Étant soumise dans mon couple mais malheureusement très sensible des tétons et du clito et assez douillette malheureusement la réalité n’est souvent pas à la hauteur de mes attentes et j’atteins trop vite mes limites (ce qui est aussi frustrant pour mon compagnon que pour moi).
Auriez-vous des conseils pour mieux supporter les fessées ? Je commence à être dépassée à partir du moment où elles rougissent mon cul et le brulent.
Idem pour les pinces à tétons que je ne supporte pas longtemps, et MÊME pour la sodomie dont je raffole dans mes fantasmes et envies mais que je ne supporte pas longtemps…. :(
Pourtant j’aime l’idée d’être rabaissée et de souffrir pour le plaisir de mon compagnon/maître
Help !
(Je précise que je débute)
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MariusFs
#1
Je ne suis pas expert en la matière, mais je pense que pour supporter une douleur il faut pouvoir s'y habituer en douceur, petit à petit. N'entrez pas trop vite dans le vif du sujet, faite les choses progressivement. Pour la fessée par exemple, votre maître peut commencer petit en augmentant légèrement la force de frappe en mode "crescendo". Lorsque vous avez votre limite, il doit pouvoir s'arrêter en laissant le temps à vos fesses de récupérer. Pendant ce temps, il peut passer à autre chose et puis y revenir par la suite. Il peut aussi éventuellement, vous faire un massage après une séance éprouvante.
Vous ne devez pas avoir honte de lui en parler directement. On est tous différent, nous avons tous nos limites physiques et émotionnels. Si la séance vous procure du plaisir jusqu'à un certain point, lorsque vos fesses vous brûlent, il ne sert à rien d'aller plus loin trop vite, autrement vous risquez de vivre difficilement cette séance et d'en recevoir plus de mal que de bien.
Bon après, comme je l'ai dis, je ne suis pas un expert, peut être que quelqu'un d'autre aura d'autres suggestions plus pertinentes à vous donner. Bon courage à vous en tout cas. :)
Dernière modification le 10/02/2022 20:02:24 par MariusFs.
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Lien
#2
Je dirais qu'il ne faut rien forcer, alternez entre tout ce qui devient désagréable passé un moment. Les seins, la fessée, la sodomie. Changez d'ordre.
Prenez votre temps, cela doit rester un plaisir et votre compagnon maître le comprendra si vous en discutez avec lui (espérons le!).
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AlphaBlack74
#3
Je debute aussi dans la Domination avec une soumise novice.
Je crois que la clé dans une séance, c'est la communication et de surveiller sa soumise et de ne pas hésiter à stopper avec qu'elle le demande pour la rassurer et que son coprs accepte la douleur.
Je préfère que la séance dure 15 bonnes minutes que 45 min qui dérape complètement.
Par toute cette vigilance,je suis crevé autant que ma soumise.
Et voir sa gratitude quand elle me dit que je suis attentif à sa douleur me comble de plaisir.
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Lady Spencer
#4
Pour accepter une douleur, quelle qu'elle soit, il faut lui donner un sens à cette douleur : et ce n'est pas toujours simple.
Votre dernière phrase est peut-être à revoir sur cette question de sens : "Pourtant j’aime l’idée d’être rabaissée et de souffrir pour le plaisir de mon compagnon/maître"
Et si vous n'étiez pas "rabaissée" mais magnifiée à travers ce don que vous offrez à votre Maître ? La soumission comme je la vis chez l'autre, n'est pas de flanquer le soumis ou la soumise, à terre et de lui cracher dessus (enfin, pas tout le temps ! :smiling_imp:) , la soumission, c'est tout SAUF le mépris.
Je me doute bien que votre Maître ne vous méprise pas, mais voyez en vous, la force et la beauté de ce que vous lui offrez : peut-être cela vous permettra de VOUS regarder différemment.
Et donc, de donner un sens aux douleurs ressenties.
Et donc encore, peut-être, d'y trouver du plaisir POUR VOUS. Et pas que pour votre Maître.
Il est nécessaire, je crois, de jouer sur ce mélange émotionnel entre votre plaisir et le sien et de puiser là où se fera la jonction.
Avant tout, comme déjà dit, prenez le TEMPS de vous découvrir l'un à travers l'autre et COMMUNIQUEZ : ça reste la base.
Et puis....toutes les personnes soumises ne sont pas masos : toutes les personnes doms ne sont pas sadiques non plus.
Il y a tellement de configurations différentes, que si vous ne résistez pas longtemps à la douleur, ben peu importe.......
Sauf si votre dom veut vous fesser pendant 3 heures, mais si vos fesses ne supportent pas longtemps les claques, cela n'enlèvera RIEN à votre statut de soumise.
Courage à vous deux.
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Lady Spencer
#5
Une technique qui vaut pour certaines personnes, c'est le contrôle de la respiration : si vous respirez trop vite, avec un souffle saccadé, avec des arrêts et des reprises haletantes, votre corps se contractera de partout.
Si au contraire, vous vous "détendez" (dit-elle face à son clavier......:smiley::smiley) si vous inspirez lentement et profondément, par des mécanismes d'endorphines votre corps/cerveau acceptera beaucoup mieux.
Pas simple de contrôler sa respiration, mais ça fonctionne
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#
#6
On peut être soumis(e) sans être masochiste (ce qui semble être votre cas). Je pense que se forcer ne peut pas fonctionner quand la douleur n'apporte aucun plaisir.
Je ne suis pas masochiste et mon seuil pour la douleur est très bas. J'ai testé le fouet avec un partenaire dominant parce que je voulais tester mes limites et je n'ai pas aimé. Les pinces aux seins, cela me fait très vite mal. J'ai vite compris que la douleur ne m'apportera jamais de plaisir quand bien même je me forcerais pour mon Maître.
Vous écrivez, je vous cite : "j’aime l’idée d’être rabaissée et de souffrir pour le plaisir de mon compagnon/maître ". Je comprends votre désir mais je reste convaincue que si vous n'êtes pas masochiste, aucun conseil ne vous sera profitable. Si souffrir n'est pas plaisant, je ne crois pas que cela puisse changer avec le temps. Je crois plutôt que vous devriez être à l'écoute de vos ressentis, ce qu'exprime votre corps. Et votre compagnon/Maître doit aussi accepter vos limites.
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Main des Larmes
#7
Notez qu'il y a des personnes hypersensibles qui souffrent infiniment plus du mépris que de séances qui mettent au sang leur corps. Etre rabaissée n'est pas forcément souffrir physiquement.
Et réciproquement certaines personnes sadiques ne réalisent pas le mal qu'elles font dans l'ignorance et le mépris renvoyé pour seule réponse.
Comme le dit Orchidee, être à l'écoute.. Mais pas seulement de soi, aussi et surtout de l'autre. C'est aisé quand il s'agit de l'élu de son coeur et réciproquement, plus délicat quand ce n'est qu'un partenaire, et encore plus quand il n'est qu'inconnu anonyme ou quasiment...
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Tindalos
#8
Comme Lady Spencer, le contrôle de la respiration est primordial.
J'y ajouterais l'idée de ne pas essayer de mettre de barrières autour de la douleur, d'essayer de la contenir, mais plutôt de la laisser se diffuser sans chercher à aller contre. Toujours plus facile à dire qu'à faire. La détente et la décontraction sont importantes.
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Comme souvent, je soutiens les mots de Lady Spencer.
Et je me permet de commenter une partie :
"Il est nécessaire, je crois, de jouer sur ce mélange émotionnel entre votre plaisir et le sien et de puiser là où se fera la jonction."
Je crois que ça n'a pas été traité dans les réponses, et c'est peut être lié à ma vision de voir les choses. La séance est là pour se faire du bien ! Prendre du plaisir. Si vous aimez l'idée d'avoir mal, d'être rabaissée, mais ne supportez pas la douleur... Ajoutez une bonne dose de plaisir.
Plus ma soumise est excitée, plus elle "encaisse", pour reprendre le titre du post. C'est psychologique, mais également physiologique : les hormones de plaisir se mêlent aux autres.
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Carpo
#10
Encaisser la douleur juste pour encaisser n'a pas tellement de sens, à part dans une quête de performance (pourquoi pas, après tout). Mais associer cela à une démarche, un acte fort de don de vous, soumise, pour votre Maître, peut aider à trouver ce sens qui vous accompagnera et vous portera face à la douleur.
Comme il a été dit, la respiration est un élément clé pour vivre ces moments où le dialogue passe par des formes plus aiguës. Je me concentre sur ma respiration : inspirer profondément, jusqu'au pic à pleins poumons où les coups paraissent plus forts, puis expirer doucement, ce qui éloigne la douleur jusqu'à cette petite mort du souffle.
Lors des punitions, je dois compter à haute voix les coups : "Un, Maîtresse. Deux, Maitresse...". Parler ainsi me prive de la maîtrise de mon souffle et me fait donc subir davantage les impacts. C'est une très bonne chose, car s'agissant d'une punition il est bon d'exacerber le geste punitif. Mais pour un moment de communion à deux, il s'agit de vivre au mieux cet instant.
Deux remarques complémentaires :
- la douleur en tant que telle revêt des formes bien différentes, suivant les lieux où elle s'applique, la manière de la donnée, les instruments, etc. Certaines formes vous paraitront surement plus faciles à accepter que d'autres. Mon expérience est limitée, mais je sais que je préfère le paddle et le martinet, plus "sourds", à la badine plus aiguë. Ou encore que je parviens à mettre une certaine distance entre moi et la douleur si elle survient au niveau des fesses (pour faire écho à votre histoire de fessée), mais beaucoup moins si elle est produite au niveau des testicules. Chaque personne réagit différemment.
- on peut également imaginer associer la douleur à des stimulations de plaisir, pour obtenir un mélange de sensations positives et de douleur qui va habituer progressivement le cerveau à accepter la douleur. Enfin, c'est ce que j'imagine, mais je ne suis pas très versé en mécanismes psychiques. D'autres plus connaisseurs pourront confirmer ou mettre au rébus cette proposition.
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Lady Spencer
#11
Et puis, Unebrune, n'oubliez pas un truc tout simple : ce que vous supporterez bien le lundi, vous ne le supporterez plus le mardi (vous changez les jours de la semaine comme vous voulez, hein ?), pour des tas de raisons .
Parce que vous aurez passé une mauvaise journée au travail, parce que les mômes vous agaceront par leurs mauvaises notes et les heures de colle, parce que les Impôts vous auront envoyé l'amende que vous avez oubliée de régler, parce que la boulangère vous aura mal servie et que le chat aura joué avec le ficus qui venait de lancer 3 nouvelles feuilles !
Bref autant de raisons que de vies différentes. Et ça, on n'y peut pas grand-chose.
Et parce que nous sommes, vous et moi et tous les autres, JUSTE des êtres humains, avec nos forces et nos failles, nos incohérences et nos harmonies, et que le BDSM reste humain également.
HEUREUSEMENT d'ailleurs ! :smiley:
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Scorpionnes
#12
J'en parlais à un soumis, oui je fais une pause, bcp de choses à gérer et encaisser.. et plus de place pour le bdsm pour le moment.. et oui, je suis avant tout une femme, une mère une épouse... et bien d'autres personnes avant d'etre Domina.. Donc oui, parfois on encaisse moins bien que d'autres... Le BDSM doit et doit rester un réel plaisir :)
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MaîtreDan94
#13
La douleur est toujours acceptable pendant et après même.
Ce que beaucoup de gens oublient c'est que c'est que la soumise a un code qui permet à son maître de jauger jusqu'où il peut pousser les limites.
Jongler entre caresses et douleurs peut provoquer l'orgasme lorsque la soumise le vit comme elle le désire.
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Ce que beaucoup de gens oublient c'est que c'est que la soumise a un code qui permet à son maître de jauger jusqu'où il peut pousser les limites.
A priori, personne ne l'oublie, et ça a été été précisé dans le fil.
Sauf que, pour des TRES NOMBREUSES raisons, ce mot de sécurité est à prendre avec des pincettes, et il faut savoir s'arrêter bien avant.
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La personne Dominante observe les réactions de la personne soumise et doit s'assurer que tout va bien. C'est elle qui a le contrôle et la responsabilité.
La personne soumise peut, par exemple, parfois fatiguée ou grisée et ne plus se rendre compte qu'elle risque de dépasser ses limites, elle peut aussi simplement mal évaluer son état et ses limites ou résister par fierté et vouloir aller trop loin...
La personne Dominante ne jauge pas les limites de la personne soumise grâce à ce mot de sécurité, elle est attentive en permanence au bien-être de la personne soumise.
Le mot de sécurité n'est qu'une protection supplémentaire.
Dernière modification le 17/02/2022 00:08:20 par StellaMaris de Ngu59fr.
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Lady Spencer
#16
Votre phrase, Maitre Dan, m'étonne un peu : "La douleur est toujours acceptable pendant et après même. " : je ne crois pas qu'elle le soit toujours et surtout "après".
Lorsque la personne soum réfléchit à ce qu'elle vient de vivre et qu'elle analyse la situation : nombre de soum se demandent pourquoi ils-elles ont accepté de souffrir ainsi, que ce soit par pur masochisme ou par don à la personne dominante.
Et parfois, ce questionnement remet tout en cause.
Cet instant là nécessite beaucoup de communication dans le couple ou le trio ou......comme on veut, quoi.
Encore une fois, c'est une question de mots après les maux.
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#
#17
Bonjour,
Par manque de temps je laisse un petit com que je viendrais complète quand je serais un peu plus disponible en tout cas sujet très intéressant
Soyez la première personne à aimer.
SœurClo
#18
Un sujet intéressant, pour les impacts, nous n'encaissons pas de la même façon suivant notre journée et tracas de la vie en général, comme le précise bien @lady Spencer, j'aime bien le chat et le ficus😁
La respiration est très efficace, surtout derrière le clavier 🤣, ça c'est une boutade... et elle permet d'apprécier aussi la douleur qui se diffuse, la chaleur qui s'étend... Rien que d'y penser, j'ai envie d'une fessée 😜
Prenez la fessée jusqu'au supportable, appréciez la, et que votre dom vous félicite d'avoir pris un peu plus d'impacts que la fois d'avant...
Pour les pinces je pense que l'entraînement joue beaucoup... Perso c'est au niveau des lèvres du bas que j'ai du mal... Alors de temps en temps je les mets seule et rajoute une ou deux minutes de temps à chaque fois.
Après il y a les soumises non maso, qui sont aussi des soumises... Peut-être en faites vous partie... Voyez ensemble vos envies et besoin, les fantasmes c'est bien, mais on ne peut pas tous les réaliser. Je fantasme d'une vraie séance de fouet, mais pas certaine de l'apprécier et de la supporter...
Dernière modification le 07/03/2022 12:44:53 par SœurClo.
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Nina
#19
Bonjour unebrune,
Je me suis faite une réflexion en vous lisant et en lisant les réponses...
Je rejoins les éléments de réponse, sur la respiration, les essais aussi seule pour appréhender le matériel. Je pense que parfois, on craint plus l'idée de la douleur que la douleur elle même.
Vous dites : "j’atteins trop vite mes limites (ce qui est aussi frustrant pour mon compagnon que pour moi)."
Mon expérience de la douleur, a toujours débuté par d'autres stimulations, et cela a augmenté progressivement tout en ajoutant des impacts progressivement plus fort. Il était toujours attentif à mes réactions, et c'est ce "crescendo" qui me faisait en réclamer encore. Ce qu'il cherchait et moi aussi.
Mon conseil, serait peut être aussi de rediscuter de cette progression de la douleur, trouver le rythme qui vous permettrait de la supporter, réduisant les frustrations de part et d'autres.
Et avant qu'Il ne ne me fasse mal, nous en avions beaucoup discuté, des sensations, de ce qui était possible et acceptable de découvrir, et surtout, de ce qu'il y avait derrière cet échange entre celle qui reçoit la douleur et celui qui la donne. Je rejoins Lady Spencer sur ce point, parlez en, et évoquez les besoins de chacun, les envie, les curiosités.
Et après coups (oui oui :satisfied:), nous en avons beaucoup parlé également, Il a pris soin de moi, et on a beaucoup débriefé. Moment important qui renforce la confiance également.
Voilà pour ma petite contribution et mon avis sur votre problématique.
Très belle journée :-)
Nina
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#
#20
Moi je reviens ici 🙄🙄🙄 il est un peu temps ...
Un sadique prend du plaisirs a faire souffrir et à pousser l'autre jusqu'à ses limites ... Donc si vos limites sont très courte il va devoir s'adapter et jouet dans cette zone la et pour ça vous allez devoir tester et expérimenté et plus vous jouerai plus votre zones de jeu va grandir par habitude personnellement c'est pas les jeux d'impact que je crains le plus c'est la
Roulette à picots Wartenberg sur les tétons .... Donc voilà on n'est tous différents votre dom doit s'adapter à vous et vous prépare au fur et à mesure a étendre votre zone de jeu..
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docjeanpaul
#21
la tolérance à la douleur est très différente d'une personne à l'autre et il faut en tenir compte dans les pratiques et toujours fixer des mots de sécurité.
Mais ce qui est aussi très important, c'est la progressivité de la fessée ou de la flagellation. le mot clé est "endorphines". Il faut donc toujours commencer une séquence de fessée par des impacts modérés qui vont déclencher la sécrétions d'endorphines par l'organisme (il s'agit d'une morphine naturelle sécrétée par l'organisme en cas d'agression) Cette sécrétion va atténuer la sensation de douleur ce qui va permettre progressivement d'augmenter la puissance des impacts sans les rendre intolérables et même dans le meilleur des cas de faire atteindre le "subspace" à la soumise. Donc deux choses à faire : jamais de coups violents en début de séance tant que les endorphines n'ont pas été sécrétées par l'organisme, et même quand on a atteint une force importante, alterner de temps en temps avec une série d'impacts de faible intensité voire même des caresses de la zone considérée.
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Peter_Richter
#22
Bonsoir, je me permets de rejoindre votre discution.
Pour les tétons et le clito sensible (ou n importe quel zone en faite, vous pourriez peut etre faire quelques exercises solo afin de les rendre plus dur au mal ?
La respiration pour les fessés pourrait vous aidez, vous detendre au maximum et ne pas vous crispé.
En se qui concerne le faites que vous avez le desire d etre rabaisser. Les humiliation psychologique sont tres excitante egalement.
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#23
C est ça perso comme je suis autant maso que soum 🤣fessées et tralala comme punition ça marche pas car C est aussi ce que je cherche 🤣donc unedes seule chose qu'il est trouvé c est la privation de sex🤣 et de donjon.
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#24
Comme je n ai aucune limite je les cherche et quand je les trouve je cherche à les dépassées question d honneur pour moi. Et aussi je sais qu il a fier que je tienne autant mais c est lui qui mettra un stop aux jeux purement SM quand il estime que ça serait trop car je ne met jamais de stop moi. C est lui le raisonnable des 2 ce qui m oblige à l'être aussi, mais C est ma recherche dans la vie courante aussi la recherche de limites. Oui tout est gradué et progressif dans une séance SM pour atteindre le nirvana.
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#25
Pour vous répondre il faut savoir qu il faut y aller de manière progressive, que la peau est le temps de s échauffé et que votre esprit sois libre pour ce qui va se passer. Il faut anticipé vous savez que cela doit être un jeu de plaisirs pour vous.
Personnellement le SM me. Libére la tête tout comme les sports ou il faut forcer et ou le corps est mis à rude épreuve. mon dom veille en séance SM a chauffer tout le corps par des coups pas trop fort en début de séance puis les choses se font progressivement, le but est non pas la douleur pour la douleur mais dégagée des endorphines pour pouvoir augmenter le rythme et la durée, mais comme pour de la musculation j aime sentir mes membres chauffer et sentir chaque partie de mon corps chaque muscles chaq morceaux de peau et au bout d un moment je suis tellement concentré sur mes sensations que j, le moindre coup me fait éclater de rire et mouillé, Après dépasser ce stade je vrille comme si je m echapai de mon corps parfois longtemps. C est toujours un moment de plaisir pour moi ces sensations et pour lui, et plus je tiens plus il est fier, même si je ne le vois pas les 3/4du temps en séance je devine sa pensée.
Enfin il ne faut pas jouer SM si vous ne le faite que pour lui car si vous n éprouver pas de plaisir physique et mental le moindre coup vous paraîtra intenable.
L endurance vient en s entraînent, comme pour importe quel sport, et comme pour importe quel sport il faut avoir plaisir à le faire.
J espère que ça vous aidera.
Soyez la première personne à aimer.
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#26
Ne vous inquiétez pas on peut être maso sans être soumise et on peut être soumise sans être maso, on peut aimez les 2 rien est obligé, ce qui ne fera pas de vous une moins bonne personne, l ess c est que vous preniez plaisir.
Et oui pour le DS com pour le SM ou un dom qui encourage, qui félicite donne très envie de s améliorer, renforce l estime de soi C est à mon sens nécessaire pour tout soum ou SM
Soyez la première personne à aimer.
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#27
la tolérance à la douleur est très différente d'une personne à l'autre et il faut en tenir compte dans les pratiques et toujours fixer des mots de sécurité.
Mais ce qui est aussi très important, c'est la progressivité de la fessée ou de la flagellation. le mot clé est "endorphines". Il faut donc toujours commencer une séquence de fessée par des impacts modérés qui vont déclencher la sécrétions d'endorphines par l'organisme (il s'agit d'une morphine naturelle sécrétée par l'organisme en cas d'agression) Cette sécrétion va atténuer la sensation de douleur ce qui va permettre progressivement d'augmenter la puissance des impacts sans les rendre intolérables et même dans le meilleur des cas de faire atteindre le "subspace" à la soumise. Donc deux choses à faire : jamais de coups violents en début de séance tant que les endorphines n'ont pas été sécrétées par l'organisme, et même quand on a atteint une force importante, alterner de temps en temps avec une série d'impacts de faible intensité voire même des caresses de la zone considérée.
La chimie du cerveau joue en effet un rôle essentiel dans la tolérance à la douleur.
Endorphine, oui, principalement, mais aussi dopamine, sérotonine, adrénaline, noradrénaline....
Un "cocktail" qui s'élabore à deux, au gré de préliminaires, excitations, mise en situation, mise en scène jeux divers etc...
Là, le subspace peut être parfois atteint, le cerveau étant ivre de" bonheur", donc gaffe quand même !
Dernière modification le 29/08/2022 13:46:52 par Monsieur.
Soyez la première personne à aimer.
Domilyon
#28
La respiration a été évoqué : mais pas les techniques respirer sans connaître les techniques de respiration c est se mettre à l’eau sans savoir si on a pied...
Il existe une technique qui est utilisée pour faire descendre les degrés de douleurs , auto hypnose eriksonienne . 
Pour ma je l ai testé et apprise auprès d un professionnel et je peux très bien gérer la douleur et apprendre à la gérer 
La technique est simple si on a un peu de discipline mentale : c est une solution fiable et reconnue 
Pour les formations je vous laisse chercher c est facile à trouver
 
Soyez la première personne à aimer.