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Derniers posts du forum
Je crois pas avoir écrit quelque chose de très différent de votre pensée, un problème sur la ligne probablement.
Vive la france... :)
Je vais mettre mon grain de sel avec ce que j'ai en tête et pas ce que je vis car je ne suis pas dans le CNC ni du côté du manche ni du côté du cul.
Pour moi CNC éthique vont très bien de paire.
Il faut même particulièrement dans le CNC qu'il y ait une éthique. Mais pas au sens de la morale, mais dans le sens de ne pas faire n'importe quoi et d'être conscient de ce qu'on fait d'une part pour le dominant et ne pas dériver par rapport à son pouvoir, d'autre part pour le dominé, pour être bien sûr des mains entre lesquelles il se confie.
Évidemment que pour moi dans le CNC il y a la notion de consentement. Mais ce consentement est global, en amont, avec un transfert de pouvoir total à la personne dominante, c'est le summum de la confiance aveugle.
Évidemment que le CNC ne peut à mon sens absolument pas être pratiqué entre des personnes qui ne se connaissent pas ou peu.
Le CNC n'empêche pas d'avoir un séchoir d'extrême urgence pour stopper le jeu en cas de problème particulier mais je connais des couples qui pratiquent sans. Il faut d'autant plus bien se connaître, et avoir une extrême confiance l'un envers l'autre. Et envers soi-même aussi.
Les questions sous jacentes seraient plutôt, est-ce que demander et respecter le consensus ne bride pas la domination, ou ne pas demander ou respecter une limite, est-ce éthique ou pervers ?
La domination n'est pas bridée parce que il y a des règles à respecter. Puisque dans ce cas ce sera une volonté des deux partenaires.
Personnellement je joue dans un cadre consensuel avec un échange de consentement systématique pour connaître le cadre dans lequel je vais pouvoir évoluer librement dans ma pratique dominante.
Et puis ce cadre est évolutif d'une séance à l'autre. Pas dans la même séance en tout cas pas dans le sens d'augmenter la liberté ou de rajouter des items au cours d'une séance.
Ne pas demander une limite n'est pas incompatible avec l'éthique comme je l'ai dit plus haut, mais ne pas respecter une limite qui donc a priori a été exprimée, là en revanche ce n'est évidemment pas éthique, ce n'est pas pervers non plus, c'est carrément un red flag et assimilé pour moi à une agression.
À mon sens la question est mal posée : on peut vivre l’arbitraire dans l’instant tout en exerçant l’éthique hors scène. L'un n’annule pas l’autre.
La vraie question, à mon sens encore : comment être irréprochable hors scène sans affaiblir l’arbitraire dans l’instant ?











