J’ai l’impression d’être la femme de Vitruve! C’est une roue. Mon dos est en contact avec une partie froide, métallique qui me fait tressaillir. Assez rapidement, je pers le sens du haut et du bas en m’offrant aux regards, aux coups de martinet et aux fessées. Mr. R. alterne les coups avec des caresses qui réchauffent mes reins pour mieux recommencer.
La tête en bas, j’ai l’impression que les attaches sur mes chevilles vont glisser sans pouvoir me retenir. Je me plains. Le jeu s’arrête. On me libère. On me soutient et on me guide vers un meuble en cuir, me semble-t-il, sur lequel on m’allonge à plat ventre. Il y a un espace où placer mon visage pour une posture sans tension. Mes jambes sont joliment écartées, attachées par des cordes sur des sortes de jambières. Mlle M. m’embrasse voluptueusement,
Mr R. alterne les coups de martinet, les fessées et les paroles d’encouragement et de réassurance. Mes fesses se tendent, mon sexe s’ouvre encore un peu plus, se présente pour être mieux pénétré. Un godemiché y est enfoncé. C’est douloureux. Je crie. Immédiatement, l’objet est retiré et je sens très rapidement ensuite la chaleur d’une tige que je connais bien, celle de mon mari ce qui m'excite terriblement. Mr. R. porte des belles fessées sur le haut de mes cuisses qui en demandent encore pendant que mon mari porte ses assauts vaillants et rythmés. Je deviens chienne à l’envie, lâchant prise et n’écoutant que mon plaisir renforcé par l’exhibition que j’offre aux spectateurs dont j’entends la respiration haletante. Mr R. m’ôte mon bandeau. Le jeu, pour cette fois-ci est terminé. Nous retournons, Mlle M., Mr R, D. et moi sur le canapé où j'avais été présentée à Mlle M. au début de la séance. Je fais connaissance de Mr R. et de Mlle M. autour d'une planche de charcuterie et de fromage, accompagnée de vin rouge. Je suis encore en lévitation. Il me faudra très longtemps pour revenir vraiment sur terre en ce vendredi après-midi spécial.
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Par : BDSM
Avant d’entamer la moindre pratique BDSM, il faut se souvenir de la devise qui s’impose à tous en la matière : les pratiques du BDSM doivent TOUJOURS être :
- Sûres
- Saines
- Consensuelles
Sûres, car il ne faut pas mettre en danger la personne soumise. Si la personne dominante n’est pas sûre de maîtriser une pratiquer, si elle ne peut assurer la personne soumise qu’il n’y a pas de danger, elle s’abstient. Toute démarche BDSM avec une nouvelle personne soumise commence par le choix d’un « safeword ». Le « safeword » est un mot de code que la personne soumise pourra utiliser pour signaler qu’elle souhaite que la pratique en cours s’arrête IMMEDIATEMENT. Certains pratiquants utilisent le mot « Rouge » (ce qui permet de nuancer avec Orange, si la personne soumise sent que la limite de ce qu’elle peut supporter est atteinte, « Jaune » pour arrêter la pratique à cet endroit du corps et « Vert » si tout va bien). Il faut également prévoir un code gestuel si la personne soumise est bâillonnée en fonction des libertés de mouvement de ses membres (faire « 2 » avec les doigts par exemple). La personne dominante devra alors être très attentive à la partie du corps par laquelle peut venir un signal d’arrêt. Pensez aussi à pouvoir agir en cas d’urgence : par exemple si vous attachez quelqu’un, vous devez avoir un outil pour le détacher rapidement (ciseaux). Et n’oubliez jamais qu’on ne laisse jamais une personne attachée ou bâillonnée sans surveillance : sans surveillance, une personne contrainte qui fait un malaise est en grand danger !
Saines, car il faut être très vigilant à la santé et à l’hygiène. Par exemple, les instruments doivent être nettoyés très régulièrement, et surtout OBLIGATOIREMENT si elle change de partenaire. Si vos pratiques génèrent un saignement, il faut désinfecter. S’il y a des pratiques anales, ce qui a pénétré ne doit pas pénétrer vaginalement sans nettoyage méticuleux. S’il y a rapport sexuel il doit y avoir utilisation de préservatifs, etc. Les précautions sont nombreuses, mais vous devez être informés et responsables : prenez le temps de lire et d’assimiler. Il faut aussi être sain dans sa tête : on ne domine pas une personne soumise si on a trop bu, on ne domine pas si on est en colère. Soyez sains, au sens propre, comme au sens figuré !
Consensuelles, vous devez obligatoirement en parler AVANT avec votre partenaire, avoir son accord et être bien sûrs que vous comprenez l’un(e) comme l’autre les risques et les conséquences des jeux BDSM que vous envisagez. Bien entendu, les jeux BDSM ont un piment particulier quand la personne soumise ne sait pas exactement ce qu’il va lui arriver. Etre prévenant(e) ne veut pas dire nécessairement « tuer le mystère » en dévoilant précisément ce qui va se passer. Mais pour autant, vous devez connaître précisément ce que la personne soumise ne veut pas, et respecter ses interdits. C’est INDISPENSABLE.
Pour faire le point, il existe des questionnaires à faire remplir à la personne soumise pour qu’elle puisse lister qu’il est impensable pour elle, ce qui lui fait peur mais qu’elle veut bien essayer, ce qui l’attire, etc. La pratique du BDSM, c’est un PARTAGE et un jeu à deux.
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Par : #
Lorsque la porte s’ouvrit, je découvris une Femme au sourire élégant, talons hauts, jupe classique, pull bleu marine, bas mortels. Elle m’accompagna au salon et m’invita à m’installer dans un fauteuil vert velours. La bouteille de whisky était déjà posée sur la table en verre, les glaçons commençaient à fondre dans la pomme, et Elle remplit deux verres du liquide ocre, avant que j’ose demander de ne pas me rajouter de glace, préférant ne pas diluer l’alcool dans une eau à deux degrés.
L’effet du premier verre fut immédiat. Je n’étais plus maître , ni de mes pensées, ni de mon corps tout entier. J’avais encore la force de me déplacer, en claudiquant, lorsqu’Elle me demanda de La suivre dans le jardin, mais Elle s’était déjà dédoublée. La substance qu’Elle avait ajoutée me rendait impuissant, mais docile.
L’arbre était un chêne. Elle m’y appuya, et me noua autour du tronc dont le diamètre était digne d’un séquoia yosémitique. Le bâillon terminait son œuvre. Elle recula, mains sur les hanches, et m’admira, fière de Sa proie. Je m’endormis.
Le seau d’eau provoqua un réveil douloureux. Mais j’avais alors retrouvé la vivacité de mon esprit, sans retrouver la mobilité de mes membres. Elle me montra Sa paire de ciseaux, son décolleté plongeant, et découpa soigneusement tous mes habits. Il Lui fallut moins de cinq minutes pour me dévêtir entièrement. Elle commença par prendre des photos, et appela Son amie qui était restée dans la véranda.
Elles me regardaient tout en se demandant ce qu’Elles pourraient faire de ce corps nu et frémissant. Elles commencèrent par cueillir quelques bouquets d’orties, et les accrochèrent à la corde aux niveaux les plus sensibles de mon anatomie. Je picotais et haletais. Elles riaient. Lorsqu’Elles commencèrent à s’agacer de mes ronronnements lourds et suppliants, Elles me giflèrent chacune à leur tour. Son amie était en fait ma voisine. Je La connaissais bien. Elle s’approcha de moi, déboutonna Son chemisier, dégrafa Son soutien-gorge, et me montra Sa superbe poitrine, que je regardais très souvent indiscrètement lorsque je La croisais en rentrant chez moi. Elle m’assura que jamais je ne pourrais L’effleurer ou La toucher. Et que je méritais par contre clairement les sévices qui m’attendaient pour L’avoir regardée aussi souvent impunément.
Elle me chuchota à l’oreille que c’était l’été, que la nuit n’était pas trop fraîche, que j’allais pouvoir rester ainsi toute une semaine, attaché à un arbre qui pouvait supporter mes somnolences. J’allais en baver. Elles viendraient me nourrir, me griffer, me chatouiller, me gifler, me rire au nez, me tourmenter, me branler, m’empêcher de jouir, se caresser devant moi, et pleins d’autres idées qui qui viendraient alors à Leur esprit en effervescence.
Lorsqu’Elles partirent, ce qu’Elles ne savent pas, un sourire se forma sur mes lèvres. Un vrai sourire. J’aimais ça.
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Par : #
Je suis toujours surpris qu'une femme s'abandonne à mes désirs. C'est pour garder cet émerveillement devant cette offrande que je me suis arrêté pendant des années. Car dominer C'est aussi savoir donner à sa soumise, de son temps, être créatif, empathique, l'amener à aller au delà de ses limites en respectant ses intimes frontières. C'est aussi se connaître et savoir que dominer n'est pas que hurler des incantations. Et le sourire d'une soumise épanouie...
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Par : Lady Spencer
Je publie ce texte datant de 2003, car je le trouve extrêmement bien expliqué et précis : sans doute, certaines évolutions seront à relever, alors n'hésitez surtout pas à apporter vos commentaires : merci à vous
nb : pour les puristes de l'écriture, il est écrit "Maitre" et "soumise" et jamais "Maitresse" et "soumis" : juste une facilité de langage mais tout se comprendra pour tous les genres
"Pour le grand public les fouets sont, avec la cravache, le symbole sulfureux d'une relation BDSM. Certains Maîtres les réduiront a l'état de triste substitut phallique d'une libido vacillante alors que d'autres sauront leur donner vie pour en faire les catalyseurs de cette alchimie entre douleur et plaisir.
Signal whip
Les single-tail , ou simple lanière
http://mehere.free.fr/alamut/photos/fouets/le_squale/single_tail.gif
Les single-tail sont les fouets mythiques du BDSM. Qui n' a pas rêvé devant l'image de la soumise attachée sur la croix de St André le dos zébré par les assauts répétitifs du single tail de son Maître. Mais ceux ci, comme une formule 1, sont les plus beaux les plus racés, les plus puisant entre des mains expertes, entre des mains inexpérimentées ils devient approximatifs et dangereux.
Qu'entend-on par single tail ?
Comme leur nom de simple lanière l'indique, ceux ci, a la différence des martinets, se terminent par une seule lanière. Ils sont constitués de 4 parties :
La poignée : soit en bois, soit une tresse de cuir et qui fait la différence entre les différents types de fouets.
Le corps : est une tresse d'étroites lanières de cuir, 8 ou 16 en général, entourant une âme centrale constituée, pour les fouets de qualité d'un fouet de 4 ou 8 lanière et de simple papier journal dans les fouets de basse qualité. Plus le nombre de lanières est élevé plus le fouet est nerveux et précis.
La queue : ou tombant, simple lanière de cuir fichée dans le corps (australian fall) ou en continuité avec la tresse externe du corps (american fall).
Le cracker : plumeau en nylon ou sur certains fouets en kevlar, c'est lors de son passage du mur du son que se produit le bruit caractéristique du fouet.
Ces fouets sont en général en peau de vache, les meilleurs étant en peau de kangourou. Mais d'autres cuir peuvent être utilisés en fonction des pays. La fabrications des single-tail est complexe; elle demande temps et savoir faire et ne supporte pas la médiocrité - ce qui en fait des objets de prix.
La grande famille des single-tail
Fouets de travail a l'origine leur forme et leur structure a été déterminée par l'usage auquel ils étaient destinés comme par la région où ils étaient fabriqués.
Bullwhips : A l'origine utilisé pour le bétail, ou par les planteurs Texan sur leurs esclaves, c'est le fouet d'Indiana Jones. Ceux-ci ont un manche rigide en général entouré par la tresse externe du corps. La queue est soit de type américain soit de type australien . Le cracker est le plus souvent attaché a la queue par un noud, ce qui permet un remplacement facile.
On différencie donc plusieurs types de bullwhip : australian bullwhip et american bullwhip (des différences existant entre les american bullwhip faits aux USA et en Australie ). Ces fouets très puissants sont souvent trop long pour pouvoir être utilisés en intérieur.
Shock whip : Le fouet australien par excellence, pour le bétail a l'origine. Constitué par un manche rigide assez long sur lequel est noué le corps de fouet. La queue est évidemment une lanière de cuir sur laquelle est noué le cracker. Ceux ci ne sont pas sans similitudes avec les fouets de chasse a cours ou le perpignan. Là aussi leur longueur les réserve plutôt a l'extérieur. Ces fouets sont beaucoup trop longs (environ 2,5m) pour être utilisés autrement qu'en extérieur.
Signal whip : Ce fouet, utilisé a l'origine pour les courses de chiens, est le fouet le plus utilisé en bdsm. . Le Blacksnake en est une variation d'un diamètre supérieur et légèrement plus long utilisé sur des animaux plus importants . Son manche, tressé, est souple et sans discontinuité avec le corps. De même il n'y a pas de réelle transition entre le corps et la queue - le cracker est épissé dans la tresse de queue. Les modèles les plus fréquents font 1,2m de long, les plus réputés sont fabriqués par Joe Wheeler.
Sjumbock
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Sjumbock : ce sont des fouets redoutables, utilisés, entre autre par la police Sud Africaine a l'époque de l'apartheid. Ceux ci sont constitués d'un manche rigide auquel est fixée une tresse qui se termine par une lanière sans cracker. Si les Sjumbock en cuir de girafe sont déjà très puissants et ne doivent être utilisés qu'avec circonspection, ceux en cuir de rhinocéros sont des pièces de musée et ont la réputation de pouvoir casser un avant bras. La police sud-africaine est équipée des modèles en plastique extrudé d'un prix dérisoire!
Quirt : autrement appelés dog quirt. Le manche et le corps sont comparable a ceux d'un signal whip, la queue et le cracker étant remplacés par une lanière de cuir d'environ 2 cm de large, ils sont donc assez courts 80 cm. Ces fouets sont difficiles a faire claquer et peuvent faire très mal.
Flogger
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Les fouets à plusieurs lanières
Ce sont les martinets achetés chez le droguiste du coin qui servaient a corriger les enfants pas sages, ce sont les chat a neuf queux en usage sur le Bounty comme dans toute la marine de cette époque.
Ceux-ci sont constitués d'un manche ( en général rigide) sur lequel s'implantent les lanières, le nombre et la forme des lanières permet de les classer. Même s'ils sont infiniment plus facile a manier que les single-tail il est impératif, pour pouvoir les utiliser correctement, que le poids du manche soit équilibré par rapport aux lanières. Même si leur fabrication est moins complexe que celle des single-tail, un gadget tel qu'on en trouve dans les supermarchés du BDSM ne pourra pas donner plus qu'il ne vaut, c'est a dire rien.
Le martinet, cauchemar des enfants pas sages, plaisir des soumises obéissantes
Les martinets et apparentés, floggers en américain, ont plusieurs lanières simples en cuir ou en d'autres matériaux. Les martinets a lanières de cuir sont ceux qui permettent la plus grande variété de sensations tant par le choix du cuir des lanières (du très doux daim a des cuir plus lourds comme le bison) que par la façon de les utiliser. Les martinets a lanière en latex, a l'opposé, permettent peu de subtilités, provoquant une douleur incisive difficilement dosable. D'autres matériaux peuvent être utilisés comme le crin de cheval ou la fourrure de lapin. Les « mops » sont une variété de martinets comportant 150 lanières en cuir léger comme du daim. Plus le nombre de lanières sera élevé et plus celles-ci seront larges, plus on obtiendra une sensation de masse en profondeur comme une vague enveloppant la soumise. A l'inverse, moins il y aura de lanières et plus celles-ci seront fines (l'extrême étant le martinet a 15 lanières latex) plus l'effet sera cinglant, mais la sensation ne pourra jamais atteindre celle provoquée par un single-tail ou un chat à neuf queux.
Cat'o nine tails
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Le chat à neuf queux, un air vieille marine
Dans la marine à voile le châtiment du fouet était administré à l'aide d'un chat a neuf queux que confectionnait le condamné a partit d'un cordage détoroné (3 torons, eux-mêmes composés de 3 brins). A la fin de la punition les chat à neuf queux étaient, entre autre pour des raisons d'hygiène, (en ces temps-là les matelots étaient fouettés au sang), jetés a la mer. Pas la peine donc de chercher chez un antiquaire l'authentique fouet du Bounty : ce serait une escroquerie. Les chat à neuf queux (cat O nine en anglais) actuels ont leurs 9 lanières tressées de section ronde de façon à garder l'effet cinglant des chat originels. Les lanières sont soit terminées par un nœud soit par deux petites langues en cuir. Ces sont des fouets très puissants, plus encore s'ils sont terminés par un nœud, même s'ils sont plus légers à qualité égale que des martinets. Leur effet est essentiellement cinglant. Un hybride entre chats et martinets est le « flat braid » dont les lanières - souvent 9 - sont tressées plates
Quel fouet choisir ?
Chaque type de fouet a un effet différent, du cinglant superficiel pour les single tail au pesant profond pour les martinets les plus lourd. Dans une même famille de fouets la nature du cuir aura une incidence, du daim extrêmement sensuel, au lourd cuir de bison pour les martinets. Il est donc impératif de choisir son fouet en fonction des sensations que l'on désire provoquer mais aussi de l'expérience de sa partenaire. Un fouet de qualité coûtant cher, il faudra procéder par étapes pour s'équiper.
Choisir son premier martinet :
Le martinet est le premier fouet qu'il est judicieux d'acheter, celui-ci étant le plus facile à manier. Apprendre leur maniement est assez simple et rapide et un entraînement minimal permet de les avoir bien en main, hormis pour les modèles les plus lourd ou un entraînement quasi quotidien est souhaitable. Même si le ridicule ne tue pas il est fortement déconseillé d'acheter un des pitoyables ersatz si souvent vendus dans les supermarchés du bdsm, ceux-ci étant au mieux médiocres voire dangereux, sans parler du grotesque combiné gode-martinet. Le premier point à vérifier lors de l'achat d'un martinet est que les lanières soient biseautées à leur extrémité et que leurs bords ne soient pas coupants afin de ne pas risquer de blesser sa partenaire. Il faudra ensuite s'assurer du bon équilibrage entre le manche et les lanières, gage d'une bonne prise en main et de mouvements fluides et seul moyen d'éviter une tendinite du coude. Il faudra enfin veiller à la bonne fixation des lanières au manche dans lequel elle devront s'emboîter, celles-ci devant former un bouquet harmonieux en cercles concentriques ou éventuellement en spirale afin de rester bien groupées lors de l'impact. Pour le choix du cuir, on consultera a profit l'excellent site de Janette Heartwood.
Passer au single-tail , le grand saut
Acquérir un single-tail, fouet roi du bdsm tant par les connotations qu'il véhicule que par l'intensité des sensation qu'il procure, c'est quasiment changer de dimension. L'improvisation et l'approximation ne pardonnent pas s'il n'y a que quelques millimètres entre une caresse et une coupure profonde, il y a des heures de pratique entre un bouffon et un artiste. « Adopter » un single-tail , c'est s'entraîner au moins trois mois sur un oreiller avant de pouvoir songer à l'utiliser sur sa partenaire, c'est encore s'entraîner un minimum d'une demi-heure par jour (les plus grands Maîtres de la scène américaine s'entraînent en moyenne 2 heures par jour), c'est à ce prix qu'il prendra vie et fera corps avec son maître. Les seuls fabricants étant aux Etats-Unis et en Australie, il faudra passer par Internet pour en faire la commande.
Le signal whip est le plus couramment choisi, moins puissant qu'un bullwhip, c'est quasiment le seul a pouvoir être utilisé dans un intérieur classique, une longueur de 4 pieds est un bon choix. Un 8 brins sera moins précis mais aussi moitié moins coûteux qu'un 16 brins, le choix est donc très personnel. Les plus réputés sont les 16 brins fabriqués pas Joe Wheeler.
Quelques principes de sécurité
Ne pas blesser sa partenaire
Les fouets principalement, les martinets et les chats a 9 queux, n'ont pas qu'un effet sur la peau, plus ceux ci sont lourd plus l'onde de choc se propage sur les tissus et les structures sous jacentes. Il faudra donc se limiter aux parties charnues recouvertes par des tissus musculaires ou des structures osseuses comme le haut du dos, les fesses, la poitrine et les cuisses. Il faudra absolument éviter l'abdomen ( foie et rate ) ainsi que les lombes (reins). Si chez la femme un fouetter léger de l'entrecuisse peut être très érotique, chez l'homme on s'expose a des lésions graves testiculaires. Ceux dont la main n'a pas encore une précision parfaite pourront avantageusement faire porter un serre-taille a leur partenaire, celui-ci recouvrant justement les zones à éviter. Même si certains experts du single-tail s'autorisent a caresser le visage de leur partenaire, ce sont, à moins d'une parfaite maîtrise, des pratiques particulièrement à risque à ne pas imiter. Lorsque vous vous servez du fouet sur plusieurs partenaires n'oubliez pas de désinfecter les lanières (le sang peut s'incruster en profondeur dans le cuir) ou les crackers.
Ne pas se blesser
Lors des débuts avec un single-tail il est important de se protéger les yeux et les oreilles des retour malencontreux. Avant de pratiquer dans une pièce il faut s'assurer que le single-tail dans son mouvement ne pourra s'accrocher à aucun objet, aucun lustre. Non seulement cela abîmerait le cracker mais le risque de recevoir l'objet n'est pas négligeable. Lorsqu'un single queue touche lors de sa course un objet ou un mur celui-ci a la fâcheuse manie de revenir sur son utilisateur, souvent au visage."
Extraits du site de KHAYYAM ALAMUT, texte signé Le SQUALE (2003)
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Par : Switcher
je me suis déjà fait enculer par des femmes avec des godes ceinture,mais le plaisir ne doit pas le même qu’avec une vraie bite. Pourrais je donc prendre du plaisir avec des trans. Mais jusqu’où ? Il fallait que je le sache…
J’entrepris donc de poursuivre mon exploration du genre, et de mes limites.
Je consultais donc des sites de trans à la recherche de celle qui me plairait le plus.
A l’heure dite, je me présente au domicile de la belle avec un peu d’excitation et beaucoup d’appréhension.
Elle m’ouvre la porte. Première bonne surprise, elle est belle, très féminine et très sexy.
Passé les formalités d’usage, elle me donne une serviette de toilette propre et je me dirige vers la douche.
Douche finie, je noue la serviette autour de ma taille et sors de la salle de bain.
Elle est allongée sur le lit, tallons aiguilles, bas, et belle lingerie. Elle me fait signe de venir la rejoindre.
Je lui explique que c’est la première fois avec un trans, elle me rassure aussitôt avec des mots doux. Puis elle m’allonge sur le lit, se penche sur moi.
Très vite, elle glisse sa main sous la serviette, mon sexe est déjà dur, elle m’excite.
Presque machinalement, je descends ma main vers son string pour la caresser. Elle ne bande pas encore mais je sens son sexe qui commence à durcir. J’imagine que d’avoir à faire à un novice doit l’exciter un peu.
Elle retire son string pour libérer sa queue puis se place en 69. Elle commence à me sucer. Mon excitation ne fait aucun doute, mon sexe est dur et sa bouche l’engloutit sans difficulté, elle sait y faire.
Je me retrouve avec sa queue sous les yeux. Machinalement, je commence à la branler doucement.
« Suce moi » me dit-elle…
J’obéis. J’avance ma bouche, met ma main à la base de sa queue et commence à la sucer. Je suis plutôt excité d’avantage. Passé les premiers va et vient, je prends confiance et pousse plus loin son sexe dans ma bouche. Elle apprécie visiblement. Sa queue devient toute dure, elle guide ma tête de sa main, sans arrêter de me sucer.
Puis je sens un de ces doigts caresser mon anus, d’abord doucement, avant qu’elle ne l’enfonce lentement pour me préparer à la suite.
Je ne peux plus lâcher sa queue. La sentir grossir dans ma bouche m’électrise. J’accélère le mouvement de ma main comme si je voulais la faire jouir.
Mais ce n’était pas encore le moment. Avant il fallait passer à la casserole…
Après quelques minutes de ce 69 excitant et surtout qu’elle m’ait bien ouvert le cul avec deux doigts, elle m’allongea sur le dos et passa un coussin sous mes fesses.
Je ne contrôlais plus rien, j’étais son jouet.
Elle a relevé mes jambes, enfilé une capote, placé sa queue à l’entrée de mon cul et m’a pénétrée doucement.
Dire que je n’ai pas eu mal serait mentir, mais c’était aussi jouissif. Tout en s’enfonçant en moi, elle branlait ma queue. Et elle rentra toute sa queue dans mon cul.
Voilà, je l’avais fait, pour la première fois, je me faisais enculer.
Elle resta quelques instant figée au fond de moi avant d’entamer un lent va et vient. La douleur s’estompa , le plaisir prenant la relève au fur et à mesure qu’elle allait et venait dans mon cul.
Après que minutes dans cette position, elle se retira, me retourna sur le ventre et me pénétra à nouveau. Plus fort, plus violemment, plus vite… Je me laissais faire, je ne réfléchissais plus. Sa queue me faisait du bien. J’en voulais encore.
Elle me pilonna pendant de longues minutes en me susurrant des mots crus :
« Tu aimes que je t’encule . Tu aimes que je défonce ton petit cul serré »
Je ne répondais même plus, j’étais submergé par le plaisir.
Elle se retira, s’allongea sur le dos et me fit s’asseoir accroupi sur sa queue. Dans cette position, elle m’a possédé encore plus loin. Sa queue me provoquait un plaisir intense, je la voulais encore plus loin dans mon cul.
En même temps quelle me prenait, elle branlait ma queue qui était gonflée comme jamais.
J’allais de plus en plus vite sur son sexe, je sentais que j’allais exploser, et elle aussi.
« Vas y , bouge, je vais jouir »
Elle a eu en un spasme puissant, elle jouissait dans mon cul.
Cette sensation m’a fait jouir violemment, d’autant qu’elle me branlait toujours. Je me suis vidé sur son ventre puis écroulé sur elle.
Je suis resté comme ça plusieurs minutes sans bouger, je ne pouvais plus. " Tu l’as fait… Et tu aimes ça. Tu es une vraie petite lopette et je vais t'enculer tous les semaines pour que tu deviennes une vraie salope.."
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Mon rôle était très clair. Table basse. Le seau était posé sur mon dos, froid, trempé, glacé. Le champagne devait couler à flot. Madame avait invité quatre de Ses amies pour fêter Sa promotion. J’étais donc posé face au canapé, nu, encagé (2 semaines que je n’avais pas joui), et les convives arrivaient les Unes après les Autres.
Elles étaient assises, jambes croisées, laissant apparaître la frontière délicieuse de leurs bas, sirotant leurs coupes pleines de bulles, et se moquant copieusement de celui qui était là, devant Elles, impuissant, tête baissée, dans l’impossibilité de bouger sous peine de faire tomber un seau de métal rempli d’eau.
La soirée était gaie, pleine de rires et de verres qui trinquent, et l’alcool étaient en train d’aviver leur envie de se défouler sur moi. L’Une d’entre Elles se leva et renversa le contenu glacial du seau sur mon corps qui tressauta. Elles vinrent les Unes après les Autres me distribuer des fessées d’intensité croissante, faisant rougir une peau douce qui aimait ça.
Elle retira ma cage. Chacune à Leur tour, Elles branlaient une queue qui n’avait vraiment pas besoin de cela pour durcir. J’étais trait. La queue tirée en arrière, le seau positionné pour recevoir une semence qui ne pouvait plus être contenue, Chacune se donnait dix secondes pour me faire couler. Je ne pus résister plus de cinq tours. Le jus s’écoula dans le fond du seau.
Une fois vidé, Madame m’attacha dans le coin du salon, et me fit avaler le fond du seau. Le bâillon-boule reprit ensuite sa place. Elles continuèrent de S’amuser, puis sortirent terminer Leur soirée, sans même m’adresser le moindre regard. J’étais nu et abandonné.
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tout commence par un ordre …. un seul ordre tellement simple, mais si poignant ! je la regarde l’aire de dire « ouiiiii Maitresse «
( je devais tout préparer pour qu’elle puissent jouet de moi )
j’ai commencer par présenté tout les jouet sur les commodes, cela parait bisard mais c’est extrêmement excitent de faire sa …. préparé les jouet sans même savoir avec les quel elle va jouet sur son petit soumis.
J’allume toute les bougie dans la chambre, bougie après bougie l’éclairage se fait de plus en plus agréable, Hummmmm mon cerveau travail déjà a tout se qui pourrait arrivé.
puit j’enlève mes vêtement chose qui m’emprisonne … sans mes vêtement je me sent plus libre, pret à servir ma Maitresse ou plutôt prêt à se que elle se serves de moi comme elle le veux !!! ouiiiii a se moment la je me dit « hummmm je luis appartient !! «
je m’instale à 4 pates tel es ma place !!!
je doit l’attendre.
les chose s’accélère, mon coeur bat plus vite, j’ai des frisson, mon cerveau plane… pourquoi ?? car je sais que ma Maitresse va arrivé !!
je l’entend arrivé, je ne la regarde pas … je n’ose même pas la regardé, elle dégage une énorme prestance, une force, une intimidation !!!
elle se trouve alors assise devant moi, et même au vue de ceci je suis et je serait tout de même plus bas qu' elle !!
puit vien cette phrase qui déclenche se mouvement qui fait venir sont chien a ses pied !!! hummmmmm je l’entend encore !!!
« aller vien la « qu’elle me dit !!!!
je me retrouve attire par elle, se corps qui lui appartient s’exécute tout seul, elle commence a caressée se même corps.
j’aime telement sentir ses ongles hummmmmmm oui sa m’excite !!!
elle pose sa tête me demande de me redresser, et la moment fort !! elle me fait signe de saisir la clef, oui la clef de Sa queue !! qui se trouve en cage et me dit « enlevé la cage ! »
chose que je fait de suite …
elle dit « maintenant je vais prendre ma douche tu reste ainsi et tu ne bouge pas !!! «
wouaaaa je m’exécute bien que très difficile a résisté cette position fait mal a mes cheville, sa douche se passe bien je l’entend …
se corp qui lui appartient, lui ne peut plus pour longtemps avent de s’effondre faiblement … mai nonnnnn je veux être fort pour ma Maitresse !!!
elle fait une apparition d’une simplicité fulgurante elle me dit « Branle toi !! « hummmmm oui Maitresse.
cette fierté que je ressent !!
elle revient elle me voie … Sa queue toute dressée l’excitation monte …
j’entend « arrete de te branlé «
frustration, envie, chaleur, perte de toute notion ….. tout se bouscule dans ma tête !!!!
elle me fait signe de monté sur le lit toujours a 4 pattes bien equipé !!
bracelet menotte, bâillon boule, cagoule, rosebud dans le cul de son petit soumis.
je suis la le cul bien cambré.
et la elle me dit ….. « tu n’a pas été sage tu sais pourquoi et tu sais se qui t’attend !! «
( en effet la veille j’ai fait une bêtise qui l’a privé elle de ses envies )
gros sentiment …. par le marquage de ses fesse par la cravache se sont la les marque de ma bêtise qui seront « effacé « ouais car malgré tout au fond de moi j’ai aprit de cette erreur.
elle prend les menotte en métal celle bien solide !!! les main relié au pied me voila en position, je doit compté avec elle
CLAQUE …. 1
CLAQUE ….. haaaa 2
CLAQUE ….. 3!!!!
CLAQUE ….. hooooo 4
CLAQUE ….. 5…..
silence malgré moi me voila plongé dedans j’ai oublié de dire « merci Maitresse «
CLAQUE …… 6 ( pour l’oublie )
Merci Maitresse
hoooooooo hummmmm….
la je sent le martinée continué le travail !!!!! hummmmmm la douleur se transforme en excitation petit a petit
j’entend « tu voulait jouet avec celui la «
et la je sent son catonine fondre sur le cul de son petit soumis !!! hummmm je ne répond plus de se corp j’ai l’impression d’être l’instrument de son plaisir!!
et l’intrument ne se doute de rien mais il va bien servir !!!!!
je sent sa main sur le cul de son soumi se froid indique le lubrifiant !! elle m’enfonce des doigt !!!
la tout va très vite non pas en réel mais mon cerveau se déconnecte je suis …… je suis un pantin d’ont elle tire les ficelle !!!
elle me sent partir me demande si ça va … je répond que non plutôt moyen car j’ai la tete poser sur le coté elle me change de position … 4 pattes main toujours lié par les menottes en metal les cheville lié egallement…. je me cambre tout seul en me disent
« aller y Maitresse faites se que vous souhaitez de votre soumis « !!!!
hummmmmm quel excitation !!!
je sent la le gode en moi je ne sais pas le quel je ne penses que au SENSATION !!!! ouiiiiii les SENSATION d’avoir le cul plein !!
De sentir depuis l’interieur quelque chose touché les point de jouissance que je n’ai jamais senti !!
cette queue qui essaye d’être a la hauteur de cette même excitation …. mais impossible cette sensation nouvelle es bien plus fortes
Elle ENCULE bien fort son petit soumis elle le tien par les cheveux !!!
elle me dit « vas’y joui !!!!!! «
hum cette parole résonne en moi comme une goute qui fait débordé le vase ….
elle ENCULE son soumis plus vite, plus fort
hummmmmmm je vien !!!! je sais même plus parlez !!! je suis déconnecté de tout ceci !!!
mon corp n’est plus mien il lui appartient
ELLE CONTROLE TOUT !!!!
hummmmmm jouissance total !!!! heuuuuuu hoooooo hummmmm ouiiiiiiiiiiiiii hohohohhoooooo
elle se retire de moi …. je me sent tout legé tout chose !!!!!!
je suis perdu de la realité
mais je sais que se qui vient de se passer est simplement :
hummmmmmmm très bon.
elle le sais bien sur elle l’a lu …. interprété de se corp qui es le sien !!!!
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