Voici ce qui me vient instantanément à l’esprit: les chrétiens admirent la croix au point d’en avoir fait le symbole de leur croyance, pourtant c'est l’objet des tourments du fils de leur Dieu. Donc religion et sm sont intimement liés et même indissociables
Messages
La religion? Vous parlez de ces gens, qui comme moi dans la cour de récréation de l'école maternelle, ont un ami imaginaire? Quand je prends du plaisir, je suis aux antipodes de ces hypocrites qui veulent m'imposer quand baiser, dans quel sens et quels jours de l'année.
J'ai pourtant déjà discuté plaisirs bdsm et religion avec une Domina catho. Sa réponse me laisse perplexe : "Je sais que quand je pratique le bdsm, je suis dans le péché car mes activités sexuelles ne sont alors pas dans un but de procréation"...
Quand je vous parle d'hypocrisie....
Voyez mon article " prière nu dans une église"iln 'y a pas d'incompatibilé entre le bdsm et la religion sous certaines réserves.Dieu nous a créé nu ( pour les non croyants, nous naissons naturellement nus) donc déjà il n'y a pas d'incompatibilé avecla nudité ,point fort du bdsm.Ensuite, pour les chrétiens, Dieu est le seul maître et le fait de s'y soumettre est dans la démarche même du bdsm.On a vu des chrétiens se torturer physiquement au nom de leur foi( autoflagellation par exemple).Là où c'est plus discutable, c'est dans l'association de deux partenaires.Nous devons( toujours d'après la religion) prendre soin de notre corps d'une part, et s'aimer mutuellement d'autre part, ce qui à première vue est incompatible avec le bdsm.Cependant,le rapport est un rapport d'amour: prendre du plaisir à satisfaire l'autre et étant satisfait soi-même: c'est là toute une liaison réussie entre un soumis et un dominateur!
En recherche "sens et de conscience"....je vous avoue avec tout mon respect que je suis perplexe....
On ne fait rien sans sens ni conscience c'est un des principes important dans le BDSM pour moi...
Alors certes je suis complètement athée en revanche j'ai toujours tendance à me poser plus de questions sur l'autre que sur moi même, je me connais, " l'autre" mérite toute ma bienveillance parce que même athée je n'en reste pas moins une personne bienveillante, pour moi la religion n'a rien a faire là dedans.....
Derniers posts du forum
La réponse m'intéresse également, au plaisir de vous lire..
Mais du coup, comment avez-vous vécu votre temps boiddhiste, Chanaelia? Était-ce plus léger à vivre pour vous?
Je suis tout à fait d'accord avec vous sur le fait qu.aimer n'est pas conditionné par des intérêts ou des croyances, mais que c'est une valeur sans limite.
Aimer les humains non plus donc.
Je pense toutefois que tout est lié car de la matière on peut en apprendre les lois physiques, et de la relation avec la matière, des lois "relationnelles", "interactionelles"?
J'aime apprendre, découvrir...
Effectivement la religion au sens propre nous empêche de nous e ployer nous mêmes sous bien des aspects c'est ce que je regrette car comment peut on avoir la prétention de définir ce qui est bien ou mal en ne connaissant que l'une des deux valeurs?
Et comment faire des choix en conséquences?
La religion appelle à une foi aveugle, une foi parfait en ce que ne cherche pas même à ouvrir les yeux pour voir et comprendre les choses...
Pourtant c'est en comprenant qu'on peut aussi intégrer les choses et avancer dans notre processus d'évolution de vie.
Le temps passe, ôn se développe étant nous même et différent à la fois de chaque instant...
J'ai eu un temps bouddhiste, avec ses notions de karma qui représente en soi, un ordre de fonctionnement de la vie.
J'apprécie votre avis, il y a effectivement spiritualité et religiosité. Qui sont deux choses différentes.
D'un côté on expérimenté pour développer quelque chose de lordre de la conscience ou de lesprit.. Rien n'est interdit sinon ce que l'on s'impose et qui définissent nos propres limites.
De l'autre on applique les lois point, sans les discuter. Nos limites sont imposées par les lois.
Je me demande si pour un chrétien trouver le parfait équilibre entre spiritualité et religiosité, à savoir que nous arrivions à faire concorder nos propres limites avec celles des lois de Dieu. Parce qu'une compréhension de la vie aura été assimilée...