@Lotine, je peux confirmer pour les diagnostics de complaisance, au moins pour ce qu'on appelait hyperactif à l'époque. Dans mon ancienne académie, il y avait un médecin réputé pour ça, les familles faisaient trois ou quatre pédopsychiatres qui refusaient de poser le diagnostic (je ne suis pas psy, mais je sais reconnaître une carence éducative quand j'en vois une, et le nœud du problème était bien là). Et pouf, le psy en question diagnostique une hyperactivité, prescription de dose de cheval de ritaline, et hop, un gamin shooté et tellement calme, on vous l'avait bien dit !
Et voilà comment un enfant en souffrance devient un enfant "éteint" qui m'embêtera plus les adultes...
C'est triste mais malheureusement encore courant.
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