Irene a dit...
Si on renverse les perspectives, les mêmes ressorts peuvent être en jeux chez les pratiquants actuels ne se reconnaissant absolument pas dans ces "fondamentaux cohérents" de type dévotion, déférence, position spatiale, hiérarchie dom/soum, tenue vestimentaire et dress code, et se demandant bien au nom de quoi un dogme qui ne leur parle pas (c'est à dire ne stimule pas leur désir, leurs envies, leur excitation, qui ne peut pas s'intégrer dans leur relationnel ) devrait venir s'imposer à eux, sous prétexte que ce-sont-les-règles-et-pis-c'est-tout-et-si-t'es-pas-d'accord-tu-fais-pas-du-bdsm-point.
Maintenant si on est tous ici, sur un forum BDSM, c'est qu'au moins une des lettres de l'acronyme nous parle. Je ne pense pas qu'on puisse aller au delà de cette évidence, en terme de plus petit dénominateur commun.
Belle analyse et bonne conclusion. Merci de votre participation Irene.
J'avoue que votre idée du : "ce-sont-les-règles-et-pis-c'est-tout-et-si-t'es-pas-d'accord-tu-fais-pas-du-bdsm-point" (qui pourraient aussi bien m'être appliquées) ne me dérangerait pas outre mesure.
"Si tu ne sais pas patiner, tu ne te prétends pas patineur artistique ! pour autant, tu sais chausser des patins à glace ? tu aimes aller à la patinoire en dilettante ? alors patine ! mais viens pas me dire que le double salto arrière, c'est pas du patin à glace ! ni comment je dois patiner pour être champion olympique !"
Soyez la première personne à aimer.