O-PEN
par le 21/07/22
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UN FROID GLACIAL, SES LEVRES, EN ATTENTE
HIVER 2016...
Dix minutes avant, elle m'attendait dans sa voiture sur un parking à proximité de chez moi.
Après l'avoir fait monter à l'aveugle dans ma voiture, elle était maintenant dans la cours, dans le froid, sans m'avoir vu, les yeux bandés, alors que sa cigarette tremblait encore entre ses lèvres quelques minutes auparavant ...
..
Je la fis s'appuyer, les reins sur le capot chaud de la voiture.
Je glissais une jambe entre ses genoux afin de les écarter, relevant sa jupe noire, elle vibra, sa respiration s'accéléra, elle commençait à glisser vers le sol, comme déjà, liquéfiée, tremblante, hypnotisée par la situation.
Je frottais mon sexe au travers de mon pantalon contre son visage, ses mains cherchaient, ou plutôt, farfouillait, hésitante. Je l'invitais à mettre ma verge à l'air.
La braguette descendit, sa respiration était devenue haletante, ses lèvres, timides, s'approchèrent.
Le froid était glacial,,, ses genoux au sols ne bougeaient pourtant pas dans les gravillons, situation inconfortable assurément, mais, soumise, disponible, son esprit était ailleurs devant cet inconnu que j’étais. Elle frémissait pourtant sans rien dire, s'appliquant en suivant la pression que j'appliquais sur sa chevelure, son bandeau réajusté. Graduellement ses lèvres prenais et pressais mon gland turgescent, et s’appliquait à aller plus loin, en découvrant mon verge, l'absorbant, suçant méticuleusement, avec grâce, attention. Je vérifais sa vulve, son état. Elle était au point, sa cyprine commençait à glisser sur le bord de ses petites lèvres, perlait sur une de ses cuisses, soyeuse, fines comme j’aime, prête, dans l’attente, palpitante, incontrôlable.
Son corps fut vite réchauffé sur le capot de la voiture et par mes caresses qui l’enflammaient. Ensuite je cessais ce supplice pervers mais si excitant pour la conduire à la maison.
Près de la cheminée elle se réchauffa, s’allongea sur le canapé, et enfin, tout simplement dans mon lit.
Je lui saisis sa chevelure, enserra d’une main son cou, regarda ses yeux, elle comprit, entrouvrit ses lèvres, et là, plus que contre le caopt de ma voiture, j’enfonçais mon membre, mon gland pénétrant, loin tout en appuyant sur sa nuque de l’autre main. Je voulais qu’elle sache qui j’étais, du vrai, du dur.
Ensuite, voyant ses courbes gracieuses osciller, comme en appel, je lui fit tendre sa croupe vers moi, bonne soumise que j'avais pressenti.
Offerte telle une femelle qui devinait ce qui l'attendait, qui voulait prendre, sa croupe remuant sous mes mains en tous sens, saillante, tantôt cintrée, courbée, renversée, hahannante, subit dans son petit trou, complètement, profondément, la burinant, encore et encore, pilonnant longuement, le temps ne comptant plus, elle, gémissant, jouissant,,,,, sodo sodo, sodo, comme une mélodie, ou plutôt un rock’n roll endiablé, lui pilonnant son joli cul...
Elle voulait du Hard, de l'anal, elle n'avait jamais vécu l'intensité sexuelle. Son annonce était ainsi écrite :
"Après dix années de couple avec un mari qui me comblait dans mes passions communes autour du monde du cheval, je l'ai quitté, ne connaissant que l'amour normal, vanille. Je voudrais essayé le sexe hard. Je n'ai pas d'expérience."
Ensuite, j'offris la récompense apaisante, nous fîmes l'amour normalement, avec tendresse; elle me regardait, incrédule, cet inconnu que j’étais encore quelques heures auparavant.
9 personnes aiment ça.
Merci pour ce texte et pour cette photo que beaucoup apprecieront
J'aime 21/07/22
Maitre86
Merci
J'aime 24/07/22
très beau texte qui va avec la photo bravo et merci Bonne continuation
J'aime 24/07/22
Maitre86
J'adore là photos de profil
J'aime 24/07/22