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Intime Photographie
.Posté dans Présentation
Oui, il y en a. Mais si vous imaginez vous connecter, ouvrir un post, et trouver, vous vous leurrez :)
Intime Photographie
.Posté dans Libre et soumise ?
Comment ne pas se sentir libre, en devenant soumise ? Je pense qu'on peut largement s'interroger sur la liberté des femmes, et sa trajectoire descendante, avec un point commun aux trois situations citées, en restant en France. À quoi faites-vous allusion ?
Bonjour à tous,  En guise de réponse, je livre ici mon témoignage qui, je vous préviens, ne propose aucune solution :  J’ai la soixantaine, j’ai toujours eu des fantasmes de domination, mais pour diverses raisons, éducation, timidité maladive, manque de courage aussi certainement, je n’ai jamais osé franchir le pas et vivre une sexualité épanouie. Ma femme est vanille, et il m’a fallu plusieurs années pour oser lui en parler. Nos échanges ont évolué, la communication est établie, mais elle avance difficilement. Non pas que nous soyons en conflit, mais parce que les mots n’ont pas le même sens. Si je lui explique que la soumise trouve son plaisir dans le plaisir de l’autre, elle me répond que c’est exactement ce qu’elle pense, et qu’elle éprouve du plaisir à m’en donner. Ce sont les mêmes mots, mais on ne parle pas de la même chose, et je ne sais pas comment le lui expliquer. Au-delà des mots, c’est du ressenti, et ce n’est pas facile à faire comprendre. Elle me propose parfois d’essayer. Nous l’avons fait une ou deux fois, mais cela ne s’est pas déroulé comme prévu. Si avant la séance, je me réjouis de pouvoir enfin me laisser aller à ressentir le plaisir que peut procurer la toute-puissance, dès la première minute, dès le premier ordre donné, je sens qu’elle n’est pas du tout dans ce jeu très sérieux qu’est la domination-soumission. Nous ne sommes pas du tout dans le même univers. D’un côté, j’en éprouve une grande frustration, et en même temps, ses efforts « maladroits » sont tellement émouvants que, pris d’une infinie reconnaissance, je lui fais le cadeau d’un moment de tendresse et de plaisir rien que pour elle, (même si j’en éprouve aussi du plaisir). Au final, le loup alpha maître absolu de sa femelle s’est transformé en amoureux transi. Nous avons certes passé tous les deux un très beau moment, mais il me reste de la frustration.   
MisterTaurus916
.Posté dans Libre et soumise ?
Pour cela que je mettais quasi philosophique, tout dépend la sensibilité de chacun. Mais j'aime ce duo de mots si savoureux, soumis(e) et liberté 😈
Silla
.Posté dans Libre et soumise ?
Pour moi on est bien sur de la philosophie de bienheureux occidentaux gâtés derrière nos écrans. Je pense qu'en regardant un peu autour de soit (au hasard, chez les talibans ? en Iran ? Gaza ?), se demander si on est libre en étant soumise trouve vite réponse. Et vous avez raison, c'est un sujet d'actualité. On le voit également dans le recul des droits LGBTQ+ dans de nombreux pays, ou aux États-Unis, l'interdiction de l'avortement dans de nombreux états. Qui dit perte de droits, dit perte de liberté. Alors nos histoires de bdsm... oui je suis soumise, oui je suis libre ! Et j'use de ma liberté d'expression pour le dire 🙂 car ma liberté je l'avais perdue à un moment de ma vie (violences conjugales et harcèlement) alors tout ça me hérisse. Sans rien de personnel et je ne lirai même pas la suite de ce fil 😉
Bonsoir Good Girl   Je ne passe plus réguliérement ici, mais je ne regrette pas le détour ce soir. Cet aspect de volonté de discipline, surtout envers soi, est en effet plutôt valorisante. Une approche des relations D/s que j'ai rarement vu mise en avant, l'aspect du transfert de ce pouvoir de l'un vers l'autre, que ce soit par la prise et par le don semblait nettement plus largement mis en avant.   Aprés, au risque de parraitre psychorigide, ca reste de mise dans une relation égalitaire, puisque par moment, l'un ou l'autre doit avoir de la maitrise pour deux( on peut élargir aux relations à plus de deux partenaires ma remarque) Mais l'aspect durée, marathon, parce que l'on fige parfois même formellement la part contractuelle de chacun dans le lead est interessant. C'est en effet un plus si on amie ce genre de courses de fond. Que ce soit un plus dans l'absolu, personne ne le prétendrait, car figer rend moins souple, mois réactif, pour faire face aux aléas. J'ai une approche assez dynamique de la vie, qui me fait justement privilégier souvent la réactivité et l'optimisation des combinaisons des forces en fonction de la situation. recombiner facilement a ses avantages, mais l'expérience et le rodage à un post déterminé...aussi!   Merci pour votre contribution
Bonjour, Cette recherche est bien intéressante... Je me ferais un plaisir de découvrir ce fantasme lors d'une séance. Si ma candidature peut vous convenir, je vous laisse prendre contact dans mes mps pour en discuter et faire connaissance.   Belle soirée. J.
sylvie35
.Posté dans Libre et soumise ?
Je vais donner mon point de vue en m'inspirant de mon cas personnel - pas par narcissisme, mais pour éviter les généralisations abusives du genre "la soumise doit ...", puisque ce qui me convient ne convient pas nécessairement à d'autres. Dans mon cas, la perte quasi-totale de liberté fait partie du socle de la relation. C'est un élément essentiel et je ne peux même pas concevoir qu'il en soit autrement. Si j'étais libre cela changerait fondamentalement la nature de la relation. Il y a eu un choix initial, libre et éclairé, sans pression. Le choix de faire don de ma liberté. Et quel don! Tous les dominants ne mesurent pas ce don à sa juste valeur, malheureusement. Tant que j'appartiens à mon Maître, je ne suis pas libre. Je dois lui obéir. Je n'ai pas le droit de prendre de décision par moi-même (hormis bien entendu les micro-décisions sans conséquence que l'on prend des centaines de fois par jour). Si un jour cela ne me convenait plus, je garde une liberté inaliénable: celle de mettre définitivement fin à la relation. Est-ce une mauvaise chose? Certainement pas, puisque depuis que je suis soumise, je me sens très heureuse et épanouie comme je ne l'ai jamais été. La perte de liberté n'est pas nécessairement négative. Dans la vie en société, on accepte constamment de renoncer à une part de notre liberté au profit d'un intérêt supérieur. Par exemple, dans une nation gouvernée sainement, on accepte naturellement des restrictions aux libertés si elles sont dûment justifiées par le bien commun.   Dans une relation D/s ou Maître/esclave, ce n'est pas si différent. La soumise ou l'esclave renonce partiellement ou totalement à sa liberté. Au profit de quel intérêt supérieur? Là, à chacune sa réponse. Pour ma part, je pourrais mentionner, en vrac: Clarté et stabilité de la relation. Pas d'ambiguïté, pas de non dits. Je sais quelle est ma place, c'est parfaitement clair, et j'aime cette clarté dans la relation. Me sentir en accord avec ma nature profonde. C'est instinctif et difficile à expliquer, mais j'aime viscéralement obéir à un homme et sentir que "c'est lui qui décide".   Bien-être apporté par une relation fusionnelle: quand le don de liberté est sincère, total, et apprécié à sa juste valeur par le dominant, cela crée un lien d'une force incroyable. Épanouissement sexuel. Cela peut sembler paradoxal, mais le fait d'avoir totalement perdu ma liberté sexuelle, dans le sens où seul mon Maître décide du quand et du comment, sans que j'aie mon mot à dire, a décuplé ma libido. A tel point que souvent je ne pense qu'à ça... ... Est-ce que néanmoins la perte de liberté peut être malsaine? Certainement, si le Maître n'a pas les qualités humaines lui permettant de gérer intelligemment l'immense pouvoir qui lui est confié. On retombe toujours sur le même prérequis: on ne doit pas faire don de sa liberté au premier venu... Cela peut devenir étouffant: par exemple, si le Maître veut tout contrôler. En pratique, mon Maître m'accorde un espace de liberté assez large (par exemple il m'autorise à écrire ce que je veux sur ce site, y compris de grosses bêtises dont je me rends compte a posteriori :joy:). Mais c'est lui seul qui détermine les contours de cet espace de liberté et qui les redessine le cas échéant. Reste également la liberté de conscience, la liberté de penser et d'avoir mes opinions. Rogner sur ce terrain relèverait certainement de l'abus de pouvoir. On peut y ajouter la liberté de conserver des liens sociaux, des liens avec la famille, etc. Dans mon cas, ces liens ont été davantage encouragés que restreints. A titre d'exemple, je dois demander la permission pour inviter mes parents à déjeuner, mais la plupart du temps il me l'accorde et très souvent m'encourage à renforcer ces liens. J'espère ne pas être trop hors sujet. Il y a une multitude de manières d'interpréter la question initiale.
Carpo
.Posté dans Libre et soumise ?
Être libre en se soumettant ? Voilà une question de fond, qui revient parfois et sur laquelle il est bon de se pencher régulièrement, car le regard peut changer. Je suis assez mitigé sur la réponse à apporter, peut-être au regard de ce que le concept de liberté peut recouvrir.     Se soumettre, c'est faire le choix libre (et espérons le éclairé) de confier une part de ses libertés à une autre personne. Ces libertés offertes sont récupérables à tout moment - c'est là un des équilibres de la relation - mais elles n'en sont pas moins momentanément perdues...     Paradoxalement, c'est peut-être par l'explicitation de ces libertés offertes et perdues qu'il est possible de s'alléger d'un poids, celui du choix ou de l'indécision, et donc de tendre vers une libération, mais qui tiendrait alors plus du soulagement que de l'émancipation. Le choix libre de la personne dominante par celle soumise est un élément important de la réponse : la bonne personne dominante sera souvent celle qui permet à celle soumise d'exprimer une part d'elle. Seule, elle n'en est pas toujours capable pour différentes raisons (dont des barrières sociales, culturelles, psychologique, ...), mais avec cet accompagnement, entre alchimie relationnelle et catalyseur (ou encore révélateur), elle gagne cette capacité à se vivre plus complètement. Est-ce là une forme de liberté ? Je vous laisse apprécier par vous même.  J'aurais eu tendance à dire il y a quelques temps que se soumettre et être libre allaient de pair pour moi, peut-être dans une démarche d'autolégitimation. Désormais je serais plus nuancé avec un propos de type : "ça n'est pas si évident, et ça n'est pas un problème : on peut aussi s'accomplir et se vivre pleinement dans un espace contraint par des limites, voire être aidé par ces limites. "    
Marie
.Posté dans Présentation
Restons-en au vouvoiement. Je vous en remercie. Une soumise est avant tout une femme qu'il conviendra de séduire. Montrez nous qui vous êtes en participant au murG par vos posts, en rédigeant des articles ou en lançant des discussions sur le forum. Etoffez votre profil pour suciter de l'intêret. Pourquoi pas quelques photos, perso de préférence. C'est une soumise qui vous choisira comme Dom'...alors montrez vous sous votre plus beau jour.    
.Posté dans Présentation
Merci pour ton message , c'est la première fois qu'on me répond,  je me suis inscrit sur plusieurs site mais ça n'a jamais rien donner , après je pense que c'est plus simple de trouver un homme soumis enfin je pense qu'une femme  Et encore une fois merci et moi aussi je te souhaite plien de bonne chose