-
2Réponses
-
89Affichages
Sujets
-
20Réponses
-
216Affichages
-
2Réponses
-
68Affichages
-
0Réponses
-
37Affichages
-
14Réponses
-
221Affichages
Derniers posts du forum
Mais du coup, comment avez-vous vécu votre temps boiddhiste, Chanaelia? Était-ce plus léger à vivre pour vous?
Je suis tout à fait d'accord avec vous sur le fait qu.aimer n'est pas conditionné par des intérêts ou des croyances, mais que c'est une valeur sans limite.
Aimer les humains non plus donc.
Je pense toutefois que tout est lié car de la matière on peut en apprendre les lois physiques, et de la relation avec la matière, des lois "relationnelles", "interactionelles"?
J'aime apprendre, découvrir...
Effectivement la religion au sens propre nous empêche de nous e ployer nous mêmes sous bien des aspects c'est ce que je regrette car comment peut on avoir la prétention de définir ce qui est bien ou mal en ne connaissant que l'une des deux valeurs?
Et comment faire des choix en conséquences?
La religion appelle à une foi aveugle, une foi parfait en ce que ne cherche pas même à ouvrir les yeux pour voir et comprendre les choses...
Pourtant c'est en comprenant qu'on peut aussi intégrer les choses et avancer dans notre processus d'évolution de vie.
Le temps passe, ôn se développe étant nous même et différent à la fois de chaque instant...
J'ai eu un temps bouddhiste, avec ses notions de karma qui représente en soi, un ordre de fonctionnement de la vie.
J'apprécie votre avis, il y a effectivement spiritualité et religiosité. Qui sont deux choses différentes.
D'un côté on expérimenté pour développer quelque chose de lordre de la conscience ou de lesprit.. Rien n'est interdit sinon ce que l'on s'impose et qui définissent nos propres limites.
De l'autre on applique les lois point, sans les discuter. Nos limites sont imposées par les lois.
Je me demande si pour un chrétien trouver le parfait équilibre entre spiritualité et religiosité, à savoir que nous arrivions à faire concorder nos propres limites avec celles des lois de Dieu. Parce qu'une compréhension de la vie aura été assimilée...
Ce qui pourrait être intéressant, ce serait de découvrir les ressentis personnels de croyants- pratiquants, en croisant la ligne de conduite morale assénée par les religions et leur approche et pratique BDSM .
En d'autres termes, comment vous en sortez- vous avec des lignes de conduites strictes imposées en religion et les "jeux" BDSM ?
Un exemple ? La fidélité dans un couple marié à l'église, un truc style " tu ne tromperas pas ton conjoint" : eh bien, quand un des deux entre en pratique BDSM ( comme on entre en religion, intéressant ça...), il-elle trompe le conjoint, donc comment vivez-vous ces émotions ?
Idem pour l'homosexualité : il semble que ce ne soit pas le genre de pratiques favorites dans les milieux religieux de tous bords, hormis les prêtres appréciant le 12 ans d'âge, alors comment faites-vous pour vous réconcilier avec votre foi après de pénétrantes pratiques ?
Les masos ont sûrement moins de questionnements puisque leur foi les pousse à naître, vivre et mourir dans la douleur rédemptrice mais les sadiques ont dû mouron à se faire : ça leur retombera sur le coin du museau un jour !!! 😈
Je ne juge pas la foi, mais ce que l'on en a fait, oui. Faire "croire" : cette seule phrase est inquiétante par son pouvoir manipulateur. Et pour toutes les religions.
Je voudrais juste savoir, comme dans le questionnement de départ, les pratiquants bdsm-croyants ajustent tout ça.