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Coucou.  Il y a un munch sur Caen le 7 juin ainsi que quelques ateliers et jams shibari durant le mois de juin. Vous retrouverez beaucoup d'evennements IRL sur fetlife et donc la possibilité de croiser du monde voir d'eventuel-les futur-es playpartners.    
Bonjour, Pour répondre à vos interrogations, on peut adorer les cordes et être totalement refroidie par une proposition via message pour être modèle, partenaire de cordes... (appelez ça comme vous voulez) y compris avec une personne renommée.  Il doit bien y avoir des personnes que ça ne dérange pas, cet avis est évidemment uniquement le mien. Personnellement j'ai toujours préféré les échanges humains avant toute chose, même quand je sens ou qu'on me dit qu'il y a une intention derrière. J'ai l'impression que sur bdsm.fr nous sommes très nombreux à penser ainsi, plus en terme de communication, d'accroches, que de pratique et peu importe que ce soit D/s, Sm ou B.  Bien à Vous
Bonjour la communauté ! Je suis pratiquant dans le bondage / shibari (en temps que attacheur / gréeur), et quand bien même j'ai eu l'occasion de rencontrer d'autres personnes qui ont les mêmes goûts (notamment lors de jams ou munchs) et que j'ai posté une annonce sur le site, je ne suis pas parvenu à trouver une personne qui serait intéressée pour pratiquer avec moi ou en groupe. Je voulais donc avoir votre avis sur le fait de chercher un(e) partenaire de cordes sur bdsm.fr : est-il acceptable d'envoyer des propositions via message privé à des personnes qui ne sont pas dans notre liste d'amis ? Autrement, est-ce que bdsm.fr est vraiment adapté pour faire ce genre de rencontre ? (j'ai l'impression qu'il fonctionne plutôt pour celles et ceux qui cherchent dans le D/S) P.S: Je ferai sûrement une nouvelle annonce en bonne et dûe forme, mais je profite du message pour proposer d'échanger si vous êtes interessé(e) par le shibari aux alentours de Caen !
Feuler
.Posté dans Bdsm et religion
BDSM et religion et spiritualité donc.   Première remarque : à lire les précédentes réponses, il y'a de la spiritualité dans tous vos propos et interrogations. C'est précisément sur ces questions profondes d'obéissance à des dogmes ou à des principes éthiques personnels, de choisir entre des préceptes imposés de l'extérieur ou des convictions acquises par l'expérience vécue, que se joue la différence entre « suivre une religion » et « développer sa spiritualité ».   Que des adeptes du BDSM croient à la fois en une religion et s'adonnent au BDSM relève du jeu de chacun avec ses conditionnements. On bascule forcément dans la singularité de chaque cas. Je remarque même que ce n'est pas tant le problème de croire en tant que praticant à une religion qui influence la vision que certains se font de leur BDSM, qu'ils se placent en suiveurs, en pêcheurs avertis ou en négateurs simplement par réaction contraire au conditionnement, tout cela revient à rester dans cette logique binaire du « c'est bien ou c'est mal », et leurs comportements découlent de leurs positionnements vis à vis de systèmes de pensée qui, en fait, ne viennent pas d'eux-mêmes.   Tandis qu'il me semble que la démarche spirituelle relève d'une autre dynamique, qui va chercher à créer son propre sens à son BDSM, en s'inspirant souvent des textes religieux, mais en les synthétisant à leur sauce. Et le BDSM devient pour eux un champ d'expérimentation pas seulement physique et sensoriel mais aussi psychique et intellectuel, sans doute même une occasion d'élargir sa conscience.   Donc pour vous répondre, dire que je pratique la spiritualité comme je pratiquerais (ou m'opposerais frontalement à) la religiosité, non, clairement pas. Car ce n'est pas qu'une pratique. Y'a pas de mode d'emploi pour celui qui s'engage sur cette voie. Le plus juste serait donc de dire que je pratique le BDSM avec la question spirituelle toujours en arrière-plan. Et donc oui, je pense qu'on peut pratiquer le BDSM avec des visées spirituelles, ce qui n'empêche évidemment pas de déployer des trésors de plaisirs sensoriels largement au-delà, quelque soit le profil, religieux, athée ou spirituel, des normes habituellement tolérées dans la société… Même si ces dernières décénies, les tabous ont quasiment tous explosé.   Ah et donc, personnellement, je ne vois aucune contradiction dans ma pratique du BDSM tout en poursuivant mon évolution spirituelle, et même mieux : en favorissant celle de ma partenaire (c'est en tout cas mon kiff perso, et pas un simple bonus). Quant aux mœurs et croyances, ça fait longtemps que je m'en tape le coquillard de toute façon ! Le seul truc, c'est que je n'aime pas en imposer « le spectacle » à n'importe qui, c'est à dire que je ne cherche pas volontairement à choquer le monde et reste plus sagement dans la discrétion. Chacun ses mœurs !
Louvia
.Posté dans Bdsm et religion
Bonsoir. Sujet intéressant.  Je reviendrais poser mes mots bientôt. 🙂
Monsieur
.Posté dans Bdsm et religion
Bonjour ! La terminologie BDSM est riche de mots liés à la religion chrétienne. La croix de st André, la flagellation, le cilice, les supplices endurés par JC sont très évocateur pour notre milieu. Un mot est encore plus représentatif, la passion, ce cheminement du Christ vers le mont Golgota, clou de la passion, chemin de la passion, mais... La racine du mot passsion nous révèle bien des choses Passion : Du latin passio et du radical pati (« action de supporter, souffrance, maladie, indisposition, affection, perturbation morale, accident, passivité, incident »). Rien que part ce mot on est loin de l'univers de fraternité prôné par la doctrine. Alors comment ce mot a glisser de douleur à amour ? Vivre une passion, c'est forcément souffrir ? Une amie arborre une croix catholique à son cou, et revendique fièrement ses convictions disant qu'elle n'a absolument aucun problème avec ses pratiques S-M et sa religion L'un n'empêche pas l'autre, et plus sûrement l'un n'est pas l'autre Allez ! ,Je relève les copies dans 3H. Je vois d'ailleurs que certains, avec passion, ont déjà bien philosophé sur le sujet
CathyO
.Posté dans Bdsm et religion
Votre soumission est un choix éclairé, réfléchi, en conscience. Dans le même temps vous donnez à vos filles les outils pour qu'elles puissent, un jour, faire leurs choix en toute liberté de pensée. C'est bien la différence avec les religions (toutes) qui inculquent aux enfants des "préceptes" à l'âge où on peut leurs faire avaler n'importe quoi. L'histoire dépend toujours de qui la raconte.
Good_girl
.Posté dans Bdsm et religion
Voilà un sujet aussi épineux qu'une couronne....d'épines, ma foi.... et merci de l'avoir posé, c'est interressant! J'ai bien l'impression qu'il s'agit d'une question qui est très "intimement" lié, si je puis le dire ainsi, à tout l'aspect judéo-chrétien des éducations occidentales, qui n'est donc pas ma culture de base. Quand bien même on retrouve des éléments de réponses dans chaque intervention de ce post, je rejoins absolument l'avis de Delena ("on n'accorde pas le jour avec la nuit".... magnifique....et soulignons toutefois que pas de jour = pas de nuit et vice versa^^), "on ne peut pas tout mélanger", à compléter avec l'admirable raisonnement de VraiEscavagiste : "peut-on croire en une chose en faisant tout le contraire?". Paradoxalement à ma quête de "moi-même" dans l'univers BDSM, je me suis également retrouvée, après plusieurs années sans pratiquer, à interroger mes croyances, les préceptes appris, et le folklore associé à une "religion" plutôt appellée "philosophie" ici. Cette suite d'interrogation m'a fait comprendre une chose : on ne peut pas chercher des repères BDSM dans tous les aspects de notre vie. De la même façon que mon éternelle question "comment accepter la soumission alors que j'apprends à mes filles que les princesses Disney n'ont pas besoin de princes?" n'a absolument pas lieu d'être dans mon chemin de la découverte du BDSM. Le BDSM, pour moi, serait une quête de soi, une quête d'essence, alors que le questionnement religieux/spirituel/philiosophique, whatever... serait plutôt une quête de sens. En espérant que mon "retour de caféine" rende mon discours compréhensible..^^
VraiEsclavagiste
.Posté dans Bdsm et religion
Bonjour, Je pense que le problème se pose différemment. Toutes philosophies est en recherche de Vérité. La religion est une forme de philosophie avec une notion divine, d'Être Supérieur et ce, qu'elle soit mono ou poly théiste, et contrairement aux courants philosophiques, tournées plutôt sur la vie, les religions sont tournées sur la vie dans l'au-delà, la vie sur terre étant passagère, un battement d'aile de papillon dans l'éternité. Les religions sont donc la carte du chemin à suivre... La question n'est pas de croire ou pas... La question est :  peut-on se dire croyant si on ne suit pas les preceptes de sa religion, si on prend le chemin totalement opposé de celui qui est prescrit ? Et ne pas confondre les mortifications afin d'expier une faute avec du masochisme ! Mais le BDSM, si elle peut avoir une part de philosophie derrière, est tourner vers le plaisir terrestre, bien loin des considérations de la vie éternelle promit par les religions si on suit ses preceptes... D'où la question: comment atteindre la félicité promise dans l'autre monde si on ne prend pas le chemin qui n'est pas prescrit, et donc, peut-on croire en une chose en faisant tout le contraire? Telle est la véritable question....  
.Posté dans Bdsm et religion
  Nu et innocent devant Dieu, vêtu et conscient après avoir manger du fruit défendu, arbre de connaissance... sans vêtement on peut se sentir mis à  nu.. face à  l'autre... Dieu Maître suprême  des chrétiens et bien d'autres... nous nous sommetons à  lui, à sa Parole.  L'homme se soumet à  Dieu, la femme à  l'homme... La torture, la flagellation seul ou fait par quelqu'un, on n'implique que le nombre de personne qui y participe... La responsabilité  des deux parties, qui appliquent et qui supporte les actes, les propos...  Restent à  connaître les intentions de chacun, pour se punir, pour le plaisir de souffrir, pour les sensations fortes, le plaisir de faire souffrir l'autre, l'aider à  se sortir de ses conditionnements, lui faire accéder au plaisir par la douleur... transcender le corps et l'ego, pour n'être plus rien, mais toucher l'essentiel de son être,  la vie qui se cache en nous sous ces mouvements qui crient je meurs alors que,en réalité  il nous en faut plus pour passer l'arme à gauche... parfois un soupçon plus de la limite que nous pensons encore extensible... Aimer son corps? L'accepter, tel qu'il est, comme il nous est donné ? Par ce qu'il nous est donné, comme rattaché à  notre conscience... indissociable tant que nous sommes sur terre... quoique...  Dans le respect de soi et de l'autre on y trouve de l'amour? Par amour ne peut on pas imposer à l'autre ce qu'on sais être dur mais qui sera salutaire pour l'autre, libérateur?  Aimer, quest ce que cest?  Aimer sans souffrir, serait ce possible?  Apprendre à supporter la souffrance par amour pour l'autre? La soumission un témoignage d'amour ou un besoin animal?  Donner son corps à  l'autre, entièrement, en disposer complètement, ses pensées,  tout son être.... pourquoi faire? Quand sommes nous satisfait? En ayant ce qu'on désire ou en transcendant notre volonté  et notre désir en supportant de ne pas l'avoir pour changer son regard et voir les choses d'un autre angle? En étant aimé ou détesté,  lorsqu'on nous fait mal ou lorsqu'on nous fait du bien? Et le mélange entre le plaisir et la douleur nous ramène aux sensations... ça veut dire quoi avoir mal, avoir plaisir... lorsque les deux se confondent? Cela donnerait presque vie d'essayer pour savoir ce qui se cache derrière le rideau, comme si j.allais découvrir quelque chose qui à une étincelle d'éternité... quelque chose d'une vie éternelle, en jouant avec ce corps... un jouet avec lequel on s'amuse pour voir comment il réagit, il agit, découvrir un peu la magie de cet appareil si complexe et POUR QUOI? La curiosité me pique.. Mais je sais que je m'égare.... Tant de questions
Delena
.Posté dans Bdsm et religion
Je pense simplement que pour aimer "l'homme" au sens large,  humanité,  pas besoin de circonstances ,de croyances et je respecte tous les choix mais il ne faut pas tout mélanger et vouloir mettre des mots et des croyances sur un truc sensible et naturel et ben c'est le commencement d'un truc pas cool....on accorde pas le jour avec la nuit... . Et donc la religion interdirait d'être soi même sous couvert de bienséance....perso je ne crois qu'au karma....tu fais/ tu payes.....
.Posté dans Bdsm et religion
  J'entends votre position, mais la religion va au delà  de la simple imagination... cela dit on croit ou pas, on vit ou pas certaines choses, ou d'autres...  Mais effectivement, fonction de la connaissance d'une religion on peut se justifier de s'abstenir ou de faire quand même,  quand bien même c'est contre ou dans le sens de lois morales...  Je dirais que nous sommes des êtres complexe, avec une part animale qui se retrouve dans le plaisir de vivre des expériences de "chair", sensorielles, séquelles étant la dominante puissance de la part animale...  Mais nous avons aussi cette part de conscience, ou de croyances qui peuvent interférer dans nos pulsions, actions plutôt  bestioles... Je me demande si on peut vivre sans exprimer notre part animale...?  Pour les chrétiens il y a la vie dans la chair, au travers uniquement du corps et la vie éternelle par l'esprit je dirais...  et si nous utilisions notre corps pour nous découvrir un esprit nouveau?  Faire de notre corps un objet d'expérimentation, à  visée spirituelle?  Je sais que certains explorent seulement leur part animale qu'ils ont refoulée,  souvent à cause des codes qu'une société nous impose... certain se debrident, s'expriment naturellement selon ce qui les traversent, d'autre cherchent à découvrir l'autre ou soi, l'humain dans ses vices et ses vertus...  Car je me retrouve dans ce que vous dite à  savoir que de se priver de plaisirs charnels c'est une manière de se mentir à  soir même... mais d'un autre côté je me dis aussi que baiser pour baiser ça ne m'avance à rien personnellement, j'ai besoin de liens autre que l'assouvissement d'un plaisir. La domination soumission pourrait être entendue comme un rapport tout à fait animal car les relations animales sont fondées sur ces rapports. Mais j'aime mieux quand ce rapport possède des liens invisibles qui font qu'on se donne à  l'autre, au point qu'il puisse faire ce qu'il désire de moi. J'ai l'impression que la domination soumission peut mener à  une découverte au delà des plaisirs de la chair, peut être quelque chose de l'ordre de l'esprit, des connaissances, des sensations, des xomprehensions nouvelles de nous mêmes  qui peuvent nous conduire à  vouloir changer et chercher autre chose par la suite que le bdsm... mais je ne peux pas me prononcer la dessus, j'aimerais avoir des témoignages à  ce sujet... Et puis... tout le monde n'a pas la même  lecture des textes de la Bible... mais tendent tous vers la compréhension d'une vérité...  Si bien que les non croyants ont aussi des points de vue différents...    
.Posté dans Bdsm et religion
Jésus n'a pas pris plaisir à  se faire torturer et crucifier. Il a endurer les douleurs que lui infligeant les hommes il s'est laissé  faire en témoignage de la violence des hommes.. Je dirai qu'il dépend du regard que l'on porte sur la croix, certain y voient la mort, la douleur, la souffrance, d'autres y voient le moyen de vivre sous l'aspect éternel, l'entre deux de deux vies matérialisé par le croix, d'autres le signe de croix au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit... le témoignage du passage de Dieu sur terre, de son geste pour nous. De plus, on ne peut pas dire que tous les hommes ont torturé  Jésus, il y en a qui l'adoraient et le reconnaissaient comme le Messie.. Il se dit que la religion chrétienne est avant tout une religion d'amour avant tout... Ils n'admirent pas la croix, ils admirent l'action de Dieu pour nous et notre salut. Le sacrifice de Dieu pour nous comme un témoignage d'où Il peut aller pour nous préserver de la mort, de la disparition. Jusqu'où peut on aller en amour....?
Delena
.Posté dans Bdsm et religion
En recherche "sens et de conscience"....je vous avoue avec tout mon respect que je suis perplexe.... On ne fait rien sans sens ni conscience c'est un des principes important dans le BDSM pour moi... Alors certes je suis complètement athée en revanche j'ai toujours tendance à me poser plus de questions sur l'autre que sur moi même, je me connais, " l'autre" mérite toute ma bienveillance parce que même athée je n'en reste pas moins une personne bienveillante, pour moi la religion n'a rien a faire là dedans.....
troispoilsx
.Posté dans Bdsm et religion
Voyez mon article " prière nu dans une église"iln 'y a pas d'incompatibilé entre le bdsm et la religion sous certaines réserves.Dieu nous a créé nu ( pour les non croyants, nous naissons naturellement nus) donc déjà il n'y a pas d'incompatibilé avecla nudité ,point fort du bdsm.Ensuite, pour les chrétiens, Dieu est le seul maître et le fait de s'y soumettre est dans la démarche même du bdsm.On a vu des chrétiens se torturer physiquement au nom de leur foi( autoflagellation par exemple).Là où c'est plus discutable, c'est dans l'association de deux partenaires.Nous devons( toujours d'après la religion) prendre soin de notre corps d'une part, et s'aimer mutuellement d'autre part, ce qui à première vue est incompatible avec le bdsm.Cependant,le rapport est un rapport d'amour: prendre du plaisir à satisfaire l'autre et étant satisfait soi-même: c'est là toute une liaison réussie entre un soumis et un dominateur!
Marie
.Posté dans Bdsm et religion
La religion? Vous parlez de ces gens, qui comme moi dans la cour de récréation de l'école maternelle, ont un ami imaginaire? Quand je prends du plaisir, je suis aux antipodes de ces hypocrites qui veulent m'imposer quand baiser, dans quel sens et quels jours de l'année. J'ai pourtant déjà discuté plaisirs bdsm et religion avec une Domina catho. Sa réponse me laisse perplexe : "Je sais que quand je pratique le bdsm, je suis dans le péché car mes activités sexuelles ne sont alors pas dans un but de procréation"... Quand je vous parle d'hypocrisie....  
Michel11
.Posté dans Bdsm et religion
Voici ce qui me vient instantanément à l’esprit: les chrétiens admirent la croix au point d’en avoir fait le symbole de leur croyance, pourtant c'est l’objet des tourments du fils de leur Dieu.  Donc religion et sm sont intimement liés et même indissociables 
.Posté dans Bdsm et religion
Bonsoir à toutes et à tous, Regulierement en questionnement, plusieurs interrogations sont survenues dans mes pensées... Si je vous dis bdsm et religion, bdsm et spiritualité,  qu'en avez vous à dire? Y a-t-il des personnes qui pratiquent le bdsm tout en pratiquant sa foi chrétienne, et dans une perspective plus large, une religion ou une spiritualité ? Pensez vous que vous portez atteinte à  vos mœurs et vos croyances en pratiquant bdsm et religion? Pensez vous qu'on puisse pratiquer le bdsm dans une visée spirituelle, religieuse, chrétienne, au delà d'une recherche personnelle pour les concernés..?  Au plaisir  de lire tous les avis, aussi nombreux et divers qu'ils soient.