Echangez librement dans ce forum sur les sujets BDSM de votre choix, posez vos questions et trouvez vos réponses sur le bondage, la soumission/domination, le SM et les pratiques associées
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Ponctuellement, à intervalles plus ou moins réguliers des concours de photos BDSM sont organisés, les participants proposent leurs photographies kinky dans cet espace.
A la découverte du masochisme (désir de souffrir et d’être humilié pour prendre du plaisir) et du sadisme (jouissance à faire mal, à insulteré. Lors d’une relation. Dominatrices, Dominateurs, Soumises et soumis échange ici sur les plaisirs des pratiques SM.
Le bondage (kinbaku en japonnais) est une pratique BDSM qui consiste à entraver un soumis ou une soumise avec des cordes (souvent en chanvre) à des fins sexuelles et/ou artistiques. Pour ces pratiques d'immobilisation on parle aussi de shibari (mot générique pour "lié"). Pratiquants du bondage échange ici leurs techniques et partagent leurs expériences (figures, matériel ...)
Éduquer son soumis ou à soumise, demande du doigté mais aussi, de punir, de fesser, de fouetter. On parle ici des techniques et du matériel (fouet, badine, martinet ...)
La domination et la soumission sont à différencier du SM car peuvent se pratique entre personne soumise et personne dominatrice, sans nécessairement avoir recours à la douleur. Échangez ici vous sensations et vos questions.
Le forum de tous les fétichismes Le fétichisme sexuel. Que vous soyez excités par un objet (talons, collants...), par une partie du corps (cheveux, pied ...) ou par une matière ( cuir, soie, vinyle, latex...) , vous pouvez en discuter dans ce forum.
Pas de pratiques SM, pas de bondage sans que la personne dominante prenne grands soins de la personne soumise ! Echangez sur les moyens de sécuriser vos relations BDSM (Safeword, ciseaux à avoir à porter de main ...)
un panorama complet des identités de genre telles qu’elles sont vécues, nommées et revendiquées dans les communautés BDSM et queer. D’agender à genrefluide, en passant par cisgenre, non-binaire, trans, bigenre ou encore genre anarchiste, chaque terme est défini avec autant de clarté que possible. N'hésitez pas à compléter une définition ou à en débattre.
e chapitre « Culture gay » du lexique plonge dans l’univers foisonnant, flamboyant et parfois cru de la culture homosexuelle masculine, telle qu’elle s’est forgée à travers les clubs, les luttes, les codes et les fantasmes. Ici, on explore des identités comme bear, twink, otter, pig, ou encore les dynamiques de top, bottom ou versatile, avec toute la tendresse et la fierté qu’elles méritent. Loin des clichés réducteurs, ce chapitre célèbre l’autodérision, l’érotisme codé...
« Orientations sexuelles » explore l’éventail des attirances, des pulsions et des préférences qui forgent nos désirs. D’asexuel·le à pansexuel·le, en passant par allosexuel, demisexuel, gay, lesbienne ou bicurieux·se, chaque terme est expliqué dans son contexte affectif, social et sexuel. Ici, on célèbre la complexité des attirances humaines, loin de toute norme figée, avec une attention particulière pour les identités émergentes et fluides.
« Orientations amoureuses », on parle d’amour. Pas de l’amour en général, mais de comment on aime, qui on aime, et avec quel type de lien. Aromantique, demiromantique, panromantique, cupioromantique ou sapioromantique : autant de nuances qui montrent que l’attirance romantique n’est ni universelle ni automatique. On peut désirer sans vouloir aimer, aimer sans désirer, ou naviguer quelque part entre les deux. Ce chapitre donne toute sa place à l’invisible, au subtil et à l’intime.
Le chapitre « Relations » explore la diversité des structures affectives, sensuelles, amoureuses et kink — des relations monogames aux polycules les plus baroques. De la relation ouverte au partenariat d’ancrage, du couple long-distance au coven sororal, de la relation de meute à l’amour platonique queer, chaque lien est une invention précieuse. Ce chapitre casse les moules et démultiplie les façons d’aimer, de se lier, de se protéger et de se jouer des normes amoureuses.
De Dominant·e à soumis·se, de brat à caregiver, de petit chaton câlin à sadique raffiné, les rôles BDSM sont des archétypes vivants, souvent théâtraux, parfois brutaux, mais toujours fondés sur le consentement. Ce chapitre célèbre cette palette infinie d’expressions, du fantasme intime à l'identité profonde, en passant par les jeux de scène et les fictions érotiques qui façonnent nos plaisirs.
Le chapitre « Pratiques kink » est une plongée dans la créativité sensorielle, psychologique et corporelle des univers BDSM. Chaque pratique, qu’elle soit physique, mentale ou symbolique, est détaillée avec soin : du pet play à la feminisations, du breath play au fisting, du jeu de rôle au sadomasochisme. On y célèbre l’art de la mise en scène, la précision des rituels, l’exploration des limites et la puissance du jeu érotique consenti.
Dans le chapitre « Activités sexuelles », on entre dans le vif du corps, dans ses mille et une façons de jouir, de se relier et de s’abandonner. Du sexe oral à la double pénétration, de l’orgie à la masturbation mutuelle, du bareback au face fucking, rien n’est laissé dans l’ombre — sauf si c’est pour mieux allumer le projecteur dessus. Ici, pas de hiérarchie morale, pas de honte : chaque pratique est expliquée, contextualisée, libérée de ses tabous.
Les attirances spécifiques, parfois marginales, souvent méconnues, qui orientent nos désirs vers un objet, une forme, une matière ou une situation bien particulière. Du fétichisme des pieds à la macrophilie, de la dacryphilie à la plushophilie, chaque terme est décrit sans jugement, avec rigueur et ouverture d’esprit. Parce que le désir est un monde, et que ce monde est souvent plus étrange, plus tendre, et plus poétique qu’on ne l’imagine.
« Sextoys et équipements » est une ode à l’inventivité des plaisirs matériels : cordes, menottes, godes, cravaches, cages de chasteté, bâillons, et objets détournés en pervertables. Chaque outil a son esthétique, son usage, sa charge symbolique. Qu’on soit minimaliste ou fan de donjons bien équipés, ce chapitre détaille les instruments du plaisir avec sensualité, sécurité et fantaisie. Car dans le BDSM, l’objet est souvent le prolongement du désir.
Le chapitre « Espaces de jeu » invite à découvrir les lieux où l’imaginaire et la réalité se rencontrent. Dungeon, rope dojo, munch, chambre intime ou backroom d’un club : chaque espace a ses codes, ses ambiances, ses règles implicites. Ces lieux sont souvent des sanctuaires, des scènes de théâtre, ou des laboratoires de sensations. Les comprendre, c’est mieux s’y sentir, mieux s’y protéger, mieux y jouir.
Le forum « Santé sexuelle » aborde avec précision, douceur et pédagogie les réalités corporelles liées à la sexualité. Des infections sexuellement transmissibles à la sécheresse vaginale, des troubles de l’érection à la santé testiculaire, chaque sujet est traité sans tabou. Ce chapitre est un espace de soin, de prévention, de savoirs pratiques, pour faire du plaisir un territoire de conscience autant que de jouissance.
Ce forum est une ode au consentement, de la confiance et du soin dans les pratiques BDSM. On y découvre les safe words, le subspace, les dynamiques de frenzy, la vérification des cordes, les appels de sécurité, l’aftercare, la vigilance face aux abus… Bref, tout ce qui fait qu’un jeu, même extrême, reste un jeu.
Dans un post du murgé décrivant une relation dite CNC, j'ai lu dans des commentaires polémiques, le rappel du consentement, de la bienveillance, du respect en étendards éthiques et le safeword et la communication comme remparts aux dérives.
Je ne vois pas comment on peut lâcher prise, et le pouvoir, être sous emprise (parce que sinon je ne vois pas bien à quoi on joue, ou plutôt je verrais bien qu'on joue) en réclamant le respect, la bienveillance et le consentement. Ces 3 composantes doivent être suffisamment digérées, intégrées, assimilées en amont, au niveau de la relation humaine, pour être oubliées au moment de l'expression de sa domination.
Je ne veux pas de sa bienveillance, je ne veux pas qu'elle me respecte et respecte mes limites, je veux son arbitraire et son emprise. Chez nous, pas de limite verbalisée, pas de safeword, pas de scenario à approuver sinon... bah on joue et je ne suis pas dominé. Pourquoi je me soumettrais si elle ne me domine pas ?
Elle ne sait qu'elle a franchi une limite dure qu'après coup, parce qu'à ce moment là, je l'informe, je communique.
Et si elle se plante, si elle dépasse mes capacités, ma résilience, je sors de son emprise. Et comme nous avons une relation humaine en amont de son expression bdsm, où règne la bienveillance, le respect et le consentement, elle s'en rend compte et en tient compte.
C'est la façon dont nous ressentons la domination, son arbitraire qui s'impose. Et puisqu'il faut des cases, je pense qu'on est dans le CNC.
Suis-je vraiment une victime d'une perverse parce que tout se passe au delà de mon choix ?
Edit : En fait, la question posée était purement rhétorique et inappropriée, je sais justement qu'elle n'est pas perverse et que si je lui exprimais mes désirs et mes limites à priori, elle en tiendrait compte et orienterait ses demandes.
Les questions sous jacentes seraient plutôt, est-ce que demander et respecter le consensus ne bride pas la domination, ou ne pas demander ou respecter une limite, est-ce éthique ou pervers ?
Bnjour a tous qui a utilisé l'injection d'alprostadil ?
Les injections médicamenteuses d'alprostadil sont un traitement pour la dysfonction érectile (DE) qui consiste à injecter une substance médicamenteuse directement dans le pénis. L'alprostadil est un analogue de la prostaglandine E1 qui aide à dilater les vaisseaux sanguins et à améliorer la circulation sanguine vers le pénis, facilitant ainsi l'érection.
Bonjour à toutes et à tous,
Cet écrit est une sorte de questionnement à haute voix, mais je serais ravi d'avoir vos retours. Je vous prie de m'excuser d'avance pour la longueur du texte et, le cas échéant, de l'utilisation maladroite de certains termes dont je ne connais peut être pas encore la signification exacte, si tant est qu'il y en ait une.
Tout d'abord, je dois préciser que je suis un homme et que je m'identifie en tant que soumis. Cependant, vu mon manque d'expérience en la matière, je ne sais pas si c'est très pertinent et légitime.
Il me semble que la définition d'une Dominatrice, ou de toute personne occupant le rôle de Dominant en général, varie beaucoup d'une personne à l'autre. Et c'est tant mieux, je n'aime pas trop les cases, qui au final, ne servent qu'à nous limiter. Par contre je vois des soumis qui disent chercher des Dominas pour <les détruire>, et même des Dominas qui promettent de nous détruire aussi bien physiquement que mentalement. J'imagine bien que c'est une image, du moins la plupart du temps, mais ça m'a quand même interpellé. Perso, je la vois plutôt comme une architecte, donc dans une démarche de création. Avec sa vision personelle de ce qu'elle souhaite "créer" tout en gardant à l'esprit la faisabilité du projet et les éventuelles contraintes techniques. C'est là qu'entre en compte la notion d'épanouissement par la soumission qui me fascine. J'ai lu beaucoup de témoignages en ce sens, mais toujours émanant de soumises en relation avec un Dom et jamais d'hommes soumis avec une Domina. Je sais pas si j'ai mal cherché ou s'ils en parlent moins, mais ça m'interroge.
Ensuite, ce qui m'attire dans le rapport D/s ce sont toutes les petites subtilités, par exemple, cette sensation de rester figé après avoir dit quelque chose ou répondu à une question, en comprenant immédiatement que cela pourrait être interpréter comme une provocation, ou encore mieux, que cela pourrait faire germer une idée perverse dans l'esprit de la Domina, et à terme, ce retourner contre nous. Ou encore le fait de savoir que je ne suis jamais à l'abri d'une surprise. Ce moment ou je perçois une étincelle dans le regard ou un petit sourire en coin, et je me dis <Qu'est-ce qui lui est encore passé par la tête ? De toute façon je vais pas tarder à le savoir> Ce paradoxe me fascine égalament. On dit que la prévisibilité donne un sentiment de sécurité, et qu'à l'inverse l'inconnu peut être source d'angoisse. Je pense être plus anxieux que la moyenne, mais pourtant, j'imagine cette dynamique D/s au sein d'une relation saine comme réconfortante. Je sais pas si c'est le bon terme, mais en tout cas je ne perçois pas ça comme quelque chose d'anxiogène alors que cela devrait être le cas pour une personne "normale".
Enfin, je suis clairement plus maso que la moyenne. Je ne peux pas dire à quel point car il faut que je travaille encore à ce sujet pour le découvrir:smirk: mais j'aime l'impact. Je comprends le côté punition pour avoir fait une "bétise", voir faire volontaraiment une bétise pour être sanctionné. Mais perso ce qui me plaît le plus, c'est encore l'idée d'être "puni pour rien", juste pour le plaisir, juste car elle en a envie et que je suis à sa disposition, sans avoir à chercher un prétexte comme s'il falait se justifier. Uniquement le sadisme d'une personne qui rencontre le masochisme d'une autre, et qui mène à la satisfaction commune en créant au passage un lien aussi fort que particulier.
Cela me fait penser à une vidéo que j'ai vu, une séance de caning d'un soumis par une Domina. On voyait clairement qu'elle prenait beaucoup de plaisir, peut être que c'était de la comédie, mais j'aime à penser qu'elle ne faisait pas semblant. Vers la fin elle était quasiment nue, elle portait juste encore ses bottes il me semble, et elle se caressait de plus en plus ostensiblement. Je crois qu'au début le soumis comptait les coups de canne, mais à ce moment précis il n'était plus question d'atteindre un nombre spécifique, ils avaient tous les deux un nouvel objectif commun : la jouissance de la Dominatrice. D'ailleurs elle ne semblait plus vraiment se soucier de l'intensité qu'elle y mettait, elle était trop près du but. Les gémissements du soumis s'étaient transformés en suppliques et la peau de son cul avait abdiqué par endroits, laissant perlé quelques gouttes de son liquide vital (j'aurais bien aimé savoir combien de temps il a gardé les traces). Mais ils ont atteint leur objectif commun ! La Domina, soulagée et reconnaissante à réconforté son soumis, qui était maintenant à genoux face à elle, en pressant son visage contre son intimité. Ils avaient l'air si heureux et comblés d'avoir partagé cet instant d'une intensité folle. C'est typiquement le genre de choses que je trouve très belles, voir romantiques, et que je ne pourrais, ou n'oserais partager qu'avec très peu de personnes, de peur d'être interné d'office, ou, a minima, catalogué comme un psychopathe fini :sweat_smile:
Voilà en partie ma vision perso d'une Dominatrice, de LA Dominatrice de mes rêves. Ce qui amène tout un tas de questions : Existe-t-il des femmes ainsi ? Je pense que oui. Sont elles nombreuses ? Je ne sais pas. Quelles sont les chances d'en croiser, ne serait-ce qu'une, au cours d'une vie ? J'imagine que ça dépend beaucoup de comment on s'y prend. Et surtout, la question qui tue, quelles sont les chances qu'elle s'intéresse à moi ? Aucune idée.
Tout ce dont je suis sûr, c'est que je ne suis pas trop vieux ni trop désabusé pour croire en LA Dominatrice ! Je sais, je sens qu'elle existe quelque part...
Bonjour à tous ! J’ai une question qui m’a traversé l’esprit à laquelle je ne peux trouver de réponse. Je viens donc faire appel à vous, à vos idées et à votre vécu.
Le sadisme que l’on pratique dans le BDSM est-il à la base un kink qui vous procure une excitation sexuelle de manière primaire ? Ou est ce plus profond que cela, dans le sens où vous avez un côté sadique qui n’est pas forcément sain ? Et le BDSM est il une manière d’exprimer, de contrôler, d’assouvir et d’assumer cette partie de soi de manière saine et consentie ?
J’ai conscience que cette question peut être assez intime, merci d’avance à tous ceux qui répondront !