Je n'impose pas de restriction pour ma part, là comme ailleurs en matière de sexualité, j'ai tendance à m'adapter étroitement à mon partenaire (mouais...).
Intellectuellement et spirituellement, je peux être assez proche de la position de Grégory. J'aimerais offrir à mon corps un temps de repos, puisqu'il se régénère, et j'apprécie les moments de frustration, qui ne font qu'amplifier le désir. Je pourrais même aimer, pour quelques jours, faire chambre à part, pour le rituel plaisant (j'aime bien les rituels qui ont du sens - pour moi s'entend), et pour mon propre confort (me dérober tranquillement à la vue pour ne pas à avoir à faire attention).
Mais sur le plan de la chair, mon désir monte en flèche, pour parler crûment un désir clairement anal, mes seins sont gonflés et appétissants. J'ai envie de les laisser à portée de lèvres de mon aimé. Je ne résiste pas si on me sollicite, donc, et je suis même flattée que l'attraction l'emporte sur la répulsion, alors que je suis toute sanguinolente (+ les autres désagréments).
En vérité c'est une période, souvent la seule dans le mois (je ne suis pas très solitaire), où je ne peux résister à m'absorber, parfois non stop toute la journée, dans le stupre de l'onanisme,
et que, si cela ne tenait qu'à moi, je préférerais vivre sexuellement active, mais seule.
Intellectuellement et spirituellement, je peux être assez proche de la position de Grégory. J'aimerais offrir à mon corps un temps de repos, puisqu'il se régénère, et j'apprécie les moments de frustration, qui ne font qu'amplifier le désir. Je pourrais même aimer, pour quelques jours, faire chambre à part, pour le rituel plaisant (j'aime bien les rituels qui ont du sens - pour moi s'entend), et pour mon propre confort (me dérober tranquillement à la vue pour ne pas à avoir à faire attention).
Mais sur le plan de la chair, mon désir monte en flèche, pour parler crûment un désir clairement anal, mes seins sont gonflés et appétissants. J'ai envie de les laisser à portée de lèvres de mon aimé. Je ne résiste pas si on me sollicite, donc, et je suis même flattée que l'attraction l'emporte sur la répulsion, alors que je suis toute sanguinolente (+ les autres désagréments).
En vérité c'est une période, souvent la seule dans le mois (je ne suis pas très solitaire), où je ne peux résister à m'absorber, parfois non stop toute la journée, dans le stupre de l'onanisme,
et que, si cela ne tenait qu'à moi, je préférerais vivre sexuellement active, mais seule.
Dernière modification le 19/05/2015 23:58:21 par Thutale.
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