à Lise. Le mot en lui-même ne m'a jamais gêné pour ma part. Dresser, ce peut-être aussi une forme d'éducation sévère, et qui ne vaut pas que pour les animaux.Et, lui comme moi, sommes définitivement réfractaires à tout ce qui est "pet play". Manger ou me faire manger dans une gamelle, ce n'est ni mon truc ni le sien. Pas plus que me déplacer tenue en laisse en glapissant des ouaf ouaf.Mais bon, certains aiment, ce n'est juste pas mon(notre) conception de la soumission.Je vous rejoins par contre lorsque vous dites "D'un point de vue plus intellectuel, il m'a fait beaucoup me questionner. Pourquoi refusais-je certaines pratiques, qu’évoquaient elle en moi? Et un certain nombre de barrières ont ainsi été repoussées."J'ai ressenti la même chose.Sur les deux univers, nous fonctionnons de manière différente. Je n'ai pas de "nom d'esclave". Et dans le quotidien, il me considère et me traite comme sa compagne, son égale.Du coup, hormis nos relations intimes, je le tutoie et l'appelle Maxime.Le vouvoiement, c'est lorsqu'il me veut "esclave" et lui Maître.Intéressant que chacun ait son propre fonctionnement et ses propres règles.
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