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Derniers posts du forum
Bonsoir, je rejoint mon prédécesseur : dominer et être dominant n'est pas pareil, à mes yeux !
Ancien chef d'entreprise , maintenant cadre dirigeant, je " domine" pas mal de gens par mon statut professionnel.
A la maison , ce sont plutôt les Dames qui sont dominantes ...pas forcément et uniquement sexuellement, d'ailleurs !
Bonjour!
Je pense que oui, dominer ou plutôt être dominant est inné, vouloir dominer est autre chose, ce que j'appelle être dominateur, ce sont deux choses différentes à mes yeux.
bonjour à toutes et à tous,
ce sujet s'adresse principalement aux hommes dominants, mais tous les avis sont les bienvenus, bien sûr.
récemment, j'ai eu le bonheur de connaître les joies de relation sexuelles avec une personne réellement motivée pour prendre du plaisir, et assez ouverte d'esprit. je peux dire que c'est quasiment une première pour moi (merci de ne pas vous moquer...), sur les deux plans. de fait, je me sens suffisamment à l'aise pour proposer des choses potentiellement hors du champ conventionnel et étriqué de la sexualité, et il nous est très facile de discuter de sexe (là encore, une découverte pour moi...)
à côté de ça, je constate une discordance entre une volonté de domination dans l'absolu et une certaine retenue au moment de passer à l'acte, voire carrément une anxiété qui perturbe le bon déroulement des choses. malgré tout, j'ai pu ressentir lors des moments les plus intenses, le sentiment de la dominer. Ces moments semblaient lui plaire également, mais ils étaient trop brefs, trop fugaces, trop capricieux pour que je puisse compter sur eux...
je sais bien que personne n'est dans ma tête, dans mon corps ou dans ma relation avec cette personne, mais je m'interroge, et je serais curieux de recevoir des avis basés sur l'expérience pratique. au fond, ce que je ressens n'est-il qu'une forme d'anxiété de performance, qui se résorberait en focalisant davantage sur les sensations corporelles et le plaisir (des deux côtés) ? ou bien dominer répond peut-être à une injonction sociale "de genre" et n'est possiblement pas ce qui me fait foncièrement vibrer (pourtant cette sensation s'impose à moi dans les moments les plus grands d'excitation, mais ça n'a peut-être rien à voir avec la domination telle qu'on l'entend ici...) ? ou bien encore, le problème est lié au fait que, puisque l'on en a pas parlé en amont, je ne me sens pas autorisé à la dominer quand cette sensation arrive un peu comme un cheveu sur la soupe au milieu d'un moment de sexe vanille (bon, j'ai quand même pris l'initiative de bloquer ses mains aux dessus de sa tête quand elle était sur le dos, et non seulement elle a aimé, mais elle m'a dit après coup qu'elle a apprécié cette initiative)...
bon, en fait, globalement, un tel branlage de cerveau est plutôt compatible avec une forme d'anxiété, mais bon, il y a possiblement aussi autre chose...
en soi, je m'en fous de dominer ou pas, mais je ressens quand même une association entre forts niveaux d'excitation et sentiment de puissance, mais en écrivant ça, je me demande si ça s'apparente vraiment à un sentiment de domination...
merci de m'aider à y voir plus clair (si c'est toutefois possible)
C'est un moment intense ou au fil du jeu, de l'eau, se mêle une nécessaire bienveillance et affection qui tente de contenir dans l'acceptable une perversité animale.
Cette dernière se mêle aux peurs, attentes et désirs tout aussi pervers du partenaire pour une rare alchimie, comme une asphyxie.
Elle me rend beau, elle elle rayonne, on séduit en général par notre complicité.
surement dit comme cela un peu confus, mais c'est une énergie qui submerge les sens (éprouvés et éprouvant) où l'on est à la fois touché par la confiance et le don du partenaire, excité par sa lente résistance qui s'épuise, addict de ses contractions ses gémissements ses pleurs ses flux.
Puis un aftercare autant pour elle choyée dans mes avant bras que pour moi, qui me surprend toujours par cette tendresse qui revient et se réimpose sur mon côté noir qui se re enfouit jusqu'à la prochaine rencontre.
en général il me faut des heures avant de sentir cette tension me quitter ...