Bdsmforyou
par le 14/02/24
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La présentation : Épisode 3

 

« Bien à partir de maintenant tu ne parleras plus sauf pour compter les coups si tu es punie. Tu peux gémir, couiner,  chouiner, sangloter, aboyer…

Tu répondras à chaque question par un aboiement un pour dire oui deux pour dire non.

Tu sais aboyer? Réponds en aboyant comme la bonne chienne que tu es ».

 

Lilly poussa un petit “ouaf” qui voulait dire oui mais qui ne sembla pas mais alors pas du tout convaincre son dresseur.

« Ridicule! c’est nul recommence en y mettant plus de conviction. »

Lilly recommença et recommença encore. Mais ses aboiements sonnaient faux. Exaspéré il lui mit deux puis quatre doigts dans la bouche, afin de faire sortir du fond de sa gorge des aboiements qui semblaient provenir de ses tripes.  Elle avait du mal à respirer et à déglutir mais il ne céda pas. Ses “ouafs ouafs” étaient maintenant rauques et rageurs.

 

Enfin satisfait il la laissa souffler et il proposa une pause et mit lilly à quatre pattes sur la table basse bien exposée devant nous.

On dégusta un whisky écossais single malt de 25 ans d’âge dans de confortables fauteuils clubs en cuir anglais, en admirant les premiers résultats de la transformation de Lilly en chienne.

Il commenta son corps en des termes vulgaires, parlant de son cul rebondi, de ses mamelles tombantes, la traitant de salope sans pudeur, de chienne en chaleur…

Immobile, exposée sur la table Lilly était morte de honte. Il lui posa une écuelle remplie d eau et elle lapa sans rechigner.

 

Moi je la trouvais jolie ma Lilly.

Sa taille de guêpe, sa queue pointant entre ses fesses et les lèvres de son sexe étirés étaient une invitation à la baiser.

 

 

 

Puis le dressage reprit. Il passa en revue les différentes positions que toute bonne chienne se devait de connaître.

“Faire la belle” elle savait  et ce fut une simple formalité. Elle était à genoux cuisses ouvertes, bien droite, les pattes repliées à hauteur des épaules. De joie sa queue devait s’agiter.

Prendre la pose à l’arrêt, tête au sol mains bien à plat devant elle, cuisses écartées et bien cambrée, c’était la pose numéro 5. Dans cette position indécente, il s’amusait à lui taquiner le sexe et à la doigter afin de bien lui faire tirer la langue.

Il lui fit chercher la baballe et la ramener entre ses dents, et “faire la belle” avant de la lui redonner.

Il ne manquait jamais de glisser un doigt entre ses cuisses pour la féliciter, l’obligeant à tirer la langue. Il attendait de la voir baver avant de renvoyer la balle. Le salon était immense et meublé avec goût, mais de nombreux obstacles imposaient à Lilly de louvoyer entre les meubles.

Elle avait beau se dépêcher,  il lui mettait la pression afin qu’elle aille encore plus vite. Les pinces aux lèvres la faisait souffrir et ramasser la balle avec les dents l’obligeait à des contorsions et provoquait une tension involontaire des pinces. L’homme la suivait en la houspillant, il se servait de la cravache pour la faire avancer plus rapidement, et elle eut bientôt les fesses rougies et zébrées.

 

Bien remuer la queue qui pointait hors de ses fesses était plus difficile qu’il n’y paraissait.

Car seul l’arrière train devait bouger, l’apprentissage fut ardu. Cela rappelait les danses des tahitiennes qui remuaient leur bassin orné de leur pagne en dansant le Otea.

Là encore elle fut cravachée jusqu’à ce qu’il soit satisfait de son déhanchement.

Il exigea qu’elle remue sa queue à chaque fois qu’il l’appelait.

au pied chienne

Elle trottait jusqu’à lui et “faisait la belle” en agitant la queue. Charmant tableau.

 

Pour la récompenser il lui donnait son sexe à sucer et lui imposait un rythme soutenu.

Ce n’était pas à proprement parler un cadeau. Il avait un sexe long et épais.

En l’obligeant à l’engloutir entièrement, elle suffoquait. Elle essaya une fois de se dégager avec ses mains pour déglutir et reprendre son souffle. Mal lui en pris.

Il n’apprécia pas et il lui saisit la tête entre ses mains et la tint fermement collée à son ventre, son sexe butant dans sa gorge . Et il lui imprima des mouvements rapides et profonds. Un vrai “Deepthroat” forcé.

Il lui ordonna de garder les mains dans le dos. Il la libérait juste avant qu’elle ait un haut le cœur puis recommençait la forçant à bien avaler son membre. Elle salivait abondamment et hoquetait cherchant à reprendre son souffle avant de replonger sur son sexe.

Je craignais qu’il la gifla si elle essayait à nouveau de se rebeller mais elle ne tenta plus de se servir de ses mains.

Heureusement, il eut d’autres idées et alterna en lui donnant ses couilles et son cul à lécher.

Sa langue aussi devait servir à donner du plaisir et Lilly en bonne lécheuse s’appliqua à le satisfaire savourant ces moments de répit.

 

Elle obéissait du mieux possible, de peur des punitions.

Les dix coups de cravache sur les mamelles l’avait fait couiner de douleur. Il lui avait fait compter les coups et il frappait d’un geste sûr en dosant la puissance. Précis et méthodique.

Il aimait punir et il guettait la moindre faute.

Une fois, il la surprit en train de l’observer à la dérobée et leurs regards se croisèrent.

Elle sut instantanément qu’elle allait le payer très cher. Il l'agrippa sans ménagement et elle fut promptement culbutée sur ses genoux. Ses grosses mains lui donnèrent une fessée sévère qui incendia toute l’étendue de ses fesses. Il ne lui demanda point de compter préférant la corriger jusqu’à qu’elle soit au bord des larmes. Puis, elle fut mise au coin à genoux en position d’attente, son cul rougi exposé.

A compter de ce moment elle décida de lui obéir au doigt et à l’oeil afin de ne plus être punie.

 

C’était un dressage dur, appliqué sans concessions et il avait envie de l’asservir rapidement et totalement.

Je ne me souviens plus de l’ordre chronologique de la soirée. Il y eut des moments de calme où Lilly attendait sagement et récupérait à nos piedsmais j’ai encore en tête les détails de chaque moment fort.

 

 

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