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Baskerville
.Posté dans Facesitting H soumis -Jeune Femme
Bonjour à tous, J'ai eu une proposition d'une jeune femme dont le fantasme est une séance photo de facesitting : on cherche donc un jeune ou moins jeune homme capable de faire cela par jeu ou par vrai fantasme. La jeune femme est âgée de 20 ans, elle est fine, avec de petits seins, très jolie, tatouée et enjouée.  J'écris ici à la fois pour trouver un volontaire et pour discuter de la pratique, éventuellement pour avoir des conseils sur la... méthode. Au plaisir de vous lire, Baskerville
Eline1995
.Posté dans Oû trouver et comment s'initier ?
Bonjour à tous, Je voulais savoir comment vous avez fait quand vous etes entrer dans l'univers du BDSM, afin de trouver des personnes afin d'échanger et de se faire initier ?  J'ai souhaité aller à des Munchs mais malheureusement, il y en a peu et souvent des jours ou je ne suis pas disponible....  Avez vous des conseils afin d'éviter les mauvaise rencontre ?  En vous remerciant d'avance   
MariusFs
.Posté dans Oû trouver et comment s'initier ?
Malheureusement, il n'y a rien de vraiment 100% sûr, que ce soit en Munch, sur internet, dans des associations, il y a toujours des risques de tomber sur quelqu'un de malhonnête. Un peu de prudence c'est toujours bien, pas de trop non plus autrement on risque de se faire contrôler par la peur de l'inconnu. Il y a des risques à toutes rencontres peu importe d'où elles surviennent. Voilà déjà quelques conseils qui pourront peut-être t'aider : - N'oublie jamais que tu as beau être soumise, tu as le droit au respect autant que n'importe qui !! Soumise ne veut pas dire que tu peux laisser de soit disant Dom inconnus te parler n'importe comment. Par conséquent, si quelqu'un commence déjà en te parlant comme à un déchet, bloque-le et va voir ailleurs. - Lorsque tu trouves quelqu'un de potentiellement respectueux, prenez votre temps afin de bien vous connaître l'un l'autre avant d'envisager quoi que ce soit. Ne foncez pas directement dans le premier hôtel que vous croisez, commencez surtout par discuter sur Internet ou lorsque vient le jour de la première rencontre, dans un lieu publique. Buvez un verre, parlez de tout ou de rien, de Bdsm ou même de tout autre chose. - Lors de vos discussions, n'hésite pas à poser toi-même des questions que tu te poses. Si tu attends systématiquement ses questions pour y répondre, il peut toujours y avoir un risque qu'il abonde toujours dans ton sens selon tes réponses. Si tu poses tes questions en première, il n'aura pas d'autres choix que de te répondre sans connaitre ton avis au préalable. - Il est important de voir si vous avez des points communs mais surtout si vous êtes compatible. Deux passionnés d'un intérêt commun ne signifie pas qu'ils sont compatibles l'un avec l'autre. Donc toujours bien discuter de tout et en profondeur pour ne pas qu'il y ait d'ambiguïté plus tard. N'importe qui doit être capable de respecter tes limites quelles qu'elles soient, donc si tu sens que l'on essaye déjà de te pousser dans tes conversations qui te mettent mal à l'aise, passe à quelqu'un d'autre. - Pour ce qui est des Munchs, c'est toujours difficile à l'avance de vraiment savoir comment ils seront. De ma propre expérience, j'aurais tendance à dire qu'il y a moins de risque d'aller dans un Munch organisé par une association plutôt que par un privé. Pour savoir où il y en aurait près de chez toi, je te conseille de jeter un oeil sur Fetlife dans la catégorie "Évènement". Si tu en as la possibilité, tu peux aussi y aller avec un ami, un confident, un proche qui sait que tu es un peu dans le Bdsm et qui pourra toujours t'accompagner. - Si tu as des questions, n'hésite jamais à les poser ! Ne communique jamais tes informations personnelles ! Contrairement à ce que l'on pourrait te dire, rien n'est vraiment définis dans le Bdsm ! Absolument rien ne t'oblige à montrer une photo de toi si tu ne le souhaite pas ! Tu auras toujours le choix, même lors de ta prochaine relation ! Tout le monde est tenu de respecter tes limites, tout comme toi les leurs ! Un Safeword est toujours bien pratique quand on ne connait pas la personne ! Voilà, je ne sais pas trop quoi te dire d'autre, je pense que c'est déjà bien. :yum: Alors au plaisir de pouvoir échanger quelques lignes avec toi si tu le souhaites. Marius :blush:
Karl Sarawa
.Posté dans Oû trouver et comment s'initier ?
Bonjour à vous Eline 1995. Je pense que les Munch peuvent être un bon moyen de découvrir la communauté. Mais également sortir en clubs, vous y verrez de nombreuses pratiques et vous rencontrerez de vrai pratiquants. Car derrière les écrans, beaucoup se disent doms et ne cherchent en fait qu'une partie de jambes en l'air pimenté. Le BDSM n'est pas basé sur le sexe, il est basé sur des rapports humains fort, sur la confiance, l'abandon, le lâcher prise, le dépassement de soi et bien d'autres..... Comme dans la vie vanille, dans le BDSM il y a des gens bêtes, des gens méchant. Mais les applications toxiques au sein d'une relation BDSM peuvent avoir des répercussions beaucoup plus importante encore que dans des relations vanille.  Si je devais vous donner quelques petits conseils : _ n'oubliez pas qu'il ne doit rien vous arriver que vous ne souhaitiez  _le fait de se dire soumise veut dire que l'on se soumet à un Maître, mais on n'est pas la soumise de tout le monde pour autant. _essayez de vous garder des gens dogmatique, ils sont bien souvent borné dans leurs idées/pratiques  _méfiez-vous de ceux qui ont des pseudos commençant par maître, grand maître de machin truc, bien souvent ils ne sont maîtres que de leur main droite 😂 D'expérience la plupart des gens dans le milieu n'ont pas des pseudos qui commence ainsi, bien sûr il y a quelques exceptions mais de manière générale un pseudo commençant par maître n'est que rarement gage d'expérience et de maîtrise.  _je ne suis pas un grand fan de protocole mais je vous conseillerais quand même de vous renseigner sur les quelques règles de protocole écrit communément admises.  Je vous donne ici mon opinion personnel qui vaut ce qu'elle vaut.  En espérant que ces conseils vous seront utiles. Respectueusement : Karl
Cogitum
.Posté dans Oû trouver et comment s'initier ?
Prudence, prudence... ici comme ailleurs, ce monde regorge de faux, amadoueurs, pseudos-machins, manipulateurs et rusés de toute sorte... Fiez-vous à votre instinct, essayez de participer à des munchs bien officiels dans un premier temps, même si ce n'est qu'une fois ou deux par an, dans un lieu public (restaurant réservé pour l'occasion par exemple) et où il y a du monde (et pas juste 3 queutards en rut avec un sourire de faux-cul...). L'envie de découverte ne doit pas faire oublier le fait de garder la tête froide et de prendre votre temps, il y a trop de soumises qui se retrouvent en mille morceaux pour avoir été sous l'emprise d'un pervers (pourtant très charmant et tout...). Bref, ne cédez pas au plus pressant, méfiez-vous des personnes trop mielleuses... Ce n'est pas de la parano, seulement du bon sens qu'il est bon de rappeler. Je vous souhaite de trouver la meilleure voie possible dans cet univers. Si vous pouvez l'arpenter en toute sérénité, alors c'est encore mieux. Cogitum  
Bonjour Eline, je suis dans le même cas que vous (novice mais très curieux d'apprendre et de rencontrer des personnes fiables). Je vous souhaite une bonne recherche et je rejoins ce qui a été dit : soyez prudente. 😉
[Création originale, écrite sous le pseudo de Dame Joana. Merci de respecter le droit d’auteur]   Mon témoignage de la soirée du 30/04/24:   Lors d’une séance blanche, je débute l’impact sur mon soumis. Un couple de novices nous observe. L’homme analyse chaque fessée. Sa femme croise les bras. Sa grande timidité n’arrive pas à cacher l’excitation qui se lit dans ses yeux. Elle a du mal à tenir en place, curieuse de mon prochain mouvement.   Devant ce public bien sage et silencieux, je frappe graduellement Haku. J’enchaîne l’utilisation de ma spatule, de mon paddle, de ma pagaie, de ma badine, etc,... Mon soumis est maintenant coincé entre mes coups et mes chatouilles ! Bien qu’il soit mort de rire, je sens qu’il cherche à se ressaisir rapidement. Il veut faire bonne impression.   Je ne vois même plus cette paire d'yeux attentifs. Mon sadisme me rattrape. Je commence à m’attaquer aux testicules. Je joue avec sa grande sensibilité en le frôlant avec mes accessoires. Chaque sursaut, chaque cris, chaque fuite en avant devient ma source d’amusement. Mon sourire prend tout mon visage.   J’ai décidé de changer de jeux. Pour l’aider à supporter ce ballbusting pour débutant, je décide qu’au moment où je frôle ses bourses… BAM ! Un coup de pagaie sur ses fesses ! J’alterne, je synchronise,... Je reste attentive à ses réactions. Bref, on s’éclate ! Je finis par lui tenir les couilles pendant que je lui rougis le postérieur. Il ne peut plus fuir.   D’un coup, j’entends une petite voix me dire ‘’J’aime bien ce que vous faites, Madame”.   J’y vois l’opportunité de pousser ses limites. Pour évoluer, il faut parfois sortir un peu de sa zone de confort. Après tout, n’avait-il pas dit vouloir aller jusqu’aux larmes au cours d’une séance? Je lâche ses bourses et commence par une pichenette… puis je lui inflige un revers de main !   Et là… Fuck…   ... Suis-je allée trop loin? ...   C’était la première fois que je mettais sa capacité d’endurance à si rude épreuve…   J’ai mis quelques secondes à réaliser ce qu’il venait de se passer… La surprise, mélangée à l’intensité de cette action, avait provoqué une grosse réaction chez mon soumis ! Je le vois partir en avant, sans revenir en position. Je crois que j’en ai lâché mon paddle... Je me rappelle juste avoir fait le tour du meuble. Je ne l’ai pas fait avec précipitation. Cependant, je savais qu’il aurait besoin de moi auprès de lui. Une fois de l’autre côté, je me suis accroupi. Je l’ai questionné. J’ai essayé de comprendre ce qu’il se passait dans sa tête… Sauf que Haku n’a pas réussi à verbaliser.   Au moment où je l’ai vu sangloter par intermittence, je suis sortie de cet état second dans lequel sa réaction m’avait plongée. J’ai repris les commandes. J’ai décidé de fermer la porte car d’autres personnes curieuses s'étaient accumulées devant la chambre. Même s’il ne me répondait pas, je continuais de poser des questions à Haku, tout en observant ses réactions corporelles. J’ai fini par entendre un faible “Oui Madame’’ au moment où je lui ai proposé de l’eau.   Une fois désaltéré, il recommence doucement à parler et à poser des mots sur ce qu’il a ressenti physiquement. Encore un peu sonné, il ajoute que ça lui a déclenché un point de douleur dans le pli de l’aine et me montre sa localisation exacte avec le doigt. Le sentant revenir petit à petit, j’ai pris l'initiative de sortir mon accessoire d'Aftercare pour l’accompagner avec douceur.   Tout en parcourant son corps dénudé avec ce gant en peau de lapin, j’ai discuté avec le couple qui était resté dans la chambre depuis le début. Comme j’avais paniqué intérieurement, j'essayais à présent de faire bonne figure. J'espérais qu’ils ne s’en étaient pas rendu compte. Je n’ai pas osé leur demander ce qu’ils ont pu penser en voyant cette scène. Une part de moi avait honte, je pense… Mon coup était pourtant calculé ! En discutant avec eux, j’ai réalisé qu’ils ne semblaient pas perturbés. Ouf, tant mieux !   Tiens? Haku recommence à sourire, cool !   Ses yeux sont fatigués et brillants. J’y retrouve néanmoins une pointe d'apaisement. Je l’autorise à poser sa tête sur mon épaule pour se reposer un peu. N’ayant pas de point d’appui, je prend sur moi en restant dans cette position fort peu agréable. Ce moment de tendresse était mérité. Quelques minutes plus tard, il semble quasiment remis de la situation.   “La séance est finie. Prends le temps de te rhabiller et on va boire un verre au bar. Es-ce que cela te convient?”   Il plussoie. En se rhabillant, il réussit à poser des mots sur ce qu’il a ressenti psychologiquement. Il explique au couple qu'il a senti une douleur foudroyante mais que, malgré cela, il ressentait de la fierté. Il était heureux d’avoir traversé cette dure épreuve que peu d’hommes novices auraient supportés. Il se tourne alors vers moi. Il leur dit que, même s’il n’est pas masochiste, il connaît mon sadisme, et mon penchant pour une séance d’impact intense. Il était comblé de pouvoir me rendre ce que je lui apportais au quotidien: une écoute, une safeplace.   J’ai été très touchée par ses paroles. Surtout après une telle frayeur !   “Nous continuerons à travailler sur ses limites.” Je souligne le fait qu’il avait fait la demande qu’un jour, je le frappe jusqu’à m’en épuiser. J’explique au couple qu’il n’est pas encore prêt, moi non plus. Il est important de ne pas faire n’importe quoi, juste par vanité ! Je rajoute que d’ici le barbecue de cet été, nous aurons bien évolués mais pas encore à ce stade. Il faudra que l’on travaille son endurance sur 6 à 8 mois, selon mon estimation. Il m’avoue d’un air amusé qu’il ne sera jamais vraiment prêt pour du ballbusting avancé.   Nous sommes donc allés boire un verre tous les deux. Nous avons débriefé autour d’un coca. Il m'a décrit qu’il avait d’abord ressenti de la colère, du doute,... Puis il a eu peur de commencer à me craindre. (J’avoue que mon corps s’est crispé à cet instant). Il continue en m’expliquant que cette inquiétude était profonde. Une fois remit de ses émotions, cette frayeur s’est envolée.   Il m’a parlé de la femme du couple qui s’est essayée à l’impact pour la première fois au cours de cette même séance. Il aurait aimé intervenir pour la guider. Mais il a senti que j'avais l'œil attentif à sa santé et sa sécurité. Il a entendu que je corrigeais ses gestes, sa posture et que je surveillais chaque coup qui lui était infligé. Il a compris qu’il pouvait me laisser les rennes et qu’il était safe.   Il explique aussi que lors de ce fameux revers, il a apprécié que je comprenne que cela a été particulièrement éprouvant. Le fait que je sente immédiatement sa détresse et agisse en conséquence l’a beaucoup rassuré. Il me dit que je suis une bonne Maîtresse.   Pour cela, je conclurais que:   Cette expérience confirme ma ligne de conduite en tant que Dominatrice. Je le répète depuis des mois : une personne Soumise n’est pas moins respectable qu’une personne Dominante ! J’ai énormément de considération pour eux. J’espère que le partage de cette expérience vous donnera un aperçu de leur force et de leur loyauté ! Ils ont une capacité de lâcher prise qui me fascine.   Mon témoignage vous fera peut-être prendre conscience qu’être une personne Dominante est une réelle responsabilité. Il n’y a pas de honte à se remettre en question !   On me dit souvent que je suis trop volubile, voire “trop gentille” ou à l’inverse “trop intense”, etc,... Il est important d’écouter les retours, certes. Il ne faut pas non plus s’oublier et se priver de nos singularités, notre style, notre vécu, etc,... Il n’ont pas à plaire à la personne qui regarde mais au soumis qui vit la séance et la relation.   Personnellement, je m’interroge encore beaucoup sur mon sadisme… Ses limites? Son intensité? etc,.. Néanmoins je sais que, quelque soit mes prises de décisions, elles ne seront jamais faites au hasard et sans savoir-faire.   D’ailleurs, le couple présent cette soirée-là avait déjà assisté à une de nos séances quelques semaines auparavant. Avant de partir, l’homme m’a avoué qu’il donnait parfois des fessés (encore timides) à sa femme. Il disait qu’il avait appris à les donner en m’observant. Chacun de mes mouvements, ma façon de garder le contact en posant des questions à mon soumis tout au long de la séance, etc,... J’avoue avoir été très émue de suivre leur évolution comme ça et de voir mon impact sur leur couple.   “Impact sur leur couple”, vous avez saisi? (héhéhé)   Ps: N’hésitez pas à partager votre expérience en commentaire: nos erreurs, nos expériences,... ça aidera sûrement d'autres personnes <3   Bonne soirée Dame Joana
On parle souvent de l' appartenance en termes élogieux,  On passe souvent sous silence la fin de cette même appartenance...  Je me suis souvent efforcée de mettre en place une fin propre et sans casses, n'ayant su le faire la toute première fois.   J'essaie de faire ça propre au mieux, l' histoire de ne pas briser l' homme. Il me serait facile de le faire, Je connais ses faiblesses.  Je vaux mieux que ça, alors Je fait preuve de beaucoup de tolérance... Encore...    Je m' interroge dés les premiers signes . A force , on les repère. J'essaie d'ouvrir et de garder ouvert le dialogue avec le ou la soumise concerné. Mais bien souvent les "non dit " faussent la donne.   Peur de peiner, de décevoir, de se faire punir et certainement d'autres choses qui font que les choses ne sont pas dîte  dès qu'elles sont ressenties et ainsi le mal- être prend place.    A quel moment mettre fin à une appartenance?  Est ce bien quelque chose qui s'explique?    Pour ma part, c'est plus quelque chose qui se ressens , qui se voit même , ( si on ne se voile pas la face) .Et  c'est surtout une décision qui se doit d'être un minima verbalisée.    J'en ai eu qui ce sont trés bien passé et d'autre moins facile mais toutes sont triste car toutes ont était une relation bdsm choisie et désirée. Il est toujours triste de mettre un terme à quelque chose de plaisant , non?    Je ne suis pas des plus bavardes et actives sur le forum , néamoins Je laisse libre à chacun de s'exprimer sur ce sujet car Je suis persuadée qu'il y a autant de façon de mettre fin à une appartenance qu'il y en a à en débuter une.   
Bonsoir, lorsque le lien a été fort il est important de poser des mots sur cette "fin", d'expliquer ce qui ne nous convient plus que ce soit côté D ou s, cela s'appelle pour moi le respect, respect du lien passé mais aussi respect de la personne en face. Personnellement la fin de ma relation D/s serait comparable à une mort et pour la surmonter j'aurai besoin de faire mon deuil, ce que je ne pourrais pas faire sans explications honnêtes et claires. Le meilleur moment pour y mettre fin ? Je pense que c'est le moment où on ne s'y retrouve plus, où l'on se perd, où l'on n'apprécie plus vraiment les instants passés ensemble, où (la je parle pour moi) on n'a plus rien à se dire
Des trois que j'ai vécus deux on été très violente de par la coupure nette. L'une avec des mots posé et c'est avec cette peraonne que je me suis remise et l'autre a été un Ghost le jour ou on m'a annoncer que mon père se réveillerais plus. La dernier fin de relation c'est moi qui était plus dedans plus envie. Il a eu la "délicatesse" de continuer le dialogue pour au final finir par tout casser... Le besoin de faire mal et d'être blessant quand on n'a pas ce qu'on veut...  C'est pas simple quand il y a plus l'envie pour moi c'est ça qui signifie réellement la fin