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BDSM
.Posté dans Quel groupe créer ?
Dans la catégorie Fans Pages, nous souhaiterions créer des Groupes/tribus dédiés au Sado Masochisme. Quels sont pour vous les groupes idéaux ? Sachant qu'un bon groupe est celui qui va être suffisamment précis pour être "tribal", mais point trop fermé pour qu'il ne suscite l'adhésion que de trois membres !
BDSM
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dante42 a dit...Bonjourun groupe sur le travail des seins me semblerait pertinent mais n'aurait il pas sa place dans la section des dominateurs ?je suis assez ouvert, à vous de me dire C'est une pratique ...Il y aurait bien un sens à créer un groupe pour chaque pratique (dont on a essayé de faire le tour sans trop en oublier pour gérer le formulaire d'inscription). Tant que la communauté est "intimiste" (pourvu que ca ne dure pas) on va laisser les Dominatrices et Dominateurs la liberté d'en parler dans leurs groupes dédiés ou sur le forum ... mais quand le site se sera étoffer c'est effectivement à envisager !  
Mes propositions ne sont pas des groupe mes des catégories de discussion pour le forrum un groupe sur l"hygiène et la sécurité ?un groupe sur le matériel ?
BDSM
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Yog_Sothoth a dit...Mes propositions ne sont pas des groupe mes des catégories de discussion pour le forrum un groupe sur l"hygiène et la sécurité ?un groupe sur le matériel ?Hygiene et sécurité, c'est une rubrique à créer sans délai, on adhere !!!Pour le "Matériel", ca parait "dur à lancer" tant qu'on est pas plus nombreux à trainer sur le forum ... C'est une idée à garder dans un coin et à reprendre dans quelques semaines/mois (suivant la croissance de la communauté, amha.
BDSM
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Sur excellente idée de Yog_Sothoth , la rubrique Hygiène et sécurité sur le forum est crée ! Faudra peut-être d'ailleurs qu'on envisage une rubrique dans les articles pour reprendre les meilleurs messages du forum (ou les synthétiser !)
BDSM
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EricH a dit...Je propose un groupe uniquement réservé au Dominas afin qu'elle puisse y (oserai-je ?) papoter (j'ai osé en toute liberté.On avait créer une groupe Domina, et un groupe Maître au lancement du site, mais comme pour le moment nous n'avons pas de développé de système permettant de controler l'accès, dans le groupe Domina il n'y avait que des soumis ...Le principe avait donc été abandonné pour privilégier une organisation par pratiques
analogique
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BDSM a dit... Dans la catégorie Fans Pages, nous souhaiterions créer des Groupes/tribus dédiés au Sado Masochisme. Quels sont pour vous les groupes idéaux ? Sachant qu'un bon groupe est celui qui va être suffisamment précis pour être "tribal", mais point trop fermé pour qu'il ne suscite l'adhésion que de trois membres ! Bonjour,Bien qu'il ne s'agisse pas d'une pratique exclusivement bdsm, il me semble qu'une page consacrée à la dilatation (anale comme vaginale) et au fist devrait faire de nombreux émules...
analogique
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analogique a dit...Bonjour,Bien qu'il ne s'agisse pas d'une pratique exclusivement bdsm, il me semble qu'une page consacrée à la dilatation (anale comme vaginale) et au fist devrait faire de nombreux émules...Voilà qui est fait.L'entrée des artistes est par ici:http://www.bdsm.fr/fistetdilatation/
James Bondage
.Posté dans La graine du BDSM
Une question intéressante que je me pose aussi souvent. Pour ma part, je ne pratique pas depuis longtemps, je suis encore novice, mais le fantasme lui est ancien.Comme pour vous, c'est dans la petite enfance qu'il faut remonter. Depuis tout petit, j'aimais m'amuser à m'attacher parce que ça me procurait du plaisir, un plaisir masturbatoire. Je ne savais pas, à cette époque, que cela portait un nom : le bondage. Et je savais encore moins, que beaucoup de gens le pratiquaient. Cette activité solitaire a longtemps été la seule en rapport avec le BDSM, puis progressivement, surtout à l'adolescence, c'est mon côté fétichiste qui a émergé. Ainsi, une fascination pour les tenues moulantes en cuir, latex, etc... est apparue. J'ai toujours trouvé que cela mettait le corps de la femme en valeur tout en étant très suggestif et moins direct qu'un corps nu. En ce qui concerne les talons, bas, collants, bottes, pieds, c'est plus récent, et à chaque fois progressif.Pour le côté domination pure, fouet, etc... Je pense que ça fait longtemps que j'ai ça en moi mais je ne me l'avouais pas forcément, j'en avais sûrement honte. Il n'y a que depuis quelques temps que je l'assume et ce fut la première étape qui me poussa à passer à l'acte réel.Je pense donc que notre nature mêlée à nos influences et rencontres font émerger chacun de ces aspects. Il y a encore sûrement beaucoup de choses à découvrir en soi et seul l'expérience de la vie pourra les faire ressortir.
Olivier
.Posté dans La graine du BDSM
En ce qui me concerne, le plaisir du BDSM s'est installé progressivement. Au début c'était la relation amoureuse fusionnelle avec mon amie "comme tout le monde". Lentement mais sûrement, les jeux se sont étoffés "je t'attache" puis "je t'attache et te bande les yeux", plus tard, le bâillon et, de proche en proche le BDSM complet.Ma compagne m'a offert ma première cravache de nombreux mois plus tard.Doucement on a glissé vers le SM soft.J'appréciais les préparatifs autant que la séance elle-même.Quand elle était attachée et que son corps réagissait à chaque coup de cravache, je trouvais les cris et les ondulations du corps terriblement érotiques.J'en voulais de plus en plus et mon imagination créait des scénarios à satisfaction.Les mises en scènes se développaient plus que de raison.Ensuite le fouet s'en est mêlé. Toujours à travers les vêtements. Je déteste les bleus, les saignements, etc. Ce que je voulais c'était dominer, faire bouger et crier comme je le fantasmais.Chez moi la mise en scène m'enthousiasme autant que la séance elle-même : mettre les bracelets de poignets et de chevilles, le collier, la ceinture, le bandeau, la cagoule, le bâillon, descendre le trapèze, attacher à l'espalier, aux chaînes, etc.Il faut que tout soit esthétique, ajusté, élégants et fétish. Les préparatifs comme les mouvements des soumis(e)s.Etant donné que mon plaisir S a trouvé chez ma compagne des limites, je me retrouvais frustré.Un de mes copains libertins recevait déjà dans un donjon. Un jour il m'a demandé si je pouvais le remplacer de temps en temps quand il était malade, parti pour son travail, surchargé par ailleurs, etc.Il m'a expliqué comment on procédait avec des inconnu(e)s adultes et consentant(e)s, m'a montré son matériel, les critères de choix, les enchaînements.J'ai fait une séance SM avec lui, avec le consentement de ma compagne. Il faut préciser que je n'ai ni rapport sexuel ni buccal avec mes soumis(e)s.Tout de suite, j'ai apprécié le SM hard demandé par les client(e)s du donjon. Ma compagne était toujours d'accord. Elle m'a servi une seule fois d'assistante mais n'a pas voulu poursuivre. C'est dommage car elle était habillée sexy.De plus en plus j'ai donc été le remplaçant-collaborateur de mon copain.Plus tard j'ai aménagé mes propres lieux, selon mes critères.Actuellement je m'amuse (très) hard avec des gens (on peut dire des "masos" - des dominé(e)s - c'est comme on veut) qui le demandent. Toutes et tous sont adultes et consentants, bien sûr.J'ai une profession à temps plein et ma salle ne me sert que comme dérivatif. Je peux toujours m'amuser SM hard, je peux toujours préparer mes soumis(e)s comme j'aime le faire, pour le plus grand plaisir de tout le monde, y compris celui de ma compagne ( ).Mes scénarios varient, s'étoffent : mon matériel se complète de temps en temps.Ma réputation de sérieux et de correct est assise. J'ai quelques soumis(e)s par semaine et c'est bien assez ainsi.Merci d'avoir soulevé ce sujetGC
Xolotl
.Posté dans La graine du BDSM
Alors là je sens que y en a qui vont rire. :-D La première fois que j'ai eu envie de faire du BDSM c'était vers 12 ou 13 ans à cause de cette chanson de Thiefaine! J'ai tout de suite senti que ça me plairait mais vu mon education ça me parraissait totalement exclu à l'époque. C'est donc resté de l'ordre du fantasme pendant très longtemps. Bien plus tard, je me trouvais dans un bar underground à Paris et un couple est rentré pour faire une démonstration de Shibari. Ca a été une révélation! Je ne les ai jamais revu mais je leur dois beaucoup! Rapidement j'ai rencontré des gens que le BDSM interessait et de fil en aiguille... je suis arrivé ici. Cela fait un peu plus de 5 ans que je pratique le BDSM comme dominant ou comme soumis et j'ai l'impression que je n'aurais jamais fait le tour de la question. J'ai la chance d'avoir des partenaires de jeu très créatif(ve)s qui m'ouvrent de nouveaux horizons! Bref, Enjoy!
analogique
.Posté dans La graine du BDSM
Au moment où ce fil a été lancé, je n’y avais pas répondu car son initiateur connaissait très bien mon parcours. En public ou en privé, plusieurs personne m’ont récemment demandé comment j’étais arrivé au bdsm, et c’est l’occasion de remonter ce sujet… Je crois qu’il y a eu une multitude d’éléments déclencheurs, et j’aurai autant de mal à en isoler un qu’à les nommer tous.Coté enfance, ça commence par une éducation d’obédience anarcho-libertaire avec des parents plutôt permissifs. Un souvenir: il y avait à la maison une bande dessinée dans laquelle des cow-boy faisait prisonniers des indiens, et l’un ou l’une de ceux-ci était ligotée dans une posture autorisant tous les outrages. Cette image m’a beaucoup fait rêver…Jeune ado, j’ai multiplié les expériences sensorielles et sociales de toutes sortes: j’étais facilement troublé par les jeux transgressifs qui consistaient àbizuter (ou être bizuté par) mes camarades des deux sexes (même si avec le recul je trouve ça odieux), j’ai très vite pris du plaisir à m’auto-sodomiser avec tout ce qui me tombait sous la main, et j’étais volontiers exhibitionniste. Bref, je pense rétrospectivement que j’avais de sérieuses prédispositions aux déviances de tous ordres.Plus tard, grand ado, j’étais extrêmement introverti, et je fuyais pas mal la réalité dans les livres; j’ai assez tôt lu Bataille, Sade, Sacher-Masoch, et je me branlais assez volontiers en feuilletant les dessins d’André Masson ou les photos de Pierre Molinier. Tout cela me semblait cependant très loin de l’iconographie cuir et latex du bdsm des magazines, pour lequel je n’avais pas la moindre attirance.Quand une revue érotique ou pornographique me tombait sous la main, je découpais minutieusement des fragments d’anatomie que je réassemblais ensuite dans des collages, j’éprouvais le besoin de transformer et recycler mes fantasmes et pratiques onanistes en objets artistiques; c’est une habitude que j’ai conservée très longtemps, et transposée ensuite dans des mises en scènes photographiques qui me permettaient d’être voyeur de mon propre exhibitionnisme.Vers 20 ans, j’ai rencontré celle qui a sans doute le plus changé ma vie. Nous étions éperdument amoureux, mais elle vivait avec un autre, et nous avons décidé de vivre notre relation sur un plan qui ne concurrencerait pas son couple déjà existant. Nous avons donc développé une «sensualité alternative», qui dans les premières années ne recourrait pas à la pénétration. Cette histoire à éclipse, trop intense pour s’incarner dans le quotidien, a duré plus de 10 ans. Nous étions à mille lieues de toute idée de domination ou de soumission, ou de tout «folklore» bdsm: nous retrouvions quelques jours de temps en temps, et nous livrions sans le moindre accessoire à ce que nous appelions des expériences de lâcher-prise. Au fil des années, nous connaissions parfaitement l’alchimie de nos 2 corps, et certains de nos jeux intégraient des aspects très sm malgré nous: nous pratiquions le «breath-control» en nous étranglant réciproquement, nous nous fistions mutuellement, et n’hésitions pas à explorer les possibilités de la douleur à travers le travail insistant sur une partie du corps: nous avons franchi à deux de nombreuses limites. Mais notre relation avait finalement un impact important sur son autre vie et son équilibre psychique en était menacé: il est venu un moment où nous avons convenu de ne plus nous voir car ça devenait invivable pour elle. Je ne l’ai jamais revue, mais son souvenir reste celui des expériences fondatrices.Parallèlement à cette histoire, j’avais de temps en temps quelques amantes, parmi lesquelles il s’en est trouvé quelques unes avec qui j’ai développé des amitiés au long cours. En approchant de la trentaine, je me croyais libertin, et j’étais attiré par le bdsm, et ai donc multiplié toutes les expériences possibles et imaginables pour mettre les pieds dans ces mondes dont j’ignorais tout. Je me suis acheté la garde-robe minimale pour franchir les portes des soirées avec un code vestimentaire fétichiste, et ai ainsi découvert en quoi le costume pouvait —comme au théâtre— aider à entrer dans un rôle, ce qui m’a permis de commencer à aimer ce «folklore» qui m’était étranger auparavant. J’ai vécu le pire (souvent) et le meilleur (parfois) de ce qui peut s’envisager dans les clubs ou les rencontres par petites annonces. J’ai écumé les soirées glauques et y ai parfois rencontré des gens extraordinaires. J’ai appris à être disponible à ce qui advient sans me construire d’attentes surdéterminées, et en acceptant qu’il pouvait ne rien advenir.Un peut revenu du monde libertin que je ne trouvais pas si libéré que ça, je suis devenu l’amant régulier d’un trio mélangiste gentiment dominateur: nous baisions gaiement à quatre, avec une multitude de sex-toys, et dans une approche très démocratique du plaisir: tour à tour, trois d’entre nous se consacraient entièrement au plaisir du (de la) quatrième. Je continuais par ailleurs à aller découvrir les recoins sombres de quelques donjons, pas toujours très heureux (j’y ai croisé quelques personnes authentiquement malsaines). C’était aussi une sorte de travail sur moi et de manière d’aller à la rencontre de ma part obscure: je m’interroge toujours beaucoup sur les mécanismes qui font qu’à la faveur d’un bouleversement politique une personne apparemment très recommandable peut devenir un bourreau et se livrer à des actes abominables.Au bout de quelques années, j’ai éprouvé le besoin d’arrêter car j’avais l’impression d’être devenu un sex-addict dorénavant incapable de bander pour une seule femme à la fois ou d’éprouver la joie de simples caresses. J’ai donc tenté de me reconnecter à des plaisirs sans accessoires ni multitude.Un soir, lors d’une soirée bien arrosée vers mes trente ans, j’ai invité par provocation une jeune fille de dix ans ma cadette à venir chez moi pour que je lui administre une fessée. Elle a débarqué quelque jours plus tard, et est devenue ma soumise pendant 5 ans. Avec elle, j’ai exploré de nouveaux champs, qui prolongeaient mes aventures précédentes, mais nos rapports se situaient ouvertement dans le mode bdsm (et j’excluais avec elle toute évolution vanillée). J’étais par ailleurs toujours très attiré par l’exploration de mes fantasmes de soumission, et n’ai pas manqué une occasion de me faire dominer par d’autre femme, avant de conduire ma soumise vers la switchitude et d’instaurer des renversement occasionnels de rôles.Puis est venu internet, la découverte des réseaux sociaux, des blogs, de l’anonymat… Tout ceci était fort excitant et ouvrait de nouvelles perspectives. Je me suis acoquiné avec une jeune fille aussi décadente que créative pour des mises en scène sodomito-burlesques… Ça a été un moment très amusant: nous avions pour ambition de monter un groupuscule d’art contemporain subversif pour une sexualité anti-conceptionnelle et pro-sodomite. C’est dans ce contexte que j’ai rencontré celle avec qui j’ai décidé de faire une fois dans ma vie l’expérience de la monogamie, et qui a été ensuite ma compagne pendant presque 5 autres années. Mais des aspirations contradictoires et des insatisfactions répétées nous ont conduit à nous séparer en bons termes en arrivant vers la quarantaine.
C’est à ce moment que mes dérives sur le web m'ont amené à croiser des gens qui sont très vite devenus ma "famille" bdsm. Auprès d'eux, j'ai appris à nommer et identifier quelques éléments qui m'échappaient, à assumer plus clairement mon sadisme, et à me réconcilier avec la D/s, que j'ai longtemps assimilé à un mal nécessaire. J’ai eu de nombreux échanges très vivifiants et ai participé à de nombreuses rencontres, tour à tour en cercle privé restreint ou en bande organisée. Nous étions sur un petit site qui n’existe plus et dont j’ai été très vite modérateur, jusqu’à ce que cette fonction me fatigue et que j’en démissionne. Je suis encore en contact avec bon nombre des membres de ce site, et il m’arrive de pratiquer avec certains (et surtout certaines)… Actuellement, j’ai quelques partenaires régulières qui sont presque toutes des switchs, et avec qui ma palette de pratique englobe presque tout ce qui ce fait de mal sans entrainer de lésions définitives...Mais mon insatiable curiosité et mon indécrottable appétit de nouveauté m’ont un jour fait répondre à une invitation à venir sur bdsm.fr… Au premier abord, j’ai détesté cet endroit où plein de gens s’étalent très superficiellement, et puis, petit à petit, je me suis mis à trouver de l’intérêt à cette diversité, et finalement j’aime bien l’idée qu’on y croise de tout: un échantillon d’humanité qui fantasme sur le bdsm, où se côtoient des gens expérimentés et de parfaits novices, des protocolaires de la vieille-garde et des anti-protocoles qui préfèrent inventer leur bdsm en s’en réappropriant la part qui leur convient…Bref, il n’y a pas pour moi «une» graine du bdsm, mais c’est la conjonction de ces expériences multiples dans mon parcours de vie qui a forgé ce qui est devenu mon bdsm.Quoique, si je remonte encore plus tôt, à travers ce qu'on m'en a raconté, il se trouve que quand j’ai été nourrisson, vers 18 mois, j’ai été délaissé quelques mois par ma mère, qui était alors accaparée par la fin de vie de son père. Le truc a été suffisamment violent pour que je la rejette et ne veuille plus de son contact lors de nos retrouvailles. C’est évidemment très compliqué de deviner ce qui s’est joué pour moi à ce moment-là, mais on peut supposer que c’est là que je me suis façonné ma farouche indépendance et mon indéfectible besoin de solitude, tout comme —sans doute— ma difficulté à investir une relation au quotidien et son pendant consubstantiel: le désir d’abandon que j’ai ensuite pu retrouver dans le bdsm…
.Posté dans pony play
bonjour a tous  je voulais savoir si parmi vous sont des ponygirl ou ponyboy et ce que vous pouvez men dire 
.Posté dans pony play
Je ne le suis pas, mais franchement candidat!! J'adore le pet play en général.