Expression libre

[ Ce témoignage ( partie 2 ) est écrit sous les pseudos de Dame Joana et HellEtLui ]     « Parle moins fort s’il te plaît ! Allez, viens t’asseoir et arrête de te donner en spectacle. C’est quoi cette voix franchement? Tu devrais être moins dure quand tu parles… Et sourie un peu ! »   💗: « Tu as compris toi ?... Pourquoi elle me parle comme ça ?… »   🧠: « Non. Je t’avoue que je ne sais pas trop pourquoi elle te dit ça. À l’avenir, je vais rendre ta voix plus aiguë et plus douce. »     Tant de réflexes que l’on prend pour rentrer dans la norme. Mais à partir de quand apparaît cette pression sociale valorisant l’hétéronormativité?   Dans une première partie, j’ai témoigné à propos des questions que je me suis posée sur mon orientation sexuelle et du tourment que j’ai ressenti. Dans vos réponses, vous m’avez parler de la pression lors de l’adolescence, de la honte que l’on peux ressentir en tant que jeune adulte et de la difficulté à trouver son genre et son orientation. Pourtant, je n’avais que six ans.     Maintenant, j'ai besoin que vous répondiez à deux questions: => À quel âge vous êtes-vous senti(e) que vous n’étiez pas comme « tout le monde»? => À l’époque, ou aujourd’hui encore, comment vous êtes-vous adapté ?   Et si chacune de vos réponses doit faire 3 pages... et bien ça fera trois pages ! héhé Ici, tant qu'il y a de la bienveillance, il n'y a pas de censure.   Écrivez vos réponses en commentaire. Chaque participation est importante et sera lue avec soin. Elles m'aideront à écrire la suite de mon témoignage…   Merci de votre participation. Dame Joana

A trois ans, j'ai dit à mes parents que j'étais une fille. Et j'ai immédiatement perdu toute innocence. Il m'a fallu attendre l'âge de 39 ans pour débuter ma transition de genre et par là même devenir la femme la plus heureuse du monde.

Bonjour, Domina, pour mon grand plaisir, je garde un homme soumis en chasteté, à distance. Toutes les semaines, il est autorisé à se soulager, sans y prendre vraiment de plaisir car je veille à ce que ses orgasmes soient ruinés Après un peu plus de 2 semaines, celui-ci est en chaleur et ne pense qu'à se caresser pour se soulager un peu. En sachant que c'est un homme marié et que porter une cage de chasteté fait partie de ses limites. Comment devrais je m'y prendre pour qu'il cesse d'y penser constamment ?

Bonsoir Madame, Je Vous partage ci dessous un lien vers un article expliquant différentes façons de réduire la libido d'un homme, notamment en utilisant certaines plantes sous forme de complément alimentaire ou d'infusion (baie de gattilier utilisée par des moines afin de faciliter leur célibat, réglisse afin de réguler la testostérone,..): https://fr.wikihow.com/diminuer-sa-libido Je Vous précise néanmoins que je ne suis aucunement un professionnel dea santé et que ces conseils doivent être pris avec précaution.  En Vous souhaitant une belle nuit, Sacripant    

Qu en pense son épouse ?  Un homme marié qui porte une cage, avec une domina à distance  ..., autant mettre l'épouse au courant des fantasmes et pratiques du mari.   

Si c'était si facile...

" Comment devrais je m'y prendre pour qu'il cesse d'y penser constamment ? " , personnellement je pense que c'est à lui de trouver une solution là dessus, c'est le but de la chasteté aussi, une sorte d'evolution sur les " envies " 

Après la cage, il faut lui imposer le port permanent d'un plug anal. Cela devrait le calmer et le faire couler.  Espacer les vidanges tous les 15 jours,...puis toutes les 3 semaines....puis tous les mois. Cela aussi devrait le calmer.   

Bonjour,   Tout d'abord, votre soucis de trouver des solutions à cette difficulté rencontrée par votre soumis, dans le respect de ses propres limites personnelles, est à souligner. Mais se confronter à ce genre d'obstacles et y trouver des alternatives est un moteur stimulant des relations BDSM.   Il me semble qu'il y a plusieurs façons d'aborder cette situation problématique, si le soumis ne parvient effectivement pas à vivre avec l'intensité de son désir obsédant.   La barre actuelle est peut-être placée un peu trop haut, aussi l'approche pourrait être réenvisagée de manière plus graduelle avant d'atteindre le rythme hebdomadaire actuel voire de le pousser plus loin.   Le soumis semble accaparé par son désir tout entier tourné vers son sexe. Il pourrait être également imaginé de chercher à détourner cette énergie vers d'autres objets, qu'ils soient d'ordre sexuel (pratique/découverte de la sodomie, travail des tétons, activités plus masochistes...), d'ordre physique (activités sportives, entretien du corps, ...) ou encore tout autres (des consignes pour l'occuper et travailler sa dévotion autrement. En cela vous êtes sans doute la mieux placée pour trouver ce qui conviendrait)     Bon courage à vous, Humblement, Carpo  

Bonjour Madame Clémence, tout d'abord, pour vous répondre, j'aurai besoin de savoir si sa femme est au courant (porte t'il sa cage en sa présence?) Pour le dire autrement, porte t'il sa cage 24h sur 24 ? Et l'autre question qui va avec le virtuel, en êtes vous sur qui la porte (preuves à chaque fois que vous l'exigez)? Enfin, si il doit respecter vos exigences, il ne peut en aucun moment vous dire ce qu'il désire. Tout ce passe quand vous le désirez et comme vous le désirez. Si il ne le comprend pas c'est que c'est suremement un fantasmeur. Je vous souhaite de bien le dresser et si je peux me permettre, imposez lui un protocole journalié pour être sur que c'est un bon soumis