@ MyrinaJ'imagine bien qu'une relation démarrée avec des limites posées puisse évoluer avec de la complicité. Je n'ai jamais été en situation de rencontrer une "domina" et de voir si la femme correspondante peut me convenir. A vrai dire, je ne le conçois pas, comme je ne conçois pas qu'une relation puisse être "BDSM"... D'où le caractère contre-productif des listes que j'ai déjà développé.Je confirme, le moment le plus aliénant pour moi est bien celui où je me surprends à espérer ce que je n'aime pas... et la déception quand ça n'arrive pas, la confusion quand je me rends compte de mon "conditionnement", son visage qui s'illumine quand elle voit que je sais qu'elle sait :-P. .. on est bien dans la vulnérabilité.Et oui également, il faut être 2 à concevoir la domination comme arbitraire pour explorer l'inacceptable. Sinon, qu'est-ce qu'elle a mon entrée en matière ? ;) Je voulais parler de dégradation parce que le BDSM apparaît toujours très propre et beau, alors que les désirs inavouables sont souvent moins nets.D'ailleurs je vais en reparler...
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