Il est vrai que ce n'est pas très rigolo - la mort de David Carradine était franchement, elle, beaucoup plus divertissante et amusante (d'ailleurs j'attends impatiemment la cinéaste en herbe qui osera en faire un court-métrage comique !).
Néanmoins, ce sont strictement les risques du métier... Le proverbe dit bien : qu'on ne fait pas de bonne omelette sans casser d'oeufs. Demande-t-on par exemple à ceux qui commandent les drones de se justifier de s'être trompés de cible ?
Pas à ma connaissance. Au contraire, l'État américain préfère accuser Julian Assange qui a révélé les nombreux crimes de ce même État d'exercer une activité d'espionnage pour le compte d'une organisation terroriste, Wikileaks - et cela dans l'indifférence quasi générale de la société civile.
Ainsi, je vous invite à une expérience : devenez un ennemi réel de l'État, vous verrez rapidement le terme polysémique de terroriste arrivez jusqu'à vos oreilles veloutées.
Enfin, chacun ses sujets de prédilection, me direz-vous.
Du reste, vous remarquerez qu'il n'y a pas mort d'homme donc, pour moi, tout ne va pas si mâle.
Soit disons, éhontément, the show must go on ! Non mais... humour noir à part (le temps peut devenir long un vendredi soir, et je n'ai toujours pas reçu de faire-part de la famille de la victime ! ...), un mot au sujet de la culpabilité supposée de l'acte de l'accusé.
Faisons concis : il est responsable de ses actes bien que probablement demeuré ; c'est une faute professionnelle ; il commet un crime qui n'appartient pas au registre noble des beaux-arts.
Que le crime soit conscient ou inconscient, peu importe, l'effet produit la cause messieurs, mesdames, les jurés !
Condamné sans rémission à une peine lourde !
À cet effet, il prendra peut-être conscience de sa négligence technique et de sa turpitude morale, une fois arrivé au trou.
Néanmoins, ce sont strictement les risques du métier... Le proverbe dit bien : qu'on ne fait pas de bonne omelette sans casser d'oeufs. Demande-t-on par exemple à ceux qui commandent les drones de se justifier de s'être trompés de cible ?
Pas à ma connaissance. Au contraire, l'État américain préfère accuser Julian Assange qui a révélé les nombreux crimes de ce même État d'exercer une activité d'espionnage pour le compte d'une organisation terroriste, Wikileaks - et cela dans l'indifférence quasi générale de la société civile.
Ainsi, je vous invite à une expérience : devenez un ennemi réel de l'État, vous verrez rapidement le terme polysémique de terroriste arrivez jusqu'à vos oreilles veloutées.
Enfin, chacun ses sujets de prédilection, me direz-vous.
Du reste, vous remarquerez qu'il n'y a pas mort d'homme donc, pour moi, tout ne va pas si mâle.
Soit disons, éhontément, the show must go on ! Non mais... humour noir à part (le temps peut devenir long un vendredi soir, et je n'ai toujours pas reçu de faire-part de la famille de la victime ! ...), un mot au sujet de la culpabilité supposée de l'acte de l'accusé.
Faisons concis : il est responsable de ses actes bien que probablement demeuré ; c'est une faute professionnelle ; il commet un crime qui n'appartient pas au registre noble des beaux-arts.
Que le crime soit conscient ou inconscient, peu importe, l'effet produit la cause messieurs, mesdames, les jurés !
Condamné sans rémission à une peine lourde !
À cet effet, il prendra peut-être conscience de sa négligence technique et de sa turpitude morale, une fois arrivé au trou.
Dernière modification le 04/07/2023 01:02:09 par Lohengrin.
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