Tous les dégoûts ne sont pas explicables, on peut faire savoir qu'on refuse telle pratique sans parvenir à l'expliquer. Le primal, l'instinct, les émotions, c'est souvent le cerveau reptilien ( tiens ...lien!), ce n'est pas le plus conscient et le plus logique.@Son ange Qui ne sait pas qu'il y a des personnes derrière les personnages? Après il y a les égoïstes qui ne pensent qu'à eux et se fichent de l'autre, l"autre qu'ils voient bien mais leur nombril importe plus! ( bdsm ou non d'ailleurs). Vous pouvez très bien avoir conscience de votre problème relationnel, sans oublier personne.C'est bien parce que vous savez qu'il y a un(e) autre en face et que vous n'arrivez pas ou difficilement à rentrer en relation avec lui, que vous êtes mal! Vous percevez la difficulté relationnelle, vous n'arrivez pas à la corriger. Mais qu'est-ce que vous aimeriez être plus à l'aise et heureux à communiquer... Au passage, le primal des pratiques sexuelles peut être une base pour travailler l'émergence des mots! Maintenant il faut que chacun y trouve du plaisir, le bdsm n'est pas non plus une séance de gestalt therapie.Le second point que vous abordez est important, a savoir l'avant et l'après jouissance. Le désir d'avant se modifie après avoir joui. L'obligation "après avoir joui" d'une pratique repoussante ne travaille t elle pas plus en conscience , la perception de ses gouts et dégouts , et de ses barrières. La chasteté , la frustration ne permet -elle pas aussi d'aller plus loin en étant dans un état "d'avant le jouir", un état de désir?mais avec moins de conscience. Je pose la question...
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