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Pour avoir de la solidité, il faut toujours fermer les triangles, que ce soit les triangles verticaux ou horizontaux. Votre projet est sympa mais demande que vous utilisiez bien la résistance des matériaux, et surtout le savoir des contructeurs "à l'ancienne". Ou bien fixer un solide crochet au plafond (dans un poutre en bois ou dans un ourdis). N'oubliez de mettre en charge avant la pratique au réel. Rien de pire que la casse en cours de séance.
Il y a les barres de traction qui se calent sur une porte, ça doit être plus solide. Je pensais à un baldaquin avec une structure assez large qui permettrait peut-être de dissimuler une structure plus résistante en acier. Sinon, j'avais regardé du côté des structures qui supportent des balancelles, certaines m'ont l'air assez stables, mais je n'ai pas la place. Ou bien sur une armoire ou une bibliothèque, fixée au mur, avoir des points d'attache ou des tubes qui coulissent sur le haut.
Bonjour à Tous, Cette question s'adresse aux Maîtresses et soumis expérimenté(e)s. Je suis en chasteté permanente avec une CB 3000 en silicone.  Aujourd'hui, je glisse mon clit entre la fente et je peux uriner "correctement". Souhaitant réduire la taille de la cage, j'aimerai passer sur une cage type "Cobra 2.0", taille nano. " />   Comment uriner proprement en passant entre les mailles ?  Est-ce qu'une sonde urétale (taille 3-4 cm)  est une solution durable ?  Auriez-vous des solutions?      Merci infiniment et bon dimanche. Respectueusement,
Je pense qu'on est tous d'accord, *sur le papier* quant à l'importance du consentement dans nos pratiques BDSM. On lit souvent que le consentement est la pierre angulaire de toutes nos pratiques et qu'il est absolument indispensable pour que nos jeux soient SSC. Mais est-ce vraiment le cas ? Est-ce que le consentement est toujours respecté d ? Est-ce qu'il peut parfois mal compris, ou pire contourné sciemment ? Pour moi, le consentement est crucial et les partenaires que nous avons croisés respectaient la plupart du temps les limites et on a toujours fait de même avec eux. Alors bien sûr il y a de la transgression dans le BDSM, c'est ce qui met le piment, c'est ce qui participe au jeu et au plaisir. Parfois, j'ai croisé des "Maurice" qui poussaient un petit peu loin le bouchon pour tenter d'aller un peu plus loin que ce qui était. Mais je leur rends grace d'avoir su stopper leurs élans quand je disais que non, je ne voulais toujours pas. Mais ca fait plusieurs fois que j'entends des histoires de personnes qui se sont senties obligées de dire oui pour ne pas décevoir leurs partenaires, ou qui n'étaient pas vraiment à l'aise mais qui n'ont pas osé s'exprimer. Notamment dans les couples lors de sorties en club. Avec des effets en cascade (mme qui ne veut plus aller en club pour ces raisons, frustrations, ton qui monte, vous voyez l'histoire : cercle vicieux (et pas du vice qu'on aime)). Les safewords c'est bien gentil, mais manifestement ca ne fait pas tout : encore faut-il oser les utiliser sans avoir peur de decevoir. Est-ce que le consentement est vraiment respecté  par tous ?  Manifestement non. Est-ce qu'il y a des situations où il pourrait être remis en question (genre CNC, concept qui je dois l'avouer m'échappe un peu). A l'heure d'élargir nos cercles de rencontres avec chouchou (et de peut etre tenter des experiences solo) ca me questionne............