sylvie35
par le 03/12/23
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Les têtes Doppler se rétractent. Les écrans s’éteignent. Le silence emplit la pièce [1]. Mon Maître laisse tomber une feuille de papier qui atterrit délicatement sur mon ventre après un élégant vol plané. Sans un mot, il s’éloigne en compagnie de Satoshi, me laissant seule avec le jeune homme, qui entreprend, sans attendre, de me libérer de mes liens.

J’examine la feuille avec curiosité. Je n’y comprends rien – à peine arrive-je à décoder quelques kanjis. Mais je reconnais la structure du formulaire d’évaluation.

Le jeune homme s’assoit sur une chaise et m’invite à en faire autant. Il semble aussi timide que moi, ce qui ne va pas faciliter les choses. Le silence est pesant.

Je sais ce que mon Maître attend de moi, mais je ne sais pas comment y arriver. Je le regarde un bref instant et je rougis, sans oser prendre l’initiative. Détourner le regard et baisser les yeux est ma seule réaction.

 « Ce n’est pas possible d’être aussi empotée ! » me dis-je, rageant intérieurement contre moi-même. Si je retrouve mon Maître sans avoir été baisée, je vais prendre une sacrée raclée, ça j’en suis sûre.

Je suis toujours nue, m’abstenant volontairement de récupérer mes vêtements. C’est un signe qu’il devrait interpréter sans ambiguïté. Mais ce qui semble une évidence pour moi ne l’est pas forcément pour l’autre, à plus forte raison s’il est né dans une autre culture. Je devrais pourtant le savoir.

Je me rends compte que je ne connais même pas son prénom. Je me risque à le lui demander.

Cette simple question suffit à le désinhiber un peu. Masato  me demande timidement si cela m’intéresse qu’il me fasse visiter le campus universitaire.

Évidemment que je veux bien ! Cela me fera gagner du temps – le temps que j’arrive à surmonter ma timidité et que je trouve un moyen de lui faire comprendre que je dois être pénétrée et notée, sinon je serai sévèrement punie… Je m’habille et l’accompagne, main dans la main - c’est bon signe.

Tout est nickel sur le campus, pas un grain de poussière. Nous sommes au Japon, je ne devrais pas en être surprise, et pourtant le dépaysement agit encore.

Dans un anglais hésitant, il me parle un peu de la thèse qu’il est en passe de terminer et de l’admiration qu’il porte au Professeur. Au détour de la visite, il me fait découvrir son logement. Une minuscule chambre d’étudiant. Une chaise, une toute petite table, un lit d’à peine une place, ...  Ici on ne fait pas dans le superflu.

Pas un instant à perdre, me dis-je – c’est le moment ou jamais. A peine la porte refermée, je me déshabille entièrement. Là s’il ne comprend pas…

Je m’allonge nue sur le lit et, assis sur le rebord, il passe délicatement ses doigts sur mes marques. J’en suis fière de ces marques ! Mémoire des soirées où mon Maître m’a corrigée à coups de ceinture, des soirées où je ressentais dans mes tripes le plaisir qu’il éprouvait à me cogner, comme si nos esprits étaient connectés. Il parcourt chacune lentement, très lentement. Yeux fermés, à travers les sensations tactiles je reconstitue mentalement le graphe qu’elles dessinent sur la peau. C’est terriblement érotique et je me demande si je ne vais pas finir par avoir un orgasme spontané.

J'ouvre les yeux. Il a sorti sa bite. Lui aussi est très excité par la scène, si j’en juge par la vigueur de son érection. La vue d’une femelle qui a été sévèrement corrigée et qui en porte encore les stigmates excite les hommes, en général.

J’entreprends de lui sucer la bite, avec délectation. Avec un peu trop d’enthousiasme, sans doute. L’éjaculation est presque immédiate, m’emplissant la bouche de la précieuse semence.

 « Quelle conne ! », me dis-je.

Je voudrais m’excuser, mais je ne peux pas. Je garde le sperme en bouche, attendant qu’il m’autorise à avaler.

Il est jeune. Avec un peu de chance il pourra remettre ça. Je me suis souvent dit que la sexualité masculine est mal conçue. Elle nécessite beaucoup de self-control. C’est tellement plus facile d’être femelle ! De par ma curiosité maladive, j’ai souvent rêvé d’avoir la possibilité technologique de transférer temporairement mon esprit dans le corps d’un homme, pour expérimenter intimement ce qu’il ressent.

Ce n’est qu’après un long moment qu’il comprend, enfin, que je ne n’ai pas le droit d’avaler le sperme de ma propre initiative et que j’attends désespérément son feu vert.

La nuit est déjà tombée. Après un frugal repas, je dois insister longuement pour lui faire accepter le fait que je peux parfaitement dormir sur le sol. Le lit est bien trop petit pour deux, il ne sera pas à l’aise, et puis je sais ce que mon Maître voudrait s’il était là.

Je me demande si je ne devrais pas lui parler du risque de migration des zébralyvox. Et puis zut ! Tant pis. Surmonter ma timidité, c’est déjà assez compliqué comme ça. De toute façon, il doit bien s’en douter. Il a vu les images. Et puis le risque est minime. Les zébralyvox préfèreront certainement rester ensemble pour l’instant, ayant trouvé un environnement favorable dans mon corps.

Après m'être refait une beauté et m'être soigneusement préparé et lubrifié le cul, je m'allonge sur le sol, à ma place de chienne. Je veille à maintenir mes cuisses ouvertes, comme une invitation à la pénétration, signifiant ainsi qu'à tout moment, même au milieu de la nuit, je suis disponible pour le plaisir du mâle. Il m'arrive de les refermer pendant mon sommeil, mais de moins en moins. A la maison, à chaque fois que mon Maître m'a trouvée cuisses serrées, il m'a réveillée et réprimandée, alors j'acquiers peu à peu les bons réflexes. Je m’endors en espérant qu’au petit matin Masato aura pleinement récupéré sa vigueur. C’est bien le cas et sans attendre le matin ! Il me réveille au milieu de la nuit, certainement très excité par le fait de savoir qu’il y a une femelle nue au pied du lit, cuisses ouvertes, collier d'esclave au cou, n’attendant que la bite  – il doit y penser depuis que l’on a éteint la lumière, se faire des plans dans sa tête, et puis, n’y tenant plus, il m’a réveillée.  

Il me gifle, me laissant interloquée. Il a vu mon Maître le faire – il doit penser que tout le monde en a le droit. Mais je ne relève pas. Après tout, je l’ai bien mérité, après ma maladresse d’hier soir. C’est parti pour de la baise non-stop jusqu’aux premières lueurs du jour ! Ceci en toute illégalité, car nous n'avons pas de Fucking Pass. De quoi être arrêtés et condamnés si nous étions découverts.

Il est complètement épuisé, à force de me ramoner les orifices sans ménagement. Moi aussi d'ailleurs, mais je ressens la satisfaction de lui avoir bien vidé les couilles, jusqu'à la dernière goutte de sperme. J'aurais tant aimé que mon Maître eût été là pour observer mon comportement et constater les premiers résultats du sévère et exigeant dressage auquel il me soumet depuis des mois et des mois. Depuis que je lui appartiens, il me dresse en esclave sexuelle, dévouée au plaisir, avec un niveau d'exigence qui me donne l'impression d'être préparée comme une athlète de haut niveau, ce qui fait souvent l'objet de plaisanteries entre nous.

Masato a eu tout loisir de tester mes trois orifices, longuement, profondément, dans toutes les positions, de pétrir mes mamelles et de juger de la manière dont je me comporte sexuellement. Il ne devrait avoir aucune difficulté à m'évaluer de manière détaillée, aussi sincèrement que possible, avec bienveillance mais néanmoins sans complaisance, ainsi que le souhaite mon Maître et ainsi qu'il l'a précisé en entête du formulaire d'évaluation. Je lui tends le formulaire, en lui demandant de bien vouloir me noter et compléter toutes les rubriques sans exception dès qu’il en aura le temps. J’insiste sur le fait que c’est très important pour moi, sinon je serai punie. J’espère qu’il le fera et qu’il ne sera pas trop sévère.

Il me suggère de prendre notre douche ensemble, mais je ne peux pas. Je lui explique qu'en tant qu'esclave je dois obligatoirement me doucher à l'eau froide - ordre du Maître - et que je ne voudrais pas lui infliger cela! 

La matinée est déjà bien avancée. Masato me propose de visiter le chantier de la B.I.T.E.S. En tant qu’universitaire, il fait partie des privilégiés qui peuvent accéder au site. Mon Maître ne m’a laissé aucune consigne. Je ne sais ni où ni quand je suis supposée le retrouver. Alors, pourquoi pas. Je suis curieuse de visiter ce projet – le plus coûteux de tous les temps.

Situé au pied du mont Fuji, le site japonais de la B.I.T.E.S. – Broadest Initiative against Terror and Extra-terrestrial Spacecrafts – fait partie du complexe de défense planétaire. L’initiative comporte deux volets, l’un destiné à lutter contre le terrorisme grâce au renforcement de la surveillance de masse, l’autre, le plus important, destiné à protéger la planète contre les envahisseurs extra-terrestres. Une campagne d’opinion avait déjà été tentée en 2023, sous couvert de prétendues fuites d’informations attestant de la réalité de la menace Alien [2]. Mais elle n’avait pas pris comme espéré. Relancée récemment, avec une orchestration bien plus efficace, elle a suscité très vite l’adhésion de la population.

Bien que loin d’être terminé, le chantier est déjà impressionnant. A perte de vue, des alignements de canons électromagnétiques, destinés à assurer notre protection. Une initiative dont la Suprême Alliance Démocratique est très fière. On dirait un champ de bites, énormes, dressées vers le ciel. Accolées à chaque bite, deux énormes couilles servent de réservoirs dans lesquels un liquide  blanchâtre est brassé et magnétisé, avant d’être introduit dans le canon.

Lancée à l’initiative d’un ancien POTUS reconverti dans le projet messianique de sauvegarde de la planète, la B.I.T.E.S. est entièrement financée sur fonds publics - le plus gros détournement d'argent public de tous les temps - et suscite l’adhésion massive de la population. Récent lauréat du prix Hunter B., récompensant les hauts responsables politiques qui, durant leur mandat, ont œuvré de manière exemplaire contre la corruption et le trafic d’influence, son initiateur jouit d’un prestige immense, savamment entretenu par les médias. Alimentés par une énergie verte, 100% décarbonée, les canons respectent scrupuleusement l’idéal politique de la Suprême Alliance Démocratique, soucieuse du climat avant tout, même quand les pires menaces pèsent sur l’humanité.

« Est-ce que tu sais qu'en vrai le sperme des hommes n'est pas stocké dans leurs testicules? » me dit Masato, dans un anglais toujours aussi hésitant. J'ai une petite hésitation, et puis je choisis de faire l'andouille, de faire comme si je ne savais pas. Cela lui donnera le plaisir de m'expliquer l'anatomie du mâle, cela lui donnera confiance en lui. Un tout petit mensonge pour la bonne cause... Est-ce bien? Est-ce mal? Je ne sais pas vraiment.

Une démonstration est imminente et le compte à rebours a déjà commencé. On nous apporte des casques anti-bruit, destinés à protéger nos tympans du bang hypersonique qui se produira lors de l’éjaculation. Au terme d’une vertigineuse accélération, que seul un canon électromagnétique peut produire, des amas de liquide blanchâtre sont expulsés à plus de 20 fois la vitesse du son. Les amas deviennent rapidement incandescents sous l’effet de l’échauffement puis disparaissent en haute altitude. En douze secondes seulement, les projectiles visqueux ont déjà atteint l’ionosphère, à 80 km d’altitude, et deviennent invisibles à l’œil. Lorsque le dispositif sera entièrement opérationnel, il constituera une barrière infranchissable pour les vaisseaux Aliens, qui se retrouveront englués par ce liquide visqueux, se solidifiant à leur contact et les rendant impossibles à manœuvrer.

L’objectif des Aliens pourrait être de violer les femelles humaines pour les ensemencer, assurent de plus en plus de spécialistes. La Bill & Alvértos Fucking Corporation a déjà dans les tuyaux un vaccin à ARN messager ciblant la protéine spikouze, présente à la surface des spermatozoïdes Aliens. Le vaccin transformera les cellules de la receveuse en usines à spikouze, provoquant la formation continue d’anticorps hautement protecteurs, ainsi que l’affirme le consensus scientifique relayé par tous les experts de plateaux. C'est sûr et efficace, et c’est la garantie de ne pas être fécondée par ces monstres. Des images de synthèse, terrifiantes, montrent l’horreur qui attend celles qui refuseraient le vaccin, subissant les plus humiliants outrages, violées et ensemencées par des monstres extra-terrestres aux yeux rouges, puis mises en cage pour la durée de leur gestation. C’est la bousculade pour s’inscrire sur les files d’attente. Les premières inscrites seront les premières à bénéficier de la précieuse injection quand elle sera disponible.

 « Mais pourquoi prévoir cette injection si nous sommes déjà protégés par le projet B.I.T.E.S., réputé infranchissable ? » s’est risquée à demander une journaliste stagiaire. Depuis, elle a disparu des écrans.

Le spectacle de ces amas  incandescents s’élevant à vitesse hypersonique vers la ionosphère est magnifique, c’est un fait. Je serais presque tentée d’adhérer au narratif, moi aussi. Et pourtant… Si tant est qu’ils existent, qui pourrait croire que nous arrêterons des êtres qui ont les capacités technologiques de franchir des milliers d’années-lumière en leur balançant de gros chewing-gums spermiques ?  Fussent-ils les chewing-gums les plus coûteux de l’histoire ? Un enfant de 5 ans, peut-être ?

Pas seulement… Le début de la décennie a démontré que la population est prête à gober n’importe quoi. C’est juste une question de matraquage médiatique et de pouvoir de conviction des experts de plateaux [3].

Masato m'a tellement prétri les mamelles sans ménagement pendant la nuit qu'elles en sont encore très douloureuses. Ce n'est pas grave, ça passera. Il me caresse la joue avec gentillesse, comme pour me remercier du plaisir que je lui ai procuré. Cela déclenche immédiatement un sentiment de bien-être qui m'emplit le corps et l'esprit. J'adore donner du plaisir et sentir la satisfaction chez l'autre. C'est ma plus grande source de motivation.

Il me demande quand est-ce que j’ai compris que le totalitarisme était déjà en marche, chuchotant à mon oreille, la voix tremblante, comme s’il craignait que Big Brother ne nous surveille.

 « A un moment où nous aurions encore pu l’arrêter, si nous avions ouvert les yeux »

Je réalise que je chuchote moi aussi.

 

à suivre


Contexte et références

 [1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).

 [2] Officials and lawmakers push for more government transparency on UFOs, CNN, July 26, 2023, https://edition.cnn.com/2023/07/26/politics/ufo-house-hearing-congress/index.html

 [3] « On nous raconte des faits qui n’existent pas et on passe sous silence des faits qui existent. […] La pensée n’est plus régulée par le retour d’expérience ; elle s’impose en tant que certitude délirante sur l’expérience, interprète et déforme la réalité pour la faire plier sous sa folie, et la lire au travers du prisme de son dogme, qui ne souffre aucune remise en question. […] A force de répétition, la population finit par être persuadée que l’eau brûle et que le feu mouille ». Ariane Bilheran, Psychopathologie du totalitarisme, septembre 2023, pages 42-43

 

10 personnes aiment ça.
Feuler
Excellent comme toujours. Les BITES en DCA du futur contre une invasion alien, j'en ris encore !
J'aime 03/12/23
sylvie35
Merci beaucoup, Feuler, pour vos encouragements. Dommage que je sois une bille en dessin, sinon j'aurais mis en illustration les alignements de BITES en pleine action, tels que je me les représentais mentalement, car c'était assez cocasse et en même temps très excitant 1f602.png
J'aime 04/12/23 Edité
sylvie35
Merci beaucoup pour le compliment, Clément7614 1f642.png
J'aime 04/12/23
sylvie35
Merci Clément7614 pour votre sympathique appréciation. 1f642.png Non, non, je ne cherche pas à faire exploser les compteurs 1f602.png1f602.png1f602.png Bien sûr, les commentaires me font très plaisir et c'est le moteur qui m'a motivée pour continuer. Quand on écrit, c'est toujours en espérant que ça plaira à quelques personnes, sinon à quoi bon...
J'aime 04/12/23
1f60d.png1f60d.png1f60d.png1f60d.png1f60d.png Arrête de me faire rire Sylvie, je vais finir par me briser les côtes !!! Le sperme hypersonique 1f602.png Le tir de barrage des batteries de bites 1f602.png Le prix Hunter B de lutte contre le trafic d'influence Ah! Ah! Trop fort 1f60d.png ... Non, n'arrête pas, c'est génial !
J'aime 05/12/23
sylvie35
Merci Jakez! Ravie que ça vous ait plu, et vraiment désolée pour vos côtes 1f60a.png
J'aime 05/12/23
albadeo
orgasmique
J'aime 07/12/23
sylvie35
Un peu de plaisir dans ce monde si sombre... Merci albadeo 1f642.png
J'aime 07/12/23
albadeo
un mélange heureux entre orgasme et cosmique qui se prête assez bien à ton récit1f60a.png
J'aime 07/12/23
sylvie c'est très interessant et superbe comme tous tes artcicles. ca fait réflechir surtout. tu m'a donner le gout de lire. qu'est ce que ca veux dire potus ?
J'aime 08/12/23
sylvie35
Merci albadeo. Du mélange naît la richesse. C'est le principe du cocktail 1f642.png Merci maitreduresevere! POTUS c'est l'acronyme de "President Of The United States". C'est un acronyme couramment utilisé dans les médias anglophones, mais c'est vrai que ça l'est beaucoup moins chez nous. J'aurais dû mettre la signification entre parenthèses...
J'aime 08/12/23
songeur7
Bonjour Sylvie35, Lol, des bites géantes pour protéger la Terre. Il fallait y penser. Je ne sais pas si les vaisseaux extra-terrestres ont vocation à arriver dans votre oeuvre, mais je me demande bien l'aspect que vous allez leur donner pour recevoir nos projectiles défenseurs ... S'il-vous-plaît : maintenant, vous ne pouvez plus ne pas faire arriver les aliens ... Belle imagination. Bravo.
J'aime 09/12/23
sylvie35
Bonjour songeur7 et merci beaucoup pour votre commentaire. Je ne sais pas encore s'ils oseront pointer le bout de leur nez ou s'ils rebrousseront chemin, ni vus ni connus, terrifiés par ces milliers de bites prêtes à éjaculer 1f602.png
J'aime 09/12/23
gitane sans filtre
Superbe et prenant comme toujours ! un rapport avec le projet BITE (biométrie), je pense que oui 1f609.png
J'aime 09/01/24
sylvie35
Merci gitane ! Je ne connaissais pas le projet Européen BITE (ceci dit, ce n'est pas étonnant car l'étendue de mon ignorance me donne souvent le vertige 1f602.png1f602.png 1f602.png ). Merci de me l'avoir fait connaître. Les questions abordées dans cette étude sont intéressantes. La technologie permet le meilleur comme le pire, selon le niveau de sagesse de ceux qui la mettent en œuvre - et c'est bien là tout le problème...
J'aime 10/01/24
Olivier
C'est une superbe description - mais pour arriver à ce stade, il faut tout de même un peu de temps et de pratiques plus light au préalable
J'aime 01/04/24 Edité
sylvie35
Merci Olivier. Je ne sais pas. J'ai l'impression que ce que fait mon héroïne en termes de bdsm ne demande pas de capacités particulières, ni de grandes compétences techniques, mais que c'est surtout le mental qui est essentiel. Je m'inspire en partie (il y a des différences bien sûr) de la manière dont je vis ma propre relation et mon sentiment c'est que l'essentiel se passe dans la tête: il faut savoir ce que l'on veut, être motivée, accepter pleinement son statut. Après, j'ai l'impression que lorsque le mental est fort, le reste suit (endurance, etc.). Ceci étant, il y a bien sûr une multitude de manières de vivre une relation bdsm et ce que je dis là n'est valable que pour un type de relation particulier. Mais peut-être que vous faisiez référence à autre chose et que je réponds à côté. Désolée si c'est le cas.
J'aime 01/04/24
Olivier
C'est exact : si le mental est là, ça va aller tout seul. Je partais du principe que, en général le mental n'est pas totalement prêt et qu'il faut y aller par étapes. Mais si la maturité est présente, ça va aller tout seul, oui
J'aime 01/04/24
sylvie35
Oui, je comprends. En fait, cet article fait partie d'une série que j'ai commencée fin 2022 (ça doit être le 17ème si je compte bien) et dans les premiers articles elle était moins assurée. Elle savait déjà ce qu'elle voulait, et la motivation était là, mais elle avait moins confiance en elle. J'imagine qu'il existe d'autres cas de figures, par exemple lorsqu'au départ la soumise a confiance en elle mais ne sait pas très bien ce qu'elle veut, ou n'accepte pas totalement son statut, mais comme c'est très éloigné de ma psychologie, je ne me sentais pas assez à l'aise pour la décrire ainsi. Plus tard peut-être, dans une autre histoire, si j'acquiers davantage d'aisance avec l'écriture. Sait-on jamais...
J'aime 01/04/24