Bonsoir à tous,
Pour poser le contexte de ma participation à ce sujet, je me qualifierais pour ma part de "switch néophyte non pratiquant". C'est par la porte du fantasme de la soumission que le BDSM m'a d'abord attiré depuis très jeune. Cette attirance ne m'a pas quittée, mais elle s'est transformée ces dernières années.
Et sinon :
- Avez vous déjà essayé de switcher ? Est-ce que ça vous a plu ? Est ce que ça vous tente ? Ou pas du tout ?
Je me rappelle très bien que lorsque je me suis inscrit sur ce site, dominer une femme m'était absolument inimaginable. Mais les échanges et l'observation de la variété des envies et des points de vue ont progressivement comme "cassé" quelque chose en moi… Peut-être la certitude inconsciente que j'avais de mon envie de soumission ?
Bref… c'est en me "documentant" que j'ai retrouvé ce sujet. Je n'ai pas vraiment d'expérience à partager comme "switch", mais un simple ressenti personnel.
Pour les switchs :
- Avez-vous un côté plus prononcé que l'autre ?
L'attirance pour la soumission reste pour moi la plus forte.
Pas exactement non, cela dépend beaucoup de l’attitude de ma partenaire d’une part et de la période d’autre part. J’ai noté ces dernières années que l’un ou l’autre des ces côtés était plus prononcé suivant les événements de ma vie "vanille" à savoir que j’ai plus envie d’être soumis quand je suis stressé et plus de dominer lorsque je m’ennuie. J’ai fini par en déduire que c’était une forme de soupape inconsciente. Je serais d'ailleurs curieux de savoir si d’autres switchs ont noté ce type de fluctuation dans leurs envies.
Quoique je manque de recul comme switch, Algiricus, je sais que comme soumis, j'avais d'autant plus envie de me soumettre en période de stress ou de tension. À votre lecture, je me rends également compte que mon évolution en "switch" s'est accompagnée dans le même temps de davantage d'assurance et de stabilité dans ma vie courante. Simple coïncidence ou lien de causalité ? Et dans ce dernier cas, dans quel sens ? Impossible à dire…
Bien à vous.
Pour poser le contexte de ma participation à ce sujet, je me qualifierais pour ma part de "switch néophyte non pratiquant". C'est par la porte du fantasme de la soumission que le BDSM m'a d'abord attiré depuis très jeune. Cette attirance ne m'a pas quittée, mais elle s'est transformée ces dernières années.
Heartbeat a dit...
Et sinon :
- Avez vous déjà essayé de switcher ? Est-ce que ça vous a plu ? Est ce que ça vous tente ? Ou pas du tout ?

Je me rappelle très bien que lorsque je me suis inscrit sur ce site, dominer une femme m'était absolument inimaginable. Mais les échanges et l'observation de la variété des envies et des points de vue ont progressivement comme "cassé" quelque chose en moi… Peut-être la certitude inconsciente que j'avais de mon envie de soumission ?
Bref… c'est en me "documentant" que j'ai retrouvé ce sujet. Je n'ai pas vraiment d'expérience à partager comme "switch", mais un simple ressenti personnel.
Heartbeat a dit...
Pour les switchs :
- Avez-vous un côté plus prononcé que l'autre ?
L'attirance pour la soumission reste pour moi la plus forte.
Algiricus a dit...
Pas exactement non, cela dépend beaucoup de l’attitude de ma partenaire d’une part et de la période d’autre part. J’ai noté ces dernières années que l’un ou l’autre des ces côtés était plus prononcé suivant les événements de ma vie "vanille" à savoir que j’ai plus envie d’être soumis quand je suis stressé et plus de dominer lorsque je m’ennuie. J’ai fini par en déduire que c’était une forme de soupape inconsciente. Je serais d'ailleurs curieux de savoir si d’autres switchs ont noté ce type de fluctuation dans leurs envies.
Quoique je manque de recul comme switch, Algiricus, je sais que comme soumis, j'avais d'autant plus envie de me soumettre en période de stress ou de tension. À votre lecture, je me rends également compte que mon évolution en "switch" s'est accompagnée dans le même temps de davantage d'assurance et de stabilité dans ma vie courante. Simple coïncidence ou lien de causalité ? Et dans ce dernier cas, dans quel sens ? Impossible à dire…
Bien à vous.
Soyez la première personne à aimer.