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la tolérance à la douleur est très différente d'une personne à l'autre et il faut en tenir compte dans les pratiques et toujours fixer des mots de sécurité.
Mais ce qui est aussi très important, c'est la progressivité de la fessée ou de la flagellation. le mot clé est "endorphines". Il faut donc toujours commencer une séquence de fessée par des impacts modérés qui vont déclencher la sécrétions d'endorphines par l'organisme (il s'agit d'une morphine naturelle sécrétée par l'organisme en cas d'agression) Cette sécrétion va atténuer la sensation de douleur ce qui va permettre progressivement d'augmenter la puissance des impacts sans les rendre intolérables et même dans le meilleur des cas de faire atteindre le "subspace" à la soumise. Donc deux choses à faire : jamais de coups violents en début de séance tant que les endorphines n'ont pas été sécrétées par l'organisme, et même quand on a atteint une force importante, alterner de temps en temps avec une série d'impacts de faible intensité voire même des caresses de la zone considérée.
La chimie du cerveau joue en effet un rôle essentiel dans la tolérance à la douleur.
Endorphine, oui, principalement, mais aussi dopamine, sérotonine, adrénaline, noradrénaline....
Un "cocktail" qui s'élabore à deux, au gré de préliminaires, excitations, mise en situation, mise en scène jeux divers etc...
Là, le subspace peut être parfois atteint, le cerveau étant ivre de" bonheur", donc gaffe quand même !
Dernière modification le 29/08/2022 13:46:52 par Monsieur.
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