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La réponse m'intéresse également, au plaisir de vous lire..
Mais du coup, comment avez-vous vécu votre temps boiddhiste, Chanaelia? Était-ce plus léger à vivre pour vous?
Je suis tout à fait d'accord avec vous sur le fait qu.aimer n'est pas conditionné par des intérêts ou des croyances, mais que c'est une valeur sans limite.
Aimer les humains non plus donc.
Je pense toutefois que tout est lié car de la matière on peut en apprendre les lois physiques, et de la relation avec la matière, des lois "relationnelles", "interactionelles"?
J'aime apprendre, découvrir...
Effectivement la religion au sens propre nous empêche de nous e ployer nous mêmes sous bien des aspects c'est ce que je regrette car comment peut on avoir la prétention de définir ce qui est bien ou mal en ne connaissant que l'une des deux valeurs?
Et comment faire des choix en conséquences?
La religion appelle à une foi aveugle, une foi parfait en ce que ne cherche pas même à ouvrir les yeux pour voir et comprendre les choses...
Pourtant c'est en comprenant qu'on peut aussi intégrer les choses et avancer dans notre processus d'évolution de vie.
Le temps passe, ôn se développe étant nous même et différent à la fois de chaque instant...
J'ai eu un temps bouddhiste, avec ses notions de karma qui représente en soi, un ordre de fonctionnement de la vie.
J'apprécie votre avis, il y a effectivement spiritualité et religiosité. Qui sont deux choses différentes.
D'un côté on expérimenté pour développer quelque chose de lordre de la conscience ou de lesprit.. Rien n'est interdit sinon ce que l'on s'impose et qui définissent nos propres limites.
De l'autre on applique les lois point, sans les discuter. Nos limites sont imposées par les lois.
Je me demande si pour un chrétien trouver le parfait équilibre entre spiritualité et religiosité, à savoir que nous arrivions à faire concorder nos propres limites avec celles des lois de Dieu. Parce qu'une compréhension de la vie aura été assimilée...