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La question du safeword se pose et se posera toujours.
J'ai lu il y a peu que le safeword ne concernait pas les séances de soumission, puisque les deux partenaires étaient censés avoir discuté avant des limites et pratiques possibles. et que le safeword ne se justifiait que quand on rentre dans des pratiques dites CNC ( Consensual Non-Consent ou Non-Consentement Consensuel). (N'hésitez pas à faire sur recherche en ce sens sur votre ami Google pour lire qq articles sur le sujet)
On s'aperçoit bien en fait que même dans une relation où on se connait parfaitement, il y a un moment où on peut dépasser des bornes mutuellement acceptées, et qu'il faut bien conserver un moyen de dire stop.
Cela pose aussi la question du "subspace" où la soumise arrive dans un état de conscience modifié d'une manière ou d'une autre (le plus souvent on parle de la douleur, mais je ne suis pas persuadé qu'il n'y ait que ce moyen d'y arriver sous l'effet des endorphines) et qu'elle n'est plus capable de juger de la dangerosité de ce qui lui arrive et qu'il revient alors au dominant de juger du degré d'acceptabilité physique et psychologique de ce qu'il pratique.
Je suis d'accord en tout cas avec vous sur ce sentiment étrange du pouvoir qu'on détient alors sur sa soumise.
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